Un dealer marseillais : « J’étais en prison, je suis sorti à cause du corona. Vive le Corona »
via Fdesouche
Un dealer marseillais : « J’étais en prison, je suis sorti à cause du corona. Vive le Corona »
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Fernand Melgar n’est plus le bienvenu à la HEAD, où les élèves paraissent faire front commun contre lui.
Jeudi, la HEAD a réagi par un communiqué. «Les prises de position de Fernand Melgar et surtout l’usage fait par le cinéaste de photographies volées de personnes présentées comme des dealers sur Facebook ont suscité un émoi et une indignation forte, notamment au sein des milieux culturels, très largement partagés au sein de l’école» (...)
Lettre ouverte
D’autant plus qu’en parallèle, une lettre ouverte, cosignée par des étudiants en cinéma de la HEAD et de l’ECAL, des alumnis et des professionnels du cinéma, en réponse à la tribune de Fernand Melgar sur le deal de rue à Lausanne, nous est parvenue dans la journée. On y retrouve, parmi 209 signataires, des personnalités connues comme Nicolas Wadimoff, Jean-Stéphane Bron, Lionel Baier, Antoine Jaccoud, Claude Barras, Francis Reusser, Frédéric Choffat, Christian Lutz ou Quentin Mouron.
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Une centaine de personnes étaient réunies devant la gare de Lausanne, jeudi en début de soirée. Elles manifestaient à la suite de l'annonce du décès d'un ressortissant nigérian le matin même, au lendemain d'un contrôle de police. «C'est trop souvent que les Noirs meurent sous les coups de la police», a dénoncé l'un des manifestants, dont la majeure partie était originaire d'Afrique.
Le Collectif Jean Dutoit, dont faisait partie l'homme décédé et qui défend les sans-abri en situation de séjour irrégulière, avait appelé à un rassemblement peu après la publication des faits dans la presse.
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Il se dit lui-même “intouchable”. Jeudi dernier, un jeune homme âgé de 20 ans a été interpellé dans la cité Duclos au Kremlin-Bicêtre, dans le Val-de-Marne, soupçonné d’ordonner des petites livraisons de cannabis. Emmené au commissariat, il en est ressorti libre deux heures plus tard, après que le ministère des Affaires étrangères a confirmé son immunité. Le parquet a également ordonné la restitution des 480 euros retrouvés dans sa chambre pendant la perquisition.
Comme le précise Le Parisien, le jeune dealer est le fils d’un personnel technique et administratif de la diplomatie camerounaise. Il s’agirait plus exactement d’un jardinier. “A chaque fois qu’on intervient cité Duclos, on tombe sur lui, souffle un policier dans les colonnes du quotidien. Il gère le petit point de deal du quartier. Quand il est tout seul, c’est lui qui baisse les yeux. Mais quand il est avec ses copains, il est insupportable. Même quand on ne vient pas pour lui, il la ramène. Il nous filme, prend des photos, met ça en ligne… Bref on est un peu blasés avec lui.” Le jeune dealer continue donc d’agir en toute impunité. Selon Le Parisien, vendredi soir, il a insulté les policiers, leur promettant de les “crever”.
Suite à notre article déjà publié ici, voici le compte rendu de deux autres sources, des sites d'informations reconnus pour ceux qui doutent de l'état de la France.
Pour ceux qui veulent savoir qui peut être derrière ces actes immondes, voici une vidéo de la ville de Roubaix elle-même et de sa braderie.
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Info Actu17. Plusieurs témoignages et photographies nous sont parvenus de la part de riverains du quartier des Trois Ponts à Roubaix. Un groupe de jeunes individus a creusé des trous de 60 cm de profondeur en moyenne puis les a recouvert pour les camoufler.
Leur but ? Attirer les policiers dans des courses-poursuite pédestres la nuit pour les piéger.
Selon plusieurs témoignages concordants, ces pièges dignes des trappeurs d’Amérique du Nord, comportent des objets métalliques tranchants dans le but de blesser les fonctionnaires de police.
« C’est une histoire de fou et, franchement, si ça se confirme, c’est du jamais vu à Roubaix et peut-être même en France », se désole un fonctionnaire de police du commissariat de Roubaix, sous le sceau de l’anonymat. La semaine dernière, une patrouille de police secours qui circule dans le quartier des Trois-Ponts est alertée : des trous auraient été creusés dans un terrain vague, à proximité de l’avenue Kennedy, à Roubaix.
Le service de quart de nuit se rend sur place quelques heures plus tard et s’aperçoit, selon plusieurs sources concordantes, que les trous en question ont finalement été remplis d’objets tranchants et coupants avant d’être recouverts de branchages et de tôles « de telle sorte qu’on ne puisse pas les voir ». On parle de morceaux de verre, de plaques de métal ou de chaises retournées, les pieds en l’air. « Des choses placées pour faire mal ». La découverte a, heureusement, été réalisée avant que des personnes soient blessées.
