Que vous soyez sympathisant, spectateur ou même acteur du jeu politique, il ne vous aura pas échappé que l'insulte "Facho !" ou "Fasciste" est foisonnante. Aujourd'hui, on va voir en quoi cette insulte en dit plus sur celui qui l'assène que celui qui la subit !
Blog Archives
Eclairage UW – Ecologisme, un néo-communisme et un nouvel avenir radieux ?
Un ado dénonce son père pour avoir participé à l’intrusion au Capitole et il est récompensé pour cette trahison
Cenator : Le mouchardage politique entre membres d’une même famille est propre aux régimes fascistes ou communistes, et avec les putschistes de la Maison Blanche, nous sommes exactement dans cette configuration.
C’est une méthode éprouvée dont se sert un État totalitaire pour détruire la cellule familiale, la dernière unité qui puisse lui faire concurrence.
Les nazis disaient que l’éducation des enfants par l’État doit commencer le plus tôt possible, afin d’extraire l’enfant de l’influence familiale. C’est également ce que les marxistes ont fait et continuent à faire.
Ce sont les conservateurs qui prônent que la mère reste avec ses enfants en bas âge et s'en occupe à plein temps jusqu'à l’âge scolaire pour le développement optimal de sa personnalité.
Les petits mouchards comme Jackson Reffitt, qui a dénoncé son père au FBI, soit deviennent des déchets moraux, soit auront des remords toute leur vie.
La vie de la famille Reffitt est détruite à jamais, celle de ses sœurs, de sa mère et bien sûr de son père, qui ne pourra plus subvenir aux besoins de sa famille.
Pour les parents, ce genre de coup de poignard dans le dos reste une plaie qui ne pourra jamais cicatriser.
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Un adolescent du Texas a dénoncé au FBI son père qui avait participé aux événements du Capitole et a reçu grâce à cela des milliers de dollars de ses admirateurs.
Quand le père de Jackson Reffitt est rentré chez lui après l’émeute du Capitole le 6 janvier, il affirme avoir dit à son fils de garder le secret: « Si tu me dénonces, tu es un traître. Et tu sais ce qui arrive aux traîtres. On les exécute. »
Mais Jackson avait déjà dénoncé son père, Guy Reffitt, 48 ans, aux agents du FBI, leur disant qu’il pensait que son père prévoyait « un gros truc » le jour de la certification des résultats.
Effectivement, le père a été identifié sur des vidéos prises au Capitole. Il a été arrêté à son domicile et accusé d’obstruction à la justice et d’intrusion illégale, bien qu’il affirme ne pas être entré dans le bâtiment.
«Ma mère et mes sœurs sont anéanties», a tweeté le fils félon, qui a maintenant quitté le domicile familial et est devenu une sorte de célébrité.
Encouragé apparemment par ses fans, il a lancé un crowd funding et a récolté 87'000 dollars en trois jours, grâce auxquels il a pu payer ses études, réparer sa voiture et se payer une assurance dentaire.
Jackson a reçu un flot de tweets louangeurs, qui vantaient son «courage» ou qui compatissaient:
«Tu es un patriote, mais tu es probablement aussi rongé par la culpabilité. Essaie de ne pas l'être. Sur le noir chemin où il s'est engagé, il aurait bien pu avoir une rencontre fatale avec la police. Tu as contribué à empêcher cela et à lui sauver la vie. La vie est infiniment précieuse, même en prison.»
«Jeune homme, je sais que c'était difficile, mais tu as fait ce qu'il fallait pour toute ta famille. Ton père devait être arrêté pour qu'il puisse être déprogrammé et comprenne dans quelle position terrible il t'a mis. […].»
Mais d’autres tweets n'étaient pas de cet avis:
«Conneries. C'est l'endoctrinement de gauche qui a souillé le cerveau de ce gamin. Biden, BLM et Antifa ont manipulé ce punk.»
et Jackson s'est aussi fait traiter d'«idiot» ou de «petit lèche-bottes au cerveau lavé».
Turn snitch and get rich: Texas teen gives his own dad in to the FBI, pays his way through college
[N.d.t. Un autre tweet disait : «Il y avait aussi ce type qui accueillait les naïfs dans le Jungvolk. Et il y avait les enfants espions de l'époque de la Stasi. Pas un bon chemin.»
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Jackson, 18 ans, […] dit que son père fait partie d'une milice d'extrême droite et que ses opinions se sont radicalisées au fil des ans.
Voici comment il explique pourquoi il a appelé le FBI à son sujet:
"C'est ma boussole morale, en quelque sorte. J’ai fait ce que je pensais qui protégerait non seulement ma famille, mais mon père lui-même. Ce n'était pas simplement parce que je pense qu'il est agressif, je pense plutôt qu'on l'a manipulé pour qu'il croie qu'il est agressif."
Les enquêteurs ont dit que Guy Reffitt faisait partie d'une milice d'extrême droite connue sous le nom d'Organisation des 3%.
"Il avait déjà compris que le FBI le surveillait", dit Jackson.
Concernant l'arrestation, Jackson dit qu'il voulait empêcher une confrontation.
"La police aurait pu intervenir à n’importe quel moment, peut-être au mauvais moment, et mon père aurait pu ouvrir le feu."
Le FBI surveillait déjà son père, mais Jackson a dit qu'il ne regrettait pas d'avoir appelé à l'aide (sic).
Journaliste: "Tu as eu l'occasion de lui parler depuis son arrestation?"
Jackson: "Non, mais j'aimerais pouvoir."
Journaliste: "Qu'est-ce que tu lui dirais?"
Jackson: "Je lui dirais que je suis désolé, car que je n'ai pas l'impression que c'est moi qui l'a mis dans cette situation, mais je me sens quand même coupable."
Journaliste: "Mais tu le referais?"
Jackson: "Oui, je le referais."
[…]
Son of Wylie man charged in Capitol riot talks about why he contacted FBI about his father
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Jackson Reffitt n’est pas le seul jeune à avoir mouchardé des membres de sa famille. Une fille de 18 ans a dénoncé sa mère, sa tante et son oncle après les avoir reconnus sur une photo. Une autre a rompu avec sa son père et l’a dénoncé quand elle l’a vu au Capitole.
After Capitol Hill riots, children rat out their right-wing parents to the media
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USA Today a publié 29 photos prises au Capitole le 6 janvier et imploré « l’aide » de ses lecteurs pour identifier les personnes qui s’y trouvent. Certains lecteurs ont répondu avec zèle. D’autres au contraire se sont demandé pourquoi le journal n’avait pas fait de même durant les six mois d’émeutes de Black Lives Matter.
Résumés Cenator
Chine communiste : 4 ans de prison pour la journaliste citoyenne Zhang Zhan qui avait couvert la pandémie à Wuhan
Zhang Zhan, 37 ans, a été condamnée pour « trouble à l'ordre public » par un tribunal de Shanghai, qui lui reproche d'avoir diffusé des informations en direct lors du déclenchement de l'épidémie de coronavirus à Wuhan.
Avec plusieurs autres journalistes citoyens, elle avait, dès février, décrit, une situation plus dramatique que ce que les autorités chinoises disaient.
[...]
Rappels :
Coronavirus. Economie : la Chine communiste se moque de nous
Chine: Un avocat des droits de l’homme détenu, sa famille menacée; Infiltration du PCC révélée aux E.U. (8:10)
La Chine exerce une « surveillance de masse » sur les téléphones portables
Trump reproche à la Chine d’avoir «infecté le monde»
Coronavirus : la Chine Continue d’Inonder le Monde de Fournitures Médicales Défectueuses
Faut-il demander des « réparations » à la Chine pour la pandémie ?
Pékin a-t-il menti sur le nombre de morts ? Vidéos de ce qui se passait en Chine et que nos médias n’ont pas montrées.
Convergence des luttes : les communistes, les Frères musulmans et Black Lives Matter
Les Frères musulmans et Black Lives Matter
Par Mike Scruggs, 28.09.2016
[…]
Dans un discours prononcé en décembre 2015 devant la Société musulmane américaine (Muslim American Society, MAS) et le Cercle islamique d'Amérique du Nord (ICNA), Nihad Awad, le directeur exécutif du CAIR (Council on American-Islamic Relations), a exhorté les musulmans américains à soutenir la cause de Black Lives Matter, avec ces mots:
"Black Lives Matter est notre affaire. Black Lives Matter est notre campagne."
Lors de ce même événement, un cadre de la MAS, Khalilah Sabra, a appelé à la "révolution" et a comparé la situation aux États-Unis aux révolutions du printemps arabe menées par les Frères musulmans en Égypte, en Libye, en Tunisie et en Syrie. Elle a fait des remarques troublantes:
"Nous sommes la communauté qui a organisé une révolution à travers le monde; si nous pouvons faire cela, pourquoi ne pourrions-nous pas avoir cette révolution en Amérique?"
En septembre 2015, les organisations locales du CAIR de Californie ont ouvertement soutenu et participé à une manifestation de Black Lives Matter en faveur d'un projet de loi interdisant le "profilage" au bureau du gouverneur à Sacramento.
L'un des slogans scandés était "Voici à quoi ressemble un pharaon." C'était une allusion effrayante à l'assassin d'Anouar el-Sadate en Égypte, qui avait crié "Mort au pharaon".
Le CAIR a également participé aux manifestations de Black Lives Matter à Ferguson, Missouri.
Les manifestations de Black Lives Matter reflètent les tactiques d'agitation typiques de la gauche. Dans mon livre sur la guerre du Vietnam, j'ai noté l'étroite similitude des tactiques opérationnelles communistes, nazies et islamistes en matière d'"organisation communautaire" et de perturbation civile. Une tactique standard des marxistes aux États-Unis a été de créer ou d'exploiter des griefs raciaux. Nous avons maintenant une attaque conjointe marxiste-islamiste contre l'ordre public par le biais de l'agitation raciale. Michelle Malkin a récemment découvert que 70 % des manifestants de Charlotte, Caroline du Nord, venaient de l'extérieur de l'État.
