Députée socialiste, elle aide les migrants à entrer en Suisse

Aider les gens dans le besoin, c’est ce que fait depuis plus de vingt ans Lisa Bosia Mirral’assistante sociale de 44 ans. D’abord comme éducatrice pour personnes handicapées. Ensuite dans l’accueil des requérants d’asile, au sein de la section tessinoise de l’OSEO (Œuvre suisse d’entraide ouvrière).Elle est allée jusqu’à fonder l’Association Firdaus (paradis, en arabe), une ONG d’aide aux migrants.

Elle a grandi dans une famille qui considérait l’accueil comme une valeur phare: «Quand j’étais petite, on a accueilli à la maison une famille marocaine expulsée. Ensuite, j’ai épousé un ancien requérant d’asile, ajoute-t-elle.

La section cantonale de l’UDC l’accuse de ne pas respecter la loi et le travail des gardes-frontière. «Au-dessus de toute loi, il y a les droits humains», rétorque la militante.

Source

Suisse: Près de 200 requérants déchus de leur statut après un voyage dans leur pays

La majorité des réfugiés concernés viennent d'Irak (63), mais également du Vietnam (21), de Bosnie-Herzégovine (20), de Turquie (17), de Tunisie (14) et d'Erythrée (7). Leur nombre est plus élevé que par le passé car les abus sont désormais davantage pénalisés qu'auparavant.

 

Source et suite de l'article

Réfugiés : la paroisse réformée de Malleray endort le peuple

Donner l’occasion aux requérants d’asile et aux habitants de se rencontrer : c’est le but de l’après-midi sportif et culturel qui aura lieu le 19 juin à Malleray. Initiée par le Réseau Migration de Valbirse avec le soutien des églises chrétiennes de la commune, la manifestation fait suite au petit magasin gratuit organisé en mars à Reconvilier. Les organisateurs espèrent voir des liens se tisser entre les réfugiés et les habitants pour que d'autres activités soient organisées spontanément par la suite.

Dissiper la peur de l'autre

D'une part, il y a la timidité des requérants, et d'autre part la peur manifestée par certains habitants à l'arrivée d'étrangers. "Une peur qui n'a pas lieu d'être" selon Claudine Bassin, membre du conseil de la paroisse réformée de Malleray, qui relate la méfiance exprimée par certains lorsqu'une voiture de police passe près du centre d'accueil. Un sentiment qui contraste avec l'intérêt et l'engagement de citoyens : des démonstrations et activités seront proposées par des sociétés locales le 19 juin. Malgré le Ramadan, plusieurs requérants prépareront des spécialités culinaires. /sca

Dimanche des réfugiés

L'après-midi de rencontre aura lieu le 19 juin 2016 dès midi sur le terrain du Centre sportif de Champ-Martin à Malleray.

 

Source

Asile : De l’avocat au dentiste, on s’occupe de tout !

Voici l'exposé donné par Céline Amaudruz, conseillère nationale, à l'occasion de la conférence de presse qui s'est tenue cet après-midi. La campagne pour la votation du 5 juin sur la révision du droit d'asile a démarré. De très nombreux membres et sympathisants de l'UDC-Genève nous ont contacté ces derniers jours pour nous faire part de leurs craintes face à la politique d'immigration menée par nos autorités. Nous avons l'occasion de leur donner une réponse claire lors du prochain scrutin.
D'ici là, nous comptons sur l'engagement de tous!

La révision qui nous est soumise est censée accélérer les procédures tout en les rendant plus équitables. On ne pourrait qu'applaudir si tel était bien le cas mais hélas, en deuxième lecture on doit constater l'existence de nombreux vices cachés qui ruinent l'idée de base.

Tout d'abord, la mise à disposition d'un avocat gratuit en faveur de chaque requérant. Cette innovation ne manquera pas de constituer un magnifique appel d'air pour la migration vagabonde qui trouvera chez nous une facilité qu'elle n'a pas ailleurs. Cette innovation est pour le moins inopportune à l'heure où la Suisse devient le seul point de passage entre les pays de provenance et l'Europe du nord fort prisée. Les frontières s'étant relevées un peu partout malgré Schengen, notre pays risque fort de demeurer le seul à garder la porte ouverte, entrée d'autant plus intéressante que l'intérieur offre nombre de commodités. L'expression ne pouvant être traduite en français, je vais vous la donner en allemand. Chez nous, les requérants sont pris en charge de A à Z, soit de Anwalt bis Zahnarzt, de l'avocat au dentiste. C'est bien sûr loin d'être le cas ailleurs, à commencer chez nos voisins italiens. Dans la Botte, seuls les requérants résidant dans un centre ont droit à l'aide sociale prévue, ceci pour une durée limitée seulement. Ensuite, pour eux comme pour ceux qui n'ont pas trouvé de place d'hébergement faute de capacité d'accueil, c'est débrouille-toi ! Dans ces conditions, il est clair que la Suisse ne peut que faire figure d'eldorado, qui plus est très accessible.

