En 2020, le Royaume-Uni a connu le plus grand afflux d'immigration clandestine de mémoire d'homme, avec plus de 4 000 personnes qui ont fait le voyage depuis les côtes françaises jusqu'aux eaux britanniques.
Steve Laws, un habitant de Douvres, s’est senti interpellé par le nombre de personnes entrant au Royaume-Uni, mais aussi par le manque d'attention médiatique et de sensibilisation nationale à cette crise.
Filmées avec son téléphone, les images de ce journaliste citoyen documentant l'arrivée de centaines de migrants sont immédiatement devenues virales. Dans ce reportage, Steve nous fait partager ses expériences des tentatives de dissimuler le problème et donne un aperçu du monde obscur du trafic d’êtres humains.
Il y a un passage fascinant, à 8:15, où Steve raconte comment il a parlé avec des clandestins qui accostaient au Royaume-Uni et leur a demandé pourquoi ils étaient là.
Les réponses des migrants peuvent appuyer la théorie d’une volonté d’anéantir l'Occident par le biais de la migration de masse – c’est-à-dire que des quantités d'étrangers, hostiles aux valeurs occidentales, sont amenés dans les pays occidentaux même s'ils ne le veulent pas vraiment, afin de favoriser à de multiples niveaux l'effondrement de ces nations.
Sous-titres automatiques anglais ou français disponibles sur Youtube
Si les Suisses disent oui à la votation populaire qui aura lieu le 17 mai, à la demande de l’UDC, ce sera un séisme bien pire que le vote anti-minarets de 2009 ! Il s’agit de résilier, rien que ça, l’Accord sur la libre circulation des personnes avec l’Union européenne !
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Comme partout en Europe, et bien que les Suisses ne fassent pas partie de l’UE (ils avaient dit non en 1992), les dirigeants signent des accords particuliers, bidouillent, traînent des pieds pour appliquer le vote des citoyens qui les dérange. Et tout ça pour qu’il y ait toujours plus d’immigrés et d’islam en Suisse et que les Suisses soient de plus en plus engagés, tenus, ligotés… par des accords internationaux et notamment européens.
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C’est ainsi que, bien que, en 2014, les Suisses aient dit majoritairement oui à la question : faut-il des quotas annuels de migrants, la Fédération avait mis des années à mettre en application la loi et avait réussi à l’édulcorer pour la rendre quasiment nulle et non avenue. Les dirigeants suisses et l’UE faisant feu des 4 fers pour que les votations disparaissent…
Nous aussi, nous avons nos lois qui, sous couvert de lutte contre la discrimination, sont utilisées pour empêcher les patriotes de dire la vérité à leurs concitoyens, en particulier sur les réalités et les conséquences de l’immigration, une immigration planétaire de masse dont nous savons qu’elle déstructure nos identités et nos traditions à nous, pays, peuples d’Europe, une immigration de masse dont nous savons aussi qu’elle est le vecteur essentiel, presque unique de l’islamisation de nos pays. Par un retournement hélas prévisible, ces lois sont aujourd’hui utilisées contre nous, patriotes d’Europe, par ceux qui défendent les lapideurs, les égorgeurs. Même en Suisse, en Suisse comme ailleurs, il est devenu dangereux de ne pas dire à quel point l’islam est une religion d’amour et de paix.
[…]
Mais voici que cet outil de la démocratie directe est menacé.
Il l’est d’abord de l’intérieur. Car le système n’aime pas ce qui dérange son fonctionnement, pour ne pas dire son ronronnement ; le système, en réalité, n’aime pas vraiment le peuple, car le peuple dérange ; paradoxalement, dans notre démocratie, le peuple, c’est parfois l’intrus. D’aucuns s’emploient donc à faire taire le peuple en rendant plus difficile l’usage de la démocratie directe, les uns en réclamant l’augmentation du nombre de signatures nécessaires, les autres en demandant un contrôle préalable de la constitutionnalité des initiatives (il y aurait alors celles qu’on aurait le droit de déposer et les autres…).
[…]
L‘autre menace qui pèse sur notre démocratie directe, c’est l’Union européenne. C’est l’UE qui nous dit que nous n’avons pas le droit de nous défendre contre l’immigration de masse, que nous n’avons pas le droit d’expulser les étrangers criminels (comme le peuple l’a aussi voulu). Depuis la votation contre l’immigration de masse, l’UE exerce des pressions terribles sur la Suisse pour que celle-ci édulcore ou même pour qu’elle n’applique pas ce que le peuple a voulu. C’est que les bureaucrates de Bruxelles n’ont pas l’habitude de compter avec le peuple. Leur habitude, c’est d’imposer leur loi dans tout l’Empire, tout seuls, sans nous citoyens. En parallèle, les dirigeants suisses semblent prêts à conclure avec l’UE des accords sur des questions institutionnelles, en clair à accepter d’abandonner des pans entiers de notre démocratie directe, donc de notre souveraineté et de notre liberté d’expression politique.
Puisque les initiatives, même acceptées par le peuple, se heurtent systématiquement à de prétendus obstacles tirés du droit international et notamment européen, le dernier rempart qui pourrait permettre aux Suisses d’espérer échapper à la tutelle de l’UE est en train d’être dressé, une fois de plus, par l’UDC : nous venons en effet de lancer une nouvelle initiative qui, cette fois-ci, demande (sous réserve du droit international impératif) que l’on réaffirme la primauté du droit suisse, de notre droit, sur le droit international. Voilà une belle bataille en perspective, une de plus.
