France : “Lorsque j’ai abordé le génocide arménien, deux élèves turcs m’ont demandé de retirer mes propos car j’avais offensé leur culture”

Dans le premier comme le second degré, selon une étude de la Fondation Jean-Jaurès publiée le 6 janvier, les enseignants cèdent de plus en plus à l'autocensure avant d'aborder les questions de la religion et de la laïcité. Des professeurs témoignent de leurs difficultés face aux sujets sensibles.

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Emmanuelle a, en stock, bon nombre d'anecdotes. Ces discussions qui ont dégénéré sur la question du foulard à l'école, sur l'absence de repas Halal à la cantine, sur l'égalité hommes-femmes et même sur certains génocides. "Ils sont relativement peu informés, les arguments sont souvent faibles, mais la virulence des mots est une constante, souligne-t-elle.

Dernièrement, nous avons eu une discussion sur le génocide arménien. Deux élèves d'origine turque m'ont demandé de retirer mes propos, soutenus par une bonne partie des élèves au motif que j'avais offensé leur culture. J'ai simplement dit que ce génocide était une réalité historique, rien de plus".

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Marianne.net


Note : Ce journal de gauche se garde bien de parler de christianophobie et prétend qu'il s'agit d'un problème de "laïcité". C'est ainsi que la persécution des chrétiens est niée par la gauche alors que ce sont justement les gauchistes qui ont milité pour le multiculturalisme et l'immigration musulmane dans nos pays.

Le chef de l’OMS, Tedros Ghebreyseus, est accusé d’avoir contribué au génocide en Éthiopie par le candidat au prix Nobel de la paix

 Rachael Bunyan  - Le chef de l’OMS Tedros Ghebreyseus est accusé d’avoir contribué au génocide en Éthiopie: un candidat au prix Nobel de la paix dépose une plainte auprès de la Cour pénale internationale

  • L’économiste américain David Steinman a accusé le chef de l’OMS d’être l’un des trois responsables qui ont dirigé les forces de sécurité d’Ethopia de 2013 à 2015
  • Tedros, qui nie les allégations, a été ministre des Affaires étrangères de l’Éthiopie jusqu’en 2016
  • La plainte a été déposée devant la Cour pénale internationale de La Haye

Un candidat au prix Nobel de la paix a accusé le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé d’avoir prétendument aidé au génocide en Éthiopie.

L’économiste américain David Steinman a accusé le chef de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus, 55 ans, d’être un «  décideur crucial  » qui a dirigé les actions des forces de sécurité éthiopiennes de 2013 à 2015.

Il a accusé Tedros d’être l’un des trois fonctionnaires chargés des services de sécurité pendant cette période, au cours de laquelle le «meurtre» et la «torture» d’Éthiopiens ont eu lieu.

Tedros a été ministre des Affaires étrangères du pays jusqu’en 2016, lorsque son parti du Front de libération du peuple du Tigray était au pouvoir. [...]

article complet: https://www.fr24news.com/fr/a/2020/12/le-chef-de-loms-tedros-ghebreyseus-est-accuse-davoir-contribue-au-genocide-en-ethiopie-par-le-candidat-au-prix-nobel-de-la-paix.html

Arménie : Cet été, Erdogan avait déclaré “‘Nous finirons ce qui a été commencé en 1915’ (le génocide)”

“Cet été, Erdogan a lui-même dit ‘Nous finirons ce qui a été commencé en 1915’ (le génocide). Ne le laissons pas faire et réagissons avec notre plus puissante arme qui est la prière.”

Union des Eglises Evangéliques Arméniennes de France et Espoir pour l’Arménie lance un appel à la prière en faveur de l’Arménie. Via le site Action Chrétienne en Orient, ils encouragent à prier pour “la cessation des combats entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie”.

Le texte transmis commence par rappeler le contexte et l’instauration de la loi martiale, qui oblige tous les hommes de moins de 55 ans à partir au front.

“Dimanche matin 27 septembre, l’Arménie a été la cible d’attaques de son voisin azéri. D’abord, à la frontière du Karabagh, puis, depuis lundi, dans la ville de Vardenis, sur le territoire même de l’Arménie. La loi martiale a été décrétée et les hommes de moins de 55 ans sont appelés sur le front. Depuis, le peuple entier, qui luttait déjà avec le Covid, vit dans la sidération d’une guerre.”

Puis, rapidement, l’émotion se mêle à l’urgence.

“Les mots me manquent pour vous dire ce qu’il se passe là-bas. Au moment où j’essaie d’écrire ce message, je reçois des demandes de prière d’amis sur place pour des étudiants des GBU (Groupes Bibliques Universitaires), pour des frères, pour des amis qui sont partis sur le front, et dont on n’a pas de nouvelles. Comme vous pouvez l’imaginez, ce sont des jeunes qui n’ont jamais combattu et qui se trouvent face à des mercenaires syriens. Ce pourrait être l’un de nous aujourd’hui. Les mots me manquent.”

Une “mobilisation intense dans la prière dans le monde entier” est demandée. L’auteur de la lettre rappelle les mots de Recep Tayyip Erdogan :

“Cet été, Erdogan a lui-même dit ‘Nous finirons ce qui a été commencé en 1915’ (le génocide). Ne le laissons pas faire et réagissons avec notre plus puissante arme qui est la prière.”

Infochretienne.com


Rappel :

La Turquie a toujours refusé de reconnaître le génocide arménien, en prenant clairement les chrétiens pour des imbéciles.

Lyon : le mémorial du génocide arménien profané par des militants d’extrême gauche et des militants pro-turcs

Lyon : Le Conseil arménien condamne la « profanation » du mémorial de Lyon par des anti-Macron

DEGRADATIONS Des tags anarchistes et anti-Macron ont été découverts sur le monument

Le Conseil de coordination des organisations arméniennes en France (CCAF) a condamné dimanche la « profanation » du mémorial du génocide arménien, situé dans le centre-ville de Lyon, par des individus qui ont tagué sur le monument des slogans anarchistes et anti- Macron.

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20 Minutes
Via Fdesouche

Mahmoud Abbas est tombé plus bas que jamais

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Michel Garroté  --  J'aimerais revenir sur un point évoqué par Les Observateurs. Pour l'ambassadeur américain en Israël, le dirigeant palestinien Mahmoud Abbas est "tombé plus bas que jamais". En effet, Mahmoud Abbas a affirmé que le rôle social des juifs, dans le secteur bancaire notamment, était à l'origine des exterminations passées.
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Le génocide des juifs d'Europe lors de la Seconde guerre mondiale ne serait pas le fruit de l'antisémitisme mais du poids de cette communauté, notamment dans le secteur bancaire, allègue Mahmoud Abbas. Des responsables américains et israéliens ont condamné les propos du président palestinien Mahmoud Abbas, qui a suggéré que le rôle social des juifs, dans le secteur bancaire notamment, et non pas l'antisémitisme serait à l'origine de massacres passés.
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A Paris, on déclare : « La France partage l’émotion suscitée par ces propos du président Abbas. Nous les déplorons et considérons qu’ils sont à la fois faux, malheureux et inopportuns », dans un communiqué, qui préfère donc « déplorer » plutôt que « condamner », une nuance pas anodine dans le langage diplomatique.
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Le dirigeant palestinien - déjà accusé d'antisémitisme dans le passé - a donc clairement déclaré, concrètement, lors d'une réunion politique à Ramallah, en Judée-Samarie (Cisjordanie), que les activités des juifs dans le domaine bancaire avaient suscité l'hostilité à leur égard. "Du 11ème siècle jusqu'à l'Holocauste qui s'est produit en Allemagne, les juifs vivant en Europe de l'ouest et de l'est ont été la cible de massacres tous les 10 ou 15 ans. Mais pourquoi est-ce arrivé ? Ils (les juifs) disent : parce que nous sommes juifs", a déclaré Mahmoud Abbas devant des centaines de délégués du Parlement de l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP).
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Abbas a ensuite cité "trois livres" écrits par des juifs comme "preuves" du fait que "l'hostilité contre les juifs n'est pas due à leur religion, mais plutôt à leur fonction sociale", en précisant qu'il voulait dire "leurs fonctions sociales liées aux banques et aux prêts à intérêts".
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
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Cour européenne des droits de l’homme: Contrairement au génocide juif, le génocide des chrétiens arméniens peut être nié

Rappel éclairant d'un fait qui date de 2015 et qui démontre toute la fourberie immonde de cette institution, hiérarchisant les morts chrétiens comme étant moins importants. C'est une position clairement raciste.

