Cenator : Impunité pour les agresseurs Antifa, risque d’arrestation pour un père de famille qui manifeste pacifiquement contre l’administration de bloqueurs de puberté…
***
Un militant canadien qui s’était rendu à Montréal pour manifester contre l’administration de bloqueurs de puberté aux enfants a été attaqué par des assaillants vêtus de noir qui l’auraient frappé, lui auraient volé son appareil photo et lui auraient cassé le bras avec un plot de signalisation.
L’incident s’est produit vendredi soir dans le centre-ville de Montréal, où Chris Elston, un résident de Vancouver, a déclaré qu’il avait une “conversation paisible” avec un homme du quartier lorsqu’environ sept “voyous” l’ont agressé. Des images vidéo montrent plusieurs assaillants, dont au moins une femme, poursuivant Elston et un autre homme, les frappant avec un cône de signalisation et exigeant qu’ils quittent les lieux. À un moment donné, l’un des agresseurs lance une substance jaune vers les hommes.
Elston a déclaré qu’il avait filmé les images sur son smartphone après que les agresseurs lui volèrent son panneau et sa caméra. Il a déclaré que l’agression initiale comprenait des coups de poing au visage et à l’arrière de la tête. Son avant-bras a été cassé en bloquant les coups donnés avec le de signalisation, et il a souffert d’une veine éclatée dans sa main et d’une lèvre gonflée.
[…] Elston a déclaré qu’il s’était abstenu de se défendre, car il craignait d’être arrêté pour s’être défendu.
Chris Elston avait même été arrêté dans des circonstances semblables en ooctobre 2020. Il est vrai qu’il était plus facile aux policiers de le protéger en l’arrêtant, lui, qu’en arrêtant ses agresseurs. Mais il était tout de même resté 4 heures en garde à vue pour « trouble à l’ordre public », une accusation qui n’a finalement pas été retenue. (RAIR)
Des voyous de Montréal attaquent un militant qui s'oppose aux bloqueurs de puberté pour les enfants
le 22 mars 2021 (traduction automatique disponible sur Youtube)
Drea Humphrey s'entretient avec Chris Elston, un militant de Vancouver, après qu'il ait été attaqué par des voyous d'extrême gauche à Montréal alors qu'il portait une pancarte s'opposant à la délivrance de bloqueurs de puberté aux enfants.
Samedi dernier, le candidat de l'AfD Stephan Schwarz (36 ans) a été attaqué par 15 à 20 voyous à Schorndorf et a dû être transporté à l'hôpital.
Le stand d'information du parti a été complètement détruit lors de l'attaque. (...) L'incident a bénéficié d'une couverture médiatique dans toute l'Allemagne.
La police a par la suite arrêté provisoirement cinq suspects (18 à 25 ans), et la sécurité de l’État est en train d’enquêter. Le candidat de l'AfD, Stephan Schwarz, a depuis quitté l'hôpital.
Dans une lettre d'aveux présumée postée sur Indymedia [NDLR : un site web utilisé par les radicaux de gauche], des auteurs anonymes ont écrit : "Un an après l'attaque de Hanau, ceux qui s'agitent le plus agressivement contre tout ce qui n'est pas allemand et qui fournissent ainsi les munitions idéologiques aux terroristes de droite ont été amenés à comprendre qu'être raciste signifie encore et toujours avoir des ennuis".
Il est fait mention à la campagne «Action antifacsiste - Contre les solutions de crise de droite».
Le ministère de l'Intérieur de Bade-Wurtemberg a déclaré au journal Der Welt que cette campagne avait été "initiée par la scène d'extrême gauche de Bade-Wurtemberg au début du mois de février 2021".
Selon la déclaration, cela "visait les élections régionales dans le Bade-Wurtemberg et la Rhénanie-Palatinat au printemps ainsi que les élections fédérales à l'automne de cette année". En outre, "diverses "actions antifascistes" ont été annoncées tout au long de l'année 2021".
Un portail en ligne distinct a même été mis en place pour la campagne de la gauche radicale. On y célèbre non seulement l'attaque de Schorndorf, mais on y discute également d'une action à Reutlingen au sud de Stuttgart, qui a également eu lieu samedi.
"Le matin, les antifas de Reutlingen et de Tübingen se sont rassemblés sur la place du marché et y ont tenu un stand d'information sur l'AfD", peut-on lire.
Selon leur déclaration, ils étaient également actifs à Francfort, en Hesse, et "avec 200 personnes dans la rue contre la présence de l'AfD à Mühlheim lors des élections du conseil municipal".
Un dépliant se trouve également sur la page de la campagne Antifa. Sous la rubrique "Saboter la campagne électorale de droite", des conseils sont donnés sur la manière de rendre inutilisables les affiches électorales de l'AfD ou de perturber les stands d'information.
Les politiciens de l'AfD sont particulièrement victimes de la violence
Avant tout, peu importe que leurs prospectus électoraux soient détruits ou simplement "modifiés"", écrivent les auteurs sur la page du tract. "Chaque geste contre leur propagande est un coup porté à leur encontre et leur enlève leur place dans l'opinion publique."
Ils poursuivent : "C'est pourquoi il devrait être possible pour chacun - militant ou cadre - de faire sa part pour rendre la campagne inconfortable et coûteuse pour la droite".
Selon le Welt, les attaques contre les politiciens ont récemment augmenté de manière significative. Le rapport indique que les politiciens de l'AfD sont particulièrement touchés.
Ainsi, 863 infractions ont été enregistrées à leur encontre au cours de l'année écoulée - ce qui correspond à plus de 40% de tous les cas comptabilisés.
Selon le Welt, sur un total de 52 crimes violents enregistrés contre des politiciens du Bundestag, 37 cas visaient des élus de l'AfD, suivis par des politiciens de l'Union et du SPD avec quatre cas chacun.
(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
Les captures d’écran d’une chaîne de discussion Discord, qui serait animée par John Sullivan – un militant d’extrême gauche et anti-Trump qui semble avoir incité à la violence au Capitole américain tout en se faisant passer pour un journaliste – révèlent que lui et ses partisans ont infiltré la marche « Save America » du 6 janvier à Washington, D.C.
Les captures d’écran mises au jour font suite à l’arrestation de Sullivan pour son rôle dans l’émeute du Capitole, qui comprenait des appels à la violence tels que « nous devons faire brûler cette merde » et « c’est notre maison, fils de put* », comme peut le révéler une déclaration sous serment.
Le canal de discussion Discord serait affilié au groupe Insurgence USA de Sullivan, qui se décrit comme « formant une coalition arc-en-ciel pour unir tous les peuples sous une même bannière afin de lutter pour la libération et la liberté de tous les peuples ».
« Nous sommes la révolution, montrons-leur la puissance du peuple uni », ajoute la page du groupe.
Les journaux de chat corroborent la récente accusation fédérale contre Sullivan, notant qu’il n’a pas assisté à l’émeute pour « faire un rapport » mais plutôt pour servir d’agent provocateur. Sullivan – qui utilise le nom de Jayden X – peut être vu en train d’envoyer une image de lui-même dans un chapeau Trump 2020 avec une légende « counter intel » le 6 janvier :
Sullivan se faisant passer pour un partisan.
