RTS/Forum: overdose d’écolo-démence

RTS/Forum, 6.08.2021, Mehmet Gultas et Thibaut Schaller

Les pro-climat manifestent à Berne contre les investissements de la BNS

Interview d’Eric Jondeau, professeur de finances à l’UNIL, auteur d’une étude sur le bilan carbone du portefeuille de la BNS.

Résumés et commentaires: Cenator

Gultas fait son ouverture – tout est réglé, prévisible,  comme dans un air d’opéra:

- Les «activistes» du climat étaient environ 1500 pour dénoncer la BNS qui investit dans les énergies fossiles, qui ne décarbone pas suffisamment son portefeuille à leurs yeux.

Voici le schéma du papier à musique:

Les Pastèques s’agitent, la RTS court pour faire leur publicité, puis un gauchiste entre en scène pour clore l’affaire et déverser leur façon de penser comme la vérité incontestable.

Le professeur Eric Jondeau, homme de Gauche, va délibérer pour savoir si les activistes ont raison ou non de bringuer contre la BNS, bringue baptisée «désobéissance civile».
Le choix de la RTS est tombé sur cette personne, un gauchiste tout à fait interchangeable avec d'autres professeurs spécialistes en éthique climatique, pour nous dire ce que nous devons croire et penser quant à la culpabilité de la BNS et de la Suisse en général.

Nous apprenons que la BNS, en 2020, sans mandat spécifique, s’est déjà séparée de ses mines de charbon pour se décarboner, mais que ce n’est pas suffisant.

La BNS a un mandat très précis, p. ex. ne pas investir dans les armements, mais il n’y a rien sur le climat. Et les militants, les professeurs militants climatistes veulent la contraindre à exclure de son portefeuille les entreprises qui ne correspondent pas à leurs lubies.

Le professeur, spécialiste en décarbonatation, explique que la BNS pourrait, à peu de frais, réduire son empreinte carbone pour un investissement plus durable : il suffirait d’enlever certaines entreprises, représentant à peine 20% de la valeur du portefeuille (une bagatelle !), pour réduire l’empreinte carbone de 20%.
Puis en l’espace d’une phrase, le professeur dit que le portefeuille décarboné serait moins diversifié, sans que la performance soit touchée, puis se contredit en affirmant qu’on peut maintenir à peu près la même diversification (3:30).

Gultas : Et surtout, ce serait bénéfique pour l’image de la BNS à long terme.

Le professeur pointe alors le doigt sur le problème du mandat de la BNS. Si la BNS est plus frileuse sur la question de réduire son empreinte carbone, c’est que ce n’est pas dans son mandat.
En ce moment, réduire les émissions carbone, c’est prioritaire, mais je pourrais aussi... certains diront que réduire les inégalités salariales hommes-femmes c’est important, maintenir une biodiversité, c’est important.

Inégalités, oui, mais le professeur trouve fondamental de travailler sur les émissions de carbone, qu’il faudrait réduire.

Gultas demande alors si le Parlement devrait modifier le mandat de la BNS pour qu’il soit plus conforme aux idéaux des Verts.

Oui, le professeur à l’UNIL a fait une publication et des recommandations en ce sens en collaboration avec l’École polytechnique et l’IMD.

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/les-pro-climat-manifestent-a-berne-contre-les-investissements-de-la-bns-interview-deric-jondeau?id=12382981ta

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Qui sont ces «activistes»? (vidéo 6:23)

Eric Felley:

[...] L’action «Rise Up for Change», qui regroupe les mouvements de la Grève climatique suisse, du Collectif justice climatique ou encore d’Extinction Rébellion, a pris fin vendredi à Berne sur la Münsterplatz et devant la Banque nationale suisse. [...]

source: https://www.msn.com/fr-ch/actualite/other/les-activistes-du-climat-visent-la-banque-nationale-suisse/ar-AAN0Zbg

L' ONG d’extrême gauche «Rise Up 4 Change» , à l’instar des Antifa, d’Extinction Rebellion, etc.  exploite elle aussi la malléabilité d’une jeunesse occidentale baignée dans le politiquement correct depuis l'enfance, mais avec une couverture plus bisounourse.

Ils ont des ateliers et des camps d’entraînement, comme toutes ces ONG internationales qui embrigadent la jeunesse en quête de croyances et de valeurs.

Voici comment l’ONG «Rise Up 4 Change» se présente:

[...] CE QUE COUVRE NOTRE ATELIER

Rise Up 4 Change, Inc. a pour objectif de prévenir la violence et la délinquance tout en promouvant l'autosuffisance. Nous leur enseignons le développement positif des jeunes, la santé et le bien-être, le développement de la main-d'œuvre, le renforcement de la famille, la littératie financière et l'établissement d'objectifs. [...]

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Sarah Koller, l’écopsychologiste de 34 ans qui ne veut pas d’enfant par peur de polluer

Et voici le clou de l’émission de ce vendredi: La RTS a consacré une série d’une semaine à la convergence des luttes de la Gauche, sous le titre de «Convergences». La cinquième personne «fascinante» que la série présente, c’est Sarah Koller, une chercheuse en écopsychologie de 34 ans.

