Tessin : la famille d’un migrant tué demande à la Suisse de l’entretenir

Le décor. La République du Tessin, petit Canton pauvre de la Confédération helvétique, jadis rural et étape du tourisme chic, dans les années 50, du temps du train wagon-lit direct Londres–Venise.

Depuis peu le Tessin possède un pôle universitaire et vise la haute technologie au lieu d’un tourisme incertain et d’une agriculture chancelante, mais il est aux prises tant avec des problèmes d’emploi qu’avec le nombre de travailleurs frontaliers.

Le fait. Brissago est un petit bourg charmant sur la rive ouest du Lac Majeur et aussi poste-frontière entre la Suisse et l’Italie, et possède un centre de rétention de migrants.

Il y a quelques nuits, la police est appelée pour une bagarre entre migrants.

Un troisième individu S.K. (38 ans) fait irruption en brandissant deux couteaux, un policier tire et tue l’agresseur.

Le chœur des pleureuses

Le Conseiller d’État Norman Gobbi, directeur du Département des Institutions, et le Commandant de la police tessinoise, Matteo Cocchi, expriment «leur confiance aux agents et au corps de police» (la population aussi !) et ils «soutiennent publiquement tous les hommes de la police cantonale avec proximité maximale et soutien à l’agent concerné». Aucune «mesure» n’a été prise à l’encontre de cet agent.

Acte deux.

Au Sri Lanka, la famille, très nombreuse, apprend que S.K., “qui est leur chef de famille”, a été abattu et se rend à l’ambassade de Suisse pour demander des comptes et exiger que justice leur soit rendue car… ils l’ont envoyé travailler en Suisse pour les entretenir… et maintenant, qui prendra soin d’eux ? Lors de ses communications téléphoniques, il disait même qu’il travaillait… (ça c’est à examiner et qui paie le téléphone et les communications avec les antipodes ?)

“Nous avons perdu la personne qui nous permettait de vivre. Nous demandons justice.”

Décryptage : Ce «groupe familial» a envoyé l’un des leurs pour venir travailler en Suisse, comme cela se fait vers les pays du Golfe, et les entretenir.

De mon expérience faite avec un jeune Pakistanais, appelons-le Karim, que j’ai hébergé pendant 3 mois pour lui permettre de suivre un stage de “moniteur de randonnée” offert par le Club Alpin Suisse, je déduis que :

– “Ces gens” n’ont aucune idée de comment fonctionne la Suisse.

– Ils ne savent pas que le peuple suisse a voté contre l’immigration de masse, que donc les migrants ne sont pas bienvenus comme chez mamy Merkel et que la loi pour l’expulsion des délinquants étrangers est de plus en plus appliquée.

– Ils ne savent pas que pour entrer en Suisse, les ressortissants de la plupart des pays étrangers ont besoin d’un visa, que pour y travailler, il faut un permis de séjour, un permis de travail, un emploi, un contrat de travail, des diplômes reconnus, le respect des lois parmi lesquelles celle sur le travail, etc. Tout cela est très compliqué et très réglementé.

– Ils ne savent pas qu’il faut connaître la langue (italienne en l’occurrence) et que baragouiner un peu d’anglais ne sert à rien.

– Ils ne savent pas qu’ils ne peuvent pas se déplacer librement et que la frontière de l’Angleterre (où on parle l’anglais) leur est fermée. L’Angleterre ne les veut pas !

L’ami pakistanais Karim vivait avec sa famille dans un petit village de montagne ; quand il avait besoin d’argent, il allait tout simplement faire n’importe quel boulot en ville et, dès qu’il en avait assez, il rentrait tranquillement chez lui. “No problem.”

Un autre Pakistanais qui avait un diplôme de médecin n’a jamais accepté qu’en Suisse, pour pouvoir exercer la profession de médecin, il faut un diplôme agréé par les autorités suisses, d’où frustration, humiliation, rancœur et radicalisation anti-occidentale. De la part d’un clandestin c’est quand même un peu fort de café !

Il faut aussi expliquer à ces gens ce que signifient «des impôts» et un “contribuable” et que, quand un “migrant” passe la frontière, il n’a pas été invité, il est en effraction, il est interné dans une structure où il est logé, blanchi, nourri, soigné, suivi par un éventail de professionnels – mais tout ça coûte cher et se paie. Par qui ? Par le contribuable.

Quand la police est appelée pour une bagarre entre migrants, cela coûte et qui paie ? Le contribuable.

