Encore un petit babtou qui a trouvé la mort

Lycéen de 18 ans retrouvé mort ligoté sur son lit : il était « timide et réservé »

Le corps sans vie d’un jeune homme, âgé de 18 ans, a été retrouvé dimanche soir à son domicile de Saint-Sébastien-sur-Loire, une commune de l’agglomération de Nantes (44).
C’est une amie de la victime qui, inquiète de ne plus avoir de nouvelles et de trouver porte close, a donné l’alerte.
Les policiers se sont alors rendus sur les lieux aux environs de 22h00. A leur arrivée, ils ont découvert la victime morte ligotée sur un lit.
Les parents du lycéen étaient locataires de l’appartement situé au premier et dernier étage d’un petit immeuble d’un quartier paisible où il fait bon vivre.
« Ses parents et lui étaient très discrets. Ils n’ont jamais fait parler d’eux. » explique un résident de l’immeuble.
« Il était poli et gentil » décrit un autre voisin.
Tandis qu’un adolescent qui étudiait dans le même lycée que lui évoque quelqu’un de « timide et réservé ». « Il ne parlait pas beaucoup et ne cherchait pas les problèmes » ajoute-il.
Une enquête pour meurtre a été ouverte et une autopsie sera pratiquée prochainement. Pour l’instant aucune piste n’est privilégiée par les enquêteurs. « Nos recherches ne se concentrent pas spécifiquement sur le trafic de drogue », assure le parquet de Nantes.

Source : Actualité 24

Voir aussi : Francebleu

Bérengère Viennot sur l’incendie volontaire à Nantes : “Ok c’est vraiment triste mais quand même c’est beau, une cathédrale qui brûle.”

Cette femme écrit également pour le site Slate.fr. Ses articles sont presque systématiquement orientés contre Donald Trump.

 

Lien direct : https://twitter.com/Berentrice/status/1284405683178409985

 

 

Note : Bérengère Viennot est traductrice et a rédigé un livre à charge contre Donald Trump :

"Entre Obama l'élégant et Trump le manager, il y a eu plus qu'une rupture de style : une rupture de ton. Vocabulaire étriqué, phrases inachevées, syntaxe approximativeBérengère Viennot, traductrice de presse, nous raconte comment la langue de Trump reflète l'avènement d'une nouvelle Amérique."

"Traductrice de presse, Bérengère Viennot s'est trouvée confrontée à un défi inédit après l'élection de Donald Trump. Le président américain a fait exploser les codes de la parole politique. Sa langue est vulgaire et confuse, truffée de fautes de syntaxe et de phrases sans queue ni tête, de sarcasmes et d'invectives - signes d'un rapport dévoyé à la réalité et à la culture."


Rappel :

L’église du Lignon incendiée : les socialistes suisses aiment ça aussi !

 

Nantes : il vient en aide à une jeune femme agressée par quatre hommes dont un Libyen de 17 ans, et reçoit un pavé dans le visage

Un jeune homme de 24 ans, qui se trouvait à hauteur de la place du Commerce à Nantes ce samedi vers 3h15, a aperçu une jeune femme se faire bousculer et secouer par un groupe d’individus. Les quatre agresseurs s’en prenaient à elle à proximité du bar La Coquille, relate Ouest-France.

N’écoutant que son courage, le témoin s’est interposé pour aider la victime. Les quatre individus se sont alors retournés contre lui. L’un d’eux a saisi un pavé avec lequel il a violemment frappé le bon samaritain au visage. Le groupe en a profité pour s’enfuir.

