Par Maxime Lépante
Le jeudi 3 mars 2016, à Clermont-Ferrand, l’historien Bernard Lugan a prononcé une conférence sur la Libye. Un groupuscule « antifasciste » local, fidèle aux traditions totalitaires de l’extrême-gauche, a tenté par tous les moyens, y compris criminels (agressions physiques), d’empêcher cette conférence d’avoir lieu. Nous livrons ci-dessous un récit détaillé des événements de cette soirée. (1)
Qui est Bernard Lugan ?
Bernard Lugan est un historien de renommée mondiale, spécialiste de l’Afrique, sur laquelle il a écrit plus de 30 livres. (2)
De 1984 à 2009, Bernard Lugan a été maître de conférences à l’université de Lyon III, où il a assuré différents cours sur l’histoire de l’Afrique et de la francophonie. Pendant cette période, il a aussi donné des conférences à l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale (IHEDN) ainsi qu’à l’École de Guerre (plus haut établissement de formation des officiers supérieurs des armées françaises) au sein du module « Histoire et géostratégie de la francophonie ». (3)
Le mousquetaire Bernard Lugan, lors de la conférence de Clermont-Ferrand.
Opposé à toute forme de repentance historique, Bernard Lugan considère que la colonisation n’a été qu’une parenthèse dans l’histoire du continent africain, bien qu’elle ait bouleversé la vie de ses habitants. Selon lui, l’évolution de l’Afrique et l’histoire de ses habitants sont fortement marquées par l’ethnicisme (importance capitale de l’appartenance à une ethnie, expliquant les tensions et guerres inter-ethniques, et sous-tendant les transformations sociales et politiques).
À cause de cette thèse, Bernard Lugan s’est attiré la haine des innombrables marxistes et néo-marxistes qui infestent l’Université française (école tiers-mondiste). Pour ces derniers, la situation actuelle de l’Afrique (guerres, coups d’État, famines, massacres, pauvreté, violence domestique, etc.) est le résultat exclusif de la colonisation occidentale, dénoncée comme forcément néfaste – ce qui leur permet ensuite de diaboliser l’Occident et les Blancs, présentés comme des coupables éternels (racisme anti-Occidental et anti-Blancs).
Luttant sans faiblir contre les cabales de l’extrême-gauche, Bernard Lugan, entre 1990 et 2004, a intenté et gagné 17 procès contre les journalistes et médias qui l’avaient diffamé, lesquels ont été condamnés à lui verser des dizaines de milliers de francs de dommages et intérêts.
En avril 2015, Bernard Lugan est informé que toutes ses conférences planifiées dans les Écoles de Saint-Cyr Coëtquidan (ESCC) sont annulées, sur intervention directe du gouvernement socialiste, en raison de ses critiques contre François Hollande pour avoir décidé d’envoyer à Sétif le secrétaire d’État aux Anciens combattants en guise de repentance, cautionnant ainsi « la réécriture de l’Histoire faite par les autorités algériennes », « au prix d’une nouvelle humiliation de la France ». (4)
Récit des événements du jeudi 3 mars 2016
En janvier 2016, l’Alliance Française de Clermont-Ferrand décide d’inviter l’historien Bernard Lugan à donner une conférence à l’École de droit de Clermont-Ferrand, où elle organise chaque année un cycle de conférences. (5)
Le mardi 1er mars, deux jours avant la conférence, un groupuscule d’extrême-gauche inconnu, la CARA (Cellule Antifasciste Révolutionnaire d’Auvergne) lance une campagne de propagande diffamatoire contre Bernard Lugan, publie sur Facebook un « communiqué » (truffé de fautes d’orthographe) exigeant l’interdiction de sa conférence sous peine de violences et annonce une manifestation devant l’École de droit. (6)
Les habituels procédés de l’extrême-gauche : calomnies, nazification, censure.
Le jeudi 3 mars, à 12h30, soit moins de 6 heures avant l’heure prévue pour la conférence (18 heures), la doyenne de la faculté de droit de Clermont-Ferrand, Christine Bertrand, se rend sur la page Facebook des prétendus « antifascistes » de la CARA pour déclarer qu’elle a demandé à l’Alliance Française de Clermont-Ferrand d’annuler cette conférence et que cette association vient d’acquiescer à ce scandaleux diktat.
