Corse : un professionnel de santé menacé avec une arme pour avoir demandé à une femme d’enlever son voile islamique

Un professionnel de santé en Haute-Corse a été menacé mercredi par un homme armé qui s’est présenté comme le mari d’une femme voilée à laquelle le soignant avait demandé de retirer sa burqa, selon des sources concordantes.

Une enquête pour violence volontaire avec arme a été ouverte et confiée à la brigade de gendarmerie de Penta di Casinca (Haute-Corse), a indiqué la procureure de la République de Bastia, Caroline Tharot.

Le 5 septembre, le mari en question serait venu dans le cabinet de ce professionnel de santé et l’aurait menacé avec une arme de poing », a-t-elle ajouté, précisant que les enquêteurs cherchaient à déterminer si la femme voilée souhaitait être examinée ou si elle accompagnait juste son enfant.

Le praticien « a déposé plainte le 5 septembre » et a « parlé d’un voile qui pourrait ressembler à une burqa (un voile intégra) », a ajouté la magistrate.

 

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Corse : L’Assemblée vote à l’unanimité une motion pour l’accueil des migrants

Les élus de l’île ont voté à l’unanimité, vendredi 29 juin, une motion demandant la création d’une commission pour « trouver des solutions pour un accueil efficace des migrants ».

L’Assemblée corse a réaffirmé vendredi 29 juin sa volonté d’accueillir des migrants en votant à l’unanimité une motion en ce sens, déposée par Jean-Charles Orsucci, maire de Bonifacio et leader du groupe La République en marche à l’Assemblée corse.

Dans cette motion, les élus corses affirment être « favorable[s] à l’accueil des migrants », et demandent « la création d’une commission ad hoc composée de membres de l’Assemblée de Corse, de présidents d’intercommunalités, de maires et des services de l’Etat chargée de trouver des solutions pour un accueil efficace des migrants ».

Recadrage de la préfète

Lundi, le président nationaliste de l’Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni, s’était dit « disposé à porter secours » aux migrants recueillis sur le navire humanitaire Lifeline, que l’Italie refusait de laisser accoster. Il avait été aussitôt recadré par la préfète de Corse, Josiane Chevalier, qui affirmait qu’une telle décision « appartient à l’Etat français » et non à une collectivité territoriale.

« La position de la majorité de notre collectivité n’a pas vocation à changer », avait précisé lundi Jean-Guy Talamoni estimant que « tous les pays de la Méditerranée » devaient être prêts à porter secours aux migrants dès l’instant où il y a un navire avec des personnes à bord en situation d’urgence.

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France : Le président de l’exécutif corse veut accueillir l’Aquarius, le bateau qui convoie 629 migrants.

Le président de l'exécutif corse, Gilles Simeoni, défend sa proposition d'accueillir dans l'île les migrants de l'Aquarius. Une décision humanitaire, mais aussi politique.

Sa proposition a tranché avec la discrétion des autorités nationales : le président de l’exécutif corse, l’autonomiste Gilles Simeoni, a invité mardi le navire Aquarius à faire escale dans un port de l’île. Le sort de ce navire, qui a recueilli 629 migrants en mer et que l’Italie refuse de voir aborder ses côtes, était toujours incertain mercredi matin, malgré l’accueil promis par le gouvernement espagnol. Joint par Libération, Gilles Simeoni évoque un geste spontané face à l’urgence de la situation. Mais assume aussi la dimension politique de sa proposition, présentant la Corse en acteur méditerranéen «autonome».

Pourquoi avez-vous proposé d’ouvrir un port corse à l’Aquarius ?

Hier soir, nous avons constaté l’urgence de la situation du navire, avec une météo dégradée, le manque de vivres à bord et la distance à parcourir pour rejoindre l’Espagne [qui propose d’accueillir le bateau, ndlr]. Cette offre est un réflexe spontané de notre part, envers des gens qui se trouvent en détresse si près de nos ports.

(...)

Vous êtes-vous concertés avec les services de l’Etat avant de faire votre proposition ?

Pas avant de la faire, mais après : j’ai eu la préfète au téléphone, qui nous a plutôt incités à la prudence. On nous dit que ce sera difficile à gérer, qu’il faudra réquisitionner des hôtels, que nous n’avons pas la compétence pour prendre cette décision. Mais moi, la compétence, je la prends. La Collectivité de Corse est propriétaire des ports. Il serait sans doute difficile de gérer l’accueil de 629 personnes sur le moyen ou le long terme. Mais il s’agit d’abord d’offrir une escale, de ne pas laisser ces gens errer en pleine mer. Après, sur la plus longue durée, on peut réfléchir différemment. Pour l’instant, on dit à l’État : nous sommes prêts, et vous ?

