Retour sur le rôle du marché obligataire chinois et de l’or dans la construction d’un portefeuille pour un investisseur européen

Depuis plusieurs années, j’explique aux lecteurs de l’IDL que dans un portefeuille, il faut parfois avoir des positions défensives que l’on regrette d’avoir quand tout monte, mais que l’on est bien content d’avoir quand les marchés se cassent la figure, ce qui arrive en général quand l’optimisme est à son plus haut. Car hélas, et comme le disent les vieux boursiers : « les hausses prennent l’escalier et les baisses l’ascenseur ». Par-là, ils veulent dire que hausses et baisses ne sont pas symétriques. Ça prend un temps fou pour doubler, et très peu de temps pour perdre 50 %…

Et donc il est prudent de détenir des actifs dans votre portefeuille qui monteront quand les marchés décideront de plonger (j’appelle ces actifs « anti-fragiles », en m’appuyant sur le concept mis à jour par Nassim Taleb). Depuis deux ou trois ans mes placements anti-fragiles ont été l’or et le marché obligataire Chinois. Et comme plusieurs d’entre vous m’ont demandé de mettre à jour ces recommandations « défensives », j’ai décidé de le faire, en commençant par le marché obligataire Chinois. Je vais me concentrer sur les résultats et non pas sur les raisons qui m’ont amené à faire ces choix, qui demeurent valables aujourd’hui.

Commençons par les obligations Chinoises.

Depuis le début de 2018, un portefeuille obligataire français d’une duration moyenne de 10 ans a eu une rentabilité totale de 8 %, en Euro, tandis que son homologue chinois est monté lui de 19 %, en Euro également. Onze pour cent de surperformance dans un environnement de taux bas en trois ans et demi, voila qui me parait satisfaisant. Mais il y a plus : aujourd’hui les taux français sont à zéro, et donc, une grande partie de la performance depuis quelques années vient du fait que les taux français ont baissé de 2018 à aujourd’hui, dégageant de ce fait des gains en capital. Si par hasard ils venaient à monter dans les dix ans qui viennent (ce qui est une quasi-certitude), mon portefeuille d’obligations françaises enregistrerait une performance négative pendant la plus grosse partie du temps qui resterait à courir.

Et je dois ici faire part de ma stupéfaction : en cinquante ans de carrière, c’est la première fois que l’on me propose un investissement dans lequel je suis certain de perdre.  Pour arriver à ce résultat, « ils » ont mis un impôt gigantesque sur l’épargne des petites gens avec un taux d’imposition sur les revenus de 100 % (puisque les taux sont à zéro), auquel « ils » ajoutent un impôt sur le capital égal au taux d’inflation à venir et bien sûr, « ils » font tout ce qu’ils peuvent pour faire monter ce taux d’inflation.

Je ne comprends pas pourquoi le citoyen de base devrait acheter un tel produit, ni pourquoi il devrait le garder si, par distraction, il en avait encore. Au moins, en Chine, je touche 3 % par an, avec une banque centrale qui fait tout ce qu’elle peut pour que l’inflation n’accélère pas.

Conclusion sur la partie obligataire de votre portefeuille : Avoir des obligations aujourd’hui ailleurs qu’en Asie (et peut-être en Grande-Bretagne, en Suède, en Norvège pour ceux qui doivent être en Europe) est de la folie furieuse. Je maintiens ma recommandation, ayez vos obligations en Asie, elles vous seront bien utiles un de ces jours

Venons-en à l’or.

Comme je l’ai déjà écrit plusieurs fois dans ces papiers du lundi, une monnaie a trois fonctions :

  1. Etalon de valeur.
  2. Moyen d’échange.
  3. Reserve de valeur.

Historiquement, quand les grandes banques centrales décident de ne plus assurer la fonction de réserve de valeur, pour pratiquer ce que Keynes appelait l’euthanasie du rentier, alors il est d’usage de voir l’or commencer à monter, et cette hausse durera aussi longtemps que les banques centrales ne rétabliront pas la fonction de réserve de valeur (ce que fit Volcker en 1979). Pour faire court : l’or ne sert à rien si la banque centrale fait son boulot, et devient indispensable si elle ne le fait plus.

