Royaume-Uni : une étude confirme que les enfants blancs pauvres sont de très loin les plus défavorisés à l’école, les moyens ciblent les minorités

Les enfants blancs de la classe ouvrière sont les laissés pour compte du système scolaire, sont confrontés à une vie de désavantage économique et seront les plus touchés par la crise du coronavirus, révèle une nouvelle étude.

Malgré cela l’aide à l’amélioration des niveaux éducatifs est souvent destinée à des zones ethniquement diverses et à des élèves issus de minorités – ce qui ne fait que truquer le jeu contre les garçons et les filles blancs et pauvres, selon les universitaires.

Un professeur de l’université d’Oxford a déclaré que la situation critique des enfants blancs de la classe ouvrière était considérée comme “pas à la mode” et “n’en valant pas la peine”. Et il a suggéré que le fait même de soulever la question était “taboue”, en particulier dans les cercles universitaires, car elle était associée à la “pensée politique de la droite dure”.

L’étude, soumise à la Commons Education Select Committee, révèle que les élèves blancs ayant droit à des repas scolaires gratuits ont deux fois moins de chances que leurs camarades issus de minorités ethniques pauvres d’obtenir de bons résultats dans les huit GCSE utilisés pour les tableaux de classement des écoles. Ils sont également plus susceptibles de fréquenter une école en échec et de vivre dans des communautés en difficulté dans le Nord et dans les Midlands.

Lee Elliot Major, professeur de mobilité sociale à l’université d’Exeter, a averti les députés que ces élèves souffriront le plus des effets de la pandémie et seront confrontés à une “cicatrice éducative et économique permanente”.

Malgré le poids des preuves montrant que ces élèves sont les laissés-pour-compte du système scolaire, les programmes visant à relever les normes les négligent souvent.

Des chercheurs de l’université de Plymouth ont cité un projet pilote de frais de scolarité soutenu par le gouvernement et destiné aux grandes villes ayant des populations diverses, ainsi que des règles de charité qui exigent un pourcentage de participants issus de minorités ethniques.

Ils affirment que de tels programmes excluent de fait les zones à prédominance blanche, comme les villes côtières défavorisées. Le Dr Alex Gibson, chercheur senior à Plymouth, a déclaré dimanche au Mail que le manque d’aide pour les enfants blancs de la classe ouvrière pourrait s’expliquer, en partie, par “une volonté d’être daltonien”.

Le professeur Peter Edwards, responsable de la chimie inorganique à Oxford, a déclaré que la recherche ne laissait “aucun doute” sur le fait que les enfants blancs de la classe ouvrière, et les garçons en particulier, étaient abandonnés.

Le sort des jeunes enfants blancs défavorisés est largement ignoré”, a-t-il déclaré. C’est encore un sujet tabou dans de nombreux domaines où il doit être abordé.

Le choc économique de la crise de la Covid – et potentiellement du Brexit qui se dessine – entraîne un besoin urgent de nouvelles réflexions et de nouvelles actions”.

Il a ajouté que le mantra progressiste selon lequel le fait d’être blanc confère “un avantage ou un privilège inhérent” avait contribué à ce que les garçons britanniques blancs pauvres se retrouvent au bas de l’échelle de l’éducation.

Le professeur Edwards a mis en garde contre “de graves conséquences socio-économiques et sociopolitiques si cette large cohorte de jeunes au Royaume-Uni ne se voit pas offrir le type d'”actions positives” et les avantages évidents que d’autres groupes ont au nom de l’inclusion, de la diversité et de l’égalité”.

“Cela conduira à des perceptions troublantes et à un cercle vicieux”, a-t-il déclaré. Je crois que c’est un point tout à fait critique ; non seulement pour utiliser l’énorme potentiel inexploité qu’il doit y avoir, mais aussi vis-à-vis de la menace réelle de déstabilisation du tissu même du pays”.

Le professeur Elliot Major a déclaré que les décideurs politiques devraient se concentrer sur des alternatives professionnelles à la voie “classe moyenne, enseignement supérieur” des diplômes universitaires.

Les universitaires de Bristol ont déclaré que les 1 300 livres sterling que les écoles reçoivent pour chaque enfant en repas scolaires gratuits pourraient être ajustées afin d’orienter davantage de fonds vers les élèves blancs les plus pauvres.