Il est prévu de conclure un contrat avec le fournisseur de prestations pour la totalité des conseils et de la représentation juridiques (dans le centre pilote de Zurich, ce rôle est assumé par l'Aide suisse aux réfugiés dont les intérêts financiers dans cette affaire sont évidents). Les coûts ne manqueront pas d'exploser même si les mandataires se contentent maintenant des honoraires prévus pour l'assistance judiciaire, à Zurich pour CHF 1’361.--. Il est bien sûr délicat de chiffrer les coûts supplémentaires. Serge Gaillard, Directeur de l’administration fédérale des finances estime que les frais courants doublent à 2,4 milliards de francs pour l'année 2018. Il est intéressant de noter que dans le communiqué pour le premier supplément de budget pour le domaine de l’asile (+ 353,4 millions), le gouvernement estimait que le nombre de cas réglés serait plus élevé que celui des nouvelles demandes. Résultat, 39'500 demandes au lieu de 26'000 (50% de plus) et 28'100 cas réglés au lieu de 30'000. Le surcoût pour l'aide sociale s'élève à 266,8 mio tandis que 82,8 mio seront consacrés au logement, ceci avant même l'entrée en vigueur des nouvelles dispositions.

Un réel problème se pose au niveau de l'asile s'agissant de l'emploi. Au cours des cinq à sept premières années, le taux d'aide sociale des réfugiés entre 18 et 65 ans oscille autour de 80% avec une pointe nettement plus élevée au niveau des Erythréens, parfois près de 95%. Après cinq ou sept ans ces personnes sont aux services sociaux à la charge des cantons et des communes. Si une personne tombe au chômage dès l'âge de 27 ans et jusqu'à 65 ans, donc bénéficiera de l'aide sociale de 30 000 francs par an (sans les traitements spéciaux, le regroupement familial, fondation d'une famille, etc.) elle coûtera 1,1 mio jusque à la retraite. Il faut garder ce montant à l'esprit lorsqu'on apprend que 6'333 demandes d'asile ont été déposées en janvier et février 2016 contre 2'989 pour la même période en 2015, soit 111% d'augmentation, plus du simple au double. A quoi s’ajoute encore le taux de protection élevé - jusqu’à 60% - sous l‘ère de la conseillère fédérale Sommaruga (6 à 10 requérants d’asile restent à long terme en Suisse). Si l'on accélère encore ces procédures sans mettre la priorité sur l'exécution des renvois, cela signifie que les personnes obtiennent encore plus vite le droit de rester et atterrissent plus rapidement dans les communes. Ces coûts exponentiels ont un impact particulièrement négatif sur notre population, impact qui ne manquera pas d'empirer au vu des prévisions systématiquement embellies, "verschönt" comme on dit sous la Coupole. Les montants investis dans le domaine de l'asile allégeront le porte-monnaie du contribuable qui n'aura aucune contrepartie, bien au contraire. En effet, dans la mesure où l'impôt ne saurait être systématiquement appelé à combler l'incurie fédérale, il faudra très rapidement voir la dette enfler ou réduire les montants alloués à d'autres domaines. Une telle solution est pour le moins inopportune à l'heure des défis que nous devons relever dans plusieurs domaines, agriculture, transport et armée notamment. Pouvoir d'achat et prestations en recul, nous utiliserions notre main gauche pour nous couper la droite en pratiquant de la sorte.

Céline Amaudruz / UDC Genève

 

Philipp Müller: l’Etat doit payer plus pour les requérants d’asile

La Confédération doit prendre en charge "l'entier des coûts d'un requérant d'asile pendant les dix premières années", estime le président du PLR Philipp Müller. Actuellement, l'obligation de contribution ne dure que cinq ans.

Le président du PLR sur le départ base son raisonnement sur le principe du pollueur-payeur, explique-t-il dans un entretien diffusé samedi dans les journaux alémaniques "Der Bund" et "Tages-Anzeiger". L'Etat fédéral reconnaît le statut de réfugié et accorde les admissions provisoires, c'est pourquoi il doit aussi supporter tous les frais ultérieurs, au moins dix ans, ajoute-t-il.