L'Association des étudiants musulmans (MSA), un autre front des Frères musulmans, a récemment rejoint Black Lives Matter dans une manifestation à Chicago pour perturber un rassemblement de la campagne Donald Trump. L'arme la plus puissante dans l'arsenal des Frères musulmans, cependant, ce sont des masses de pétrodollars blanchis. […]
Source:
http://www.thetribunepapers.com/2016/09/28/the-muslim-brotherhood-and-black-lives-matter/
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Vidéo: Black Lives Matter, un pion du Hamas, 18.06.2016
Découvrez comment le Hamas, une entité des Frères musulmans, utilise le Black Lives Matter Movement pour promouvoir l'agenda terroriste
(sous-titres en français disponible sur Youtube)
À Seattle, c’est déjà une réalité : des Antifa armés font la loi dans une « zone autonome » sans police
Cenator : À Seattle, une centaine de « manifestants » d’extrême gauche ont pris le contrôle de plusieurs blocs et établi une « zone autonome » sans police. Peu après, un rappeur local en a revendiqué le contrôle et a mis sur pied une force de sécurité intérieure.
L'endroit est désigné sous le nom innocent de "Zone autonome de Capitol Hill" (CHAZ), et des rapports affirment que des activistes armés extorquent de l’argent aux commerces et aux entreprises, interceptent et fouillent les personnes qui entrent dans la zone pour les désarmer, et utilisent la "justice populaire" [lynchages] pour lutter contre la criminalité interne.
Et alors que des villes américaines commencent à déconfiner, des fonctionnaires pourraient être poursuivis en justice si leurs règles ont été trop strictes. Le sénateur Hawley demande au procureur général William Barr d'enquêter pour savoir si des fonctionnaires de l'État ou des collectivités locales ont violé les lois sur la protection religieuse.
Sources :
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Sur Fox News, cinq personnalités croisent le fer sur la légitimité de la « Zone autonome » de Seattle:
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Carmen Best, chef de la police de Seattle :
Dans la « zone autonome », les appels d’urgence ont triplé mais nous ne pouvons plus nous rendre sur place :
Seattle Police Chief: ‘We’re Not Able to Get to’ 911 Calls for ‘Rape, Robbery’ in Autonomous Zone
Chef de la police de Seattle : Viols, vols et toutes sortes d'actes de violence se produisant dans la zone autonome, sans pouvoir y accéder.
"Nos appels de service ont plus que triplé", a-t-elle déclaré aux journalistes. "Il s'agit de réponses aux appels d'urgence - viols, vols et toutes sortes d'actes violents qui se sont produits dans la zone que nous ne pouvons pas atteindre."
C'est ce qui se passe lorsque les démocrates lancent l'appel pour les citoyens américains. Ils semblent toujours se ranger du côté du mal et cèdent à ce qu'il veut, juste pour gagner plus d'électeurs.
Ils sont capables de les atteindre. Ils ont juste pour priorité de laisser une bande de crétins jouer les révolutionnaires plutôt que d'empêcher les vols et les viols.
- John Hawkins (@johnhawkinsrwn) 12 juin 2020
Tendance : Le juge de Washington condamne le choix de Sullivan d'argumenter ses raisons de continuer à persécuter Michael Flynn
- John Hawkins (@johnhawkinsrwn) 12 juin 2020
Oh mon Dieu, j'ai dit que c'est comme Jones Town, je ne pense pas que les gens connaissent la référence. C'est terriblement triste. Je suggère qu'un grand et beau mur autour de la ville la libère. Peut-être l'État entier. Broad Squad peut s'en occuper Wackastan. La destruction socialiste en temps réel. Le Seigneur des mouches
- Jannywonders (@czarofwonder) 12 juin 2020
C'est Occupy Seattle version 2020 - Les démocrates et les flics n'ont rien fait pour arrêter Occupy dans le passé où la violence, les viols et les crimes se produisaient sans opposition
- #MikeBrady#Dormouse#BelfastChancellor#Sneaksby (@trumpgender) 12 juin 2020
Que veut-elle dire par "ils ne peuvent pas les atteindre" ? C'est la POLICE. Allez-y et faites votre travail, @SeattlePD.
- GiraffinMeCrazy (@GiraffinC) 12 juin 2020
Je commence à voir un schéma ici....tous les départements de police dits racistes sont dirigés par des chefs noirs......Minneapolis, Seattle, et Portsmouth. S'ils sont si racistes, comment cela se fait-il exactement ?
- Warlord Murder Hornet (@HornetStings) 12 juin 2020
Donc c'est littéralement le FAR WEST ? est WYATT EARP ?
- (@MatthewAdessa1) 12 juin 2020
Seattle est choquante. Simplement choquantw. J'y suis allé l'année dernière pour la première fois dans l'espoir de voir la belle ville du passé. Tout ce que j'ai pu penser, c'est : Comment cela peut-il être les États-Unis d'Amérique ? C'est juste un dépotoir. Une décharge. Pareil pour San Francisco.
- Veronik (@nonsensebugs) 12 juin 2020
"Quand les élites culturelles et éducatives passent une génération à dire aux enfants à quel point ce pays est merdique, ils ne devraient pas être surpris que ces enfants deviennent des adultes désireux de le mettre en pièces. Rien de tout cela n'a commencé la semaine dernière ou l'année dernière. Le mal a été fait pendant des décennies" Dan Bongino
- Wayne Dunlap (@wdunlap) 12 juin 2020
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Tweet de Donald Trump :
La gouverneure d’extrême gauche @JayInslee et le maire de Seattle se font narguer et tourner en bourriques à un niveau que notre grand Pays n’a jamais connu auparavant. Reprenez le contrôle de votre ville MAINTENANT. Si vous ne le faites pas, je le ferai. Ce n'est pas un jeu. Ces sales anarchistes doivent être mis en échec IMMÉDIATEMENT. DÉPÊCHEZ-VOUS !
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Extrait du site web de Stephen Coughlin et Rich Higgins :
Ces dernières années, Antifa a fonctionné relativement sans entrave des forces de l'ordre malgré son recours à la violence. De nombreux analystes attribuent cette "clémence" au fait qu'ils bénéficiaient de la sympathie de la gauche libérale et de l'establishment politique et médiatique […]
"L'objectif d'Antifa n'est rien de moins que de fomenter la révolution, la guerre civile et de faire taire les anticommunistes américains", a déclaré M. Higgins, un ancien expert en guerres irrégulières du Pentagone.
"Le fait de qualifier les partisans et les patriotes de Trump de nazis et de racistes est la norme pour les groupes communistes de gauche".
L'idéologie d'Antifa est au centre du marxisme-léninisme, a-t-il dit.
"Actuellement, Antifa commande et contrôle les émeutes, qui sont elles-mêmes ouvertement utilisées pour exercer de la violence contre des symboles tels que les magasins : le capitalisme ; les monuments : l'histoire ; et les églises : Dieu."
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Quatre jours après avoir instauré le communisme, les Antifa/Black Lives Matter sont déjà entrés en pénurie!
Parce que les chauffeurs de camions refusent catégoriquement d'effectuer les livraisons dans ces defunded zones.
On pourrait être mort de rire s'il n'y avait pas, derrière cette mascarade, tant de souffrances, de destruction de vies et de biens.

Résumés, traductions, commentaires: Cenator
Holodomor : lorsque les communistes provoquaient une famine tuant 4 millions de personnes. Personne pour exiger des excuses?
Trois à cinq millions de morts. C'est le lourd bilan de l'Holodomor (qui signifie "extermination par la faim" en ukrainien), la grande famine qui a frappé l'Ukraine entre 1932 et 1933, en pleine ère stalinienne.
Le pays a commémoré ce samedi cet événement tragique. A Kiev, le Président Volodymyr Zelenskiy et la Première Dame Olga Zelenska ont rendu hommage aux victimes en plaçant des bougies au pied de la statue de la "Fille de la faim" - symbole de la famine.
Ukraine, hiver 1933: enfants abandonnés dormant dans les rues. Rue des Archives/Tallandier
Cette grave pénurie a été causée par la collectivisation forcée des terres agricoles et la réquisition excessive des denrées alimentaires par le régime communiste, pour les vendre aux autres pays européens.
"Comment est-ce possible d'avoir l'idée de tuer une nation entière ?", s'est demandé Volodymyr Zelensky. "Comment est-ce possible de prendre la dernière bouchée de pain a un peuple, et avec elle, sa dernière once d'espoir ?"
Cette grande famine a été longtemps cachée par l'URSS. [...]
Angers : 2 militants communistes mis en cause dans des affaires de viols et d’agression sexuelle
Soupçons de viol et d’agression sexuelle de deux colistiers à Angers. Alain Pagano du PCF s’exprime aujourd’hui.
Mis en cause dans une affaire d’agression sexuelle pour l’un et des accusations de viols pour l’autre , deux colistiers de la liste d’Yves Aurégan appartenant au PCF s’étaient mis en retrait de la liste et de la campagne. Le chef de file du PCF à Angers, avait fait le choix de se retirer de la liste également. Quelques jours avant l’élection du maire d’Angers, ancien élu à la ville Alain Pagano fait le choix de s’exprimer à présent sur cette affaire .
[…]
via Fdesouche
Coronavirus : la Chine en guerre contre la vérité
par Giulio Meotti -10 mars 2020 -Traduction du texte original: Coronavirus: China's War on the Truth
- « L'épidémie a mis à nu la corruption, la bureaucratie, le contrôle de l'information et la censure qui sévissent dans ce pays. » - Phillip Wu, écrivain indépendant à Pékin, The Guardian, 1er mars 2020.
- Il y a eu aussi ces journalistes et militants qui ont dit la vérité, puis qui ont été arrêtés ou ont « disparus ». Le régime chinois claironne son intention de publier un livre en six langues sur l'épidémie qui présenterait le président Xi comme le « leader à la tête d'une puissance mondiale » mais qui est aussi « proche du peuple ».
- L'Italie a commis l'erreur fatale de faire confiance au régime chinois. Au lieu de contrôler chaque personne - Chinoise ou Italienne – de retour de Chine à partir de janvier, l'Italie a gardé ses frontières ouvertes. Des dizaines de milliers d'Italiens sont aujourd'hui en quarantaine ...