Elle a la voix de Vera Weber, elle parle comme Vera Weber, elle vient de la même région que Vera Weber, elle est de la même génération que Vera Weber, elle pense comme Vera Weber, mais ce n'est pas Vera Weber.

Actuellement, on parle de «same face» à propos des hommes trans qui font de la chirurgie esthétique pour ressembler à une femme, et se retrouvent tous avec les mêmes têtes.

Notre époque abonde également en «same mind», avec un mental copié-collé, des Occidentaux Blancs totalement hors sol, qui reçoivent actuellement énormément d’attention de la part de nos médias, tellement ces personnes remplissent bien leur rôle d’idiots utiles.

Dernier épisode: «Convergences» (5/5) - Sarah Koller, qui lutte pour l'écologie et la santé mentale

Sarah Koller a donné rendez-vous à l’équipe de la RTS à Saint-Sulpice, où elle a passé son enfance dans une maison familiale au bord du lac.

Son élan pour la vie, selon l’auto-décryptage de son inconscient, vient de cette proximité de son enfance avec le lac.

Journaliste : Qu’est ce qui fait que vous prenez conscience et vous vous dites :  je veux m’engager pour l’environnement ?

Madame a fait un bachelor en psychologie et elle est partie vivre au Canada. En colocation avec quelqu’un qui travaillait pour Greenpeace, qui n’allumait jamais le chauffage en plein hiver canadien, et son sacrifice a déclenché chez Sarah Koller sa passion «climatiste» et ses angoisses pour la planète.

Après ses études de psychologie, elle a refait des études de sciences avec un master en Sciences de l’environnement (une branche des Sciences humaines), avec un masters degree (c’est la deuxième personne interviewée du jour provenant de l’université de Lausanne de cette émission).
Puis Sarah Koller est devenue écopsychologue, ce qui lui permet de comprendre les liens fondamentaux qu’il y a entre notre santé individuelle et la santé de la planète. (Ndlr : Au moins 10 ans d’études pour cela, en plus de ce qu’elle va coûter et nuire à la collectivité jusqu’au-delà de sa retraite.)

Il y a une interaction, explique l’écopsychologue: si la santé individuelle va mal, la planète va aussi mal et vice versa.

Sa maman lui a offert un livre de Joanna Macy, Ecopsychologie pratique (le  fruit tombe rarement loin de l’arbre).
Dans les études de psychologie, il n’y avait pas de cours spécifique dédié à l’écologie, Sarah Koller a découvert enfin ce qui lui manquait.

Ce livre proposait des stages pour gérer les émotions catastrophistes par rapport aux angoisses climatiques.
Elle pouvait enfin partager en groupe ses souffrances et cela l’a réconciliée avec l’espèce humaine, «parce que j’avais souvent honte d’être humaine».

Sarah Koller se sentait, par rapport à son entourage, trop sensible aux soucis climatiques pour la planète, trop catastrophiste.

Après cette réunion de sept jours, la vie de Sarah Koller a changé. Cela l’a sortie d’une vision sacrificielle du militantisme.

Elle a mis de côté le fait d’avoir une relation de couple suivie, d’avoir des enfants. Je n’ai pas d’enfant et je pense que je n’en aurai pas. C’est un choix qui est venu petit à petit mais qui est lié aussi à ces enjeux écologiques.

Avant, j’avais l’impression d’être trop sensible par rapport à ces enjeux, mais petit à petit, dit Sarah Koller, j’ai déconstruit toutes les croyances que j’avais sur une bonne vie épanouie, qu’il fallait avoir des enfants, une famille, et comprendre que j’avais en moi des envies, des aspirations aussi légitimes que ce que je pouvais imaginer comme légitime en grandissant.
Donc en déconstruisant tout ça, ça m’a permis d’aussi penser à moi, tout en pensant au vivant, vu que j’étais vivante. En fait les deux vont absolument ensemble (5:49). Cela transforme mon combat vers d’autres activités.

Cependant, au bout d’un moment, Sarah Koller était épuisée et souvent découragée par l’inertie du système, qui ne perçoit pas l’urgence et l’énormité des changements à faire, on est dans les petits pas.

A présent, elle compose de la musique écologique pour se ressourcer et pour un partage militant artistique plus large.

Koller a appris comment continuer à vivre avec ses choix au-delà du regard des gens.

 

«Mon contact avec le vivant m’a beaucoup aidée, parce que cela a constitué aussi un socle pour déconstruire les repères culturels, qui sont aussi en train de s’effriter aujourd’hui.»

Sarah Koller dit vivre très au présent avec ses soucis environnementaux, elle n’est pas prête à avoir une famille.

«Parce que j’ai beaucoup de mal à imaginer le futur. Je l’imagine parfois assez sombre. Parfois plein d’opportunités, mais très incertain.»

La protection du vivant à travers des chansons touche au-delà des discours moralisateurs.