Quand il y a un mort, cela signifie un tas de paperasses, la morgue, l’incinération, etc. Qui paie tout cela ? Le contribuable.

Et, que ce soit bien clair : le contribuable ne veut pas payer des impôts pour payer tout ça.

Au pays d’origine ils réclament la dépouille de leur parent décédé ? Fort bien, mais combien coûte un cercueil règlementaire pour voyager ? Combien coûte le voyage et qui paie ?

Dans le cas qui nous occupe, maintenant que la famille s’est fait connaître, nous savons à qui adresser les factures, mais s’ils sont si pauvres qu’ils envoient l’un des leurs pour venir travailler chez nous ; vont-ils avoir de quoi payer ?

Ce qui est déjà très cher pour nous devient monstrueusement cher pour ces gens qui n’ont rien.

Suggestion : Ces gens ne savent rien de l’organisation de nos pays. Je suggère donc à nos gouvernements que nos ambassades publient dans les pays du Tiers-Monde des spots télé pour expliquer qu’ils n’ont aucune chance, que le saint ne vaut pas la chandelle et qu’à la limite cela va leur coûter la peau des fesses non seulement pour partir de chez eux, mais aussi pour y revenir bredouilles, les mains plus vides qu’au départ. Cela nous coûterait moins cher et ce serait plus honnête à leur égard.

J’ai relaté mon expérience dans mon livre Des raisins trop verts ou les déconvenues des migrants et l’ai mis à disposition…

https://atelier-ca-della-fiola.blogspot.ch/p/des-raisins-trop-verts.html

De plus en plus de personnes ont été, sont et seront, confrontées avec le problème des migrants. Avec moi ça s’est passé comme ça : le séjour avait été organisé scrupuleusement, sous les meilleurs auspices, tout d’abord cela a été l’émerveillement réciproque, ensuite «l’allochtone» prend conscience de la difficulté de vivre en Occident, très rapidement il devient déçu, humilié, rancunier, agressif  car il n’arrive pas à s’adapter à une civilisation trop différente de la sienne et… il se radicalise anti-occidental…  Mon ami Karim qui était venu pour 3 mois a été soulagé de pouvoir rentrer chez lui, mais tous les autres qui n’osent pas rentrer chez eux car ce serait la honte s’ils devaient avouer leur échec, qu’allons-nous faire de tous ces gens ?

Si, dès qu’il avait été arrêté sur le sol suisse, le malheureux S.K. avait été mis dans un avion et ramené chez lui, le drame aurait été évité et il aurait pu expliquer à ses compatriotes que l’immigration illégale ne fonctionne pas.

Conclusion : La très grosse erreur c’est de ne pas leur dire la vérité  et je ne vois pas comment on va pouvoir la résoudre.

Anne Lauwaert

Article paru en premier sur Riposte Laïque

Islam. Tessin: Deux requérants d’asile arrêtés en raison de «risque pour la sécurité intérieure de la Suisse»

Christian Hofer: A noter que le 20 Minutes en français refuse de dire que ce sont deux requérants d'asile qui ont été arrêtés contrairement à leurs collègues du Tessin.

Il est bien clair que "cet oubli" vise à couvrir l'idéologie victimaire des "pauvres réfugiés qu'il faut accuellir" et mettrait à mal la propagande socialiste.

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L'Office fédéral de la police (fedpol) a ordonné l'arrestation de deux personnes, dimanche soir à Chiasso (TI), qui présentent potentiellement un risque pour la sécurité intérieure de la Suisse.

Ils auraient un lien avec des activités terroristes à l'étranger.

(,,,)

Source Source2

 

 

Suisse. Tessin: Le recruteur de djihadistes d’origine turque devrait bientôt être libre

L’islamiste radical devrait être condamné à 2 ans et demi de prison, dont 6 mois ferme (...).

Incarcéré depuis février, l’homme devrait donc être libéré sous peu, pour autant que le TPF ratifie l’acte d’accusation.

Entre janvier 2014 et février 2017, l’accusé a tenté d’enrôler neuf hommes et une femme pour le djihad. (...)

Tessin: Les touristes musulmanes se masquent malgré la loi. (Audio)

Un petit rectangle blanc en lieu et place de la burqa: au Tessin, des touristes musulmanes ont trouvé la parade pour contourner l’interdiction du port du voile intégral en vigueur depuis un an.

La police cantonale tessinoise confirme ce qu’elle qualifie de "nouveau phénomène" apparu cette année, principalement dans les rues de Lugano appréciées par les visiteurs en provenance des pays du Golfe.