Après les émeutes, d’autres utilisateurs de Discord ont révélé qu’ils s’étaient déguisés en partisans de Trump en portant des casquettes et des chemises avec l’insigne du président :
Les utilisateurs avouent porter des casquettes ou des chemises de Trump pour se fondre dans la masse.
D’autres utilisateurs, tels que « deaththreat », ont admis qu’une « grande quantité d’anti-Trump » composait ceux qui prenaient d’assaut le Capitole avant de paraître s’identifier dans la foule :
Des utilisateurs de Discord qui s’identifient à la manifestation du Capitole.
D’autres participants se sont photographiés en train de renverser les partisans de Trump à l’extérieur du Capitole:
Sullivan avait également affiché des instructions sur la façon de fabriquer des lingettes pour armes chimiques.
Enfin, de nouvelles informations montrent que Sullivan et son équipage prévoyaient de participer à d’autres manifestations violentes se faisant passer pour des partisans pro-Trump :
Pas plus tard que mercredi 13 janvier, il semble avoir posté des commentaires tels que « Lol, ça va être la guerre ».
Les dernières informations contredisent sérieusement les affirmations de l’establishment selon lesquelles Donald Trump aurait incité à une émeute au Capitole et que ses partisans seraient responsables de la majeure partie de l’action du 6 janvier.
Cenator: Nous avons l’habitude de voir ce genre de célébration bestiale de meurtres commis par exemple par le Hamas et ses dérivés contre les civils en Israël.
Ici, ce sont les Antifa, la gauche radicale, qui jubilent après l’assassinat d’une femme, une mère, une épouse, une patriote exemplaire et totalement innocente.
Que nous soyons croyants, athées ou agnostiques, nous ne pouvons nous empêcher de constater que nous sommes entrés en Occident dans une phase où une lutte à mort s’est engagée entre le bien et le mal, entre la vérité et le mensonge, entre la bestialité et la civilisation. Et il n’est pas difficile de voir dans quel camp se trouvent les marxistes.
La nouvelle de cette célébration de l’assassinat d’Ashli Babbitt a fait le tour des réseaux sociaux, mais cette fois, pas de censure, pas d’avertissement pour discours de haine, pas de suspension de compte, et bien entendu, pas un mot dans nos médias de la bien-pensance.
Selon certains spécialistes des services secrets hongrois, comme G. Földi, le FBI était impliqué dans l’intrusion au Capitole, avec des complices à l’intérieur du bâtiment avec la coordinations des Antifa. En visionnant les vidéos, ils ont reconnu des méthodes et stratégies typiquement utilisées par les bolchéviques dans le passé. Sur une des vidéos (depuis 3:11), on peut voir de l’autre côté de la porte un homme en civil, posté en embuscade, tirer à bout portant dans la tête d’Ashli Babbitt. Plus loin derrière lui, il y avait plusieurs policiers en uniforme, avec des armes automatiques. Ils ont tout vu lorsque l’assassin a visé et tiré, et personne ne l’en a empêché. Les Hongrois y voient clairement un piège. Il faut savoir que dans une foule compacte, avec des complices, il est très facile d’utiliser les tactiques d’agitation marxistes. Ces méthodes sont clairement identifiables durant ces événements, noyautage par l’ennemi qui change d’apparence, les techniques d’excitation des foules, diviser les manifestants pour régner, et le reste du travail sera exécuté par les mainstream médias de gauche (CNN, RTS, etc...). Le but final, c’est la manipulation d’opinion, faire plier, repousser l’ennemi dans ses derniers retranchements, la désinformation, et finalement la perversion de la vérité.
Les Antifa ont-ils provoqué des émeutes à San Diego ? Une vidéo choquante montre des hommes en noir portant le panneau "Ashli Babbitt l'a mérité".
Des partisans du Président Donald Trump et des contre-manifestants se sont violemment affrontés lors d'un rassemblement à Pacific Beach, San Diego, Californie – la ville d’Ashli Babbitt – le samedi 9 décembre. Un des manifestants portait une pancarte sur laquelle on pouvait lire : "Ashli Babbitt l'a mérité".
Le rassemblement, décrit dans les tracts comme une "marche des patriotes", s'est déroulée le long de l'Ocean Front Walk et a commencé en début d'après-midi le 9 décembre. Un groupe de contre-manifestants, dont des membres de groupes antifascistes, vêtus de noir et tenant des bâtons ou des battes de baseball, s'est présenté devant le groupe pro-Trump, et les échanges tendus ont parfois tourné à la violence.
[…] Vers 14h30, des policiers anti-émeute sont intervenus pour séparer les deux groupes. […]
FIGAROVOX.- Le climat est à la dénonciation d'un «retour du fascisme», notamment par des groupuscules d'extrême-gauche qui s'autoproclament «antifas». Que vous inspire cette crainte? Le fascisme en tant que mouvement politique est-il mort ou peut-il renaître de ses cendres?
Frédéric LE MOAL.- Si je voulais répondre par une boutade, je dirais qu'il n'y a jamais eu autant d'antifascistes depuis que le fascisme a disparu. Plus sérieusement, je considère que le fascisme est mort en tant qu'idéologie de masse, et ce pour plusieurs raisons. La première vient bien sûr des horreurs de la Seconde Guerre mondiale et du cortège de tueries auxquels le nazisme et son comparse italien ont associé leur nom, ce qui provoque un rejet total. Ensuite le fascisme a constitué une réponse à plusieurs problématiques qui ont complètement disparu de nos jours: la crise de la modernité libérale de la fin du XIXe siècle, le problème de l'intégration des masses dans des systèmes politiques encore peu démocratiques, le cataclysme qu'a constitué la Grande Guerre (les fascistes, c'est la génération du front qui prend le pouvoir), la peur du bolchevisme et la crise de l'après-guerre. Tout cela a disparu dès 1945. Certes il existe encore des groupuscules se réclamant haut et fort du fascisme mais ce sont justement… des groupuscules! Nous faisons face à de nouvelles problématiques, à de nouvelles contestations qui n'ont rien à voir avec celles du fascisme. Il faudrait juste faire un effort sémantique.
Pourquoi selon vous la peur du retour du fascisme fait-elle tant recette (plus que le retour du nazisme ou du communisme)?
Personne aujourd'hui ne peut croire à une résurgence du nazisme et le communisme bénéficie d'une telle indulgence mémorielle qu'il n'effraye pas ou guère. Reste le fascisme et surtout l'antifascisme dont la gauche s'est emparée dès les années 1920. En outre, comment l'antifascisme pourrait-il vivre sans le fascisme? Ce combat est un puissant instrument d'instrumentalisation politique et un formidable levier de mobilisation, encore de nos jours. Enfin, une fois l'étiquette fort pratique et facile de fasciste accolée à l'adversaire politique, plus besoin de polémiquer avec lui. Il est enfin plus facile d'insulter de fasciste un adversaire que de réfléchir à son idéologie.
[...]