Le Commons committee a lancé son enquête sur les “groupes laissés pour compte” plus tôt cette année, lorsque son président, Robert Halfon, a déclaré qu’il y avait une “tendance inquiétante à ce que les élèves blancs issus de milieux pauvres aient des résultats inférieurs à ceux de leurs camarades”, ajoutant : “Il faut faire plus pour lutter contre cette injustice sociale très réelle.”

Lors des EGE de l’année dernière, le dénommé “score de progression” des élèves blancs avait chuté alors que celui de la plupart des autres ethnies s’était amélioré.

Le programme national de tutorat du gouvernement, d’une valeur de 380 millions d’euros, permettra de payer les frais de scolarité des élèves les plus défavorisés.

Daily Mail

Via Fdesouche

Bernie Ecclestone, ancien gourou de la F1: « Dans de nombreux cas, les noirs sont plus racistes que les blancs »

Il y a quelques jours, l'ancien big boss de la F1 Bernie Ecclestone, 89 ans, interviewé sur CNN, déclarait à propos de la commission lancée par Lewis Hamilton pour améliorer la diversité dans le sport automobile :

« Je ne pense pas que ça fera du bien ou du mal à la F1. Ça fera simplement réfléchir les gens à ce qui est le plus important. Dans de nombreux cas, les personnes noires sont plus racistes que les blancs. »

[...]

Lequipe.fr

Pourquoi les blancs se sentent-ils coupables ?

🔴📚 Commander mon livre : https://www.rochedy.com/livres/nietzs... -- PENSEZ À VOUS ABONNER ! -- IG : https://www.instagram.com/julien.rochedy Twitter : https://twitter.com/jrochedy FB : https://www.facebook.com/jrochedy http://www.rochedy.com Source sur les origines de l'habilité à la culpabilité chez les blancs : https://file.scirp.org/pdf/AA_2017082...

 

***

https://fr.wikipedia.org/wiki/Julien_Rochedy

USA : un prétendu membre du Black Lives Matter oblige des Blancs à se mettre à genoux et à s’excuser pour leurs “privilèges blancs” (Vidéos)

L'individu qui se présente en tant que membre des Black Lives Matter et qui tourne ces vidéos semble se moquer de ce qui se passe à l'heure actuelle aux USA.

Mais les réactions sont intéressantes, certains Blancs se mettent vraiment à genoux, preuve que la propagande d'extrême gauche a infecté de nombreux esprits et détruit notre civilisation.


Des vidéos troublantes provenant des États-Unis ont été diffusées et montrent un militant de Black Lives Matter (BLM) courant vers une femme blanche, lui ordonnant de se mettre à genoux et la forçant à s'excuser pour son "privilège blanc".

 

 

"Je travaille pour Black Lives Matter... mais comme je travaille pour cette entreprise, mon responsable (sic) m'a dit de venir aujourd'hui et de vous mettre à genoux parce que vous avez le privilège d'être blanc. S'ils voient qu'une personne blanche se met à genoux, cela montre qu'elle fait preuve de solidarité face à la situation", déclare-t-il.

Il est choquant de constater que lorsque le calvaire est terminé, la femme remercie même le voyou de lui avoir donné l'occasion de s'excuser.

 

https://youtu.be/r0fSgFQ9Fuw

 

 

 

Autres cas datant du 11 juillet 2018 :

"Vous êtes inférieurs" : Des suprémacistes noirs filment des Blancs en train d'embrasser leurs bottes pour s'excuser de siècles de racisme.

Le groupe antisémite connu sous le nom de Sicarii 1715 aurait chanté "Mort à l'Amérique" lors de ses manifestations en Californie

 

 

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Voiceofeurope.com / Thescottishsun.co.uk

 

 

 

 

 

Etats-Unis : de nombreuses scènes d’agressions contre des Blancs

Vidéos qui seront pour la grande majorité censurées par les médias romands.

 

 

 

 

 

Via Fdesouche

Londres : une quinzaine d’assaillants armés de couteaux dépouillent et menacent de tuer les Blancs qu’ils rencontrent

Londres (Royaume-Uni) – Une bande de 16 assaillants a pris pour cible un groupe de jeunes athlètes à Finsbury Park, en dépouillant et menaçant de poignarder les trois Blancs du groupe.

