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Canton de Genève: Le cap des 100’000 frontaliers franchi en 2016
Leur nombre a crû de 8,7% en un an. La plupart des frontaliers vivent en Haute-Savoie (74%) et dans l'Ain (19%).
Le cap des 100'000 personnes étrangères titulaires d'un permis frontalier (permis G) a été dépassé pour la première fois dans le canton de Genève en juillet 2016, selon l'Office cantonal de la statistique. Elles étaient 104'272 à fin décembre, soit 8,7% de plus que l'année précédente.
La Suisse devra payer pour les chômeurs frontaliers
La Commission européenne veut mettre à jour les règles du chômage pour les travailleurs transfrontaliers. Ce changement de cap pourrait coûter plusieurs centaines de millions de francs à Berne.
La Suisse compte plus de 314'000 travailleurs transfrontaliers, selon le journal. Ces derniers paient actuellement des cotisations de chômage dans le pays où ils sont employés, mais, s'ils sont licenciés, ils perçoivent les indemnités de chômage essentiellement de leur pays d'origine. La Suisse verse des indemnités aux frontaliers durant cinq mois au maximum. Avec le projet de l'UE, elle devrait les payer plus longtemps dans beaucoup de cas. Ce qui rendrait le pays encore plus attractif pour les travailleurs étrangers.
Genève: Frontaliers haut-savoyards toujours plus nombreux
Le nombre de pendulaires venus de Haute-Savoie (F) a augmenté de 7,5% en un an et s'élevait à plus de 89'000 en 2016.
La Haute-Savoie (F) comptait 6249 frontaliers de plus en 2016 que l'année précédente. La répartition de la compensation financière genevoise, votée mardi matin par le département français, permet de connaître précisément la localisation de ces travailleurs, indiquait mercredi la «Tribune de Genève». En tout, leur nombre s'élevait cette année à 89'366, soit 7,5% de plus qu'en 2015. Les détenteurs d'un permis frontalier (G) étaient 76'027, tandis que les Suisses et les binationaux installés en Haute-Savoie ont leur nombre s'établir à 13'339.
Rappels:
Immigration de masse: La préférence indigène tombe aussi à l’eau pour satisfaire l’UE
Genève a franchi en juillet les 100’000 permis frontaliers
L'effectif des travailleurs étrangers actifs dans le canton et domiciliés en France voisine a augmenté de 5,5% en un an.
L'information ressort anonymement de la statistique cantonale qui nous apprend qu'à la fin du mois dernier, le canton comptait 100'403 permis G, dont 61% ont été délivrés à des hommes et 75% à des Hauts-Savoyards (19% viennent de l'Ain).
Ce nombre ne comprend ni les Suisses installés en France voisine qui travaillent à Genève, ni les fonctionnaires internationaux.
Suisse: Paris refuse de livrer les informations sur les antécédents judiciaires des frontaliers
Depuis peu, la France refuserait de livrer des informations sur les antécédents judiciaires de frontaliers appelés à travailler sur des sites sensibles, comme Cointrin.
Genève: Aux TPG, les frontaliers sont plus souvent malades que les résidents
Un rapport interne met le doigt sur un chiffre politiquement sensible: le taux d’absentéisme est de 20% supérieur parmi le personnel domicilié en France. Les Transports publics genevois tentent de comprendre et de corriger le tir.
Source
Embauche frontalière: «Là, on se fout de ma gueule!»
Le conseiller d'Etat Mauro Poggia réagit vivement au recrutement, par la Fondation Clairbois, de deux frontaliers à la place de candidats genevois.
Frontaliers à Genève. La barre des 100’000 permis frontaliers sera franchie cet été
Fin mars, le nombre de frontaliers étrangers en activité était exactement de 82'392, soit 5500 de plus en un an (+7,2%)
Si la tendance observée par l'OCSTAT depuis le début de l'année se maintient, la barre des 100'000 permis frontaliers (permis G) sera franchie cet été à Genève. Fin mars, 98'485 personnes bénéficiaient du sésame, dont 82'392 exercent une activité dans le canton.
A ce chiffre s'ajoutent les frontaliers genevois qui n'ont pas besoin de permis de travail ainsi que les fonctionnaires internationaux qui ne figurent donc pas dans cette statistique.
Tout comme le nombre des frontaliers étrangers en activité s’est accru de manière importante en une année: à la fin mars 2016, ils étaient exactement 82'392, soit 5500 de plus qu’en mars 2015 (+7,2%). Il faut remonter à 2013, indique StatistiqueGenève, pour observer une croissance relative supérieure. A l'échelon du pays, la progression annuelle au premier trimestre 2016 atteint 3,7 %.
