André Bercoff et Evelyne Joslain: « Les manifestants anti-Trump sont payés par Soros. »

On rappelle que l'ex-Conseillère fédérale socialiste Calmy-Rey travaille désormais pour ce marionnettiste qui utilise massivement son argent pour détruire nos démocraties.

C'est le véritable visage de l'idéologie de gauche qui ne s'offusque jamais d'utiliser la violence pour imposer son dictat et arriver à ses fins.

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Le journaliste André Bercoff confirme les propos d’Evelyne Joslain qui affirmait quelques heures plus tôt sur BFM TV que les manifestants anti-Trump étaient financés par George Soros.

 

André Bercoff : "Les Manifestations anti-Trump sont financées par Soros

 

 

Propos d’Evelyne Joslain (spécialiste des Etats-Unis) : « Les manifestants anti-Trump sont payés par Soros. Ca devient un job lucratif d’être manifestant anti-Trump. »

 

 

Via Fdesouche.com

France: Il avait fait entrer 200 clandestins. L’immunité humanitaire est retenue!

Christian Hofer: Rappel de la loi française: 

Est puni d'une peine :

- de 4 à 8 années d'emprisonnement quiconque favorise le trafic illégal ou l'immigration clandestine ;

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"L'immunité humanitaire" retenue

Le parquet a retenu l’immunité humanitaire, prévue par la loi, pour ce Niçois de 37 ans, qui a dit ne toucher aucune rémunération et être motivé uniquement par la situation «indigne» de ces personnes venues d’Italie et qu’il a aidées à passer en France.

Huit migrants dans son camion

Huit migrants sans papiers originaires d’Erythrée, dont trois femmes et deux enfants en bas âge, avaient été découverts dans son véhicule.

Il aurait indiqué lors de ses auditions, selon le quotidien Nice-Matin citant des sources policières, avoir déjà effectué «plusieurs dizaines de voyages pour un total de 200 migrants et ne pas vouloir s’arrêter là».

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A Calais les « no borders » sont soutenus par le milliardaire George Soros

A Calais les « no-borders » sont soutenus par le milliardaire George Soros

Alors que la ville de Calais tombe un peu plus chaque jour dans le chaos face à l'invasion de migrants, qui sont ces « no-borders », ces militants d'extrême gauche qui enfreignent les lois pour venir en aide aux clandestins ?

Les « no-borders » forment un collectif de militants fondé en 1999 et que l'on retrouve aujourd'hui dans l'ensemble de l'Europe et qui lutte pour la disparition des frontières. A Calais, ces militants sont regroupés autour du collectif Calais Migrant Solidarity. Ce sont ces extrémistes qui le 23 janvier dernier, ont aidé les migrants à s'introduire illégalement dans le port de Calais et à prendre possession d'un ferry.

Mais derrière l'image d'anarchistes et de militants d'extrême gauche se cache une réalité bien peu glorieuse. On est pour le moins surpris de voir que ces gens là n'hésitent pas à présenter les organismes qui les soutiennent, des organismes qui révèlent la vraie nature de ce lobby pro-immigration.

Sur leur site internet, les « no-borders » affichent une liste de plus de 550 organisations dans tous les pays d'Europe qui les soutiennent. Et là, grande surprise, on est très loin d'organisations d'extrême gauche. Pour en citer quelques unes, on retrouve, entre autre, le Conseil de l'Europe, la Commission Européenne, plusieurs groupes parlementaires du Parlement Européen, le Home Office (ministère de l'intérieur britannique), le Département fédéral des affaires étrangères suisse, le conglomérat d'entreprises suisses Migros, etc...

Cerise sur le gâteau, on retrouve également parmi ces soutiens, la très puissante et ultra-libérale Open Society Foundation, la fondation fondée par le milliardaire George Soros. Une fondation qui est tristement connue pour avoir, entre autre, créé l'organisation OTPOR qui a renversé le gouvernement Serbe de Slobodan Milosevic avec le concours de la CIA. En France, l'Open Society a également financé le Collectif Contre l'Islamophobie en France (CCIF), une organisation dont le président Marwan Muhamad, avait déclaré en 2011 :

« Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. »

La nature de ces soutiens et le fait qu'ils soient clairement affichés sur leur site internet démontrent sans ambiguïté la réalité du mouvement « no-border ».

Jordi Vives, le 11 février 2016

Calais: «Les No Borders donnent les instructions par téléphone ou talkie-walkie aux migrants»

REPORTAGE- L'arrestation de militants après la manifestation de samedi à Calais met en lumière le rôle majeur de ces infiltrés dans les camps pour galvaniser l'insurrection locale et organiser les débordements des migrants.

Envoyée spéciale à Calais et Dunkerque

L'interpellation pour «dégradations en réunion», samedi, de neuf militants No Borders (prosélytes du «Sans frontières»), dans l'intrusion de quelque 150 migrants dans le port de Calais, atteste, s'il était besoin, du rôle majeur de ces infiltrés dans les camps pour galvaniser l'insurrection locale et organiser les débordements. Leur part dans l'enkystement et la crise calaisienne apparaît encore plus claire depuis l'ultrasécurisation des points de passage vers la Grande-Bretagne, sur les sites d'Eurotunnel et sur la zone portuaire, il y a quelques mois.

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Violée par un migrant, une militante de « No Borders » est encouragée à se taire par ses camarades immigrationnistes

C’est un journal italien qui nous apprend qu’une militante de « No Borders » venue aider les immigrés illégaux, pardon les « réfugiés », à Vintimille, s’est faite violer par un immigré.

Mais, outre le viol, la jeune femme a aussi subi les pressions des autres militants immigrationnistes pour tenter de la contraindre à se taire.

Cette femme de 30 ans, militante chez « No Borders », une organisation qui depuis environ un mois a installé des bénévoles à la frontière entre l’Italie et la France, à Vintimille, pour aider les migrants.

Elle a été violé par un immigré sénégalais dans l’une des douches du camp pour réfugiés.

Selon des informations parues dans La Stampa, la femme aurait déclaré le viol au bout d’un mois, en expliquant à la police qu’elle était restée silencieuse tout ce temps, parce que certains militants de No Borders faisaient pression pour qu’elle se taise pour éviter les scandales et ne pas nuire à leur cause.

La femme a expliqué que le viol a été commis un samedi soir durant une fête, qu’elle a crié, appelé au secours, mais que personne ne l’a entendu en raison de la musique diffusée à plein volume.

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