Par Philippe Boehler
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Emmanuel Macron président de la République…il fallait en parler ou faire une chanson [vidéo]
Deneuve, Binoche, Biolay… Une soixantaine de personnalités disent “stop au Hollande-bashing!”
Bien entendu, ces mêmes personnalités étaient totalement silencieuses lorsque Donald Trump devait faire face à un bashing autrement plus important. Mais il n'est pas de gauche lui, il doit subir la haine des médias, même s'il n'a jamais été président.
Quant à leurs arguments, ils sont tout simplement insignifiants face au naufrage de ce quinquennat: gazage des manifestants pacifiques lors de la Manif' Pour Tous, attentats immondes, laxisme face à l'extrême gauche, sécurité lacunaire (les policiers étant au service de la protection de l'ex-femme de Valls), sondages catastrophiques, un président dont les frasques sexuelles ont fait rire le monde entier, son mépris des "sans dents"...
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EXCLUSIF - Artistes, sportifs et créateurs, penseurs, chercheurs, entrepreneurs et citoyens indépendants se mobilisent contre le procès en illégitimité entrepris à sa droite comme à sa gauche.
"Dès le départ, François Hollande a fait face à un incroyable procès en illégitimité. Ce dénigrement permanent met à mal toutes les institutions de la République et la fonction présidentielle. Il perdure encore aujourd’hui malgré la stature d’homme d’État que François Hollande a parfaitement incarnée, tant dans les crises internationales que lors des épouvantables tragédies que notre pays a traversées.
PREMIERS SIGNATAIRES : Agnès B., Catherine Deneuve, Benjamin Biolay, Juliette Binoche, Denis Podalydès, Irène Jacob, Sylvie Testud, Laure Adler, Patrick Chesnais, Gérard Darmon, François Marthouret, Dominique Besnehard, Jean-Michel Ribes, Mazarine Pingeot, Claudine Nougaret et Raymond Depardon, Andrée Zana Murat et Bernard Murat, Michel Rotman, Patrick Pelloux, Laurent Davenas, Gilles Achache, Gabriel Gautier, Marie d’Ouince, Bruno Masure, Dany Dan - Melopheelo - Zoxea, Layla Metssitane, Touria Benzari, Emilie Chesnais Laurent Hébert, Bertrand Van Effenterre, Anna Medvecsky, Gaëlle Bayssière, Fethi Benslama, Pierre Douglas, Rachid Benzine, David Kodsi, Florence Muracciole, Stephane Distinguin, Jean Minondo, Yohann Diniz, Jean-Philippe Derosier, Sakina M’sa, Éric Dussart, Évelyne Schapira, Philippe Lemoine, Nicole Baldet, Anne Baveray, Rachel Khan, Michel Cantal-Dupart, Anne-Carole Denès, Yves Denès, Gerard Cicurel, Gisela Blanc, Mathieu Sapin, Françoise Huguier, Édouard Brézin, Julie Saavedra, Alex Menu, Pierre-Emmanuel Guigo, Jean-Philippe Derosier, Leïla Grison, Alexandre Leroy, C215, Dominique Miller, Christian Zerbib, Christiane Hessel…
Albert Rösti: “Je suis plus écologiste que les Verts”
Trois mois après son élection, le nouveau président de l’UDC suisse reste un inconnu pour les Romands. Mais ce Bernois chaleureux compte bien conquérir des électeurs en terres francophones.
Suite
“Les élites ne sont pas le problème. Le peuple est le problème”
....voilà ce qu'a déclaré sans rire le président allemand Joachim Gauck :
https://youtu.be/qJ4WHpP8gSQ
Autriche : Hofer battu, à qui fera-t-on croire cette blague ?
Rappelons que ce vote comprenait 2 groupes.
3.731.720 votants dans les urnes. 83% des votes.