- L'idée que le coronavirus pourrait avoir un lien avec le laboratoire de virologie de Wuhan passe pour une « théorie du complot », mais le refus de la Chine d'accepter l'aide des Centers for Disease Control des États-Unis (Centres de contrôle de la maladie) a suscité des soupçons bien naturels.
« Au train où vont les choses, la Chine est susceptible de causer des dommages importants au reste du monde, par accident ou intentionnellement », a écrit le 29 janvier Daniel Henninger, chroniqueur du Wall Street Journal .
« Le gouvernement communiste chinois ne représente pas seulement une menace existentielle pour ses 1,4 milliard de citoyens, mais aussi pour le reste du monde » a écrit le 20 février le célèbre historien Victor Davis Hanson.
Selon The Sunday Times,
« à la fin du mois de décembre, les laboratoires chinois ont identifié un mystérieux virus qui s'est avéré être un nouvel agent pathogène hautement infectieux. Mais ordre leur a été donné d'arrêter les expérimentations, de détruire des échantillons et de supprimer toute information à ce sujet, a révélé un média chinois.
« A Wuhan, centre de l'épidémie, un responsable régional de la santé a exigé la destruction des échantillons de laboratoire qui ont été à l'origine de la pneumonie virale inexpliquée du 1er janvier. La Chine n'a reconnu la transmission interhumaine que plus de trois semaines après qu'elle ait eu lieu.
« Caixin Global, une très respectée publication indépendante, a apporté la preuve éclatante qu'une dissimulation de grande ampleur a eu lieu dans les premières semaines de l'épidémie, au moment précis où il était encore possible de la contrôler. »
Dans un discours prononcé le 31 décembre 2019, Xi Jinping a annoncé triomphalement l'arrivée d'une année « qui sera d'une importance fondamentale dans la réalisation des objectifs de ce premier centenaire ».
« La censure. Elle peut avoir des conséquences mortelles », a déclaré le secrétaire d'État américain Mike Pompeo le 25 février. « Si la Chine avait autorisé ses journalistes et ses professionnels de santé à parler et à enquêter librement, les autorités chinoises elles-mêmes et les gouvernements étrangers auraient été mieux préparés à relever le défi ». Malheureusement, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait le contraire et a « félicité » la Chine pour sa mobilisation contre le virus. L'Europe s'est également empressée d'apaiser la Chine.
En Chine, 780 millions de personnes - soit la moitié de sa population – ont des déplacement contraints. Et Xi Jinping utilise la crise sanitaire pour renforcer son contrôle sur la société chinoise. Depuis 2013, il n'a eu de cesse d'accroitre son immense pouvoir pour devenir « président à vie » et il a profite du coronavirus pour faire taire la dissidence et resserrer son étreinte sur la société.
L'Italie qui dispose de la population la plus contaminée en Europe affronte une situation que Massimo Galli, le principal spécialiste des maladies infectieuses à l'hôpital Sacco de Milan décrit ainsi :
« Nous sommes en situation d'urgence absolue. Oui, je suis inquiet. De toute évidence, l'épidémie progresse dans toute une partie de l'Italie ... Le système de santé approche de son point de rupture. Le nombre de patients hospitalisés simultanément parce qu'ils souffrent de maladies graves est l'équivalent d'un tsunami. Ce n'est que la pointe de l'iceberg. Même le meilleur système de santé au monde, et nous faisons partie des meilleurs, approcherait de son point de rupture ».
Pendant ce temps, la Chine poursuit sa guerre contre la vérité. Le laboratoire du Shanghai Health Center a été fermé le 12 janvier, au lendemain du jour ou l'équipe du professeur Zhang Yongzhen a rendu publique la séquence du génome du coronavirus sur des plateformes scientifiques ouvertes. Le régime chinois a empêché ses biologistes d'élaborer des moyens pour contenir l'épidémie. Leur « crime » ? Avoir diffusé la séquence en question avant que les autorités chinoises aient pris elles-mêmes la décision.
« L'épidémie a mis à nu la corruption qui sévit dans ce pays, sa bureaucratie, son contrôle de l'information et sa censure », a déclaré Phillip Wu, journaliste indépendant à Pékin. Et ceux qui s'imaginent que le régime chinois est uniquement préoccupé des affaires chinoises, doivent absolument lire cet article britannique qui révèle comment la Chine bride la liberté académique au Royaume-Uni.
Zeng Yingchun et Zhen Yan, deux infirmières de Wuhan, épicentre de l'épidémie de coronavirus, ont, dans une lettre publiée par The Lancet, imploré la communauté scientifique internationale de venir en aide à la Chine :
« Les difficultés liées aux conditions de travail et à l'environnement dépassent l'entendement. Les équipements de protection, tels que les respirateurs N95, les écrans faciaux, les lunettes, les blouses et les gants, manquent cruellement. Les lunettes en plastique doivent être nettoyées et stérilisés à plusieurs reprises dans le service, ce qui les rend quasiment inopérantes ».
Le lendemain, les infirmières ont demandé au Lancet que leur lettre soit dépubliée.
Le régime chinois a arrêté Li Wenliang, le médecin auteur de la première alerte sur cette épidémie qui a fini par le tuer. Le 30 décembre, Li Wenliang a envoyé une mise en garde à ses collègues médecins, mais la police lui a dit d'arrêter de « diffuser de fausses informations ». De nombreux journalistes ont dit la vérité, mais ont été arrêtés ou ont « disparus ». Les médias sociaux en Chine ont parlé du virus plusieurs semaines avant que le gouvernement n'agisse officiellement. Le régime communiste chinois annonce maintenant son intention de publier un livre sur l'épidémie qui présentera le président Xi comme le « leader d'une puissance mondiale » mais aussi comme un chef « proche du peuple ». Le livre sera traduit en six langues.
L'Institut de virologie de Wuhan qui promeut des recherches sur les « agents pathogènes les plus dangereux du monde » dispose du plus haut niveau de confinement biologique de tout le continent. Emettre l'idée que le coronavirus est lié aux recherches menées à Wuhan sur les virus amène certains à vous taxer immédiatement de « complotisme ». Mais le refus des Chinois d'accepter immédiatement l'aide des Centers for Disease Control des États-Unis a fait germer des soupçons. Selon Paul Wolfowitz, ancien président de la Banque mondiale et ancien secrétaire adjoint américain à la défense :
« Le fait que Wuhan abrite un Institut de Virologie qui mène des recherches avancées sur les virus et que certaines de ses missions sont classifiés parce qu'effectuées pour le compte de l'armée chinoise a suscité des spéculations bien prévisibles ; le nouveau virus Corona a très bien pu s'échapper de cet institut ».
« Méfiez-vous du narratif chinois : le coronavirus a très bien pu s'enfuir d'un laboratoire », a écrit Steven Mosher, expert de la Chine, dans le New York Post. Nous ne connaissons pas la vérité et ne la connaîtrons sans doute jamais. La théorie selon laquelle le virus se serait échappé d'un centre de recherche biologique pourrait s'avérer très « fragile ». Mais compte tenu du niveau de secret qui règne en Chine et de la dangereuse censure qui a été instaurée, au nom de quoi les interrogations sur l'origine du virus seraient-elles illégitimes ?
A l'évidence, les communistes chinois n'ont aucun respect pour la vie, la liberté ou la dignité humaines. Le régime tue des prisonniers pour prélever leurs organes à des fins de transplantation et procède à des « avortements forcés » pour « contrôler la population ». Il y a non seulement une épidémie de virus mais aussi une épidémie « d'infanticides ». Harry Wu, un activiste chinois des droits de l'homme âgé de 75 ans, affirme que « six à huit millions de personnes sont détenues dans des « camps de rééducation ». En taisant la vérité sur ce coronavirus mortel, le régime chinois a mis en danger son propre peuple mais aussi la communauté internationale.
L'erreur fatale de l'Italie a été de faire confiance au régime chinois. Au lieu de contrôler tous les voyageurs - chinois ou italiens - revenant de Chine à partir de janvier, l'Italie a gardé ses frontières ouvertes. Au 10 mars, 9 172 personnes étaient infectées et 464 avaient décédé. Le 8 mars, la quarantaine a été imposée à un quart de la population italienne, accroissant ainsi les risques de paralysie de l'économie du nord de l'Italie, augmentant la peur et l'hystérie de la population. A Milan, la population a entrepris de vider les supermarchés. L'Italie est désormais le troisième pays le plus infecté au monde après la Chine et la Corée du Sud, avec l'Iran non loin derrière.
Dans le South China Morning Post, le professeur Dali Yang, politologue à l'Université de Chicago, a comparé les retombées du coronavirus à la catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl en Ukraine en 1986. « Ce sera une crise aux proportions de Tchernobyl, notamment parce que la lutte contre le virus va s'étaler sur plusieurs années », a déclaré Yang. Les sociétés pharmaceutiques et biotechnologiques du monde entier travaillent sur un vaccin qui devrait à un moment donné limiter les dégâts. En Russie soviétique, en 1979, des spores mortelles d'anthrax se sont échappées d'un centre de fabrication d'armes bactériologiques de Sverdlovsk, tuant au moins 64 personnes. Les autorités soviétiques et russes ont réussi à masquer l'incident jusqu'en 1992. Les catastrophes nucléaires, virales et biologiques - suivies d'une campagne de l'État pour imposer le secret - semblent être monnaie courante dans les dictatures.
Malheureusement, les pays occidentaux commettent sans arrêt la même impardonnable erreur : Chine communiste ou Union soviétique, il est impossible de faire confiance à une dictature paranoïaque et impitoyable. Le dissident chinois Ma Jian est formel , « le totalitarisme de Xi est un virus qui menace la santé et les libertés du peuple chinois, mais aussi pour la santé et la liberté des autres peuples de la planète ».
Un post sur WeChat dédié à feu le Dr Li Wenliang était composé de citations du chimiste soviétique Valery Legasov, qui a enquêté sur la catastrophe de Tchernobyl mais que le régime soviétique a réduit au silence :
« Il y a un prix à payer pour les mensonges. Ce prix n'est pas que nous les confondions avec la vérité. Le vrai danger est qu'à force d'entendre des mensonges, nous ne soyons plus capables de reconnaître la vérité ... »
Legasov a fini par se suicider. Un jour, nous, Occidentaux, pourrions avoir à nous repentir de ne pas avoir demandé des comptes au régime communiste chinois pour les crimes qu'il a commis de sang-froid. Apaiser la Chine, après avoir apaisé l'Union soviétique, n'est pas seulement un échec ; c'est une menace mortelle.
