Ci-dessus, le bar du Pulse, avant.
Le Pulse se définissait comme "le bar gay le plus chaud d'Orlando". C'est sans doute à cause de cette sulfureuse réputation qu'il fut pris pour cible ce douze juin par un fou d'Allah. L'homme ouvrit le feu sur la foule à l'arme automatique, tuant une cinquantaine de personnes et en blessant tout autant.
Dans son allocution post-attaque, Barack Obama, versé dans le déni au point d'en faire une sorte de discipline olympique, trébucha sur l'obstacle ; ne réussissant pas à éviter d'employer le terme de terrorisme, il sauva son honneur de champion en titre en tentant dans les derniers mètres d'employer le terme "d'acte de terreur" à la place. Faisant jouer son expérience sur le reste du parcours, il esquiva habilement les mots "islam", "musulman", ou "État Islamique" pour réorienter le débat vers le droit de posséder une arme. La technique, bien exécutée, fut malheureusement trop dénuée d'originalité pour impressionner le jury ; le peloton de la presse mainstream, connu pour son suivisme, s'empressa néanmoins de recopier la stratégie dès le lendemain.
Quel dommage pour le Président américain! Il s'imaginait terminer son mandat dans le calme, travaillant à caresser dans le sens du poil les partisans de Bernie Sanders pour les réconcilier avec Hillary Clinton, candidate de la continuité par excellence, contre les méchants Républicains. Le script était écrit ; il n'y avait plus qu'à rabaisser Donald Trump et dénoncer son "simplisme", comme il s'évertuait à le faire depuis plusieurs mois. Certes, il sortait encore et toujours de son rôle institutionnel, mais de l'offensive fiscale contre les groupes du Tea Party à la mansuétude judiciaire dans les affaires concernant Mme Clinton, quel écart ne pardonne-t-on pas à l'administration Obama?
Mais voilà, les États-Unis viennent de subir la pire attaque terroriste sur leur territoire depuis les attentats du 11 septembre 2001. Toutes les attaques terroristes islamistes sur le territoire américain depuis cette date eurent lieu pendant un mandat du président Obama. Les LGBT, traditionnellement démocrates, sont mi-figue mi-raisin: ils font aujourd'hui l'expérience de la différence entre une posture de victime et une place, bien réelle, de victime. Les familles comptent leurs morts. Pas possible non plus pour eux de dénoncer les Républicains, les affreux chrétiens radicaux ou les armes automatiques, même s'ils essayent sans grande conviction. La tuerie du Pulse d'Orlando est bel et bien un acte homophobe commis par un extrémiste musulman, Omar Seddique Mateen - un de ces éléments de richesse dont l'Amérique, disaient-ils samedi encore, a tant besoin.
En mode damage control, l'objectif est désormais de montrer que le tueur surgissait de nulle part. Manque de chance, M. Seddique Mateen, né à New York d'origine afghane, n'avait rien d'un inconnu pour les services américains:
Selon plusieurs médias américains, Omar Seddique Mateen, né à New York, vivait à environ 200 kilomètres au sud-est d'Orlando, dans la ville de Port Saint Lucie. Le sénateur de Floride Marco Rubio a indiqué sur CNN que l'auteur de la tuerie avait travaillé pour une compagnie de gardiennage. Omar Seddique Mateen, qui n'avait apparemment pas de casier judiciaire, avait attiré l'attention de la police à deux reprises, en 2013 puis en 2014, selon le Daily Beast.
Le FBI a confirmé avoir interrogé le jeune homme ces dernières années pour ses présumées «sympathies» islamistes mais que l'enquête n'avait jamais donné suite. Son chef à Orlando, Ronald Hopper, a révélé qu'Omar Mateen avait été interrogé à deux reprises: «Le FBI a eu connaissance de son existence quand il a fait des remarques à ses collègues laissant penser à d'éventuels liens avec des terroristes», a-t-il expliqué. Il avait une nouvelle fois attiré l'attention du FBI pour des liens avec un djihadiste kamikaze américain à l'étranger. «Au final, nous n'avons pas été en mesure de vérifier la substance de ses commentaires et l'enquête a été close», a poursuivi Ronald Hopper.