Source

La révision de la loi sur l’asile accroît l’attractivité pour les migrants illégaux

non-loi-asile1

A quoi sert une procédure d'asile plus rapide si les refus des demandes ne sont pas immédiatement exécutés? Oui, bien sûr: on fait plus rapidement de la place pour accueillir encore plus de faux réfugiés. Les partisans de cette révision étaient incapables de réfuter ce constat lors de leur conférence de presse d'aujourd'hui. Cette révision de la loi sur l'asile qui sera soumise aux citoyennes et citoyens le 5 juin prochain rend la Suisse encore plus attractive pour des migrants attirés par de généreuses aides financières au retour et par des avocats gratuits. Mais ce n'est pas tout: elle mine l'Etat de droit en permettant l'expropriation de particuliers, d'entreprises et de communes pour installer des centres fédéraux d'accueil. Avec cette nocive révision de la loi sur l'asile, l'Etat dépensera des centaines de millions de francs pour traiter de nouvelles demandes au lieu de rapatrier systématiquement les requérants déboutés. Enfin, tout ce concept repose sur des hypothèses et des chiffres complètement dépassés. Cette révision de la loi sur l'asile donne un faux signal au mauvais moment.

Quasiment tous les pays d'Europe prennent des mesures et réduisent leur attractivité pour se protéger contre la migration illégale et les bandes brutales de passeurs. Seule la Suisse veut faciliter encore plus l'accès à son système d'asile avec cette révision de la loi sur l'asile proposée par la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga: accélérer la procédure avec des avocats gratuits pour tous les requérants afin que ceux puissent encore plus rapidement s'installer en Suisse. C'est juste l'inverse qu'il faudrait faire: stopper cette machinerie de l'asile et imposer rigoureusement le droit d'asile en vigueur. Le rôle de la Suisse n'est pas d'accueillir des migrants économiques qui cherchent à profiter des institutions sociales du pays d'accueil. Seules les personnes dont l'intégrité physique et la vie sont menacées doivent trouver de l'aide en Suisse.

Les bases de cette révision sont dépassées depuis longtemps
Cette révision de la loi sur l'asile repose sur une hypothèse de 24 000 à 29 000 requérants d'asile au maximum par an. Or, il y en déjà eu 39 523 en 2015 et pour 2016 les cantons prévoient 60 000 nouvelles demandes d'asile. Les auteurs de cette révision essaient de faire croire aux cantons et aux communes que 40% des demandes d'asile sont des "cas Dublin" qui pourront directement être renvoyés aux autres pays européens depuis les six nouveaux centres fédéraux d'accueil. Ce que la conseillère fédérale ne dit pas, c'est que sur les 17 377 "cas Dublin" enregistrés en 2015, seuls 2461 personnes ont pu être transférées aux Etats Dublin correspondants, ce qui fait 6% de toutes les demandes d'asile de 2015. Cette révision de la loi sur l'asile provoquera la répartition de beaucoup plus de requérants d'asile entre les cantons et les communes.

Exproprier des biens immobiliers pour les requérants d'asile
Les responsables de l'asile estimant que la construction de nouveaux centres d'accueil avance trop lentement, ils veulent se donner la possibilité d'exproprier des immeubles et des terrains. La révision prévoit précisément une procédure de planification centralisée dans ce sens. Cette politique est indigne d'un Etat de droit.

Explosion des coûts
Cette révision apporte encore plus de prestations pour les requérants d'asile et rend donc notre pays encore plus attractif qu'il ne l'est déjà. A côté des coûts pour la construction de logements, pour les traitements médicaux, dentaires et psychiatriques, le contribuable suisse sera appelé à financer des avocats gratuits sans condition pour tous les requérants. Parallèlement, les mesures d'intégration prises par l'Etat (programme d'occupation, cours d'allemand ou de français gratuits, allocations de formation, cours de savoir-vivre, etc.) seront massivement étendues. Les nouveaux centres fédéraux seront de véritables hauts lieux de l'industrie de l'asile où on créera des centaines de nouveaux emplois pour des conseillers juridiques, des interprètes, des agents de sécurité, des interrogateurs, des assistants sociaux, etc.