Giulio Meotti, éditeur culturel pour Il Foglio, est un journaliste et auteur italien.
BEIJING, CHINA - DECEMBER 02: Chinese President Xi Jinping speaks with Russian President Vladimir Putin via a video link, from the Great Hall of the People on December 2, 2019 in Beijing, China. (Photo by Noel Celis - Pool/Getty Images)
source: Gatestoneinstitute:
Le mao Badiou veut ressusciter le communisme : nostalgie du Cambodge ?
LA GUERRE EN FRANCE
Sur France Culture, Alain Badiou, complice du génocide cambodgien, propose de ressusciter le communisme. Au secours, il va nous exhumer la famille Pol Pot toute entière pour une expo au Grand Palais ! Ils seront tous là, les anciens compagnons de route de Badiou ; ceux des camps d’extermination par le travail forcé, ceux du Centre S21 où l’on tortura gaiement, les tueurs de profs et de médecins, les fossoyeurs de masse friands de foie bouilli riche en « substances vitales », les souris noires spécialisées dans le traitement définitif, à coups de bâton, des femmes et de leurs enfants, tous et les autres, à la parade sur un tas d’un million et demi à deux millions de gens, on ne sait pas au juste mais il en est mort beaucoup, et monsieur Alain Badiou, citoyen français, camarade d’élite, saluant le défilé, de la boue rougeâtre plein les charentaises, pouah ! Sortez-moi de ce cauchemar ! Et ramenez donc Alain Badiou chez lui, agenouillé devant le portrait de Mao.
Face à ce qu'il appelle "une considérable agitation populaire", le philosophe Alain Badiou propose de revenir aux origines du communisme, qui "a pris une forme étatique et despotique. Il faut le ressusciter, au vu de la situation déchaînée du capitalisme triomphant." pic.twitter.com/1YLqJrm0jM
— France Culture (@franceculture) January 25, 2020
LA DICTATURE MACRON EN MARCHE
Le compagnon de Caroline Christa-Bernard, cette jeune femme, témoin des massacres du Bataclan, qui était passée sur une émission de Pujadas avec Zemmour et Cohn-Bendit, a été victime d’un AVC, il y a quelques mois, et a dû subir une opération du cœur. C’est donc un homme fortement diminué, qui n’a plus toutes ses facultés mentales. Ce qui n’a pas empêché 12 vaillants policiers de le perquisitionner, 4 heures durant, et de lui piquer nombre d’affaires, pour participation à une organisation d’ultra droite, rien de moins ! Le malheureux, totalement déboussolé, s’est enfui dans la nature, pour être retrouvé 24 heures après. Traumatisé, il est en hôpital psychiatrique. Cela s’est fait le même jour que celui où la Belloubette relaxait son premier djihadiste. Voilà qui confirme les priorités de ce régime : écrabouiller toute embryon de résistance.
https://www.youtube.com/watch?v=OFirydiaots
JJ Bourdin, Macronien de la première 25e heure. Le spadassin est un reître spécialisé en coups de poignard dans le dos des gens désarmés. Démonstration ici même, en appui d’une contemptrice de la jeune Mila. Du beau travail.
#JeSuisMila : "Je pense qu'elle a compris qu'on sait tous parler, mais que s'exprimer en public s'apprend"
Justine Atlan, directrice de l'association e-enfance#BourdinDirect 🎙 https://t.co/reUuVq4iwt pic.twitter.com/zT21AfOKdQ
— RMC (@RMCinfo) January 24, 2020
Histoire : Les communistes iraniens pensaient utiliser les islamistes pour arriver à leurs fins
« On ne pensait pas que la révolution allait se transformer en cauchemar islamiste »
Les militants du Tudeh, le parti communiste iranien, étaient aux côtés des islamistes il y a 40 ans. Aujourd’hui, le nom du parti est tabou en Iran.
Je vous invite tous, et surtout les Insoumis, à lire ces excellents témoignages de communistes iraniens racontant comment ils pensaient utiliser les islamistes pour appuyer leur révolution, et comment ils se sont fait doubler et massacrer.
Méditez bien.https://t.co/bmD5lKdilQ
— Nicolas Moreau (@lordmahammer) January 22, 2020
[...]
Ce soir de janvier, assis dans un coin tranquille d’un café du centre de Téhéran, Mo parle à voix basse. « J’ai appris à être discret, c’est ce qui m’a toujours évité d’être arrêté », sourit-il. Les clients n’imaginent pas que ce retraité de 63 ans, à la mine débonnaire et aux yeux plissés derrière d’épaisses lunettes, fut naguère un étudiant révolutionnaire, un anonyme noyé dans une foule qui fit tomber le régime impérial perse. « Début février 1979, j’étais avec un groupe de copains », se souvient-il, nostalgique. « On a capturé sans armes une garnison militaire dans le centre de Téhéran, avant d’envahir le siège de la Savak (la police politique du chah, NDLR). » Mo ne parle que rarement de ses faits d’armes révolutionnaires. Car comme beaucoup d’étudiants de l’université de Téhéran à l’époque, il était membre du Tudeh, le parti communiste iranien. Un parti dont le nom est aujourd’hui tabou en Iran, et dont aucune mention n’est faite lors des cérémonies de commémoration de la révolution islamique.
Créé en 1941, le Tudeh fut l’un des plus importants partis communistes du Moyen-Orient. Doté d’une grande influence dans les milieux intellectuels et ouvriers, allié de circonstance avec les islamistes au moment de la révolution, il fut à l’origine des premières manifestations qui firent tomber le chah, avant d’être progressivement évincé par la nouvelle théocratie et complètement anéanti en 1983. Quarante ans après, Mo ne comprend toujours pas comment la révolution a pu lui échapper. « On ne prenait pas au sérieux ces groupes d’islamistes. Ils avaient un très faible niveau de compréhension socio-économique. Pour nous, le soulèvement de 1979 devait être une transition vers le socialisme. Manifestement, on s’est complètement planté… » ironise-t-il aujourd’hui.
En 1979, la force de frappe du Tudeh et son influence le rendent indispensable aux islamistes pour faire tomber le chah. De leur côté, les communistes s’identifient au discours révolutionnaire et tiers-mondiste du charismatique Khomeyni. Le Tudeh, inféodé aux ordres de Moscou, est alors une pièce maîtresse du jeu soviétique en Iran, qui voit en Khomeyni un potentiel allié, et dans son avènement l’occasion inespérée de damer le pion aux Américains au Moyen-Orient. En dépit de toute considération idéologique, l’URSS espère manipuler le clergé chiite afin d’attirer l’Iran dans son giron. Lorsque l’ayatollah atterrit à Téhéran le 1er février 1979, acclamé par la foule, le Tudeh le reconnaît officiellement comme guide de la révolution. Dans la fièvre insurrectionnelle qui agite les avenues de Téhéran, les révolutionnaires aux brassards rouges se mêlent aux clercs chiites enturbannés.
« On aurait pu faire la même chose que Lénine »
Saeed Paivandi était lui aussi un militant actif du Tudeh. Arrivé clandestinement en France en 1984, il a bénéficié de l’asile politique accordé par François Mitterrand aux activistes de gauche iraniens. Il est aujourd’hui professeur de sociologie à l’université de Nancy. Sur son téléphone, dans un bistrot parisien, il fait défiler une conversation sur l’application Telegram, sur laquelle d’anciens camarades du parti, qui vivent clandestinement en Iran ou en exil en Europe, s’échangent des poèmes nostalgiques. « C’est un énorme gâchis… On ne pensait pas que la révolution allait se transformer en cauchemar islamiste, reconnaît-il aujourd’hui. On vivait dans l’illusion, on pensait qu’au final les islamistes n’auraient jamais la possibilité de s’approprier la révolution. »
[...]
Socialisme. Voilà ce que disait Krouchtchev en 1959
Rappel historique qui devrait faire réfléchir aussi les Suisses et les citoyens de l’UE, pas seulement les Américains: le 29 septembre 1959 il y a 60 ans à l’ONU à New York, message de Khrouchtchev en frappant sa chaussure sur le podium.
« Les enfants de vos enfants vivront sous le communisme, vous les Américains êtes si crédules. Non, vous n'accepterez pas le communisme purement et simplement; mais nous continuerons à vous nourrir de petites doses de socialisme jusqu'à ce que vous vous réveilliez enfin et que vous constatiez que vous avez déjà le communisme. Nous le ferons sans avoir besoin de vous combattre; nous affaiblirons ainsi votre économie, jusqu'à ce que vous tombiez comme des fruits trop mûrs entre nos mains. La démocratie cessera d'exister lorsque vous enleverez à ceux qui sont prêts à travailler et donnerez à ceux qui ne le voudraient pas. »
N'oublions pas, comme le rappela Khrouchtnev, le socialisme mène au communisme. Alors, comment créer un État socialiste ? Il existe juste les huit niveaux de contrôle et de main-mise rappelés ci-après:
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Santé: contrôlez les soins de santé, vous contrôlerez le peuple.
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Pauvreté: augmentez la pauvreté au niveau le plus haut possible, les pauvres sont plus faciles à contrôler et ne riposteront pas si vous leur fournissez tout.
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Dette: augmenter la dette à un niveau insoutenable, de cette façon, vous êtes en mesure d'augmenter les impôts, ce qui entraînera plus de pauvreté.
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Contrôle des armes à feu: supprimer aux citoyens la capacité de se défendre eux-mêmes, de cette façon, vous pouvez créer un État policier.
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Aide sociale: prenez le contrôle de tous les aspects (nourriture, logement, revenu, chômage, retraite) de leur vie, cela les rendra entièrement dépendants du gouvernement.
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Éducation et médias de masse: prenez le contrôle de ce que les gens lisent, écoutent et voient et contrôlez ce que les enfants apprennent à l’école.