Mais des détails émergent sans cesse et brossent une fois de plus un portrait peu flatteur des agences de renseignement américain. Bien qu'interrogé trois fois (et non deux) par le FBI et inscrit sur un fichier de terroristes potentiels, Omar Mateen, qui battait sa femme, avait accès à une licence de port d'armes - et s'en servit encore la semaine précédant la tuerie. Employé depuis 2007 comme agent de sécurité dans la filiale américaine de G4S en Floride, une des plus grosses sociétés de sécurité de la planète, il avait accès à du matériel et de l'armement de pointe. Et son travail consistait incidemment à faire transporter des immigrés illégaux sur le territoire des Etats-Unis... Mais pas des Mexicains.
Omar Mateen appela les urgences juste avant de tirer, annonçant son allégeance au chef de l’État Islamique Abu Bakr al-Baghdadi. Il mentionna également les frères Tsarnaev, qui menèrent l'attaque terroriste du marathon de Boston. Son geste fut revendiqué par l'Etat Islamique lui-même un peu plus tard.
Abondamment cité par les médias, le père du tueur nia "tout lien" entre le crime de son fils et la religion ; mais ce père, Seddique Mateen, impliqué dans la politique afghane, critiqua le gouvernement pakistanais et soutint les Talibans. "Nos frères au Waziristan, nos frères guerriers du mouvement taliban et les Talibans afghans se soulèvent", affirmait-il dans une vidéo... Quel crédit apporter à pareil témoin de moralité?
Sur CNN, Christopher Hanson fit le récit d'une soirée virant à l'horreur: "Je n'ai vu aucun des tireurs. J'ai juste vu des corps tomber. J'étais au bar pour commander un verre, je suis tombé, j'ai rampé pour sortir. Les gens essayaient de sortir par derrière. Quand je suis arrivé dans la rue, il y avait du monde, du sang partout."
L'homosexualité est un péché mortel dans l'islam. Les LGBT de tous horizons devraient repenser quelque peu leurs accointances politiques.
Stéphane Montabert, 13 juin 2016
Bonjour,
Une petite remarque technique pour commencer: les armes utilisées par ce salopard étaient semi-automatiques. Les armes dites « automatiques » sont interdites aux Etats-Unis. Et sont de toute façon moins efficace qu’en coup par coup rapide (technique que ces terroristes pratiquent désormais. Hélas).
Il n’empêche que c’est une fois de plus une fusillade dans une « gun free zone », ces endroits « sanctifiés », comme les campus, où les armes sont interdites. De fait, les tueurs savent qu’ils n’auront pas d’opposition et s’en prennent toujours à des cibles faciles.
La vraie question que nos « élites » devraient se poser, c’est pourquoi ces tueries de masse n’ont jamais lieu en Israël, pays qui est pourtant en première ligne? La réponse est simple: les Israëliens sont armés, ils osent se défendre. Les enseignants, presque tous anciens militaires, peuvent s’armer. Ce qui change tout.
Il faudra bien un jour que les autistes qui nous gouvernent sortent la tête du sable et se rendent compte que la seule réponse adaptée contre une arme illégale manipulée par un bandit, c’est une arme légale dans les mains d’un honnête citoyen.
C’est une question de vie ou de mort. Et je n’ai pas envie de regarder les miens mourir.
Jeferson, juin 2016
Il faut lancer des appels aux associations LGTB pour qu’elles aident les “divers” du Tiers Monde en générale et les musulmans en particulier à s’assumer et à faire leur coming out.
Si l’homosexualité d’Omar Mateen, qui fréquentait le Pulse depuis longtemps, ceci afin d’assouvir sa sexualité malsaine, se confirme, nous ne pourrons plus parler d’un acte homophobe mais bien d’un crime de repentance lié à cette tare. Dans ce cas le bar gay devient l’égal de la mosquée, d’un côté on incite à la débauche et de l’autre un imam un peu trop à cheval sur le coran demande à son fidèle de tuer le mal. Résultat: Orlando ! Mais les musulmans gays sont légion et si on continue à faire l’apologie des homos avec la mise au ban des hétéros. Dans ces lieux de débauche que sont les bars gays ce genre de problème risque malheureusement de se reproduire.
