France. Calais: Rixes géantes entre 150 à 200 migrants. 21 blessés.

Les rixes ont repris à côté de l'antenne du Secours catholique, faisant cinq blessés dans l'après-midi, selon la préfecture.

Des rixes ont repris mardi après-midi à Calais entre migrants, plusieurs heures après des bagarres nocturnes entre Afghans et Africains qui ont impliqué 150 à 200 personnes, a annoncé la préfecture du Pas-de-Calais qui a fait état de 21 blessés légers en tout. De 23 heures à 6 heures, quatre rixes à quatre endroits différents localisés près de l'A16 ou de la rocade portuaire ont opposé Afghans et Érythréens par petits groupes, certains armés de barres de fer ou de bâtons, a rapporté un communiqué de la préfecture. Elles se sont soldées par "seize blessés légers" (des plaies et traumatismes bénins), a précisé cette source.

Cinq gardes à vue en cours. Mardi, vers 14h30, des rixes impliquant environ 150 migrants au total ont repris à côté de l'antenne du Secours catholique à Calais, faisant trois blessés, puis près de l'A16, faisant deux blessés, selon la préfecture. Cinq gardes à vues étaient en cours mardi, a indiqué le parquet de Boulogne-sur-Mer. Lundi soir, "c'est parti d'une petite dispute avec un migrant alcoolisé, durant une distribution de nourriture. Puis ça a dégénéré dans toutes les 'jungles' ", ces petits campements clandestins et éphémères qui se font et se défont depuis quelques semaines, a raconté Sylvain, cofondateur il y a deux ans du hangar de distribution de l'association Auberge des migrants.

Seize blessés dans une rixe début juillet. "Ce n'est pas étonnant, à force du déni de l'État qui ne fait que ce qu'il est obligé de faire", a dénoncé Sylvain, en référence aux quelques points d'eau récemment mis en place sous contrainte judiciaire. "Les conditions de vie très difficiles font que les différences culturelles entre communautés se font plus ressentir. Les migrants fonctionnent par groupes pour s'en sortir et ils sont très solidaires" lorsque l'un d'entre eux est agressé, a encore expliqué l'associatif. Début juillet déjà, une rixe opposant une centaine de migrants africains, des Érythréens face à des Éthiopiens, avait fait seize blessés dont un grave dans la zone industrielle de Calais.

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Calais : une habitante filme les violentes rixes entre migrants dans un quartier résidentiel (VIDEO)

Une énorme rixe a éclaté entre une centaine de migrants africains à Calais, faisant plusieurs blessés. Des images ont émergé sur les réseaux sociaux, témoignant du chaos de la scène.

La bataille en règle qui a opposé des migrants éthiopiens et érythréens le 1er juillet à Calais et fait 16 blessés dont un grave, a été en partie filmée par une habitante de la ville.

Sur les images qu'elle a diffusées sur son compte Facebook et qui ont depuis été partagées plus de 13 000 fois, des dizaines de migrants – certains armés de bâtons – courent dans la rue d'un quartier résidentiel de l'Est de Calais, dans une tension palpable. Puis ils se regroupent à l'angle de la route de Gravelines et du chemin des Communes et commencent à lancer des pierres et se ruer en direction de leurs adversaires, recherchant visiblement l'affrontement frontal.

 

 

Sur une autre des vidéos, un groupe de migrants avance d'un pas résolu, et semble en invectiver un autre, qui n'apparaît pas sur les images.

«Les rixes entre Ethiopiens et Erythréens ont commencé le 30 juin au soir dans le secteur de la zone des Dunes, avec plusieurs interventions de CRS pour les disperser», a déclaré le sous-préfet du Pas-de-Calais, Vincent Berton, ajoutant que deux groupes d'environ 50 personnes de chaque camp se sont opposés dans la zone où ont lieu les distributions de repas effectuées par les associations. Les affrontements ont repris le 1er juillet en début-d'après midi pour un motif inconnu.

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Calais : Une centaine de migrants africains s’affrontent à coups de bâtons

La tension monte dans la zone industrielle de Calais. Une centaine de migrants africains se sont violemment affrontés à coups de bâtons, samedi 1er juillet aux alentours de 13h15. Cette nouvelle altercation entre des Érythréens et des Éthiopiens, également armés de pierres, a fait un blessé léger. Le maire adjoint à la sécurité de Calais, Philippe Mignonet, estime, quant à lui, que le bilan fait état d'une "vingtaine de blessés".