Certaines touristes orientales choisissent ainsi de porter un masque filtrant anti-pollution pour occulter la partie inférieure de leur visage en lieu et place du voile intégral.

 

 

 

Légal ou non?

Cette manière de masquer son visage est-elle légale? Les autorités sont très empruntées sur ce point puisque, en théorie du moins, le subterfuge contrevient à la loi cantonale tessinoise - calquée sur le modèle de la loi française et qui prévoit l’interdiction de se voiler la face dans les espaces publics.

Cependant, le conseiller juridique du gouvernement tessinois admet qu’il est difficile d’appliquer la loi dans ces cas, comme le rapporte le Giornale del Popolo lundi. Il est en effet quasi impossible de vérifier si le masque anti-pollution est porté pour des motifs de santé - l’air au Tessin passe pour l’un des plus pollués du pays - ou pour contourner l’interdiction la burqa.

Source et article complet

Tessin: une Érythréenne chute du sixième étage. Son compatriote est soupçonné de l’avoir tuée. Il avait déjà tenté de la tuer.

La victime est une Erythréenne de 24 ans. Elle est décédée lundi vers 23h00 à Bellinzone après une chute du sixième étage d'un immeuble.

Un compatriote de 35 ans a été arrêté par la police, a indiqué cette dernière mardi dans un communiqué.

«Il avait déjà essayé de la tuer. Il avait tenté de la jeter par la fenêtre, mais la police était intervenue à temps», raconte un voisin de la victime à Tio.ch/20 minuti.

"Ils ne s'exprimaient pas en italien et je ne crois pas qu'ils travaillaient. Il s'agissait probablement de requérants d'asile."

Source et article complet

Tessin: Un Macédonien abat sa femme avec une arme non déclarée

Un homme a tué sa femme en lui tirant dessus, vendredi dernier près d'un supermarché à Ascona (TI). La fille de la victime explique qu'il avait déjà menacé sa mère avec des armes dans le passé.

La fille de la victime raconte que son beau-père, un Macédonien de 54 ans, était «extrêmement jaloux». «Il reprochait à ma mère d'avoir un amant. Il lui interdisait de quitter la maison. Elle était sous son contrôle 24 heures sur 24 et était une esclave dans sa propre maison», la cite «Blick» ce mardi.

Des contrôles plus stricts

La jeune femme de 22 ans assure que sa maman a été menacée à plusieurs reprises dans le passé: une fois avec un pistolet, une autre fois avec un couteau. Selon elle, sa mère s'est séparée de son mari il y a environ trois mois. Depuis, il n'arrêtait pas de la suivre, de la harceler et de la menacer. Et cela malgré une décision de justice l'interdisant de s'approcher à moins de 300 mètres d'elle. «Je ne veux pas que d'autres gens perdent un être cher juste parce que personne n'est capable de protéger les individus victimes de menaces», dénonce-t-elle, tout en demandant que des contrôles plus stricts soient effectués dans ce type de situations.

Arme pas déclarée

Selon des recherches effectuées par nos collègues tessinois de 20 minuti/Tio.ch, le pistolet utilisé, un 9 mm, n'avait pas été déclaré par le quinquagénaire à l'Office des armes et des explosifs de la police cantonale. Et la raison est simple, écrivent nos confrères: le meurtrier présumé n'avait pas le droit d'en posséder un. La loi fédérale sur les armes prévoit en effet que l'acquisition et la possession d'armes sont interdites notamment pour les ressortissants macédoniens (art. 12).

 

Source

Nos remerciements à Wilhelm ✙ ن

 

Le Conseil d’Etat tessinois menacé de destitution par la Lega et l’UDC

Le président du Conseil d'Etat tessinois ne se montre pas inquiet face aux menaces de destitution du gouvernement lancées par la Lega et l'UDC après l'abandon de l'exigence d'un extrait de casier judiciaire pour les étrangers.

Le Conseil d'Etat tessinois est menacé de révocation par la Lega et l'UDC depuis dimanche suite à la décision du gouvernement le mercredi 7 juin de ne pas exiger de casier judiciaire pour les Italiens qui souhaitent obtenir un permis de séjour (B) ou de travail (G).

Cette exigence avait été approuvée par le Grand Conseil à l'unanimité. Et si l'Exécutif, qui compte deux ministres de la Lega sur cinq élus, a finalement renoncé, c'est pour favoriser les négociations fiscales entre la Suisse et l'Italie.