Une leçon qu’il faut tirer de tout cela, une leçon qui concerne tous les peuples d’Europe, c’est que notre combat pour conserver ou restaurer nos identités passe nécessairement par le démantèlement non pas bien sûr de l’Europe, mais de l’Union européenne (pour autant que celle-ci n’implose pas toute seule…) ; pour ceux qui n’y sont pas comme nous Suisses, ce combat passe par le courage de ne jamais accepter de nous noyer dans ces chimères mondialistes. L’Europe des peuples doit remplacer la bureaucratie de Bruxelles.
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Ce que Jean-Luc Addor annonçait il y a 5 ans arrive donc.
Le 17 mai prochain, les Suisses vont voter pour exiger de leur gouvernement qu’il négocie la fin de « l’Accord sur la libre circulation des personnes » conclu avec Bruxelles en 1999 et même pour que la Suisse dénonce unilatéralement cet accord en cas d’échec des négociations.
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Panique à bord au gouvernement suisse (et à Bruxelles ) qui a commencé une campagne encore plus intense qu’en 2009, et comme en 2009 tous les medias suivent… invitant tous les immigrationnistes, tous les europhiles, tous les islamophiles… à venir expliquer au bon peuple de Suisse que, s’ils votaient oui, ce serait la fin de la dictature de l’UE de la Suisse. C’est que, si la Suisse dénonce unilatéralement le fameux traité, ce sera aussi la fin des autres accords bi-latéraux conclus avec l’UE, comme Schengen et Dublin.
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Je fais confiance à nos amis de l’UDC pour démontrer allègrement – avec les exemples français et allemands notamment- que et Schengen et Dublin sont des horreurs, un piège à con innommable et que la Suisse gagnerait énormément à être débarrassée de ce poids. Mais qui dit information dit militants nombreux, dit moyens financiers énormes pour faire de la pub quand on est diabolisé. Et l’UDC est autant diabolisé que le RN !
Bon courage, amis suisses, on vous encourage et on vous regarde. Chaque peuple qui se libère de ses mauvais dirigeants et/ou des mauvais traités signés par ces derniers c’est un espoir pour les autres de pouvoir, un jour, faire pareil.
25. septembre 2019, Albert Rösti, conseiller national, Uetendorf
Tous les partis sauf l’UDC ont refusé aujourd’hui au Conseil national que la Suisse gère de manière autonome l’immigration sur son territoire. En clair, le PS, les Verts, le PLR, le PDC, le PVL et le PBD acceptent les conséquences désastreuses de l’immigration démesurée que subit la Suisse – juste pour bien se faire bien voir de l’UE. Ecoutez et regardez la vidéo (en allemand) de l’intervention du conseiller national Albert Rösti, président de l’UDC Suisse, au Conseil national.
« Je suis une fois de plus contraint de procéder à des corrections et des rectifications. Je commence mon exposé par trois constats, car plusieurs intervenants dans ce débat ont sciemment donné de fausses informations – comme c’est d’ailleurs la coutume dans cette thématique.
Pénurie de main-d’œuvre qualifiée: si le peuple approuve l’initiative de limitation, la Suisse a de nouveau la possibilité de recruter toute la main-d’œuvre qualifiée dont elle a besoin dans les pays où elle est disponible, soit notamment en Asie et aux Etats-Unis. Les contingents de professionnels provenant d’Etats tiers ont été volontairement réduits, Monsieur Pardini. Cela n’a strictement aucun rapport avec l’initiative de limitation qui n’empêche nullement le recrutement de professionnels qualifiés.
On a prononcé des mots comme isolation et xénophobie. Lorsque nous encourageons l’immigration en faisant venir des étrangères et des étrangers qui ne trouvent pas d’emploi et qui finissent dans l’aide sociale, ce n’est pas leur problème. Nous donnons de fausses incitations, nous déplaçons le problème sur les étrangers qui résident déjà chez nous et qui sont poussés dans le chômage. Vous connaissez les chiffres. Cela n’a rien à voir avec l’isolation. La Suisse a toujours été ouverte au monde, également avant 2006 lorsqu’elle gérait encore elle-même l’immigration.
Accords bilatéraux ou gestion de l’immigration: il serait temps de renoncer à prononcer de telles inepties! Il existe environ 120 accords bilatéraux. On parle toujours d’accords bilatéraux. Mais quel est l’accord le plus important? L’accord de libre-échange, mais celui-ci n’est pas menacé. Les autres 120 accords ne le sont pas non plus. La clause de la guillotine ne vaut que pour six accords et ces six accords ne sont pas du tout décisifs pour l’économie suisse. Vous le savez parfaitement. L’UE aura d’ailleurs tout intérêt, au cas où l’initiative de limitation est acceptée, de se monter conciliante et elle renoncera à la clause de la guillotine en moins d’un an. L’accord bilatéral sur les transports permet aux poids lourds UE de traverser la Suisse a très bon compte. L’accord bilatéral sur l’agriculture permet à l’UE de vendre son fromage en Suisse. Quant à la recherche scientifique, voulons-nous vraiment nous aligner sur la médiocrité de la recherche UE? Les EPF méritent mieux, elles qui font partie des dix meilleures universités du monde et se mesurent aux meilleures institutions de Grande-Bretagne et des Etats-Unis. Les obstacles techniques au commerce? Je cite l’exemple de la branche de la technique médicale qui a parfaitement su surmonter ce problème.