746.222 votants par correspondance. 17% des votes
Comment un candidat qui totalise 51,9% dans les urnes, donc 1.937.863 voix sur 3.731.720, peut-il tomber à 38,27% des votes exprimés par correspondance ?
Plus qu’étrange, sachant que de Bruxelles aux capitales européennes, toute la clique aux commandes depuis cinquante ans refusait au peuple autrichien le droit élémentaire d’élire Norbert Hofer, candidat du FPO.
D’ailleurs Manuel Valls s’est empressé, depuis Israël, de saluer le vote autrichien qui repousse “le populisme et l’extrémisme”. L’Europe anti démocratique est soulagée !
Mais revenons au score en détail, car ça vaut le détour !
Dimanche soir Hofer totalise 1.937.863 voix sur 3.731.720 exprimés dans les urnes.
Son adversaire en obtient 1.793.857.
Hofer a donc 144.006 voix d’avance. Confortable. 4% d’écart ça ne peut pas se combler avec les 17% de votes restants exprimés par correspondance.
Ce qui donne 51,9% pour Hofer et 48,1% pour Van der Bellen, dans les urnes.
Mais, nous dit-on aussitôt, cela n’a rien de significatif car il reste 746.222 votes par correspondance à décompter. Il faudra donc attendre lundi.
Et comme par hasard, ce sont des votes traditionnellement favorables aux partis au pouvoir. Ils peuvent donc tout changer. Nous voilà prévenus.
Calculs faits dès dimanche soir avec le chiffre de 750.000 votes par correspondance, il s’avère qu’il faudrait un rapport de 60/40 en faveur du candidat écologiste, donc passer de 48/52 à 60/40, pour combler son retard et battre Hofer. Un tel renversement parait impossible. Pourtant cela n’a interpellé aucun commentateur politique. Etonnant…
Et lundi, miracle, on apprend que Hofer n’a récolté que 28.5595 voix sur 746.222, soit 38,27% des suffrages exprimés.
Son adversaire en récolte 460.627, soit 61,73% des suffrages.
Encore mieux que 60/40 !
Par un formidable retournement, les 373.1720 électeurs des bureaux de vote, près de 4 millions, qui avaient choisi Hofer comme président par 52% contre 48%, se voient donc souffler leur victoire par les 746.222 électeurs ayant voté par correspondance. L’impossible s’est bien réalisé. L’Europe a senti le vent du boulet mais elle respire.
En fait, on n’a jamais vu 17% des bulletins restants, renverser le score final dans de telles proportions. N’importe quel sondeur connaissant le résultat de 83% des bulletins décomptés, vous donnera le résultat final à 2% près. Il y a des normes statistiques immuables.
J’aimerais donc qu’on m’explique comment Hofer a pu passer de 52% des 3731720 votes exprimés dans les urnes, à 38,27% des 746222 votes exprimés par correspondance.
On nous dit que l’erreur des sondages peut aller de 2 à 3%.
Mais là, le même peuple, dans la même élection, pour les mêmes candidats, a voté à 52% pour Hofer dans les urnes et à 38% par correspondance ! Comme c’est bizarre…
Va t-on nous expliquer qu’en Autriche, la coutume veut que l’extrême droite vote dans l’isoloir et que les libéraux votent par correspondance ?
Même au temps où le PC bourrait les urnes avec allégresse, aux plus belles heures du communisme, l’écart entre le résultat initial et le résultat final n’atteignait pas de telles proportions.
Vous verrez que toute la clique au pouvoir va gober ce verdict en évoquant la victoire de la démocratie sur l’extrémisme. Mais le jour où Marine gagnera par 50,3%, les mêmes démocrates demanderont à rejouer le match. C’est couru d’avance.
Ce dépouillement du scrutin restera pour moi une mascarade. Cette élection était jouée d’avance, quel que soit le score de Hofer, l’Europe n’en voulait pas.
Hofer n’a pas contesté. Pourquoi ? Mystère. Mais pour moi cette élection sent le bidouillage à plein nez.