Le jeune homme a été choqué et sonné par la violence du coup. Les policiers arrivés sur place ont pu récupérer son témoignage et un signalement de son agresseur. Souffrant d’une plaie ouverte de 6 centimètres, il a été transporté au CHU et s’est vu délivrer 5 jours d’Incapacité totale de travail (ITT).

article complet: https://actu17.fr/nantes-il-vient-en-aide-a-une-jeune-femme-agressee-par-quatre-hommes-et-recoit-un-pave-dans-le-visage/

Nantes. Trois gardes à vue en trois jours pour un migrant dangereux. « Il a 13 ans, il ne peut pas partir en détention »,

Trois gardes à vue en trois joursà NantesCest ce qui est arrivé à un mineur isolé âgé de 13 ans. Lundi et mardi, pour des faits de vol et de recel. Mardi, à 19 h, il est remis dehors. Trois heures plus tard, à 22 h, il est de nouveau interpellé. L’adolescent se trouve donc à nouveau dans les geôles du commissariat central, mercredi. Cette fois pour arrachage de colliers en or, en réunion et sous la menace d’un couteau, à l’arrêt de tram Hôtel-Dieu. Autant dire que dans les rangs de l’hôtel de police, exaspération et incompréhension sont à leur comble.

L’adolescent n’est pas un inconnu. Il a déjà eu maille à partir avec le tribunal de grande instance de Montpellier, qui a prononcé deux peines de prison. La dernière n’a pas été mise à exécution. Chez certains policiers, et en dépit de la grève des avocats, un séjour par la case parquet aurait été logique. Cela n’a pas été le cas. « C’est la troisième fois, c’est quelqu’un de dangereux. Tout cela est sidérant, on tombe sur la tête », martèle un policier.

Via Fdesouche

France. Nantes: Quatre jeunes filles agressées par des migrants. La colère d’un père déborde.

Quatre jeunes filles ont été agressées par des migrants à la sortie d'une boite de nuit à Nantes. La famille de l'une d'elles, qui a reçu de terribles blessures, a crié sa colère, ne faisant d'ailleurs pas d'éloges au gouvernement pour ce qu'il a «fait de notre beau pays».

L'ambiance dans les rues de Nantes semble de moins en moins sécurisée, comme a pu constater la famille d'une des filles tabassées par des migrants. Sur Facebook, le cousin de la jeune fille a publié l'histoire racontée par le père de celle-ci, qui s'est produite samedi dernier, et l'a accompagnée d'une image du visage de sa cousine après l'attaque. La publication a été depuis supprimée, mais largement relayée sur les réseaux sociaux.

Indigné, le père a décrit l'attaque qui s'est déroulée lorsque sa fille et ses trois amies sortaient d'une boite de nuit. Elles ont reçu des bouteilles de bière dans le visage et des coups de pied. Par conséquent, des «points de sutures» sur la tête et des hématomes se distinguent partout sur leur corps.

 

 

 

Comble de l'ironie, il n'y avait pas d'agents de police à proximité. La famille de la jeune fille a porté plainte avec une description assez détaillée de l'apparence des individus.

Le père a reproché au Président de la République la situation migratoiredans le pays, nuisible pour l'État et le peuple, avec «plus de 250 migrants dans les tentes» installées dans le centre de la ville. De même, il a fustigé l'inaction de la police.

Auparavant, le parquet de la commune d'Auxerre, dans l'Yonne, a délivré deux mandats d'arrêts à l'encontre de deux migrants afghans, soupçonnés d'avoir violé collectivement un adolescent de 15 ans le 5 août dernier. La victime a porté plainte et une enquête judiciaire pour viol en réunion a été ouverte.

 

Sputniknews

Ouest-France.fr

Compte Twitter de Monsieur Franck Avril, Délégué Départemental

France. Nantes : Près de 15’000 repas cuisinés par des bénévoles pour les migrants

"Ce vendredi 3 août ça fait 1mois que l’Autre Cantine a ouvert ses portes pour répondre à l’urgence alimentaire de la trêve estivale. Plusieurs cantines et des bénévoles de tous âges et toutes conditions sont venus rejoindre cette cuisine réquisitionnée", explique le collectif. Bilan : "Ce samedi soir, l'Autre Cantine aura passé la barre des 15 000 repas servis en un mois, grâce à la solidarité des Nantais, des forces militantes, et sans un centime d'argent public, puisque la mairie reste sourde à nos demandes!", souligne Christophe, de l'Autre cantine.

