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Frontex obligé de le reconnaître : Soros et ses ONG favorisent le trafic de migrants
Sur l’immigration de masse qui submerge le continent européen en provenance de l’Afrique et du Moyen-Orient, les grands médias français taisent la complicité des ONG liées aux puissances financières visant à l’homogénéisation de peuples déracinés. En témoigne leur silence sur la colère des autorités italiennes au sujet des organisations non-gouvernementales qui participent délibérément au transport d’êtres humains depuis les côtes d’Afrique vers l’Europe, à la suite de la publication d’un rapport de l’agence Frontex.
Le représentant de l’UE pour l’intégration européenne s’affiche avec Georges Soros: “Nous joignons nos efforts à “réformer” les Balkans”
Johannes Han, commissaire de l’Union européenne pour la Politique régionale et de l’intégration européenne (…) ici ouvertement avec George Soros. L’UE, cache sexe des Etats-Unis n’arrive pas à anschlusser la Serbie et la Macédoine dans son espace politique et elle prépare avec ses pions un nouvel embrasement des Balkans…
Le représentant de l’UE déclare que sa rencontre avec Georges Soros consistait à faire progresser les réformes pour des sociétés ouvertes dans les Balkans et dans l’Est de l’Europe. Nous savons tous ce que cela veut dire !!!
Via CivilWarInEurope
A lire au sujet de la Macédoine:
Macédoine : affrontements au parlement et provocations de la gauche
La pieuvre Soros. Série : “Soros, le Shelob du Nouvel Ordre Mondial” (I)
Article de Giampaolo Rossi paru dans il Giornale-it / traduction Danielle Borer pour Eurolibertés et lesobservateurs.ch
G. Rossi (photo) se défini lui-même ainsi :
« D’abord et surtout archéologue. Pour cette raison je m’occupe de politique et des médias. J’écris pour Il Giornale. A leurs risques et périls.»
LE SPÉCULATEUR
Chaque fois que l’on parle de George Soros, on est quasiment sûr d’être traité de « complotiste paranoïaque » ; c’est le meilleur moyen qu’ont trouvé les belles âmes de la conscience démocratique pour discréditer quiconque essaie d’expliquer le rôle des élites technocratiques dans la création et la manipulation des crises internationales qui bouleversent le monde.
De tous les Maîtres du Nouvel Ordre Mondial qui, du Moyen Orient à l’Europe, et même en Asie, s’amusent à déclencher des révolutions, des guerres, des crises économiques et à générer le chaos nécessaire à leurs projets de domination, George Soros est le plus connu, car, à la différence des autres, il cultive son rôle de manière arrogante et vaniteuse.
Financier d’origine hongroise, Soros est un spéculateur qui s’est enrichi en mettant à genou les économies du tiers monde ; et nous, Italiens, en savons quelque chose puisque en 1992 nous avons vu fondre nos réserves monétaires grâce à une attaque spéculative sur la Lire et sur la Livre Sterling, attaque qu’il avait orchestrée, et qui nous a sorti, avec la Grande Bretagne, du Système Monétaire Européen.
Soros est le théoricien d’une société globale où nous devrons tous être égaux, à l’exception de quelques personnes comme lui, plus égales que les autres et qui ont donc le droit d’imposer leurs règles (et l’égalité) à tous les autres.
LE PÉCHÉ MIGNON DE SOROS
Comme tout multimilliardaire qui se respecte, lui aussi a son petit vice : il ne collectionne pas de Ferraris, de châteaux en Europe, de trophées de golf ou des actrice d’Hollywood (peut-être que oui, mais ça, nous ne le savons pas…). Ce qui est certain, c’est qu’il collectionne des Fondations, des Thinks tanks, des ONG par le biais desquelles il déstabilise les gouvernements, manipule les médias et viole la souveraineté des États.
Pour accomplir tout cela, il se sert évidemment de son argent et de la Open Society Foundation, grâce à laquelle il distribue des milliards de dollars pour financer des partis d’opposition et des mouvements « démocratiques » dans le monde entier ou pour « embaucher » des militants des droits de l’homme, des intellectuels, des journalistes, des technocrates et pour financer des leaders politiques biens contents de satisfaire les plans de l’ami oligarque (Hillary Clinton en sait quelque chose, elle, dont Soros est un des principaux bailleur de fonds : 8 millions, pour 2015 seulement).
En somme, le plan de Soros ressemble à une véritable toile d’araignée tendue à travers le monde, qui, année après année, a engendré les révolutions de couleurs qui ont déstabilisé l’Europe post-soviétique (Serbie, Georgie, Ukraine et Kirghizistan), le Printemps arabe avec en prime les guerres en Libye et en Syrie, qui ont engendré l’Isis et la crise des migrants (voulue et favorisée par le même Soros).
Pour rendre ce travail le plus professionnel possible, Soros a également facilité la naissance d’une véritable multinationale pour « des révolutions à domicile » (évidemment non-violente); elle s’appelle CANVAS (Centre for Applied Non-Violent Action and Strategies). C’est une structure d’où des experts en révolutions sont envoyés dans les pays soutenus par des gouvernements peu appréciés des USA, donc par Soros (ou mieux, pas appréciés par Soros donc pas non plus par les USA); ces experts sont envoyés dans ces pays pour allumer la mèche de manifestations « démocratiques » qui se transforment presque toujours en bains de sang et en guerres civiles. C’est une organisation farcie de dollars provenant du gouvernement américain et de diverses fondations parmi lesquelles, évidemment, celle de Soros est en bonne place, comme l’a révélé Wikileaks.
SOROS EST SHELOB
Pour comprendre Georges Soros, il faut lire Le Seigneur des Anneaux (ou au moins, pour les plus paresseux, voir le film). Vous l’avez à l’esprit ? Bien, alors je pense que vous savez de quoi je veux parler : Georges Soros est comme Shelob, « un être maléfique en forme d’araignée » pour qui « chaque être vivant est un repas et qui vomit du noir obscur » : comme lui, Soros étend de gigantesques et visqueuses toiles dans lesquelles il emprisonne ses victimes pour ensuite les dévorer. Les réseaux de mouvements et d’associations qu’il est capable de mobiliser, fort d’un pouvoir économique illimité, sont les toiles d’araignée de Shelob. Personne ne peut rivaliser avec Shelob dans sa faculté de tourmenter ce monde malheureux.