 

 

 

La conclusion du graphique est simple : Dans les cinq dernières années, l’or a eu une rentabilité totale supérieure à celle du marché obligataire américain. Cela a toujours voulu dire dans le passé que nous rentrions dans une période inflationniste.

En général, au début d’une telle période, les commentateurs disent que l’inflation « ne va pas durer » tandis qu’à la fin, ils sont certains « qu’elle ne rebaissera jamais ». Nous sommes à l’évidence au début, mais in n’en reste pas moins que nous sommes certainement de retour dans une période inflationniste dont nul ne peut prévoir l’intensité ni la durée. Car comme le disait Karl Otto Pöhl, le légendaire gouverneur de la Bundesbank dans les années 80 « L’inflation, c’est comme la pate dentifrice. Quand ça sort du tube, on ne peut plus la remettre dedans »

Et donc, il faut avoir de l’or dans vos portefeuilles car ce qui se passe en ce moment, ce n’est pas une hausse des marchés, c’est simplement une baisse de la valeur de la monnaie dont on se sert pour mesurer la valeur de ces marchés, baisse organisée par les grandes banques centrales parce que nos états seraient incapables de servir leur dette à son vrai coût sans faire faillite, à l’exception de la Chine et de quelques autres pays, plutôt en Asie.

Arrivons à la construction de portefeuille, incluant et la position offensive et la position défensive comprenant les deux actifs mentionnés plus haut.

Je vais essayer de construire un portefeuille avec trois actifs, tous exprimés en dollar US pour la commodité des calculs. Les trois actifs sont :

  1. La bourse de Paris
  2. Le marché obligataire Chinois
  3. L’or

Voici la performance de ces trois actifs depuis que j’ai recommandé, vers la fin 2017, de passer de la Ferrari à la Jeep.

Ce graphique n’a guère d’intérêt si ce n’est de montrer la performance de chacun des actifs depuis le début de 2018, les actifs étant tous mis base 100 au 1/1/2018. On voit que de janvier 2018 à novembre 2020, les actions ont été à plat, alors que les deux autres actifs montaient gentiment, mais que depuis la bourse française a rattrapé son retard.

La solution que je présente depuis un certain temps déjà est d’avoir dans mon portefeuille ces trois actifs, et de rééquilibrer les positions régulièrement, au niveau de mes proportions initiales 50 % en actions, 25 % en obligations Chinoises et 25 % en or. En procédant à ces rééquilibrages mensuellement, voici le résultat du portefeuille (à fin avril 2021).

 

 

Le résultat final est net :  Depuis le début de 2018, j’ai une meilleure rentabilité avec mon portefeuille diversifié que sur un portefeuille qui serait reste 100 % en actions ou 100% défensif, mais surtout, quand les actions rentrent dans une période de turbulence, comme en 2018 ou en 2020 je perds beaucoup moins et donc je dors beaucoup mieux. Et continuer à bien dormir est essentiel si l’on veut gérer son épargne convenablement.

En conclusion, je voudrais ajouter une note de bon sens à ces recommandations de construction de portefeuille : Il ne faut avoir ce genre de positions que quand les marchés vous paraissent irrationnels, ce qui est le cas, a mon avis depuis la fin de 2017, car sur le long terme, le cout des positions défensives peut être élevé.

Ce qui amène à la question finale : Faut-il garder ces positions défensives aujourd’hui, et à ça, ma réponse est simple : plus que jamais !

  • Les politiques monétaires suivies aux USA et dans la zone Euro sont insoutenables, tout cela risque de mal se terminer, et dans ce cas-là, je serai sauvé par mon or et par mes obligations chinoises.
  • Si j’ai tort, et que tout se termine bien, je gagnerai ma vie avec mes 50 % en actions.