Quatre rixes auraient en réalité éclaté vendredi 30 juin, selon Philippe Mignonet. "Depuis une douzaine d'heures, en terme de violences, c'est l'escalade", a-t-il dit à l'AFP.

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A Calais, les associations attaquent l’Etat en justice pour «inhumanité»

Onze associations, et cinquante migrants portent plainte ce vendredi contre l’Etat devant le tribunal administratif de Lille pour demander au juge d’exiger des autorités le minimum d’humanité.

«Face à la situation sanitaire et sociale déplorable, et alors qu’il y a urgence à y répondre, nous sommes contraintes de saisir – une fois encore – le juge des référés», indiquent les associations, parmi lesquelles le Secours catholique, la Ligue des droits de l’homme et la Cimade «afin de lui demander de reconnaître les atteintes graves et répétées aux droits et libertés et d’enjoindre aux autorités de mettre en place un dispositif garantissant le respect des droits fondamentaux de base».

 

Source et article complet

Rappels:
La Jungle de Calais est en flammes: C’est une tradition des migrants selon la Préfète

Calais : une journaliste de France 5 aurait été violée cette nuit par des migrants afghans

France: 25 migrants attaquent des journalistes britanniques près de Calais

 

 

 

A Calais, des habitants empêchent la distribution de repas aux migrants

Excédés par la présence des migrants dans leur ville, des Calaisiens ont décidé de "faire la police eux-mêmes" et d'empêcher les distributions de nourriture.

REPORTAGE
À Calais, la hache de guerre est déterrée entre les associations de soutien aux migrants et les habitants. Des bénévoles tentent de leur apporter le minimum vital - repas, vêtements, couvertures - aux migrants, de plus en plus nombreux aux abords de l'ancienne jungle. Mais les autorités, la mairie, et les Calaisiens eux-mêmes, ne l'entendent pas de cette oreille.

 

A Calais, des habitants empêchent la... par Europe1fr

 

"On a fait la police nous-mêmes". La tension est telle que lundi dernier, ce sont les riverains d'un quartier résidentiel qui ont empêché la distribution de repas aux migrants par les associations, sur un parking voisin. Gérald, l'un de ces habitants, ne voulait pas les voir "salir le trottoir". "On a fait la police nous-mêmes, et on a carrément bloqué le parking. La distribution de repas était interdite, alors on n'a pas laissé faire", tempête-t-il. "Depuis ce temps-là, on est tranquilles."

La police "nous poursuit partout". Ces distributions de repas ne sont tolérées que deux heures par jour par la préfecture, sur un seul site. Les migrants disent vivre sous la pression constante de la police. "Ils nous poursuivent tous, partout, et ils interrompent les distributions de nourriture. Ça me rend très amer car les gens qui sont ici veulent seulement avoir une vie meilleure", raconte l'un d'eux.

"Bien décidés à continuer". François Guennoc, de l'association L'Auberge des migrants, n'en démord pas : "Rien ne nous empêchera d'assurer le minimum humanitaire pour les 600 réfugiés présents à Calais". "Dans la mesure où la police nous bloque sur ces nouveaux endroits, on se déplace. On est bien décidés à continuer, car il y a une situation d'urgence et notre travail est très important pour la survie des personnes. De toutes façons, on persistera", assure-t-il.

Source

Calais: Une bagarre entre migrants fait au moins onze blessés

Le petit prince de Calais… [audio]

Ndlr : La RTS continue, jour après jour, à vouloir que les peuples européens battent leur coulpe.

Aujourd'hui, au 12h30, on a fait l'éloge d'un livre destiné aux ados, un livre qui met en scène les terribles souffrances d'un jeune migrant érythréen à Calais.

L'auteur de l'ouvrage, pendant l'interview, tentera même de culpabiliser nos jeunes qui ont eu la chance (et le culot, ndr), eux, d'être nés en Europe, contrairement au héro du livre.

Nostra culpa, nostra maxima culpa !

Ecoutez :

Source RTS

Calais: Une responsable caritative trompait son mari avec un migrant. Le “réfugié” menace de tout divulguer.