Contrairement aux idées reçues, vous expliquez dans votre livre que loin d'être un mouvement conservateur, le fascisme porte un idéal révolutionnaire … En quoi?
Jamais aucun fasciste, et surtout pas le premier d'entre eux, ne s'est considéré comme un conservateur et encore moins un réactionnaire. La plupart des chefs avaient commencé leur engagement politique dans les mouvements de l'extrême-gauche socialiste, marxiste, anarchistes, etc. Et ils ne renièrent jamais ce passé.
2-Ne soyons plus des cibles faciles. Nos lieux militants non sécurisés, nos rassemblement non défendus, nos tractages ou collages en petites équipes sont autant de cibles faciles pour les fachos en embuscade. Organisons nous pour ancrer durablement au quotidien la réalité de la menace fasciste. Prenons en compte l’arsenal d’armes à feux que les nazillons possèdent. Adaptons-nous aux risques liés à la détention (et au fantasme) d’armes chez les fachos. Pour réagir face à ça, il semble important de réfléchir à ce point de discorde que constitue notre rapport à la violence, en se souvenant que cette dernière n’est pas que masculiniste, mais que tous.tes peuvent se la réapproprier dans la lutte.
[...]
6-Identifions les ! Souvenons-nous que l’extrême-droite n’est pas un mouvement diffus et mystérieux, ces gens vont faire leurs courses et vivent à coté de nous (certes pas dans les mêmes quartiers). Nos facs, nos lieux de travail ou encore le centre-ville sont autant de lieux où l’on peut activement les déranger.
[...]
9-Brisons le tabou : Oui, nos actions, nos campagnes, DOIVENT être efficaces. Il est temps de cesser de militer au grès de nos « envies » de nos désirs, etc… Le temps passe, l’extrême-gauche est toujours aussi marginale quand les fascistes alignent leur meilleure équipe de Goebbels (propagandiste nazi du 3e Reich) sur toutes les chaînes les plus regardées du pays : leur audience et leur capacité de diffusion d’idées est gigantesque. Nous devons peser dans l’opinion publique par des actions coups de poings, des campagnes massives et coordonnées.
Au moins quatre personnes ont été poignardées lors d'affrontements entre Proud Boys, venus soutenir le président sortant Donald Trump, et des militants antifas à Washington DC. 23 personnes ont été interpellées.
Alors que des milliers de partisans de Donald Trump étaient descendus dans la rue pour une grande journée de mobilisation le 12 décembre 2020 dans la capitale américaine, le rassemblement a dégénéré et plusieurs personnes ont été poignardées lors d'affrontements entre Proud Boys – mouvement de droite revendiquant le recours à la violence et la défense «des valeurs occidentales» – et des militants antifas. De nombreuses vidéos mises en ligne sur les réseaux sociaux montrent ces affrontements.
Selon plusieurs médias américains, tels Fox News, NBC et le Washington Post, au moins quatre personnes ont été poignardées à proximité d'un bar servant de lieu de rassemblement aux Proud Boys. Ils ont tous été transportés avec des blessures «graves» à l'hôpital, mais devraient pouvoir survivre selon les autorités citées par ces mêmes médias.
D'après ces sources, 23 personnes ont été interpellées par les forces de l'ordre. Sur une des vidéos, après un affrontement entre les deux groupes, un individu reste au sol, visiblement victime d'un coup de couteau d'après les personnes présentes autour de lui.
A lot of Trump supporters, Proud Boys out in DC this afternoon for another pro-Trump march. More people are continuing to arrive: pic.twitter.com/FhacevkC8B
Macron, systématiquement, ordonne aux forces de l’ordre de reculer face à ces hors-la-loi. La politique du renoncement permanent, c’est la marque de la Macronie.
L’image ci-dessus a été qualifiée “d’incident” par l’AFP, alors que c’est bien une tentative de meurtre avec un projectile incendiaire visant des policiers. C’est dire combien notre pays se complaît dans ce dramatique renversement des valeurs, à cause d’un Président démissionnaire, incapable de rétablir l’ordre républicain.
Toute agression contre un policier est passée sous silence ou relativisée. Toute interpellation musclée est transformée en bavure policière volontaire et raciste.
L’interpelé est systématiquement victime, même en cas de rébellion, tandis que les policiers sont présumés coupables, voire condamnés et radiés de la police avant même d’être entendus.
Dès son renoncement face aux zadistes de Notre-Dame-des-Landes, il était clair que Macron serait le Président de la soumission permanente.
Ce week-end a encore été l’illustration de sa lâcheté et de sa démission criminelle, en livrant le pays à la violence, sans la moindre réponse pénale. Tout empire.
La Macronie, c’est le règne de l’anarchie.
67 blessés sont encore à déplorer dans les rangs des forces de police ce samedi. Des forces qui ont ordre de subir sans riposter.
“Ce qui restera du quinquennat Macron, c’est le désordre et la discorde”, a déclaré Bruno Retailleau.
Macron n’est qu’un démagogue anti-flics, qui flatte les cités dont il a une peur bleue.
Racailles des cités, ultragauche insurrectionnelle, mais aussi zadistes, Black Blocs, Antifas, indigénistes et autres décoloniaux font la loi lors de chaque manifestation.
On pourra légiférer à tout-va, rien ne changera si on ne restaure pas l’autorité des forces de l’ordre, au lieu de les paralyser.
Voilà 40 ans que le pouvoir a abandonné nos forces de police, leur interdisant de restaurer l’ordre républicain dans les cités, pour ne pas stigmatiser ces pauvres petits immigrés, véritables chouchous de la République et petits protégés des juges rouges.
Et chaque week-end, ce sont 500 Black Blocs qui ravagent le cœur des villes en toute impunité, cassant, pillant, incendiant tout ce qui se trouve sur leur passage et affrontant les forces de police avec l’intention de tuer.
Mais ordre est donné aux policiers de subir et de reculer. Les charges après sommations sont exceptionnelles, par peur de dégâts collatéraux. Pas de contact avec les casseurs, c’est l’idéologie qui régit le maintien de l’ordre.
Qu’on ne me dise pas que 500 minables casseurs cagoulés ne peuvent pas être maîtrisés, condamnés à de la prison ferme et privés de droits sociaux pour plusieurs années !
Il y a bien une volonté de renoncement qui fait de la France la risée du monde.
Quant aux médias et à la justice, si prompts à dénoncer et à monter en épingle la moindre petite bavure policière, leur complaisance et leur laxisme à l’égard des casseurs toujours plus violents en dit long sur le délabrement de notre société en voie de perdition.
Le Conseil constitutionnel, jamais avare d’une capitulation face aux casseurs, a censuré un article de la loi anticasseurs de 2019, visant à interdire de manifester les individus violents fichés par la police. Car ces Black Blocs, on les connaît tous. C’est dire combien ceux qu’on appelle les “sages”, portent bien mal leur nom !
Dans la presse, c’est pire. Pas un mot sur les policiers brûlés avec des cocktails Molotov, pas un mot sur les policiers frappés avec des battes de base-ball hérissées de lames de rasoir, pas un mot sur les policiers blessés par des boules de pétanque hérissées de clous, pas un mot sur les policiers lynchés à dix contre un, pas un mot sur les coups de marteau et les jets d’acide !
