La justice française veut punir un Suisse pour atteinte à l’islam

Le 10 février 2016, un Suisse, Alain Jean-Mairet, ex-directeur de Riposte Laïque Suisse, était assigné devant la 17e chambre du Tribunal de grande instance de Paris, pour avoir publié le texte d'un Tunisien, Salem Benammar, intitulé "Et si l’islam était le culte de la perversion sexuelle et morale ?".

Une vidéo de Riposte Laïque

Berne: L’affiche UDC “Des Kosovars poignardent un Suisse!” devant la Cour suprême

La Cour suprême du canton de Berne se penche mardi sur l'affaire de l'affiche UDC "Des Kosovars poignardent un Suisse!". Le secrétaire général du parti Martin Baltisser et sa suppléante Silvia Bär ont été condamnés pour discrimination raciale en première instance.

Invoquant la liberté d'expression, ils ont fait appel du jugement prononcé en avril 2015 par le Tribunal régional de Berne-Mittelland. Il doit être possible de représenter un fait tel qu'il s'est produit, ont-ils argué. L'affiche thématisait l'agression dont avait été victime un lutteur, candidat sur les listes UDC au Grand conseil bernois, en 2011 à Interlaken.

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Christian Hofer: Etrangement, aucun procès pour racisme contre les Kosovars ni contre notre gouvernement qui laisse entrer une pareille racaille mettant en danger la vie de nos compatriotes.

Pour rappel: La victime, un lutteur buvait tranquillement une bière avec un ami sur la terrasse de l’établissement quand un taxi s’est arrêté devant eux pour laisser sortir les deux agresseurs. Ces derniers ont alors crié «Sales Suisses! Bandes de cons!», raconte un témoin au «Blick».

La victime leur aurait demandé ce qui se passait. «Il a ensuite pris son verre de bière et fait semblant de les asperger», précise le témoin. «Un des Kosovar a alors directement sorti un couteau et le lui a planté dans la gorge. Son sang giclait partout.»

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La justice française est-elle compétente pour juger le président suisse de Riposte Laïque ?

Ce mercredi 10 février, le directeur de publication de Riposte Laïque, le Suisse Alain Jean-Mairet, à l’époque président de Riposte Laïque Suisse, était convoqué devant la trop célèbre 17e chambre parisienne.

Son crime ? Avoir autorisé la diffusion, le 19-10-2014, d’un article de Salem Ben Ammar, intitulé : Et si l’islam était le culte de la perversion sexuelle et morale ? ».

http://ripostelaique.com/et-si-lislam-etait-le-culte-de-la-perversion-sexuelle-et-morale.html

La procédure ayant amené notre président de l’époque de RL devant les tribunaux français, mérite d’être connu. Aucune association musulmane n’a déposé plainte. Mais la Licra, plus islamo-collabo que jamais, a fait le travail faisant un signalement au Parquet. Des termes qui rappellent « les heures les plus sombres de notre Histoire ». Auparavant, cette officine, qui rappelle les polices politiques des régimes autoritaires, avait sommé notre président suisse de retirer le texte incriminé. Celui-ci les avait éconduits poliment, et leur avait suggéré de s’intéresser aux organisations musulmanes, et aux pays où la charia est la loi.

Le procureur Solène Gouverneyre, zélée relais des prétendus antiracistes, a donc décidé d’instruire la plainte, et la Licra, tranquillement, s’est portée partie civile, pour toucher les dividendes de ses basses oeuvres, espérées à 3000 euros. Elle n’est pas belle, la vie ?

Sauf que notre avocat, Maître Stéphane Haddad, a déposé trois demandes d’irrecevabilité de cette nouvelle plainte des vopos de l’antiracisme.

Il a d’abord démontré que la France, et la 17e chambre, n’ont pas de légitimité  juridique pour se prononcer contre un directeur suisse, qui ne doit répondre que du droit suisse (qui sanctionne les mêmes infractions qu’en France).

Il a montré, par l’absurde, ce qu’allaient devenir les tribunaux, si les pseudo-antiracistes se permettaient d’attaquer des sites situés dans tous les autres pays du monde, en arguant que les textes sont disponibles en France. Il interpella les plaignants, leur demandant ce qu’ils attendaient pour déposer plainte contre Donald Trump, qui a affirmé que plus un seul musulman ne doit mettre les pieds sur le sol américain.