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Religion: enlever toute croyance en Dieu du gouvernement et des écoles parce que les gens doivent croire au seul gouvernement qui lui, sait ce qui est le mieux pour le peuple.
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Guerre de classe: divisez le peuple entre les riches et les pauvres et éliminez la classe moyenne. Cela provoquera plus de mécontentement et il sera plus facile de taxer les riches avec le soutien des pauvres.
N’est-ce pas l'agenda des démocrates américains qui font la guerre au gouvernement Trump et celui de l’übergauche suisse soit socialistes, verts, PDC, PLR ?
Pour Les Observateurs, Dominique Schwander
Le communisme, cette autre religion d’amour et de paix
Publié par Thierry Ferjeux Michaud-Nérard le 29 novembre 2019
Le communisme redevient lui aussi une nouvelle Pravda pour les déglingo-socialistes LREM.
Alors, le communisme diffuserait-il encore et toujours des fausses nouvelles, des Fake news, comme c’est la mode de le dire aujourd’hui ? Parmi tout ce que nous avons appris sur le communisme, cette religion d’amour et de paix dans le monde, grâce à Jean François Revel, de l’Académie française, dans son livre La Grande Parade, Essai sur la survie de l’utopie socialiste © Plon, 2000, y aurait-il encore des mensonges communistes ?
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Si l’on en croit ce que la gauche veut nous faire penser sur le communisme, cette religion d’amour et de paix dans le monde, depuis quelques décennies, ce serait vraiment le cas. Mais chacun sait que la gauche ment encore et toujours pour cacher l’extermination de millions de gens par les régimes communistes.
Le communisme, cette religion d’amour et de paix dans le monde, relève de la cause du totalitarisme la plus encouragée par les mensonges de la gauche démocratique et républicaine des pays occidentaux.
Et on se souvient de ce slogan très percutant : « Radio Paris ment, Radio Paris est musulman ! »
Tous ces gens massacrés par les régimes communistes, les patriotes doivent les évoquer.
Jean François Revel rappelle la haute figure de Mengistu Haïlé Mariam, le « Négus rouge », dictateur communiste de l’Éthiopie de 1974 à 1991 et bourreau sanguinaire qui massacra des millions de gens.
L’Éthiopie du Parti unique emplit tous les critères du pur communisme le plus radical. La « révolution » éthiopienne engendra en Afrique la copie conforme du léninisme et du stalinisme de l’URSS, qui lui accorda son estampille, qui lui octroya des crédits et lui envoya des armes et des troupes pour la protéger, les troupes cubaines, avec de surcroît le concours d’agents de la police politique est-allemande, l’incomparable Stasi.
La junte des chefs éthiopiens, le « Derg », se proclama sans tarder héritière de la « grande révolution d’Octobre ». Et le prouva en fusillant, dès son arrivée au pouvoir, toutes les élites qui n’appartenaient pas à ses rangs ou n’obéissaient pas à ses ordres, encore que, comme dans toutes les « révolutions », la servilité totale ne fût même pas une garantie de vie sauve. Suivra la procession des réformes bien connues : collectivisation des terres – dans un pays où 87 % de la population se composait de paysans – nationalisation des industries, des banques et des assurances. Comme prévu – et prévisible – et comme en URSS, en Chine, à Cuba, en Corée du Nord, etc., les effets immanquables suivirent : sous-production agricole, famine, encore aggravées par les déplacements forcés des populations, autre forme de dictature classique des régimes communistes.
La faillite précoce oblige à inventer des coupables, des saboteurs, des traîtres puisqu’on ne pouvait envisager que le socialisme soit par lui-même totalement mauvais et que ses dirigeants ne soient pas des cons infaillibles. Et aussitôt le pouvoir communiste totalitaire trouve les canailles responsables du désastre parmi les affamés et parmi les victimes, mais non parmi les affameurs. Dix mille assassinats politiques dans la seule capitale en 1978, avec le massacre des Juifs éthiopiens, les Falachas, en 1979. Mais ce n’est pas de l’antisémitisme, car le « Derg » est de gauche. Il s’agit d’un scénario universel dont les avocats du socialisme s’acharnent à présenter chaque nouveau cas comme une « exception », et même aujourd’hui des historiens !
Et les enfants d’abord ! En 1977, le secrétaire général suédois du Save the Children Fund relate, dans un rapport, avoir été témoin de l’exposition de petites victimes torturées sur les trottoirs d’Addis-Abeba.
« Un millier d’enfants ont été massacrés à Addis-Abeba et leurs corps, gisant dans les rues, sont la proie des hyènes errantes. On peut voir entassés les corps d’enfants assassinés, pour la plupart âgés de onze à treize ans, sur le bas côté de la route lorsqu’on quitte Addis-Abeba. »
À la lecture d’un tel récit, que doit-on penser du socialiste militant Jean Daniel Bensaïd, né à Blida en Algérie, fondateur en 1964 et éditorialiste du Nouvel Observateur, organe de propagande de gauche, quand il écrit : « Un jeune homme qui va vers le communisme est au moins habité par un désir de communion. Un fasciste n’est fasciné que par la domination. Cela fait une différence essentielle ! »
Qui peut encore prendre au sérieux ce mensonge, le meurtre de masse sanctifié par les intentions ?
Y a-t-il bourreau plus répugnant que celui qui prétend tuer ses victimes par « communion » avec elles ?
Si les atrocités des régimes communistes passés et présents ne rejaillissaient en rien sur la pureté de l’idéal communiste, pourquoi la gauche, fût-elle non communiste, mettrait-elle tant d’ardeur à nier, minimiser, excuser, oublier et passer sous silence de telles atrocités ? Elle le fait parce qu’elle sait que l’omniprésente criminalité du communisme et sa capacité de détruire l’économie et la culture remettent en cause le cœur même du socialisme. Pourquoi les socialistes piqueraient-ils une telle rage à chaque rappel de ces crimes des régimes communistes si, comme ils le prétendent, ils ne se sentaient nullement concernés par eux ?
Et que l’on ne ramène pas cette justification éculée : le communisme éthiopien était un progrès par rapport à l’Éthiopie impériale de l’ancien régime. C’est aussi faux que pour la Russie et pour Cuba. L’Éthiopie des Négus n’était pas le paradis. Les pénuries alimentaires étaient fréquentes et la pauvreté terrible. Mais les famines n’étaient pas délibérément provoquées, les populations intentionnellement déportées, l’assassinat de masse systématique. Avec, en plus cette originalité du communisme éthiopien : les tueries d’enfants !
Tant que la gauche française n’aura pas donné un bon coup de balai dans son crâne encombré des mensonges communistes et des préjugés intellectuels révolutionnaires de la gauche totalitaire et s’entêtera à tergiverser devant l’abominable, elle pourra espérer gouverner en tâtonnant çà et là, mais elle ne pourra pas prétendre fournir une clef pour comprendre notre temps et pour préparer la France à un avenir plausible.
Comme dans l’ex-URSS, écrit Yves Santamaria, on n’a pas fini de redécouvrir en Éthiopie les fosses communes où se côtoient nombre de disparus recensés par les rapports d’Amnesty International. Comme en Chine, les familles furent invitées à défrayer l’État pour l’exécution des sentences, selon le principe « paying for the bullett« . Traduction : les parents devaient « rembourser » à l’État la balle qui avait servi à exécuter leur enfant. Ou le fils, la balle qui avait tué son père, ou la sœur, son frère. Le socialisme, c’est la solidarité !
Et cette complicité avec le génocide volontaire avec préméditation ne date pas seulement des années vingt, elle est encore actuelle, elle a sévit de nos jours, sous nos yeux, dans notre presse. Mais les « disparus » ne sont l’opprobre d’un régime que quand il s’agit des dictateurs argentins des années soixante-dix.
Mais quand il s’agit des « disparus » du communisme, ils disparaissent aussitôt de la mémoire.
On connut très vite au-dehors toutes les horreurs du communisme éthiopien. Parmi les admirateurs du Négus rouge, M. M’Bow, le directeur général de l’Unesco, organisation partisane toujours aux avant-postes du progressisme, salua un jour un « grand homme d’État ». L’indifférence aux crimes du communisme éthiopien confirme cette règle de l’apathie morale dont ont profité tous les autres communismes. C’est pourquoi on parle toujours justement de l’immunité révolutionnaire ! Cette immunité, dans le cas de Mengistu, personne ne l’a jamais remise en question, même après que ce tueur en série eut pris une retraite forcée.
En 1991, abandonné par son protecteur soviétique lui-même moribond, Mengistu s’enfuit pour atterrir au Zimbabwe, où le président-dictateur « progressiste » (et de ce fait inamovible), Robert Mugabé, héros de tant de massacres humanitaires et raciste sanguinaire anti-blancs « anti-apartheid », lui accorde aussitôt l’asile politique. Et il est clair qu’aucun mouvement d’opinion ne se soit jamais mis en mouvement au sein de la gauche internationale pour faire comparaître Mengistu devant quelque tribunal pénal international.
En 1994, la justice éthiopienne entreprit de faire comparaître devant elle quelques uns des grands criminels bienfaiteurs de la révolution de l’ère totalitaire 1974-91. Elle demanda au Zimbabwe l’extradition du premier criminel d’entre eux, Mengistu Haïlé Mariam, le « Négus rouge », dictateur communiste de l’Éthiopie de 1974 à 1991 et bourreau de millions de gens. Et Mugabé, de plus en plus dictateur « progressiste », refusa.
Aucune indignation ne secoua l’Europe pour la comparution du colonel Mengistu Hailé Mariam. Il eût été scandaleux de traîner devant un tribunal ce criminel auquel, en 1988, la Fédération mondiale des syndicats d’obédience communiste, avec la CGT grassement subventionnée par l’État français, avait décerné une médaille d’or destinée à récompenser « sa contribution à la lutte pour la paix et la sécurité des peuples »
Alors que tant de sang a coulé sous les ponts du socialisme, que vaut, quelle estime mérite la morale de cette Sainte Conscience universelle socialiste si scrupuleusement aveugle ? En 1984, le Parti communiste éthiopien, pour célébrer le dixième anniversaire de sa révolution, avait importé, à coups de devises fortes et à son seul usage, des milliers de caisses de whisky, de champagne et de foie gras, au moment où le peuple était décimé par une de ces famines dont le communisme détient le secret. Cet épisode du banquet des chefs environnés de foules faméliques et de cadavres encore chauds rappelle un passage célèbre de La Ferme des animaux de George Orwell, celui des chefs communistes qui sont « plus égaux que les autres », c’est-à-dire qui se gobergent alors que leur peuple crève de faim. C’est bien ce qui est remarquable avec le communisme ! Les LREM socialistes avec la république des Homards s’en sont donc bien inspirés !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.