Christian Hofer: A noter que cette femme provoquait déjà les Européens en prétendant que "les camionneurs de Calais qui se plaignaient des agressions des réfugiés devaient changer de métier", réaction caractéristique de la gauche où les victimes européennes n'ont aucune valeur.

Ces femmes se portent souvent "volontaires" afin d'assouvir leurs besoins sexuels, en profitant justement de ces frontières qu'elles haïssent tant, qu'elles cherchent à détruire mais qui leur donnent du pouvoir, en faisant miroiter aux migrants une "régularisation". De part et d'autre, nous avons donc affaire à des gens qui ne respectent aucunement nos pays et notre identité mais qui profitent hypocritement de ce que nous défendons.

Enfin, personne ne sera surpris de constater qu'une telle femme a été érigée en exemple par un média mainstream, The Guardian allant même jusqu'à la présenter en femme de l'année alors qu'elle a abandonné mari et enfants pour des envies sexuelles sous l'excuse valorisante "d'humanitaire". C'est dire à quel point nos médias ne sont plus crédibles.

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La responsable d'une organisation d'entraide pour les migrants de Calais a eu une relation avec un Tunisien qui lui servait de jouet sexuel et de garde du corps alors qu'elle était déjà mariée. Mais en même temps, elle insistait pour que ses bénévoles n'aient pas de relations sexuelles avec les migrants.

  • La relation de Clare Mosely avec Mohamed Bajjar était «bien connue» dans la jungle de Calais
  • La femme de 46 ans a mis sur pied l'organisation Care4Calais en 2015, qui avait pour règles l'interdiction des relations sexuelles entre bénévoles et migrants.
  • Il est allégué qu'elle a emménagé avec le Tunisien de 27 ans, connu sous le pseudo de Kimo
  • A présent, elle a rompu avec lui parce qu'elle craint qu'il l'ait escroquée

 

Clare Moseley, fondatrice de Care4Calais, a eu une relation avec un migrant tunisien nommé Mohamed Bajjar.

Plus tôt ce mois-ci, il est apparu que Madame Moseley, 46 ans, a interrompu sa relation avec Bajjar,  27 ans, car elle craignait qu'il lui escroque des milliers de livres sterling indique The Sun.

 

Les amis de Madame Moseley ont affirmé que Bajjar avait menacé de dévoiler la relation au mari et de lui envoyer des photos intimes.

L'organisme de bienfaisance Care4Calais a été mis en place en 2015 après que Madame Moseley ait été émue par le sort des migrants vivant dans la Jungle de Calais. L'organisation a obtenu le statut d'œuvre de charité.

"Tout le monde dans le camp savait à leur sujet. Les migrants pensaient qu'ils étaient mari et femme."

A présent, Madame Moseley accuse Bajjar de la duper, après qu'il ait demandé d'envoyer de l'argent à sa famille. Le migrant a été arrêté par la police le 6 janvier. Il est soupçonné d'avoir volé le téléphone de Madame Moseley.

A l'époque, Madmae Moseley s'est exprimée afin de condamner les bénévoles qui avaient des relations sexuelles avec les migrants et elle a déclaré que son organisation Care4Calais avait une politique de tolérance zéro envers de telles pratiques.

"Il est révoltant qu'elle ait été si loquace concernant l'interdiction des relations sexuelles entre les bénévoles et les migrants."

 

The Sun a également affirmé que Bajjar avait déjà escroqué une femme britannique afin de se marier en Tunisie après s'être fait passer pour un réfugié syrien.

Ils se seraient rencontrés dans la station balnéaire tunisienne de Sousse il y a six ans, mais la relation s'est rompue lorsque la mariée a refusé de débourser les 1'500 livres sterling pour son visa.

Une porte-parole de Care4Calais a déclaré: "Notre priorité reste le soutien et la protection des réfugiés à Calais, dont beaucoup fuient une violence et une horreur inimaginables, et cela ne va pas nous distraire de cette mission vitale."

En 2015, Madame Moseley a écrit un article d'opinion dans le Guardian dans lequel elle admettait qu'elle avait abandonné son entreprise, son mari et sa famille ".

Se référant à sa famille, elle a déclaré: «Ça a été dur pour eux, mais ils savent c'est quelque chose que je devais faire. Je ne peux pas rester en toute conscience et ignorer ce qui se passe.