Votre démarche a aussi un aspect politique : il s’agit de présenter la Corse comme un acteur autonome…

Oui, un acteur autonome qui s’engage pour une Europe et une Méditerranée fraternelles. Il ne s’agit pas d’instrumentaliser une situation douloureuse pour construire un rapport de force avec L’État, mais la situation ne peut dépendre de considérations juridiques. On est au croisement des valeurs d’hospitalité de notre île, et des valeurs universelles de l’Europe.

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France: Une musulmane veut interdire le drapeau corse “Nous avons demandé de l’aide à une association pour élaborer une pétition.”

Bien entendu, pour cette femme les invasions musulmanes et leurs massacres sur territoires européens ne sont aucunement un problème. Au contraire, le fait de s'opposer aux musulmans lui est visiblement insupportable puisque ce drapeau symbolise la résistance des Corses aux Maures musulmans.

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"Je viens d'apprendre avec horreur que sur le drapeau Corse c'est une tête de Maure. Autrement dit un arabe décapité ! Comment peut on laisser à un département Français une horreur pareil comme symbole ?

Je ne répondrais pas au flot d'insultes que je reçois. Sachez que dès ce matin, nous avons commencé avec l'aide de notre asso à élaborer une pétition visant à faire interdire ce drapeau qui est insultant, raciste et violent. Je vous tiendrais informé. Arrêtez d'insulter merci."

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La pétition en elle-même:

Tout le monde a déjà vu le drapeau de la Corse, mais peu de monde se pose la question : "Qui est cette tête noire sur ce drapeau ?"

Il s'agit très concrètement d'une tête de Maure. En reprenant les manuels d'histoire et géographie : Les Maures désignent les populations berbères d'Afrique du Nord, autrement dit, des maghrébins.

En l’occurrence, sur le drapeau Corse, si la tête y figure mais pas le corps, c'est que le Maure est décapité. Oui, vous avez bien lu, il s'agit d'un maghrébin décapité.

Comment en 2018, alors que nous vivons dans un pays civilisé, peut on laisser une région de la France, avoir comme symbole un être humain décapité ?

L'article 1 de la loi du 1er Juillet 1972 est très claire :

Ceux qui, soit par des discours, cris ou menaces proférés dans des lieux publics, soit par des écrits, dessins ou tout autre support de l’écrit, de la parole ou de l’image vendus ou distribués auront provoqué à la discrimination, la haine, la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, seront punis d’un emprisonnement d’un mois à un an et d’une amende de 2 000 à 300 000 Francs ou de l’une de ces deux peines.

C'est donc conformément à la loi de la république Française que nous demandons expressément l'interdiction du drapeau Corse dans les espaces publics.

Internet, mairie, rue ... les endroits sont nombreux ou flotte ce drapeau d'une violence incontestable envers des êtres humains.

Que vous soyez Corse, Parisien, Marseillais, Toulousain, blanc, beurre, black, nous vous invitons à signer cette pétition et à la partager avec un maximum de personnes de vos entourages, afin de faire respecter la loi, ainsi que la vie humaine.

Source Change.org

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A noter que cette même musulmane prétend que dénoncer les appels au meurtre du coran est... de l'islamophobie (voir image plus bas). En clair s'opposer à la christianophobie et à l'antisémitisme est interdit. Et cette femme se présente en "défenseuse (sic) des droits de l'Homme"...

Ne vous inquiétez pas, Samira a pu bénéficier de tous les avantages possibles des kouffars en France, pays qu'elle remercie à sa manière en militant exclusivement contre les racines chrétiennes.

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Source Twitter

Corse : trois détenus blessent deux gardiens de prison à l’arme blanche en criant “Allah Akbar”.

Deux gardiens de prison ont été blessés, dont un gravement, touché à la gorge d'un coup de couteau, par trois détenus de la maison d'arrêt de Borgo, en Haute-Corse. L'un d'eux aurait crié «Allah Akbar», selon un délégué syndical.

Trois détenus ont attaqué deux gardiens de prison à la maison d'arrêt de Borgo, en Haute-Corse le 19 janvier, selon la direction de l'administration pénitentiaire. Agressés à l'arme blanche, les deux agents ont été transféré vers l'hôpital de Bastia : l'un d'entre eux se trouve dans un état grave après avoir été touché à la gorge, mais son pronostic vital n'est pas engagé.