Face à cette censure d’un universitaire réputé, un groupe de jeunes étudiants de Clermont-Ferrand, qui avaient envie d’assister à la conférence de Bernard Lugan, décide que le totalitarisme obscurantiste ne doit pas gagner et que la conférence doit se tenir coûte que coûte.
Ces jeunes étudiants, des membres du MAS (Mouvement d’Action Sociale) d’Auvergne (une organisation identitaire et différentialiste), et de l’Action Française Étudiante de Clermont-Ferrand (une organisation royaliste et nationaliste) réussissent, en moins de deux heures, à trouver et à louer une salle dans un hôtel Ibis situé en périphérie de la ville. (7)
La conférence, initialement prévue à 18 heures, est reportée à 19 heures, et cinq membres de l’Action Française Étudiante se rendent devant l’École de droit de Clermont-Ferrand, afin de pouvoir indiquer l’adresse de cet hôtel aux participants qui ne sont pas au courant de l’annulation de la conférence de Bernard Lugan par la doyenne Christine Bernard.
À 18h, devant l’École de droit, un commando de prétendus « antifascistes » de la CARA, avec le courage habituel des militants d’extrême-gauche, attaque les étudiants de l’Action Française, à 20 contre 5. Un jeune militant patriote se retrouve entouré par 5 nervis de la CARA, qui lui crachent dessus et finalement le frappent, devant deux policiers passifs.
Le commando d’extrême-gauche, devant l’École de droit de Clermont-Ferrand, peu avant le début de l’attaque criminelle contre les étudiants de l’Action Française.
Finalement, la conférence déplacée commence à 19h30, dans la salle de l’hôtel Ibis. Bernard Lugan entame son exposé, intitulé : « Libye – Géopolitique d’une déstabilisation ».
A 20h05, la porte de la salle de réunion s’ouvre, et un membre du service d’ordre annonce qu’un groupe d’extrémistes ultra-gauchistes de la CARA vient d’arriver devant l’hôtel Ibis et menace de l’envahir.
Une quinzaine d’étudiants de l’Action Française sortent de la salle de réunion, et vont faire face aux extrémistes, sur la pelouse devant l’hôtel. Il y a là une trentaine d’énergumènes, qui agitent des bâtons et des barres de métal en hurlant « frappez-les aux jambes ! » et qui lancent trois pavés de bonne taille sur les membres de l’Action Française.
Pour se protéger, les jeunes de l’Action Française mettent leurs casques de moto. À leur tête, Bernard Lugan, sans casque, s’exclame : « Pas de face à face, il faut les repousser tout de suite ! », puis il s’élance en criant « Occident vaincra ! ». En état de légitime défense, les jeunes de l’Action Française, utilisant des bombes de gaz lacrymogène, repoussent les 30 criminels de la CARA, qui détalent comme des lapins, en laissant tomber leurs bâtons et leurs barres de métal. Deux militantes de la CARA, qui ont été aspergées de gaz lacrymogène, et que leurs amis on courageusement abandonnées, s’asseyent sur le trottoir en pleurnichant et se voient inviter à venir assister à la conférence de Bernard Lugan – ce qui provoque chez elles des sursauts terrifiés, comme si on leur avait proposé de rencontrer le Diable en personne.
Les pavés, bâtons et barres de métal utilisés par le gang des terroristes de la CARA, lors de leur attaque contre l’hôtel Ibis.
Appelée par un colonel qui assistait à la conférence, la police arrive rapidement sur les lieux (un fourgon, deux voitures et deux motards). Un peu plus tard, les policiers retrouvent les criminels de la CARA sur le parking d’un hypermarché Leclerc, situé à environ 500 mètres de l’hôtel. L’un d’eux est interpellé pour outrage par les policiers et placé en garde à vue.