Dans les deux cas de figure, je m’en sors à peu près.

Il ne faut jamais oublier que dans la bataille pour protéger mon épargne, le but n’est pas d’enregistrer une victoire tonitruante de temps en temps, mais de rester en vie pour mener la bataille suivante, ce qui est plus difficile qu’on ne l’imagine.

source: https://institutdeslibertes.org/retour-sur-le-role-du-marche-obligataire-chinois-et-de-lor-dans-la-construction-dun-portefeuille-pour-un-investisseur-europeen/

 

 

Après avoir banni Trump, Facebook et Twitter chutent en Bourse.

A l’ouverture des marchés, les deux réseaux sociaux s’affichaient respectivement en repli de 2% et 8%.

[...]

Après cette nouvelle opération de censure de la part de Facebook et Twitter, de nombreux responsables européens se sont élevés contre les deux géants du numérique. La chancelière Angela Merkel, par la voie de sa porte-parole, a évoqué une situation « problématique ». En France, le ministre de l’Economie s’est même dit « choqué » par cette mesure. Farouches opposants de Donald Trump, les Insoumis Jean-Luc Mélenchon et François Ruffin se sont inquiétés du « contrôle » que les GAFA exerçaient sur « le débat public ».

[...]

Valeurs Actuelles

L’Université d’Oxford crée une nouvelle bourse d’études réservée aux Noirs

L’Université d’Oxford lance une nouvelle bourse pour les étudiants noirs uniquement – deux ans après avoir snobé l’offre de la star du rap Stormzy de financer un programme similaire.

  • Le programme Black Academic Futures proposera jusqu’à 10 nouvelles bourses
  • Stormzy a proposé de payer pour que deux jeunes adolescents noirs fréquentent Oxford en 2018
  • Cependant, le rappeur a affirmé que l’université “ ne voulait pas s’impliquer ”
  • La direction a nié cela, mais a déclaré plus tard qu’elle avait pris la “ responsabilité de passer à côté d’une opportunité ”

Le programme Black Academic Futures offrira jusqu’à 10 nouvelles bourses aux étudiants britanniques qui commencent leurs études l’année prochaine.

Les patrons d’université admettent que les étudiants noirs britanniques des cycles supérieurs sont particulièrement sous-représentés à Oxford, représentant une proportion d’environ 1,5% de tous les étudiants de troisième cycle, contre 4% dans toutes les universités.

Le programme intervient moins de deux ans après que le rappeur Stormzy a proposé de payer pour que deux jeunes adolescents noirs fréquentent Oxford, mais a affirmé que l’institution d’élite “ ne voulait pas s’impliquer ”. […]

Daily Mail

Via fdesouche

Engagez-vous pour la Suisse, Madame la Présidente de la Confédération!

Communiqué de presse UDC Suisse, le 21 décembre 2017

Comme prévu, la Commission UE a décidé aujourd'hui de ne reconnaître que temporairement la bourse suisse. La seule chose que sait faire la majorité du Conseil fédéral face à cet affront, c'est réagir par un silence consterné. Le point de presse que vient de tenir le Conseil fédéral illustre la faiblesse du gouvernement. La présidente de la Confédération, Doris Leuthard, ayant dans sa naïveté mal jugé la situation lors de sa rencontre secrète et promis dans la précipitation un cadeau de plus d'un milliard de francs pour la cohésion et la conclusion d'un accord-cadre, l'UE tente évidemment de profiter de la faiblesse d'un gouvernement et de diplomates suisses dépassés par les événements. Bruxelles veut par cet accord-cadre inacceptable forcer la Suisse de reprendre automatiquement du droit UE et d'accepter les décisions de juges étrangers. Si les conseillers fédéraux ne s'éveillent pas aujourd'hui et s'ils ne prennent pas enfin des mesures contre cette discrimination flagrante de la Suisse par une bureaucratie UE arbitraire et imprévisible, quand sauront-ils défendre l'indépendance et la liberté de notre pays?