Et qui donc milite pour que cette cour soit prise en considération en Suisse? La gauche.

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La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a jugé, jeudi 15 octobre, que le fait de nier l’existence du génocide arménien ne devait pas être passible de poursuites.

Un raisonnement que les juges de Strasbourg n’appliquent pas, en revanche, aux discours négationnistes portant sur la Shoah.

Quelles limites à la liberté d’expression ? Délicate en soi, la question l’est encore plus lorsqu’elle porte sur le sujet très sensible du génocide. Depuis la loi Gayssot (1990), la France sanctionne les discours niant la réalité de la Shoah mais se refuse, en revanche, à faire de même pour les autres génocides (arménien et rwandais) ou les crimes contre l’humanité (traite négrière).

Non sans donner lieu à controverses. Pour preuve, le Conseil constitutionnel devra dans les prochaines semaines se prononcer sur cette disparité de traitement entre les différents auteurs de discours négationnistes. Dans ce contexte, la décision rendue par la CEDH s’avère cruciale.

Le raisonnement de la CEDH

Les juges européens ont sanctionné la Suisse pour avoir condamné un homme politique turc, Dogu Perinçek, qui avait déclaré que les déportations et massacres subis par les Arméniens en 1915 ne constituaient pas un génocide. Par cette condamnation, la Suisse a, selon la CEDH, porté une atteinte disproportionnée à la liberté d’expression consacrée par la convention européenne des droits de l’homme.

Les juges précisent par ailleurs que des poursuites peuvent être engagées lorsque des propos négationnistes s’accompagnent d’un discours de haine ou d’intolérance. Mais, en l’espèce, ils estiment que ce n’était pas le cas.

(...)

Quid de la Shoah ?

La décision des juges européens était par ailleurs attendue du fait d’une autre actualité : la saisine toute récente du Conseil constitutionnel sur la loi Gayssot. Les Sages doivent en effet se prononcer tout prochainement sur le fait de savoir s’il est ou non conforme à la constitution de pénaliser les discours négationnistes visant la Shoah, et non ceux portant sur le génocide arménien.

« La CEDH réserve un sort à part à la Shoah », décrypte Nicolas Hervieu, juriste en droit public et spécialiste du droit européen. Au détour d’une phrase en effet, les juges précisent ainsi que « dans les affaires concernant des propos se rapportant à l’Holocauste, la Cour a – pour des raisons tenant à l’histoire et au contexte – invariablement présumé qu’ils pouvaient être regardés comme une forme d’incitation à la haine ou à l’intolérance. » Les Sages du Conseil constitutionnel reprendront-ils à leur compte un tel argumentaire ? Réponse dans les semaines à venir.

Source et article complet

Un Père chrétien: “Le Pape a tort. Quand les musulmans seront majoritaires en Europe, ils vous domineront, comme ils nous ont toujours dominés ici en Irak”

An Kawah, dans la banlieue d'Erbil, est peuplée majoritairement de chrétiens qui ont fui l'avancée de Daesh. C'est là que se réunit l'Hadyab Society for Competencies, rassemblant des universitaires, des ingénieurs, des biologistes, des médecins, tous chrétiens. Ce soir-là, le docteur Gérald Bidawid présente aux participants une carte colorée : la première esquisse de la future région autonome de la Plaine de Ninive. Ninive nous ramène à la Bible. Il s'agit d'une des plus anciennes cités de Mésopotamie. La capitale d'un empire assyrien, sept siècles avant Jésus-Christ. C'est aujourd'hui un territoire occupé par l'organisation État islamique, entre Mossoul et la région autonome du Kurdistan.

Une véritable hémorragie

« Il y avait 1,5 million de chrétiens au temps de Saddam Hussein. Combien en reste-t-il aujourd'hui ? 300 000 ? 400 000 ? Chaque jour, des familles entières quittent le pays, pour l'Europe ou les États-Unis. Si nous voulons stopper cette hémorragie, il nous faut un territoire autonome, protégé par l'ONU », explique Gérald Bidawid, neveu de Raphaël 1er Bidawid, l'ancien patriarche catholique chaldéen de Babylone. Il est diplômé de l'Institut Pasteur, dispose d'un passeport français, et préside l'International Industriel MedicalGroup, basé dans le canton de Fribourg, en Suisse.

Accueillir d'autres minorités

Gérald Bidawid se rendra à la fin du mois à Paris, à Bruxelles et à Berne pour présenter cette initiative et recueillir les premiers soutiens. « J'ai travaillé sur le projet de constitution de la région autonome du Kurdistan, je me penche sur celui d'un gouvernorat des minorités dans la Plaine de Ninive », précise Muna Yukhana Yaku, professeur de Droit international (*). Les chrétiens, qui ont toujours vécu dans cette région en bonne entente avec les Yazidis, veulent proposer à cette minorité persécutée de les rejoindre. La Plaine de Ninive pourrait s'ouvrir à d'autres petits groupes, comme les mandéens, les Shabaks, les Kakaïs. Des populations inconnues à l'extérieur de l'Irak, car leurs membres ne peuvent souvent que se marier entre eux.

Certes, les chrétiens sont accueillis au Kurdistan, ils disposent même d'une poignée de députés au Parlement régional. Ils ne font pas l'objet de discriminations. « Mais nous sommes des Arabes, pas des Kurdes. Il nous faut un territoire où nous pourrons nous gérer, un peu sur le modèle des cantons suisses. Si la communauté internationale ne nous soutient pas, ne nous protège pas, il n'y aura plus un seul chrétien en Irak dans dix ans », prévient le neveu de Raphaël 1er Bidawid, qui a été en 1956 le plus jeune évêque du monde.

Cohabitation difficile avec les musulmans

La grande majorité des chrétiens rencontrés en Irak osent briser un tabou : celui de la cohabitation avec les musulmans. « Nous avons passé des années à Mossoul, en cherchant à aider les autres, à être des humains parmi les humains. Je pensais que nos voisins musulmans étaient des amis. Eh bien, ils ne nous ont même pas cachés quand Daesh est arrivé. Nous avons dû fuir à pied, sans pouvoir rien emporter », rappelle une religieuse rencontrée dans le camp de réfugiés d'Ashti, à An Kawah. Le père Emmanuel, qui dirige le camp, se montre encore plus virulent. « Quand le pape dit qu'il faut accueillir les réfugiés, y compris les réfugiés musulmans, il a tort. Il devrait lire le Coran. Quand les musulmans seront majoritaires en Europe, ils vous domineront, comme ils nous ont toujours dominés ici en Irak », lâche le religieux. Lorsque nous lui avons demandé si les évêques d'Orient tenaient le même discours, il a répondu affirmativement.

(*) Ce projet s'intitule : The minorities of Nineveh Plain and the demand for a safe haven and an international protection.

Source

Quel est le réel génocide perpétré en Afrique du Nord ?