Cessez de multiplier les mauvais prétextes et proposez enfin des solutions utiles! Je n’ai entendu aucune proposition valable dans ce débat sur la manière de freiner une immigration d’un million d’étrangers en 13 ans. Si cette immigration se poursuit durant les 15 années à venir, nous aurons à l’issue de cette période une Suisse à 10 millions d’habitants. Nos infrastructures ne le supportent pas. Notre système de santé ne le supporte pas. Notre système social ne le supporte pas. Vous n’avez strictement aucune idée de la manière dont la Suisse pourra résoudre ces problèmes.
Une telle immigration est surtout dangereuse pour la paix sociale dans notre pays. Les plus de 50 ans ont toujours plus de mal à trouver un emploi. Même le Conseil fédéral et vous en particulier, Madame la Conseillère fédérale, avez fini par l’admettre. Vous reconnaissez le problème, mais vous tentez de le cacher à coups de centaines de millions de francs, le prix de la rente pont que vous proposez. Votre campagne contre l’initiative de limitation sera la campagne de votation la plus chère de tous les temps. Vous voulez cacher ce problème avec une rente pont tout en demandant aux femmes de travailler une année de plus et continuer de faire entrer en Suisse une main-d’œuvre jeune et bon marché.
Monsieur Pardini, comment voulez-vous concilier ces projets contradictoires? Les gens veulent du travail, les salariés de plus de 50 ans veulent du travail et non pas une rente. Il est à mon avis proprement scandaleux de lancer un projet qui coûtera des centaines de millions de francs juste pour tenter de couper l’herbe sous les pieds de cette initiative tout en refusant de régler le problème de la main-d’œuvre bon marché qui afflue en Suisse. Je vous invite donc à soutenir cette initiative. Vous également, Monsieur Siegenthaler qui défendez la biodiversité. J’ai du mal à comprendre comment un paysan peut accepter sans sourciller le bétonnage de milliers d’hectares de terrain. »
Conférence de presse du Comité pour une immigration modérée, le 16 janvier 2017
L'ASIN et l'UDC ont lancé hier à Berne dans le cadre d'une conférence de presse la récolte de signatures pour l'initiative de limitation. Près d'un million de personnes ont immigré en chiffre net en Suisse depuis l'entrée en vigueur de la libre circulation des personnes. Une Suisse à 10 millions d'habitants sera donc bientôt une réalité avec les conséquences dramatiques que l'on imagine pour notre société. La raison en est un accord irréaliste conclu avec l'UE sur la libre circulation des personnes qui donne à plus de 500 millions de citoyennes et citoyens UE le droit d'immigrer et de s'établir en Suisse. Il n'existe au monde aucune autre nation indépendante qui a abandonné à tel point le contrôle de l'immigration sur son territoire. Il faut que le peuple suisse corrige cette situation avant qu'il ne soit trop tard et que la prospérité de notre pays ne soit irrémédiablement perdue.
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Depuis quelques années l'immigration en Suisse échappe à tout contrôle. Elle n'est absolument plus à l'avantage de la population résidante. Avec son initiative de limitation, l'UDC entend ramener cette immigration à un niveau raisonnable. De plus, ce projet interdit à la Confédération de conclure avec d'autres pays, voire avec un continent entier comme dans le cas de l'UE, un accord de libre circulation qui donne à des populations entières le droit d'immigrer en Suisse et les place sur un pied d'égalité avec les résidants.
Il faudra à cet effet renégocier l'accord correspondant avec l'UE ou le résilier si aucune entente ne peut être trouvée. Seule une décision du peuple donnera au Conseil fédéral la fermeté et l'appui nécessaires pour agir dans ce sens. Si nous ne prenons pas cette décision aujourd'hui, nous ne reconnaîtrons bientôt plus notre pays et nous perdrons définitivement la prospérité que nous avons acquise au fil de plusieurs générations. Il n'est pas tolérable que plus de 500 millions de citoyennes et de citoyens UE aient le droit d'immigrer et de s'établir librement dans un petit pays comme la Suisse.
Il va de soi que nos entreprises doivent pouvoir continuer de recruter de la main-d'œuvre qualifiée à l'étranger si réellement elles en ont besoin et si les personnes idoines n'existent pas sur le marché du travail national. Cette procédure fonctionne aujourd'hui parfaitement moyennant des contingents avec les ressortissants d'Etats non-membres de l'UE. La Suisse doit à nouveau pouvoir décider souverainement combien et quel genre d'immigration elle admet chez elle. Ce principe va de soi pour toute nation indépendante et il explique aussi pourquoi les Britanniques ont décidé de quitter l'UE.
Voilà la seule manière de garantir qu'à l'avenir la population et chaque citoyen individuellement profitent effectivement en termes économiques d'une immigration modérée et que le même "gâteau" ne doive pas être partagé avec un nombre croissant d'immigrants. Grâce à l'initiative sur la limitation, le peuple suisse donnera au Conseil fédéral un mandat clair et net et adressera aussi un message explicite à Bruxelles: cette nuisible libre circulation des personnes doit cesser ou la Suisse résilie l'accord correspondant.
Le texte de l'initiative est libellé comme suit:
Art. 121b Immigration sans libre circulation des personnes
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1La Suisse règle de manière autonome l’immigration des étrangers. 2Aucun nouveau traité international ne sera conclu et aucune autre nouvelle obligation de droit international ne sera contractée qui accorderaient un régime de libre circulation
des personnes à des ressortissants étrangers.