L'UDC invite le Conseil fédéral à faire enfin preuve de fermeté et d'esprit de décision:

  1. il faut communiquer clairement à l'UE que la conclusion d'un accord-cadre, qui supprime en réalité notre démocratie directe, doit être approuvée par le souverain, si bien qu'elle n'a aucune chance;
  2. ladite "contribution à la cohésion" de 1,3 milliard de francs pour les Pays de l'Est doit être refusée. Connaissant une reprise économique vigoureuse, ces pays n'ont pas besoin de ces fonds.
  3. toute participation facultative aux programmes de réinstallation des migrants en provenance d'Etats UE doit être immédiatement suspendue;
  4. la suppression du droit de timbre ne doit pas être envisagée, mais immédiatement réalisée;
  5. la conduite des négociations avec l'UE doit être immédiatement renouvelée, renforcée et engagée à s'employer exclusivement pour les intérêts de la Suisse.

Enfin, la présidente de la Confédération Doris Leuthard doit répondre de ses actions devant le peuple suisse et s'engager enfin publiquement pour les intérêts de notre pays. Le temps des phrases creuses et des demi-vérités est définitivement révolu.

Fâchée, la Suisse réagit à la limitation de l’équivalence boursière par l’UE

Le Conseil fédéral a jugé jeudi "inacceptable" la limitation à un an de l'équivalence pour la Bourse suisse par l'Union européenne. En réaction, il envisage de rediscuter du 1,3 milliard de cohésion en faveur des Etats de l'Est de l'Europe.

En réaction à la décision européenne, la présidente de la Confédération Doris Leuthard a expliqué jeudi dans une conférence de presse extraordinaire que cette décision "grève les relations bilatérales sur des dossiers importants." Le Conseil fédéral n'exclut pas de revoir le projet de deuxième tranche de la contribution à l'élargissement en faveur des Etats de l’Est, estimée à 1,3 milliard de francs.

Doris Leuthard a aussi estimé que "l'UE procède de la sorte pour affaiblir la place financière suisse". Le gouvernement a annoncé des travaux pour renforcer la place boursière et financière suisse et évoque notamment la suppression du droit de timbre. Le Département fédéral des finances a été chargé de soumettre des propositions au Conseil fédéral d'ici fin janvier.

Equivalence limitée à un an

La Commission européenne a approuvé jeudi matin la reconnaissance d'une équivalence de la Bourse suisse. Elle est essentielle pour que les banques européennes et les investisseurs correspondants puissent continuer d'acheter et de vendre des titres cotés en Suisse.

La proposition n'est cependant garantie que pour une année, comme cela avait été annoncé mercredi. Cette durée limitée est due au fait que Bruxelles lie l'équivalence de la Bourse suisse à un accord-cadre institutionnel entre la Suisse et l'UE, que le gouvernement suisse veut ratifier d'ici la fin de 2018. Cette décision jette un froid entre l'Union européenne et Berne.

Ci-dessous, un extrait du point presse de Doris Leuthard sur l'équivalence boursière :

Source RTS

Bruxelles fait du chantage à la Suisse et lie la reconnaissance de la bourse à l’accord-cadre.

Le vice-président de la Commission européenne chargé de l'euro, Valdis Dombrovskis, a confirmé mercredi que la reconnaissance d'équivalence de la Bourse suisse par l'UE était liée à l'accord-cadre. C'est aussi pour cela qu'elle n'est garantie que pour une année.

'En fait, nous proposons une équivalence limitée dans le temps jusqu'à la fin de 2018 (...), qui est le résultat d'un manque de progrès substantiels sur l'accord-cadre institutionnel', a déclaré le vice-président de l'UE. La reconnaissance de l'équivalence pourrait toutefois être étendue 'en cas de progrès suffisants', a-t-il ajouté.