Dans les salles de rédaction, un seul sujet tourne en boucle : les violences policières et le racisme institutionnel dans la police.
Mais la réalité est que pour une seule bavure montée en épingle, on dénombre 25 tués par an et 30 blessés par jour parmi les forces de l’ordre. Elle est où, la presse objective ?
Mais pour le pouvoir, la presse et la justice, un policier c’est du consommable. Après tout, les flics sont payés pour ça !
Les Black Blocs sont là pour tuer des flics et la presse se tait, le gouvernement rase les murs et la justice répugne à condamner.
La France est gouvernée par des lâches et des salauds, qui refusent d’assurer la sécurité des Français, du moment que leur propre sécurité est garantie.
Rappelez-vous qu’en accédant au pouvoir, Macron s’est empressé de renforcer sa protection personnelle. 50 policiers de la préfecture de police ont été affectés à l’Élysée pour renforcer les 77 membres du GSPR.
Et en décembre 2018, au plus fort de la crise des Gilets jaunes, ce sont 600 policiers et gendarmes qui protégeaient notre Président tétanisé, terré dans sont bunker élyséen.
Mais le peuple, quant à lui, peut bien crever et subir les violences au quotidien.
100 000 viols par an, quasiment tous impunis.
1 000 agressions gratuites par jour passées sous silence.
Des dizaines de commissariats attaqués chaque année, par des racailles souvent mineures, assurées de l’impunité totale.
Macron a peur des cités, peur des émeutes. Il est otage des immigrés au point qu’il capitule face à la racaille qui entend imposer sa loi, puisque la police a ordre de capituler et de faire profil bas.
La France est le seul pays au monde où on attaque des commissariats, sans la moindre réponse pénale.
Et à chaque manifestation, ce sont des centaines de commerçants qui voient leurs vitrines saccagées et leurs magasins pillés. Ce dont le pouvoir se fout éperdument.
Mais dès qu’un contrôle de police tourne mal parce que l’individu contrôlé refuse d’obtempérer et se rebelle, c’est le tollé général et un torrent de haine anti-flics qui se déverse dans les médias et sur les réseaux.
Faut-il dans ces conditions abandonner les contrôles d’identité pour éviter les foudres de l’IGPN ? Clairement oui ! Les clandestins et ceux qui les protègent auront ainsi gagné, mais nos policiers n’iront plus à l’abattoir !
On demande à nos policiers de lutter contre le trafic de drogue dans les cités, où les Gaulois ont pratiquement disparu, comme le disait Jean-Pierre Chevènement, et on s’étonne que les contrôles de police ne concernent que des immigrés !
Bêler au racisme et au délit de faciès, c’est tout ce que savent faire nos élites bien-pensantes, sans comprendre que le pays est en train de s’effondrer.
Il n’y aura bientôt plus de volontaires pour intégrer la police, institution systématiquement trahie par le pouvoir et devenue la brebis galeuse de la République. Qui va accepter de se faire cracher dessus et risquer de se faire cramer pour 1 800 euros par mois ?
“Si les flics sont caillassés d’un côté et lynchés médiatiquement de l’autre, qui acceptera encore de s’engager dans la police ?”, s’alarme un parlementaire.
Il n’y aura plus d’enseignants pour aller se faire cracher dessus par les élèves des banlieues. Dans le 9-3, il y a cinq demandes de départ d’enseignants pour une seule arrivée. La presse se tait.
Il n’y aura bientôt plus de soignants pour accepter de se faire tabasser dans les urgences, par des individus agressifs qui se savent intouchables, parce que protégés par la dictature bien-pensante.
L’immigration de masse et l’idéologie mondialiste sont en train de détruire le pays. Toutes les coutures de la société sont en train de craquer.
Vendredi, sur le site Brut, après un semblant de soutien aux policiers, Macron n’a eu que le mot “violences policières” à la bouche, donnant tort aux forces de l’ordre, en voulant créer une plateforme de signalement des discriminations. Encore une arme anti-flics à la disposition de leurs ennemis.
Rien de tel pour démobiliser ceux qui nous protègent, alors que le rôle de tout chef d’État est de soutenir les piliers de la République. Mais Macron n’est qu’une chiffe molle.
Et comme la parole d’un immigré est parole d’Évangile aux yeux des médias et des associations, tandis que celle d’un policier est suspecte de racisme, on imagine le résultat de cette stupide initiative, qui va encourager les refus d’obtempérer et les actes de rébellion lors d’un contrôle d’identité.
Par son discours anti-flics, une fois de plus, Macron va aggraver la violence contre les forces de l’ordre, déjà soumises à une agressivité de plus en plus dangereuse.
En lâchant publiquement les forces de police, Macron donne des gages à son électorat immigré, sur lequel il compte pour 2022.
Rappelons que le vote musulman représente 5 % de l’électorat et qu’en 2012, 87 % de ces électeurs ont voté Hollande.
C’est donc bien le vote musulman qui a porté Hollande au pouvoir, face à Sarkozy.
Et comme la réélection de Macron est plus importante que l’avenir du pays, il n’y a plus rien de bon à attendre de la Macronie.
Dans très peu d’années, attendez-vous à un effondrement total du pays, avec des finances exsangues et une société désintégrée, ne partageant plus aucun avenir en commun.
C’est cela la réalité de l’immigration, c’est cela la réalité de la mondialisation.
Tout autre discours n’est que foutaise pour anesthésier le peuple gaulois.
Il n’y a plus grand-chose à attendre d’un pays, où des policiers, par peur de l’IGPN, préfèrent périr brûlés vifs plutôt que de tirer sur leurs assaillants.
Il n’y a rien à attendre d’un pays, où les policiers n’ont pas le droit de déloger des squatteurs, qui ont pris possession d’une maison depuis 48 heures.
La France n’est un pays de droit que pour les hors-la-loi.
Violences lors des manifestations : un écran de fumée si utile
C’est désormais une habitude : des scènes de guérilla urbaine émaillent les manifestations les plus importantes organisées à Paris. Dans ce chaos devenu rituel, il y a les idiots utiles, ceux qui minimisent les événements et, plus rares, les lanceurs d’alerte. Revue de presse.
La manifestation organisée à Paris le 5 décembre 2020 contre la loi de sécurité globale a, comme la semaine dernière, été marquée par de nombreuses violences. Voitures incendiées, jets de cocktails molotov, commerces et devantures incendiées, marteau jeté contre un policier, chasse aux forces de l’ordre, la situation était encore une fois totalement hors de contrôle dans le centre de Paris. Les milices d’extrême gauche tiennent le haut du pavé, et elles le tiennent fermement. Il y a un an, l’Ojim soulignait le jeu d’ombres présenté par les médias de grand chemin à l’occasion de la manifestation des gilets jaunes du 16 novembre 2019.