Les six victimes, alors qu’elles rentraient chez elles en marchant dans le parc, ont découvert « qu’elles étaient suivies à vélo par l’un des membres de la bande », se souvient Adrian Klemens, entraîneur à la Dynamic Sports Academy.

« Ils étaient 16. Ils ont encerclé les six jeunes athlètes et en ont agrippé un en disant : « Donnez-moi votre téléphone ou je vous poignarde – mettez votre mot de passe », poursuit Klemens.

« De notre groupe, trois étaient blancs et trois étaient noirs. Les agresseurs ont dit aux Noirs : « Vous êtes bons », et ont attaqué les Blancs. »

Une des individus volés ne connaissait pas le mot de passe, car il s’agissait du compte Apple de sa mère, et après s’être trompé plusieurs fois, il a été menacé : « Si tu te trompes encore une fois, tu es mort. »

« Nous avons besoin d’une présence policière. Il semble que cette bande agisse depuis un certain temps », ajoute Adrian Klemens.

(…)

Islington Gazette

Via Fdesouche

Afrique du Sud : changer la Constitution pour accélérer l’expropriation des terres des fermiers blancs sans compensation

Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, poursuit son entreprise d'expropriation des terres arables afin de les réattribuer aux populations noires. Dans une adresse télévisée, il a annoncé que la Constitution serait modifiée en ce sens.

Lors d'une allocution télévisée ce 31 juillet, le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, a annoncé que son parti allait chercher à modifier la Constitution pour accélérer l'expropriation sans compensation des terres arables et leur redistribution en faveur de la population noire et défavorisée du pays : «L'ANC [Congrès national africain, parti au pouvoir] va finaliser, via le processus parlementaire, une proposition d'amendement à la Constitution qui décrit de façon plus claire les conditions dans lesquelles l'expropriation des terres sans dédommagement peut être effectuée.»

Le président a également assuré : «Il est devenu évident que notre peuple veut que la Constitution soit plus explicite à propos de l'expropriation des terres sans dédommagement.»

Le 20 février, dans son discours sur l'état de l'Union, Cyril Ramaphosa avait promis de saisir les terres arables détenues par les fermiers blancs depuis le 17e siècle afin qu'elles soient réattribuées à des fermiers noirs. Il avait ainsi affirmer vouloir «soigner les divisions du passé, pour établir une société basée sur des valeurs démocratiques, la justice sociale et les droits de l'homme».

Les opposants à cette modification de la Constitution font valoir qu'une mesure similaire entreprise au Zimbabwe voisin dans les années 1990-2000 avait provoqué une grave crise de production agricole. Le président sud-africain, issu du monde des affaires et ancien proche de Nelson Mandela, estime pour sa part que ce changement pourrait «débloquer la croissance économique».

RT

Elle remplace les Blancs par des femmes noires dans des peintures iconiques pour que sa fille soit fière de sa couleur

Elle voulait que sa fille soit fière de ses cheveux crépus, de sa couleur de peau… L’artiste Harmonia Rosales a décidé de remplacer sur des peintures célèbres les hommes Blancs par des femmes noires.

 

 

 

Rappel, l'appropriation culturelle est très mal vue par les Africains, sauf lorsqu'il s'agit de s'approprier la culture des Blancs visiblement :

Le nouveau combat anti-raciste : l’appropriation culturelle [vidéo]

L’appropriation culturelle

La série de la BBC retraçant la guerre de Troie avec des acteurs noirs pour jouer des héros de la mythologie grecque, fait un flop d’audience

King Arthur. L’acteur noir Djimon Hounsou incarnera un chevalier de la table ronde

Des affiches de films célèbres, mais avec des acteurs noirs, apparaissent dans les rues de Londres.

Jules César interprété par un Noir

Si le raciste est Noir et déteste les Blancs c’est « politiquement correct »

 

 

Zimbabwe: Après l’expulsion des fermiers blancs, toute l’économie du pays est tombée dans une crise catastrophique.