Mais comment peut-on vaincre cette horrible créature ? Avec la lumière : Shelob aime vivre dans l’obscurité, la lumière l’aveugle. La fiole offerte par Galadriel, qui garde prisonnière la lumière d’Earendil*, aveugle Shelob et repousse ses attaques.
Mais laissons là la métaphore. La lumière, c’est la vérité et elle nous offre la possibilité d’ouvrir un espace d’information libre pour dire qui est Soros et ce qu’il fait réellement. Et cela a été révélé ces derniers jours avec la publication des 25 000 documents secrets de l’Open Society grâce au site DCLeaks qui fait la lumière sur la façon dont opère la structure tentaculaire de Soros, comment il manipule, comment il interagit à l’intérieur des crises internationales, comment il conditionne les choix des gouvernements et des médias.
LE PHILANTHROPE QUI HAIT POUTINE
Mais tout cela, on le pardonne à Soros/Shelob parce qu’il est aussi un philanthrope, littéralement un ami de l’humanité : la sienne. Et comme tous les philanthropes qui aiment l’humanité (notion abstraite), il hait les hommes, surtout ceux qui ne pensent pas comme lui.
Son ennemi numéro un est le leader russe Vladimir Poutine ; il nourrit une véritable obsession à son égard : il veut le voir détruit, vaincu. La faute de Poutine est de ne pas vouloir soumettre la Russie au diktat du Nouvel Ordre Mondial préconisé par Soros.
Alors, depuis plus de dix ans, Soros essaie de faire dans le pays de Poutine ce qu’il a réussi à faire dans beaucoup d’autres pays; alimenter de feintes opposition démocratiques, fomenter des agitations, infiltrer des ONG financées directement par lui ou par Washington, manipuler les médias et renforcer les pressions internationales. N’oublions pas que Soros/Shelob est un des bailleurs de fonds de l’opération Panama Papers, l’enquête journalistique la plus truquée de l’histoire de l’information occidentales, et qu’il est le principal sponsor des sanctions contre Moscou qui, en réalité, est en train de mettre à genou les entreprises européennes.
Mais il arrive souvent aux personnes les plus illuminées d’être aveuglées par leur propre lumière. Soros doit avoir oublié une leçon historique de base : il ne faut jamais aller chatouiller les Russes dans leur propre maison ; il lui aurait suffit de le demander à Napoléon et à Hitler.
Donc, Poutine a d’abord expulsé de Russie une série d’ONG occidentales d’émanation directe de Soros, parmi lesquelles son Open Society, pour activités anticonstitutionelles et anti-nationales.
Ensuite les Russes, champions du monde dans la cyberguerre se sont déchaînés. Il y a un an déjà, un groupe de hacker ukrainiens pro-russes ont rendu publiques les mails secrets échangés entre Soros et le président ukrainien Poroshenko. Nous fûmes parmi les seuls à en parler en Italie ; c’est une lecture intéressante et utile (voir l’article en italien), car ce sont des nouvelles explosives que vous ne trouverez pas dans la libre information de notre pays (l’Italie,ndt). Les mails en question révèlent qui a manœuvré la crise en Ukraine, qui a déstabilisé cette région, qui est le criminel qui a fomenté une guerre civile qui cause des milliers de morts et qui est en train de sévir pour jeter l’Europe dans une nouvelle guerre froide contre la Russie qui, grâce aux majordomes de Washington et de Londres risque de devenir bientôt une guerre assez chaude.
Actuellement, selon les dires de certains, des services de renseignements proches de Moscou, formés dans le « Soros hack » auraient rendu publics des milliers de documents de l’Open Society.
LE MARIONNETISTE DE L’IMMIGRATION
Il ressort de l’analyse des documents publiés, la façon dont Soros cherche à influencer les politiques d’immigration à l’échelle mondiale, en manipulant l’opinion publique et en faisant pression sur les gouvernements occidentaux pour qu’ils considèrent que la « crise des réfugiés en Europe est devenue une nouvelle normalité » porteuse de « nouvelles opportunités ». Nous avons démontré plus d’une fois que cet exode de migrants (fruit des guerre et du chaos générés par l’Occident) est en train de démanteler le système social et l’identité de l’Europe ; ce n’est pas un accident de l’histoire, mais un plan précis des élites mondialistes pour construire un nouveau modèle de société en vue d’une domination économique et financière. Maintenant nous en avons des preuves supplémentaires.
LA LUMIERE DE GALADRIEL ?
Parmi les 25 000 documents dérobés, on y trouvera peut-être matière à découvrir non seulement le visage de Soros/Shelob, mais également celui de ses innombrables soutiens qui se trouvent dans les médias, dans les parlements, dans les universités, dans les centres de pouvoir d’Europe et des USA.
Le matériel de DCLeaks n’est certes pas la fiole de Galadriel, mais c’est au moins une brèche qui laisse passer un peu de lumière sur un des plus obscurs et néfastes systèmes de pouvoir de notre temps.
Giampaolo Rossi
*« Eärendil était d’une beauté sans pareille, il avait sur le visage comme la lumière du paradis, alliant la beauté et la sagesse des Eldar à la force et à l’endurance des humains de jadis. » J. R. R. Tolkien, Le Silmarillion[1]
Une description d’Eärendil nouveau-né apparaît aussi dans les Contes perdus :« Maintenant ce nourrisson était de la plus grande beauté ; sa peau d’un blanc lumineux et ses yeux d’un bleu surpassant celui du ciel dans les pays du Sud — plus bleu encore que les saphirs du vêtement de Manwë. » J. R. R. Tolkien, La Chute de Gondolin[2]
Sur Twitter: @GiampaoloRossi
Une partie des liens donnés dans l’article renvoient à des publications en italien.
Gerald Knaus, l’homme qui murmure à l’oreille de Merkel, est membre de l’Open Society de Soros!