Berbères-2

   
Michel Garroté - Le réel génocide perpétré en Afrique du Nord, fut commis, par les arabo-musulmans, contre les Berbères (photo ci-dessus), n'en déplaise à Macron-l'ignare. Lorsque j'écris "Quel est le réel génocide perpétré en Afrique du Nord ?" (titre du présent article), cela n'exclut pas tous les autres génocides perpétrés en Afrique, simplement, celui qui est évoqué ci-dessous (le génocide des Berbères juifs et chrétiens notamment par les armées conquérantes arabo-musulmanes venues de la péninsule arabique), est une réponse (de l'excellent Gérard Brazon), aux allégations mensongères (du dandy pommadé Maqueron au menton proéminent) sur le soi-disant "génocide", qui, selon lui - et c'est faux - aurait été perpétré, par les Français, en Algérie, lors de la période coloniale, et, que, l'on agite en période électorale (pour draguer les voix franco-musulmanes en général et les voix  franco-algériennes en particulier).
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A propos du génocide des Berbères par les arabo-musulmans, le chroniqueur Gérard Brazon écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : On ne peut qu’être stupéfait d’entendre certains de nos politiques qui, partant à la pêche aux voix musulmanes et immigrées, n’hésitent même plus à insulter leur propre pays. Emmanuel Macron prétend diriger un pays qu’il accuse de « crime contre l’humanité ». Au même titre que les nazis, les communistes. Il balaie d’une main légère et surtout criminelle, une décision de Charles X faite sur une demande du Congrès de Vienne (ONU de l’époque), afin que cessent les pillages et les mises en esclavage des Européens par les Barbaresques ayant leur siège à Alger, Tunis et Tripoli.
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1830 fut, avant toute chose, une mission civilisatrice, une occupation des lieux où s’exerçait le pire des crimes contre l’humanité qu’était la mise en esclavage de milliers de femmes et d’hommes. Les unes vendues, violées, assassinées pour désobéissance à leurs maîtres musulmans, les autres transformés en bétail humain la plupart du temps ou torturés pour le plaisir d’un spectacle (L’État islamique n’a rien inventé).
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Il faut que les Algériens d’ici et d’Algérie comprennent également, que dans leurs ancêtres, il y avait aussi cette engeance criminelle. Le savoir ne veut pas dire assumer la culpabilité. De même, les Français d’aujourd’hui ne sont coupables en rien de ceux d’hier. Mes ancêtres, paysans de la Sarthe et du Perche, n’ont jamais vu un Noir, ni même entendu parler de quoi que ce soit sur l’esclavage (ils l’étaient eux-mêmes en quelque sorte), pas même de la colonisation. Qu’ils sachent aussi, ces Algériens, que le premier génocide sur ces terres d’Afrique du Nord, fut commis par les arabo-musulmans sur leurs ancêtres Berbères.
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Cette conquête de la ville esclavagiste d’Alger fut poursuivie par Louis Philippe, Napoléon III et les différentes Républiques. Des radicaux-socialistes à la droite conservatrice qui suivirent. À noter que les socialistes de l’époque furent les pires à ce jeu de la colonisation des terres, en y ajoutant la notion de races inférieures (de Jules Ferry à Léon Blum), tandis que la droite de l’époque voulait se concentrer sur la revanche contre l’Allemagne et récupérer l’Alsace et la Lorraine.
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Emmanuel Macron trahit la France en accusant son propre pays et entérine la haine d’une Algérie très appauvrie en 55 ans d’indépendance. Un pays construit de toutes pièces sur des marécages par la sueur et par le sang des colons. Un territoire qui put voir, grâce à la France, des villes se construire, des voies ferrées, des ports, et des puits de pétrole. Qu’un hommage soit rendu à ces Français, aux Arabes Français de cœur, à l’intelligence, aux instruits, aux courageux, aux mains rudes qui, en asséchant les marécages, en irriguant et en cultivant la terre, ont fait de ces terres arides, un pays digne de ce nom. Ce ne sont pas les Barbaresques qui l’on fait, mais les Français.
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Cette Algérie, au bout de 55 ans d’indépendance, reste incapable de donner à manger à son propre peuple malgré la manne pétrolière et gazière qu’a laissée la France. Un peuple qui pourtant continue à vouloir immigrer, et vouloir vivre chez l’ancien « colonisateur, criminel contre l’humanité ». Cette nouvelle Algérie vit dans le mensonge permanent de ses dirigeants qui refusent de devoir se justifier de leur incapacité à gouverner et à offrir une espérance à leur peuple.
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Emmanuel Macron insulte ceux qui ont fait cesser les crimes des esclavagistes et qui ont fait de cette terre un pays qui n’existait pas avant eux. Au prix fort. Ceci n’est pas pardonnable.-Emmanuel Macron est donc le pur produit d’une inculture historique qui détruit tout ce qu’elle ne comprend pas et mord la main qui lui donne à manger. Ce personnage semble ignorer les raisons de la prise d’Alger en 1830, et donc ignore tout des Barbaresques, y compris, bien sûr, les désastres commis sur les côtes d’Italie, de France, d’Espagne et même d’Irlande. Il semble ignorer que la Navy, créée aux USA pour protéger son commerce en Méditerranée, bombarda Tripoli pour y calmer les esclavagistes qui pillaient cette mer.
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Esclaves ? Esclavagistes ? Il est vrai que selon Christiane Taubira, l’esclavage n’est sans doute pas un crime quand ce sont les Blancs qui en sont les victimes. Emmanuel Macron est disqualifié pour rassembler les Français. Il ne peut pas être le Président d’un peuple qu’il qualifie de criminel. Il n’est pas seulement un imbécile par ignorance, mais un traître de fait par sa représentation médiatique. La portée de sa parole confirme les mensonges, les oublis, la mauvaise foi et donne l’impression que la France est venue occuper un pays avec un projet d’extermination.
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Notons que l’Algérie porte son nom depuis une décision française. C’est le 14 octobre 1839 que la circulaire de Schneider, Ministre de la Guerre, donna le nom définitif d’Algérie. Ainsi donc, même son nom est une création française. L’historien Jean Sévillia explique pourquoi qualifier la colonisation de crime contre l’humanité est un non-sens historique, estimant que l’on ne peut pas jeter ainsi « l’opprobre sur les Européens d’Algérie, les Harkis, et leurs descendants ». Emmanuel Macron, enfant de la chronologie bafouée, doit confondre Vercingétorix avec Abd el-Kader.
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Le plus grave est qu’Emmanuel Macron a, dans un pays étranger, en Algérie, dénoncé le peuple de France qu’il prétend un jour gouverner. On peut lui rappeler au passage que ce sont des millions de jeunes Algériens, tous assoiffés de visas, qui veulent rejoindre une France de « criminels contre l’humanité ». Sont-ils masochistes ces jeunes Algériens ou savent-ils que la France est une terre promise pour s’assurer le gîte, le couvert, grâce aux APL, AME, RMI, RSA, ATA, ASTA et autres allocations si diverses et variées, sans oublier de faire venir leur famille par le jeu du regroupement familial. Pour eux, ce n’est pas la France, c’est Allah qui pourvoit, n’est-ce pas. Nous sommes, en France, progressivement occupés par l’Afrique du Nord et subsaharienne, et, nous devons en plus, nous excuser, encore et encore, ajoute Gérard Brazon (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Source :
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http://eurolibertes.com/evenements/premier-genocide-afrique-nord/
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A propos des deux Yézidies qui ont reçu le prix Sakharov