Image de l'évolution du Zimbabwe durant ces dernières années par 

**********

 

A la fin des années 1990, le Zimbabwe était le grenier à céréales du continent. Le pays comptait aussi parmi les premiers exportateurs de tabac au monde. Mais la confiscation des terres détenues par les agriculteurs blancs, lancée dans la violence il y a quinze ans, a mis le pays à genoux. Ces fermiers étaient 4 000 à la fin du siècle dernier, ils ne sont plus que 150 aujourd’hui.

Leurs hectares ont été donnés le plus souvent à des soutiens du président Robert Mugabe. La plupart des bénéficiaires noirs ont laissé ces terres arables à l’abandon, soit par désintérêt, soit parce qu’ils n’avaient pas été choisis parmi les agriculteurs ayant le savoir-faire requis ou n’avaient pas les fonds et les moyens pour les exploiter.

Aujourd’hui, avec la caution et même les encouragements du gouvernement de Mugabe, les Noirs sont de plus en plus nombreux à solliciter l’aide des Blanc qui acceptent volontiers de retourner à la terre. C'est le premier volet de notre série de reportages sur le Zimbabwe.

Source

 

DW5QCCVW0AACmPT

 - Source pour 2014: BBC.com

- Source pour 2015: RFI.fr

- Source pour 2015 - 2016: BBC.comKOACI.com, RTS.ch

- Source pour 2016 - 2017: RFI.fr, Le Monde.fr

 

 

 

Le tweet du jour sur la VÉRITABLE HISTOIRE DU PEUPLE NOIR AFRICAIN CACHÉE PAR LES BLANCS

Ndlr : mieux vaut en rire ! 😀  Vous pouvez aussi, chers lecteurs, compléter votre culture historique en visionnant les sites suivants :

https://agoraafricaine.info/2017/12/18/black-athena/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Martin_Bernal

http://www.africamaat.fr/rubriques.php?categorie=sciences
http://www.lisapoyakama.org/la-civilisation-nok-au-coeur-de-lafrique-a-lepoque-des-pharaons/

http://www.lisapoyakama.org/category/savants-inventeurs-et-inventions/

http://www.black-inventor.com/Dr-Mark-Dean.asp

http://www.revolutionafrique.com/pourquoi-loccident/

 

Par FOUTEUSE DE MERDE @Deyboraah 23 hil y a 23 heures :

 

L’Afrique à une grande histoire! Tellement grande que les occidentaux ont tout mit en œuvre pour se l’approprier. Aujourd’hui je vais revenir sur cette histoire parce que je me dois de mourir en africaine et non mourir en nègre de maison

 

Si le raciste est Noir et déteste les Blancs c’est “politiquement correct”

giampaolo-rossi-150x150Par Gianpaolo Rossi (photo) qui se définit lui-même ainsi :
« D’abord et surtout archéologue. Pour cette raison je m’occupe de politique et des médias. J’écris pour Il Giornale. A leurs risques et périls.»

 

 

LE COCKTAIL RACISTE

Prenez le New York Times, la Bible libérale des progressistes du monde entier, la voix de la gauche radicale-chic qui rêve global, des gens "cool" qui sont toujours du côté des derniers (avec les sous des premiers) : c'est le journal du multiculturalisme idéologique et des pouvoirs économiques, de l'anti-racisme et des maîtres illuminés de la finance apatride.

Bien. Maintenant, prenez un juriste afro-américain dénommé Ekow Yankah qui enseigne le Droit à la Yeshiva University de New York; actif au parti démocrate comme chef du conseil des avocats du DNC (Comité national démocrate ) et dont les articles sont régulièrement publiés, justement sur le New York Times et aussi sur le Huffington Post.

A présent mélangez le tout, secouez bien et vous boirez un cocktail d'un racisme tellement violent, bête, éhonté et répugnant qu'une brochure du Ku Klux Klan à coté semble être un texte de propagande pour l'intégration multiraciale.

Mais voilà, comme cette fois le raciste est Noir et que la haine est dirigée contre les Blancs, pour cette gauche hypocrite, c'est politiquement correct.

Si le raciste est noir, son racisme est politiquement correct car c'est considéré comme un acte de défense contre les Blancs

UN DELIRE POLITIQUEMENT CORRECT

Il y a quelques jours, dans un éditorial publié dans le New York Times, le prof. Yankah s'est posé cette question :  "mes enfants pourraient-ils être amis avec des Blancs?" 