L'Autrichien Gerald Knaus est le président-fondateur de l'European Stability Initiative (ESI), un laboratoire d'idées financé par diverses institutions gouvernementales ou privées comme l' Open Society Institute. Bien qu'il n'ait aucune fonction officielle, la presse allemande voit en lui "l'homme qui a conçu la politique envers les réfugiés" (Huffington Post), celui qui " a mis sur pied pour Angela Merkel l'accord sur les réfugiés [avec la Turquie] » (Die Zeit).
Dans un texte intitulé « Le plan de Malte » publié le jour même où les dirigeants européens se rencontraient à Malte, Gerald Knaus, inquiet des progrès du « populisme », suggère d’aménager la politique migratoire de l’UE pour qu’elle puisse avoir « l’aval de majorités démocratiques ». Extraits : ]
[...]L’Union européenne a un besoin urgent d’une politique crédible sur la gestion de l’asile et de ses frontières. Elle doit associer un contrôle efficace des frontières terrestres et maritimes et le respect des lois sur l’asile tant internationales qu’européennes.
[...]
Il y a dix mois, l’accord UE-Turquie (accord de la mer Égée) a jeté les bases d’une atténuation de la crise des réfugiés.[...]
Au cours des dix derniers mois, la mise en œuvre de cet accord a été très décevante. Les conditions qui règnent sur les îles grecques de la mer Égée où ont débarqué les demandeurs d’asile sont une honte pour l’UE. [...]
Et au lieu d’envoyer le message que le discours sur la solution de rechange – des moyens sûrs et légaux d’arriver dans l’UE pour les réfugiés syriens – était sérieux, moins de 3000 réfugiés ont été réinstallés de Turquie dans les États membres de l’UE depuis avril 2016.
[...]
[...] la situation au large des côtes d’Afrique de Nord. Ici, il est évident que l’UE n’a aucune stratégie crédible. Le statu quo est inacceptable d’un point de vue humanitaire : en 2016, un nombre sans précédent de personnes (environ 4500) se sont noyées en Méditerranée centrale. La situation est également politiquement explosive, donnant des munitions à l’extrême droite en Europe (de Geert Wilders aux Pays-Bas à Marine Le Pen en France et à l’Alternative für Deutschland en Allemagne).
Pourtant, une politique humaine et efficace sur les frontières et sur l’asile est possible, et elle n’implique pas d’imiter le modèle australien. [...] Et ce qui est important, une telle politique peut être défendue lors des prochaines élections. Sans l’aval de majorités démocratiques, même la meilleure conception pour une politique humaine des frontières et de l’asile n’aura guère de poids.
[...]‘idée que l’UE pourrait sous-traiter la détention de dizaines de milliers de demandeurs d’asile dans des camps disséminés en Afrique du Nord [...] est vouée à l’échec, logistiquement impossible et profondément inhumaine.
Alors, comment l’UE peut-elle réduire le nombre des arrivées – et des décès – en Méditerranée centrale ? La clé réside dans le traitement rapide des demandes d’asile de toute personne qui arrive et dans le renvoi rapide dans leur pays d’origine de ceux dont les demandes sont rejetées. [...] Ceux qui obtiennent le droit d’asile devraient être répartis rapidement dans les autres pays de l’UE.
En retour, l’UE devrait offrir à ces pays [africains] des avantages concrets, allant de bourses d’études à l’obtention facilitée de visas et à des mécanismes permettant une immigration de travail légale.
[...]L’objectif pourrait être de réduire le nombre de toutes les arrivées irrégulières par mer à moins de 100 000 (pour une UE comptant plus de 500 millions de personnes) dès 2017.
[...]
Les dirigeants européens pourraient ainsi démontrer à leur électorat qu’il est possible de contrôler les frontières extérieures maritimes sans porter atteinte à la Convention sur les réfugiés.
(Traduction Fdesouche)
A noter que ce manipulateur est aussi évoqué sur le site Arrêt sur Info. Voilà comment un milliardaire contourne la volonté des peuples et les démocraties. Poignarder par derrière, tirer les ficelles dans l'ombre et qu'importe le nombre de morts:
L’actuel Président de l’ISE directement responsable de la version finale du document appelé « Plan Merkel » est un sociologue autrichien basé à Istanbul, Gerald Knaus. Knaus est aussi un membre de l’ECFR, le Conseil Européen pour les Relations Etrangères (CERE). Il est également un membre de l’Open Society[9].
Fondée à Londres en 2007, l’ECFR est une imitation de l’influent CFR de New York, le cercle d’influence créée par les Rockfeller et ses amis banquiers, JP Morgan en tête, durant les négociations de paix de Versailles en 1919 afin de coordonner la politique étrangère globale anglo-américaine. De façon significative, le créateur et bailleur de fonds de l’ECFR est le milliardaire américain financier des révolutions dites « colorées », George Soros. Dans virtuellement toutes les révolutions de couleur soutenues par le Département d’État américain, depuis l’effondrement de l’Union Soviétique, incluant la Serbie en 2000, en Ukraine, en Géorgie, en Chine, au Brésil et en Russie, George Soros et les ramifications de ses Fondations pour une Société Ouverte étaient toujours présentes, agissant dans l’ombre, finançant les O.N.G. et autres activistes pour la « démocratie » afin d’installer des régimes pro-Washington et pro-OTAN[10].
Les membres sélectionnés [de l’ECFR], appelés Membres [Members] (ou associés [associates]) du Conseil basé à Londres, incluent le Co-président Joschka Fischer, l’ancien ministre des affaires étrangères du parti écologiste allemand, qui tordit l’idéologie de son propre parti afin de soutenir les bombardements illégaux de Bill Clinton en 1999 contre la Serbie, sans l’appui du Conseil de Sécurité de l’ONU[11].