15 000 "repas chauds, équilibrés et avec des légumes bio ! Et encore, on n’a pas compté les repas servis en juin par les bénévoles et les cantines de Nos amis venus de loin et Un Bout de Chemin, de l'équipe du squat Wilson, du squat La Carterie par exemple …"

 

PresseOcean.fr

 

 

 

France. Nantes : Quand l’ultragauche tente de pénétrer les cités pour s’allier à la racaille

Ils avaient déjà essayé. Cette fois, après le tir mortel d’un CRS sur un jeune au Breil, ces activistes ont participé aux émeutes. Sans pour autant réussir la fusion avec les jeunes des quartiers.

Sans vraiment de succès jusqu’ici, on a souvent vu, dans les fréquentes manifestations nantaises contre les violences policières organisées par l’ultragauche ou la mouvance anarchiste, des appels aux cités.

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Source et article complet

Nos remerciements à Sébastien JALLAMION‏

Violences à Nantes : la crainte de la contagion

Les incidents se sont multipliés dans de nombreux quartiers à Nantes, laissant craindre un embrasement incontrôlable.

La tension ne retombe pas à Nantes (Loire-Atlantique), trois jours après la mort d’Aboubakar Fofana, tué par balle par un CRS, dans le quartier du Breil. D’autant plus que ce dernier a changé sa version des faits, ce vendredi : c’est par accident qu’il a tiré sur le jeune homme, alors qu’il avait d’abord invoqué la légitime défense. D’après les pompiers, une « bonne cinquantaine » de voitures – dont celle de la maire (PS) Johanna Rolland – ont encore été brûlées dans la nuit de jeudi à vendredi.

Plus inquiétant, la fièvre gagne à présent tous les quartiers « sensibles » de la cité des Ducs de Bretagne. À la Bottière par exemple, à l’est de la ville, une station-service a fait l’objet d’une tentative d’incendie. Un autre drame a été évité de peu au lycée professionnel Léonard-de-Vinci : une quinzaine d’individus se sont introduits dans le logement de fonction de l’agent d’accueil de l’établissement, où se terraient sa femme et son fils de 21 ans.

 

 

Une quinzaine d’individus voulaient « cramer le lycée ».

Glenn, qui rentrait tout juste de soirée, filmait « discrètement » l’incendie de sa Citroën C4 dans la rue : il voulait « avoir des preuves » devant son assureur. Sur sa vidéo, on entend alors clairement les incendiaires appeler à « cramer le lycée »… puis passer à l’action, en répandant du carburant au sol de l’appartement de sa famille.

« Je me suis alors manifesté, en leur demandant de nous laisser sortir… Quand ils ont vu qu’il y avait du monde, ils se sont enfuis », raconte Glenn. « Je ne sais pas ce qu’il se serait passé si je n’avais pas été là : ma mère – qui est malvoyante – se serait certainement mise dans un coin, et ils ne l’auraient pas vue. »

Ce vendredi, le lycée gardait donc les stigmates de la nuit précédente : une voiture, brûlée à l’intérieur de l’enceinte, a noirci toute un pan de la façade. Les élèves de Terminale n’ont au passage pas pu consulter les résultats du bac

Mais à vrai dire, l’établissement n’a pas été le seul visé dans le quartier : un bulldozer a aussi été mis à feu sur un chantier de construction de logements sociaux et d’une crèche. Sur le parking d’une résidence voisine, les restes d’une voiture calcinée sont encore présents…

« Cette histoire, c’est un exutoire »

Babacar, responsable informatique de 38 ans, avait lui pris soin de garer sa belle BMW sur le parking sécurisé de son employeur. Depuis le troisième étage de son immeuble, ce nouvel habitant du quartier a eu une « vue privilégiée » sur l’incendie, qu’il a d’ailleurs filmé et posté sur Twitter…