   
Michel Garroté - Deux jeunes femmes irakiennes, membres de la communauté yézidie, ont reçu le prix Sakharov pour la liberté de l'esprit, mardi 13 décembre 2016, au Parlement européen. Elles s'appellent Nadia Murad et Lamia Haji Bachar. Toutes deux ont été enlevées et utilisées comme esclaves sexuelles par l'Etat islamique avant de parvenir à s‘échapper. Elles ont appelé à traduire les chefs de l'EI devant la Cour pénale internationale. C'est une très bonne idée : la CPI devrait, en effet, s'occuper, plus souvent, des dictateurs et tortionnaires musulmans, plutôt que de se concentrer essentiellement sur des Africains et des Balkaniques.
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A ce propos j'aimerais revenir ici sur la vie du père Patrick Desbois, vie qui ressemble à un « long rendez-vous » avec la mémoire, rendez-vous qui l’a mené sur les traces de la Shoah et le conduit à enquêter sur la persécution des Yézidis par le groupe jihadiste Etat islamique (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Ce prêtre catholique de 61 ans au verbe direct et chaleureux, peu à cheval sur l’étiquette, troque volontiers le col romain pour l’habit civil. Son quotidien n’est pas commun pour un ecclésiastique, avec des séjours répétés dans les camps de réfugiés du Kurdistan irakien. Là, avec un ex-policier rom, Nastasie Costel, il a interviewé 110 rescapés des exactions visant les Yézidis, minorité kurdophone confessant une foi préislamique.
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Les deux enquêteurs viennent d’en tirer la substance d’un livre, « La Fabrique des terroristes » (Fayard), écho au sort tragique d’hommes assassinés, de femmes réduites à l’esclavage sexuel, d’enfants drogués et enrôlés comme futurs soldats. L’Onu estime qu’environ 3'200 Yézidis restent aux mains de l’EI. Apprenant l’hébreu, sensibilisé à la lutte contre l’antisémitisme, le prêtre devient en 1999 – et jusqu’à l’été dernier – directeur du service de l’Eglise de France pour les relations avec le judaïsme. Cinq ans plus tard, avec la bénédiction du cardinal Lustiger et de responsables juifs, il fonde l’association Yahad In Unum (ensemble, en hébreu comme en latin) pour mieux faire connaître la « Shoah par balles » menée par les Einsatzgruppen nazis en Union soviétique.
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Depuis, le collectif international, qui compte aujourd’hui 25 collaborateurs (chercheurs, traducteurs, vidéastes…), a répertorié plus de 1'900 sites d’exécutions et filmé près de 5'000 témoignages. « Je pense que le modèle des Einsatzgruppen est le prototype des massacres actuels », dit le père Desbois. « Avec Auschwitz, on croyait que les génocides étaient entrés dans l’ère de la modernité industrielle. Mais qui dit camp dit traces, mémoire, photos. L’archaïsme est redevenu la norme pour échapper à la justice, à la mémoire martyre ». Ainsi de la persécution des Yézidis, que le prêtre a en ligne de mire depuis une rencontre, là encore presque fortuite. Quelques mots échangés dans un salon de Molenbeek (Belgique) avec un jeune barbier issu de cette minorité.
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Le père Desbois pressent qu’il tient là un nouveau terrain d’enquête, après les tueries de l’Est européen et les massacres au Guatemala. L’EI a appliqué début août 2014 « une méthodologie particulière, disloquant les familles dès l’arrestation », et s’abattant sur femmes, hommes, enfants. « On focalise sur les filles, mais tout le monde est martyr », souligne le père Desbois. Son équipe réunit une matière « disponible pour la justice » internationale. « Nous sommes dans une démarche scientifique. Le père Desbois du début, avec ses petites caméras, c’est fini », assure le prêtre, même s’il dit être resté l’enfant né dans une « famille simple, sans grande théorie », qu’il était.
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Critiqué hier par certains historiens pour sa méthodologie et sa communication sur la « Shoah par balles », le président de Yahad in Unum ne rejette pas les polémiques : « parfois elles nous aident à être plus précis ». Comment tenir face à des témoignages éprouvants ? « Par la prière et la solitude », répond le père Desbois. Et la contemplation des petites victoires, au contact d’évadés « qui ne sont pas les esclaves » voulus par l’EI, mais des « êtres humains » pleins de dignité (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction et adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.ladepeche.fr/article/2016/11/04/2452287-shoah-yezidis-pere-desbois-pretre-combat-memoire.html
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© 2016 AFP
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Réflexions d’un Juif sur le “génocide” des Européens