Jacques Guillemain
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Autriche: Une participation de... 146,9% à Waidhofen
Encore une panne au ministère de l'intérieur: Sur la page d'accueil, le tableau a indiqué un taux de participation de 146,9 (!) pour-cent. La miraculeuse "génération des électeurs» devrait continuer à alimenter les rumeurs sur des élections truquées.
Le chef du département de l'Intérieur, Robert Stein, a déclaré lundi soir au "ZiB 2" que le résultat avait été corrigé. Cela ne signifie pas un changement important dans le résultat global a déclaré Stein. Il a souligné qu'il était question d'un simple «erreur d'entrée" sans affecter le résultat.
Le nouveau président autrichien se définit comme étant un “enfant de réfugiés et fait l’éloge du vivre-ensemble”
Alors que la question migratoire a été au centre de la campagne - dans un pays de 8,5 millions d'habitants qui a accueilli 90.000 demandeurs d'asile, près de 1% de sa population, lors de la crise des réfugiés de fin 2015- , Alexander Van der Bellen s'est décrit lui-même comme "enfant de réfugiés", rejeton d'un aristocrate russe et d'une mère estonienne ayant fui le stalinisme. Né à Vienne, sa famille a trouvé refuge dans le vert Tyrol, aux confins de l'Autriche et de l'Italie, lorsque l'Armée rouge est entrée dans la capitale autrichienne, en 1945.
Durant la campagne, les T-shirts colorés à son effigie, les concerts de ses comités de soutien - jusqu'à une soirée techno à la veille du premier tour - ont toujours semblé en décalage avec la personnalité austère, voire intimidante de ce grand septuagénaire à l'éternelle barbe de trois jours.
Face à un adversaire d'extrême droite, Norbert Hofer, formé aux techniques de communication les plus sophistiquées, les secondes de silence d'Alexander Van derBellen aux questions des débats télévisés ont souvent semblé une éternité.
L'ancien professeur d'université, s'est cependant révélé plus offensif entre les deux tours de la présidentielle que son adversaire d'extrême droite. Lors des derniers débats, ce fumeur invétéré a attaqué Nobert Hofer avec un mordant que peu lui connaissait: "Vous ne comprenez rien à l'économie" ou "Je vous parle d'Europe: E-U-R-O-P-E, vous en avez déjà entendu parler ?", a-t-il lancé à Hofer comme pour faire sortir de son flegme un rival qui cultive sang-froid et affabilité.
Un "gauchiste en habits bourgeois" pour le FPO
Sans consigne de vote en sa faveur des partis social-démocrate (SPÖ) et conservateur (ÖVP), Alexander Van derBellen a emmagasiné les soutiens individuels entre les deux tours, son comité de soutien revendiquant 4.000 supporteurs parmi les personnalités du monde politique, artistique, intellectuel.
Un argument que lui a retourné Nobert Hofer: "Vous avez l'élite, j'ai le peuple", l'a interpelé le candidat FPÖ lors d'un débat.
Le FPÖ l'a présenté comme un "gauchiste en habits bourgeois", le renvoyant aux positions de son ancien parti en matière d'immigration. Les Verts ont toujours défendu une société ouverte et multiculturelle qui fait figure d'épouvantail pour le FPÖ.
Durant son passage à tête des Verts autrichiens, le parti est devenu la quatrième force politique du pays, derrière le FPÖ. Alexander Van der Bellen, qui avait débuté en politique dans les années 80 s'engageant brièvement aux côtés des sociaux-démocrates, s'était mis ces dernières années en retrait de la scène politique.
Arrivé en seconde position, loin derrière le FPÖ au premier tour, Alexander Van der Bellen, 72 ans, a dit avoir senti "un élan" entre les deux tours. Plus modestement, il a été pour beaucoup d'électeurs le choix "le moins diabolique", comme l'ont décrit plusieurs journaux. Une électrice avait confié à l'AFP dimanche voter "entre la peste et le choléra", se sentant obligée de choisir un candidat qu'elle "n'aime pas car voter pour l'autre candidat est juste inenvisageable".