Evidemment, sa réponse est non. Ses enfants ne peuvent être amis des Blancs. Pas parce que lui est raciste mais parce que les Blancs le sont; donc puisque les Blancs sont racistes il apprendra à ses enfants à ne pas avoir d'amis Blancs. Simple, non ?

Mais alors, pourquoi les Blancs seraient-ils racistes ? Avant tout parce qu'ils sont Blancs; par conséquent ils portent une sorte de marque infâme de racistes pour l'éternité à cause de l'esclavage. Ensuite parce que les Blancs sont ceux qui ont voté pour Trump et cette élection oblige le pauvre professeur nazi-black à rappeler aux enfants la leçon des vieilles générations : "je leur enseignerai la suspicion et la méfiance"; donc il leur apprendra à se tenir loin des méchants blancs.

Il écrit ces choses, précise-t-il, par charité,  "le cœur brisé" , mais pour lui, malheureusement il n'existe aucune autre alternative : "L'histoire a fourni aux gens de couleur bien peu de raisons leur permettant de faire confiance aux Blancs (...) et ces derniers mois le mépris et la façon dont le pays respecte la valeur des minorités a été évident".

L'élection de Trump a fixé dans l'esprit de ce pauvre juriste noir "une pensée terrible mais familière aux Noirs américains : on ne peut pas se fier à ces gens là", c'est à dire aux Blancs. Et pas seulement aux Blancs qui ont voté Trump mais également à ceux qui haïssent Trump et qui font tout pour le critiquer.

Comme l'a écrit Scott Greer : ce qui est exprimé ici "est un concept fou qui mine les enseignements de ces 60 dernières années sur les races" qui est "de ne pas juger quelqu'un sur la couleur de sa peau mais sur son caractère individuel". En revanche, le professeur libéral progressiste affirme le contraire en affirmant que "la race est le facteur principal pour juger une personne".

Imaginons un instant ce qu'il serait arrivé si un juriste blanc avait publié un éditorial affirmant vouloir enseigner à ses enfants de ne pas avoir d'amis noirs. On l'aurait probablement viré de son poste d'enseignant, il aurait été lynché dans les médias (et pas seulement dans les médias) et il aurait certainement été dénoncé pour discrimination raciale.

Mais si le raciste est Noir, sa discrimination est seulement un réflexe de défense; le racisme anti-blancs est un racisme victimaire : je vous hait parce que vous me haïssez.

LE RACISME ANTI-RACISTE

Cet article du NewYork Times est un délire raciste et, par certains côtés, plus dangereux que celui des suprémacistes blancs, car c'est un racisme exprimé par l'élite libérale et légitimé par le puissant pouvoir des médias, car, ce qui est préoccupant, c'est qu'Enkow Yankah enseigne son racisme anti-Blancs à l'université, comme le fait, par exemple aussi la professeure Jessie Daniel, sociologue (Blanche) de la City University de New York, qui a expliqué récemment que les familles composées de Blancs et "qui donnent naissance à des enfants blancs", génèrent le racisme et légitiment la suprématie blanche du pays. Et que donc,  les familles multiraciales devraient être favorisées : "Si un Blanc se définit comme anti-raciste mais qu'ensuite il donne naissance à des enfants blancs, alors, il fait partie du problème". En somme si tu un Blanc ou une Blanche et que tu ne veux pas être complice du racisme, tu dois procréer avec une femme ou un homme noir.

Une femme comme celle-là devrait être enfermée en asile psychiatrique au lieu d'enseigner dans une université américaine.

La haine idéologique face à Trump empêchent les élites intellectuelles libérales de voir que les minorités raciales sont défendues dans la Constitution américaine par le XIV amendement qui représente un des plus grands progrès civil de tous les temps; il fut encouragé et voulu par des législateurs blancs (et Républicains vu que les esclavagistes étaient, historiquement, les Démocrates).

Le racisme d'un raciste est facile à combattre parce qu'il est visible, exécrable et souvent caricatural, violent, certes, mais facilement punissable et condamnable par l'opinion publique.

Mais le racisme des anti-racistes est sournois, caché, hypocrite car il est considéré comme politiquement correct par l'élite. Un peu comme le fascisme des anti fascistes.