Les conséquences de cette politique ruineuse – surtout à long terme – doivent être supportées par les communes, donc par la population et principalement les contribuables. C'est une évidence: cette politique d'accueil démesurée et indifférenciée n'est pas supportable financièrement à long terme pour les cantons et le système social. Le pillage de notre système social par des personnes qui n'ont jamais versé un centime d'impôt et de redevance provoquera forcément des tensions sociales.

La nouvelle conception de l'asile voulue par la ministre de l'asile Sommaruga vise à traiter plus rapidement un plus grand nombre de demandes d'asile. Or, les autorités admettent aujourd'hui déjà que près de 60% des requérants d'asile restent en Suisse (quote-part de protection) indépendamment du fait que ces personnes sont menacées ou non. En revanche, cette révision ne comporte strictement aucune mesure efficace pour accélérer le renvoi des personnes dont la demande a été refusée.

Cette révision de la loi sur l'asile est à tout point de vue mauvaise pour la Suisse. Il est donc important qu'elle soit massivement rejetée le 5 juin 2016.

Communiqué UDC Suisse / 21 mars 2016

Le violeur syrien était requérant d’asile et avait abusé deux femmes: Aucune expulsion!!!

Mardi, on apprenait qu'Hassan Kiko avait été condamné en décembre 2015 pour avoir violé fin 2014 une ado de 15 ans rencontrée dans un bar à chicha de Schlieren (ZH). Il n'en est toutefois pas à son coup d'essai. Mercredi, la «Thurgauer Tagblatt» révèle que l'homme de 27 ans a déjà été jugé pour tentative de viol et contrainte sexuelle.

Les faits remontent à 2012, alors qu'il logeait dans un foyer pour requérants d'asile à Eschlikon (TG). Ce coiffeur de formation a attiré une jeune femme de 19 ans dans sa chambre, promettant de lui couper les cheveux. Il l'avait alors menacée et forcée à lui faire une fellation.

Le tribunal de district de Münchwilen avait alors prononcé une peine de 3 ans et demi de prison ferme. On ne sait pas si cette sentence a été exécutée.

Source1 Source2

Vidéo-buzz : Le directeur d’un centre de requérants d’asile se montre intransigeant

La vidéo (ci-dessous) qui montre le directeur d’un centre de requérants d’asile en Allemagne qui malmène  une personne, vraisemblablement d’origine africaine, commence à se répandre sur les réseaux sociaux.

En accueillant un requérant d’asile dans son bureau, le directeur rappelle de façon ferme à une voix féminine non-identifiée qui émettait l’idée que le requérant d’asile pouvait s’exprimer en anglais, que la langue allemande doit être utilisée. L’homme explique son ras-le bol par rapport au fait que des gens comme lui exigent toujours plus. Le collaborateur du directeur enchaîne en expliquant au requérant, qui se plaint que la machine à laver ne fonctionne pas, qu’il est stupide.  Le directeur lui suggère enfin d’aller au centre commercial et de s’acheter une planche en bois pour laver ses habits à la main. Il ajoute, non sans ironie, que celle-ci ne risque pas de tomber en panne.  Il conclut en lui disant qu’il pouvait toujours quitter la République fédérale d’Allemagne si tout ne marchait pas comme il fallait.

https://youtu.be/KgxOgK9mq0E
Source Pravda.ch

Vaud offre 400’000.– aux demandeurs d’asile “pour faciliter leur retour en Italie”

Nos gouvernants ont-ils perdu le sens de la mesure en matière de politique d’asile?

Aide au retour des requérants vers le premier pays d’accueil dans le cadre des accords de Dublin - Les gouvernants de gauche ont beaucoup d’imagination lorsqu’il s’agit de faire grossir l’Etat social !

Aujourd’hui, il ne fait plus aucun doute que la gestion actuelle de la politique d’asile  est une source de croissance très forte des budgets des collectivités publiques du  pays. Cela ne doit pas pour autant laisser libre court à l’imagination débordante de certaines autorités politiques promptes à imaginer de nouvelles prestations que de nombreux contribuables souhaiteraient ne jamais devoir payer par leurs impôts.

En proposant une aide au retour pour les requérants d’asile qui doivent retourner dans le premier pays d’accueil de l’espace Schengen, le gouvernement vaudois avec sa majorité de gauche, vient de franchir un nouveau cap dans l’explosion des prestations inutiles de l’Etat social que cette gauche appelle de ses vœux.

En effet, en première lecture le parlement cantonal vaudois vient d’approuver une nouvelle unité budgétaire d’un montant de 400'000 francs, proposée par le gouvernement, pour faciliter le retour des demandeurs d’asile vers l’Italie dans le cadre des traités bilatéraux signés par la Suisse avec l’Union européenne.