Les autres membres de l’influent Conseil pour les Relations Etrangères de Soros incluent l’ancien Secrétaire Général de l’OTAN, Xavier Solana. Il inclut également le plagiaire disgracié et ancien Ministre de la Défense allemand, Karl-Theodor zu Guttenberg ; Annette Heuser, directrice exécutive de la fondation Bertelsmann[12] à Washington D.C. ; Wolfgang Ischinger, Président de la Conférence sur la Sécurité de Munich[13] ; Cem Özdemir, Président du regroupement politique allemand Alliance90/Les Verts[14]; Alexander Graf Lambsdorff, du parti Libéral-Démocrate allemand (Freie Demokratische Partei, FDP), Eurodéputé ; Michael Stürmer, correspondant en chef du journal Die Welt ; Andre Wilkens directeur de la fondation Mercator [Mercator Foundation] ; ainsi que le défenseur de la pédérastie au Parlement européen Daniel Cohn-Bendit. Cohn-Bendit, connu en tant que « Danny le Rouge » durant les émeutes étudiantines française de « Mai 68″, était un membre du groupe autonomiste « combat révolutionnaire » [RevolutionärerKampf ] à Rüsselsheim, Allemagne, aux côtés de son allié proche à présent Président de l’ECFR, Joschka Fischer. Ces deux-là fondirent ensemble l’aile « realo« [15] des Verts allemands[16].
Trump vs Soros : qui remportera la bataille ?
Dans le coin bleu, George Soros. Investisseur et milliardaire, qui a investi des millions de dollars dans la campagne d’Hillary Clinton. Dans le coin rouge, Donald Trump. Président des Etats-Unis. Et ils se détestent à un point… Qui va le remporter ?
George Soros a dépensé des millions pour sponsoriser Hillary Clinton. Il a également perdu pas moins d’un milliard de dollars, en pariant contre la victoire de Donald Trump à cette élection.
Il n’est donc pas surprenant qu’il soit en colère et veuille le montrer…
Les émeutes que nous avons vues un peu partout aux Etats-Unis après la victoire de Donald Trump ont été favorisées par des ONG de George Soros... qui allaient même jusqu'à s'en vanter.
Il paraît que Soros n’aime pas perdre, et il a une grande expérience dans l’organisation d’émeutes et de révolutions dans différents pays…
RT tente de fournir les clés du match.
Nos remerciements à Monsieur Scheller
Soros aurait financé plus de 50 organisations partenaires de la marche anti-Trump du 21 janvier
Selon le New York Times, cité par RT, le milliardaire George Soros a financé plus de 50 organisations partenaires de la marche anti-Trump (Women’s March) du 21 janvier 2017.
(traduction @fandetv) Via Fdesouche.com
https://www.youtube.com/watch?v=KKO5ehveO2c
« Les manifestions massives anti-Trump ont apparemment un très gros sponsor, comme révélé par un article du New York Times. Plus de 50 partenaires de la marche anti-Trump sont directement liés au milliardaire George Soros. Par exemple, le groupe « Gathering for Justice » (« Rassemblement pour la Justice ») a reçu de nombreuses aides financières émanant directement de la société de Soros. Les e-mails de Podesta (ancien Directeur de Campagne d’Hillary Clinton) rendus publiques par Wikileaks ont révélé une autre organisation, MoveOn, qui est aussi sponsorisée par George Soros.
MoveOn avait déjà soutenu de grosses manifestations anti-Trump durant l’élection américaine. Plus de précisions avec Murad Gazdiev. En bleu : George Soros, milliardaire, investisseur, mondialiste, il a dépensé des millions dans la campagne d’Hillary Clinton. En rouge : Donald Trump, milliardaire, investisseur, président des Etats-Unis, il est à l’origine de la vague de protestations anti-establishment de 2016. Et dieu qu’ils se détestent. George Soros : « J’ai décrit Trump comme un imposteur, un escroc, et dictateur en puissance. ». George Soros a dépensé des millions pour sponsoriser Hillary Clinton.
Il a aussi perdu pas moins d’1 milliard de dollars en misant contre la victoire de Trump aux élections. Ce n’est donc pas surprenant qu’il ait énormément de colère à évacuer. Les émeutes qu’on a vues à travers les Etats-Unis quand Trump a gagné ont été facilitées par les ONG de Soros. Elles s’en sont même vantées. Il ne supporte pas les défaites, n’est-ce pas ? Il ne les a jamais supportées. Il a sacré historique d’organisations de manifestations et révolutions : Renversement de Slobodan Milosevic, Révolution des Roses, Révolution Orange, Révolution des Tulipes. »
Malaise sur BFMTV : André Bercoff confirme « Les manifestants anti-Trump sont payés par Soros. Ils sont payés 200 $ de l’heure »
Nouveau malaise sur le média de désinformation BFMTV : Le journaliste André Bercoff confirme les propos d’Evelyne Joslain qui affirmait quelques heures plus tôt sur BFM TV que les manifestants anti-Trump étaient financés par George Soros.
André Bercoff et Evelyne Joslain: « Les manifestants anti-Trump sont payés par Soros. »
On rappelle que l'ex-Conseillère fédérale socialiste Calmy-Rey travaille désormais pour ce marionnettiste qui utilise massivement son argent pour détruire nos démocraties.
C'est le véritable visage de l'idéologie de gauche qui ne s'offusque jamais d'utiliser la violence pour imposer son dictat et arriver à ses fins.
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Le journaliste André Bercoff confirme les propos d’Evelyne Joslain qui affirmait quelques heures plus tôt sur BFM TV que les manifestants anti-Trump étaient financés par George Soros.
André Bercoff : "Les Manifestations anti-Trump sont financées par Soros
Propos d’Evelyne Joslain (spécialiste des Etats-Unis) : « Les manifestants anti-Trump sont payés par Soros. Ca devient un job lucratif d’être manifestant anti-Trump. »
Via Fdesouche.com
« Les Manifestants anti-Trump sont payés par Soros. » (Evelyne Joslain, Spécialiste des Etats-Unis)
Evelyne Joslain, spécialiste des Etats-Unis : « Les Manifestants anti-Trump sont payés par Soros. Ca devient un job lucratif d’être manifestant anti-Trump. »
Via Fdesouche.com
https://youtu.be/vVYJ3EzQK3w
A lire à ce sujet:
Soros en partenariat avec Mastercard “pour aider les migrants”
L'investisseur milliardaire George Soros sera en partenariat avec MasterCard Inc dans un projet visant à aider les migrants, les réfugiés et les personnes en difficulté afin d'améliorer leur statut économique et social.
Le partenariat qui se nomme Humanity Ventures découle d'une promesse de George Soros en septembre dernier qui vise à consacrer jusqu'à 500 millions de dollars pour relever les défis auxquels sont confrontés les migrants et les réfugiés.