« Quand les collègues se sont rendus sur les lieux, des jeunes du quartier âgés de 15 ou 16 ans leur ont expliqué qu’ils creusaient des piscines pour s’y baigner en cas de fortes chaleurs, dit une source syndicale qui confirme l’information. Par mesure de précaution, les outils ont été confisqués ».
L’affaire est prise très au sérieux. « C’est un lieu de deal notoire, continue le syndicaliste. C’est problématique pour mes collègues car quand ils partent à la courette (course-poursuite à pied, ndlr), ils regardent la personne qu’ils poursuivent, pas forcément le terrain où ils mettent les pieds. Idem pour les chiens de la brigade canine ou chargés de la détection de produits stupéfiants. C’est une nouveauté. C’est la première fois que nous sommes confrontés à ce genre de pièges. »
La ville de Roubaix confirme cette découverte pour le moins étrange. « Les services techniques de la ville se sont rendus sur les lieux pour reboucher les trous, explique Margaret Connell. Cette intervention n’a pu se faire que sous la protection de nombreux effectifs des polices nationale et municipale. » Nous avons contacté la Préfecture du Nord, qui n’a pas répondu à nos sollicitations. Dans le quartier, les rares personnes qui ont voulu nous répondre ont expliqué ne pas être au courant, expliquant que les trous avaient été creusés pour les travaux de l’ANRU. Ceci dit, des photos explicites prises par des riverains ont bien circulé sur les réseaux sociaux.
Les auteurs n’ont pas été interpellés, pour l’heure.
Source Source2
>Cela a peut-être fonctionné les premiers mois, mais aujourd’hui cela ne fait pas de différence. Et la situation au centre-ville a empiré. On constate que le trafic s’est déplacé sur les rues du Lac et des Remparts», relève l’élu UDC Pascal Gafner.
Le trafic est principalement organisé par des ressortissants nigérians qui ne se trouvent pas en situation illégale. Ils bénéficient d’un visa de séjour Schengen, peuvent se déplacer librement et n’ont pas de logement fixe.
Finalement, nous pouvons donc juste agir pour décourager le trafic, en le rendant plus compliqué, mais cela ne va pas chasser les dealers.»
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Le lendemain, jeudi, une patrouille aperçoit le fuyard, à l'arrêt de tram «Balexert». L'homme propose alors deux sachets d'héroïne à un inspecteur en civil. Lors de son interpellation, le dealer s'est violemment débattu, donnant des coups de pieds, de poings et de coude. Résultat: trois policiers blessés aux jambes, au visage, au ventre et à l'épaule.
Drogue écoulée, fric viré au Nigeria
D’après les enquêteurs, les versements d’argent vers le Nigeria et le Cameroun effectués par le prévenu et son épouse, tous deux sans emploi, dépassent un total de 55'000 francs. Lors de la perquisition du domicile du trafiquant, la police a découvert une mallette contenant 24 500 francs et une quantité de 40 grammes de coke.
Le juge unique a confirmé la sentence prononcée en septembre dernier en s'appuyant sur la jurisprudence du Tribunal fédéral et de la Cour européenne des droits de l'homme. Une déclaration anonyme de la part d'un policier ne peut pas être utilisée devant un tribunal. Le Croate a donc été libéré «au bénéfice du doute».
Le procureur avait requis une peine ferme de deux mois et le retrait d'un sursis de 61 jours pour des faits antérieurs. Par ailleurs, lors de l'arrestation du vendeur, les deux billets de 100 francs retrouvés sur le suspect étaient bien ceux du policier qui avait pris soin de noter les numéros de série.
Une association a vu le jour pour reconquérir les rues de la localité du Chablais. Les autorités saluent l’initiative, mais rappellent la difficulté d’éradiquer le marché de la drogue
Depuis les grandes fenêtres du salon, Sandrine Moesching-Hubert montre un petit pont que les trafiquants, essentiellement des ressortissants africains, ont transformé en quartier général de leur commerce quotidien.
La nécessité du flagrant délit pour inculper un dealer complique la mission des agents. En outre, même quand les policiers y parviennent, c’est en vain: les prisons vaudoises sont surpeuplées et l’expulsion vers le pays d’origine des étrangers en situation illégale se heurte à toutes sortes d’obstacles. «Il arrive que des dealers soient interpellés des dizaines de fois sans résultats», note le capitaine Claude Ruchet, de la police du Chablais vaudois.
Source
Le ton est monté vendredi dernier, lors d'un apéro organisé par des citoyens pour dénoncer le trafic de stupéfiants.
Durant la soirée, un passant, «vraisemblablement un dealer» selon les premières informations de la police cantonale, n’aurait pas apprécié d’être pris en photo. Le ton est monté. «Je prenais simplement des photos de la rue; cet homme se trouvait dessus», plaide Grégoire Rapaz.
L’homme a d’abord bousculé l’auteur des clichés. «Mon père (ndlr: le député et municipal bellerin Pierre-Yves Rapaz) s’est interposé.» «L’agresseur s’est ensuite saisi d’une barre de fer cachée à proximité, puis d’une bouteille vide qu’il a brisée sur le trottoir en nous menaçant», raconte Pierre-Yves Rapaz.