La Lega dénonce la majorité d'un "governicchio", soit un petit gouvernement médiocre à la solde de la Berne fédérale. Mais pour aboutir, la menace des deux partis cantonaux doit récolter 15’000 paraphes à la veille de la pause estivale, ce qui est loin d'être acquis.

Président du gouvernement "pas inquiet"

Interrogé dans le Journal du matin mardi, le président du gouvernement tessinois Manuele Bertoli (PS) ne se montre "pas tellement inquiet". "Cette histoire de la révocation est une vieille histoire, déjà évoquée par Giuliano Bignasca (ndlr: le fondateur de la Lega) de son vivant, mais qui n'a jamais eu lieu".

L'accord fiscal avec l'Italie était bloqué sur deux questions, dont l'obligation de présenter son casier judiciaire. Manuele Bertoli défend cette "petite marche arrière" en raison des effets positifs attendus par l'accord fiscal avec l'Italie.

Cet accord "enlève le privilège qu'ont les frontaliers par rapport aux résidents en Italie et qui travaillent en Italie". "Je ne pense pas que ça va les dissuader de venir" en Suisse, mais ça va pousser les quelque 60'000 frontaliers "à ne pas accepter des salaires trop bas", ajoute le directeur du Département cantonal de l'éducation et de la culture.

Une fiscalité revue pour les frontaliers italiens

La pomme de discorde fiscale italo-suisse autour de l'imposition des frontaliers a fait l'objet d'un arrangement en décembre.La charge fiscale des frontaliers sera progressivement augmentée, rendant ce statut moins attractif d'un point de vue fiscal et contribuera à la lutte contre la sous-enchère salariale, espère le Conseil d'Etat tessinois.L'Etat où l'employé travaille impose le revenu du travail jusqu'à concurrence d'une part de 70% de l'impôt ordinaire sur le revenu. L'Etat de domicile applique quant à lui ses propres impôts sur le revenu et élimine les doubles impositions.Les frontailiers étaient jusqu'ici imposés exclusivement sur le lieu de travail, avec une restitution de 38,8% aux communes lombardes.

Source RTS

Tessin. Le réseau kosovar volait des permis de séjour directement dans nos administrations.

L'article date du 18 février 2017 mais notre presse romande a caché le pedigree des coupables, et le fait que notre administration naturalise certaines de ces crapules.

On constate également que ces gens ne sont pas du tout discriminés, bénéficiant au contraire (discrimination positive?) de postes de fonctionnaires très bien payés. Leurs remerciements étant la spoliation de la Suisse qui leur a offert une belle vie! Ils ont ainsi tissé des réseaux entre étrangers pour mieux nous voler. C'est dire à quel point ces "naturalisés" ne sont aucunement suisses et ne défendront jamais nos valeurs!

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Onze jours, onze suspects. Moins de deux semaines après le début du scandale des permis qui a frappé en premier l'Office des migrations tessinois et par la suite le monde de l'édition, un système complexe avec une foule d'enquêtes et un labyrinthe de noms et de rôles émergent: Le corrupteur, le fonctionnaire, l'ex, l'instigateur... il appartient aux enquêteurs de faire la lumière sur les responsabilités et de découvrir et de trouver jusqu'où portent les réseaux de liens. Avec l'anonymat nécessaire, nous avons essayé de faire un exercice de simplification pour décrire et résumer les étapes et les personnages de cette histoire:

 

Permessi- fatti, luoghi e persone (1)

 

1. L'individu âgé de 25 ans, Suisse d'origine Kosovare de Bellinzone est le principal suspect. Le "corrupteur", arrêté le 7 février, est le propriétaire d'Aliu Big Team: entreprise de construction en liquidation qui a servi d'écran pour demander des permis contrefaits, afin de faire venir des travailleurs de l'étranger et les envoyer, au noir, sur divers chantiers de construction (une quinzaine aussi dans le canton de Schwyz). Il a travaillé pendant deux ans pour M + M Échafaudage, appartenant à un entrepreneur kosovar qui a fini lui aussi dans les filets de la justice. Fan de l'ACB (Club de foot: l'AC Bellinzone), il a été arrêté à Pristina en juin 2016, pour des accusations de trafic d'êtres humains entre le Kosovo et la Suisse et condamné à 6 mois de prison. Au Tessin, les accusations formulées à son encontre sont: traite d'êtres humains, corruption, falsification de certificats et infraction à la loi fédérale sur les étrangers.

2. Un homme âgé de 27 ans de Bellinzone (KA) : frère du principal suspect (Nd Christian Hofer et donc Kosovar), travaille comme infirmier, et participe à divers titres à l'affaire.