«Je ne peux pas imaginer vivre ma vie normalement, aller au restaurant, à des fêtes, en oubliant la façon dont les gens ici ont besoin d'aide.»

The Guardian a nommé Mme Moseley comme l'une des «Six femmes qui ont fait 2015».

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

“Demain, les demandeurs d’asile de Calais seront Français”, déclare Manuel Valls

Le Premier ministre s'est félicité de l'évacuation du bidonville de Calais, en clôture d'une cérémonie de remise de prix de la laïcité à la mairie de Paris.

"Demain, [les demandeurs d'asile de Calais] parleront français. Demain, ils porteront nos valeurs. Demain, certains seront députés, membres du gouvernement..." Le Premier ministre Manuel Valls a évoqué le récent démantèlement de la "jungle" de Calais, mercredi 2 novembre, à la mairie de Paris, en clôture d'une cérémonie de remise de prix de la laïcité. Il a notamment cité le cas d'une jeune Erythréenne rencontrée lors d'un déplacement le mois dernier dans la Marne, "qui va au lycée, qui parle français".

 

Source

Calais : rixe géante, les migrants afghans musulmans voulaient attaquer l’église des Érythréens

Ce mardi, aux alentours de 18 heures, une rixe a éclaté sur la partie sud du campement de la Lande de Calais entre plus d’une centaine de migrants mineurs érythréens et afghans.

fdesouche

Les forces de l’ordre sont intervenues immédiatement pour séparer ces deux groupes et le dispositif de sécurité a été renforcé au sein du CAP. Il sera maintenu toute la nuit. Les quelque 1500 mineurs isolés qui vivent dans les conteneurs du Centre d’accueil provisoire (CAP) situés sur l’ancienne « jungle » de Calais seront évacués à partir de ce mercredi [...]

Le Dauphiné

via Fdesouche.com

La Jungle de Calais est en flammes: C’est une tradition des migrants selon la Préfète

Christian Hofer: On peut donc excuser aussi les viols, les agressions, les meurtres, les tabassages de routiers, la destruction des véhicules par le terme magique de "traditions". Ou comment une minable arrive à excuser l'inexcusable.

Quant à nos traditions européennes, chrétiennes, lorsqu'il s'agit de les fêter alors qu'elles sont pacifiques et pleines de joie, elles sont estampillées comme étant une preuve de "repli sur soi". La seule question qui se pose dans ce cadre est de savoir combien de temps l'Européen se laissera dépouiller par ses propres dirigeants devant une horde de barbares.

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Incendies dans la "Jungle" de Calais: 30 départs de feu dans la nuit

Dès le début de soirée mardi, plusieurs incendies ont été allumés au sein du bidonville en cours d'évacuation depuis lundi mais ces derniers se sont "intensifiés entre minuit trente et trois heures du matin, notamment dans la zone des commerces" à l'entrée du camp où se trouvent plusieurs restaurants, a ajouté la préfecture. Au total, une trentaine de départs de feu ont été enregistrés.

Ces incendies ont tous été combattus par les pompiers venus de Calais, Marck-en Calaisis, mais encore de Desvres et de Saint-Omer, accompagnés par des CRS. "Nous avons été caillassés et avons dû intervenir protégés par les forces de police", a expliqué un pompier sur place.

 

https://youtu.be/NDFJ4Nek_W0

 

"Dès 21 heures, des départs de feux malveillants se sont déclarés de part et d'autre de la Lande mais cela a pris une tournure plus sérieuse en seconde partie de nuit", a déclaré Philippe Mignonnet, adjoint au maire de Calais, sur les lieux.

"Il y a une tradition chez les migrants, c'est quand ils s'en vont, ils font brûler leur tente, leur cabane, a indiqué Fabienne Bucco, la préfète du Pas-de-Calais. On leur a bien dit qu'il ne fallait mieux pas le faire mais il y en a encore quelques-uns qui le font."

 

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France : répartition des clandestins, AUCUN contrôle d’identité à Calais

(…) En plein état d’urgence, les autorités choisissent de charger des milliers d’inconnus dans des bus, pour les disséminer partout en France.

Selon Adrien Toffolet, journaliste à Radio France et envoyé spécial à Calais, les migrants déclarent leur identité, sans qu’aucun contrôle ne soit effectué. Les empreintes digitales ne sont pas relevées.