Un an après, rien ne semble avoir changé : la question du maintien de l’ordre et de la stratégie employée est toujours largement passée à la trappe dans les médias de grand chemin. Alors que cela constitue potentiellement un scandale d’État. Le rejet en 2018 par la majorité des députés au parlement du lancement d’une commission d’enquête sur les black blocs, évoqué notamment par L’Opinion, est une nouvelle illustration de l’omerta à ce sujet.
Les idiots utiles
Plusieurs leaders politiques ont fermement condamné les violences commises en plein centre de Paris. Pillages, incendies, agressions, etc. sont désormais devenus un spectacle quasiment et tristement banalisé.
Le député La France Insoumise Éric Coquerel était invité par BFMTV le soir du 5 décembre pour commenter la manifestation. On cherche vainement tout au long de son interview la moindre condamnation des violences commises par les black blocks lors de la manifestation. L’obsession d’Éric Coquerel, c’est « la violence sociale » du gouvernement qui expliquerait la montée des tensions.
« Un jour trotskyste, trotskyste toujours », c’est le constat fait par Jean-Yves le Gallou lors de l’émission IMedia sur TV Libertés (37,5 min) du 3 décembre, en commentant des images montrant « une connivence entre un black block et un des responsables du char » sur lequel Edwy Plenel harangue la foule lors de la manifestation du 28 novembre à Paris.
Policiers et petits commerçants dans le même sac sur France Inter
Si vous vous interrogiez à quoi sert la redevance, vous savez désormais pour quoi et surtout pour qui. La redevance sert notamment à payer les humoristes ricanant de la radio affiliée à l’État français, France Inter. Le 5 décembre, c’était jour de manif contre les violences policières et la loi sur la sécurité globale.
Le « chroniqueur » Guillaume Maurice de France Inter “tweete” à 10h53 pour l’occasion :
Pour les non-initiés, ACAB veut dire « all cops are bastards ». Tous les flics sont des bâtards. À peine quelques jours plus tôt, c’était contre les commerçants qu’il livrait le « combat du siècle », comme nous en informe Marianne. Une belle illustration de l’esprit d’indépendance qu’entend promouvoir la radio d’État.
Pas de condamnation à attendre non plus du « journaliste » communautariste Taha Bouhafs qui s’exprime sur Twitter : « Il n’y a pas de bons ou de mauvais manifestants ».
Les « incidents » qui ont émaillé la manifestation parisienne
Comme la semaine précédente, la manifestation du 5 décembre a été marquée par de très nombreuses violences et des scènes de guerre civile. Heureusement, l’AFP est là pour distribuer les éléments de langage aux médias de grand chemin :
On hésite pour comprendre le terme employé entre les 2 sens du mot « incident » :
« Petit évènement qui survient » ou « évènement peu important en lui-même mais capable d’entraîner de graves conséquences ». Guillaume Pot recadre les événements sur Twitter :
Non, ce ne sont pas des incidents. Ce sont des “tentatives d’assassinats.”
À qui servent ces violences visiblement tolérées ? Si la syndicaliste policière Linda Kebbab ne répond pas à cette question, elle souligne néanmoins devant Jean-Jacques Bourdin que « les Black blocks sont connus, identifiés par les flics et on les laisse rentrer dans les manifs ». Elle ajoute qu’elle a été menacée d’enquête par la police des polices, l’IGPN, suite à ces déclarations.
En ce jour de violence, Linda Kebbab (SGP police) reconnait publiquement que les Blackblocs sont connus, identifiés par les flics et on les laisse rentrer dans les manifs
Menaces d’enquête IGPN pour demander à L. Kebbab de se taire.
Pourquoi @GDarmanin?#StopLoiSecuriteGlobalepic.twitter.com/BQXa51Uhnm
Le criminologue Xavier Raufer affirme quant à lui au micro de TV Libertés :
Xavier Raufer, criminologue…
“Le problème des blacks blocks dans les manifestations peut être résolu à la minute” !
“Je témoigne du fait que la direction des renseignements de la Préfecture de Police dispose pour la région parisienne de la liste des 200 individus concernés”. pic.twitter.com/OM9Z7R11XR
Si la peur a changé de camp, elle est sûrement maintenant du côté des policiers et des commerçants dont l’outil de travail est régulièrement vandalisé par les fils de bourgeois. Ainsi, sur Twitter, Batmantrooper peut affirmer en toute tranquillité :
Les modérateurs de Twitter, si prompts à suspendre les comptes de l’OJIM et consorts, sont pour une fois aux abonnés absents.
Au final, le temps passé par les médias à parler en surface des violences urbaines aura permis d’éluder quasi totalement certaines joyeusetés de la loi sur la sécurité globale, la surveillance par drones, les nouveaux pouvoirs donnés aux agents de sécurité, etc. Une affaire rondement menée. De son côté le président annonce sur Brut la création « d’une plateforme contre les discriminations »…
Loi Sécurité Globale - Plusieurs voitures brûlées, barricades en feu, magasins saccagés... Le chaos au coeur de la manifestation parisienne qui dégénère de minute en minute 16h11: Un barrage a été formé avenue Gambetta à Paris avec de plus en plus de casseurs et des vitrines cassées
https://www.youtube.com/watch?v=8b3IptIzLkc
Sécurité globale déjà marquée par des voitures brûlées, des vitres brisées et des tensions entre manifestants et forces de l’ordre.
Renversé au sol, apparemment blessé, l’un des policiers a été soulevé et évacué par ses collègues au milieu de nuages de gaz lacrymogène, laissent deviner les vidéos retransmises depuis les lieux.
37 policiers et gendarmes blessés en bilan provisoire lors des manifestations.
Xavier Raufer fait un point sans concession sur les militants en noirs en guerre contre le mobilier urbain. Se réclamant antifascistes, leurs méthodes discutables sont passées au crible. bvoltaire.fr
******
Cenator: Ici, la réponse des patriotes qui décident de donner une leçon à cette racaille ignoble, qui détruisent les villes, les commerces, infiltrent les manifestations, cherchent le chaos et la destruction maximale partout.
Ces minorités d’extrême gauche servent de bras armé à l’establishment gaucho-modialiste en place. Leur objectif, c'est de faire passer ensuite leurs solutions à la Soros, déjà toutes prêtes.
La stratégie de cette élite, son calcul politique en résumé : la population en aura finalement ras le bol de vivre dans le chaos, elle finira par se dire que cela ne peut plus durer et par accepter sans broncher l'ordre proposé.
La vidéo ci-dessousmontrela contre-attaque des patriotescontre des Black Blocs à Olympia Washington le 12/05/2020.
C’est la seule réaction logique, lorsque la police, pour diverses raisons, n'est plus apte à protéger la population contre ces gauchistes de la pire espèce.
Regardez ces femmes et ces hommes de tout âge qui ont décidé de donner une leçon à cette racaille, même à mains nues. Ces braves gens se battent avec le drapeau américain.
Savourez ces Antifa, ces déchets humains minables, équipés d’uniformes et de cagoules impressionnants, fabriqués en Chine, munis de leurs drapeaux rouge et noir, fuyant et pleurnichant devant une femme qui les frappe à mains nues, une fois isolés de leurs semblables.