Le communiqué de la CARA, dans lequel ces malfaiteurs reconnaissent publiquement avoir attaqué l’hôtel Ibis. (8)
Le résultat de cette attaque d’antifas contre la conférence de Bernard Lugan est clair : une déroute complète pour le gang terroriste de la CARA, une charge fantastique couronnée d’un succès éclatant pour les jeunes étudiants de l’Action Française, 15 patriotes qui font déguerpir 30 fachos d’extrême-gauche, une défaite pour le totalitarisme et une victoire pour la liberté d’expression.
Reprenant sa conférence, Bernard Lugan, tout guilleret, déclare : « L’ethnologue que je suis est heureux de découvrir qu’une tribu que l’on croyait disparue au fin fond de l’Amazonie existe encore : le parti communiste maoïste ». Plus tard, Bernard Lugan ajoutera qu’il est tellement enthousiasmé par cet accueil chaleureux qu’il songe à revenir à Clermont-Ferrand pour y donner une autre conférence.
La conférence s’achève finalement à 21h. Malgré toutes les péripéties de la journée, elle a connu un franc succès : la salle était comble et, parmi les 60 participants, on comptait quatre hauts gradés de l’Armée française, des avocats, des chefs d’entreprise, des universitaires, etc.
Christine Bertrand, la honte de l’Université française
Comme nous l’avons rapporté plus haut, c’est la doyenne de l’École de droit de Clermont-Ferrand, Christine Bertrand, qui a demandé l’annulation de la conférence de Bernard Lugan, apportant ainsi son soutien au groupuscule d’extrémistes de la CARA (Cellule Antifasciste Révolutionnaire d’Auvergne), qui tentent de faire régner la terreur dans les rues de Clermont-Ferrand et qui attaquent avec des bâtons, des barres de métal et des pavés les participants à une conférence donnée par un historien réputé ! (9)
Cette collusion de Christine Bertrand avec un gang de criminels est une honte pour l’Université française, et constitue une claire violation de sa mission de diffusion de la culture ainsi que du principe de neutralité du service public. (10)
En 2014, Christine Bertrand a reçu la Légion d’honneur. Au vu de son comportement méprisable dans l’affaire qui nous occupe, c’est plutôt la Légion de déshonneur qu’elle mériterait. (11)
Il semble en effet que, pour Christine Bertrand, le droit à la liberté d’expression n’existe pas. Comment peut-on prétendre être une spécialiste du droit, et fouler aux pieds ce même droit ? Comment peut-on prétendre être universitaire, et censurer un universitaire ?
Mais il semble plus important, pour Christine Bertrand, de maintenir les étudiants de l’École de droit de Clermont-Ferrand dans une ignorance crasse, de s’opposer à la diffusion du savoir et de se compromettre avec un groupuscule de fanatiques armés de bâtons et de pavés.
La Cellule Antifasciste Révolutionnaire d’Auvergne (CARA)
Cette organisation extrémiste, coutumière des actions illégales et violentes, se réclame du communisme maoïste (on ne rit pas, s’il vous plaît). Il existe donc encore, en 2016, des hommes et femmes préhistoriques qui militent pour cette idéologie responsable de la mort de plus de 60 millions de personnes. (12)
Armés de bâtons et de pierres, outils naturels des pithécanthropes communistes et maoïstes, ces bons à rien passent leurs journées à vivoter des aides sociales qu’ils volent aux Français travailleurs et ne sortent de leurs cavernes qu’à la tombée de la nuit pour attaquer d’honnêtes citoyens qui s’intéressent à la culture et à l’histoire.
Il ne faut pas trop leur en vouloir : les criminels maoïstes, en bons hommes préhistoriques, n’ont pas encore accédé à l’écriture, ils ne savent donc pas lire et sont par conséquent incapables de décrypter les signes énigmatiques que contiennent les livres, qu’ils soient de Bernard Lugan ou d’autres auteurs. Et même s’ils savaient lire, ils refuseraient de le faire, car se cultiver ne fait pas partie du programme de l’extrême-gauche (« Du passé faisons table rase ! »).
Les antifascistes sont les vrais fascistes
Une fois de plus, cet événement prouve à quel point la déclaration de Winston Churchill était prémonitoire : « Les fascistes de demain s’appelleront eux-mêmes antifascistes ».
