Les vœux de bonne année de Simonetta Sommaruga, prononcés dans sa boulangerie, entourée de petits pains. En introduction, la socialiste achète son pain à la boulangère, puis déroule son discours, rappelant les petites joies de la vie, les besoins essentiels de chacun, et la nécessité du respect mutuel pour vivre en bonne harmonie.
Mise en scène boulangère et message terre à terre, bien loin des menaces iraniennes, de la réforme des retraites ou du changement climatique: il n'en fallait pas plus pour s'attirer les piques de nos voisins français [...]
Version du Matin :
Quand les Français nous envient Simonetta Sommaruga
«Magique», «Exceptionnel», «C'est quoi ce délire?»: sur Twitter, le discours du jour de l'An de la présidente de la Confédération est en passe de rejoindre les prestations inoubliables, elles aussi, d'Ogi ou de Schneider-Ammann.
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Lematin.ch
Pour son message au seuil de son année de présidence, la socialiste Simonetta Sommaruga s’est posée dans la boulangerie de son quartier. L’ouverture surprend, avec une scène fort courante d’achat du pain. La boulangère la sert en souriant, la ministre tend un petit billet de 10 francs, la caisse enregistreuse fait un bruit de crécelle. [...]
«Dans ma boulangerie, on pratique au quotidien la bienveillance avec les autres, on se regarde dans les yeux», précise la cheffe du Département de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication. [...]
«Tous les clients sont accueillis avec chaleur», souligne celle qui a été responsable du dossier de l'asile entre 2010 et 2018.
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Visiblement dans la tête de Sommaruga, les Suisses n'ont pas de problème d'argent. Ils peuvent s'acheter ce qui leur convient. Il s'agit ici du fantasme caractéristique de la gauche qui fait référence aux "Suisses nantis" alors qu'aujourd'hui nombreux sont ceux qui comptent chaque sou. Pendant ce temps, cette femme bénéficie d'une Tesla de luxe et d'un salaire annuel de 451’417 francs.

Le véritable visage de Sommaruga : fric, privilèges, champagne, gardes du corps et jolies tenues. Très loin de sa mise en scène populiste qu'elle tente de nous faire gober.
Cette femme non seulement méprise les racines de notre pays mais encore, lorsqu'elle tente de faire croire qu'elle est proche du peuple, elle devient la risée.
On n'échappera pas non plus aux sous-entendus impliquant les réfugiés, comme si ceux-ci étaient des "clients" alors qu'ils se sont imposés chez nous et se nourrissent par le biais de nos impôts.