Lorsque la racaille se permet des tentatives de meurtres envers la police, la solution de Zineb s'impose: "il faut que la police tire à balles réelles"
Des affrontements ont éclaté dans les rues de Washington, la capitale des États-Unis, ce samedi 14 novembre, après la gigantesque manifestation des militants favorables à Donal Trump. Des petits groupes d’ultra gauche s’en sont pris aux partisans du président des États-Unis qui conteste toujours sa défaite face à Joe Biden la semaine dernière.
This is horrific. Trump supporters are being assaulted by Black Lives Matter activists and Antifa in DC.
Brutal assault by a violent armed group who was later arrested for assault and illegal weapon (firearms and concealed knives) charges. pic.twitter.com/vuj2Hn6hj5
This is giant. Hundreds of Proud Boys and supporters marching on the streets of DC chanting “FUCK ANTIFA” two hours ahead of the #MillionMAGAMarch. pic.twitter.com/KfZpEq7KYE
EN IMAGES – Des milliers de partisans de Donald Trump, dont des «Proud Boys», se sont rassemblés dans la capitale samedi 14 novembre pour contester la défaite de leur candidat.
Des milliers de partisans de Donald Trump, dont des groupuscules de droite, ont afflué dans les rues de Washington ce samedi 14 novembre, plusieurs jours après la défaite de leur candidat aux élections présidentielles. L’objectif ? Soutenir la théorie d’une éventuelle fraude défendue par le président sortant.
Malgré l’absence de preuve d’un piratage du scrutin, confirmée par les autorités électorales, les manifestants ont crié «Quatre ans de plus! Quatre ans de plus!» et «USA! USA!» devant Freedom Plaza, tout en agitant des drapeaux «Trump 2020» et des panneaux «Halte au vol».
Une entreprise broyarde a été victime d’un vol pour le moins surprenant sur le campus de l’Université de Lausanne, dans la nuit de mercredi à jeudi. Au moment de reprendre le travail au sein du Biophore, le bâtiment occupé par la Faculté de biologie et de médecine, des ouvriers se sont aperçus que les caisses qui renfermaient leurs outils étaient vides. «Nous avons retrouvé une lettre de revendication sur un établi», confie le patron qui préfère rester anonyme. Le texte, écrit dans la langue de Shakespeare, le laisse perplexe.
«Désolé modestes travailleurs – vous êtes l’âme de ce pays! Mais vos patrons capitalistes doivent payer. Longue vie à la mouvance antifasciste! Nous avons aussi pris des outils plus loin derrière la porte rouge. Ils seront utilisés pour et par le peuple. Vous ne devriez pas laisser les portes ouvertes.» Le tout ponctué d’un «Fuck Capitalism», évidemment.
En 1961, W. Cleon Skousen, ancien agent du FBI et auteur du best-seller international "The 5,000 Year Leap", a publié également "The Naked Communist", qui détaille les 45 objectifs spécifiques nécessaires pour saper la république et remplacer notre héritage judéo-chrétien par un marxisme impie.
Regardez cet exposé-choc, ses prédictions d'une étonnante précision et ce qui pourrait bien nous attendre dans l'avenir immédiat. Faites votre propre analyse, priez et votez.
Important context: man in “Black Guns Matter” shirt urges conservatives to mace him. “F*ck around and find out,” he says. Another man shoots the victim off screen during the altercation. pic.twitter.com/hzPC1gmQvO
Une personne est décédée et un autre homme, qui, selon la police, était un garde de sécurité privé, est en garde à vue après une fusillade lors d’un duel de manifestations samedi au centre-ville de Denver.
9News a rapporté qu’un de leurs employés et un entrepreneur de la chaîne de télévision ont été placés en garde à vue. La chaîne a confirmé plus tard que le garde avait été embauché par Pinkerton et que «c’était la pratique de 9NEWS depuis plusieurs mois d’embaucher des services de sécurité privés pour accompagner le personnel lors des manifestations».
La police a d’abord déclaré que deux personnes avaient été placées en garde à vue, mais a déclaré plus tard que l’une d’entre elles n’était pas impliquée dans l’incident. Ils ont tweeté que le suspect était un agent de sécurité privé sans affiliation avec les antifas.
Un homme participant à ce qui a été présenté comme un «rassemblement des patriotes» a pulvérisé du gaz lacrymogène sur un autre homme et cet homme lui a tiré dessus avec une arme de poing. La police a déclaré samedi après-midi qu’elle travaillait sur une enquête sur l’homicide.
[…]
Au début des rassemblements, les deux groupes se criaient dessus et la police se tenait à côté. Un manifestant a brûlé un drapeau à fine ligne bleue devant les officiers.
Les manifestants de droite se trouvaient à l’intérieur de l’amphithéâtre tandis que les manifestants de gauche étaient à l’extérieur. La police ne laissait personne d’autre entrer dans la zone de l’amphithéâtre, mais à 15h30, la barrière a cédée.
Michael Reinoehl, un militant Antifa qui a reconnu avoir tué Aaron Danielson lors des émeutes de Portland le 29 août (*), a été abattu par les forces de l'ordre venues pour l’arrêter.
Reinoehl avait fui l'État de l'Oregon pour se rendre dans celui de Washington. Une force fédérale spécialisée dans l'arrestation des personnes en fuite l'a localisé à Lacey près d'Olympia.
La police de Portland avait émis un mandat d'arrêt contre lui plus tôt dans la journée.
Les U.S. Marshals ont ouvert le feu quand Reinoehl est sorti d’un complexe d’appartements, apparemment armé, et est monté dans une voiture.
[…]
Un compte twitter des Antifa a demandé à ses lecteurs de signaler les noms des « porcs » qui ont tiré sur Reinoehl.
Résultat: mâchoire cassée, plaies à recoudre, etc...
*****
Depuis le décès de George Floyd, la RTS ne parle JAMAIS des victimes blanches et accuse systématiquement Trump d’attiser la haine raciale. Les victimes des émeutes raciales sont systématiquement les Noirs et les responsables du racisme sont exclusivement les Blancs.
Les pillages, les destructions, les exactions envers la police et la population civile par les Antifa et BLM sont tues, et la RTS prend la défense de ces gangs criminels.
Voici la présentation des émeutes de Kenosha par un professeur de sociologie, invité du Forum de la RTS le 26.08 2020 :
Nouvelle nuit d'émeutes aux Etats-Unis: interview du politologue Romain Huret
Interview de Romain Huret, historien spécialiste des Etats-Unis, directeur de recherche à l’Ecole de Hautes Etudes en Sciences Sociales à Paris
Le militant antifa et pédophile condamné Blake David Hampe a été arrêté aux premières heures du samedi après avoir poignardé un partisan noir de Trump à Portland.
Le partisan de Trump et conservateur, qui se fait appeler Black Rebel sur les réseaux sociaux, a publié plusieurs mises à jour sur son état de santé depuis l’ambulance et l’hôpital. Au cours du direct sur Periscope, il a affirmé que Hampe l’avait traqué, lui et son groupe d’amis, pendant plusieurs pâtés de maisons à Portland avant de le poignarder.