(...)

Source et article complet

Nos remerciements à Info

 

Equivalence des bourses: Berne se réserve le droit de réagir.

Nos 7 politiciens ridiculisés aux yeux du monde entier après avoir donné plus d'un milliard à l'Union Européenne sans contrepartie menacent de régir: Bruxelles en tremble d'avance!

Ils viennent de découvrir avec quel mépris cette Union Européenne, tant adulée par la gauche, traite les faibles.

Cela démontre quelle immaturité et quel amateurisme règnent à la tête de notre pays.

Spécifiquement l'Union Européenne sait parfaitement que ce Conseil fédéral se couche à la moindre menace et que ce même gouvernement est prêt à trahir sa population, la démocratie sans aucun problème.

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Le Conseil fédéral se réserve le droit de réagir si la Bourse suisse n'obtient pas la reconnaissance de son équivalence ou seulement pour un an.

Une non-reconnaissance ou une reconnaissance limitée à un an serait une discrimination. Si celle-ci se confirme, le gouvernement étudiera des mesures de réaction. Interrogé sur leur nature, le porte-parole s'est toutefois refusé à donner plus de précisions.

 

Source

 

La Bourse suisse salue l’élection de Trump

Le Swiss Market Index voit vert, les bourses européennes aussi, et le franc est stable.

La Bourse suisse a ouvert en hausse mercredi après l'annonce de la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle américaine. A la clôture, l’indice des valeurs vedettes de la Bourse suisse, le Swiss Market Index (SMI), gagnait 1,89% à 7890 points, après avoir grimpé de plus de 2% dans l’après-midi. Avant son ouverture, les prévisions anticipaient pourtant une chute de 4%.

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“Catastrophe du Brexit”: La Bourse de Londres atteint un sommet historique

La Bourse de Londres a atteint un nouveau sommet historique en séance mardi, dopée par la chute de la livre britannique qui reflète les craintes d'un "Brexit dur" mais accroît les revenus des multinationales britanniques à l'étranger.

L'indice vedette du marché britannique, le FTSE-100 a progressé jusqu'à 7.129,83 points vers 11H20 GMT. Le précédent record datait du 27 avril 2015.

Il a par la suite faibli et a terminé en baisse de 0,38% à 7.070,88 points, ne parvenant pas à signer un plus haut historique en clôture, qui reste à 7.103,98 points (le 27 avril 2015).

Cette performance peut sembler paradoxale puisqu'elle intervient au moment où les incertitudes redoublent quant à la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne (UE).

La Première ministre britannique Theresa May a prévenu il y a dix jours que la procédure conduisant au divorce serait lancée d'ici fin mars, tout en insistant sur le contrôle de l'immigration, laissant penser à un "Brexit dur", sans concession avec Bruxelles.

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« La Bourse de Moscou bondit de 14 % !! Les indices deviennent fous »

Par Charles Sannat, diplômé de l'Ecole Supérieure du Commerce Extérieur et du Centre d'Etudes Diplomatiques et Stratégiques. Il commence sa carrière en 1997 dans le secteur des nouvelles technologies comme consultant puis Manager au sein du Groupe Altran - Pôle Technologies de l’Information-(secteur banque/assurance). Il rejoint en 2006 BNP Paribas comme chargé d'affaires. Il est actuellement le directeur des études économiques d'AuCOFFRE.com et rédacteur du Contrarien Matin, 'Décryptage quotidien, sans concession, humoristique et sarcastique de l'actualité économique'.

 

Il est très difficile de comprendre ce qu’il se passe actuellement devant nous et le temps sera nécessaire afin que la poussière puisse retomber et nous laisser contempler l’image d’ensemble de la situation.

Il y a quelques certitudes et beaucoup d’inconnues dans cette bataille à la fois économique, politique et géopolitique qui se déroule sous vos yeux ébahis (en tout cas moi, mes yeux sont ébahis)…

Une volatilité impressionnante !

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