3. Le fonctionnaire, naturalisé suisse depuis 2011 selon le graphique (pas d'origine spécifiée) de Giubiasco (CS) âgé de 28 ans : le « corrompu ». Lui aussi a été arrêté le 7 février, il est employé dans la section des autorisations, où il travaille depuis 2009. Il a milité à l'ACB. Avec l'aide de sa petite amie, ancienne fonctionnaire, il aurait favorisé l'octroi de permis B contrefaits à des personnes qui n'en avaient pas le droit. Le couple aurait agi de connivence avec les deux frères d'origine kosovare. Il est accusé de vol, de corruption passive et de violation à la loi fédérale sur les étrangers.

4. L'ex-fonctionnaire de 28 ans (JD) : originaire de la Levantine, Suissesse, fiancée de l'ancien fonctionnaire de 28 ans, a été arrêtée elle aussi le 7 février. Licenciée en 2016 par l'administration cantonale, avec son fiancé, elle aurait favorisé l'octroi de permis de permis B contrefaits. Elle est également accusée de vol, de corruption passive et de violation à la loi fédérale sur les étrangers.

5. Un ressortissant Turc de 27 ans de Bellinzone : ami du fonctionnaire de 28 ans, a été arrêté un jour plus tard: le 8 février. Il a reçu le matériel volé à l'Office des migrations et a admis l'avoir montré au fonctionnaire, qu'il connaissait déjà depuis longtemps. Il nie l'avoir vendu.

6. Une Suissesse de 23 ans (FR) : ex-petite amie du Turc de 27 ans et ancienne collaboratrice à l'Office des migrations, elle a été arrêtée le 8 février. Elle a soustrait des feuilles de papier de sécurité et des étuis pour divers types de permis. Toutefois, elle aurait révélé aux enquêteurs que l'idée provenait de son ex-fiancé. Elle est sous enquête pour: Vol, recel de biens volés et infractions à la loi fédérale sur les étrangers.

7. Un homme de 24 ans de Biasca (B.B.), naturalisé suisse depuis 2007 selon le graphique (pas d'origine spécifiée): le "footballeur", lié à l'ACB par le passé. Depuis 2014, il travaillait à l'Office des poursuites et des faillites de Faido. Il fait l'objet d'une enquête pour violation du secret professionnel. Il aurait informé le fonctionnaire de 28 ans de l'Office des migrations que la police s'intéressait à lui.

8. Un ancien entrepreneur de 42 ans, Kosovar (ZQ), résidant à Giubiasco. Arrêté le 15 février, le « recruteur » et propriétaire de plusieurs entreprises dans le sud et au nord des Alpes. Pour l'une d'entre elles, la société M + M Échafaudage, basée à Camorino, Le principal  suspect âgé de 25 ans a travaillé dans le passé, pour l'une d'entre elles, la société M + M Échafaudage, basée à Camorino. Il est accusé de: Traite d'êtres humains, d'usure répétée, de falsification répétée de certificats, d'incitation aggravée et répétée à l'entrée, au départ ou au séjour illégal de personnes.

9. Un homme de 32 ans, Kosovar (AB), résident à Bellinzone, partenaire de l'entrepreneur âgé de 42 ans, il s'occupait du personnel des entreprises de ce dernier. Il se trouve en prison depuis le 15 février, il est lui aussi accusé de: traite d'êtres humains, d'usure répétée, de falsification répétée de certificats, d'incitation aggravée et répétée à l'entrée, au départ ou au séjour illégal de personnes.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Tessin: La famille du Kosovar accusé de meurtre aurait construit une villa avec l’argent de l’aide sociale suisse.

Nous parlions de ce Kosovar ici et ici alors que nos médias continuent à cacher son origine et prennent littéralement les Romands pour des imbéciles.

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Dans le village de Biasca, il se dit que le Kosovar naturalisé suisse (qui lui a donné le passeport?), qui a tué le Tessinois de 44 ans devant la discothèque à Gordola, serait le rejeton d'une famille qui, tout en étant à la charge de l'aide sociale, a construit une villa à CHF 650'000.-.

Il y a quelques années à ce sujet, une requête de la Lega a mis le gouvernement et l'administration cantonale dans l'embarras.

Inutile de dire que le « brave jeune homme » est représenté par l'avocat habituel, ancien député PPD au Grand Conseil, spécialiste de la défense des criminels étrangers.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

Tessin: Le Kosovar naturalisé qui a tué un père de famille ne sera pas déchu de la nationalité “Un homicide n’est pas une raison suffisante.”