Le procureur Caroline Tharot n'a pour l'heure donné aucune précision supplémentaire sur les circonstances de l'agression, survenue en plein mouvement de contestation national des surveillants de prison. Selon un délégué syndical pénitentiaire cité par Corse Matin, un détenu aurait crié «Allah Akbar».

D'après une source proche de l'enquête, l'auteur des faits s'est retranché dans sa cellule avec un ou deux complices. Un périmètre autour de la prison a été bouclé et une dizaine de véhicules de CRS sont arrivés vers 11h devant la maison d'arrêt, où la direction de l'administration pénitentiaire a confirmé à l'AFP qu'une opération de police était en cours. Il y avait des soupçons de radicalisation autour de ce détenu, qui ont été confirmés ces derniers mois par des écoutes téléphoniques transmises au procureur de la République qui a ouvert une enquête, a ajouté cette source.

La ministre de la Justice Nicole Belloubet a publié un communiqué pour exprimer «tout son soutien et son attention» aux deux agents, suite à  «l’agression grave et intolérable» dont ils ont été victimes.

Cette agression survient à la suite de plusieurs autres dans différents centres pénitentiaires en France. Alors que la mobilisation des surveillants pénitentiaires réclamant plus de sécurité pour mener à bien leur mission battait son plein, sept surveillants avaient été agressés le 15 janvier en fin d’après-midi par un détenu radicalisé au centre pénitentiaire de Mont-de-Marsan.

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Corse: Commerçants agressés par des Maghrébins à Ajaccio « Ici on est chez nous, on paye pas ! »

Le magasin Intersport d’Ajaccio a reçu une drôle de visite samedi après-midi. Selon son gérant son personnel, son épouse et lui-même ont été agressés par des individus qui ont refusé de payer les produits qu’ils venaient d’acquérir. L’affaire viendra ce mardi devant le TGI d’Ajaccio.

 

Corsenet.info

 

 

 

Source Fdesouche

Burkini: le maire de Sisco maintient son arrêté

Ange-Pierre Vivoni, le maire socialiste de Sisco (Haute-Corse), maintient son arrêté "anti-burkini", pris au lendemain d'une violente rixe entre des Marocains de Furiani et des villageois dans sa commune mi-août, malgré la suspension par le Conseil d'Etat d'un texte similaire.

La plus haute juridiction administrative française a suspendu aujourd'hui un arrêté municipal anti-burkini, celui de la commune de Villeneuve-Loubet (Côte d'Azur), avertissant les maires que toute interdiction de ces tenues de bain islamiques couvrantes devait s'appuyer sur des "risques avérés" pour l'ordre public.

"Je ne me sens pas concerné par la décision du Conseil d'Etat", a déclaré le maire à l'AFP. "Mon arrêté n'était pas de la prévention, je l'ai pris pour la sécurité des biens et personnes de ma commune, je risquais d'avoir des morts !", a-t-il expliqué.

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« Des décennies de mièvreté et de naïveté à l’égard des populations issues de l’immigration » (Corse Matin)

Extraits de la chronique de Roger Antech dans Corse Matin, intitulée : « Sept jours en Corse La République libre du bikini ». Roger Antech est l’ancien PDG de Corse Matin.

La tempête, la folie médiatique même, soulevée par l’interdiction du burkini dans une quinzaine de communes, nous laisse maintenant désemparés sur la plage. Se peut-il qu’un pays de libertés et de vivre ensemble soit à ce point tourmenté par un débat de nature textile ?

La faute à des décennies d’une action politique empreinte de mièvreté et de naïveté parfois, d’inconstance toujours à l’égard des populations issues de l’immigration, de leur assimilation dans la nation.

Il ne faut pas craindre de l’affirmer : ceux qui par une tentative de « privatisation de la plage » – la formule du procureur de Bastia a ramené la clarté dans le tumulte – ont semé le trouble l’autre samedi à Sisco, rejettent l’essentiel des valeurs de nos sociétés, corse et française d’ailleurs, en dénient les règles et les lois, et refusent même de s’intégrer.

La religion, l’interprétation qu’ils en font, l’instrumentalisation qu’ils opèrent avec elle, ne leur servirait ainsi que de burqa. Un voile épais et intégral qui masque leur vraie nature, à la marge, affranchie, et délinquante au final.

Corse Matin via fdesouche.com

Corse: SOS Racisme prend la défense des agresseurs maghrébins

Dans un communiqué, le président de SOS Racisme Dominique Sopo "s'interroge sur le rôle des pouvoirs publics qui ont chacun à leur manière montré de lourdes défaillances". Il met notamment en cause le maire PS de Sisco, qui à la suite des violences, a pris un arrêté interdisant les burkinis sur les plages de sa commune "alors que là n'est pas l'objet de la rixe sur lequel toutes les zones d'ombre devront être levées".