Il affirma, d’autre part, que la Licra n’a pas le statut, ni a reçu de mandat, pour s’ériger en police de la pensée internationale, et que son rôle doit se cantonner à la seule France.

Enfin, il montra que la loi concernant les directeurs de journaux ne s’applique qu’aux directeurs de publication français, et donc pas à Alain Jean-Mairet.

De manière très péremptoire, Sabrina Goldman, caricature de la petite bourgeoise de gauche bien née, glapit que le droit est très clair, et qu’il y a délit partout où le texte est diffusé.

Mais ce fut le procureur Solene Gouverneyre – qui a osé faire condamner la page une de Minute et celle de Valeurs Actuelles, et a requis contre Eric Zemmour – qui se montra la plus virulente.

Elle expliqua au tribunal que la stratégie de Riposte Laïque était cousue de fil blanc. Elle consistait, selon elle, à se « cacher » à l’étranger, et à multiplier les changements de directeurs de publication, pour compliquer la vie de la justice. Ainsi, elle expliqua que maintenant, c’était une Marocaine vivant en Thaïlande, Madame Khadija Ait M’Barek, qui avait succédé à Alain Jean-Mairet.

Selon elle, Riposte Laïque va au bout de sa logique, pour tenter d’échapper à la justice française. Elle vit dans cette stratégie la volonté de se créer un boulevard pour proférer des « propos racistes et antisémites ».

Elle cita étonnamment le nom de Pierre Cassen, et expliqua qu’elle voyait dans la stratégie de Riposte Laïque l’habile volonté de créer une irresponsabilité pénale du site, s’ajoutant à l’utilisation de multiples pseudos d’auteurs profitant de l’anonymat pour proférer des « propos haineux » et des « appels à la violence et à la provocation ».

Naturellement, Maître Haddad fit tout de suite les mises au point qui s’imposaient, et, curieusement, quand il affirma qu’il n’aurait pas défendu un site tenant des propos racistes et antisémites, l’avocate de la Licra faillit défaillir.

Il n’empêche que le tribunal devait statuer sur la demande d’incompétence territoriale de la France, pour juger notre président suisse Alain Jean-Mairet. Les juges se retirèrent un quart d’heure, et la présidente expliqua que le verdict serait rendu le 6 avril prochain, mais que cela ne s’opposait pas à la continuation du procès.

Nous attendrons donc avec intérêt la réponse de la 17e chambre, sur cette question essentielle soulevée par notre avocat, Maître Haddad.

Jeanne Bourdillon

Paru ce jour sur RL

72 heures après le Bataclan, Taubira ose convoquer le président suisse de RL

Par

Les socialauds ne reculent devant rien. Non contents de harceler notre journal, par quatre plaintes de Cazeneuve, une de leur mécène Pierre Bergé, une d’Hidalgo, une de leur servile chef des flics Méric, ils osent se couvrir de ridicule, 72 heures après le massacre de Paris, et les 125 morts innocents (qu’il faut différencier des assassins islamistes).

 

Le dernier exploit de la justice Taubira ? La convocation, par le juge d’instruction Caroline Genin, de notre directeur de publication suisse, le 2 décembre 2015, au tribunal de Paris.

Le crime qui est reproché à notre responsable ? Avoir, le 20 décembre 2012 (bientôt 3 ans !) autorisé la publication d’un article de notre regretté ami Roger Heurtebise, intitulé : Mourad Ghazli, le syndicaliste qui roule pour les barbus de la RATP.

http://ripostelaique.com/mourad-ghazli-le-syndicaliste-qui-roule-pour-les-barbus-de-la-ratp.html

Dès le début du courrier, le juge explique qu’il envisage de mettre en examen notre ami, rien de moins ! On s’attendrait au moins à en comprendre les raisons précises. Y a-t-il eu dans l’article des passages réellement diffamatoires ? On n’en saura rien, puisque, sans se compliquer la vie, Caroline Genin fait un copier coller de l’article, et termine en écrivant : Diffamation publique envers un particulier.