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Michel Garroté - Sur Riposte Laïque, Anatoly Livry se livre à une réflexion longue, passionnée et explosive, sur le mal français et sur le déclin de l'Europe, réflexion dont je reproduis ci-dessous des extraits adaptés (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Né au sein d’une famille juive dans la capitale de l’Union soviétique encore à la belle époque de la stabilité de Brejnev que l’on appelle la « stagnation », je ne pouvais m’empêcher de regarder par-delà le limes idéologique, ce qui m’a alors transformé, encore citoyen de l’URSS, en un anticommuniste primaire, secondaire et tertiaire et ce qui m’a valu des décennies plus tard, une fois naturalisé Français, d’être chassé de la Sorbonne. Un dissident vrai le restera toujours, tant poursuivi par le KGB que dans la France des "robots" : nous, les résistants, nous possédons le talent de recueillir des données simples, basiques, de les comparer, puis de poser des questions parfois naïves, ce qui pourtant fait immédiatement de nous des ennemis mortels à abattre par un système incapable d’apporter une réponse à nos interrogations sans que celle-ci n’ébranle les fondements de son totalitarisme tout-puissant, qu’il soit russophone ou francophone.
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Ayant grandi dans un monde sans Internet, au contact d’une civilisation glorifiant le livre, élevé par une école national-socialiste élitiste « à la germanique » fondée par un Staline admiratif du IIIe Reich et de ses philanthropies, mon unique lien avec le passé, derrière le rideau de fer, résidait dans la lecture des vieux journaux du parti unique communiste. Pourtant, même là, épluchant les pages excrémentielles de la Pravda, cette source exclusive d’informations, l’on parvenait à mettre à mal le despotisme qui les avait produites quelques décennies auparavant. L’analyse de texte est un métier dangereux pour toute dictature. Or, à peine âgé d’une douzaine d’années, retrouvant le numéro 7955 daté du 29 septembre 1939 du torchon du « comité central du parti communiste pan-soviétique bolchevique », je lisais les conclusions de l’« accord germano-soviétique de l’amitié et de la frontière entre l’URSS et l’Allemagne », autrement dit en termes limpides : l’assassinat d’une certaine Pologne qui a déclenché, quelques semaines avant la publication du traité, l’agression du IIIe Reich par la Grande-Bretagne et la IIIe république, parodos de la Deuxième Guerre mondiale.
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Les camarades Ribbentrop et Molotov s’étaient réunis, annonçait la Pravda, pour « régulariser des questions survenues suite à la scission de l’État polonais, initiative grâce à laquelle l’Allemagne et l’URSS ont posé les fondements solides d’une longue paix en Europe orientale. Les deux parties sont d’avis que la liquidation de la présente guerre entre l’Allemagne d’un côté et l’Angleterre et la France de l’autre côté répondrait aux intérêts de tous les peuples. Vers cette fin les deux gouvernements canaliseront leurs efforts, si nécessaire de concert avec d’autres États amis. Si, cependant, les efforts des deux gouvernements demeuraient vains, cela signifierait que l’Angleterre et la France porteraient elles seules l’entière responsabilité de la poursuite de la guerre. Dans ce cas de figure, l’Allemagne et l’URSS se consulteront mutuellement quant aux moyens de riposte. » (Pravda, 29 septembre 1939, page 1). À cette époque, encore adolescent, j’ai osé poser des questions spontanées, ce qui fut le premier acte, alors inconscient, de dissidence dans ma vie : pourquoi la Grande-Bretagne et la France, suite à l’annexion par l’URSS de la partie orientale de la Pologne, n’ont-elles pas également déclaré la guerre à Staline ?
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Mais surtout, élevé avec les condamnations du tribunal de Nuremberg comme bible socialiste, j’interrogeais mes maîtres : de quel droit le juge soviétique a-t-il condamné les dirigeants allemands pour avoir déclenché cette guerre que l’URSS avait également initiée avec le Reich six années auparavant, tout en accusant la Grande-Bretagne et son acolyte français d’en porter toute la responsabilité devant les peuples de l’univers. Et pour comble : pourquoi, au lieu de juger l’Allemagne, les deux responsables de la Seconde Guerre mondiale n’attaqueraient-ils pas l’URSS, occupant dès 1945 cette Pologne au secours de laquelle les Britanniques avec des Français ont volé à peine six ans auparavant. L’unique réponse que j’ai reçue fut la répression et c’est seulement plusieurs années plus tard que j’ai compris que l’authentique rival à abattre dès les années 30 était non pas un assaillant militaire quelconque, mais le national-socialisme d’un peuple indo-européen, ce paradis sur terre que des Allemands entendaient créer d’abord pour eux-mêmes, puis pour les nations du continent.
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Plus tard, Français, diplômé d’un DEA en histoire à l’EHESS de Paris, j’ai poursuivi mes investigations sur les sources de Soljenitsyne tout en enseignant la littérature russe à la faculté d’Études slaves de Paris IV-Sorbonne et j’ai découvert, tant dans les archives russes et allemandes que dans l’habituellement très menteuse Wikipédia, que le nombre officiel de prisonniers du Goulag condamnés pour « crimes contre-révolutionnaires » s’élevait, pour la seule année 1939, à environ un demi-million de personnes.
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Pourtant, mes chers collègues professeurs universitaires français atteignaient très rapidement le point Godwin quand ils calomniaient leurs concurrents académiques, « nazi » étant la pire des injures dans une faculté de France. En d’autres termes : même la troisième génération de professeurs universitaires français après le sordide mai 68 déclenché par des marxistes d’alors était atteinte des réflexes pavloviens inculqués par les protocoles du tribunal de Nuremberg, pourtant incapable d’apporter des réponses aux questions les plus basiques. Puis, sont venues mes interrogations sur la nécessité de la loi proposée par le communiste Gayssot et introduite à l’Assemblée nationale par Fabius, notre actuel ministre. De plus, Juif soucieux du bon sens, j’essaie toujours de me mettre à la place de mes coreligionnaires dits « persécutés par l’extrême droite » et qui seraient secourus par cette loi inique.
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En effet, la thèse de ceux qui l’avaient promue et qui la protègent demeure la suivante : les contestataires de la condamnation imposée en 1946 par les vainqueurs sur les vaincus à Nuremberg cherchent à justifier les crimes contre les Juifs et, par conséquent, souhaitent la création d’un cadre civique où les pogroms anti-judaïques pourraient avoir lieu. Or, il s’avère que simultanément les défenseurs de cette loi liberticide exaltent l’« intégration européenne ». J’ai donc suivi à la lettre la ligne générale imposée par nos staliniens modernisés et, en « bon Européen », ai porté mon regard sur les pays occidentaux de notre continent où le code pénal ignore la contestation des « crimes contre l’Humanité commis durant la IInde Guerre mondiale ». Je me suis arrêté sur un pays que je connais fort bien, la Suède, laquelle, avec ses voisins scandinaves, « ne punit pas la négation des génocides ou des crimes contre l’Humanité », comme il y a encore quelques années l’approuvait l’Institut helvétique du droit comparé.
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Passionné par la connaissance, je me suis saisi des statistiques des crimes anti-judaïques perpétrés en France, pays de la loi Fabius-Gayssot, et de celles du royaume des Bernadotte, lequel, selon la logique de nos liberticides républicains, abandonne ses Juifs aux « massacres des Nazis ». Quel n’a pas été mon étonnement de découvrir que la Ve république, ce pays de la loi Fabius-Gayssot, battait à plate couture la Suède par le pourcentage d’agressions antisémites. Par ailleurs, curieux, je me suis rendu en Israël où j’ai fréquenté une communauté de mes coreligionnaires, sujets suédois, qui avaient fui la ville de Malmö où leurs ancêtres vivaient pourtant depuis des siècles. Pratiquant auprès d’eux mes acquis linguistiques en hébreu et en suédois, je leur ai demandé si c’était bien les descendants des Vikings qui les avaient poussés à l’« Alya » ?
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Les miséreux binationaux suédo-israéliens m’avaient rassuré d’une seule voix : le responsable de leur exode était la mairie trotskisante de la ville de Malmö qui attire depuis des décennies tout le Maghreb et toute la Turquie avec le Moyen-Orient et l’Afrique subsaharienne, promouvant naturellement le culte mahométan de ses électeurs préalablement naturalisés par tribus entières. Les intellectuels bornés de nos universités ne peuvent même pas accuser la Suède des crimes colonialistes dont ces dégénérés ethno-masochistes, pourtant Français de souche, accablent leur patrie : les uniques colonies suédoises des siècles passés furent la Finlande et la Norvège. Que de drôles de choses se passent dans notre Europe, car pour génocider des Aryens du Nord, les cosmopolites ne peuvent évidemment pas recourir, comme en France, au « sens des responsabilités des descendants de colonisateurs d’Afrique et d’Asie ».
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Les déracinés de la Suède, neutre depuis plus d’un siècle, pratiquent donc une pleurnicherie d’un racisme anti-blanc beaucoup plus humiliante pour la sapience de leurs compatriotes : « Vous êtes de la même extraction germanique que les Nazis. Taisez-vous et laissez-vous effacer de la surface du globe. Sinon, vous recommencez l’Holocauste d’Hitler ». Cependant, aux Suédois, il reste une éventuelle échappatoire spirituelle – que, certes, ils n’utilisent pas pour l’instant : celle d’entamer, un jour, une discussion sur l’« Holocauste des Nazis ». Nous autres Français dont l’âme est otage d’une loi socialo-communiste n’aurons même pas cette possibilité pour nous défendre un jour : au nom de la lutte contre une occupation quasi mythique de quelques dizaines de milliers de cousins germains, nous sommes forcés d’accepter un contingent semblable d’envahisseurs, lequel cependant arrive par vagues mensuelles.
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Nous aboutissons donc à une perversité dont l’analyse nous dévoile le réel but de la loi Fabius-Gayssot, apparaissant alors comme un moteur psycho-médiatique, et non législatif, de l’extermination des peuples européens. Les architectes de la loi Fabius-Gayssot sont d’authentiques criminels contre l’humanité, a fortiori contre les Juifs de base qu’ils sacrifieront avec une délectation perverse. Voilà pourquoi, dès qu’une voix, même celle d’un Juif supra-médiatisé, s’élève contre l’invasion et l’occupation des terres européennes, ces ordures hystériques sombrent dans une crise qu’ils considèrent comme une démarche intellectuelle : « Vous vous comportez comme les Nazis envers les Juifs. Reconduire les clandestins (« migrants », comme ces alogoi les appellent) chez eux, c’est comme envoyer les Juifs dans les chambres à gaz d’Hitler », vocifèrent ces aliénés, même face à des Juifs français de bon sens.
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Et ils agitent frénétiquement la loi Fabius-Gayssot aggravée par les fardeaux légalisés qui en découlent avec toutes leurs multiples « incitations à la haine ». En revanche, dès qu’ils ont amassé en France, suite à ce chantage doctrinal permis par la loi Fabius-Gayssot, des foules d’occupants allogènes, celles-ci, au fur et à mesure qu’elles remplacent les Aryens, se mettent gaillardement à massacrer mes consanguins juifs. Je conclurais en ces termes : l’immonde loi Fabius-Gayssot n’a pas rempli son rôle intrinsèque, celui d’éviter les pogroms et les meurtres des Juifs français – les statistiques des États européens ayant échappé aux oukases contre les « contestations de crimes contre l’Humanité pendant la Seconde Guerre mondiale » le prouvent clairement. Pire encore : par sa perversité, la loi Fabius-Gayssot encourage les actes délictuels visant les Juifs français, car elle excite l’envie de mahométans entassés en France par les mêmes socialo-communistes qui, plus suicidaires que traîtres, voient dans l’oumma la source inépuisable de leurs futurs électeurs.
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Cependant, comme je l’avais déjà précisé et que je le répète en toute conscience (car la pédagogie, c’est la répétition), ces promoteurs de la loi Fabius-Gayssot se moquent ouvertement des Juifs français. Soyons plus clair : cela ne sera pour eux que satisfaction si ces Juifs occidentaux périssent par centaines de milliers, nouvelles victimes collatérales de l’installation d’un gouvernement mondial sur une planète sans races ni peuples – une Terre déchirée par l’inculture et la laideur, la criminalité multi-ethnique et des guerres inépuisables, chaos aisé à administrer par une poignée des yahoos. Le but fondamental des prêtres fanatiques du cosmopolitisme, c’est de bâillonner, grâce à la loi Fabius-Gayssot, les derniers résistants à l’occupation de l’Europe qui se révoltent contre le génocide des peuples aryens, un génocide qu’ils appliquent avec l’effronterie des grands psychotiques malfaisants que l’on a trop laissés sans surveillance, conclut Anatoly Livry sur Riposte Laïque (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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Anatoly Livry est un universitaire franco-suisse né à Moscou. Docteur ès lettres, polyglotte, auteur de nombreux articles et ouvrages scientifiques, dont  Nabokov le nietzschéen (édition "Hermann"), il a également enseigné à l'université Nice-Sophia Antipolis ainsi qu'à Paris IV-Sorbonne. Auteur de quinze livres publiés, Anatoly Livry est lauréat de quatre prix scientifiques internationaux, de deux prix littéraires russe et américain et d'un  Prix international pour le "Courage Civique dans ses engagements de poète et de citoyen", ce dernier récompensant les analyses d'Anatoly Livry de la démocratie occidentale ainsi que le fait d'avoir théorisé et publié, en tant que Professeur-invité à l'Université d'Etat de Russie, son expérience de la procédure de qualification du Conseil National des Universités (CNU), 2011-2015. Anatoly Livry est actuellement membre du CTEL de Nice-Sophia Antipolis, du laboratoire Littératures, Imaginaire, Sociétés (LIS) de l'Université de Lorraine (anciennement Centre de recherches Jean Mourot) ainsi que de la Société Française de Littérature Générale et Comparée (SFLGC) depuis 2013.Depuis l'été 2012, Anatoly Livry est Professeur-invité de l'Université d'Etat de Russie Moscou-Lomonossov où il enseigne les littératures grecque antique, russe et française, le théâtre suédois et français, le cinéma suédois ainsi que les philosophies antique, allemande et russe. Théorisant sa propre expérience, Anatoly Livry enseigne la sémiotique du fonctionnement de l'Université française.
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http://ripostelaique.com/reflexions-dun-juif-loi-fabius-gayssot-source-genocide-europeens.html
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Génocide des chrétiens et lâcheté de l’Eglise