SOS Racisme dénonce également l'attitude "plus que tendre" des pouvoirs publics lors des "démonstrations de force antimaghrébines qui, dans une logique proche de l'auto-+justice+, se sont déroulées dimanche dans le quartier de Lupino de Bastia aux cris notamment de +On est chez nous+".

Samedi, une famille d'origine maghrébine de Furiani (sud de Bastia) a selon le parquet de Bastia été à l'origine d'une rixe avec des villageois à Sisco. Elle avait fait cinq blessés.

 

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Corse: Selon le procureur, c’est bien la famille maghrébine qui est à l’origine du problème! (Vidéos)

Une courte vidéo d'une durée de sept secondes, tournée peu avant les heurts de samedi à Sisco et publiée sur les réseaux sociaux il y a quelques minutes, accrédite la thèse de baigneurs musulmans agressifs.

Sur cette séquence, il est possible de distinguer, à droite de l'image, l'un de ceux-ci tirer du coffre d'un véhicule ce qui semble être un fusil-harpon. Hors-champ, la voix d'un habitant de Sisco lui crie "Laisse le harpon".

Un autre, à gauche de l'image, ne paraît pas apeuré et se dirige de manière très déterminée vers la personne qui tient le téléphone portable permettant de filmer la scène.

"Fils de pute, hurle-t-il. Vous êtes à quinze, venez en tête à tête." Il tient dans sa main un objet oblong. Hors caméra, un homme à l'accent corse prononcé vocifère : "On ne frappe pas les petits !"

Si cette vidéo ne permet pas de faire la lumière sur l'origine des incidents, elle bat en tout cas singulièrement en brèche le témoignage anonyme diffusé en boucle sur les chaînes d'informations depuis hier et faisant état d'un guet-apens en règle organisé par les habitants de Sisco, qui auraient violemment pris à partie et rossé sans autre forme d'explication trois familles musulmanes.

https://youtu.be/Wzb-kCwb_UQ

Selon le procureur, c'est la privatisation de la plage « à l'origine des incidents»

«A l'évidence, à l'origine des incidents se trouvent les membres de la famille maghrébine qui ont souhaité privatiser la plage», a tranché ce mercredi le procureur de la République Nicolas Bessone.

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Avertissement du peuple Corse aux musulmans

VOUS ÊTES MUSULMANS ALORS LISEZ BIEN CECI

La Corse ne se pliera pas à vos exigences
En Corse les immigrants doivent s’intégrer. Prenez exemple sur vos grands parents qui ont su, en leur temps, se fondre dans la société française sans abandonner leur identité, tout en respectant celle de leur pays d’accueil.- Il est intolérable que les enfants et les petits enfants d’immigrés d’hier ne soient pas ou ne veuillent pas s’adapter, influencés par les voies islamiques venues d’ailleurs les poussant à nous imposer, progressivement les lois de la sharia, NOUS N’ACCEPTONS PAS CELA EN CORSE !
Nous n’aurons pas comme c’est le cas dans certaines banlieues des zones de non droit.
Les habitants de notre île seront particulièrement vigilants concernant toutes les formes de dérapage qui exaspèrent la société française.
Vous qui êtes Musulmans, ne perdez jamais de vue que si vous êtes sur le territoire français c’est pour bénéficier d’avantages économiques et sociaux qui n’existent pas dans votre pays d’origine.
Alors rappelez cela à vos descendants qui revendiquent l’islam en Corse en s’habillant de plus en plus, comme une provocation.
Nous n’accepterons pas non plus de voir ces jeunes filles et jeunes femmes, de plus en plus nombreuses, envahir nos espaces publics vêtues de la sorte.
Nous le savons, le foulard est la première étape vers le voile intégral. Celui-ci est lentement passé du statut se symbole de l’islam à celui d’outil de déstabilisation de la société française et en particulier dans le milieu scolaire.
Comme nous noyez vous dans la masse.
MUSULMANS*
Nous vous conseillons instamment de suivre nos règles.
Ici, c’est notre pays, notre terre, notre style de vie dont vous profitez sans toujours les respecter.
La Corse ne se pliera pas à vos exigences ou alors, ceux qui persisteront seront contraints de retourner dans leur pays d’origine ou celui de leurs ancêtres.
Nous vous demandons de transmettre et de faire circuler notre courrier à tous vos parents et entourage proche en insistant sur le fait que nous sommes de plus en plus déterminés.