D’emblée, il prévient : il « ne va pas pleurer » sur le sort du jeune de 22 ans tué au Breil, qui était d’abord, pour lui, « un délinquant qui s’exposait à des représailles policières ». « Cette histoire, c’est un exutoire », s’agace-t-il. « Tout est bon pour se défouler : si ce n’était pas ça, cela aurait été le premier jour de l’an ou une défaite au foot. »

Un peu plus loin, Issa est lui venu déposer ses trois enfants à l’école primaire Urbain Le Verrier, qui a elle aussi été dégradée lors de cette funeste nuit. S’il « peut comprendre » l’accès de colère des jeunes, ce chômeur de 30 ans estime d’abord qu’il s’agit d’un problème de « maturité ». « La génération a perdu un des siens, mais ce n’est pas de cette façon qu’il faut réclamer justice… Il faut le faire de façon pacifique : le coupable sera condamné. »

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Emeutes à Nantes : “Il n’y a plus rien!” 2ème réveil difficile à Dervallieres où il ne reste que la banque et le Aldi. Tout le reste des commerces est brûlé par la racaille. (Vidéos)

Nous parlions de Nantes déjà ici.

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Nos remerciements à Victoria Valentini

Émeutes à Nantes : Aboubakar F. était connu de la police pour vol, menace de mort, vol en bande et association de malfaiteurs.

Nous en parlions déjà ici et ici.

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Plusieurs quartiers de Nantes ont été marqués par des violences urbaines dans la nuit de mardi à mercredi après un contrôle de police qui a dégénéré. Mardi 3 juillet vers 20h30, un jeune homme de 22 ans a été tué par la police après avoir refusé de se soumettre à un contrôle d'identité, a indiqué le directeur départemental de la Sécurité publique. (...)

 

 

D'après les informations de BFMTV, le jeune homme qui a été tué était défavorablement connu pour huit rôles au Traitement des antécédents judiciaires, dont vol par effraction, menace de mort, vol en bande organisée et association de malfaiteurs.

Né le 9 juin 1996 et originaire de Garges-lès-Gonesse, il faisait par ailleurs l'objet d'une fiche de recherche en date du 15 juin 2017 pour l'exécution d'un mandat d'arrêt dans le cadre d'une procédure pour vol en bande organisée et recel, avec instruction de procéder à l'interpellation de l'intéressé. Le véhicule qu'il conduisait était par ailleurs inscrit au fichier des véhicules signalés dans le cadre d'une procédure pour trafic de stupéfiants initiée par la DRPJ de Nantes.

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Source et article complet

Nantes : Émeute au Breil après le décès d’un jeune de 22 ans qui a tenté d’écraser des policiers. (Vidéos)

Un contrôle policier a mal tourné, dans le quartier du Breil, à Nantes, ce mardi 3 juillet, dans la soirée. Plusieurs détonations ont été entendues. Un jeune de 22 ans est mort suite à un coup de feu. Le secteur est quadrillé par un important dispositif de sécurité. La Maison des associations est en feu.

Tout est parti d’un contrôle policier. Il était 20 h 30, ce mardi 3 juillet, rue des Plantes, dans le quartier du Breil, à Nantes. Des CRS, qui patrouillaient la cité, ont voulu contrôler le conducteur d’un véhicule.  

« Il a refusé d’obtempérer », indique une source policière. Qui ajoute :  « À ce moment-là, il a fait une marche arrière brusque. Il a heurté un CRS au genou, qui a juste eu le temps de s’écarter. Un de ses collègues a tiré pour arrêter le véhicule. »

Le jeune, âgé de 22 ans, qui aurait été touché au cou, est décédé.  « Sans sommation »,s’énerve un habitant du quartier. L’enquête a été confiée à la police judiciaire.