Dans une déclaration commune jeudi, Mastercard et Soros ont déclaré que, malgré des milliards de dollars d'aide humanitaire et de développement, des millions de personnes restent marginalisés. Une situation que le secteur privé peut aider à corriger.
«Les migrants sont souvent contraints à une vie de désespoir dans leurs communautés d'accueil, car ils ne peuvent pas avoir accès aux services financiers, aux soins et aux services gouvernementaux», a déclaré Soros.
(...)
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Trump déclare que Soros est “une menace pour la sécurité nationale”
Donald Trump a l'intention de traiter le milliardaire George Soros comme une «menace pour la sécurité nationale" aux Etats-Unis lorsqu'il prendra ses fonctions ce mois-ci.
Selon le Kremlin, le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a demandé à l'équipe de transition de Donald Trump de fournir "tous les dossiers relatifs" à Soros - citant l'autorité légale de l'Ordre Exécutif du 6 mars 2014 signé par le président Obama, intitulé "Le blocage de la propriété de certaines personnes ayant contribué à la situation en Ukraine" :
«Moi, BARACK OBAMA, Président des États-Unis d'Amérique, considère que les actions et les politiques des personnes qui minent les processus et les institutions démocratiques en Ukraine; menacent sa paix, sa sécurité, sa stabilité, sa souveraineté et son intégrité territoriale; et contribuent à l'appropriation illicite de ses actifs, constituent une menace inhabituelle et extraordinaire pour la sécurité nationale et la politique étrangère des États-Unis, et je déclare l'état d'urgence nationale pour faire face à cette menace. "
Le site Whatdoesitmean.com relève:
Dans les documents joints à cette demande de soutien diplomatique, ce rapport poursuit: L'équipe de transition Trump affirme que 25 jours après la signature de ce décret par le président Obama, le 31 mars 2014, les câbles diplomatiques américains montrent que Soros a effectivement travaillé à "saper le processus et les institutions en Ukraine » (...).
Le rapport explique que le plan de fédéralisation (similaire aux États-Unis) pour l'Ukraine, soutenu par le président Poutine, la chancelière Merkel et le président Obama, aurait créé une transition pacifique du pouvoir dans ce pays. Mais l'intervention illégale de Soros a, au contraire, conduit à des conflits de masse et à l'effusion de sang qui a coûté la vie d'environ 9'600 hommes, femmes et enfants.
(...)
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Nos remerciements à Victoria Valentini
Soros organise la guerre contre Trump
Michel Garroté - George Soros et d'autres riches gauchistes qui ont dépensé des dizaines de millions de dollars pour tenter de faire élire Hillary Clinton se rassemblent à Washington pour une réunion de trois jours à huis clos en vue de mobiliser les riches gauchistes dans la lutte contre Donald Trump (extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page).
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La conférence, qui a débuté dimanche soir au luxueux hôtel Mandarin Oriental de Washington, est parrainée par l'influent club des donateurs de la Democracy Alliance, avec la participation des dirigeants de la plupart des syndicats et groupes libéraux, ainsi que des chouchous de la gauche tels que la leader du Parti démocrate à la Chambre, Nancy Pelosi, la Sénatrice Elizabeth Warren et le co-président du caucus des progressistes du Congrès, Keith Ellison.
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Cette conférence est le premier grand rassemblement de la gauche institutionnelle depuis la victoire de Trump et, vu son ordre du jour, les gauchistes planifient une guerre de tranchée totale contre Trump dès le premier jour. En clair, ses sessions visent à contrecarrer le programme des '100 premiers jours' du Président élu Trump (fin des extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page).
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Georges Soros se considérant lui-même comme un « chef d’État sans État », son intérêt pour les médias comme outil métapolitique n’est pas nouveau, il remonte même à sa prime jeunesse (extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page). Selon l’un de ses biographes, le journaliste du New York Times Michael T. Kaufman, auteur de « Soros: The Life and Times of a Messianic Billionaire », Georges Soros a toujours été fasciné par le journalisme et les médias. Jeune homme, ses centres d’intérêts principaux étaient principalement « l’histoire, le journalisme et certaines formes d’écriture ». Encore étudiant, il a ainsi été le rédacteur en chef, l’éditeur et le vendeur de son propre journal le « Lupa News » dans sa Hongrie natale.
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Jamais il ne se départira de cet intérêt pour le journalisme et sa capacité d’influence sur les sociétés. Dans les années 80, il appuiera ainsi les libéraux d’Europe de l’Est en faisant parvenir des photocopieuses aux cercles d’étudiants dissidents grâce à son « Open Society Foundations » (à l’époque « Open Society Institute »). Matériel leur permettant la publication de journaux clandestins et de samizdats grâce auxquels ils purent influer sur l’opinion publique des régimes communistes finissants.
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Il financera ainsi des fondations et des associations dans toute l’Europe centrale dans le but de former des étudiants et de leur permettre de faire de l’agitation idéologique dans les universités comme dans la société civile afin de diffuser une autre information que celle de l’État et du parti communiste. En leur distribuant des bourses pour leur formation il s’assurera une influence majeure auprès des élites libérales une fois ces étudiants en poste après la chute du communisme.
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À l’heure du numérique et de l’information en temps réel, sa méthodologie est restée la même mais adaptée aux outils de communication contemporains. Cela à une échelle bien plus vaste qu’au temps des régimes communistes. Régimes qui étaient devenus après 1945 des régimes nationaux-communistes et donc des adversaires de l’idéal politique de George Soros : une société planétaire intégrée, régie par la finance et par une société civile mondiale sans États.
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Pour appréhender l’influence que Georges Soros exerce sur le paysage médiatique américain, il faut sonder autant le champ des médias de masse que celui d’internet et des médias réticulaires qui foisonnent sur la toile mondiale. L’un des objectifs de la stratégie média de l’Open Society étant justement la formation et le soutien d’une myriade de journalistes présentés comme indépendants et aptes à créer un réseau d’influence médiatique informel partout où cela est nécessaire politiquement. À un niveau local certains journalistes de ces groupes étant même inconscients de leur rôle réel en tant que maillon d’une vaste chaîne transnational de relais d’influence.