Un frontalier sur quatre travaille à Genève. Le Tessin compte 62'647 frontaliers. Par rapport à la population résidente respective des deux cantons, la part des frontalier représente 17,6% au Tessin et 16,9% à Genève.
Neuchâtel: Offres d’emploi que pour les frontaliers? Pas illégal!
Un élu du Grand Conseil s'est plaint mercredi du fait que de plus en plus d'entreprises du canton «ne publient leurs offres d'emploi que dans la presse française», rapportent jeudi «L'Express» et «L'Impartial».
L'accord sur la libre-circulation des personnes prévoit en effet que les ressortissants de l'Union européenne puissent travailler en Suisse sans que l'Etat n'ait d'autorisation à délivrer. Seules l'éthique et/ou les possibilités économiques des employeurs entrent en ligne de compte.
Suisse: Les entreprises engagent beaucoup plus de frontaliers et le chômage augmente
La main d'oeuvre de frontaliers a le plus augmenté au 4e trimestre 2015 parmi les travailleurs étrangers en Suisse. Le taux de chômage (BIT) atteint 4,7%.
Une enquête dévoilée ce jeudi matin par l'Office fédérale de la statistique (OFS) indique que les travailleurs frontaliers font partie des employés étrangers dont la part a le plus augmenté entre le 4e trimestre 2014 et 2015.
Le taux de chômage en Suisse selon la définition du Bureau International du Travail (BIT) est passé de 4,1 à 4,7% sur la période considérée.
Les employeurs suisses se découvrent des montagnes d’arriérés d’impôts frontaliers
Selon un règlement européen, des entreprises genevoises doivent payer les charges sociales de certains salariés résidant en France. Ceci, au barème hexagonal et depuis 2012. Panique dans le secteur privé lémanique, où quasi personne n’a rien vu venir
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Appliquer le mandat constitutionnel au lieu de poignarder le Tessin dans le dos
L'UDC invite le Conseil fédéral à ne pas poignarder dans le dos le canton du Tessin dans l'affaire des frontaliers, mais à appliquer enfin le mandat constitutionnel de limitation et de gestion de l'immigration. Le nouvel article contient tous les instruments nécessaires pour régler ce problème.
Le nombre de frontaliers venant de l'UE en Suisse a plus que doublé depuis 1995, passant de 144 000 à plus de 290 000 actuellement. Le canton du Tessin est particulièrement touché puisque entre-temps plus de 26% de tous les salariés sont des frontaliers. L'éviction de la main-d'œuvre indigène et une forte pression sur les salaires sont les conséquences inévitables de ce phénomène. Il est parfaitement normal dans ces conditions que le canton du Tessin prenne des mesures de défense. On en dira autant des précautions prises pour empêcher que des étrangers délinquants s'installent dans le canton. Depuis le mois d'avril dernier, le Tessin exige des demandeurs d'un permis de séjour un extrait du casier judiciaire.
L'Italie proteste avec véhémence contre ces mesures. L'ambassadeur suisse à Rome a été convoqué par le ministère italien des affaires étrangères. Les criminels italiens doivent eux aussi profiter de la libre circulation des personnes! Rome proteste bruyamment contre la décision du Tessin de ne pas accorder de permis de séjour à des délinquants italiens. Ce serait contraire à l'accord de libre circulation des personnes. La Suisse ne peut expulser un étranger que s'il a commis un délit en Suisse. En revanche, elle doit admettre les Italiens tombés dans la délinquance en Italie.
L'accord de libre circulation des personnes prévoit certes que pour des motifs de sécurité il est permis de déroger au principe de la libre circulation, mais, selon l'Italie, il ne serait pas permis d'examiner l'éventuelle atteinte à la sécurité publique d'une personne demandant un permis de séjour. Des politiques italiens exigent de la Suisse de remettre à l'ordre le Tessin et menacent de recourir auprès de la Cour de justice UE. Voilà des tentatives d'intimidation pour le moins curieuses de la part d'un pays qui se moque d'accords internationaux comme le traité de Dublin et qui recourt à toutes les mesures chicanières possibles et imaginables pour empêcher des entreprises artisanales suisses de s'installer en Italie.