Christian Levrat veut rester président du PS
Le conseiller aux Etats fribourgeois a indiqué mardi qu'il se mettait à disposition pour un nouveau mandat. Il se réjouit des combats à mener.
France: dans l’indifférence générale, l’Assemblée nationale modifie les règles de l’élection présidentielle
Dans un climat survolté, les députés ont réformé les modalités du recueil des 500 signatures, de l’heure de fermeture des bureaux de vote et du temps de parole dans les médias.
Ce qu’une présidence Trump signifierait pour le monde
Donald Trump vient de remporter à la surprise générale (sauf de ceux qui ont un minimum de vision politique) la primaire républicaine de la Caroline du Sud, le plaçant en position de leader incontesté voire incontestable, tous les candidats ayant remporté le New Hampshire et/ou la Caroline du Sud ayant été nominé candidat républicain. Or Trump a gagné les deux. Face à la socialiste corrompue (pléonasme) Hillary Clinton ou face au socialo-communiste totalitaire Bernie Sanders, Trump aurait 90% de chances de l’emporter. Dès lors, à quoi ressemblerait une présidence Trump ?
La victoire de Donald Trump en novembre prochain lors de l’élection présidentielle américaine fait très peur aux gauchistes du monde entier, à commencer par les gauchistes américains, comme en atteste par exemple cette vidéo :
La justice française est-elle compétente pour juger le président suisse de Riposte Laïque ?
Ce mercredi 10 février, le directeur de publication de Riposte Laïque, le Suisse Alain Jean-Mairet, à l’époque président de Riposte Laïque Suisse, était convoqué devant la trop célèbre 17e chambre parisienne.
Son crime ? Avoir autorisé la diffusion, le 19-10-2014, d’un article de Salem Ben Ammar, intitulé : Et si l’islam était le culte de la perversion sexuelle et morale ? ».
http://ripostelaique.com/et-si-lislam-etait-le-culte-de-la-perversion-sexuelle-et-morale.html
La procédure ayant amené notre président de l’époque de RL devant les tribunaux français, mérite d’être connu. Aucune association musulmane n’a déposé plainte. Mais la Licra, plus islamo-collabo que jamais, a fait le travail faisant un signalement au Parquet. Des termes qui rappellent « les heures les plus sombres de notre Histoire ». Auparavant, cette officine, qui rappelle les polices politiques des régimes autoritaires, avait sommé notre président suisse de retirer le texte incriminé. Celui-ci les avait éconduits poliment, et leur avait suggéré de s’intéresser aux organisations musulmanes, et aux pays où la charia est la loi.
Le procureur Solène Gouverneyre, zélée relais des prétendus antiracistes, a donc décidé d’instruire la plainte, et la Licra, tranquillement, s’est portée partie civile, pour toucher les dividendes de ses basses oeuvres, espérées à 3000 euros. Elle n’est pas belle, la vie ?
Sauf que notre avocat, Maître Stéphane Haddad, a déposé trois demandes d’irrecevabilité de cette nouvelle plainte des vopos de l’antiracisme.
Il a d’abord démontré que la France, et la 17e chambre, n’ont pas de légitimité juridique pour se prononcer contre un directeur suisse, qui ne doit répondre que du droit suisse (qui sanctionne les mêmes infractions qu’en France).
Il a montré, par l’absurde, ce qu’allaient devenir les tribunaux, si les pseudo-antiracistes se permettaient d’attaquer des sites situés dans tous les autres pays du monde, en arguant que les textes sont disponibles en France. Il interpella les plaignants, leur demandant ce qu’ils attendaient pour déposer plainte contre Donald Trump, qui a affirmé que plus un seul musulman ne doit mettre les pieds sur le sol américain.