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/convergences-55-sarah-koller-qui-lutte-pour-lecologie-et-la-sante-mentale?id=12382985

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Le débat - Les pharmas profitent-elles de la pandémie?

- Patrick Durisch, responsable de la politique de santé au sein de l'ONG Public Eye,
- Michèle Sierro, porte-parole d'Interpharma - l’association des entreprises pharmaceutiques suisses actives dans la recherche,
- Cynthia Racine, cheffe de la rubrique économique à la RTS radio.

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/le-debat-les-pharmas-profitent-elles-de-la-pandemie?id=12382992

 L'ONG Public Eye fonctionne en Suisse comme un parti politique. Notre service public la traite également comme telle, comme s’il était normal qu’une organisation subventionnée veuille changer nos institutions, se dresser en juge moral sur le fonctionnement des entreprises privées, sans avoir le devoir d’en assumer, bien entendu,  une quelconque conséquence.
Orban, lui, refuse que son pays soit sous l’influence des activistes de gauche,  qui s’annoncent comme ONG.
Il n’y a que la manière d’Orban pour aborder le problème de ces ONG internationales qui font de la politique: c’est de les interdire, afin de pouvoir préserver la démocratie et l'indépendance.

Euphorie à la RTS: Joe Biden est élu président des États-Unis, les médias américains l’ont annoncé

RTS info: - Joe Biden a remporté la course à la Maison Blanche face à Donald Trump, ont annoncé samedi les médias américains. Cette victoire marque un tournant historique pour les Etats-Unis et le monde, après quatre années de rupture sous le président républicain.

- Après quatre jours de suspense, le candidat démocrate et ancien vice-président de Barack Obama a été donné vainqueur avec 273 grands électeurs, grâce à un succès dans l'Etat-clé de Pennsylvanie, selon les chaînes CNN, NBC et CBS. Il va devenir le 46e président des Etats-Unis.

- Le candidat démocrate a aussi dépassé le républicain sortant Donald Trump dans le Nevada et en Géorgie, mais un recomptage se profile dans cet Etat. A contrario, le républicain se rapproche de Joe Biden en Arizona.

- Une bataille juridique semble toutefois se dessiner, puisque le président sortant dénonce, sans preuves, des "fraudes".

source: https://www.rts.ch/info/monde/11732837-joe-biden-est-elu-president-des-etatsunis-annoncent-les-medias-americains.html

> Les résultats en temps réel:  Présidentielle américaine: point de situation sur nos graphiques

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Depuis le 4 novembre, la RTS a vaguement parlé des accusations de fraude, mais elle affirme que toutes ces accusations sont sans fondement, et même ridicules: Trump est simplement un mauvais perdant.

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RTS : A 17h30, les médias ont annoncé en grande pompe que Joe Biden est élu 46e président des USA, y compris Fox News et le Washington Post.

Raphaël Grand, journaliste militant anti-Trump, envoyé spécial de la RTS pour couvrir les élections, répond aux questions posées sur un ton très enjoué par Tania Sazpinar.

Trump ne reconnaît pas sa défaite pour le moment, mais même autour son entourage s’est désolidarisé de lui, seule résiste une minorité irréductible, dont ses fils.

Lien vers l'audio: https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/joe-biden-est-elu-president-des-etats-unis-annoncent-les-medias-americains?id=11717035

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Joe Biden élu président des Etats-Unis: les réactions de Marie-Christine Bonzom et Daniel Warner

Interview de Marie-Christine Bonzom, politologue, journaliste, spécialiste des Etats-Unis, et de Daniel Warner, politologue, spécialiste des Etats-Unis, démocrate.

Lien vers l'audio: https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/joe-biden-elu-president-des-etats-unis-les-reactions-de-marie-christine-bonzom-et-daniel-warner?id=11717036

Exemple de question de Tania Sazpinar: "C'est la fin pour vous d'une attente interminable?"

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Résumé Cenator

Médias et Politique. RTS, débat sur la libre circulation : il est venu, le temps des manipulateurs…

Saluons d’emblée Kevin Grangier, qui se bat de toutes ses forces contre nos ennemis – car ici, on ne peut plus parler d’adversaires.

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Forum 15.09.2020 – Présenté par Mehmet Gultas et Thibaut Schaller

Débat entre Cristina Gaggini d’Economiesuisse,

Pierre-Yves Maillard de l’Union syndicale suisse,

Marco Chiesa de l’UDC,

Kevin Grangier de l’Action pour une Suisse indépendante et neutre.

Ndlr : Notons l’ordre des intervenants évoqué par la RTS ci-dessus, les initiants en dernier...

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Première partie : La perspective d’une Suisse à 10 millions d’habitants

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/debat-sur-la-perspective-dune-suisse-a-10-millions-dhabitants?id=11587041

En clair, le problème de la surpopulation.

Résumé des enjeux selon Marie Giovanola, correspondante de la RTS à Berne. C'est la phase du prélavage, avant le lavage principal. 