Pourquoi ne pas prendre les empreintes digitales ?

Les migrants aiment dissimuler leur identité car cela leur permet de jouer plus de cartes « asile » et de naviguer dans le pays qu’ils veulent. En effet, si un migrant est identifié comme étant entré en Europe par l’Espagne, par exemple, il y sera renvoyé pour effectuer sa demande d’asile.

Les migrants vont jusqu’à se brûler les doigts : Pourquoi ces mutilations ? “Parmi ceux dont les empreintes ont été rendues volontairement illisibles, certains disent qu’ils veulent échapper au règlement Dublin II, d’autres veulent accéder à la procédure d’asile prioritaire car ils pensent qu’elle est plus rapide”, répond Nathanaël Caillaux.

Les autorités européennes pourraient stopper ces mutilations en expulsant tout migrant qui aurait joué à se détruire les doigts. Au lieu de ça, il semble plutôt qu’on ait capitulé.

L’Italie a pourtant annoncé en avril dernier qu’elle prendrait les empreintes de tous les migrants ramassés en mer…

La course à la dissémination de migrants

Les autorités font avant tout un contre la montre : le but affiché est de vider la jungle avant les élections, peu importe le prix à payer.

En plus de ne pas vérifier les identités, aucun examen de santé approfondi n’est réalisé. La jungle a pourtant connu plusieurs cas de tuberculose et la gale y est très courante.

Le vidage de Calais est si bâclé que la mairie n’a même pas été impliquée. La sécurité passe en second.

Parmi les milliers de migrants disséminés, beaucoup sont des malfrats. Certains sont même peut-être des criminels de guerre dans leur pays d’origine, ou même des terroristes en service commandé.

Qu’aucun contrôle parfait ne soit possible est une chose. Mais qu’aucune empreinte digitale ne soit relevée, cela empêche toute traçabilité ultérieure.

Si un terroriste ou un violeur est issu de ce désordre, ce sera impossible de le savoir : là est un peut-être la vraie raison du non-traçage de ces migrants.

Source Via CivilWarInEurope

Calais. Les médias nous montrent 3 mineurs pour cacher l’immense majorité des clandestins adultes (Vidéo)

Via  :

ENFIN a trouvé les 3 seuls enfants de Calais, devant les caméras des médias. ça ferait rire si ce n'était un pur scandale !

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"Ceci est la réalité du camp. Ils ne viennent pas de Syrie. Ils viennent du Soudan et d'Afghanistan. Et ça c'est ce que les médias vous montrent : les 3 enfants du camp."

La chroniqueuse éclate de rire devant l'ampleur de la manipulation.

 

 

Calais: Les policiers et migrants s’affrontent avant l’évacuation de la «Jungle»

Christian Hofer: Intelligence de la politique française: Des milliers de personnes qu'on ne peut déloger qu'à grands renforts de CRS vont être envoyées dans des petits villages français. Et c'est la population qui s'y oppose qui est xénophobe selon la gauche...

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Quelques heurts ont opposé dimanche en début de soirée migrants et policiers aux abords de la «Jungle» de Calais, à la veille du début de son démantèlement, ont constaté des journalistes de l’AFP. Les policiers ont lancé des grenades lacrymogènes près de la rocade portuaire et à l’intérieur du campement, où plusieurs dizaines de migrants leur faisaient face, leur jetant quelques pierres. L’une de ces grenades est tombée dans un conteneur à ordures, qui a pris feu.

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A l’issue d’une réunion avec les représentants de différentes communautés présentes dans la «Jungle» dimanche, la responsable locale de l’Etat français, Fabienne Buccio, a expliqué que ces derniers étaient «inquiets» parce qu’ils «ont vu arriver des personnes qu’ils ne connaissent pas, qui essaient de manipuler certains d’entre eux un peu plus fragiles» et qu’ils lui ont «demandé» un dispositif de sécurité. «C’est la dernière nuit donc j’espère que tout se passera bien mais nous avons mis un dispositif adapté à cette situation», a-t-elle poursuivi.

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Deux tiers des migrants mineurs qui entrent en Grande-Bretagne sont des adultes

Mature au-delà de leur âge: Des craintes supplémentaires sur l'âge réel des «enfants migrants» en provenance de Calais. L'analyse de reconnaissance faciale prouve que certains ont jusqu'à 38 ans.