Le 20 Minutes romand continue à cacher l'origine ethnique de ce meurtrier en toute connaissance de cause puisque le 20 Minutes tessinois d'où provient l'interview traite directement du retrait du passeport.

Bien entendu, la presse romande évitera soigneusement d'avouer que la déchéance de la nationalité s'avère impossible, même devant les pires crimes de ces migrants tant adulés par la gauche, laissant croire que tout va pour le mieux en Suisse entre les naturalisations laxistes et un retrait de passeport inapplicable

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LUGANO - « Retrait du passeport et expulsion », titrait hier Mattinonline au sujet de l'individu de 21 ans incarcéré en raison du coup mortel qu'il avait donné à un homme de 44 ans, à l'extérieur de la discothèque La Rotonda dans le village de Gordola. Et sur les réseaux sociaux comme dans les commentaires, nombreux sont ceux qui réclament la même sanction: déchirer son passeport suisse, révoquer la citoyenneté.

Mais cela est-il vraiment possible?

(...)

Un homicide ne suffit pas

Les accusations portées contre l'agresseur de Gordola font mention d'homicide volontaire sous réserve d'homicide involontaire. Peut-on supposer la révocation pour une infraction similaire? « Un homicide ou un assassinat commis en Suisse, sous réserve d'actes qui constituent en même temps des crimes contre les intérêts ou la réputation de la Suisse, ne sont pas des motifs suffisants pour retirer la citoyenneté suisse «, explique le porte-parole du secrétaire à l'immigration Lukas Rieder.

Une seule vérification en... 10 ans!

Quelle que soit la colère que la mort du père de deux petits enfants suscite, l'individu qui l'a tué, en cas de condamnation, ne risque pas d'être privé de sa citoyenneté. Ceci est confirmé par les statistiques dans ce genre de cas: "Au cours des 10 dernières années, seulement une procédure de vérification a été lancée pour un éventuel retrait de la naturalisation." Vraisemblablement pour un jihadiste, et cela n'a pas encore abouti ou échoué.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

 

Comment l'agression s'est déroulée: 

«Je vous tue tous l'un après l'autre»

«Je suis détruit de n'avoir pas réussi à empêcher ce qui s'est passé», a raconté F., un membre de la sécurité de l'établissement qui a souhaité garder l'anonymat. «J'ai reçu des menaces de mort, comme mes collègues. Il a dit qu'il allait tous nous tuer, l'un après l'autre.»

L'employé de sécurité a reconstitué dans les moindres détails le déroulement de cette soirée dramatique. «Je suivais l'agresseur (ndlr: il venait de s'embrouiller avec un autre client ) et à un certain moment il a accéléré, il était hors de lui. Quand j'ai vu qu'il s'était lancé sur Fabrizio (ndlr: la victime ) il était trop tard.» L'agent explique qu'il a alors arrêté l'auteur des violences, un Suisse (!!!), âgé de 21 ans. «Je lui ai dit que j'étais membre de la sécurité, mais j'ai reçu un regard de défiance et un poing sur le visage. C'était un coup très fort, donné par quelqu'un qui s'entraîne et sait comment frapper. Ces choses se comprennent tout de suite», a expliqué F. encore sous le choc.

Aidé par d'autres videurs, F. a emmené, de force, l'agresseur hors de la discothèque. C'est là que la sécurité s'est aperçue que Fabrizio se trouvait dans un état grave et qu'il fallait garder son bourreau à disposition de la police. «Nous avons tenté de l'arrêter, mais cela n'a pas été facile. Il s'est mis en position de défense comme s'il se trouvait sur un ring et disait: 'venez, venez, vous êtes morts c'est votre dernière soirée'».

(...)

Source

Tessin: Un Kosovar naturalisé tue un père de famille. La presse romande préfère mentir en cachant son origine kosovare.

Christian Hofer: Cas d'école de la manipulation de nos médias francophones, comme vous pouvez le constater ici dans le 20 Minutes, ou dans le Matin, ou dans le 24H, ou encore dans la Tribune de Genève

Il n'y a aucune confiance à avoir dans une presse qui ment ainsi par omission.

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Un homme de 21 ans a frappé avec un coup de Karaté Fabrizio C., âgé de 44 ans à la sortie d'une discothèque. Le directeur de fabrique est mort quelques heures plus tard à l'hôpital. Il semble que Fabrizio était sorti afin d'obtenir un peu d'air frais et est tombé sur un jeune homme âgé de 21 ans qui vit à Biasca avec ses parents.