Merci à Dominique Bianchi

A Ajaccio, la police protège désormais la racaille

A Ajaccio, la police bloque 300 personnes défiant l'interdiction de manifester

AJACCIO - Bloqués par la police à l'entrée des Jardins de l'Empereur, "sanctuarisés" après un arrêté préfectoral y interdisant tout rassemblement, plusieurs centaines de manifestants ont défilé calmement dimanche 27 décembre dans d'autres quartiers populaires d'Ajaccio, après deux jours de dérapages racistes.

https://youtu.be/0cfY0QPbFsk

"On se bat contre la racaille mais pas contre les Arabes", ont scandé les meneurs appelant la foule à rester pacifique. "On n'est pas des casseurs", "on n'est pas des racistes", a enchaîné le cortège qui s'est successivement rendu à la préfecture - apposant sur ses grilles un drapeau corse à tête de maure -, dans les quartiers Sainte-Lucie et des Cannes, avant de revenir devant les Jardins de l'Empereur où une petite cinquantaine d'entre eux demeuraient en fin d'après-midi, a constaté un photographe de l'AFP.

"L'arrêté a été parfaitement respecté", a résumé le préfet de Corse Christophe Mirmand dimanche soir sur BFMTV, relevant que les manifestants n'avaient pas cherché à entrer dans le quartier visé par l'interdiction. Un important dispositif de police, notamment un véhicule équipé de barrières barrant la chaussée, les a empêchés de pénétrer dans ce quartier de quelque 450 logements.

Vendredi et samedi, des centaines de manifestants s'étaient rendus dans plusieurs quartiers populaires d'Ajaccio, dont les Jardins de l'Empereur, aux cris de: "on est chez nous", "Arabes dehors". Mais dans la soirée, samedi, le préfet a pris un arrêté pour éviter les débordements dans ce quartier qui surplombe la ville. Le texte "qui prend effet aujourd’hui (dimanche, ndlr) et durera jusqu’au 4 janvier au moins" concerne "toutes les manifestations et les rassemblements, et les contrevenants sont passibles de sanction pénale", a-t-il précisé à l'AFP.

 

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Corse, salle (de prière) saccagée : toute la lumière sur ce qui s’est vraiment passé, sans langue de bois. A ne pas manquer

Les médias ont menti sur ce qui s’est passé en Corse, comme ils mentent sur ce qui se passe en Israël. Coïncidence, dans les deux pays des musulmans sont les agresseurs. Deuxième coïncidence, dans les deux pays les journalistes les font passer pour les victimes. Nous allons ici faire toute la lumière sur ce qui s’est vraiment passé en Corse…

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Qu’auraient dû répondre les Ajacciens traités de « sales Corses de merde » ?

Par Caroline Alamachère

 

Selon des témoins de l’attaque des pompiers aux Jardins de l’Empereur à Ajaccio, les agresseurs de ces derniers ont crié en montant dans leur camion : « Sales Corses de merde, cassez-vous, vous n’êtes pas chez vous ici ! ».

Dire à des Corses qu’ils ne sont pas chez eux en Corse revient à dire à l’ensemble des Français qu’ils doivent dégager… de leur propre pays !

C’est en réponse à ces propos inqualifiables et clairement xénophobes que les Corses ont légitimement remis les racailles du quartier à leur place par des : « nous sommes chez nous ! ».

En janvier 2015, le drapeau français du fronton d’une école maternelle de ce même quartier des Jardins de l’empereur, « un quartier à forte population d’origine maghrébine » précisait l’Express, avait été décroché puis brûlé avant d’être remplacé par un drapeau marocain.

Quant à la « mosquée » soi-disant « profanée », il s’agit en réalité d’une simple salle de prière. C’est donc un lieu tout ce qu’il y a d’ordinaire, non consacré donc non sacré, où l’intrusion musclée des Corses excédés par la provocation et l’agression barbare de pompiers entraînés dans un guet-apens, lapidés et tabassés par une bande de sauvages armés de battes de base-ball et de barres de fer ne saurait donc être assimilée à une profanation. D’ailleurs, en islam il ne se pratique pas de rite de consécration pour une nouvelle mosquée, une mosquée n’est donc pas un lieu sacré. CQFD.

Une pièce recyclée dans laquelle des personnes viennent pratiquer la prière ne peut être qualifiée de « mosquée » au sens de lieu de culte dédié, sauf à considérer que les salles de repos des machinistes RATP où certains déroulent leurs tapis sont elles aussi des mosquées !

Cazeneuve a évoqué des « exactions intolérables, aux relents de racisme et de xénophobie qui ne sauraient rester impunies ». Faisait-il allusion à l’insulte raciste de « sales Corses de merde » lancée par des membres de la population maghrébine du quartier ? On en doute.