MG : Nous serons bientôt 10 millions.
La responsable, selon l’UDC, est la libre circulation en vigueur depuis 2002. Ce spectre avait déjà été agité par l’UDC en 2014. Pourtant, le solde migratoire avec l’UE a diminué de plus de moitié.

Et les priorités du peuple suisse sont différentes, ce sont maintenant les primes maladie et le climat.

En plus, les 10 millions, c’est dans 20 ans.

Les partisans de la libre circulation disent que celle-ci contribue à la prospérité.
Nous avons ainsi la main-d’œuvre dont nous avons besoin. La population vieillit.

L’initiative menacerait les relations avec nos voisins.

Toute la voie bilatérale serait en danger en cas de OUI.

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Mehmet Gultas donne le ton du débat avec sa première question à l’UDC :

– En quoi c’est un problème une Suisse à 10 millions d’habitants ? Vous nous resservez les arguments des années 70 : La barque est pleine ?

Le débat n’est pas encore commencé que déjà nous sommes en plein schéma pavlovien : UDC => Schwarzenbach => xénophobie =>haine envers les braves saisoniers qui construisent notre pays => UDC fascistes => les rebuts d’un autre temps=> vous devez votez Non.

Marco Chiesa : On nous a menti en 2002, pour la votation sur la libre circulation. Il arrive dix fois plus de monde par année…

Il sera ensuite interrompu par un « C’est exact, mais… »

Les arguments de Marco Chiesa sont bons mais cela ne suffit pas face à un char d’assaut soviétique comme PYM, qui est avantagé par la RTS en temps de parole, servi avec des questions orientées tout au long de l’émission, et qui n’est jamais interrompu ni « corrigé ». 
PYM maîtrise l’art de la persuasion sur le bout des doigts, il est venu pour défendre son bifteck avec la représentante du patronat, les deux sont d’une perfidie sans limite, se permettant de dire absolument tout.

Cristina Gaggini a de toute évidence été conseillée avant le débat par le PS, car elle reprend les arguments habituels du PS. Probablement, PYM et Cristina Gaggini se sont préparés ensemble, ils ne sont pas seulement assis côte à côte. On peut reconnaître le style de Maillard dans la bouche de Gaggini durant le débat.

Quant à l’UDC, elle aurait dû envoyer dans l’arène deux gladiateurs entraînés. Par la force des choses, seul Kevin Grangier dispose des munitions nécessaires pour la bataille. Avec sa maîtrise parfaite du français, son esprit vif et percutant, il arrive tant qu'il peut à s’imposer face aux hyènes. 

Lorsque l’UDC part dans un combat sur le terrain de l’ennemi, où pièges, croche-pieds, humiliations et coups bas sont attendus, il faudrait poser des conditions avant le débat, ou si ce n’est pas possible, simplement ne pas y aller et faire des communiqués de presse ensuite pour diffuser sur les réseaux sociaux les raisons de ce refus.

 

PYM : Il n’y aura pas de problème de surpopulation s’il y a un aménagement de territoire qui accompagne l’augmentation de la population.

Maillard réussit donc à présenter comme une solution ce qui est en réalité une partie du problème : un bétonnage accru du territoire.

Maillard parle dès le début sur un ton plus fort, plus affirmé que les autres intervenants. Maillard n’a pas de doutes, il n’a que des certitudes, des solutions. 
Et lorsque Kevin Grangier va l’affronter avec des arguments implacables, il va mimer l’énervement. L’effet bulldozer est garanti.

Le plan Maillard est rodé, il le ressert partout, il n’a guère changé durant ses 25 ans de carrière.
Le principal angle d’attaque, ce sont les accusations perverses contre l’UDC, quel que soit le sujet, c’est la marque de fabrique Maillard.
Ici, par exemple, s’il y a un problème de surpopulation, c’est la faute de l’UDC, qui serait contre l’aménagement du territoire…
Puis PYM rajoute un exemple mensonger/ autoglorificateur/ abracadabrant (selon les cas), sur un ton bulldozer, pour « prouver » ses dires.
– Deuxième angle d’attaque : les exemples invérifiables :
PYM : « Un élu UDC dans sa commune privilégie l’installation de villas très chères plutôt que de logements locatifs, c’est une façon d’utiliser le sol qui n’est pas très rationnelle. »

Jamais les journalistes de la RTS ne vont stopper les adversaires de l’UDC s’ils répondent à côté. Ces apparatchiks n’ont qu’un objectif : que les invités UDC soient mis K.O. lors du débat.

Est-ce que vous pensez que c’est trop gros pour que le peuple marche ?
Regardez alors les résultats des votations des 10 dernières années ! Regardez les foules, hypnotisées par des inepties, que la gauche arrive à mobiliser dans la rue et les urnes !
Oui, à force de diaboliser sans cesse l’UDC, on arrive à ce que les gens l’assimilent à un sorte de repoussoir. Qui n’a pas encore entendu dans son entourage la phrase : « Je ne vais quand même pas voter UDC ! »

 

PYM : « La question centrale est la suivante » et il répète le mantra déjà mille fois dégurgité sur les plateaux de la RTS : Dans 20 ans, il y aura 800’000 retraités en plus, au total 4,5 millions de personnes qui ne travailleront plus ou pas encore… Il faut financer cette population. Est-ce que l’UDC veut la destruction d’un million de places de travail ? Est-ce qu’elle veut la retraite à 70 ans ?