  • Les inquiétudes sur l'âge des "enfants" réfugiés de Calais se sont intensifiées hier
  • On a constaté qu'un migrant portant une capuche bleue avait les caractéristiques d'un homme de 38 ans.
  • Il était l'un des 14 migrants à avoir été transportés par autobus de la jungle de Calais à Croydon
  • Les statistiques révèlent que 65% des personnes contrôlées l'année dernière ont menti sur leur âge.

Les inquiétudes sur l'âge des enfants réfugiés de Calais se sont intensifiées hier, lorsqu'un deuxième groupe est arrivé à Londres.

L'un des migrants en particulier, portant un chandail à capuchon bleu avec de la barbe au menton, a été évalué par un programme de reconnaissance faciale comme ayant les caractéristiques d'un homme de 38 ans.

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Les chiffres publiés hier montrent que les deux tiers des réfugiés "enfants" qui ont été interrogés par le Home Office se sont révélés être des adultes.

La nuit dernière, une source d'immigration a déclaré que le migrant vêtu de bleu avait dit aux fonctionnaires qu'il avait moins de 18 ans.

«Il a déclaré qu'il est mineur et qu'il a fui la guerre en Afghanistan», a déclaré la source.

«Il a dit qu'il a un frère aîné vivant au Royaume-Uni. Voilà pourquoi il a été autorisé à venir ici.

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«Cela a été chaotique et lent aujourd'hui ici. Le système informatique s'est planté au moins une fois, donc il y a eu beaucoup d'attente.

Les fonctionnaires insistent sur le fait que les migrants ont subi des entrevues rigoureuses et un contrôle des documents pour établir qu'ils sont âgés de moins de 18 ans.

Mais il est apparu que cela est simplement un processus de sélection où la vérification (du fait qu'ils soient mineurs) se base sur leur apparence physique et leur comportement, avec des assistants sociaux approuvant "une évaluation de l'âge".

(...)

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Rappel:

La propagande du "journal" Le Matin en faveur des mineurs clandestins ici et ici.

Calais: Les Français paieront l’université aux clandestins

Quatre-vingts migrants ont quitté mardi la «Jungle» de Calais pour rejoindre le campus universitaire des facultés de Lille à Villeneuve-d'Ascq (Nord), a affirmé le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, dans un communiqué.

«Dans le cadre des préparatifs du démantèlement du camp de migrants de Calais, ces 80 étudiants, recensés par les maraudes sociales effectuées par l'Etat et les associations, ont quitté Calais pour rejoindre ce campus universitaire situé en banlieue de Lille», a annoncé Bernard Cazeneuve, qui ira à la rencontre de ces étudiants jeudi le 20 octobre.

Ces migrants, majoritairement soudanais selon François Guennoc de l'Auberge des Migrants, pourront selon le ministre de l'Intérieur bénéficier «d’un parcours-type universitaire, qui débutera par un apprentissage intensif de la langue française».

«Après la période initiale de formation, ils pourront poursuivre un cursus universitaire classique dans la matière de leur choix», a ajouté le ministre.

Ces 80 futurs étudiants, déjà titulaires «au moins du bac» selon François Guennoc, «seront hébergés dans un centre d'accueil spécifique co-géré par le Crous et Adoma [ex-Sonacotra, foyers pour travailleurs immigrés], à proximité de l'université», précise encore le ministre de l’intérieur.

Source et article complet

Calais : une journaliste de France 5 aurait été violée cette nuit par des migrants afghans

Une journaliste de France 5 s’est fait violer dans la jungle cette nuit (lundi à mardi). Vers 2 h 30, un caméraman et une rédactrice qui effectuaient un reportage ont croisé le chemin de 3 personnes d’origine Afghane.

Sous la menace de couteaux, les hommes ont volé les téléphones portables et la caméra et l’un d’entre eux a violé la journaliste de 42 ans. La journaliste est à l’hôpital. La police judiciaire de Coquelles mène l’enquête.

Radio 6

France: 25 migrants attaquent des journalistes britanniques près de Calais

Une équipe Sky News a été attaquée avec des bâtons, des pierres et un couteau après avoir filmé un groupe de migrants et un passeur présumé.