Quant à Christiane Taubira, soudainement empressée de faire son travail et s’interrompant dans ses célèbres rêveries poétiques, elle a menacé : « la lumière sera faite, les auteurs en répondront ». On ne sait trop là encore si cette menace vise les délinquants racistes agresseurs de pompiers ou les Corses victimes de racisme sur leur propre sol…

Au Parti de Gauche, il a été réclamé de « mettre hors d’état de nuire ces racistes. Ces actes viennent alourdir le climat identitaire qui se développe dans le pays plus particulièrement à l’encontre de nos concitoyens musulmans ou supposés tels ». Le racisme provenant des racailles, lui, reste acceptable.

Le président du SDIS (Service Départemental d’Incendie et de Secours), Pierre Salinesi, a expliqué qu’à la suite de cette énième attaque sur des pompiers, ceux-ci « porteront d’ailleurs toujours la tenue d’incendie, celle qui protège le plus », et qu’ils « ne se déplaceront plus seuls [dans le quartier du Jardin de l’Empereur]. Même pour les secours à la personne. Les forces de l’ordre les accompagneront systématiquement ».

On le voit, les Français sont tenus de s’habituer à vivre dans le danger permanent, à le considérer comme normal, comme faisant partie de leur ordinaire. La justice faisant montre d’un laxisme particulièrement complaisant vis-à-vis de la racaille et dangereux vis-à-vis des citoyens ordinaires qu’elle vise, des citoyens qui se voient contraints malgré eux de devoir se rendre justice eux-mêmes. Si les services compétents faisaient ce pour quoi ils sont là et pour quoi ils sont payés, la délinquance y aurait certainement moins sa place et deux pompiers ne se trouveraient pas, à l’heure qu’il est, en arrêt de travail suite à leurs blessures.

Mais pourquoi permettre et encourager cette mise en danger du peuple français ? Pourquoi les autorités font-elles tout pour favoriser cette situation explosive ? Quel intérêt ce régime peut-il bien y trouver si ce n’est introduire la peur et la psychose afin que les Français en soient réduits à demander toujours plus de mesures sécuritaires ?

Caroline Alamachère

Publié en premier sur RL

Affaire corse: L’inversion immonde est en marche dans nos médias

Lu sur le site duTemps à propos de l'affaire d'Ajaccio:

 

"Vendredi en fin de journée, plusieurs centaines de personnes s'étaient rassemblées dans une cité populaire de la ville où, la nuit précédente, deux pompiers et un policier avaient été blessés dans des échauffourées."

Alors qu'il s'agit clairement d'un guet-apens d'une extrême violence, totalement gratuit comme l'ont indiqué les pompiers et nullement d'une bagarre. Le Temps prend donc sciemment la décision de biaiser l'information. La vérité issue directement du témoignage des pompiers, témoignage que Le Temps se garde bien de diffuser:

Dans la nuit du réveillon de Noël, plusieurs pompiers ont été attirés dans un véritable guet-apens à Ajaccio en Corse. Appelés pour un incendie volontaire, ils ont été littéralement agressés par des individus cagoulés dans un quartier populaire de la ville. 

En tentant de rebrousser chemin, ils se sont trouvés dans un "guet-apens d'une vingtaine de personnes". Armés de pierres, parpaings et battes de baseball, leurs attaquants s'en sont pris violemment au camion et ont réussi à briser les vitres. "On a vraiment frôlé la catastrophe, il aurait pu y avoir des morts"

On notera que les attaques contre les pompiers, les médecins, la police sont tellement nombreuses en France dans "les quartiers à forte concentration d'immigrés", que cela est devenu banal.

Bien entendu, nos médias passent systématiquement sous silence ces agressions. A contrario, ils en feront leur première page si les autochtones osent réagir, jusqu'à biaiser les faits pour mieux victimiser ceux qui sont à l'origine du problème.

 

« Sales Corses, cassez-vous », des pompiers agressés à Ajaccio : nouvelle descente en cours dans la cité

« Sales Corses de merde, cassez-vous, vous n’êtes pas chez vous ici! »

Afin de clarifier la situation, des proches des secouristes relatent ce qui a été dit le soir des faits dans le quartier de l’Empereur à Ajaccio. Lorsqu’ils ont essayé de monter dans le camion, les agresseurs auraient lancé selon la même source : « Sales Corses de merde, cassez-vous, vous n’êtes pas chez vous ici! ». Les « nous sommes chez nous », criés en chœur dans le quartier vendredi soir par les manifestants trouvent alors une autre résonance. Si l’agression des deux pompiers la nuit du 25 décembre a déclenché une vive réaction des Ajacciens, ce sont aussi les propos qui auraient été tenus par les agresseurs, et connus de nombreux participants, qui auraient donc mis le feu aux poudres. Corse Matin via Fdesouche.com