Il affirma, d’autre part, que la Licra n’a pas le statut, ni a reçu de mandat, pour s’ériger en police de la pensée internationale, et que son rôle doit se cantonner à la seule France.
Enfin, il montra que la loi concernant les directeurs de journaux ne s’applique qu’aux directeurs de publication français, et donc pas à Alain Jean-Mairet.
De manière très péremptoire, Sabrina Goldman, caricature de la petite bourgeoise de gauche bien née, glapit que le droit est très clair, et qu’il y a délit partout où le texte est diffusé.
Mais ce fut le procureur Solene Gouverneyre – qui a osé faire condamner la page une de Minute et celle de Valeurs Actuelles, et a requis contre Eric Zemmour – qui se montra la plus virulente.
Elle expliqua au tribunal que la stratégie de Riposte Laïque était cousue de fil blanc. Elle consistait, selon elle, à se « cacher » à l’étranger, et à multiplier les changements de directeurs de publication, pour compliquer la vie de la justice. Ainsi, elle expliqua que maintenant, c’était une Marocaine vivant en Thaïlande, Madame Khadija Ait M’Barek, qui avait succédé à Alain Jean-Mairet.
Selon elle, Riposte Laïque va au bout de sa logique, pour tenter d’échapper à la justice française. Elle vit dans cette stratégie la volonté de se créer un boulevard pour proférer des « propos racistes et antisémites ».
Elle cita étonnamment le nom de Pierre Cassen, et expliqua qu’elle voyait dans la stratégie de Riposte Laïque l’habile volonté de créer une irresponsabilité pénale du site, s’ajoutant à l’utilisation de multiples pseudos d’auteurs profitant de l’anonymat pour proférer des « propos haineux » et des « appels à la violence et à la provocation ».
Naturellement, Maître Haddad fit tout de suite les mises au point qui s’imposaient, et, curieusement, quand il affirma qu’il n’aurait pas défendu un site tenant des propos racistes et antisémites, l’avocate de la Licra faillit défaillir.
Il n’empêche que le tribunal devait statuer sur la demande d’incompétence territoriale de la France, pour juger notre président suisse Alain Jean-Mairet. Les juges se retirèrent un quart d’heure, et la présidente expliqua que le verdict serait rendu le 6 avril prochain, mais que cela ne s’opposait pas à la continuation du procès.
Nous attendrons donc avec intérêt la réponse de la 17e chambre, sur cette question essentielle soulevée par notre avocat, Maître Haddad.
Jeanne Bourdillon
72 heures après le Bataclan, Taubira ose convoquer le président suisse de RL
Les socialauds ne reculent devant rien. Non contents de harceler notre journal, par quatre plaintes de Cazeneuve, une de leur mécène Pierre Bergé, une d’Hidalgo, une de leur servile chef des flics Méric, ils osent se couvrir de ridicule, 72 heures après le massacre de Paris, et les 125 morts innocents (qu’il faut différencier des assassins islamistes).
Le dernier exploit de la justice Taubira ? La convocation, par le juge d’instruction Caroline Genin, de notre directeur de publication suisse, le 2 décembre 2015, au tribunal de Paris.
Le crime qui est reproché à notre responsable ? Avoir, le 20 décembre 2012 (bientôt 3 ans !) autorisé la publication d’un article de notre regretté ami Roger Heurtebise, intitulé : Mourad Ghazli, le syndicaliste qui roule pour les barbus de la RATP.
http://ripostelaique.com/mourad-ghazli-le-syndicaliste-qui-roule-pour-les-barbus-de-la-ratp.html
Dès le début du courrier, le juge explique qu’il envisage de mettre en examen notre ami, rien de moins ! On s’attendrait au moins à en comprendre les raisons précises. Y a-t-il eu dans l’article des passages réellement diffamatoires ? On n’en saura rien, puisque, sans se compliquer la vie, Caroline Genin fait un copier coller de l’article, et termine en écrivant : Diffamation publique envers un particulier.