. 3Les traités internationaux et les autres obligations de droit international existants ne pourront pas être modifiés ni étendus de manière contraire aux al. 1 et 2.Art. 197 ch. 12 2 12. Disposition transitoire ad art. 121b (Immigration sans libre circulation des personnes)
. 1Des négociations seront menées afin que l’Accord du 21 juin 1993 entre la Confédération suisse d’une part, et la Communauté européenne et ses Etats membres, d’autre part, sur la libre circulation des personnes cesse d’être en vigueur dans les douze mois qui suivent l’acceptation de l’art. 121b par le peuple et les cantons.
. 2Si cet objectif n’est pas atteint, le Conseil fédéral dénonce l’accord visé à l’al. 1 dans un délai supplémentaire de 30 jours.
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La définition suivante ne fait pas partie du texte de l'initiative, mais est incluse dans la documentation/l'argumentaire accompagnant l'initiative: Libre circulation des personnes au sens de l'alinéa 2 de l'initiative de limitation signifie notamment accorder à un nombre indéterminé de personnes un droit de séjourner ou d'exercer d'une activité économique ou de produire des prestations de service sur le territoire de la Suisse ou d'accorder aux étrangers les mêmes conditions de vie, d'emploi et de travail que celles dont bénéficient les nationaux..Pour plus d'information:
Sur l’immigration de masse qui submerge le continent européen en provenance de l’Afrique et du Moyen-Orient, les grands médias français taisent la complicité des ONG liées aux puissances financières visant à l’homogénéisation de peuples déracinés. En témoigne leur silence sur la colère des autorités italiennes au sujet des organisations non-gouvernementales qui participent délibérément au transport d’êtres humains depuis les côtes d’Afrique vers l’Europe, à la suite de la publication d’un rapport de l’agence Frontex.
La décision prise aujourd'hui par le Conseil fédéral de renoncer à opposer un contreprojet à l'initiative "RASA", qui vise à annuler la décision du peuple contre l'immigration de masse, et d'en recommander le rejet au Parlement répond à la volonté de l'UDC. Accepter cette initiative serait en effet poursuivre l'immigration de masse incontrôlée. Les contreprojets envisagés dans un premier temps par le Conseil fédéral auraient eu le même effet.
Le refus de cette initiative confirme en revanche la nécessité de restreindre l'immigration. Le Parlement ayant décidé l'inverse en approuvant une loi qui viole la Constitution fédérale, l'UDC demande que le mandat du peuple et des cantons soit enfin appliqué. La Suisse doit gérer et limiter de manière autonome l'immigration sur son territoire. La Constitution fédérale prévoit à cet effet des plafonds, des contingents et une véritable préférence nationale, un concept qui a fait ses preuves en Suisse entre 1970 et 2007. L'article constitutionnel, que le peuple et les cantons ont approuvé en février 2014, met fin à la libre circulation des personnes qui prévaut actuellement.
L'UDC continuera de se battre pour que l'article constitutionnel sur la gestion de l'immigration soit appliqué au niveau de la loi. Conséquence de la libre circulation des personnes et de la politique d'asile, la Suisse a subi depuis 2007 une immigration nette d'environ 800 000 personnes, chiffre qui équivaut à la population du canton de Vaud.
L'Office fédéral de la statistique a publié la statistique des étrangers 2016. Qui s'en étonnera? L'immigration a continué de progresser l'an passé, nonobstant les déclarations inverses du département Sommaruga. La population de la Suisse s'est accrue en 2016 de 90 600 personnes au total.
Le 26 janvier 2017, le Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM) a écrit textuellement ce qui suit dans un communiqué de presse: "Pour la troisième année consécutive, l’immigration étrangère en Suisse est à la baisse. L’année passée, le solde migratoire était de 60 262 personnes, soit 15 % de moins qu’en 2015."
La réalité est différente
L'Office fédéral de la statistique (OFS) chiffre en revanche le solde migratoire de 2016 à 81 600 personnes[1]. La différence est simple à expliquer: l'OFS fait un compte correct en incluant les personnes du secteur de l'asile qui séjournent depuis plus d'une année en Suisse. Le SEM, lui, exclut tout simplement ces personnes comme s'il ne s'agissait pas d'étranger. Une preuve de plus que le département Sommaruga prend les citoyens pour des imbéciles.
Croissance de la population égale immigration
Dans la statistique de l'excédent de naissances (différence entre les naissances et les décès), à peine 2800 sur le total de 21 000 sont à mettre sur le compte des Suissesses et des Suisses[2]. En prenant également en considération le solde migratoire négatif des Suisses, on constate que la croissance démographique de 90 600 personnes enregistrée l'an passé provient exclusivement de l'immigration. Les 39 200 Suisses supplémentaires sont quasiment tous des naturalisés.
Nous vivons tous les jours les conséquences de cette immigration de masse: stress dû à la promiscuité, bouchons, hôpitaux et classes d'école bondés, explosion des charges de l'assurance-maladie et de l'aide sociale et de plus en plus de Suisses de plus de 50 ans au chômage.
Il est grand temps de démasquer le mensonge de la nécessité économique d'une immigration aussi exorbitante alors que la qualité de la vie ne cesse de baisser. La politique confuse et irresponsable menée dans le domaine de l'asile et des étrangers nuit à la Suisse. L'immigration provenant principalement de la "libre circulation des personnes" avec l'UE, cet accord nuisible doit être adapté ou résilié. L'UDC y travaille et elle présentera ses propositions cet été.