Le Conseil fédéral doit enfin agir
Il est exact que le Conseil fédéral doit agir. Cependant, il ne doit pas céder aux pressions italiennes, mais donner enfin au Tessin les moyens de s'attaquer efficacement aux problèmes que pose l'afflux d'Italiens. L'article constitutionnel approuvé par le peuple et les cantons le 9 février 2014 donne au Conseil fédéral tous les instruments nécessaires pour gérer l'afflux de frontaliers en fonction des besoins des différentes régions. Les frontaliers sont en effet explicitement mentionnés dans le texte constitutionnel. Les besoins en main-d'œuvre ne sont pas mêmes au Tessin qu'en Suisse orientale ou à Bâle.
L'UDC a donc fait des propositions d'application concrètes qui donnent aux cantons une souplesse suffisante. Il s'agit maintenant de les réaliser rapidement:
- imposer aux frontaliers des contingents séparés qui doivent être répartis chaque trimestre entre les cantons et qui sont adaptés de manière souple (tampon pour compenser les variations conjoncturelles);
- réintroduire des zones frontalières desquelles les habitants peuvent travailler en Suisse en tant que frontaliers (des frontaliers venant par ex., de Pologne ou du sud de l'Italie ne seraient plus autorisés);
- les personnes séjournant toute la semaine en Suisse ne sont plus considérées comme frontaliers (des exceptions dûment motivées seraient possibles, les autres devraient demander un permis ordinaire L ou B);
- la durée du permis de travail est également limitée pour les frontaliers;
- la préférence nationale s'applique aussi lors de l'engagement de frontaliers;
- le canton fixe le pourcentage maximal de frontaliers par entreprise (par ex., 50%).
Des élus français dénoncent une inégalité de traitement envers les frontaliers
Le Conseil d’Etat genevois veut plafonner à 500 francs par an les déductions fiscales liées aux frais de déplacement. Quatre députés de Haute-Savoie et de l’Ain protestent.
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Un nouveau passeport ? Prière d’aller à Lyon!
Les Suisses établis à l’étranger ne peuvent plus obtenir de documents d’identité à Genève. Tollé et explications.
«C’est nul! On travaille à Genève, on y paie nos impôts, et nous voilà forcés d’aller à Lyon pour refaire nos papiers.»
Après l’euphorie, l’inquiétude des frontaliers
Franc fort - Les entreprises réfléchissent aux moyens de rester compétitives, notamment par des baisses de salaires ou du chômage partiel.
Après la joie, le doute: alors que les frontaliers travaillant en Suisse ont vu leur pouvoir d'achat bondir de près de 20% mi-janvier avec l'appréciation du franc, certains craignent un retour de bâton avec des conséquences sur leur emploi.
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L’Autriche met en garde contre les contingents
Quelque 8200 frontaliers autrichiens travaillent en Suisse. Les conséquences de l'initiative sur l’immigration de masse inquiètent le ministre autrichien du travail.
Introduire des contingents pour les frontaliers autrichiens n'est pas dans l'intérêt de la Suisse, estime le ministre autrichien du travail Rudolf Hundstorfer. Si la Suisse limitait le nombre de travailleurs étrangers, cela poserait vraiment des problèmes à l'Autriche, selon lui.
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Tessin : discrimination à l’embauche
Discriminés dans notre propre pays :
"On recherche du personnel frontalier".
Ci-dessous une annonce publiée sur le site http://www.tutti.ch/tessin-fr dans laquelle on demande du personnel frontalier.
Et là, on n'entend pas la gauche toujours si prompte à hurler sur les discrimination contre les frontaliers...
Cher Alberto, ayez un peu de respect à l'égard des milliers de Tessinois et de résidents qui sont au chômage et qui cherchent désespérément un emploi. Sinon, changez de travail si vous ne voulez vraiment pas payer un salaire digne à vos employés.
Source en italien (trad. pour lesobservateurs.ch par D. Borer)
La barre des 11 000 frontaliers frôlée à Neuchâtel
Le nombre de frontaliers a légèrement augmenté au deuxième trimestre 2014 dans l'Arc jurassien. Leur nombre frôle désormais les 11 000 dans le canton de Neuchâtel (+240) et a dépassé les 7000 dans le canton du Jura (+217), selon les chiffres publiés hier par l'Office fédéral de la statistique.
C'est à La Chaux-de-Fonds que l'augmentation est la plus forte, avec une centaine de frontaliers en plus en trois mois, à 4130 personnes.
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Tessin : impôts des frontaliers reversés à l’Italie
Les impôts des frontaliers actifs au Tessin seront reversés à l'Italie malgré les fortes pressions exercées par la Lega.
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