Sky News a été témoin de l'accroissement de l'anarchie au nord de la France où les autorités peinent à contenir les violences commises par certains migrants et par des réfugiés dans la région.

Peu avant 23 heures, jeudi soir, trois collègues et moi-même avons été attaqués par un groupe de 20 à 25 hommes.

C'est le dernier exemple de la façon dont les petits éléments violents de l'énorme population migrante vivant dans la jungle errent sans foi ni loi.

Le producteur de Sky News Andy Marsh, le caméraman Richie Mockler, un consultant en sécurité et moi-même sommes arrivés à la station-service Shell par la route E15, près du village de la commune de Norrent-Fontes.

Lorsque nous sommes arrivés vers le fossé, nous avons entendu des voix, puis trois hommes se sont approchés de nous dans l'obscurité, c'était des migrants.

L'un d'eux a demandé dans un mauvais anglais ce que nous faisions là. Tendant ma main, j'expliquai que nous étions journalistes et que nous voulions voir ce qu'ils faisaient.

L'homme est ensuite retourné vers le fossé. Nous nous sommes déplacés vers l'avant et avons regardé dans ce fossé où 20 ou 25 hommes étaient accroupis. Ils se sont avancés et ont commencé à nous poursuivre, lançant des pierres.

Nous nous sommes enfuis vers le parking et nous avons rejoint le producteur Andy Marsh qui était dans la voiture.

Le groupe a cessé de nous pourchasser et nous avons pensé que nous étions en sécurité. Nous avons alors décidé bêtement de vérifier les images enregistrées sur notre caméra avant de démarrer.

Environ une minute plus tard le groupe est revenu d'une différente direction, armé avec des bâtons, des cailloux et au moins un couteau.

Ce qui a suivi était violent et effrayant. Nous n'avons pas eu le temps de monter dans la voiture parce que le verrouillage central avait été activé et que le temps d'ouvrir les portières, la foule était sur nous.

Andy Marsh était déjà dans la voiture, mais les autres ont couru dans différentes directions, chacun étant pourchassé par un certain nombre d'hommes.

Certains ont rattrapé le consultant en sécurité qui s'est débattu en retour. Il y eu encore plus de lutte avec le caméraman Richie Mockler. Dans l'agitation, il perdit l'une de ses deux caméras.

Il était clair à ce stade qu'ils voulaient nos caméras. Mais ils ont jeté des pierres et nous ont frappés avec des bâtons. L'un d'eux a menacé Richie avec une lame.

Andy, au volant de notre voiture, a foncé sur les migrants afin de les intimider et de les chasser.

La tactique a fonctionné - Je l'ai entendu accélérer derrière moi alors que j'étais poursuivi sur une route près du garage. L'homme qui me poursuivait a ensuite sauté dans un fossé et a disparu.

Après une attaque soutenue qui dura plusieurs minutes, les migrants se sont dispersés. Nous nous sommes regroupés dans la voiture et nous avons démarré, meurtris, lacérés et sans l'une de nos caméras. Toutes nos images avaient été perdues.

(...)

 

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Paris installe la jungle de Calais à Genève. Que fait le Conseil d’Etat ?

Combien des 7'000 migrants illégaux qui devront quitter la «jungle de Calais » après son démantèlement en fin de l'année seront-ils affectés au centre d’accueil et d'orientation (CAO) d’Annemasse ? Le sujet est tabou, les préfectures estiment «prématuré» de communiquer les chiffres. Selon les données du gouvernement français, plus de 1’500 habitants de la jungle seront déplacées de Calais en région franco genevoise. 

Le gouvernement Hollande voudrait inciter les clandestins bloqués le long de la Manche à reporter leurs espoirs de migration vers un autre voisin de la France, à l’économie et aux prestations sociales plus attractives encore que le Royaume Uni qu’il ne s’y prendrait pas autrement :l’avantage pour les clandestins est double  en effet :contrairement à la frontière franco-britannique, la frontière franco-suisse est à la fois terrestre et non gardée ! 

Tout occupé à célébrer le percement du tunnel du CEVA sous le Foron, soit à la frontière d’Annemasse précisément, le Conseil d’Etat n’a pas réagi à la décision unilatérale, non concertée, aux chiffres tenus secret, en un mot à la décision hostile de son partenaire du Grand Genève ! 

On dort à la Tour Baudet ?  

Source UDC