Un sentiment sérieux de déjà vu ailleurs sur ce qui se passe maintenant en Suisse.
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Confrontés à la démesurée et catastrophique expérimentation sociale d’immigration de masse de l’UE germanisée et merkelisée, des pays de l’Europe de l’Ouest ont décidé de favoriser, à travers le multiculturalisme, les différences entre divers groupes ethniques et idéologiques, au détriment de l’unité nationale de leurs Etats-nations. Ce multiculturalisme nie l’identité et la souveraineté nationales, prône aussi bien l’absence d’une quelconque identité sociale centrale et essentielle que l’amour des autres jusqu’au mépris des siens, ce qui ouvre la porte à un futur et dangereux pluralisme juridique dont des juges-prêtres, droit-de-l’hommistes et épris de pouvoir, se réjouissent.
Cette immigration de masse actuelle en l’Europe est une colonisation par des musulmans et des Africains soit des populations de civilisations, d’histoire, de comportements sociaux, de cultures si ce n’est d’incultures, de vertus, tous différents et inégaux des nôtres; de plus ils vivent dans des temporalités bien éloignées des nôtres. Expérience a été faite maintes fois dans l’histoire que seuls des Etats-nations, forts, puissants et caractérisés par un fort nationalisme pluriculturel et un nationalisme ouvert au monde et aux accords internationaux peuvent trier et accueillir des immigrants et faire en sorte qu’ils s’assimilent et aiment leur pays d’accueil, soit leur nouvelle patrie.
L’histoire humaine nous enseigne qu’il n’a jamais été facile d’accepter nos différences: « L’hostilité d’une tribu pour une autre figure parmi les réactions humaines les plus instinctives » comme l’a rappelé l’historien américain Arthur Meier Schlesinger (1917-2007). Un moyen de surmonter cette hostilité naturelle consiste à créer un point commun de référence, trop souvent par le passé ce fut un ennemi commun; comme la Suisse l’a démontré, forte identité nationale, loyauté nationale et amour de la patrie communs sont certainement un meilleur choix pour le long terme. La loyauté nationale est le fondement collectif de l’état de droit, d’un gouvernement démocratique et d’un peuple souverain. C’est elle qui donne à chacun le sentiment d’appartenance à une nation souveraine dans laquelle des étrangers méritants peuvent être les bienvenus, évidemment à la condition qu’ils fassent l’effort de s’assimiler.
Les questions aujourd’hui sont:
Que doit-on exiger des immigrants pour qu’ils fassent l’effort de s’assimiler chez nous?
Jusqu’à quand tolérerons-nous la mise en place de sociétés parallèles et d’un autre état dans notre Etat-nation démocratique et civilisé?
N’est-il pas plus opportun d’exiger avec fermeté que tous les immigrants accueillis fassent l’effort de s’assimiler dans notre Etat-nation?
Jusqu’à quand permettrons-nous de compromettre notre cohésion sociale et l’allégeance prioritaire à notre État-nation pour évoluer à tort vers une société constituée de plusieurs groupes qui s’opposent à notre identité nationale et ne s’identifient souvent pas les uns aux autres?
Malheureusement, l’état d’esprit multiculturaliste de l’UE et de tant d’Européens a tellement changé nos sociétés européennes de culture judéo-chrétienne et greco-romaine. Ces nouvelles minorités extra-européennes n’auraient plus le devoir de s’assimiler mais le droit de s’inclure chez nous sans aucun effort, de maintenir leur propre culture/inculture, de nous l’imposer, afin finalement de nous coloniser. Tant l’amour de la diversité, l’amour des autres et le mépris des siens, des traditions et des vertus nationales que l’inversion des valeurs sont grande mode. De plus la gauche, toujours extrême et guerrière, nous manipule pour nous faire croire que l'islam serait une « religion » de paix et de tolérance comme le catholicisme et le protestantisme, qu’elle est même une « religion » de «peuple de couleur» et donc une « religion » opprimée par nous qui serions de méchants petits blancs racistes et égoïstes. Par conséquent, les musulmans et les Africains auraient besoin de et mériteraient protection, indulgence, passe-droits, allocations spécialement généreuses pour bénéficier, sans contre-partie évidemment, d’un niveau de vie beaucoup plus élevé que les recrues de notre armée de milice. En réalité, l’islam, loin d'être une « religion » des opprimés, est une idéologie arrogante de domination et de soumission, soit une « religion » pas du tout comme les autres. Déjà Alexis de Tocqueville (1805-1859) estimait qu’il fallait s’abstenir « pour des milliers de raisons » de désigner par le même mot de « religion », le catholicisme, le judaïsme et l’islam.