Le pire est que Ghazli, connu pour manger à tous les râteliers (encore une plainte ?) a multiplié les procédures judiciaires à notre encontre, déposant quatre plaintes, plus invraisemblables les unes que les autres, toutes instruites par la justice Taubira, qui a, par ailleurs, débouté une plainte de Christine Tasin, instruite par notre regretté avocat Maître Scipilliti, contre l’islamo-collabo Askolovitch, pour un prétendu vice de forme !

http://ripostelaique.com/relayez-publiez-ces-4-articles-de-riposte-laique-que-mourad-ghazli-veut-faire-interdire.html

Cette convocation est un triple scandale. D’abord parce que notre justice, déjà encombrée (voir les délais) est dévoyée par des plaintes qui, comme celles de Ghazli, ne devraient jamais être instruites.

Ensuite, quelle terrible symbole, qui résume tellement le régime de Hollande, Taubira et leur clique, que de constater que le directeur de publication d’un site qui alerte nos compatriotes sur la réalité de l’islam depuis huit ans se retrouve convoqué, alors que les faits de ces dernières heures montrent que nous avions raison.

 

Enfin, elle tombe en ce jour où nous avons appris qu’un des huit terroristes musulmans, Samy Amimour, était machiniste à la RATP. Or, la plainte de Ghazli vient de la mise en ligne de la vidéo de Guy Sauvage, dans laquelle il a tombé le masque, en attaquant les femmes machinistes, le premier, confirmant ainsi que, bien que franc-maçon, il était avant tout musulman.

http://www.lejdc.fr/page-8/france-monde/actualites/a-la-une/national/2015/11/16/attentats-le-kamikaze-samy-amimour-etait-alle-en-syrie-il-y-a-deux-ans_11666016.html

Un gouvernement digne de ce nom devrait présenter des excuses à Riposte Laïque, pour l’ensemble du harcèlement judiciaire que nous subissons, depuis des années. Il devrait retirer les plaintes qui ont été déposées contre nous, et poursuivre ceux qui les ont orchestrées. Il devrait rembourser ceux de nos contributeurs, notamment Pascal Hilout et Pierre Cassen, qui ont été condamnés à verser aux racketteurs de l’antiracisme et à l’Etat près de 25.000 euros. Il devrait également rembourser à RL l’ensemble des frais de justice que ces procès en sorcellerie nous ont coûtés, et nous coutent encore.

Non seulement ils n’en font rien, mais ils voudraient, en outre, que notre président suisse se déplace en France, paie son transport, perde une journée de travail ?

Eh bien, c’est non, nous ne nous déplacerons pas, et nous assumons les conséquences de ce choix.

Jeanne Bourdillon

Article publié en priorité sur RL

Lausanne: Il se défend avec un poing américain contre des agresseurs maghrébins multirécidivistes, il est poursuivi par la justice

«Les enfants me montrent du doigt à cause de mes cicatrices, confie David*. J'ai déprimé. J'ai peur de sortir le soir. Je me méfie des étrangers. J’ai subi quatre à six mois de traitement.» Avec la justice. Agressé deux fois en quelques semaines à Lausanne, il a acquis deux poings américains et un couteau à cran d'arrêt. C’est en se défendant de deux agresseurs au couteau en novembre 2013 qu'il en a blessé un.

Les poings américains ont permis de résoudre une partie de l'affaire: du sang a tracé l'un des auteurs de l'agression, un Algérien détenu en Italie. Son complice, un Tunisien de 25 ans, a été arrêté alors qu'il tentait de rejoindre l'Italie en train. Il venait d’arriver d’Italie où il avait purgé des années de prison. Il avait aussi été condamné à Sion.

Durant la même nuit, avec son ami tout aussi illégal en Suisse, il a agressé trois personnes, dont David. «Ils étaient agressifs, menaçants. Je n'ai pensé qu'à ma survie», a raconté l'une des deux autres victimes.