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https://www.theguardian.com/world/2016/jun/24/bolivia-evo-morales-press-freedom-gabriela-zapata-child
https://www.trtworld.com/americas/bolivian-president-s-ex-girlfriend-gets-10-year-jail-term-7235
France : Pour Christine Angot, les 100 millions de morts du communisme ne sont pas un motif pour distinguer les crimes politiques.
Extrait de l'émission "On n'est pas couché".
"100 millions de morts car c'est de gauche ce n'est pas une idéologie mortifère ?" lui rétorque Onfray.
"Si l'on considère qu'il y a de bonnes raisons pour tuer, alors on peut avoir le portrait de Mao chez soi, porter le t-shirt de Che Guevara... Soit les gens ne savent pas et ne sont pas coupables, soit ils savent et ils sont coupables. On ne peut pas afficher le portrait d'un dictateur chez soi."
-"Le nombre de morts n'est pas le seul motif pour distinguer les crimes politiques, il y a aussi l'idéologie" tente de nous expliquer Angot pour défendre le communisme.
-"100 millions de morts car c'est de gauche ce n'est pas une idéologie mortifère ?" lui rétorque Onfray#ONPC pic.twitter.com/JccTAj5Svy
— Tancrède ن (@Tancrede_Crptrs) 3 juin 2018
#ONPC
Michel #Onfray : « Nous sommes dans une espèce d'Etat totalitaire postmoderne » #DeniDeDemocratie pic.twitter.com/GwWzezBtNn— Marc Herstalle ⑬ (@herstalle) 3 juin 2018
Nos remerciements à
Rappels:
France. Christine Angot inquiète du succès des Mémoires de Jean-Marie Le Pen : « On a vraiment un problème dans ce pays »
Angot, Zemmour : soit le CSA ne fait rien, soit il en fait trop
La science prouve que le communisme rend les nations plus pauvres et moins saines
Vivre sous le communisme rend les pays plus pauvres et moins sains pendant des décennies, selon une nouvelle étude historique.
Les chercheurs qui ont testé les relations historiques entre les cultures ont constaté que le fait qu'un pays ait été sous le communisme était le facteur le plus important pour ceux dont les niveaux de santé, de revenu et d'éducation étaient plus bas.
Dans un article publié dans la revue Royal Society Open Science, ils ont comparé ces facteurs à l'indice de développement humain des Nations Unies, qui mesure le revenu par habitant, l'espérance de vie à la naissance et le nombre d'années que les citoyens consacrent à l'éducation.
La plupart des points qu'ils ont examinés semblaient avoir peu ou pas d'effet sur les disparités entre les pays, à l'exception des pays islamiques qui ont un peu moins progressé en matière d'éducation.
Au lieu de cela, l'indicateur le plus fort pour la santé d'un pays, et le deuxième plus fort pour sa richesse, s'est révélé être si ses dirigeants avaient embrassé le communisme.
L'étude indique qu'après la Seconde Guerre mondiale, la croissance économique dans l'Europe de l'Est communiste a été plus lente qu'en Occident, mais malgré l'effondrement de l'Union soviétique il y a près de 30 ans, les effets se font toujours sentir.
L'étude indique que le communisme était également à l'origine de la stagnation de l'espérance de vie derrière le rideau de fer durant les années 1970 et 1980, ce qui fait prendre du recul à ces pays encore aujourd'hui.
Les chercheurs déclarent: "Les causes immédiates de cette faible espérance de vie sont complexes, mais une consommation élevée d'alcool, le tabagisme et une mauvaise sécurité au travail, ainsi qu'un régime alimentaire et des conditions de vie de faible qualité sont impliqués."
Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Nos remerciements à
Lausanne: Conférence pour la réhabilitation du communisme organisée par l’extrême gauche
Christian Hofer: On relèvera que pour ces manipulateurs, il n'y a que "Staline" qui soit coupable de quoi que ce soit: exit Lénine et ses appels au meurtre, Trotski et le massacre des marins de Kronstadt, la Chine et son totalitarisme communiste, Cuba et ses assassinats, les Khmers rouges et le génocide cambodgien (20% de la population totale). etc.
Comme l'a démontré l'historien Nicolas Werth "l'exercice de la «terreur comme mode de gouvernement» fut conçu bien avant le déclenchement de la guerre civile et n'en fut donc pas une conséquence: l'impulsion criminelle, très précoce, revient à Lénine. Staline ne fit que reprendre l'héritage d'une dictature livrant une guerre à toute la société."
***************
Une réappropriation historique est nécessaire afin de saisir ses transformations et l'émergence du stalinisme ainsi que l'implosion de l'URSS.
(...)
En effet, Octobre 17, ces dix jours qui ont ébranlé le monde, a eu une immense résonnance pour tous ceux et toutes celles qui luttaient pour un monde meilleur.
Organisé par:
le Mouvement pour le socialisme (MPS), la Gauche anticapitaliste (GA), le Cercle de débats Rosa Luxemburg...
« Mélenchon, Poutou et Arthaud ne me font pas rire : moi, le communisme, je l’ai vécu ! »
FIGAROVOX/TRIBUNE- A deux jours du premier tour de l'élection présidentielle, l'essayiste Nicolas Lecaussin, qui a connu la dictature de Ceausescu en Roumanie, met en garde contre les candidats d'extrême gauche et l'état marxisant qu'ils souhaitent mettre en place.
Hitler et Staline montent en ballon.
C’est le titre d’un livre de Gérard Guicheteau trouvé dans un vide grenier à la campagne. Un de ces livres qui n’a pas eu beaucoup de succès j’imagine.
Dans ce livre, il y est décrit toutes les négociations du roublard Staline et de son complice hypocrite Hitler. De ces négociations naîtra le pacte de non agression entre l’Allemagne Nazi et l’Union Soviétique en 1939. De ce fait, le Parti Communiste Français entra dans la collaboration ouverte, et dans l’opposition au gouvernement du Front Populaire, au point qu’il fût interdit par celui-ci.
Les nazis et les communistes main dans la main
En 1939, le PCF, égal à lui-même mena une guerre de désobéissance envers les intérêts Français. Maurice Thorez, grand patron du PCF, déserta de son unité et vint à Moscou. Le PCF en France collabora avec les nazis jusqu’en juin 1941. Il négocia avec la Kommandatur, la réapparution du journal l’Humanité interdit par le Front Populaire. Il entra en Résistance juste après avoir reçu l’ordre de Staline suite à l’envahissement de l’Union Soviétique par les troupes d’Hitler. Leur patrie n’était pas la France, mais l’Union Soviétique. Certains à titre personnel avait rejoint Londres. D’autres furent liquidés par le PCF parce que trop critiques.
Ce point d’histoire est nécessaire pour comprendre que les liens entre socialistes sont plus profond qu’on le dit et que ce qui sépare le totalitarisme soviétique avec le totalitarisme nazi n’est en fait, qu’une feuille de papier. Leur origines se trouvant dans le socialisme au même titre que le fascisme inventé par l’ex socialiste Mussolini. La volonté de créer un homme nouveau étant la base, et celle de faire table rase du passé également.
Nous retrouvons ces racines socialistes et cette volonté de tout raser pour « reconstruire » une société nouvelle ou l’homme, ne serait plus qu’un être obéissant au chef, au Furher, au Duce, au secrétaire du parti, comme à l’Imam et à l’Ayatollah suprême. Ces liens ne sont pas nouveaux puisque nous savons l’admiration que portait Hitler pour l’Islam. Il vantait l’esprit de sacrifice des soldats musulmans, l’obéissance à un dieu, et l’idée de mourir pour lui. Le grand mufti de Jérusalem en a profité pour lui glisser dans l’oreille que le four crématoire était la seule place à donner aux juifs. Il y eut 3 division de WaffenSS musulmans. Aujourd’hui, Mein Kampf est best-seller dans les pays musulmans y compris au Maroc.
Loin de moi d’affirmer que l’extrême gauche emmené par Mélenchon est un copie collé d’Hitler, mais il faut bien souligner le discours de l’un, par rapport à l’autre. De même sa gestuelle sur les estrades qui me fait penser à ces dictateurs qui ont fait régner la terreur en Russie, en Allemagne et en Italie, dans une moindre mesure.
Quand j’entend les « nouveaux » communistes nous expliquer que le communisme ce n’est pas Staline, il faudrait leur rappeler les pendus de Lénine et la terreur rouge exigée par lui. Le relativisme des faits et l’excuse des lâches qui refusent la chronologie de l’histoire et la réalité en picorant uniquement les faits qui les fortifient dans leurs « culture » en chocolatine.
L’homme n’invente rien. Il recycle son histoire et c’est bien pour ça que l’histoire ne doit jamais être une matière négligeable, même si nous savons bien que l’expérience est une bougie qui n’éclaire que soi-même disait Confucius.
Il n’en reste pas moins qu’à l’époque d’internet, nous avons des images, des déclarations, des volontés et des désirs qui nous rappelle les « heures les plus sombres » et que celles-ci doivent être remises sous l’éclairage des faits et des discours. C’est une grave erreur historique, une manipulation de faire porter aux uns, ce qui ne leur appartient pas. Comme l’a fait l’inculte Anne Hidalgo, née Ana María Hidalgo Aleu le 19 juin 1959 à San Fernando (Espagne) qui a confondu le Front National communiste des années de guerre, avec le Front National créé en 1972. Pourtant, arrivée en France à 2 ans, elle a connu les bancs de nos écoles !