Bien que des enquêtes de la télévision musulmane Al-Jazeera affirment que des centaines de millions de musulmans ont des croyances radicales et soutiennent la guerre sainte contre les «infidèles», donc que le bassin de recrutement de terroristes musulmans et de moudjahids est immense, des élus, des médias, des angéliques et des idiots utiles dont même des dévots catholiques et protestants persistent à considérer les guerriers sans uniforme de al-Qaïda, DAESH, etc, et les terroristes musulmans, comme une perversion passagère et d’exceptionnels faux-pas de quelques musulmans, bref juste quelques mauvaises pommes, plutôt que comme l’interprétation et l’application stricte et dévote des textes «sacro-saints » de l’islam-idéologie par des musulmans pratiquants relativement nombreux. Ce déni de la réalité et du contenu du coran et des autres textes musulmans « sacro-saints » est une manipulation mensongère et représente un grave danger pour l’Occident. La gauche et des élus sont prêts à mentir, désinformer, manipuler, diffamer et détruire pour défendre leur cause immigrationiste multiculturaliste parce qu’ils sont imprégnés de l'idée que ce qu’ils font avec la main sur le coeur, évidemment en dépensant l’argent des autres, est noble et généreux, émotion valorisante qui plait à tant d’angéliques et d’idiots utiles, même au pape Francisco Bergoglio. Petit à petit, ils ont fait que les Etats-nations européens passent d’un idéal d’émancipation d’immigrants qui font l’effort de s’assimiler à un Etat-nation vers un réel de discrimination des autochtones et un Etat-nation exploité par des immigrants extra-européens.
Ce multiculturalisme que l’on voit à l’oeuvre depuis une génération en France, en Angleterre, en Allemagne, en Suède, etc, ne conduit pas à l’assimilation, ni même à l’intégration mais permet, si ce n’est sanctifie, l’inclusion d’immigrants et conduit à une ségrégation qui de multiculturelle est devenue multiconflictuelle. Ce multiculturalisme permet à des communautés d’individus étrangers de vivre de manière séparée, sans les inciter à s’assimiler, tout en les poussant à pratiquer une ségrégation sociale, en se distinguant avec ostentation et exigences croissantes, en se dissociant du reste de la société. Tout particulièrement par la communautarisation musulmane, ce multiculturalisme immigrationiste a débordé du domaine privé sur la vie publique. Il est même devenu ostentatoire sur la voie publique, dans les entreprises et dans les établissements de formation, du jardin d’enfants à l’université. Le multiculturalisme dit vouloir promouvoir la tolérance; tout au contraire, dans les pays comme la France, l’Allemagne ou la Suède qui, sans réfléchir ni consulter leur peuple, ont choisi de participer à cette expérimentation sociale démesurée et catastrophique de l’immigration de masse, les peuples se sont fragmentés et sont devenus bien plus intolérants et racistes qu’ils ne l’étaient auparavant, ce qui était prévisible. Ce multiculturalisme et sa soit-disante tolérance sont devenus multiconflictuels. La prise de position de l’anglais Pat Condell, «A Word To The Criminal Migrant » est excellente et résume la situation avec un certain humour noir. La voici :
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Voilà où nous ont amenés les défenseurs du multiculturalisme, de l’immigration ni choisie ni au mérite et du mondialisme, ces universitaires, élus nationaux, technocrates bruxellois, juges-prêtres qui se prennent pour le Souverain, angéliques, idiots et dévots utiles. Voilà pourquoi le multiculturalisme est devenu le thème majeur de désaccord politique dans des Etats-nations européens qui ont perdu leur souveraineté et le restera jusqu’à ce que nos gouvernements réaffirment la souveraineté nationale de nos Etats-nations, leur identité nationale, l’amour de la patrie, contrôlent avec rigueur leurs frontières et célèbrent le retour des nations souveraines en Europe.
Assemblée des délégués au Châble (VS): le conseiller national Jean-Luc Addor explique les raisons pour lesquelles le groupe estime qu'il faut renoncer au référendum contre la loi révisée sur les étrangers.
Des ministres l’affirment : l’immigration de masse est à l’origine des attentats… malheureusement, comme on peut s’en douter, ce ne sont pas des ministres français, belges ou allemands qui ont reconnu cette évidence, même si tous les attentats islamiques depuis Charlie Hebdo ont été commis par des immigrés musulmans, des enfants d’immigrés musulmans ou des « réfugiés » musulmans fraîchement arrivés.
La Commission des institutions politiques du Conseil national (CIP-CN) commence aujourd'hui jeudi l'examen de l'application de l'article constitutionnel approuvé par le peuple et les cantons pour la gestion de l'immigration. Le projet d'application du Conseil fédéral est en contradiction avec le mandat constitutionnel qui exige la prise en compte des intérêts économiques généraux de la Suisse, des plafonds et des contingents annuels ainsi qu'une gestion autonome de l'immigration.Pour l'UDC, l'application de l'initiative contre l'immigration de masse, donc une gestion autonome de l'immigration entraînant une sensible réduction du nombre d'immigrants, est clairement prioritaire. Les membres UDC de la commission ont donc déposé 24 propositions pour corriger le projet partiellement anticonstitutionnel du Conseil fédéral. Les interventions de l'UDC se fondent sur le concept d'application que l'UDC a déjà présenté en mai 2014.Mandat clair et net des citoyennes et citoyens Le nouvel article 121a est entré en vigueur à la suite de l'acceptation de l'initiative contre l'immigration de masse le 9 février 2014. Il formule les exigences suivantes:1La Suisse gère de manière autonome l’immigration des étrangers.2Le nombre des autorisations délivrées pour le séjour des étrangers en Suisse est limité par des plafonds et des contingents annuels. Les plafonds valent pour toutes les autorisations délivrées en vertu du droit des étrangers, domaine de l’asile inclus. Le droit au séjour durable, au regroupement familial et aux prestations sociales peut être limité.3Les plafonds et les contingents annuels pour les étrangers exerçant une activité lucrative doivent être fixés en fonction des intérêts économiques globaux de la Suisse et dans le respect du principe de la préférence nationale; ils doivent inclure les frontaliers. Les critères déterminants pour l’octroi d’autorisations de séjour sont en particulier la demande d’un employeur, la capacité d’intégration et une source de revenus suffisante et autonome. (…)
Cette disposition constitutionnelle formule un mandat clair et net à l'adresse du Parlement en vue de la mise en œuvre d'une législation d'application.