Gianpaolo Rossi / Il Giornale.it

Source en italien (traduit par Danielle Borer pour lesobservateurs.ch)

Il est temps de dire ces vérités aux Africains qui crachent sur les Blancs…

 

Avec l’article du Figaro au sujet de l’esclavage et le livre de Loïk Le Floch Prigent, c’est la fête aux pisse-vinaigre anti-blancs…

Souvenez-vous de ces articles d’août :

« Boulevard Voltaire avait publié un article de monsieur Magaye Gaye : « La persistance de la pauvreté sur le Continent résulte, à notre avis, moins d’un taux de fécondité élevé que de dysfonctionnements économiques ».

Auquel j’avais répondu : "A Magaye Gaye, qui minore la catastrophe de la démographie africaine"

Loïk Le Floch-Prigent (un monsieur qui a fait de la prison etc. Ok mais ça c’est un autre chapitre) nous livre ses réflexions dans « Carnets de route d’un Africain, un autre regard sur l’Afrique d’aujourd’hui. »

Voici quelques passages en style télégraphique :

– Il y a 2 Afriques : celle, envoûtante et mystérieuse, que nous observons depuis l’Europe et celle que nous voyons en Europe et qui suscite plus de défiance que de sympathie – ceux qui croient avoir compris l’Afrique c’est qu’on ne la leur a pas bien expliquée. – Il y a une logique occidentale cartésienne et une autre qui est africaine donc impénétrable – c’est ainsi qu’échouent les efforts politiques français, américains, russes, chinois, etc.

– L’Afrique possède des ressources gigantesques dans ses profondeurs inexplorées ou mal exploitées – l’Occident n’a pas le monopole de l’imbécillité : il y a des imbéciles partout, aussi en Afrique.

– Qui sont les parasites ? Des membres de la famille, au sens où l’on entend la chose en Afrique, c’est-à-dire tout un peuple de parents plus ou moins éloignés – qu’un chef ait une soixantaine d’enfants n’étonne personne – les ouvriers des chantiers qui ont des missions d’ 1 ou 2 ans dans des villes ou villages multiples, malgré leur peu de revenus, peuvent se retrouver accablés d’une bonne dizaine d’enfants nés de 10 femmes différentes – frères ou sœurs partagent rarement le même père ou la même mère, il faut comprendre qu’ils ont été élevés dans la même famille, voire dans le même village. – il faut entretenir les femmes, les enfants mais aussi les frères et sœurs.

– Le travail de la démocratie, travail de fourmi avec des projets et des contre-propositions, tout cela n’existe pas en Afrique.

– Les candidats successifs rêvent de s’accaparer le pouvoir pour l’exercer de la même manière que leurs prédécesseurs, sans réel programme – la communauté internationale ferme les yeux – chacun se demande ce que cela va lui rapporter, à lui personnellement et non pas au pays.

– Il m’a souvent été donné de voir le décor, je n’ai qu’à de rares fois pu entrevoir son envers.

– La société africaine compte des castes – parmi lesquelles l’humble vie des tribus avec l’emploi des langues vernaculaires et la présence insistante des traditions.

– La notion de « pays » telle qu’on l’entend en Europe n’est qu’une chimère.

– L’Africain se considère d’abord comme un « Noir » ensuite vient la famille puis la tribu et ensuite le pays – avec le morcellement en ethnies, tribus, familles et des frontières mal tracées qui causent l’instabilité des pays.

– « Quand on travestît en soldats des villageois et autres paysans, on ne fait pas d’eux des militaires pour autant. De tels procédés font songer davantage aux albums de Tintin qu’aux grands films d’aventure : on est à mi-chemin entre le cirque et le comique troupier. »

– il faut regarder la vidéo « Le retour de l’oncle belge » qui rend compte de la coopération entre la Belgique et le Congo pour la formation de son armée :

https://youtu.be/0xNL67Z81k0
.
– Les chemins de fer de la colonisation n’ont connu aucun programme sérieux de maintenance : ils deviennent des reliques qui se délitent de jour en jour comme le merveilleux Addis-Abeba – Djibouti. Les centrales électriques ne sont pas arrivées à suivre la démographie galopante des villes africaines.