Black Rebel a déclaré que les militants d’Antifa avaient publié son identité et affiché sa position sur les réseaux sociaux et s’étaient conseillé mutuellement de le « surveiller ».
« Ce couteau était suffisamment long. Il m’a poignardé pour me tuer », a déclaré Black Rebel, qui dit avoir repéré Hampe qui faisait partie d’un groupe d’Antifa suivant son groupe d’amis pendant plusieurs blocs, avant de s’approcher de Hampe pour lui demander pourquoi il les suivait.
« Nous étions tous là, quatre amis, essayant de nous protéger les uns les autres de la meilleure façon possible. Je me suis dit que j’allais essayer de désamorcer la situation et d’avoir une simple conversation », a-t-il déclaré. « Je suis allé là-bas, j’ai dit ‘Quoi de neuf mon pote?’ et ce mother**ker est venu et m’a planté dans mon p*tain de rein. »
Des images de l’arrestation de Hampe ont été prises par plusieurs photojournalistes, dont Garrison Davis, qui a posté une vidéo du bureau de police de Portland le mettant en garde à vue.
This Antifa guy stabbed someone in Portland earlier this morning, prompting a police response and his arrest. pic.twitter.com/b0UBqnXJaX
Le photojournaliste de Blaze, Elijah Schaffer, a capturé les scènes qui ont suivi l’arrestation de Hampe. Un militant d’Antifa a harcelé verbalement plusieurs policiers qui intervenaient sur les lieux et a donné des coups de pied à leurs véhicules.
« Le manque de respect de ces émeutiers envers les fonctionnaires et les gens en général est sans égal », a observé Schaffer.
While police respond to an alleged stabbing situation
A BLM rioters yells at the responding officers, follows him to his vehicle
Then proceeds to kick it after the door closes
The level of disrespect these rioters have for public servants & people in general is unmatched pic.twitter.com/DSz8ADlNS6
Hampe, qui a été enregistré au commissariat central de la police de Portland juste avant 6 heures du matin, heure locale, a été accusé d’agression criminelle. Sa caution est fixée à 250 000 dollars.
Une enquête plus approfondie sur l’identité de Hampe révèle qu’il avait déjà été inculpé en 2007 par le tribunal de district américain du Maine pour possession de pornographie infantile en connaissance de cause.
Lors de l’arrestation de 2007, le document du tribunal indique que les agents des douanes et de la protection des frontières américaines qui ont effectué une fouille de son véhicule ont découvert « beaucoup de marchandises pour enfants », notamment des sacs de couchage, des autocollants pour enfants, des sous-vêtements pour enfants, des serviettes pour enfants avec des empreintes de super-héros et des paquets de cartes de visite – ainsi que 12 à 15 préservatifs, du lubrifiant, un appareil photo, un téléphone portable et un ordinateur portable.
Hampe, qui s’est incriminé lui-même lors de la perquisition, a déclaré qu’il avait été chassé du domicile de son oncle en raison de la découverte de pornographie infantile, et qu’il avait également stocké le contenu illicite sur l’ordinateur de sa mère, et avait reçu assistance pour son « problème ».
En 2008, Hampe a été condamné à 41 mois de prison et 10 ans de liberté surveillée.
« C’est tout ce qu’on obtient ici à Portland. Vous ne pouvez pas avoir de liberté d’expression. Vous ne pouvez pas être un conservateur ou avoir des opinions opposées à celles d’Antifa, sinon ils essaieront de vous traquer, de vous coller une ou deux primes au cul.
Et n’oublions pas non plus que Twitter permet à cela d’arriver. Il y a toujours des messages d’Antifa-Rose City Antifa – ces mother**kers qui diffusent activement mon numéro, mon adresse, des informations sur moi et qui essaient de dire de me traquer. Twitter permet ouvertement ce genre de choses ».
Black Rebel pense que l’agression au couteau était politiquement motivée.
Des partisans de BLM ont inondé une page Facebook appartenant à Jessica Doty Whitaker, la jeune mère qui a été abattue pour avoir dit « toutes les vies comptent », pour célébrer sa mort.
Oui, c’est vrai.
Whitaker a été tuée après avoir rencontré un groupe de partisans de Black Lives Matter alors qu’elle marchait le long d’un canal à Indianapolis après une célébration du 4 juillet avec son fiancé et deux amis.
Au cours de l’affrontement, Whitaker a déclaré que « toutes les vies comptent », ce qui a incité les partisans de BLM à sortir leurs armes, après quoi le fiancé de Whitaker a également sorti son arme.
Bien qu’il ait d’abord semblé que la confrontation ait été désamorcée, les meurtriers ont ensuite tiré sur Whitaker à plusieurs reprises avant de s’enfuir.
L’incident a reçu peu d’attention de la part des médias et la presse n’a daigné le couvrir qu’après avoir allégué qu’un des amis de Whitaker avait utilisé le « mot en N », comme si cela justifiait son assassinat.
Aujourd’hui, les partisans de Black Lives Matter ont inondé la page Facebook de Whitaker pour justifier et célébrer son meurtre brutal.
« La raciste Rachel mange les pissenlits par la racine et les rues sont un peu plus sûres », a déclaré un utilisateur appelé Eric Albany.
« On ne peut pas se sentir mal quand on a utilisé une insulte raciale et qu’on a agi comme un putain d’idiot », a dit Josh Long.
« Black Lives Matter – les autres sont les prochains », a ajouté un autre individu.
« FÊTE POUR DES COMMUNAUTÉS PLUS SÉCURITAIRES », a fait remarquer un autre, ainsi qu’un gif de Carlton de la danse du Prince de Bel-Air.
« Peut-être qu’elle aurait dû penser à son fils avant d’ouvrir sa putain de bouche raciste », a déclaré un autre.
Souvenez-vous, ce sont les mêmes personnes qui représentent un groupe pour lequel nous sommes tous censés nous agenouiller et que nous respectons, et pour lequel pratiquement toutes les institutions culturelles, les grandes entreprises et les médias se sont prosternés.
Le voici – le reportage complet de Rebel News sur notre confrontation épique avec les squatters d'Antifa (et la police politiquement correcte) à l'hôtel de ville de Toronto ! (traduction disponible sur Youtube)
Le procureur général William Barr a ordonné vendredi au ministère de la Justice de former un groupe de travail dédié à la lutte contre les « extrémistes anti-gouvernement », notamment Antifa.
Pour contribuer à Dreuz.info en utilisant votre carte de crédit sans vous inscrire à Paypal, cliquez sur ce lien Paypal.Dreuz, et indiquez le montant de votre contribution.
Dans son mémo, Barr explique que les agitateurs professionnels comme Antifa ont infiltré les manifestations pacifiques contre la brutalité policière et le racisme et « se sont engagés dans des actes de violence indéfendables visant à saper l’ordre public ».
« Entre autres comportements anarchiques, ces extrémistes ont violemment attaqué des officiers de police et d’autres fonctionnaires, détruit des biens publics et privés et menacé des personnes innocentes », a écrit Barr.