Des contingents pour réduire l'immigration La Constitution fédérale exige des plafonds et des contingents annuels conformément au régime actuellement en place pour les immigrants provenant desdits Etats tiers (Etats hors UE). Le projet d'application du Conseil fédéral, qui prévoit une "valeur seuil" maintenant la libre circulation des personnes jusqu'à une valeur fixée par le Conseil fédéral, est en contradiction évidente avec la disposition constitutionnelle. S'agissant des frontaliers, il faut accorder aux cantons une souplesse maximale afin de leur permettre de tenir compte des besoins régionaux.
Préférence nationale – ne pas privilégier l'UE La préférence nationale, donc la priorité donnée aux personnes en quête d'un emploi qui travaillent et qui vivent déjà en Suisse, est d'une importance capitale face à la forte augmentation du chômage. Le recensement suisse de la main-d’œuvre du 1er trimestre 2016 indique que le nombre de chômeurs étrangers vivant en Suisse (128 000) dépasse pour la première fois non seulement en valeur relative, mais aussi en valeur absolue le nombre de chômeurs suisses (121 000). Il s'agit aussi, par le biais de la préférence nationale, de protéger les travailleurs âgés et moins bien qualifiés vivant dans notre pays. Pour l'UDC, il est aussi important d'empêcher les recours abusifs aux institutions sociales et de ramener le regroupement familial à un niveau supportable.
La libre circulation des personnes remise en question L'UDC invite le Parlement à respecter la Constitution et les délais qui y sont fixés. Les dispositions transitoires de l'article constitutionnel 121a exigent en effet une nouvelle négociation des traités de droit public qui sont en contradiction avec la Constitution (donc l'accord sur la libre circulation des personnes) et l'application des nouvelles dispositions jusqu'au 9 février 2017. Si l'UE ne veut pas négocier, la Suisse doit exécuter unilatéralement le mandat constitutionnel. La situation est claire aux yeux de l'UDC. L'UDC mesurera toutes les propositions soumises à la commission parlementaire à l'aune de leur efficacité en vue d'une réduction marquée de l'immigration. En revanche, elle rejette toute extension des mesures d'accompagnement qui affecte le marché du travail libéral et menace l'emploi.
Informations supplémentaires:
Albert Rösti, président du parti : 079 255 88 56
Gregor Rutz, conseiller national : 079 220 54 39
Jean-Luc Addor, conseiller national: 078 824 36 64
Trevor Phillips, célèbre écrivain et homme de télévision britannique d’origine guyanaise et d’orientation travailliste, affirme dans un document d’une centaine de pages publié par le think-tank Civitas que la Grande-Bretagne se dirige, tel un somnambule, vers une catastrophe en raison de l’immigration de masse.
La constitution de la Hongrie interdit l’islamisation car le texte fondamental vise à protéger la langue et la culture hongroise, a déclaré le Premier ministre Viktor Orban.
“Pour être parfaitement clair et sans équivoque, je peux dire que l’islamisation est constitutionnellement interdite en Hongrie” a assuré le chef du gouvernement hongrois lors d’un événement pour les cinq années de la nouvelle constitution, également connue sous le nom de “Loi Fondamentale”.
M. Orban a également déclaré que la constitution contraignait le gouvernement à s’opposer à tout immigration de masse qui “mettrait en danger ces principes”.
Le chef du gouvernement a cité des extraits du la “Loi Fondamentale” assurant que celle-ci garantissait “la promotion et la protection de notre héritage, de notre langue unique, de la culture hongroise” ainsi que la protection des “conditions de vie des futures générations”.
“Nous avons le droit de choisir avec qui nous voulons et avec qui nous ne voulons pas vivre avec” a encore martelé M. Orban.
Sources : abcnews.go.com , breizatao.com , via civilwarineurope.com
Dans son message publié aujourd'hui le Conseil fédéral ne répond toujours pas à la question de savoir si et comment il veut concrètement appliquer la disposition constitutionnelle sur la gestion et la limitation de l'immigration. Il est pourtant plus urgent que jamais d'agir. Le gouvernement ne dit pas comment la clause de sauvegarde permettrait de baisser notablement l'immigration. En fait, il tente de renvoyer la réponse à ces questions au niveau de l'ordonnance. On ne sait donc toujours pas si le Conseil fédéral veut mettre en place une solution efficace alors que le mandat constitutionnel l'y contraint très clairement. Pour l'UDC, il est central que l'immigration soit rapidement et sensiblement réduite. Les instruments nécessaires à cet effet, le contingentement et la préférence nationale, figurent explicitement dans l'article constitutionnel approuvé par le peuple et les cantons. L'UDC continuera d'exiger également au niveau parlementaire le strict respect de notre Constitution fédérale.