Les méthodes des nervis de la CARA ressemblent, à s’y méprendre, à celles des nazis (qui, rappelons-le, étaient des socialistes) dans l’Allemagne des années 1930 : ainsi, en 1933, sous la direction de Goebbels (« Quand j’entends le mot culture, je sors mon revolver ! »), des membres des jeunesses hitlériennes organisèrent des boycotts contre « les professeurs indignes de nos facultés allemandes », qui culminèrent dans des autodafés géants, lors desquels des dizaines de milliers de livres « impurs » furent brûlés. (13)
Autodafé dans la nuit du 11 mai 1933, à Berlin : les extrémistes totalitaires de la CARA brûleront-ils bientôt les livres de Bernard Lugan, après avoir tenté d’imposer un boycott contre lui ?
Mais les comportements criminels de ces fachos d’extrême-gauche ne s’arrêtent pas là : en effet, ils ont aussi pour habitude de fabriquer des affiches qui portent, en gros caractères, la mention « WANTED », au-dessus des noms et des photos de militants identitaires prises sur Facebook, et de les coller dans les cités des banlieues de Clermont-Ferrand remplies de racailles musulmanes : ce qui constitue clairement des appels au meurtre.
État d’urgence non appliqué par les autorités
Depuis les attentats musulmans du 13 novembre 2015, la France vit sous le régime de l’état d’urgence : malgré cela, les autorités n’ont pris aucune mesure pour empêcher la manifestation illégale des fascistes de la CARA devant l’École de droit de Clermont-Ferrand.
Ainsi, les patriotes qui manifestent pacifiquement contre la jungle de Calais et les crimes des clandestins musulmans sont interpellés sur ordre du ministre de l’Intérieur, le méprisable Bernard Cazeneuve, mais les extrémistes maoïstes qui agressent physiquement des étudiants devant une Université sont laissés en liberté !
Et que dire de ces fanatiques de la CARA qui, alors que les attentats musulmans ensanglantent notre pays, ne trouvent rien de plus urgent ni de plus important à faire que de tenter d’empêcher un universitaire français de prononcer une conférence ?
Nous ne pouvons nous empêcher de penser que ces scélérats mériteraient d’être déchus de la nationalité française puis d’être expulsés vers l’Afrique, afin de leur donner l’occasion de vérifier le bien-fondé des thèses du professeur Lugan par des travaux pratiques de terrain.
Coïncidence symbolique à l’hôtel Ibis
L’hôtel Ibis, dans lequel a eu lieu la conférence de Bernard Lugan, est situé au numéro 30 de la rue Georges Besse. (14)
Or Georges Besse, PDG de Renault, a été assassiné, le 17 novembre 1986, par le groupe terroriste d’extrême gauche « Action directe », dont les membres se réclamaient… du communisme maoïste ! (15)
Ainsi, la victoire des patriotes sur les nervis de la CARA a-t-elle permis de venger partiellement la mémoire de Georges Besse, victime de la barbarie de l’extrême-gauche, et de mettre en déroute des fanatiques qui marchent sur les pas des terroristes du groupe « Action Directe »…
La folie totalitaire de la gauche
Le lendemain de cette conférence, un membre du comité NPA (Nouveau Parti Anticapitaliste) de Clermont-Ferrand appelait sur Facebook à… boycotter l’hôtel Ibis où s’était tenue la conférence de Bernard Lugan ! (16)
Louer une salle pour une conférence de Bernard Lugan, « cela ne devrait pas être autorisé puisque paraît-il nous sommes en démocratie ». Les fins gourmets apprécieront… Pour ce militant d’extrême-gauche, la « démocratie » n’est visiblement rien d’autre qu’un goulag géant, façon URSS.
Nous rendons hommage à la brillante intelligence de ce génie des temps modernes, et nous lui suggérons de boycotter les marques de vêtements que Bernard Lugan porte, les commerces qui ont le culot d’accepter que Bernard Lugan leur achète des bananes (d’Afrique noire, cela va de soi), les opérateurs qui acceptent que les appels téléphoniques de Bernard Lugan transitent par leur réseau, et surtout l’atmosphère terrestre, dont les molécules entrent ignominieusement dans les poumons de Bernard Lugan et en ressortent, sans s’être fait hara-kiri, pour aller infecter des millions d’innocents.