Kevin Grangier démontre que ce raisonnement est une imposture, car il demanderait une augmentation de la population sans fin, il faut toujours plus d’actifs pour financer les non-actifs en nombre croissant. (Les actifs « importés » auront aussi des enfants, ils vieillissent aussi et deviendront des retraités à leur tour.)

PYM balaye l’argument de Kevin Grangier : « Les arbres ne montent pas jusqu’au ciel », ça va bien s’arrêter un jour.
Remarquons l’usage chez Maillard de la sagesse populaire. Même si c’est une réponse crétine, il s’en sert habilement comme instrument de manipulation.

Kevin Grangier veut continuer mais sera interrompu. Mehmet Gultas le rappelle à l’ordre :
« La question du débat, c’est notre retraite. »
Kevin Grangier rappelle que le sujet du débat n’est pas la retraite mais la libre circulation.

Vif échange. Kevin Grangier se bat tant qu’il peut. Mais pour Mehmet Gultas, si PYM a décidé que le sujet, c’est la retraite, ce sera la retraite !

Intermède totalement biaisé avec l’exposé de Marie Giovanola, pour relativiser les effets démographique de la libre circulation. Seuls 2/3 viennent de l’UE, 1/3 des États tiers.

Cristina Gaggini parle de la qualité de vie et vient avec un exemple tordu à son image : En 1929, nous étions 2 millions et la qualité de vie était sensiblement inférieure.

Mais Madame Gaggini, au Néolithique on vivait aussi moins bien qu’à l’Âge du bronze ! Partout dans le monde, la richesse a augmenté ces 20 dernières années. La révolution numérique a amené des richesses jamais connues auparavant. La grande pauvreté est en disparition, et le niveau de vie a augmenté en Chine, en Russie, en Inde, en Mongolie... cela n’a rien à voir avec la libre circulation.

Cristina Gaggini : Les milieux économiques sont inquiets de la pénurie de main-d’œuvre. Et Gaggini dépeint une situation catastrophique qui aurait régné durant la période des contingents qui a précédé la libre circulation.

Finalement, Gaggini sort de ses gonds d’une manière très théâtrale et attaque l’UDC. On voit ici clairement la patte « Maillard ».

Cristina Gaggini : Le pire, pour un parti de droite, c’est que ce soit l’État qui définisse combien de travailleurs peuvent venir… En plus, il y a eu une baisse de 50% du taux d’immigration depuis 2014.

Cette femme sait parfaitement que 20 millions de chômeurs de l’UE ne demandent qu’à venir en Suisse, que nous traversons une crise sans précédent, mais elle est sans scrupules, malhonnête et ne pense qu’à défendre son lobby Economiesuisse.
Elle a un profond mépris pour le peuple suisse.

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2e partie - L’impact de la libre circulation sur l’économie suisse

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/debat-autour-de-limpact-de-la-libre-circulation-sur-leconomie-suisse?id=11587042

Programme de prélavage par Guillaume Meier, RTS :
La libre circulation a entraîné une poussée démographique et la Suisse en a fait son miel (sic !). Plus de gens = plus de ventes. La Suisse a connu une croissance économique depuis 2002, ce qui prouve le lien entre libre circulation et croissance. Est-ce que, par habitant, cela augmente le bien-être ? La majorité des économistes affirment que oui. En plus, il n’y a pas d’impact négatif sur les salaires, qui augmentent de 0,8% par année. Même si la concurrence existe, même au Tessin, la situation sur le plan du chômage est bien meilleure.

Kevin Grangier demande si ses adversaires n’exagèrent pas lorsqu’ils affirment que la fin de la libre circulation tuerait l’économie.

Cristina Gaggini : Nous ne disons absolument pas que cela tuerait l’économie suisse, mais que ça serait un coup fatal (sic !).
Et Cristina Gaggini ajoute que l’Université du Tessin – qui n’est pas à la botte d’Economiesuisse – a dit qu’il n’y a pas de lien direct entre la libre circulation et l’éviction des Tessinois.
(Hélas, chaque université en Suisse latine est gangrénée par des gauchistes mondialistes.)

 

Mehmet Gultas : Le SECO dit que le bilan de la libre circulation est positif, les bénéfices dépassent largement les coûts. Ne serait-il pas insensé d’abandonner cette source de prospérité ?

Nous nous demandons comment Gultas peut s’autoriser à poser des questions à ce point orientées.


Marco Chiesa commence à prouver,
 chiffres à l’appui, ce qu’est le dumping salarial, mais PYM va l’interrompre rapidement, ensemble avec Cristina Gaggini, et Mehmet Gultas se met avec eux à lui couper la parole.