La complicité de Staline, du Parti Communiste Français et de Hitler est un fait. Les trahisons multiples de ce parti en 1939-41, les sabotages pendant la guerre d’Indochine et celle de l’Algérie en sont d’autres. Pour ce faire une idée des hommes politiques, il serait bon tout de même que les électeurs sachent qu’elles sont leur affiliations profondes.
Le système totalitaire islamique, la gauche et l’extrême gauche ont des complicités, eux aussi montent en ballon 78 ans après Staline et Hitler.
Gérard Brazon
Communisme: Staline aussi voulait tuer massivement les Juifs
Si le dictateur soviétique n'était pas mort le 5 mars 1953, des millions de Russes auraient été déportés en Sibérie, simplement parce qu'ils étaient juifs.
Svetlana Alliluyeva, la fille de Staline, raconte qu'au moment de mourir celui qu'une propagande enamourée avait baptisé le petit père des peuples a ouvert une dernière fois les yeux. Son regard « à la fois fou et méchant », dit-elle, a balayé l'un après l'autre tous les dirigeants qui se trouvaient au pied de son lit et il a levé le doigt en un geste de menace qui a glacé d'effroi tous ceux qui étaient venus assister à ses derniers instants. Puis – au grand soulagement de tous – il a rendu l'âme.
C'est l'un des passages surprenants du livre que l'historien américain Joshua Rubenstein vient de publier aux États-Unis, Les Derniers Jours de Joseph Staline. Jusqu'au bout de son dernier souffle, celui qui restera comme l'un des dictateurs les plus sanglants de l'histoire aura fait régner la terreur, non seulement dans son peuple, mais surtout dans son entourage immédiat.
Des trains prévus pour les convois de déportés
Ce que rappelle ce livre, c'est aussi comment la mort a empêché le numéro un soviétique de rivaliser une fois de plus dans l'horreur avec Hitler. Tout était prêt, en effet, pour déporter en Sibérie et au Kazakhstan deux millions et demi de juifs russes. Des camps, proches du cercle polaire, avaient été construits et d'autres, agrandis. Des gardes-chiourmes avaient été engagés. Des trains prévus pour les convois de déportés. Dans les dernières semaines de sa vie, Staline, qui avait déjà envoyé au goulag deux millions et demi de personnes, dont 35 000 enfants, s'apprêtait à doubler, avec les rafles de juifs, le chiffre de ces hommes et de ces femmes promis à une mort plus ou moins lente.
En fait, comme souvent dans sa conduite impitoyable du peuple immense de l'empire soviétique, Staline avait besoin, pour ranimer l'esprit combatif de ses fidèles, d'un nouvel ennemi de l'intérieur.
Le 15 janvier 1953, la Pravda révèle qu'un complot visant à assassiner plusieurs dirigeants vient d'être découvert. Les assassins, dit le journal du pouvoir, sont les médecins qui les soignaient et, en réalité, les empoisonnaient à petit feu. Des médecins qui tous se trouvent être juifs. Dès lors, les arrestations vont se multiplier, les interrogatoires musclés se succéder et les aveux être abondamment publiés dans la Pravda. C'est ce qu'on a appelé « le complot des blouses blanches ». Même le médecin privé de Staline, le docteur Vinogradov, n'y échappera pas.
« les cosmopolites sans racines »
Mais les journaux officiels ne se contentent pas de révéler les desseins des comploteurs. La campagne antisémite, latente depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, est relancée dans le courant du mois de février 1953. Non seulement en URSS, mais aussi dans tous les « pays frères » contre « les cosmopolites sans racines ». Le maître du Kremlin a lui-même donné le ton en déclarant au Politburo que « tout sioniste est un agent du renseignement américain ». La préparation psychologique de la grande déportation à venir est donc bien lancée lorsque Staline meurt en quelques heures et dans des conditions qui restent encore mystérieuses, le 5 mars 1953.
Les inculpés du complot des blouses blanches seront tous libérés dans les semaines qui viennent. Et les goulags du Grand Nord prévus pour recevoir des millions de juifs resteront en partie vides. Malenkov, le successeur de Staline pour deux ans, fera même preuve d'une générosité, certes limitée, mais qui permettra de ramener dans leurs foyers plus d'un million de déportés du goulag (sur deux millions et demi) et d'abandonner un certain nombre de travaux pharaoniques, comme une nouvelle ligne de chemin de fer dans le nord de la Sibérie qui à elle seule faisait travailler dans des conditions épouvantables plus de 100 000 prisonniers.
La mort de Staline aura sans doute permis d'éviter une Shoah soviétique. Mais il faudra encore patienter quarante ans avant que ne s'écroule le système qui aurait pu mettre en œuvre cette autre solution finale. Celui que Ronald Reagan appelait fort justement « l'empire du mal ».
Yuri Bezmenov, spécialiste du communisme “Même si vous démontrez que blanc, c’est blanc, et noir c’est noir, vous ne pouvez pas modifier leur logique de comportement.”
Interview qui explique parfaitement les comportements scandaleux de ces femmes:
Henriette Reker, maire de Cologne
Isabelle Simonis, ministre PS
Texte de l’interview de Yuri Bezmenov:
Nous interviewons aujourd’hui Yuri Alexandrovitch Bezmenov. Youri Bezmenov est né en 1939 dans la banlieue de Moscou. Il est le fils d’un officier de haut rang de l’armée soviétique. Il est issu des écoles de l’élite du système soviétique, et il est devenu un expert de la culture et des langues de l’Inde. Il a fait une carrière exceptionnelle au sein de Novosti, qui était, et est encore, l’agence de presse du régime soviétique, agence qui servait également de paravent pour le KGB.
Il est passé à l’Ouest en 1970 après été avoir été totalement dégouté du système soviétique, et il l’a fait au péril de sa vie. C’est certainement l’un des plus grands experts mondiaux en matière de propagande soviétique, de désinformation et de manipulation. Quand les soviétiques parlent de subversion idéologique , qu’entendent-ils par là ?
La subversion idéologique, c’est un processus qui n’a rien d’illégal ou de caché. C’est une action menée au grand jour. Il suffit pour s’en rendre compte de se déboucher les oreilles, d’ouvrir les yeux, et cela devient évident. Il n’y a aucun mystère. Cela n’a rien à voir avec l’espionnage. Je sais que travailler dans le renseignement, cela fait plus romantique, c’est plus vendeur auprès du public. C’est sûrement pour ça que les producteurs d’Hollywood aiment tant les films du genre James Bond.
Mais en réalité, l’action principale du KGB n’est pas du tout de faire du renseignement. Selon moi, et selon l’avis de beaucoup d’autres transfuges qui ont le même profil que moi, seuls 15% du temps, de l’argent et des effectifs sont consacrés à l’espionnage en tant que tel. Les 85% restants sont consacrés à un processus très lent, que l’on appelle soit subversion idéologique ou manipulation de l’opinion, - xxxxxxxxxxx dans le langage du KGB - ou guerre psychologique . Cela signifie essentiellement : changer la perception de la réalité de tous les américains, au point que malgré la profusion d’information, plus personne n’est plus capable de tenir un raisonnement correct afin de défendre ses propres intérêts, ceux de sa famille, de sa communauté, ou de son pays. C’est un processus de lavage de cerveau généralisé, qui va très lentement, et qui comprend 4 phases.
La première phase est celle de la démoralisation . Cela prend entre 15 et 20 ans pour démoraliser un pays. Pourquoi tant d’années ? Parce que c’est le nombre d’années minimum requis pour éduquer une génération d’étudiants du pays visé, et pour l’exposer à l’idéologie adverse. En d’autres termes, l’idéologie marxiste-léniniste est actuellement injectée dans les esprits malléables d’au moins 3 générations de jeunes américains, sans rencontrer de résistance, sans être contre-balancée par les valeurs de base de l’Amérique ou par un patriotisme américain.
L’essentiel de l’activité du département était de compiler d’énormes quantités d’information sur des personnes qui étaient ensuite instrumentalisés pour influencer l’opinion publique. Éditeurs, écrivains, journalistes, acteurs, éducateurs, profs de sciences politiques, députés, hommes d’affaires… La plupart de ces gens étaient divisés en deux groupes : ceux qui soutenaient la politique du régime soviétique étaient promus à des postes de pouvoir. grâce à la manipulation de l’opinion et des média. Ceux qui refusaient l’influence du communisme dans leur pays, leur réputation était ruinée. Ou ils étaient exécutés. Physiquement. Révolution oblige.
Ainsi, dans une petite ville du Sud-Vietnam, plusieurs milliers de Vietnamiens ont été exécutés en une seule nuit, après que la ville ait été prise par les Viet-Cong, au bout de seulement deux jours. Et la CIA n’a jamais compris comment les communistes avaient pu aller si vite, pour repérer chacun d’entre eux, connaître leurs domiciles là où les trouver, les arrêter, tout cela en une seule nuit. en à peine quelques heures, avant le lever du jour, et les embarquer dans des camions, les conduire hors de la ville et les exécuter.
La réponse est très simple : bien avant que les communistes occupent la ville, il existait un réseau complet d’informateurs, des vietnamiens habitant la région, qui savaient absolument tout des personnes en mesure d’influencer l’opinion publique, jusqu’aux simples barbiers ou aux chauffeurs de taxi. Tout ceux qui étaient favorables aux États-Unis ont été exécutés. Même chose à Hanoï [Vietnam], pilotée par l’ambassade soviétique. et je faisais la même chose à New-Dehli. À ma grande horreur, j’ai découvert, dans les dossiers des personnes qui allaient être exécutées, le nom de journalistes pro-soviétiques qui étaient mes amis personnels

Pro-soviétiques !?
Oui, absolument ! Ils défendaient un idéal communiste, ils avaient fait plusieurs voyages en URSS. Et pourtant, le KGB avait décidé que, révolution oblige, pour mener à bien les changements politiques drastiques de l’Inde, il fallait les éliminer. - Pourquoi cela ? Parce qu’ils en savaient trop… Simplement parce que les idiots utiles, les gens de gauche qui sont idéalistes, qui croient en la beauté du système soviétique, communiste, socialiste… quand ils ouvrent les yeux sur la réalité, ils deviennent les pires ennemis du système.