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Non content d’avoir appuyé le parti démocrate puis la candidate Hillary Clinton pour au moins 25 millions de dollars au cours des dernières années, George Soros a surtout injecté plus de 100 millions de dollars entre 2000 et 2014 dans des groupes médiatiques proches du parti démocrate, de son agenda et de ses objectifs politiques. Ces sommes sont à mettre en perspective avec la fortune personnelle de Soros estimée à 24 milliards de dollars selon le classement Forbes.
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Le seul budget officiel de l’Open Society Foundation pour l’année 2016 est de plus de 930 millions de dollars. Ses dépenses totales depuis sa création sont estimées à plus de 13 milliards de dollars pour ses 33 années d’activité. George Soros a aussi directement aidé des centaines de médias, d’associations, d’écoles de journalisme aux États-Unis et à l’étranger avec des dons allant de 5000 $ à 32 millions de dollars. Comme nous le verrons plus bas, certains de ces groupes comme « New America Media » ou le « Media Development Investment Fund » sont ainsi eux-mêmes constitués de centaines d’autres médias plus petits qui n’existeraient pas sans Soros.
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Sur ces 103 millions investis dans les médias libéraux-libertaires, 61 millions financent neuf groupes médiatiques qui ont soutenu directement la candidate Hillary Clinton. Voyons de plus près certains médias du camp démocrate que finance George Soros (fin des extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.politico.com/story/2016/11/democrats-soros-trump-231313
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http://www.breizh-info.com/2016/11/20/53217/dossier-linfluence-de-georges-soros-medias-americains
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US : L’oligarchie et les médias poussent l’extrême-gauche et les immigrés à renverser Donald Trump
Christian Hofer: Nous parlions déjà de cette haine et de ces violences téléguidées ici.
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L’oligarchie américaine mobilise d’ores et déjà activement divers éléments anarcho-communistes et autres allogènes pour semer des troubles dans diverses villes des USA.
It's a warzone. Cops throwing flash grenades. #trumpprotest #TrumpRiot pic.twitter.com/UZSKvUEZpt
— Mike Bivins (@itsmikebivins) 11 novembre 2016
When communists attack, don't stop, drive through to safety. #TrumpRiotpic.twitter.com/hmm8mNERPw
— WhiteLivesMatter․com (@WLMcom) 11 novembre 2016
Car windows getting smashed left and right. #Trumpriot pic.twitter.com/0JyM69bXUb
— Mike Bivins (@itsmikebivins) 11 novembre 2016
Cette agitation n’est pas spontanée, elle est notamment alimentée par la structure proche du Parti Démocrate « Move On », financée par le milliardaire George Soros (source).
Dans le même temps, le supporter de Hillary Clinton, le réalisateur d’extrême-gauche Michael Moore, a publié une série de consignes dont certaines appellent explicitement à la rébellion contre la constitution américaine :
On relève ainsi le point n°2 dans lequel l’intéressé appelle à « sortir Donald Trump » de la présidence ou encore le point n°3 qui appelle à refuser la nomination des juges à la Cour Suprême désignés par le nouveau président :
Nous devons nous dédier à un combat vigoureux – y compris par la désobéissance civique, si nécessaire – qui bloquera tous les candidats de Donald Trump pour la Cour Suprême qui ne reçoivent notre accord. Nous demandons aux démocrates du Sénat d’attaquer agressivement n’importe quel candidat qui s’oppose aux droits des femmes, des migrants et des pauvres. Ce n’est pas négociable.
La Cour Suprême s’assure de superviser la conformité des lois adoptées avec la constitution des USA. Chacun des neuf juges est désigné à vie par le président des USA, d’où son influence sur la philosophie générale du droit appliqué aux Etats-Unis. L’extrême-gauche, en cas de victoire de Clinton, pensait pouvoir nommer des juges radicaux déterminés à en finir avec la liberté d’expression ou du port d’armes.
En s’opposant ouvertement au droit constitutionnel du président des USA de nommer des juges à la Cour Suprême, le Parti Démocrate et l’extrême-gauche, appuyées par l’oligarchie financière, s’attaquent à la structure même du gouvernement américain telle que définie par la Constitution.
Le nouveau président Trump a réagi sur son compte Twitter :
Nous avons eu une élection présidentielle très ouverte et réussie. Maintenant les manifestants professionnels, agités par les médias, protestent. Très injuste !
Just had a very open and successful presidential election. Now professional protesters, incited by the media, are protesting. Very unfair!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 11 novembre 2016
Nous sommes en route pour une Seconde Révolution américaine qui va rapidement s’exporter en Europe.
Soros offre 500 millions de dollars aux réfugiés
"J'ai décidé d'affecter 500 millions de dollars d'investissements aux besoins spécifiques des migrants, des réfugiés et des communautés d'accueil", écrit le financier dans le quotidien économique américain.
"Je vais investir dans des start-up, des sociétés établies, des initiatives sociales et des activités fondées par les migrants et les réfugiés eux-mêmes", détaille l'homme d'affaires philanthrope.
Soros a-t-il infiltré les sommets de l’Eglise ?
Michel Garroté - Le site Internet 'Les Observateurs' a récemment repris, dans ses 'brèves', un article paru sur Euro-Liberté, article traitant de l'influence, au sein de l'Eglise catholique, du financier George Soros. Le sujet est brûlant. Soros veut intervenir un peu partout, pour l'Ukraine et contre la Russie, pour les gauchistes israéliens et contre l'Etat d'Israël dans des frontières réellement défendables, etc. Ci-dessous, je reproduits les extraits adaptés d'une analyse sulfureuse de Riccardo Cascioli, publiée dans 'La Nuova Boussola Quotidiana', analyse plus détaillée qui pose, elle aussi, la question : Soros a-t-il infiltré les sommets de l'Eglise ?
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Dans 'La Nuova Boussola Quotidiana', Riccardo Cascioli écrit notamment (extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page) : Le financier George Soros a versé de substantielles contributions à des organisations catholiques pour «déplacer les priorités de l'Eglise catholique américaine» des thèmes de la vie et de la famillle à ceux de la justice sociale: une occasion spéciale, la visite du pape François aux États-Unis en Septembre 2015. C'est ce qui est ressorti ces jours derniers, en complément de révélations antérieures, de nombreux documents confidentiels piratés de son Open Society Foundation. La nouvelle a circulé principalement aux États-Unis, coeur de cible de l'action de Soros, mais elle mérite d'être reprise et connue partout parce que ses implications concernent l'Eglise universelle.