PYM s’impose aussi lorsqu’il est attaqué sur sa position : le fait qu’un syndicaliste, défenseur des travailleurs, lutte main dans la main avec Economiesuisse, et contre l’UDC. PYM fait semblant de comprendre que le problème serait d’être assis à côté de Gaggini : « Je suis assis à côté de qui je veux, je viens ici avec mes convictions, je dis ce que j’ai à dire, sans m’occuper ce que disent les autres. »

Mehmet Gultas se hâte à son secours et l’encourage : Allez-y PYM ! Comme si PYM attendait son autorisation pour intervenir lorsque bon lui semble.

PYM : Maintenant, la chose principale… on entend M. Chiesa ici nous faire un descriptif apocalyptique de la situation sociale.
Et en habile contorsionniste, PYM va saisir l’occasion pour égrener de nouveau la litanie de ses mérites sur les mesures d’accompagnement, suivie d’attaques contre l’UDC, la bataille de sa vie. Le ton de Maillard monte, il donne l’impression d’être au paroxysme de son énervement.

PYM : C’est cela qui se cache derrière l’enjeu de leur volonté d’abolir la libre circulation. Il y a un mot d’ordre, c’est d’abolir les mesures d’accompagnement. Ç’a été dit par la famille Blocher. Vous croyez que dans le secteur agricole les électeurs de l’UDC n’ont pas engagé des Kosovars au noir pendant des années ? Ils engagent… (PYM hurle) et même des élus UDC… des travailleurs polonais. Ces messieurs engagent des immigrés, des étrangers, ils en ont besoin. Mais ce qu’ils n’aiment pas, c’est qu’on contrôle et régule les salaires. Et le but de cette initiative… Ils n’ont même pas été fichus de mettre dans cette initiative qu’ils établiront un contrôle des fiches de paie.

Ndlr : Nous avons une hyperréglementation qui définit déjà les contrôles et PYM le sait parfaitement, mais il fait son cinéma.

Jamais à notre connaissance un participant à un débat n’a réussi à faire chuter PYM de ses grand chevaux en dépit de ses arguments débiles et mensongers, recrachés à répétition.
Maillard est l’illustration même de ce qui détruit la Suisse. Ici, il combat l’UDC à l’unisson avec l’Economiesuisse, une sorte d’illustration de ce qu’est notre Deep State suisse.

Et PYM agite le spectre des années 60 et du triste sort des saisonniers dans un marché dérégulé de capitalisme sauvage que l’UDC veut restaurer avec ces votations.
Et PYM, sur un ton très irrité, continue à égrener ses victoires : plus de travailleurs sont couverts par les conventions collectives – enchaînant, comme c’était prévisible, avec une tirade contre l’UDC :

« Ces messieurs obéissent à la famille Blocher. Et la famille Blocher se lamente que deux millions de travailleurs sont protégés par les conventions collectives. »

Marco Chiesa essaie de placer deux mots, et la contre-attaque sera une parfaite démonstration ce qu’est la faîtière Economiesuisse.

Cristina Gaggini : Pourquoi affubler les étrangers de tous les maux de ce pays ? Mais vous avez voté contre les fonds ferroviaires qui ont permis d’augmenter la cadence des trains à un quart d’heure ou une demi-heure.
Vous avez voté contre l’aménagement de territoire pour éviter le bétonnage de notre pays. Quant aux difficultés des seniors âgés qui sont au chômage, vous étiez le seul parti qui a dit : Non, il ne faut pas aider les seniors âgés.

Dans les débats avec l’UDC, la vérité est absolument sans importance, les accusations mensongères et biaisées pleuvent sur les représentants de ce parti, sans qu’ils aient la possibilité de répondre.
Les armes utilisées par le camp des gauchistes, c’est « open bar » et les coups au-dessous de la ceinture sont bienvenus, Gultas et son équipe en redemandent.

Kevin Grangier essaie de remettre l’église au milieu du village car il est impossible d’entrer dans le détail des fourberies que Cristina Gaggini avance.
Kevin Grangier demande : Quand est-ce qu’on va commencer à parler des Suisses et des Suissesses qui sont les grands oubliés de ce débat ?

Jamais, notre cher Kevin ! Jamais ! Lisez nos résumés d’émissions RTS et vous y verrez la réponse !
Hormis l’UDC, tout le monde se fiche du peuple suisse. Moins le peuple existe, mieux ces gens se portent ! Dans une telle arène, l’UDC, qui pense juste et reste intègre et respectueux, sera toujours perdant. C’est pour cela que l’UDC devrait refuser d’aller au casse-pipe, car avec la RTS tous les débats sont systématiquement biaisés.

Mehmet Gultas à Kevin Grangier : Un mot de la fin ? Comment va-t-on gérer l’immigration si l’initiative passe ? Par qui ? Quel modèle ?

Kevin Grangier veut revenir sur les paroles de Cristina Gaggini, qui a qualifié de « l’échec de 2014 » les résultats de la votation concernant l’initiative sur la libre circulation, mais Mehmet Gultas lui coupe la parole, malgré SIX TENTATIVES de Kevin Grangier.