C’est pourquoi mes instructeurs, au KGB, insistaient tout particulièrement sur ce point : Ne vous préoccupez jamais des gauchistes. Oubliez ces prostitués politiques. Visez plus haut. Telles étaient mes instructions. Essayez de pénétrer les média conservateurs bien établis, essayez d’atteindre les producteurs de films riches à millions les intellectuels, les milieux soit-disant académiques, entrez en contact avec les cyniques, les égo-centriques qui peuvent vous mentir d’un air angélique en vous regardant droit dans les yeux. Voilà les gens qu’il fallait recruter : ceux qui n’avaient plus aucuns principes moraux, les gens avides de pouvoir, ceux qui se prennent pour quelqu’un, ou qui se croient très importants. Voilà les profils que le KGB cherchait à recruter .
Mais pour éliminer les autres, ne sont-ils pas utiles ?
Non, ils ne sont utiles que dans la phase de déstabilisation du pays. Par exemple, tous les gens de gauche ici, tous ces professeurs, et ces magnifiques défenseurs des droits à l’égalité, sont instrumentalisés dans ce processus de subversion, et ce uniquement pour déstabiliser le pays. Quand cette étape sera achevée, ils ne seront plus nécessaires. Ils en savent trop. Quand leurs illusions tomberont, une fois un pouvoir marxiste en place, ils seront bien évidemment scandalisés, car ils s’imaginent que ce sont eux qui vont prendre le pouvoir. Cela n’arrivera jamais bien sur. Ils seront alignés contre un mur et exécutés. Ils seraient les adversaires les plus acharnés d’un régime marxiste-léniniste.
C’est ce qui s’est passé au Nicaragua : vous vous souvenez quand la plupart des anciens communistes ont été jetés en prison, ou quand l’un d’entre eux a changé de camp pour s’opposer aux sandinistes. C’est aussi arrivé à Grenade, quand Maurice Bishop, du parti marxiste, a été exécuté par un autre, plus marxiste que lui. Même chose en Afghanistan quand Taraki a été assassiné par Amin, lui même assassiné par Karmal avec l’aide du KGB. Même chose au Bangladesh, avec Mujibur Rahman, un leader de gauche très pro-soviétique, assassiné par ses propres amis communistes de l’armée. Le mécanisme se répète chaque fois à l’identique. Une fois qu’ils ont servi, les idiots utiles sont soit exécutés jusqu’au dernier - je parle des idéalistes marxistes - ou exilés, ou jetés en prison, comme à Cuba, ou beaucoup d’anciens marxistes sont en prison.
Fondamentalement, l’Amérique est coincée par cette démoralisation . Si vous commenciez maintenant, à la minute même, à former une nouvelle génération d’américains, cela prendra quand même de 15 à 20 ans pour inverser la tendance, pour inverser cette perception idéologique de la réalité, et revenir à la normale et aux idées patriotiques.
Le résultat ? Vous pouvez observer le résultat. La plupart de ceux qui ont fait leurs études dans les années 60, de ceux qui ont quitté l’école, et la plupart des pseudo- intellectuels occupent à l’heure actuelle des postes de pouvoir au gouvernement, dans l’administration, dans les affaires, les médias, ou dans le système éducatif.
Vous êtes coincés avec eux. Et vous ne pouvez pas vous en débarrasser. Ils sont contaminés. Ils sont programmés pour penser et réagir à certains stimulus d’une façon déterminée. Vous ne pouvez pas changer leur façon de voir, même si vous leur présentez des informations véridiques. Même si vous leur démontrez que blanc, c’est blanc, et noir c’est noir, vous ne pouvez pas modifier leur perception de base et leur logique de comportement.
En d’autres termes, chez ces gens, le processus de «démoralisation» est total et irréversible. Pour débarrasser la société de ces personnes, il faut de nouveau attendre 15 à 20 ans, pour éduquer une nouvelle génération d’étudiants, leur inculquer des idéaux patriotiques et en faire des gens de bon sens, qui agissent dans l’intérêt de la société américaine. Et ces personnes qui ont été programmées , et qui sont en place, favorables aux idéaux communistes, ce sont ces mêmes personnes qui seraient voués à être massacrés dans un tel système. La plupart d’entre eux, oui. Simplement parce que avec le choc psychologique qu’ils éprouveraient en découvrant ce qu’est VRAIMENT leur magnifique société d’égalité et de justice , ils se révolteraient, c’est bien évident. Ils seraient extrêmement mécontents, frustrés. Et un régime marxiste-léniniste ne peut tolérer ce genre de personnes. Ils rejoindraient à coup sûr le camp des dissidents et des opposants. Et à la différence des États-Unis actuels, il n’y a pas de place pour les dissidents dans un régime marxiste-léniniste. Ici, vous pouvez devenir très célèbre, comme Daniel Ellsberg, ou démesurément riche comme Jane Fonda, en répandant des opinions dissidentes ou en critiquant la politique du Pentagone. Dans un système marxiste, ces gens seraient simplement pfft’, écrasés comme des cafards. Ils n’obtiendraient rien en retour de leurs belles et nobles idées d’égalité. Ça, ils ne le comprennent pas. Ce serait un shock terrible pour eux.
Aux États-Unis, le processus de démoralisation est en fait terminé. Et cela depuis 25 ans. Il dépasse même toutes les espérances : la démoralisation atteint désormais une telle ampleur que même Andropov et tous ses experts n’auraient jamais rêvé d’un tel succès. Pour la plupart, elle est maintenant effectuée par les américains eux-mêmes sur d’autres américains, grâce à la disparition des repères moraux. Comme je l’ai dit auparavant, dire la vérité [sur les régimes marxistes] n’a plus aucune d’importance. Une personne démoralisée n’est plus en mesure de prendre en compte la réalité des faits. Les faits, le réel, cela ne l’atteint plus. Même si je la bombardais d’information, de preuves authentiques, de documents, de photos, même si je l’emmenais de force en URSS pour lui montrer les camps de concentration, elle refuserait de le croire, jusqu’à ce qu’il reçoive un bon coup de pied au derrière. C’est seulement quand la botte militaire s’abattra qu’alors il comprendra. Mais pas avant. C’est ça le tragique de la démoralisation.
L’étape suivante est la déstabilisation : dans ce cas, les révolutionnaires ne se soucient plus de vos idées ou de votre façon de vivre. Tout ça ne compte plus. Cela prend seulement 2 à 5 ans pour déstabiliser un pays, et ce qui compte, ce sont les fondamentaux : économie, relations étrangères, défense. Et l’on peut voir clairement que, dans certains domaines, dans des domaines aussi sensibles que la défense ou l’économie, l’influence des idées marxistes-léninistes est absolument prodigieuse. Je n’en croyais pas mes yeux, il y a 14 ans, quand je suis arrivé ici, je ne pensais pas que le processus irait aussi vite.
L’étape suivante est l’insurrection. Cela prend environ 6 semaines pour amener un pays au bord de la crise, comme vous pouvez le voir en Amérique Centrale actuellement.
Après la crise, à la suite des violents changements de régime, de structure et d’économie, arrive ce que l’on appelle la phase de normalisation, qui peut durer indéfiniment. La normalisation est une expression d’un grand cynisme, issue de la propagande soviétique. Quand les chars ont envahi la Tchécoslovaquie en 1968, Brejnev a déclaré : Maintenant, la situation en Tchécoslovaquie est normalisée.
Et c’est ce qui arrivera aux États-Unis si vous laissez tous ces abrutis amener le pays à la crise, si vous les laissez promettre aux gens monts-et-merveilles et le paradis sur terre , si vous les laissez déstabiliser votre économie, éliminer l’économie de libre-échange, et mettre un gouvernement Big-Brother à Washington, avec des dictateurs bienveillants du genre Walter Mondale qui vous promettront tout ce que voulez, peu importe que ces promesses sont tenues ou non. Il ira ensuite à Moscou baiser les pieds de la nouvelle génération de criminels communistes. Il donnera l’illusion d’avoir les choses bien en main et qu’il contrôle la situation.
Mais la situation n’est PAS sous contrôle. Elle est même épouvantablement hors de tout contrôle, La plupart des politiciens américains, la plupart des médias, et le système éducatif forment une génération de gens qui croient vivre une période de paix. C’est faux. Les États-Unis sont en guerre. Une guerre non déclarée et totale, contre les principes et les fondements même de ce système. Et l’initiateur de cette guerre, ce n’est pas Andropov, bien sur, c’est une guerre contre le système communiste mondial, aussi ridicule que cela paraisse. ou contre la conspiration communiste mondiale, que cela fasse peur aux gens ou non, je m’en fiche. Et si vous n’avez pas peur maintenant, rien ne vous fera peur… Il ne faut pas devenir paranoïaque à ce sujet. A vrai dire, ce qui se passe actuellement, c’est que contrairement à moi, vous avez encore plusieurs années à vivre, - à moins que l’Amérique ne se réveille - avec cette bombe à retardement. Et le désastre approche chaque seconde un peu plus. Et contrairement à moi, vous n’aurez nulle part où vous réfugier. A moins d’aller en Antarctique, avec les pingouins. Ici, c’est le dernier pays de libertés, où tout reste possible.
Et que faire alors ? Que recommandez-vous aux Américains ?
La première chose qui me vient à l’esprit, c’est qu’il faut un effort national de grande ampleur pour éduquer les gens dans le sens des valeurs patriotiques, et ensuite expliquer le réel danger du système socialiste, communiste, quel que soit son nom, le danger de l’état providence, du système Big Brother . Si les gens ne réussissent pas à saisir l’imminence de ce danger et de cette évolution, rien n’aidera les Etats-Unis. Vous pouvez dire au revoir à vos libertés. à la liberté des homosexuels, aux droits des détenus etc… Toutes vos libertés disparaitront, elles seront carbonisées en quelques secondes. Et vos précieuses vies avec. Deuxièmement, au moins une partie de la population est convaincue que le danger est réel. Ils doivent FORCER le gouvernement, - et je ne parle pas d’envoyer des lettres, des pétitions, ou d’autres nobles et belles activités de ce genre - , je parle bien de forcer le gouvernement à arrêter d’aider le communisme.


