Caisse-maladie: Après avoir menti aux Suisse en promettant des baisses de primes, les socialistes viennent jouer les sauveurs

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"Trop c'est trop!" osent claironner les socialistes qui ont pourtant milité, via Ruth Dreifuss, pour une caisse maladie obligatoire, promettant à l'époque une baisse des primes.

 

Rappel d'un article de l'Hebdo, qui a retranscrit les propos de cette socialiste à l'époque:

"Le Parlement suisse attendit 1994 pour voter une loi sous la houlette de Ruth Dreifuss. L’assurance maladie devint obligatoire. La gauche voulait cette loi, quitte à faire preuve d’un optimisme digne de Barack Obama. Ainsi Ruth Dreifuss déclarait-elle à L’Hebdo en novembre 1994 «… 4 à 5% de hausse des primes. C’est le prix à payer pour ne plus avoir de réserves quand on entre dans une caisse, pour ne plus être exclu en cas de longue hospitalisation, pour voir les soins à domicile et les soins préventifs être remboursés. Enfin, la loi permettra aux caisses de négocier des tarifs plus avantageux avec les médecins […]. Cela se traduira par des baisses de primes.»"

Et contrairement à ce que l'on croit parfois, c'est bien cette socialiste qui est à l'origine de la loi:

"Ma participation à la genèse de la LAMal remonte à plus loin encore que mon élection au Conseil fédéral. J’avais suivi les travaux préparatoires en tant que secrétaire de l’Union syndicale suisse (USS). A partir de 1991, j’avais été responsable du secteur des assurances sociales au sein de l’USS. Notre mouvement s’était mobilisé depuis des décennies pour une assurance-maladie obligatoire et avait œuvré au sein de la commission Schoch, laquelle avait élaboré un projet à l’intention du Conseil fédéral. Ce dernier a repris beaucoup de choses de la proposition de la commission, à une importante différence près : selon le projet de la commission, les primes n’auraient pas dû dépasser 8 % du budget familial. Et tant la commission Schoch que le Conseil fédéral avaient renoncé à compenser la perte de gain en cas de maladie. Les avantages présentés par le régime obligatoire – suppression de tout délai de carence pour les maladies déjà présentes, solidarité entre jeunes et vieux, entre hommes et femmes, entre bien-portants et malades, réductions de primes pour les faibles revenus – étaient si importants que j’ai adopté avec joie le rejeton du conseiller fédéral Cotti."

Bien évidemment, la même Ruth Dreifuss milite aujourd'hui exclusivement pour les migrants. Elle se fiche éperdument des drames humains dont elle est responsable, des poursuites et des actes de défaut de biens qui ont détruit la vie de nombreux autochtones. Et cela même alors que nombre de personnes n'osent plus aller chez le médecin de peur de ne pas pouvoir payer la franchise ou le reliquat de 10%. En clair être saigné à blanc pour une prestation qu'on ne peut même pas utiliser. 

Mais cette ex-Conseillère fédérale ne viendra ni s'en excuser ni faire face à ses responsabilités. Pire, après avoir détruit le budget de nombreuses familles, elle exige à présent que les autochtones financent un autre gouffre: celui de l'asile. Avec les nombreux crimes et délits qui en découlent. Sans parler du suivi... psychiatrique dont les coûts sont faramineux.

Quant à la proposition de ce parti en elle-même, le problème des caisses maladie va perdurer puisqu'elles sont obligatoires: les primes continueront à exploser, les gens à chercher désespérément une caisse dont l'augmentation ne mettrait pas en péril leur équilibre économique.

De plus, il faut être dans les délais et surtout ne pas être sous le coup de poursuites ou avoir un quelconque impayé avec la caisse dont on essaie de partir ce qui prive de facto les gens qui ont justement besoin de changer de caisse en raison d'une situation financière intenable. Ils sont pris à la gorge. Dans tous les cas, cela équivaut à produire des efforts sur son temps de libre sans avoir la garantie de s'en sortir.

Puis recommencer l'année suivante.

"Trop c'est trop": effectivement, jetons à la poubelle cette idéologie socialiste qui a fait tant de mal à travers le monde.

 

7 commentaires

  1. Posté par aldo le

    @Eric le 19 novembre 2016 à 14h01 Donc il y a des gens tels des migrants clandestins qui se font passer pour des assurés qu’ils ne sont pas, tout en bénéficiant de prestations. Voilà une affaire plus que dangereuse avec des bases de données médicales faussées et polluées par des informations devenues erronées, suite à une usurpation d’identité par exemple. Ces migrants clandestins peuvent vous condamner à mort. Pensez simplement à une transfusion basée sur un groupe sanguin inapproprié: c’est mortel. Mais aussi le nombre de pathologies qui vous sont étrangères et les médicaments dangereux dans votre cas qui peuvent creuser votre tombe. Si ce n’était pas le cas on pourrait supprimer directement les pharmaciens et même les médecins !

  2. Posté par Eric le

    On peut aussi affirmer que Ruth Dreifuss soutien le cannabis, qui fabrique des futurs criminels et malades mentaux, ce qui ne fera qu’amplifier la facture finale.

  3. Posté par Julie Rochat le

    Je viens de me prendre 50 balles d’augmentation de ma prime d’assmal! Oui, 50 balles par mois avec une franchise à 2000. Évidemment on nous dit que ce sont les vieux qui coûtent cher bien sûr…. Et pour ces wagons de pseudo-réfugiés qui se déversent tous les jours chez nous (Réfugiées Welcome) et qu’il faut retaper, vacciner, dentister, etc ils viennent d’où les sous, ils tombent du ciel?

  4. Posté par Eric le

    Aujourd’hui un nombre de plus en plus important de permanences poussent comme des champignons. L’attractivité des caisses maladies pour des margoulins venu d’ailleurs soit comme migrants, soit comme commerçants, n’est plus à démontrer. Mais les caisses elle-mêmes ont trop de magouilles dans leurs comptes et évitent de faire appel à la police. On étouffe soigneusement les scandales, des factures sans fondement, pour continuer à traire la vache toujours qualifiée de populiste au passage. Ce commerce prospère grâce à l’obligation de s’assurer. Des ordonnances à rallonge de médicaments pour adultes sont utilisée sur le dos de l’assurance pour les enfants. On voit poindre une collusion évidente entre migrants normalement obligatoirement assurés et migrants qui cultivent la clandestinité et ne veulent pas s’assurer mais qui bénéficient des couvertures de connaissances. Il devrait y avoir une obligation de copie des factures aux assurés et non de passer directement de la caisse au bénéficiaire. Quand à internet, c’est tout simplement vu les risques de piratage, scandaleux d’obliger les assurés de l’utiliser. En plus de renseignements très précis, ceux qui piratent et fabriquent de fausses cartes de crédit avec de vrai numéros de titulaires, n’ont qu’à se baisser pour faire de fausses vraies cartes d’assurance.

  5. Posté par Tommy le

    Avez-vous constaté que l’explosion des primes va en parallèle avec l’arrivée sur notre sol de hordes se faisant soigner à l’œil et sans aucun scrupule ?

  6. Posté par Jean le

    Il est clair que tant que l’on continuera à payer et laissez faire, rien ne changera.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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