 

 

Ajaccio. Guet-Apens contre les pompiers : “Il aurait pu y avoir des morts”

Ajaccio : "Il aurait pu y avoir des morts" (un pompier agressé)

https://youtu.be/4l1iLNAiRGk

"Ils ont essayé de monter dans le camion, je tenais la porte"

Ce que nos médias ne diront pas: On peut imaginer la suite, si ces voyous avaient réussi à monter dans le camion, dans lequel se trouvait une femme. Via le Facebook Antiraciste est un nom de code pour antiblanc

Les deux jeunes sapeurs pompiers blessés, principalement aux yeux, se sont rendus au commissariat d'Ajaccio hier matin pour déposer plainte. Ils venaient de passer la nuit à l'hôpital de la Miséricorde.

"Maintenant ils doivent nous montrer des planches photos pour voir si nous reconnaissons des gens", explique l'un d'eux. Il confesse d'autre part, avec regret, qu'au regard de la situation et l'intervention, ils n'ont "pas vu grand-chose".

"Il faisait sombre. Nous sommes restés dans le camion et notre principale préoccupation était que personne ne puisse monter dedans. D'autant qu'il y avait une femme avec nous sur l'intervention. Je l'ai poussée derrière et j'ai fermement tenu la porte. C'est à ce moment-là que j'ai été blessé", relate Nicolas qui a eu la cornée de l'oeil gauche rayée.

Tiffany, présente lors du rassemblement, en tenue, fait face. "On a tous eu peur. On savait que s'ils pénétraient dans le camion, ce n'était plus la même histoire. Il fallait rapidement sortir du quartier".

Source 

Dans la nuit du réveillon de Noël, plusieurs pompiers ont été attirés dans un véritable guet-apens à Ajaccio en Corse. Appelés pour un incendie volontaire, ils ont été littéralement agressés par des individus cagoulés dans un quartier populaire de la ville. Au total, deux pompiers et un membre des forces de l'ordre ont été blessés. Depuis, le témoignage des pompiers présents pendant l'attaque montre la violence des faits : "Il faisait sombre. Nous sommes restés dans le camion et notre principale préoccupation était que personne ne puisse monter dedans. D'autant qu'il y avait une femme avec nous sur l'intervention. Je l'ai poussée derrière et j'ai fermement tenu la porte. C'est à ce moment-là que j'ai été blessé", a expliqué Nicolas, l'un des pompiers présents sur place à Corse Matin. Tiffany, jeune femme pompier, également présente sur les lieux lors de l'incendie, s'est aussi confiée : "On a tous eu peur. On savait que s'ils pénétraient dans le camion, ce n'était plus la même histoire. Il fallait rapidement sortir du quartier."

"On a frôlé la catastrophe"

Ce samedi 26 décembre, Nicolas est également revenu sur le déroulement des faits au micro d'i>Télé. Le pompier, blessé à l'oeil, explique qu'à leur arrivée sur les lieux, les pompiers se sont trouvés face à une cinquantaine de personnes armées. En tentant de rebrousser chemin, ils se sont trouvés dans un "guet-apens d'une vingtaine de personnes". Armés de pierres, parpaings et battes de baseball, leurs attaquants s'en sont pris violemment au camion et ont réussi à briser les vitres. "On a vraiment frôlé la catastrophe, il aurait pu y avoir des morts", explique le pompier visiblement encore choqué par l'attaque. Une action organisée et préméditée sans précédent, d'après le pompier, qui évoque cependant des violences précédentes contre les pompiers dans la région, mais jamais rien d'une telle intensité. "On est là pour aider, c'est honteux", ajoute Nicolas qui souligne que de nombreuses insultes ont fusé durant l'attaque, notamment "contre les Corses".

Ce vendredi 25 décembre, plusieurs centaines de personnes s'étaient rassemblées dans la ville d'Ajaccio pour manifester leur soutien aux pompiers et aux membres des forces de l'ordre. Certains des pompiers blessés dans l'attaque étaient également présents. Plusieurs personnes ont ensuite saccagé une salle de prière musulmane qui était située à côté du lieu du guet-apens dans le quartier de l'Empereur. Des représailles fermement condamnées par la classe politique. Les forces de l'ordre sont toujours déployées dans le quartier pour essayer de limiter la multiplication des incidents. Mais en milieu d'après-midi samedi, plus de 300 personnes ont forcé le barrage de police.