– Les maladies tropicales (si combattues durant la colonisation) persistent – l’Afrique est en proie à des maladies génétiques que nul ne sait traiter par exemple la redoutable drépanocytose – « Il y a encore la lèpre, la tuberculose, la bilharziose mais la plus grande cause de mortalité demeure le paludisme » (ajoutons Ebola, SIDA, poliomyielite, fièvre jaune, variole, etc.)

– L’équilibre des sociétés traditionnelles est bouleversé – la jeunesse explose sans trouver d’emplois et cesse de respecter l’autorité des anciens – améliorer la santé des populations faisant reculer la mortalité a fait exploser la démographie – le baby-boom est tel que tout va de travers dans l’éducation – les « Bounty » ceux qui sont noirs dehors et blancs dedans, ont reçu une éducation soignée en France, G.B, USA, Canada, Chine jadis Moscou – ces jeunes gens prometteurs n’ont aucun intérêt à changer quoi que ce soit à la politique élitiste – ces cadres sont devenus une autre caste qui n’a aucunement cherché à transformer en profondeur la vie quotidienne de leurs concitoyens.

– Tout est de guingois, même dans les palais présidentiels lorsqu’il est fait appel à la main d’œuvre locale. Ils ne savent pas travailler parce qu’on ne leur a pas appris à travailler – la ville draine des milliers de candidats à l’exil – l’attrait pour la télévision procède des séries américaines ou européennes qui les font vivre dans un monde dont ils rêvent (et qu’ils viennent chercher en Europe).

– La possession de 1 ou plusieurs téléphones est devenu obligatoire pour les jeunes – avec le logement le premier poste dans le budget – leur rêve c’est un costume impeccable, assorti d’un quatre-quatre rutilant et ce dès leurs études finies. Ils n’ont pas de projet de vie à travers une profession.

– Ministères et administration sont truffés de jeunes verbeux se cherchant un destin tandis que le travail de terrain est confié à un personnel non formé ou à des Chinois. La politique d’éducation de masse est donc un échec par défaut d’analyse des véritables besoins du pays et aussi par manque de motivation réelle des jeunes. – « C’en est fini de l’ascenseur social qui existait lors de la période coloniale, tandis que les élèves studieux et appliqués se faisaient remarquer par les curés ou les instituteurs, qui leur ouvraient la voie vers des études supérieures : tout cela a été remplacé par une auto-reproduction des élites – le niveau de culture et de savoir s’est effondré avec la déchristianisation – on ne sélectionne plus les élites parmi les bons élèves » – « le bilan d’ensemble, c’est-à-dire sans tenir compte des exceptions, est effectivement catastrophique. »

– Il n’est pas rare de voir des étages entiers du Crillon retenus par un unique chef d’état africain.

– Les douaniers demandent ce qu’il y a pour eux dans les bagages – la corruption commence à l’aéroport à la douane mais que dire des ports où les agents publics devraient avoir pour tâche de remplir les caisses de l’Etat au lieu de chercher avidement à remplir les leurs ? – « Les aides directes expédiées aux Etats disparaissent en grande partie dans les abîmes de la corruption. »

– La présence insistante de sorciers, de croyances, de superstitions, de gris-gris et autres fétiches… de drogues aphrodisiaques tant la virilité passe chez eux pour une affaire de la plus haute importance.

– Si le propriétaire ne reste pas près de sa voiture il n’en retrouvera que la carrosserie, toutes les pièces détachables étant déjà cannibalisées.

– Parmi toutes les religions : « Le coran est récité par des foules qui n’en comprennent pas un traître mot » – « Il y a des évangélistes africains, des sectes chrétiennes abondantes, des musulmans spécifiques à chaque contrée : tout cela à l’encontre des intérêts du peuple africain, mais qui malheureusement progresse ».

Voilà quelques bouts de phrases glanés dans les 266 pages. Ajoutons les problèmes de l’énergie, eau potable, égouts, déchets et hygiène, religions, langues, la femme africaine, école et santé, les ONG et leurs effets pervers, les communautés, etc.