Le Kosovar au bénéfice d'un passeport suisse a infligé à Fabrizio un coup de karaté dans le dos. Juste comme ça. Fabrice C. s'est effondré. Le service de sécurité du club s'est précipité. Les hommes ont maintenu Alexander D. M. jusqu'à ce que la police arrive.

L'ambulance a emmené Fabrizio C., grièvement blessé, à l'hôpital de Lugano. Mais le père de deux enfants (8 et 9 ans) est décédé dimanche des conséquences de la blessure.

Sur son profil Facebook, Alexander M. aime se présenter comme un macho: Brutal, musclé, avec des voitures rapides.

Source1 Source2 Source3 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

Témoignage: “La Suisse ne protège pas les Suisses. Les étrangers sont au chômage sans problème alors que moi…”

Aujourd'hui, je me sens obligée de dénoncer un système qui, hélas, ne protège ni le résident ni le citoyen suisse, mais qui protège tous les autres. Immigrant, frontaliers, frontaliers avec des résidences fictives, étrangers avec permis B qui, après seulement une année de travail bénéficient des services que je finance.

Je suis une citoyenne suisse, née de parents suisses, et qui a toujours travaillé. Au cours des deux dernières années, j'ai pratiqué une profession qui n'est pas la mienne, j'ai appris un nouveau métier, en faisant pas mal de sacrifices, afin de ne pas être un poids à la charge de la société malgré le fait que j'en avais tous les droits.

Le problème, malheureusement, est que j'ai travaillé pour le compte de mon mari; même si j'ai travaillé régulièrement avec tant de salaires déclarés et prouvés. Malheureusement, ceci est un gros problème: travailler, payer les cotisations, être en règle mais se faire embaucher en tant qu'employée d'une société dans laquelle l'administrateur unique est le mari. A Lugano, le bon vieux temps est désormais fini, et nombreux sont ceux qui, à contre-coeur, ont été licenciés par manque de travail.

Ainsi, payant des cotisations mensuelles () et croyant avoir tous les droits, je me suis inscrite au chômage, délivrant une série sans fin de documents, relevés bancaires, fiches de salaires, certificats de naissance et recherches d'emplois, mais aujourd'hui j'ai eu une surprise.

J'ai reçu une lettre de Bellinzone dans laquelle il est écrit que ma demande d'indemnisation a été rejetée parce que l'employeur est mon mari, conformément à l' article... de la loi fédérale sur l'assurance-chômage.

Très bien, je ne peux pas changer la loi fédérale, ni l'enfreindre, mais je voudrais souligner certains facteurs que je ne peux pas tolérer, mais par-dessus tout qui sont incohérents.

En premier lieu, pourquoi ont-ils facturé chaque mois mes contributions salariales, alors que je n'ai pas le droit d'en bénéficier comme dans ce cas d'extrême nécessité. Et puis je voudrais comprendre le motif pour lequel il n'y a pas de contrôles assidus aux frontières concernant les résidences fictives dans notre canton.

Puis, pour quel motif n'existe-t-il pas une loi où les personnes ayant le permis B ne peuvent avoir droit au chômage qu'après une période d'au moins 3 ans de travail / résidence en Suisse et non au bout de 12 mois. Mais en particulier, dans le cas où elles perdraient leur travail, le permis d'établissement devrait être révoqué.

C'est une HONTE que les citoyens suisses / résidents ne soient pas protégés alors que nous sommes les premiers à payer pour garder les gens qui ne devraient même pas avoir le droit d'utiliser nos services, et moi avec une famille à charge, il ne me reste plus que l'indignation, je ressens de la honte pour ce pays (...).

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Tessin: Lorsqu’un socialiste faisait l’éloge d’un jihadiste turc naturalisé “C’est un exemple d’intégration.”

Christian Hofer: Un détail qui met en lumière l'idéologie socialiste et qui complète cet article.

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Le Ministère public de la Confédération (MPC) a ouvert une procédure pénale contre le double national, Turc d’origine et devenu Suisse avant de se radicaliser.

«Il s’agit d’un exemple d’intégration réussie», avait pu dire de lui un membre du Parti socialiste tessinois, contre lequel la Lega des Tessinois pointe depuis un index indigné.

(...)

Source

Nos remerciements à  pour avoir relevé ce élément dans l'article.

Après l’initiative “Les Nôtres d’abord”, le Tessin veut accorder la priorité aux apprentis indigènes

Après l'initiative "Les Nôtres d'abord", le Tessin veut également accorder la priorité aux apprentis indigènes, concurrencés par l'explosion des candidatures de jeunes frontaliers.