   
Michel Garroté - Les Etats-Unis ont dénoncé cette semaine les crimes de génocide perpétrés par le groupe Etat islamique (EI) contre les minorités de chrétiens, chiites et yézidis, dans leur "Tableau annuel des libertés religieuses dans le monde", dressé par le département d'Etat américain (Affaires étrangères). L'EI a poursuivi sa stratégie du massacre, que le secrétaire d'Etat John Kerry qualifie - à juste titre - d'être une stratégie de génocide depuis 2015, notamment contre les yézidis et chrétiens, dans les territoires qu'il contrôle.
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L'emploi du terme de génocide avait déjà été utilisé par Kerry et par des experts des Nations Unies pour qualifier les crimes perpétrés par les jihadistes du groupe EI en Irak et en Syrie. Dans ces deux pays en guerre, où l'organisation islamiste armée contrôle encore des pans de territoires, les jihadistes sont responsables d'actes barbares, comme des tueries, des actes de torture, de traite d'êtres humains, de viols et autres crimes sexuels contre des minorités religieuses et ethniques, a confirmé le Département d'Etat américain dans son rapport.
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L'EI et Boko Haram (le groupe terroriste islamiste au Nigeria) continuent de se ranger parmi les plus monstrueux auteurs d'abus contre la liberté religieuse dans le monde, a précisé la diplomatie américaine. A noter que de son côté, l'Eglise catholique -- contrairement aux courageuses églises orthodoxes et évangéliques -- fait preuve de lâcheté face à l'islam violent et conquérant.
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A ce propos et après les attentats, la volonté de l'Eglise catholique de pacification est inquiétante, estime Schmuel Trigano. Pour le philosophe, ce positionnement laisse une marge de manoeuvre à l'islamisme, notamment aux Frères musulmans. Pour mémoire, Schmuel Trigano -- qui est professeur émérite des Universités -- est philosophe, sociologue ainsi que spécialiste de la tradition hébraïque et du judaïsme contemporain.
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Schmuel Trigano  (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La réaction de l'Eglise de France comme du Vatican à l'assassinat pour motif religieux du prêtre de Saint-Etienne-du-Rouvray est étonnante et pour tout dire extrêmement inquiétante, en tout cas du point de vue d'un observateur juif, autant sur le plan théologico-politique que sur celui de l'Etat et de la citoyenneté républicaine. Certes, la réaction officielle et celles que nous donnent à voir (sélectivement, comme on s'en doute) les médias ne recouvrent pas tout ce que pensent les catholiques et on ne peut pas préjuger de l'énorme pression que le pouvoir socialiste a dû exercer sur ses représentants pour adopter ce que l'on peut définir comme la posture du martyr et non celle du citoyen.
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Schmuel Trigano : Sublimer ce meurtre, en sortir par le «haut» - cette posture vertueuse et pleine de hauteur morale, stoïcienne en un mot - fournit, effectivement, à (très) court terme, le moyen d'éviter une cassure et un clash dans la société française. L'assistance en signe de solidarité de quelques musulmans (et Juifs) à la messe dominicale, a été construite par les médias comme l'expression d'une concorde irénique. Cependant, si on pensait dans les termes de René Girard on constaterait qu'elle s'est nourrie du «sacrifice» du père Hamel, un sacrifice au propre, par la mort rituelle qui lui a été donnée, et au figuré : mort pour la « paix ». Sur sa mort, sur sa dépouille, le lien social se serait ressoudé. C'est ce que les médias veulent nous faire croire, selon un schéma anthropologique on ne peut plus classique.
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Schmuel Trigano : Cet état de fait est marqué néanmoins par un télescopage de la morale chrétienne et de la raison politique. Appliquée à la situation actuelle, cette morale s'avère effectivement problématique sur le plan de la Cité. J'ai entendu un ecclésiastique aborder l'événement sur le mode du « nous sommes tous coupables » (explicitement formulé de la sorte) et appris qu'une prière avait été dite, dans l'Eglise même du drame, pour les deux assassins. Nous avons entendu le pape déclarer que ce n'était pas cela l'islam (étrange qu'il puisse parler en son nom) et que le christianisme était aussi violent que l'islam, en disant donc une chose et son contraire). Qui est coupable ? Qui est innocent ? On ne le sait plus.
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Schmuel Trigano : Nous retrouvons, certes, là le discours du « politiquement correct » qui déresponsabilise le monde musulman au lieu de le pousser à se confronter à la maladie qui le ravage et met en danger la paix, un discours qui brise aussi la capacité morale et intellectuelle à la combattre, en accusant les victimes d'être à la source de la violence qui les frappent. Nous croyions que cette « morale » sans réciprocité relevait de l'idéologie dominante de notre temps, le post-modernisme, mais nous découvrons qu'elle peut aussi se développer dans l'Eglise.
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Schmuel Trigano : On comprend que le signal qu'envoie l'Eglise puisse trouver un écho favorable dans les milieux islamistes et je pense avant tout aux Frères Musulmans qui en sont la vitrine distinguée et « politique », interlocuteur du Pouvoir en France. Un écho dont nous pouvons mesurer la portée dans la tribune publiée par des « intellectuels musulmans », ainsi définis par eux-mêmes, dans le Journal du Dimanche du 3/7/2016. Je me réfère au fait que cette quarantaine de personnalités a tout simplement « oublié » les victimes juives dans les actes terroristes commis au nom de l'islam, qu'elles condamnent par ailleurs.
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Schmuel Trigano : C'est comme si la « pacification » consécutive au meurtre du père Hamel se faisait sur la base du refoulement des effets de la haine principale des islamistes : les Juifs. C'est gros! Et c'est encore plus affligeant de voir les critiques de cet oubli ne mentionner que le massacre de Merah et de l'Hyper casher, en « oubliant » eux aussi, les centaines d'agressions antisémites commises depuis 2001, et sur lesquelles eux-mêmes avaient gardé le silence. Depuis 2001, en tout cas, nous n'avons entendu aucune condamnation claire et institutionnelle des agressions antisémites commises, si ce n'est celle de quelques individus (comme l'imam Chalgoumi ou l'Algérien Boualem Sansal).
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Schmuel Trigano : La condamnation quand elle existe «équilibre» souvent la reconnaissance du caractère antisémite des actes avec l'accusation d'Israël, rendu responsable de cet état de fait, argument dont s'est prévalu en somme Mérah, vengeant (dixit) « les enfants de Gaza ». C'est comme si la condamnation des actes antisémites ne pouvait se faire qu'au prix du « dédouanement » que permet un antisionisme de rigueur. Or, cette tournure rhétorique devient de moins en moins possible, au regard de ce que révèle la réalité.
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La façon dont les signataires de la lettre en question tentent de rendre compte de leur silence abyssal jusqu'à ce jour est ainsi plutôt spécieuse. « Nous musulmans étions silencieux parce que nous avions appris qu'en France la religion est une affaire privée ». On se demande s'il faut rire ou pleurer. Agresser des concitoyens relèverait de la sphère privée ? La burka dans l'espace publique, une affaire privée ? L'antisémitisme n'est pas un aspect marginal de la crise actuelle. Il en fut le vecteur originel et structurel. L'abnégation de l'Eglise fait miroiter la possibilité d'une « pacification » sociale, mais c'est aux dépens d'un tiers et de la confrontation avec le problème central auquel doit faire face l'Etat et lui seul, conclut Schmuel Trigano (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.cicad.ch/node/21072/
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http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2016/08/10/31003-20160810ARTFIG00132-le-discours-moral-de-l-eglise-peut-il-fonctionner-face-a-l-islamisme.php
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Irak : plus que 50 000 chrétiens ?