Très vite, la nouvelle s’est répandue dans le quartier, qui a été rapidement quadrillé par les forces de l’ordre. Des camions de CRS stationnent rue des Plantes.

Des jeunes ont envoyé des projectiles et cocktails Molotov. Les forces de l’ordre ont répliqué par des gaz lacrymogènes. Trois voitures, au moins, ont pris feu.

Peu avant 23 h, c’est un local jouxtant le centre commercial, qui s’est embrasé. Les pompiers sont intervenus en nombre.

 

 

 

« Ce n’est pas une surprise, il fallait que ça arrive », s’agace un trentenaire, qui a grandi ici. La semaine passée, une jeune fille de 13 ans a été blessée, par erreur, à la main en voulant fermer les volets. 

Tout au long de la soirée, plusieurs détonations ont retenti. Des mères de famille sont sorties pour tenter de résonner des jeunes, dont certains étaient cagoulés.  « Toutes les mamans sont dehors. Les jeunes sont cagoulés, ils ne veulent pas en démordre » , raconte une habitante du quartier.

Dans le quartier et aux alentours, de nombreuses personnes ont également entendu les tirs, comme le montre cette vidéo postée sur Twitter :

 

 

Le directeur départemental de la sécurité publique, Jean-Christophe Bertrand et le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès, tous deux présents sur place, ont fait part de leur crainte d’un mort par coup de feu dans les quartiers nantais. Ils ne pensaient pas que ça viendrait d’un tir de policier.

 

Source

Via Suavelos.eu

Nantes : Révolte violente dans un foyer pour mineurs étrangers car on leur distribue de la nourriture alors qu’ils réclament de l’argent

Plusieurs pensionnaires d'un foyer pour mineurs étrangers isolés se sont révoltés à Nantes jeudi. Pourquoi ? Parce que plutôt que de leur donner de l'argent, le département de Loire-Atlantique a décidé de leur fournir directement des repas.

Une révolte a éclaté dans un foyer pour mineurs étrangers isolés (qui sont arrivés en France sans leurs parents, ndlr) à Nantes. Plusieurs pensionnaires se sont mis à casser des vitres, des meubles et des ordinateurs. La police a du intervenir. La raison de leur colère ? Une décision du conseil départemental, qui les prend en charge. Il transforme une partie de l'argent qu'il leur donnait chaque mois en repas.

Les 300 euros versés chaque mois servaient à des achats beaucoup moins légaux que de la nourriture

Jusqu'ici, le département de Loire-Atlantique versait tous les mois 300 euros à chaque pensionnaire de ce foyer où il n'y a pas de restauration. Une somme qui, semble-t-il, servait à d'autres achats, beaucoup moins légaux. Il a donc été décidé de fournir quotidiennement des repas aux pensionnaires du foyer et de ne verser en espèces que 60 euros à chacun d'entre-eux.

Les policiers visés par des projectiles

Certains ne l'ont pas accepté, et se sont rebellés. Les policiers qui sont intervenus à la demande du responsable du foyer, ce jeudi matin, ont été la cible de jets de projectiles avant de parvenir à rétablir l'ordre. L'un des pensionnaires, qui s'était suspendu dans le vide à dix mètres de haut, a finalement été maîtrisé sans qu'il ne se blesse.

Sept jeunes en garde à vue

Sept jeunes gens ont été placés en garde à vue. Ils sont convoqués mi-juillet devant le juge des enfants. Le directeur du foyer a déposé plainte et la sécurité du foyer a été renforcée.

« L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère au logement et à l’enseignement »

40 chambres d’étudiants réservées aux migrants (mineurs isolés), exonération des frais d’inscription, accompagnement social et sanitaire. Voici les clauses de la capitulation de la direction de l’Université de Nantes face à l’occupation menée, dans la faculté, par l’extrême gauche depuis plusieurs jours.