Il est incompréhensible et inacceptable aux yeux de l'UDC que le Conseil fédéral refuse de détailler et de concrétiser son projet d'une clause de sauvegarde. On ne peut s'empêcher de penser que par ce procédé il cherche à se réserver la possibilité de fixer le seuil d'activation de la clause de sauvegarde à un niveau si élevé que l'immigration ne sera finalement pas freinée. Le Parlement ne peut ainsi évaluer l'effet de cette clause et en débattre sérieusement. Concrètement, le Conseil fédéral renvoie ainsi au niveau de l'ordonnance les éléments clés de la gestion et de la limitation de l'immigration. Conséquence: le Parlement est appelé à prendre une décision concernant une législation dont il ne connaît même pas approximativement l'effet restrictif sur l'immigration.
Pour qu'une discussion utile puisse être menée sur un tel modèle, le Conseil fédéral doit immédiatement présenter un projet d'ordonnance jetant les bases de la future limitation afin que le Parlement puisse décider en connaissance de cause. Faute de quoi on est forcé d'admettre que le Conseil fédéral continue de refuser de baisser l'immigration, donc d'appliquer le mandat constitutionnel. Pour l'UDC, il est évident que l'application de la disposition constitutionnelle doit se baser sur le contingentement et la préférence nationale, système qui a fait ses preuves avant l'introduction de la libre circulation des personnes et que la Constitution fédérale actuelle prescrit. Le concept proposé en mai 2014 par l'UDC se base également sur ces éléments. L'UDC poursuivra sur cette voie au Parlement.
Non à de nouvelles mesures d'accompagnement
L'UDC rejette en outre avec détermination de nouvelles "mesures d'accompagnement" qui réduisent massivement la liberté sur le marché du travail. La Suisse abandonne ainsi un de ses principaux atouts dans la concurrence internationale. Il faut absolument éviter que le Parlement entre en matière sur de nouvelles mesures d'accompagnement.
Si le Conseil fédéral et le Parlement empêchent l'application fidèle de la décision du peuple en faveur d'une gestion et d'une limitation autonome de l'immigration ou s'ils font dépendre cette décision d'un éventuel veto de l'UE, l'UDC n'hésitera pas à lancer une initiative populaire exigeant la résiliation de l'accord de libre circulation des personnes.
La Suisse doit se redonner une perspective européenne, estime le PS
"La Suisse finira par trouver une solution pour appliquer l'initiative contre l'immigration de masse", estime le président du Parti socialiste Christian Levrat mais, selon lui, ce ne sera pas la fin des problèmes avec l'UE.
Berne peine à s'entendre avec Bruxelles pour mettre en oeuvre l'initiative du 9 février 2014. Pour le PS, il faut analyser toutes les relations bilatérales et réfléchir à la perte de souveraineté nationale.
C'est l'une des priorités 2016 annoncées mercredi par le Parti socialiste lors de son traditionnel apéritif des médias pour l'Epiphanie.
Pour Christian Levrat, les milieux économiques se trompent en croyant qu'il faut uniquement trouver une solution pour appliquer l'initiative.
La clause unilatérale de sauvegarde proposée par le Conseil fédéral en décembre risque de geler pour des décennies toute discussion sur la politique européenne, a-t-il relevé.
Adopter une "vision à long terme"
Seul un accord cadre chapeautant tous les accords bilatéraux permettra d'éviter des accords figés et perdant de la valeur.
La Suisse risque une perte de souveraineté, mais il faut aborder cette question avec une vision à long terme. Le PS ne défendra pas forcément l'adhésion à l'UE, "il faudra en discuter", a précisé son président. Cela dépendra aussi de la direction vers laquelle évoluera l'Union.
Le président tchèque Miloš Zeman (photo) a qualifié la crise migratoire “d’invasion organisée” et annoncé l’inévitable déploiement de l’armée tchèque aux frontières du pays.
“Ce n’est pas spontané”
En marge d’un déplacement dans la ville de Pardubice, le chef de l’état tchèque a déclaré :
“L’immigration est une invasion planifiée dont le but est de briser la structure sociale, culturelle, économique et politique de l’Europe. C’est bien organisé. Ce n’est pas spontané. Le temps va venir où l’armée tchèque devra intervenir pour défendre les frontières de la République Tchèque.”
Ces propos font suite à ceux de Viktor Orban qui a lui-même accusé le milliardaire juif américain, lié à la CIA, de planifier l’invasion de l’Europe (lire ici). Ce que Soros a ensuite reconnu http://breizatao.com/wp-admin/edit.php(source), en déclarant :
“Son plan fait de la protection des frontières nationales l’objectif et des migrants l’obstacle. Notre plan fait de la protection des migrants notre objectif et des frontières nationales l’obstacle”.
Le rôle de la banque Goldman Sachs dans l’invasion migratoire
Les propos du président tchèque font écho à l’annonce de l’arrêt de l’aide aux réfugiés dans les camps de l’ONU du Liban et de Jordanie. Un arrêt inexplicable qui a déclenché le départ immédiat de 300 000 migrants musulmans pour l’Europe.
Un développement brutal qui correspond au projet d’immigration massive défendu par Peter Sutherland, conseiller spécial auprès du Secrétaire Général de l’ONU pour les migrations internationales. Cet ancien commissaire européen à la Concurrence, responsable de la banque Goldman Sachs et dirigeant de Commission Trilatérale et du Groupe Bilderberg, a ainsi déclaré vouloir importer 1 million de migrants par an en Allemagne pendant 30 ans pour éviter un effondrement financier des banques exposées aux fonds de pension allemands (lire ici).
Il a en outre exigé de l’Italie, du Portugal et de l’Espagne qu’ils suivent une politique migratoire identique.
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