Italie : Mare-Nostrum « Le gouvernement réquisitionne les maisons et les maires lèvent les barricades ».
Les communes se rebellent contre de possibles expropriations pour accueillir les immigrés. Autre initiative : les réfugiés vont à l’hotel Di Venezia pour payer les hôteliers en crise.
On sait que les préfets ne savent plus quels poissons prendre pour gérer l’urgence de l’immigration mais le diktat de ce Préfet de Brescia est incroyable: « je suis prêt à réquisitionner des endroits publics et privés pour donner l’hospitalité aux étrangers. »
Le dernier ultimatum a fait faire la grimace à beaucoup de maires. L’un d’entre eux a pris un papier et un stylo et renvoyé à l’expéditeur la menace: Je somme « de réquisitionner n’importe quelle structure immobilière et/ou publique, privée du territoire de la Commune – Andrea Blancs, maire de Trenzano et » sans le consentement préalable (indispensable) du propriétaire légitime. »
Nerfs à fleur de peau avec la situation où l’on voit des débarquements (Opération Mare Nostrum) en continus, cela ne peut qu’empirer. (…)
Cette escalade est partie du constat qu’il n’y avait pas assez d’offres de la part des communes pour l’accueil de cette invasion d’immigrés. (…) La préfecture cherche donc, de toutes les manières possibles de convaincre les maires en assénant que « l’immigration c’est beau ». Sans résultat.
Ainsi, le 20 août, est sortie une circulaire accompagnée d’article d’un journal local dans lequel on disait que « Le réfugié ne vole pas le travail, il le créé ». (…)
Le préfet fait tout pour persuader les maires d’ouvrir leurs portes aux nouveaux arrivants. La menace est la suivante : « La situation qui est en train de se dessiner… pourrait contraindre dans l’immédiat ce bureau à adopter des solutions qui permettent d’affronter l’urgence… consistants dans l’adoption de mesures de réquisition d’urgence de structures aptes… arts anciens. 2 du T.U.L.P.S… » (…)
Si le préfet de Brescia menace d’expropriations, celui de Venise va à 4 pattes vers Federalberghi (associations des hôteliers) pour avoir la liste des « structures de dimensions modestes et de moyennes classes » pour pouvoir placer un peu d’étrangers. C’est le raisonnement de ce préfet à bout, qui pense qu’avec 35 euros par jour pour chaque immigré, les hôteliers pourraient se faire une « seconde » saison vue le climat. (…)
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