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Justice Taubira : la légitime défense contre un délinquant vous vaudra une peine de prison

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jean-yves-le-gallouPar Jean-Yves Le Gallou
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Jusqu’à quel point peut-on aller pour défendre sa peau ? La réponse du droit français est simple, sur le papier : il faut que la légitime défense soit nécessaire, simultanée et proportionnée à l’agression encourue. Mais dans les faits, il est toujours difficile pour la victime de connaître les réelles intentions et les armes de l’agresseur. Et dans ces temps de compassion en faveur des délinquants, la légitime défense, nécessaire à la sécurité des citoyens, est de moins en moins reconnue.

Italie : Désormais, les délits “mineurs” pourront être classés sans suite…

Les juges pourront classer sans suite certains délits (comme la violation de domicile) et éviter que cela ne finisse au tribunal.

Après avoir abrogé le délit de clandestinité il y a environ une année, le système judiciaire italien a subit un changement révolutionnaire voulu par le gouvernement Renzi concernant les délits mineurs. Cette nouvelle "justice" est effective depuis le 2.04.2015.

Une liste impressionnante de délits ne seront plus poursuivis automatiquement. Les juges italiens pourront décider en "leur âme et conscience" de classer purement et simplement un dossier.

En apprenant cette nouvelle,  j'ai d'abord pensé à un hoax. J'ai alors fait quelques recherches qui ont toutes abouti au même résultat : cela semblait authentique. Encore sceptique, j'ai alors appelé notre ami Armando Manocchia (rédacteur en chef de Imola.oggi ) qui m'a confirmé que tout était rigoureusement vrai.

Ce changement majeur dans la justice italienne a été applaudi par la majorité des magistrats  (m'a-t-on glissé dans l'oreillette), qui demandaient cela depuis des années. Le juge deviendra donc maître absolu pour décider de poursuivre ou non.

Les mêmes dispositions seront-elles bientôt exigées en Suisse par nos associations bien-pensantes et par certains politiciens ? On est en droit de se poser la question... Gardons donc grand ouverts nos yeux et nos oreilles pour s'y opposer quand le moment viendra, car n'en doutons pas, il viendra.

Le chaos, c'est pour maintenant....

Danielle Borer

 

Voici une partie des délits "mineurs" concernés :

- Violation de domicile

- Vol simple

- Lésions corporelles involontaires

- Violence privée

- Escroquerie

- Accès abusif à un système informatique

- Fraude informatique

- Attentat à la sécurité des transports

- Exercice abusif d'une profession

- Conduite en état d'ivresse ou sous l'influence de substances stupéfiantes

- Non assistance à personne en danger

- Détention de matériel pédo-pornographique

- Diffamation

- Rixes

- Injures

- Actes obscènes

- Arrestation illégale

- Commerce de substances alimentaires nocives

- Injures

- Menaces

Liste complète en italien  ICI

 

 

Genève: Le travail d’intérêt général est une foutaise!

- Les petites peines au profit de la collectivité publique font un bide à Genève. 

- L’autorité manque de personnel pour encadrer les condamnés devant soutenir les aînés en EMS ou nettoyer les parcs, tags, transports publics…
- Cette sanction est généralement assortie du sursis.

Le travail d’intérêt général (TIG) ne fonctionne pas à Genève. Cette sanction, qui permet notamment de désengorger les prisons pour des peines de moins de six mois, est un leurre. Pour n’avoir pas payé une pension ou encore être responsable d’un accident, ces petits condamnés n’iront pas forcément aider dans un EMS, une institution sociale, ni même balayer dans un parc. Et encore moins effacer des tags ou poutzer des bus. Notre canton pratique en effet à dose homéopathique cette forme de sanction pénale.

Pourquoi un tel laxisme par rapport aux autres cantons ? A entendre des membres du barreau, magistrats et autres pénalistes, c’est parce que le canton n’a pas suffisamment d’infrastructures, de personnel pour encadrer ces «petits» condamnés. Du coup, dans la majorité des cas, les juges préfèrent assortir la condamnation d’un sursis.

Volontaire

Mais pour le Département de la Sécurité et de l’économie (DSE), le problème est ailleurs: «Le condamné doit être volontaire, le juge ne peut pas le forcer, contrairement aux mineurs», rappelle Laurent Forestier, Secrétaire général adjoint chargé de communication au DSE.