Pendant ce temps…
Pendant ce temps, les musulmans, que les gens de gauche aiment tellement, peuvent tranquillement continuer à nous massacrer.
Maxime Lépante / article paru en premier sur RL
Notes :
1) On peut lire le communiqué de Bernard Lugan, sur ces événements, sur son blog :
Echec de la tentative de censure et d’intimidation physique sur Bernard Lugan à Clermont-Ferrand
http://bernardlugan.blogspot.fr/2016/03/echec-de-la-tentative-de-censure-et.html
2) On peut commander les livres de Bernard Lugan sur son blog :
http://bernardlugan.blogspot.fr/p/livres.html
Voici la liste détaillée des œuvres de Bernard Lugan :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Lugan#.C5.92uvres
3) Bernard Lugan
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Lugan
4) Affaire Lugan : l’épuration idéologique continue
http://www.bvoltaire.fr/aristideleucate/affaire-lugan-lepuration-ideologique-continue,171589
5) Les intervenants sont des personnalités du monde universitaire, des spécialistes reconnus, voire célèbres, dans leur domaine de compétences : Michel Serres, Jean-Marie Rouart, Laure Adler, Henri Mitterand, Jean Cluzel, Henriette Walter, Jean-Noël Jeanneney…
http://crdp-pupitre.ac-clermont.fr/alliancefr/index.php?id_compte=8&squelette=archive&rubrique=conference
6) Voir l’événement Facebook créé par ce groupuscule :
Pas de fascistes dans les facs ! Bernard Lugan dehors!
https://www.facebook.com/events/1122875061096679/
Voir aussi le « communiqué » de ce groupuscule :
https://www.facebook.com/events/1122875061096679/permalink/1122876991096486/
7) Mouvement d’Action Sociale Auvergne
https://www.facebook.com/MASauvergne/
Action Française Etudiante – Clermont Ferrand
https://www.facebook.com/actionfrancaiseclermont/
8) https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=750900988373677&id=413624052101374
9) Christine Bertrand, Doyen de l’École de Droit de l’Université d’Auvergne
http://www.droit.u-clermont1.fr/christine-bertrand.html
10) Notre collègue, Lucette Jeanpierre, a déjà dénoncé le comportement lamentable et méprisable de Christine Bertrand :
Christine Bertrand fayote auprès des antifas en censurant Bernard Lugan
http://ripostelaique.com/christine-bertrand-fayote-aupres-des-antifas-en-interdisant-bernard-lugan.html
11) Christine Bertrand chevalier de la Légion d’honneur (4 juillet 2014)
http://www.lamontagne.fr/auvergne/actualite/departement/puy-de-dome/clermont-ferrand/2014/07/05/christine-bertrand-chevalier-de-la-legion-dhonneur_11069902.html
12) Les crimes du maoïsme
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mao%C3%AFsme#Les_crimes_du_mao.C3.AFsme
13) Boycott des enseignants
https://fr.wikipedia.org/wiki/Autodaf%C3%A9s_de_1933_en_Allemagne#Boycott_des_enseignants
Les autodafés
https://fr.wikipedia.org/wiki/Autodaf%C3%A9s_de_1933_en_Allemagne#Les_autodaf.C3.A9s
Lieu et date des autodafés
https://fr.wikipedia.org/wiki/Autodaf%C3%A9s_de_1933_en_Allemagne#Lieu_et_date_des_autodaf.C3.A9s
14) Hôtel Ibis (Clermont-Ferrand Le Brezet Aéroport) : 30 rue Georges Besse, ZI Le Brézet, 63100 Clermont-Ferrand.
http://www.accorhotels.com/fr/hotel-9262-ibis-styles-clermont-ferrand-le-brezet-aeroport/index.shtml
Selon les participants à la conférence, les employés de l’hôtel Ibis ont été très professionnels.
15) Georges Besse
https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Besse
16) https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=1502212830086952&id=100008947474770