Kevin Grangier est empêché de parler mais finalement il s’impose :

Comment se fait-il qu’une décision populaire du Souverain soit qualifiée d’« échec de 2014 » ?

Le trio PYM, Cristina Gaggini, Mehmet Gultas se dépêchent ensemble de couper la parole à Kevin Grangier, qui avait reçu l’autorisation de conclure peu avant ! Mehmet Gultas crie : Non, je ne vous laisse pas mener le débat ! Il est hors de lui que Kevin Grangier ait pu malgré tout placer sa phrase.

Marco Chiesa reprend la parole, parle des fake news des adversaires de l’initiative, mais sera également coupé et c’est PYM qui conclut.

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3e partie - Débat sur la suite des discussions européennes en cas de non à l’initiative de limitation

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/debat-sur-la-suite-des-discussions-europeennes-en-cas-de-non-a-linitiative-de-limitation?id=11587043

Lapsus extrêmement parlant de la RTS, « en cas de NON » : ils ne peuvent juste pas concevoir un OUI !

Alain Franco en direct de Bruxelles. La clause guillotine va tomber si l’accord est dénoncé. Il n’y a pas de place pour la négociation.
Il nous rappelle : Souvenons-nous qu’Erasmus avait été suspendu, sans avertissement, au lendemain de la votation de 2014, avant même l’entrée en vigueur de l’initiative.

Oui, nous nous souvenons : Erasmus, dans ses programmes conformes aux critères de qualité de l’UE, a des cours d’alphabétisation émotionnelle, d’Espéranto, et autres débilités.

Alain Franco : A cause du Brexit, en cas de ‘Oui’ à cette initiative, l’UE promet une sacrée crise !

Mehmet Gultas à Marco Chiesa :

Est-ce que vous ne vendez pas un rêve aux Suisses ?

Est-ce que c’est vraiment le moment ?

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Résumé - Les axes principaux du débat sur l’initiative de limitation de l’UDC

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/les-axes-principaux-du-debat-sur-linitiative-de-limitation-de-ludc?id=11587045

Par Marie Giovanola.

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Résumé, commentaires : Cenator

Pour ou contre les avions de combat, Viola Amherd et Pierre-Alain Fridez (PS) répondent aux auditeurs

Le 27 septembre, les Suisses se prononceront sur l'achat de nouveaux avions de combat, six ans après le refus du Gripen. Au nom du Conseil fédéral, Viola Amherd défend le projet, alors que Pierre-Alain Fridez (PS/JU) s'y oppose. Tous deux ont répondu aux questions des auditeurs de Forum.

Le peuple suisse devra dire dans les urnes s'il accepte ou non le crédit de 6 milliards de francs destiné à remplacer la flotte actuelle d'avions. Le Conseil fédéral soutient cet achat car la Suisse a besoin de nouveaux avions de combat pour protéger sa population des menaces provenant de l'espace aérien, a déclaré la ministre de la Défense Viola Amherd en lançant la campagne du gouvernement en juin dernier.

>> Lire aussi: Le Conseil fédéral lance sa campagne pour l'achat de nouveaux avions de combat

Pour le comité "Oui à la sécurité aérienne", les avions de l'armée suisse sont trop vieux et doivent être remplacés, sans quoi l'espace aérien suisse sera sans protection dès 2030.

A l'opposé, le comité "Non aux milliards pour des avions de combat" estime que cet achat est un "luxe inutile". Selon lui, il en résultera des coupes dans l'éducation et la sécurité sociale. Il dénonce également l'achat d'appareils hautement nuisibles à l'environnement.

>> Lire aussi: Le comité contre les nouveaux avions de combat critique "un luxe inutile"

Invités lundi dans Forum, la conseillère fédérale Viola Amherd et le socialiste jurassien Pierre-Alain Fridez, membre de la commission de politique de sécurité du Conseil national, ont répondu aux question des auditeurs.

RTSinfo

lien vers la vidéo: https://www.rts.ch/info/suisse/11537887-pour-ou-contre-les-avions-de-combat-viola-amherd-et-pierrealain-fridez-repondent-aux-auditeurs.html

Suisse: Un Bosniaque et un Tunisien participant à un forum djihadiste condamnés

Le modérateur du plus important forum islamiste de Suisse romande a été condamné à une peine de 180 jours-amende par le Ministère public.

Le modérateur du site internet est un Bosniaque âgé de 34 ans. Sa plate-forme contenait des appels à tuer des infidèles ou des vidéos montrant des décapitations. (...)

Dans le deuxième cas, il s'agit d'un Tunisien de 35 ans. Il avait placé la bannière de l'Etat islamique comme photo de profil sur le réseau social Facebook.