En 2003, sous le régime de Saddam Hussein, on comptait 1,4 million de chrétiens en Irak. L’ONG catholique Aide à l’Église en Détresse n’en estimait plus le nombre qu’à 300 000 en octobre 2015.

Mark Lattimer, qui dirige à Londres le Minority Rights Group, estime, selon la Thomson Reuters Foundation, que le nombre des chrétiens en Irak se situerait à moins de 250 000 et peut-être même autour des 50 000…

Source : The Christian Post, 5 juillet Via christianophobie.fr

Génocide en terre d’islam

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Pour commencer, je rappelle que les gouvernements français ont apporté une aide importante en armes, en entraînement militaire et même un appui occasionnel direct sur le terrain aux forces d'opposition islamistes en Syrie de 2001 à 2005. Puis, j'aimerais signaler que Selon un sondage Ifop pour Le Figaro, la défiance vis-à-vis de l'islam s'installe des deux côtés du Rhin. Un sentiment qui progresse fortement chez l'électorat de gauche. La défiance face à la place de l'islam en France, jusque-là perçue comme l'apanage de l'extrême droite et d'une partie de la droite, ou plus récemment comme un marqueur « réactionnaire » dans le débat culturel, est désormais largement et profondément partagée à gauche. C'est le principal enseignement du sondage Figaro-Ifop qui vient d'être réalisé du 14 au 18 avril 2016. Ainsi, en 2010, 39% des électeurs du Parti socialiste pensaient que la place de l'islam était « trop importante ». Ils sont désormais 52 %. Maintenant, j'aimerais relier ces deux informations au problème des Chrétiens en terre d'islam.
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En effet, le Parlement du Royaume-Uni a rejoint le secrétaire d’État John Kerry, la Chambre des représentants des États-Unis, le Parlement européen et l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, en qualifiant les actes commis par l’État Islamique de génocide. Une motion, votée mercredi 20 avril par 280 “oui” contre 0 “non”, avait été introduite par la députée Fiona Bruce [Parti conservateur].
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Carl Anderson, membre des 'Chevaliers de Colomb', déclare notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La plus grande crise humanitaire du monde depuis la Seconde Guerre mondiale se déroule au Moyen-Orient. Des centaines de milliers de personnes en Syrie et en Irak ont ​​perdu la vie, et des communautés entières ont été déplacées ou éliminées, tandis que les communautés et les cultures voisines ont du accepté des millions de personnes qui fuient des années de guerre et de terrorisme. Nous sommes confrontés à la perspective très réelle de l'extinction de nombreuses communautés autochtones de la région. Cette crise implore toutes les personnes de bonne volonté à s'unir pour participer à un effort mondial pour sauver ces communautés historiques minoritaires autochtones sans distinction de race, d'ethnie ou de religion.
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Carl Anderson : Les Chevaliers de Colomb sont engagés dans cette grande cause. Nous avons soumis au Département d'Etat le 9 Mars et par la suite aux membres du Congrès, un rapport de près de 300 pages qui a documenté sur les atrocités et propose une analyse juridique arrivant à la conclusion que le génocide est en cours. Notre mission d'enquête récente en Irak a trouvé des preuves de viols généralisés, des enlèvements, des conversions forcées, de l'esclavage, d'assassinats, de la confiscation des biens et de l'expulsion forcée. Bon nombre des incidents n'a pas été signalé précédemment. Nous avons l'impression que ce que nous connaissons aujourd'hui est susceptible de n'être que la pointe de l'iceberg. Un effort concerté et soutenu doit maintenant être entrepris pour nous documenter sur l'ampleur de cette tragédie. ISIS et les victimes que nous avons interrogées sont d'accord sur une chose.
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Carl Anderson : Un grand nombre de personnes ciblées ont été ciblées en raison de leur foi chrétienne. Les prédécesseurs de ISIS - l'Etat islamique en Irak et Al-Qaïda en Irak, ont également visé les chrétiens. Nous savons que ISIS a tué des milliers de chrétiens en Irak, la Syrie et la Libye. Des charniers ont été signalés en Syrie, et le désert entre Mossoul et Erbil était jonché de corps de chrétiens, qui ont fui trop vite pour enterrer les voisins et les membres de la famille. Les ecclésiastiques de la région, y compris le Patriarche catholique syriaque Mgr Ignace Joseph III Younan, et les archevêques d'Alep, Erbil et Mossoul, ont tous demandé ce qui se passe à leur peuple. Le génocide a une signification particulière pour les chrétiens du Moyen-Orient.
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Carl Anderson : Il y a près d'un siècle, Raphael Lemkin a formulé le concept qu'il appellera plus tard le génocide pour résoudre le meurtre de chrétiens dans la région pendant et après la Première Guerre mondiale. Aujourd'hui, les enjeux vont encore plus loin. Le nombre de chrétiens en Irak a chuté de plus de 1,5 millions pour arriver à 200 000. En Syrie, la communauté chrétienne a été réduite de deux tiers, passant de 1,5 million à 500 000. Ces personnes sont parmi les communautés ethniques et religieuses les plus anciennes, non seulement dans la région, mais dans le monde. L'ONU doit agir pour faire en sorte que ces anciens et les plus vulnérables des groupes autochtones ne sont pas confrontés à l'extinction. Nous ne pouvons pas accepter une norme pour les droits de l'homme dans cette région et une autre norme pour le reste du monde.
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Carl Anderson : Nous avons une occasion unique de changer les choses. Jamais auparavant l'attention du monde avait été aussi concentrée sur la souffrance de ces minorités. Jamais leur sort n'avait été aussi haut dans l'ordre du jour des gouvernements du monde, la grande majorité des musulmans du monde, et toutes les personnes de bonne volonté. Les Nations Unies peuvent jouer un rôle vital en protégeant les victimes et les réfugiés, en assurant la survie de ces anciennes communautés autochtones et religieuses, en punissant les auteurs et en soutenant la mise en place de l'échelle internationale des normes convenues de la justice, l'égalité, l'État de droit et la liberté religieuse, conclut Carl Anderson (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté
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http://www.foxnews.com/opinion/2016/04/28/must-act-now-to-stop-middle-east-genocide.html
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Génocide: L’extermination des chrétiens d’Orient par les islamistes continue

Suite à un rapport détaillé remis la semaine dernière au Secrétaire d'État John Kerry, la barbarie contre les chrétiens d'Orient est qualifiée de "génocide".