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Riccardo Cascioli : Commençons par les faits contenus dans les documents publiés par DC Leaks : en Avril 2015, l'Open Society a versé 650 mille dollars dans les caisses des deux organisations liées aux milieux catholiques progressistes, PICO et Faith in Public Life, dans le but d'« influencer les évêques individuels, pour avoir des voix publiques à l'appui des messages de justice économique et raciale, afin de commencer à créer une masse critique d'évêques alignés avec le Pape ». Les deux organisations destinataires des paiements ont été choisies, expliquent les documents, parce qu'elles sont engagées dans des projets à long terme qui visent à modifier « les priorités de l'Église catholique des États-Unis ».
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Riccardo Cascioli : La grande occasion est fournie par la visite du pape aux États-Unis et la fondation Soros vise explicitement à utiliser les bonnes relations de PICO avec le cardinal hondurien Oscar Rodriguez Maradiaga, l'un des principaux conseillers de François, pour « engager » le Pontife sur les questions la justice sociale, et également envoyer une délégation au Vatican avant la visite de septembre afin de faire entendre directement au Pape la voix des catholiques les plus pauvres en Amérique. Il y a ensuite un Rapport de 2016, le bilan de l'année précédente, où la fondation de Soros se déclare satisfaite de la façon dont a fonctionné la campagne précédente en vue de la visite du pape et aussi du nombre d'évêques qui, en vue des présidentielles ont ouvertement critiqué les candidats qui pointent sur "les peurs" de la population, faisant clairement référence à Donald Trump et à d'autres candidats républicains.
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Riccardo Cascioli : Si cette satisfaction est justifiée ou non et dans quelle mesure la visite du Pape a effectivement été influencée par ce lobbying, c'est certainement un sujet de débat. Mais tout le monde peut tirer ses propres conclusions en reparcourant les discours, les rencontres, les conférences de presse (du Pape ?) et les polémiques liées à cette visite. Ce que je tiens à souligner ici, ce sont deux réalités que ces documents mettent en lumière et qui ont une valeur qui va bien au-delà de l'évènement contigent d'une visite papale. La première, et la plus importante est le grand investissement que des organisations philanthropiques traditionnellement anti-catholiques font pour subvertir l'enseignement de l'Eglise. Ceci est le but réel du changement de priorité invoqué, des thèmes de la famille et de la vie à ceux de la justice sociale.
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Riccardo Cascioli : En cela, Soros suit les traces d'une tradition de plus de dix ans. Le motif ? L'Eglise catholique, dans les organisations internationales a pour objectif fondamental de défendre de la dignité de l homme, c'est le dernier rempart qui s'oppose à l'instauration d'un nouvel ordre mondial qui veut réduire l'homme au rôle d'instrument entre les mains du pouvoir. Un élément fondamental de ce projet est la diffusion universelle du contrôle des naissances, de l'avortement comme un droit humain, de la destruction de la famille et de la promotion de l'idéologie du genre. Dans les années 90 du siècle dernier, dans un cycle de conférences internationales des Nations Unies (du sommet de Rio de Janeiro sur l'environnement en 1992 au sommet de Rome sur l'alimentation en 1996), une bataille diplomatique sans précédent s'est déclenchée entre les Etats-Unis et l'Union européenne d'un côté et le Saint-Siège de l'autre, précisément sur ces questions.
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Riccardo Cascioli : Bien qu'aujourd'hui, nous puissions voir à quel point cet agenda a fait un pas de géant au niveau mondial, la résistance inlassable de l'Eglise, qui avait entraîné dans son sillage beaucoup de pays en voie de développement, entrave le projet. Une grande partie est due à Jean-Paul II, pour lequel il a toujours été clair que la famille et la vie sont aujourd'hui le principal terrain sur lequel se joue la bataille pour la dignité humaine. Il vaut la peine de rappeler, en passant que pour cette raison , et pour cette bataille, le pape a institué le Conseil pontifical pour la famille ainsi que l'Institut d'études sur le mariage et la famille à l'Université pontificale du Latran. On peut alors comprendre à quel point les efforts internationaux visant à affaiblir l'Eglise sur ce front se sont intensifiés. Nier l'existence de principes non négociables, et faire la promotion de la justice sociale presque exclusivement au détriment des thèmes de la famille et de la vie est la voie royale pour atteindre cet objectif.
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Riccardo Cascioli : Et l'argent de Soros fait partie de ces efforts, qui vont toutefois bien au-delà des activités de sa Fondation. Du reste - et ceci est la deuxième question - ces personnages et ces organisations trouvent un abri facile au sein de l'Eglise elle-même, dans certains milieux progressistes qui partagent déjà cette approche. Rien que les deux organismes financés par Soros en 2015 en sont une démonstration. PICO, par exemple, a été fondée en 1972 par le père jésuite John Baumann et se propose de résoudre les problèmes sociaux par l'organisation de cellules basées sur les communautés des différentes religions présentes, - pour nous comprendre, un modèle évolué des communautés de base de latino-américaine mémoire. C'est précisément pour cela que PICO a gagné le soutien du cardinal Maradiaga (il y a une vidéo promotionnelle de l'année 2013 dans laquelle le cardinal exhorte à soutenir PICO).
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Riccardo Cascioli : Mais cette organisation est aussi inspirée par le « gourou » communiste Saul Alinski, connu comme le « prophète » de l'organisation des communautés de base et des minorités ethniques. Du reste, dans la liste des donateurs de PICO figurent les Fondations Ford et Kellogg en plus d'une douzaine d'autres fondations. Curieusement, on retrouve aussi Alinski à l'origine de la carrière politique d'Hillary Clinton et l'engagement de PICO, entre autre, dans la campagne électorale pour la présidence, ne peut donc pas surprendre. Engagement encore plus explicite pour l'autre organisation financée par Soros, "Faith in Public Life", qui parmi ses réalisations de 2015 - en plus de la « préparation » de la visite du pape,incluant un sondage ad hoc sur les catholiques américains tendant à soutenir l'agenda progressiste - cite également la mobilisation pour bloquer la loi sur la liberté religieuse en Géorgie, visant entre autre à garantir l'objection de conscience contre l'imposition de l'idéologie du genre et le mariage homosexuel.