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La nouvelle mesure Taubira : les victimes devront aider leurs bourreaux à se reconstruire

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Aujourd’hui c’est au tour de la justice réparatrice comme citée plus haut, dont le principe est de permettre aux bourreaux de se reconstruire, pire c’est à la victime de faire ce travail. Par exemple, des parents ont été dans l’obligation d’entretenir une correspondance avec le meurtrier de leur fils. Un peu comme si on voulait faire revivre deux fois la douleur de la perte de leur enfant.

[...]

Article complet

Paris : Scandale politico-judiciaire

LES " FEMEN" RELAXEES ! LES AGENTS DE SECURITE CONDAMNES !

 

Les neuf hystériques du groupe féministes Femen qui avaient profané la cathédrale Notre-Dame de Paris le 12 février 2013 y pénétrant dépoitraillées en hurlant des slogans provocateurs et causant des dommages évalués à 7176 euros ont été relaxées ce matin par le tribunal correctionnel de Paris.

Les agents de sécurité qui s'étaient opposés à leur irruption et qui les avaient reconduites manu-militari sont eux condamnés à des peines d'amende avec sursis.

Verdict à comparer à la condamnation délirante d'Anne-Sophie Leclere (neuf mois de prison ferme) qui s'était contentée de caricaturer Christiane Taubira en guenon. On est bien forcé de constater que le culte de l'antiracisme a remplacé dans notre pays les cultes plus anciens.

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Délinquance en France : “Le phénomène s’amplifiera jusqu’au séisme politique”

Pour le criminologue Xavier Raufer, l’augmentation des violences est la conséquence d’une justice qui refuse d’appliquer les bonnes méthodes.

Incivilités, violences, crimes, chaque jour amène son lot de faits divers. Pour beaucoup, la France est devenue invivable. Comment en sommes-nous arrivés là ?

À partir du moment où la justice cesse d’exister, où le système judiciaire s’effondre, l’être humain retourne à l’état de nature. Cela a toujours été vrai, quel que soit l’endroit, quelle que soit l’époque. Or, depuis quelques années, particulièrement depuis 2012, la justice est en roue libre. Christiane Taubira a décidé que les voyous étaient innocents. Ces gens-là ne sont pas idiots, ils savent dès lors qu’ils n’ont plus rien à craindre. D’où le tsunami de vols, de violences, de crimes…

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Chauffeur de taxi agressé: «Ils ont détruit ma vie»

«Ils ont détruit ma vie. Je ne comprends pas. Je n'ai rien fait.» Milo, un retraité de 66 ans ajoutant un petit revenu de chauffeur de taxi à mi-temps à sa rente AVS, s'est retrouvé sur le banc d’infamie du tribunal correctionnel de Lausanne. Sa faute: avoir frappé l'un des deux agresseurs qui l'avaient attaqué pour le voler en janvier 2013.

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Socialisme: Gracié par Mitterrand, un violeur multirécidiviste de nouveau arrêté pour agression sur mineure

Luc Tangorre a encore récidivé. Ce violeur en série bien connu des services de police a été arrêté dimanche au Grau-du-Roi (Gard), suspecté « d’agression sexuelle sur mineur de moins de 15 ans ». Il aurait touché les parties intimes d’une enfant de 12 ans sur une aire de jeux, mais nie les faits d’après Le Midi Libre.

Un habitué des prisons

Le cinquantenaire avait déjà été condamné à deux reprises. En 1983, il avait écopé de 15 années de prison pour quatre viols, une tentative et six attentats à la pudeur. Il avait été remis en liberté en 1988, bénéficiant d’une grâce partielle du président François Mitterrand. En 1992, Luc Tangorre avait de nouveau été condamné à 18 ans de prison pour le viol de deux étudiantes américaines. Il avait retrouvé la liberté en septembre 2000.

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Genève: L’agresseur iranien est laissé libre par le magistrat

Les hommes attaqués au cutter la semaine passée ne comprennent pas pourquoi leur agresseur est libre.

Bisounours-2

"Il a été entendu par les agents et par le procureur, puis laissé libre», indique le Ministère public. De manière générale, si le magistrat estime qu'il n'y a pas de risque de récidive, de fuite ou de collusion, le suspect est relâché dans l'attente d'une décision de la justice."

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