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Plutôt « qu’entendre le message des Français », mieux vaudrait les écouter…

Ce qui est insupportable au lendemain des scrutins à deux tours, c’est la mine déconfite d’un certain nombre de camarades lorsqu’on leur annone que le FN n’a conquis qu’une poignée de communes, zéro départements ou zéro régions. On en a même entendu certains, déclarer qu’ils envisageaient de s’installer dans un pays « européen » d’Amérique du sud pour y créer leur propre communauté tel un Little italy ou un China town. Il faut leur rappeler qu’en 1965 Tixier Vignancour n’avait obtenu « que » 5 % à l’élection présidentielle, ce qui était formidable à l’époque, et que le FN avait mis 12 ans pour atteindre en 1984 son premier résultat significatif aux élections européennes. On ne peut que répéter pour les naïfs que -sauf guerre ou révolution- la caractéristique du corps électoral est la stabilité avec une évolution sur le long terme de 0,5 à 1 % par an. Le meilleur exemple étant la lente dégringolade du parti Communiste français, qui aura mis 40 ans pour chuter de 20 points.

Le problème du Front national pour les élections à deux tours, c’est que ce parti  n’a pas de réserve et qu’il ne veut pas -ou ne peut pas- conclure d’alliance;  à titre d’exemple, 58% des électeurs du parti de Dupont-Aignan se sont reportés au second tour vers les « Républicains ». Il était dit ici, il y a une semaine, que ceci pouvait changer au-delà de 30 % des voix sur l’ensemble du territoire. Par contre, et à l’inverse de ce que prétendent les commentateurs officiels, la mobilisation de second tour bénéficie autant au Front national qu’à ses adversaires sauf situations particulières liées au charisme de chaque candidat (Marion par exemple). Le FN n’a engrangé aucune région, certes, mais il a recueilli pratiquement 7 millions de voix au soir du 13 décembre, score jamais atteint mais encore très éloigné des 18 millions de voix de François Hollande au second tour de la présidentielle de 2012… c’est loin d’être gagné.

Pour faire enrager nos amis du FN je leur fais remarquer que leur parti a tout de même conquis une région, si ce n’est sur le terrain électoral tout au moins sur celui des idées, c’est la Corse qui a élu des autonomistes sur un programme identitaire qui va même au-delà de celui du Front National : préférence régionale, statut de résident (5 ans d’ancienneté sur l’ile pour devenir propriétaire), protection du patrimoine, de la culture et de la langue… Les relations futures entre l’assemblée de Corse et le gouvernement français ne ressembleront pas à un long fleuve tranquille si l’on observe l’attitude anti-démocratique de Manuel Valls au soir du second tour qui a omis de féliciter Gilles Siméoni comme il l’a fait pour les 12 autres futurs présidents des régions françaises. Il est vrai que la proximité de l’électorat FN et autonomiste du point de vue sociologique est telle que la Corse est le département français où le FN réalise ses  scores les plus faibles par un jeu de vases communicants. Bienvenue au nouveau patron de la Corse dans le club des intouchables…

Dans notre nouvelle grande région “Occitanie” on notera l’excellent score de Louis Aliot sur la partie Languedoc-Roussillon, ce qui lui aurait certainement permis d’être élu, si Hollande n’avait pas voulu entrer dans l’histoire par le biais de la réforme territoriale. Ce qui renforce ce que nous avons toujours dit à savoir que l’objectif réel de cette réforme était de favoriser l’élection des affidés du premier cercle du président de la République…

Terminons ce tour d’horizon par les Antilles où les régionalistes enlèvent la collectivité territoriale de la Martinique en battant le président sortant socialiste avec l’aide de la liste minoritaire des républicains ce qui constitue un revers cuisant pour la gauche. Silence-radio dans les médias…

Dès les résultats du second tour connus, les hommes politiques (Valls, Cambadélis, Raffarin, NKM, Juppé…) bousculés -pour une fois- par les journalistes, ressortaient leur éternel refrain « on a compris le message des français » pour retomber dès le lendemain dans leur cuisine immonde du « Pacte républicain », de la « majorité d’idées », de la « nouvelle majorité » autant de « concepts Théodule » -aurait dit De Gaulle- à base de vaseline… mais ce qu’ils n’ont pas entendu, c’est le message du peuple français -tous partis confondus- qui clament tout haut : « quand on sort dans la rue, on a l’impression de ne plus être chez nous, on ne reconnaît plus notre pays ! ».

Messieurs les politiques, il ne suffit plus d’entendre les français, il faut les écouter…

Rémy Lebard, 21/12/2015