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Nantes. «Sales putes de Blancs! » La manifestation contre l’esclavage en Libye tourne à l’émeute ethnique

25/11/2017 – 20h45 Nantes (Breizh-info.com) – « Sales putes de Blancs! ». Les Nantais auront eu  ce samedi 25 novembre en fin d’après-midi, un bel aperçu de la société multiculturelle apaisée et du vivre-ensemble triomphant. Près de 250 personnes, presque toutes d’origine africaine, ont fait une manifestation sauvage et bloqué les transports en commun au coeur de Nantes, à Commerce puis jusqu’à Chantiers Navals vers 18h00. Pendant ce temps, la police était presque complètement absente et plusieurs personnes (blanches) ont été lynchées par les manifestants.

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France. Nantes : Des Ivoiriens arrêtés pour avoir agressé une contrôleuse à coups de poing dans le tramway

La jeune femme de 29 ans avait reçu plusieurs coups de poing derrière la tête lors d'un contrôle.

Deux jeunes hommes âgés de 16 et 17 ans, soupçonnés d'avoir agressé violemment une contrôleuse dans le tramway de Nantes (Loire Atlantique), ont été interpellés jeudi par la police, révèle France Bleu Loire Océan.

La police a pu remonter leur piste en exploitant les images des caméras de surveillance du tramway. Les deux adolescents, de nationalité ivoirienne, ont ainsi été identifiés et arrêtés jeudi, respectivement à Nantes et Angers (Maine-et-Loire). Ils doivent comparaître devant un juge des mineurs le 22 septembre prochain.

La contrôleuse, sérieusement blessée, avait dû se faire poser plusieurs points de suture après avoir été frappée par ces deux passagers qu'elle tentait de retenir lors dun contrôle dans le tramway le 12 août dernier. Cette agression, précédée d'une autre la veille dans un bus, avait amené les conducteurs et agents de bus et tramways nantais à exercer leur droit de retrait le 14 août, provoquant ainsi de sérieuses perturbations sur le réseau TAN.

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Manif d’extrême gauche anti-Le Pen à Nantes: Les images impressionnantes d’un CRS touché par un cocktail Molotov, la jambe en feu (Vidéo)

Six compagnies de CRS et de gendarmes mobiles - soit plus de 500 hommes - avaient été déployées, ainsi que quelque 200 policiers urbains à Nantes.

Les protestataires brandissaient des pancartes proclamant "FN imposture sociale" ou "Le fascisme ne passera pas".

Les manifestants, appartenant à divers mouvements de la gauche et de l'extrême gauche, s'étaient donné rendez-vous à la croisée des trams, place du Commerce, au coeur névralgique de Nantes, pour dire non à la présence annoncée de la candidate du FN à la présidentielle dans la grande ville portuaire.

Marine Le Pen doit tenir un meeting dimanche après-midi au Zénith.

Parmi les manifestants, quelque 800, dont certains étaient encagoulés, appartenaient à des mouvements de l'extrême gauche, selon des sources policières.

Parmi les dégradations, la porte d'entrée principale de l'hôtel de ville de Nantes a été taguée, du mobilier urbain a été endommagé, des devantures de magasins éventrées par divers projectiles et des pots de peinture.

Des CRS ont également été blessées, en témoignent les images spectaculaires diffusées par la chaîne France Info.

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Nos remerciements à Monsieur Lochaberaxe

Nantes : il urine sur un crucifix dans la basilique Saint-Nicolas, « pas une profanation » selon le parquet

Hier, en fin d’après-midi, vers 17 h 30, un homme est entré dans la basilique Saint-Nicolas, en plein cœur de Nantes. Il a jeté un crucifix à terre et a uriné dessus avant de prendre la fuite. Les recherches entreprises par la police n’avaient pas permis de le retrouver ce matin. D’après le parquet de Nantes, il ne s’agit pas d’une profanation, car il n’y a pas eu ni d’inscription, ni de déclaration particulière faite par le suspect. Le délit serait plutôt celui de dégradation d’un monument historique.

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