« Bien que ces extrémistes professent des idéologies diverses, ils sont unis dans leur opposition aux valeurs constitutionnelles fondamentales d’une société démocratique régie par le droit. … Certains prétendent professer un message de liberté et de progrès, mais ils sont en fait des forces d’anarchie, de destruction et de coercition ».
Barr a identifié les membres du mouvement de droite « Boogaloo » et du mouvement Antifa comme les principales cibles du groupe de travail.
Craig Carpenito, le procureur américain du New Jersey, et Erin Nealy Cox, le procureur américain du district nord du Texas, dirigeront ce groupe de travail, qui comprendra également des représentants du FBI et d’autres bureaux de procureurs.
Leur mission consiste à développer des informations sur les « individus, réseaux et mouvements extrémistes », partager les données avec les autorités locales, et former les procureurs locaux sur la manière de poursuivre les extrémistes anti-gouvernementaux lors des procès.
« Le but ultime du groupe de travail est non seulement de permettre de poursuivre les extrémistes qui se livrent à la violence, mais aussi de comprendre ces groupes pour que nous puissions mettre fin à cette violence avant qu’elle ne se produise, et finalement, éliminer cette menace pour la sécurité publique et l’État de droit », a écrit M. Barr.»
Quatre premiers inculpés pour destruction de statue, d’une longue liste à venir
Immédiatement après la création du groupe de travail, quatre hommes ont été inculpés pour avoir tenté de démolir une statue de l’ancien président Andrew Jackson près de la Maison-Blanche lundi dernier.
Le ministère de la Justice a annoncé samedi en fin de journée que les hommes étaient accusés de destruction de biens fédéraux.
Sponsored Content
C’est un crime passible d’une peine maximale de 10 ans.
Le président américain a indiqué à plusieurs reprises qu’il souhaitait que ces Antifa reçoivent la punition maximum prévue par la loi.
10 ans pour 15 minutes de fun à détruire les statues d’hommes politiques dont ils ne savent strictement rien, ça donnera à réfléchir à beaucoup…
Voici les noms des heureux premiers gagnants :
Lee Michael Cantrell, 47 ans, de Virginie ;
Connor Matthew Judd, 20 ans, de Washington, D.C. ;
Ryan Lane, 37 ans, du Maryland ;
Graham Lloyd, 37 ans, du Maine.
Ils sont accusés au pénal de « destruction de biens fédéraux », a déclaré le procureur américain par intérim Michael R. Sherwin dans un communiqué.
Vendredi, la police de Madison, dans le Wisconsin, a également inculpé un Noir de 30 ans qui a participé à la destruction d’une statue d’un héros de la guerre civile anti esclavagiste en début de semaine, et avait pris part au pillage d’une bijouterie lors des manifestations du mois de mai à propos de la mort de George Floyd. Il s’appelle Kelsey D. Nelson.
- Selon Jack Posobiec, "la mouvance Antifa est une menace que Washington doit prendre au sérieux"
13.06.2020 ~ 25.06.2020
“L'organisation gauchiste radicale, la mouvance Antifa veut établir, en étroite collaboration avec l'organisation terroriste YPG/PKK, un système anarcho-communiste dans le nord de la Syrie”, selon l'analyste américain, Jack Posobiec.
L'activiste pro-Donald Trump (Président américain), s'est exprimé à l'Agence Anadolu à propos des manifestations ayant secoué les États-Unis suite au décès de George Floyd, citoyen afro-américain tué lors de son arrestation brutale par la police.
En effet, Posobiec a été le premier à évoquer une relation entre le YPG/PKK et l'Antifa qui ont fait usage de violence pendant ces manifestations.
Dans une interview accordée à l'Agence Anadolu, Posobiec a accusé les groupes comme l'Antifa, d'avoir manipulé les manifestations pacifiques pour leurs propres intérêts.
Pour lui, l'Antifa avait été créé par l'Union soviétique, pour être exporté d'abord en Europe puis aux États-Unis.
"Le renouvèlement de l'Antifa date des manifestations de Seattle de 1999, a-t-il expliqué. L'Organisation mondiale du Commerce tenait une réunion à Seattle, pour admettre la Chine comme membre, des actes de violence, organisés par les antifas, ont éclaté."
Posobiec a ajouté que l'organisation s'est déplacée en Syrie après 2010, considérant la guerre civile comme une occasion.
"Ses membres ont été entraînés et formés par les organisations terroristes en Syrie et ont même combattu à leurs côtés, a expliqué l'analyste. Par la suite, ils se sont dispersés dans plusieurs pays, dont l'Allemagne, la Grèce, l'Australie et les États-Unis. L'objectif de l'organisation est de renverser le gouvernement et le système américains pour établir leur système anarcho-communiste."
Posobiec a également fait savoir que l'Antifa se limitait, auparavant, aux campus universitaires aux États-Unis, mais actuellement ils ont désormais les moyens de recruter des militants via les médias sociaux, ce qui constitue un plus grand danger pour les États-Unis.
L'analyste a noté que Washington ne prévoyait pas que le YPG/PKK allait former une relation avec l'Antifa.
"L'Antifa est une menace que les États-Unis doivent prendre au sérieux, a-t-il renchéri. C'est le seul dossier où les gouvernements turcs et américains peuvent coopérer en matière de partage de renseignement. La Turquie demeure un membre de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN), même s'il y a des sujets délicats entre Ankara et Washington, se préoccuper par cette question leur servira."
-Qu'est-ce que l'Antifa
C'est l'abrégé du mot "anti-fasciste". Le groupe a émergé dans les années 1930 en Allemagne, sous les Nazis.
Leur idée principale est comme suit : "Si on avait réagi suffisamment, Adolf Hitler et les Nazis ne pourraient jamais arriver à la tête du pays."
Le groupe est qualifié de "tendance gauchiste", "anti-fasciste" et "activiste politique militant".
Ils se sont organisés contre les néo-Nazis au centre-ouest des États-Unis vers la fin des années 1970 et début des années 1980.
Les antifas s'opposent aux néo-fascistes, aux racistes blancs et aux racistes dans l'ensemble. Compte tenu du contexte mondial ces dernières années, ils s'opposent également à la droite alternative.
L'Antifa s'était relativement retiré de la scène à partir des années 2000, avant de redescendre dans les rues après l'élection de Trump.
L'organisation a observé des manifestations dans plusieurs endroits, contre le prêt de serment de Trump en janvier 2017.
Trump a accusé l'Antifa d'actes de violence et de pillage lors de manifestations suite à la mort de George Floyd, ces dernières semaines. Il a déclaré qu'il reconnaîtra la mouvance comme "organisation terroriste".
To provide the best experiences, we and our partners use technologies like cookies to store and/or access device information. Consenting to these technologies will allow us and our partners to process personal data such as browsing behavior or unique IDs on this site and show (non-) personalized ads. Not consenting or withdrawing consent, may adversely affect certain features and functions.
Click below to consent to the above or make granular choices. Your choices will be applied to this site only. You can change your settings at any time, including withdrawing your consent, by using the toggles on the Cookie Policy, or by clicking on the manage consent button at the bottom of the screen.
Fonctionnel
Always active
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.