 

Source et article complet

Débat entre Pierre-Yves Maillard et Pascal Couchepin sur l’avenir de nos barrages [audio]

Ndlr : hier soir, sur Forum, débat sur l'avenir des barrages : Pierre-Yves Maillard brillant et visionnaire, Pascal Couchepin......pareil à lui-même. Ecoutez :

Il y a quelque chose de malsain au royaume de la démocratie suisse (RTS – Forum du 27.01.16)

Nos lecteurs nous informent (merci à Cenator):

NdCenator : Hier, 26 janvier, l’émission Forum de la Radio suisse romande poursuivait sa propagande inlassable (pardon, sa mission de service public):

Interview de l’historien Philippe Bender (depuis18 h 23 mn), qui nous apprend (depuis 30 mn 15 s) qu’il y a quelque chose de malsain au royaume de la démocratie suisse, car l’UDC fait appel à l’émotion contre la raison.
Puis c’est le sociologue et politologue français Erwan Lecœur, spécialiste du populisme et de l’extrême droite, qui est invité à donner son avis (depuis 31 mn). Il nous explique que les classes moyennes et moyennes inférieures ont peur de la mondialisation, se replient sur leurs identités nationales ou régionales, que le FN ou l’UDC profitent de cette situation, et qu’on assiste à une faillite ou défaillance de la démocratie, avec ces partis-là qui remplacent un clivage social [comprenez : lutte des classes] par un clivage racial [compatriotes vs. étrangers], et des jeunes qui [ô drame, ô désespoir] se mettent à voter en majorité pour la droite dure nationaliste.

Ecoutez (dès 22'58'') ICI

 

 

 

Le camarade Bideau, grand démocrate devant l’Eternel [audio]

 

Ndlr : Le comédien Jean-Luc Bideau nous a fait ce soir une démonstration magistrale de démocratie socialiste au sujet de l'élection au Conseil fédéral du 9 décembre prochain. RTS/Forum du 02.12.15

En début de journal, Forum nous informe ce soir que le groupe socialiste a finalement décidé d'auditionner les trois candidats proposés par l'UDC pour la course au Conseil fédéral. Cette manière d'accepter les revendications de l'UDC ne passe pas très bien auprès de la base. Tactique contre principe, le débat déchire les élus roses aux chambres. Débat entre Jean-Luc Bideau, acteur suisse et militant socialiste, et Hans Stöckli, conseiller aux Etats socialiste bernois (dès 2'35'', mais ce qui précède est intéressant...)

La communauté musulmane se crispe en France face à l’action policière / RTS / Forum du 25.11.15

Ndlr : Invités : Dominique Jamet - homme libre et Yasser Louati, porte-parole du Collectif contre l'islamophobie en France (et Maitre absolu en taqkya) pour qui le plus gros problème suite aux attentats de Paris est justement l'islamophobie (qu'ici nous préférons appeler islamo-lucidité).

A croire Y. Louati (de plus en plus agressif dans le débat), ce ne sont point les assassins islamistes qui sont responsables des carnages mais les services de police en général... Pour lui, Daesh n'est pas musulman, belle démonstration de la taqîya,  l'art de dissimuler...

Il déplore avec vigueur qu'une "offense"  particulièrement blessante ait été faite à la communauté musulmane pour avoir laisser entrer des chiens policiers dans une mosquée ! On croit rêver ! Il est vrai que les 132 victimes et la centaine de blessés massacrés par ces fous de d'allah (victimes qui, pour certaines, seront marquées à vie dans leur chair), sont bien peu de choses face aux sensibilités et blessures faites aux croyants par la présence d'un chien policier en ces lieux de culte durant une intervention de police ! Et que dire de nos "journalistes" de la TSR bien mous face à l'agressivité de Louati et fort peu curieux sur la réalité de l'islam. Visiblement leur logiciel aurait besoin d'un "restart" pour envisager d'un regard libre et lucide le problème que pose la religion d'amour de paix et de tolérance...

Et dire que nous devons payer des taxes pour se faire rouler dans la farine de Forum en Forum...

M. Louati est particulièrement déchaîné dès 11'30''. Un régal.

Ecoutez :


Un grand merci à Bernard qui a eu la générosité d'écouter Forum pour nous

Mme Marra : quel mépris pour nos paysans !

NDLR : on commence vraiment à se demander de quels soutiens Ada Marra bénéficie à la RTS pour être invitée aussi systématiquement.

D'autre part, dans cette interview, elle  précise que les paysans se libèrent très facilement de leurs tâches [nddb, ô combien mineures par rapport à celles de certains représentants de la population,]. D'ailleurs, il est de notoriété publique que les paysans se lèvent tous les jours à onze heure du matin et boivent leur café jusqu'à midi en lisant leur journal. Mme Marra ferait bien d'aller pendant 1 mois travailler chez un paysan pour enfin se rendre compte de la réalité ! Je suis d'autant plus en colère que, comme elle, j'ai de solides origines italiennes mais que moi, je me souviens avoir été témoin du dur labeur des paysans italiens et je me souviens encore de mon nonno fauchant l'herbe avec sa faux.

Mme Marra devrait se poser cette question : comment se nourrirait-elle si les paysans disparaissaient; avec les beaux discours de la gauche hors sol ?  D. Borer

Dès 5'20 [... ] les paysans ont plus de temps pour venir au Parlement au contraire des employés de la poste par exemple[....]

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RTS / Forum du 29.06.2015

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