Oui, vous avez bien entendu ! Il ne s’agit pas d’une aide destinée à favoriser le retour dans le pays d’origine du requérant, mais bien selon le Conseil d’Etat d’une prestation «pour donner aux migrants toutes les informations disponibles sur les possibilités d’accueil en Italie dans le cadre de la procédure Dublin».

Cette prestation doit permettre selon le gouvernement «de préparer ce retour vers l’Italie dans de bonnes conditions». Il est important de préciser que le requérant n’est pas débouté, mais qu’il retourne vers le premier pays d’accueil de l’UE pour traiter sa demande d’asile. Accorder une aide au retour d’un requérant d’asile débouté vers son pays d’origine est déjà très largement discutable, mais offrir cette prestation pour un retour vers l’Italie de cette personne, afin de traiter administrativement sa demande d’asile, est une hérésie qui va faire exploser les coûts de l’asile.

Le Conseil d’Etat estime qu’il est nécessaire de donner aux migrants de nombreuses informations sur les conditions et les possibilités d’accueil en Italie dans le but de préparer dans de bonnes conditions leur retour dans ce pays.

Le Groupe UDC vaudois unanime s’est retrouvé absolument seul pour refuser de porter cette nouvelle prestation au budget de l’Etat de Vaud. En acceptant de donner suite à la proposition du Gouvernement, les députés vaudois ont de fait admis une nouvelle prestation de l’Etat en matière d’asile.

La Confédération dispose déjà de moyens importants pour l’aide au retour de nombreux requérants d’asile déboutés lorsqu’ils repartent dans leur pays d’origine. Toutefois, il en va autrement concernant le retour d’un requérant d’asile vers le pays de premier accueil pour traiter sa demande d’asile. C’est une obligation légale issue d’une convention entre les Etats européens tenus par les accords de Dublin.

L’UDC dénonce cette politique du gouvernement vaudois qui renforce l’attrait de notre pays pour les demandeurs d’asile et qui retarde les simples procédures de renvoi vers le pays de premier accueil dans le cadre des accords de Dublin. Si notre pays poursuit dans la voie que vient d’emprunter le Canton de Vaud, ce seront à l’échelle de la Confédération et dans quelques années, plusieurs millions de francs qui seront nécessaires pour financer une prestation qui n’a aucune justification si ce n’est que de donner du travail à l’administration et d’accroitre l’attractivité de l’eldorado suisse auprès de très nombreux  migrants économiques.

Il est temps de mettre un terme à une politique migratoire attrayante pour les migrants économiques de nombreuses régions du monde qui prennent parfois des risques importants pour rejoindre l’Europe et la Suisse en particulier. Il est aussi nécessaire de signer sans attendre le référendum de l’UDC contre la modification de la loi sur l’asile et les avocats gratuits pour les requérants d’asile.

Source

Epidémie de Gale importée par les requérants: Les Suisses passent à la caisse

ND Christian Hofer: A noter que les Suisses sont contraints de payer encore pour leurs propres soins puisque l'assurance de base ne le fait pas, contrairement aux requérants et aux déboutés qui n'ont jamais cotisé ni payé une caisse maladie. Non seulement nous payons pour ces gens, mais encore la Confédération nous abandonne totalement si nous contractons cette maladie. L'inégalité choquante cautionnée par toute cette gauche bien-pensante.

Les cas de gale se sont multipliés depuis 2013, avec notamment l’arrivée de nombreux migrants. On parle désormais officiellement d’épidémie dans les centres d’enregistrement et les abris PC qui accueillent ces populations.

Face à cette maladie cutanée, qui touche aussi la population suisse, les individus sont inégaux face au remboursement du traitement.

Comme aucune pharma indigène ne le produit, ce médicament, qui coûte des centaines de francs, doit être importé. Or, les assurances de base ne sont pas obligées de le rembourser, car l’institut Swissmedic ne l’a pas commercialisé sur le marché helvétique, selon une pharmacienne. Les assurés risquent bien de devoir le payer de leur poche.

Le topo est différent pour les requérants d’asile. «Ils sont couverts dans le canton de Vaud, leur traitement est donc pris en charge, tout comme les cas de non-entrée en matière et les requérants déboutés», déclare le Dr Patrick Bodenmann, de la Policlinique médicale universitaire lausannoise (PMU).

Source