Le pire est que Ghazli, connu pour manger à tous les râteliers (encore une plainte ?) a multiplié les procédures judiciaires à notre encontre, déposant quatre plaintes, plus invraisemblables les unes que les autres, toutes instruites par la justice Taubira, qui a, par ailleurs, débouté une plainte de Christine Tasin, instruite par notre regretté avocat Maître Scipilliti, contre l’islamo-collabo Askolovitch, pour un prétendu vice de forme !
Cette convocation est un triple scandale. D’abord parce que notre justice, déjà encombrée (voir les délais) est dévoyée par des plaintes qui, comme celles de Ghazli, ne devraient jamais être instruites.
Ensuite, quelle terrible symbole, qui résume tellement le régime de Hollande, Taubira et leur clique, que de constater que le directeur de publication d’un site qui alerte nos compatriotes sur la réalité de l’islam depuis huit ans se retrouve convoqué, alors que les faits de ces dernières heures montrent que nous avions raison.
Enfin, elle tombe en ce jour où nous avons appris qu’un des huit terroristes musulmans, Samy Amimour, était machiniste à la RATP. Or, la plainte de Ghazli vient de la mise en ligne de la vidéo de Guy Sauvage, dans laquelle il a tombé le masque, en attaquant les femmes machinistes, le premier, confirmant ainsi que, bien que franc-maçon, il était avant tout musulman.
http://www.lejdc.fr/page-8/france-monde/actualites/a-la-une/national/2015/11/16/attentats-le-kamikaze-samy-amimour-etait-alle-en-syrie-il-y-a-deux-ans_11666016.html
Un gouvernement digne de ce nom devrait présenter des excuses à Riposte Laïque, pour l’ensemble du harcèlement judiciaire que nous subissons, depuis des années. Il devrait retirer les plaintes qui ont été déposées contre nous, et poursuivre ceux qui les ont orchestrées. Il devrait rembourser ceux de nos contributeurs, notamment Pascal Hilout et Pierre Cassen, qui ont été condamnés à verser aux racketteurs de l’antiracisme et à l’Etat près de 25.000 euros. Il devrait également rembourser à RL l’ensemble des frais de justice que ces procès en sorcellerie nous ont coûtés, et nous coutent encore.
Non seulement ils n’en font rien, mais ils voudraient, en outre, que notre président suisse se déplace en France, paie son transport, perde une journée de travail ?
Eh bien, c’est non, nous ne nous déplacerons pas, et nous assumons les conséquences de ce choix.
Jeanne Bourdillon
Un musulman peut-il diriger les Etats-Unis? «Oui», dit Hillary Clinton
Face aux atermoiements des candidats en lice pour l'investiture républicaine à Maison Blanche, la démocrate Hillary Clinton a tranché net. «Un musulman peut-il être président des Etats-Unis d'Amérique? En un mot : oui.
Le moment de détente [vidéo]
Moi président
La présidence de Carlos Medeiros menacée par le PS
Ville de Genève
Malgré la règle tacite du tournus, la gauche ne veut pas offrir la présidence du Conseil municipal de la Ville à l’élu du MCG.
L’UDC neuchâteloise affiche un nouveau visage pour “dynamiser le parti”
L'UDC neuchâteloise a renouvelé jeudi soir l'entier de sa direction. Le député Stephan Moser (photo) a été élu à la présidence du parti, tandis que les deux nouveaux vice-présidents ont pour nom Jean-Charles Legrix et Olga Barben.
Suite
Le Sénat vote la possibilité de destituer le président de la République
Le Sénat a voté mardi une loi afin d'avoir la possibilité de réunir le Parlement en Haute Cour, qui pourrait, en cas de manquements graves, destituer un président de la République.
Le rêve de certains responsables politiques prend forme au Sénat. Les parlementaires ont adopté une projet de loi fixant les modalités de destitution du chef de l'Etat par le Parlement.