– « Où va l’Afrique? » « Le peuple ne voit depuis des dizaines d’années aucun progrès à sa situation et l’effritement des ouvrages d’art bâtis par les colons qu’ils se prennent de temps en temps à regretter (…) Le pillage interne et externe des richesses africaines n’a donc jamais cessé, tandis que le cynisme le dispute à l’hypocrisie, et ce, d’une manière accrue ces dernières années. Jadis, certains acteurs plaçaient dans leurs efforts une manière de passion et de bonne volonté, mais le monde nouveau, celui de la finance mondialisée, n’offre plus la moindre place à de tels élans. »

A l’heure où les frontières cèdent sous la poussée immigratoire, la lecture de ce livre nous donne une petite idée de ce qui est en train de nous arriver…

Pour compléter le tableau je vous invite à lire mes souvenirs du Congo dans les années 1956-1959 dans Atelier Cà della Fiola

Si les enfants que nous étions alors avaient pu continuer à grandir ensemble, aujourd’hui le Congo serait un des pays les plus prospères et modernes de la planète et la catastrophe migratoire n’aurait pas eu lieu.

Conclusion : que les pisse-vinaigre anti-blancs aillent régler leurs problèmes chez eux au lieu de cracher dans la soupe chez nous.

Anne Lauwaert

Article paru également sur Riposte Laïque

Pape François et migrants. Catholiques, interpellez vos prêtres avant la messe !

Tribune libre de breizh-info

Ainsi donc, le pape Pol Pot-François voudrait en finir avec les Européens et avec notre civilisation.

Ainsi donc, nous devrions ouvrir nos portes à tous les migrants de la terre entière, permettre à leur famille de venir s’installer sur nos terres, accepter leur culture et leurs traditions y compris si elles sont incompatibles avec les nôtres, et finalement, laisser la place.  Doit-t-on rappeler que les Blancs sont minoritaires sur cette terre et que les perspectives démographiques ne feront qu’accentuer cette réalité ?

Suite

Zimbabwe. Mugabe : « Les tueurs de fermiers blancs ne doivent pas être poursuivis »

20/08/2017 – 07h00 Harare (Breizh-Info.com) – Le président du Zimbabwe Robert Mugabe refait parler de lui pour une sortie ultra-raciste. Selon le média News Day ? Robert Mugabe a déclaré le 14 août dernier que toutes les personnes accusées d’avoir tué des fermiers blancs depuis le lancement de la réforme du pays et de la confiscation des terres aux Blancs, tous ceux là devaient obtenir l’immunité et ne pas être poursuivis en justice.

« Nous ne poursuivrons jamais ceux qui les ont tués. »

C’est à l’occasion d’un discours durant les commémoration du Jour des Héros que le président Mugabe a déclaré que les anciens fermiers avaient été tués car ils avaient luttés contre le programme gouvernemental.
Et le président du Zimbabwe n’y a pas été de main morte : « Oui, nous avons ceux qui ont été tués quand ils ont résisté. Nous ne poursuivrons jamais ceux qui les ont tués. Je vous le demande : pourquoi les arrêterions-nous ? »

Au moins 12 morts

Au moins 12 fermiers blancs ont été tués durant plusieurs attaques violentes de fermes. Malgré les condamnations internationales et des sanctions prises par les pays occidentaux, Robert Mugabe avait alors justifié ces meurtres : « Aucun décision judiciaire ne s’opposera à la manière que nous avons choisie pour obtenir la terre. Après tout, cette terre est nôtre par notre naissance. Elle est nôtre par nos droits. Elle est également nôtre par notre lutte. »

En juillet déjà, Robert Mugabe avait provoqué l’émoi en déclarant que les fermiers blancs toujours en activité devaient être expulsés de leur propriété car la plupart des Zimbabwéens étaient à la recherche de terres.

Pas certain que cet accès assumé de racisme anti-blanc soit condamné à sa juste mesure par les médias et les hommes politiques occidentaux.

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Afrique du Sud : ces réfugiés dont personne ne parle

A l’heure où l’agenda globaliste impose aux peuples européens d’accepter un flux ininterrompu d’étrangers par millions, il est intéressant de se projeter dans une situation qui évoque un avenir possible pour nos peuples. Un avenir où des minorités blanches frappées par une crise économique systémique devraient survivre au sein d’une population non-européenne. La situation des Boers pauvres d’Afrique du Sud s’avère ici très instructive, voire même anticipatrice à bien des égards.

Suite