Les places d'apprentissage sont très convoitées par les jeunes frontaliers, parfois adultes et même déjà titulaires d'un diplôme italien. C'est pourquoi le conseil d'Etat tessinois se réserve le droit de geler les contrats d'embauche des candidats frontaliers âgés de plus de 19 ans aussi longtemps que l'ensemble des futurs apprentis indigènes n'auront pas trouvé une place dans la branche souhaitée.

Source et article complet

Tessin. Le musulman suspecté de terrorisme travaillait… à la sécurité des centres pour requérants d’asile. Notre administration doit en répondre!

Christian Hofer: A noter que c'est un PDC Paul Beltraminelli, qui est responsable du département incriminé. Cela n'étonnera personne ici...

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"L'islamiste de 32 ans interpellé hier au Tessin dans le cadre de l'action anti-terroriste, coordonnée par le Ministère public de la Confédération, se nomme U.Y. Le nom de l'homme à la double nationalité, suisse et turque, a émergé dans le cadre de l'enquête de Milan qui a conduit à la condamnation à six ans de prison pour terrorisme d'Abderrahim Moutaharrik, le boxeur marocain qui s'entraînait dans un gymnase de Canobbio. U.Y. travaillait comme agent de sécurité (!) pour Argo One (entreprise employée au centre d'asile de Camorino) et il est soupçonné de recruter des militants potentiels pour l'Etat islamique ou d'autres organisations. (Source Liberatv.ch)

C'est l'information inquiétante qui a alarmé la population tessinoise vis-à-vis d'un phénomène qui gagne de plus en plus de terrain dans notre pays. Il semble clair que le gouvernement - et en particulier le DSS (Nd Schwarze Rose: Département de la santé et du social) qui est responsable du dossier «demandeurs d'asile» - a sous-estimé le problème du terrorisme islamiste, à un tel point qu'il a délivré un mandat de sûreté à une personne recherchée pour des crimes liés au terrorisme. A cet égard, il est demandé au Conseil d'Etat:

1) Quels contrôles ont été effectués par le DSS avant de donner le mandat aux personnes concernées? Indiquez quels sont les fonctionnaires qui ont vérifié la procédure.

2) Le Département a-t-il vérifié que la société en question a été soumise à la convention collective habituelle dans le secteur d'activité?

3) Le bureau responsable était-il au courant des plaintes concernant le travail de l'agence de sécurité? Si oui, pourquoi n'est-il pas intervenu avant?

4) Le gouvernement peut-il assurer à la population que cet incident grave est un événement isolé?

5) Le Gouvernement a-t-il l'intention de procéder à une vérification approfondie à l'égard de tous les mandats et les missions concernant les centres de demandeurs d'asile répartis dans tout le canton?

6) Combien coutent annuellement les mandats de sécurité liés à la gestion des demandeurs d'asile (prié d'indiquer les chiffres pour les cinq dernières années)?

7) Le gouvernement ne considère-t-il pas qu'il soit nécessaire de mettre en place une commission d'enquête pour vérifier cette situation grave dans le DSS, comme cela a été fait récemment dans des cas similaires?

8) Selon le gouvernement, les responsables de la DSS en charge de ce mandat ont-ils agi correctement, en conformité avec les règles et dans le sens de la responsabilité?

9) Que prévoit le gouvernement pour éviter la production de cas similaires?

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

Tessin: Un étranger qui vit depuis toujours de l’AI a été naturalisé

Lundi à Lugano: La majorité du législatif a jugé bon d'accorder la citoyenneté suisse à un candidat qui a toujours bénéficié de l'AI pour des raisons mentales depuis qu'il est en Suisse. Il n'a pas été en mesure de répondre aux questions simples posées par les commissaires qui visaient à vérifier son degré d'intégration!

Par conséquent, il n'est ni autosuffisant financièrement, ni intégré.

En outre, il n'a pas été en mesure de citer des raisons plausibles à sa demande d'obtention de la citoyenneté suisse, puisque son argument consistait approximativement à "assurer un avenir meilleur pour ses enfants."

(...)

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

Tessin: Berne prévoit encore un nouveau centre de requérants

Un nouveau centre fédéral pour les requérants d'asile est prévu dans le sud du Tessin, près de la frontière italienne. Avec ses 350 places, il est censé remplacer le centre actuel de Chiasso. Les communes concernées accueillent le projet avec scepticisme.

Depuis la fermeture de la route des Balkans, la pression à la frontière sud du Tessin est de plus en plus forte.

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