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Riccardo Cascioli : Quant au cardinal Maradiaga et autres membres de l'épiscopat, sont-ils conscients ou font-ils partie de ce plan résolument anti-catholique ? (la question, qui peut aussi et surtout se poser pour le Pape en personne, me semble à ce stade purement rhétorique). Nous ne le savons pas et nous n'osons pas leur faire un procès d'intentions. Nous ne pouvons que constater combien certains représentantx ecclésiaux de premier plan sont perçus comme étant dans la ligne des projets de ceux qui veulent détruire l'Eglise - indépendamment du succès ou non de certaines tentatives d'approche. Mais ici, il est nécessaire d'ajouter un fait inquiétant aux documents révélés. On peut en effet facilement comprendre que de ce projet de changement dans la doctrine de l'Eglise fait également partie un travail d'infiltration de personnalités spécifiques dans les centres de décision de l'Eglise.
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Riccardo Cascioli : Et on ne peut pas ne pas penser immédiatement au cas de Jeffrey Sachs, économiste de l'ONU et directeur de l'Earth Institute, qui a joué un rôle important dans l'encyclique "Laudato si", au point d'être appelé au Vatican à la fois pour la présentations de l'encyclique sur l'environnement et pour les deux conventions internationales sur le développement durable. Son inexplicable omniprésence a été contestée au cours des derniers mois - en plus que par notre journal - par les principales organisations internationales pro-vie et pro-famille, parce que Sachs est bien connu comme grand soutien des politiques de contrôle des naissances. Mais il a été défendu avec acharnement par le président de l'Académie pontificale des sciences sociales, l'évêque argentin Marcelo Sanchez Sorondo, qui en a même parrainé la nomination par François à l'Académie pontificale présidée par lui.
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Riccardo Cascioli : Eh bien, ce qui peut-être n'a pas été dit, c'est que Sachs est également connu pour être un homme de Soros, depuis plusieurs décennies engagé dans la conception et la diffusion de théories économiques à l' appui de l'Open Society poursuivie par Soros. À la lumière des documents qui attestent les stratégies Soros contre l'Eglise catholique, la présence de Sachs dans les étages supérieurs du Vatican (c'est une image de la configuration du Palais Apostolique) est moins inexplicable, mais encore plus inquiétante. À ce stade, il serait opportun que l'évêque Sorondo, le cardinal Maradiaga et d'autres qui sont impliqués dans ce réseau, s'en expliquent, conclut Riccardo Cascioli dans 'La Nuova Boussola Quotidiana' (fin des extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.lanuovabq.it/it/articoli-se-la-chiesacade-nelle-mani-di-soros-17242.htm
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http://benoit-et-moi.fr/2016/actualite/soros-a-t-il-infiltre-les-sommets-de-leglise.html
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http://eurolibertes.com/lobbies/pape-francois-george-soros-lautre-axe-mal/
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Les ONG immigrationnistes sponsorisées par Soros
Entretien avec Maître Bernard Carayon – Propos recueillis par Clémence Houdiakova
Ces ONG, financées par un milliardaire américain, qui chuchotent à l’oreille de l’Union européenne pour encourager les migrants à s’y installer…
Bernard Carayon est avocat et maître de conférences à l’Institut d’études politiques de Paris, député UMP du Tarn de 1993 à 1997 et de 2002 à 2012, et maire de Lavaur (Tarn).
« Le think tank américain European Stability Initiative est en réalité l’inspirateur du plan Merkel d’octobre 2015. Ce plan préconise que l’Allemagne accueille davantage de migrants et les exempte de visas pour circuler librement ».
Ces ONG financées par George Soros
De nombreuses ONG de par le monde se croient autorisées à interférer dans les affaires intérieures de nombreux pays et régions : Russie, Ukraine, Israël, Union Européenne, etc. La plupart de ces ONG sont gauchistes, écologistes, climatistes et immigrationnistes. Elles permettent à des gens généralement incopétents et médiocres d'avoir un job rémunéré. Qui finance ces ONG ? Des milliardaires narcissiques, arrogants et gauchistes ou des entités telle que l'Union Européenne avec l'argent du contribuable.
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A ce propos, Bernard Carayon, maître de conférences à l'Institut d'études politiques de Paris, déclare notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Ce qu’il faut rappeler avant tout, c’est que l’Europe connaît un bouleversement humain, politique et social sans équivalent depuis 1945, avec l’arrivée de ce que l’on appelle les "migrants" dans notre novlangue collective : des étrangers en situation irrégulière et des réfugiés qu’on ne peut distinguer les uns des autres.
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Une centaine d’ONG soutiennent l’installation de ces migrants en Europe. Un tiers d’entre elles sont subventionnées par l’Union européenne et par l’Open Society de George Soros. Le milliardaire spéculateur américain s’est fait connaître dans le passé pour avoir fait sauter la Banque d’Angleterre en 1992 et récupéré, au passage, plus d’un milliard de dollars, fait exploser les monnaies thaïlandaise et malaisienne en 1997, et spéculé contre le franc en 1993.
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Sa fortune est immense : 25 milliards de dollars. Les revenus de ses capitaux ont été ou sont utilisés pour financer les "révolutions colorées" et des ONG, notamment pro-migrants : un milliard de dollars par an. L’Open Society de George Soros et le think tank américain Migration Policy Institute, domicilié à Washingthon D.C, ont par ailleurs publié en commun un rapport nommé "Accueillir l’engagement. Comment le sponsoring privé peut renforcer l’installation des réfugiés dans l’Union européenne ?".
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Ce rapport se félicite que la Commission européenne ait encouragé l’appel aux sponsors privés et aux ONG pour réinstaller, hors-quotas, des migrants au sein des Etats-membres, conclut Bernard Carayon (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté, 16 mai 2016
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http://www.atlantico.fr/decryptage/ces-ong-financees-milliardaire-americain-qui-chuchotent-oreille-union-europeenne-pour-encourager-migrants-installer-bernard-2694796.html?yahoo=1
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