Au sujet du contexte Afgan, il faut absolument écouter la video de Boris Le Lay :
https://www.youtube.com/watch?v=u_IwbkzWs90
Ben oui, tout un tas de drôles d’histoires: Barak Hussain Obama n’a-t-il pas été formé à l’école coranique en Indonésie ? http://fr.danielpipes.org/5545/lenfance-musulmane-de-barack-obama – L’homosexualité n’est-elle pas punie par la pendaison en Iran? L’imam de Vénissieux n’explique-t-il pas comment il faut battre sa femme conformément au coran? Que la musique pousse à la débauche? Ne souhaite-t-on pas l’instauration de l’état islamique sur le monde entier? http://atheisme.org/venissieux.html
Question : pourquoi les homosexuels, les féministes et les musiciens ne sont-ils pas contre ce qui est contre eux? Donc anti-islam? Sont-ils masochistes?
Et quel est l’âge du capitaine?
Ben, la faute de tout ça c’est que les citoyens possèdent des armes… Pierre H vous avez raison!
C’est qui qui a dit “quand un gouvernement craint la révolution il désarme ses citoyens”?
Et pour quelle raison espère-t-on le Brexit ou l’élection de Trump? Ben, parce qu’on espère que ce soit l’étincelle qui mette le feu aux poudres de l’effondrement qui entrainerait tout ce bazar dans sa débâcle… à commencer par le politiquement correct.
Mais de toutes façons, que ce soit le bazar ou la débâcle du bazar, nous sommes dans la merde.
Ce ne sont pas les armes qui sont en cause, mais une idéologie meurtrière. Un enfant de 7 ans aurait compris mais visiblement pour M. Obama ça reste trop difficile à accepter.
Voilà à nouveau un truc qui pue la manipulation des agences gouvernementales américaines afin de contrôler les armes des citoyens et les leur retirer. En plus, ça correspond aux décisions de l’UE de nous emmerder avec la possession d’armes et ce, jusqu’en Suisse. Trop synchronisé, tout ça. Ensuite, le gars passe plusieurs fois entre les mains du FBI en quelques années mais rien de vraiment probant, soi-disant. Ils ont sûrement trouvé le pigeon idéal (musulman instable – pléonasme) et il suffit juste, avec leur « mind control », d’exciter un petit peu la « bête » afin qu’elle commette l’irréparable. L’Oncle Sam, de concert avec ses copains terroristes afghans qui rappellent à l’intéressé que c’est allah qui commande, poussent un peu le lavage de cerveau du sujet, lui donnent quelques drogues peut-être, et le titillent avec cette boîte de nuit gay, gays qui sont, ne l’oublions pas, le modèle d’être humain du futur du nouvel ordre mondial. Le gars est dans la sécurité depuis 2007 mais ne pète un câble qu’en 2016 (après quelques lavages de cerveau?). Puis, une fois la tuerie commise, Obama évince le sujet de l’islam mais insiste sur le contrôle des armes, ce qui était le but en réalité, et le tour est joué. Tout ça est cousu de fil blanc !
Nous avons tous bien compris le message du Président des États Unis et de l’internationale socialiste. Ce sont les armes et non l’homme qui ont tué. Il n’est pas prouvé que ce loup solitaire déséquilibré, ait agi sur ordre. Alors que la communauté homosexuelle a payé un lourd tribut, ce sont les musulmans qui trinquent, ce qui est profondément injuste.
On se demande pourquoi les prix Nobel de la Paix et de Littérature sont les seuls à prendre des couleurs.
Encore une horreur de plus fait par un islamiste. Et maintenant je me demande quand les socialistes enlèveront la peau de saucisse sur les yeux. Bientôt il sera trop tard. Quand je pense en plus aux déclarations de Hanni Ramadan, je me demande ce que ce personnage fait encore chez nous et comment il a un jour été naturalisé suisse. Une honte !!!!!!!!!!!!!
Plusieurs millions d’illégaux de plus pour le regroupement familial, 1 million d’autres se préparent à quitter l’Afrique, 500.000 sont déjà en Grèce. Ajoutons ceux qui sont en route de partout ailleurs. Combien d’allumés en tout ? L’Europe à feu et à sang ? Paranoïa ? vraiment ?
Vous avez absolument raison M. Montabert.
Mais les déclarations de M. le CF G. P. me laissent bien songeur également …