Génocide des Chrétiens en Terre d’Islam

   
Depuis le 8ème siècle, l'islam tue des Chrétiens. Cela fait quatorze siècles que la religion de Mahomet opère le "génocide à petit feu" des Chrétiens en Terre d'Islam. Des dizaines de milliers de Chrétiens ont été exterminés par des musulmans. Des centaines de milliers de Chrétiens ont été expulsés, déportés. Le Proche et le Moyen Orient, jadis terres judéo-chrétiennes, sont aujourd'hui des espaces soumis à l'islam. Avec les attentats de Paris et de Bruxelles, c'est au tour de l'Europe d'être confrontée à la "guerre sainte" menée par des musulmans, au djihad, à la mise en place d'un Califat universel basé sur la charia. Le "génocide à petit feu" des Chrétiens est entré dans une phase où plus personne (chrétien ou pas) n'est en sécurité, ni en Orient, ni en Occident. Aux Etats-Unis, certains dénoncent le massacre permanent de Chrétiens en Terre d'Islam. Mais en Europe ?
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Sur Aleteia, John Burger signale (extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page) : Il est temps que les États-Unis « se rallient au reste du monde » et reconnaissent que les chrétiens font l’objet d’un génocide au Moyen-Orient. C’est ce qu’indique un rapport remis la semaine dernière au Secrétaire d’État John Kerry, l’exhortant à qualifier de génocide les exactions contre les chrétiens commises par le groupe État islamique. Ce rapport de près de 300 pages intitulé « Génocide contre les chrétiens au Moyen-Orient » rédigé conjointement par les Chevaliers de Colomb et l’association « In Defense of Christians » signale que les États membres de l’Union européenne, les gouvernements d’Irak et de la Région autonome du Kurdistan, ainsi qu’ Hillary Clinton et la Commission américaine sur la liberté religieuse internationale ont qualifié les exactions contre les chrétiens de « génocide ».
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La réalité d’un génocide :
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Le rapport donne des détails sur le meurtre, les blessures, l’esclavage et le déplacement des chrétiens par le groupe djihadiste. Il inclut un dossier établissant la base juridique de la reconnaissance de génocide et donne des éléments de preuve détaillés montrant que Daesh a pour objectif de commettre un génocide. Il présente des preuves jamais signalées, réunies lors d’une mission d’enquête effectuée en Irak le mois dernier. Le dossier juridique fait référence à la Convention des Nations unies sur le génocide, notamment la partie des naissances entravées au sein du groupe ciblé.
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« Les hommes et les femmes aux mains de l’État islamique sont séparés pendant des semaines. Les chrétiens se voient offrir la liberté en échange de la vie d’un membre de leur famille, souvent le père. Beaucoup n’ont pas vu leur femme ou leur mari depuis plus d’un an et demi et n’ont aucune nouvelle de leur part ; Daesh a violé des centaines et probablement des milliers de femmes chrétiennes, endommageant de manière permanente leurs organes reproducteurs ou les laissant enceintes des œuvres de leurs ravisseurs ».
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Le rapport contient des témoignages émouvants sur le génocide en cours :
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« Je suis allé en Irak il y a trois semaines et j’ai rencontré une petite fille de 3 ans qui  a été victime de brutalité de la part des membres de Daesh, ils l’ont jetée contre un mur. Elle ne peut plus parler. Où était son père ? Il a été assassiné, parce qu’il était chrétien », raconte Juliana Taimoorazy, une assyrienne chrétienne, présidente de « Christian Relief Council ». « J’assiste à l’élimination totale de mon pays, de la nation assyrienne qui a plus de 7 000 ans d’existance, une des premières nations à s’être convertie au christianisme il y a plus de 2 000 ans. Nous n’entendrons bientôt plus parler l’araméen, notre langue, celle de Jésus ». Le porte-parole du Département d’État, John Kirby, a déclaré que le Département d’État était « horrifié par les actes commis par Daesh contre la population de divers contextes religieux et ethniques en Irak et en Syrie ».
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Les États-Unis ont clairement indiqué qu’ils étaient toujours aussi déterminés à demander des comptes aux auteurs de ces génocides. « En tant que Secrétaire d’État, John Kerry a clairement indiqué lors des audiences budgétaires récentes, que le Département d’État continue à rassembler et évaluer toutes les informations concernant les atrocités commises par Daesh et nous travaillons dur sur le rapport du Congrès qui contiendra les détails de ces actes horribles ». À ce jour, près de 65'000 Américains ont signé la pétition « Halte au génocide chrétien » lancée par IDC et les Chevaliers de Colomb, exhortant le Département d’État à inclure les Chrétiens dans sa déclaration de génocide, conclut John Burger (fin des extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page).
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Michel Garroté
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http://fr.aleteia.org/2016/03/23/lextermination-des-chretiens-dorient-continue/
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http://www.stopthechristiangenocide.org/scg/en/resources/Genocide-report.pdf
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Stopper le génocide des Chrétiens d’Orient

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Un jour, l'histoire jugera très sévèrement tous les prêtres, évêques et cardinaux pour leur silence sur le génocide à petit feu des Chrétiens d'Orient. Certes, il arrive que le Pape François fasse l'une ou l'autre allusion à cette tragédie. Mais le discours de l'Eglise catholique sur l'islam reste un vrai désastre.
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Après des décennies de dialogue interreligieux complètement stérile avec les musulmans, le clergé catholique aurait tout de même pu signaler aux disciples de Mahomet que trop c'est trop. Comment pouvons-nous tolérer la construction de mosquées chez nous, alors qu'en terre d'islam, les chrétiens n'ont quasiment pas accès à leurs églises ?
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Pire, le Chrétiens d'Orient se font massacrer tandis que nous accueillons des centaines de milliers - bientôt des millions - de musulmans en Europe. Des historiens tels Bat Ye'or et Alexande Del Valle disent et écrivent cela, documents et preuves à l'appui, depuis de très nombreuses années. Mais le clergé catholique, à quelques rares exceptions près, continue de radoter que l'islam serait, paraît-il, "une religion de paix".
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A ce propos, la philosophe catholique allemande Sophia Kuby écrit notamment (extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page) : Le prétendu État Islamique tue, viole, torture, et réduit en esclavage toujours plus de monde en Syrie et en Irak et la communauté internationale voit cela et continue à rester passive. Nous vivons aujourd’hui un exode historique de toutes les minorités du Proche Orient et pourtant l’action tarde à prendre corps : « Réveillez vous ! », s’est exclamé le père Bazi d’Erbil, en Irak, la semaine dernière quand il était devant le Parlement européen. Il faut reconnaitre que là-bas et ailleurs des actes commencent à émerger : le 27 janvier les 47 États membres du Conseil de l’Europe ont reconnu que les monstruosités commises par l'Etat Islamique (EI) constituaient un génocide.
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Sophia Kuby : Peu de temps après, une résolution a été prise au parlement européen et qui dit les choses de manière suffisamment claire : les chrétiens, les yézidis et les autres minorités ethniques et religieuses sont persécutés de manière systématique. Ce qui se traduit par un nom que l’immense majorité des parlementaires a reconnu : c’est un génocide, c’est-à-dire l’extermination d’un peuple, qui a lieu en Orient. « Génocide » : il s’agit du concept le plus puissant qu’offre le droit international pour évoquer ce genre de meurtres de masses systématisés. On ne parlait jusqu’alors que de crimes contre l’humanité et d’épuration ethnique : des concepts proches mais pas aussi vastes et englobants que le terme génocide, qui inclut toutes ces dimensions dans l’horreur.
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Sophia Kuby : Que ce soit au Rwanda ou au Kosovo, c’est le fait de nommer le génocide en tant que tel qui avait permis à la communauté internationale de s’entendre pour agir : « les mots comptes ! », s’est exclamé le député suédois à l’origine de la résolution, Lars Adaktusson, devant l’assemblée plénière. Ce sujet est maintenant abordé de manière brûlante dans la chambre des Lords en Grande Bretagne. De nombreux Lords ont écrit un appel enflammé à leur premier ministre, pour faire en sorte qu’il agisse au niveau de l’ONU pour mettre un terme à ce massacre abominable.
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Sophia Kuby : Le congrès américain a lui aussi adopté une résolution de la sorte et fin décembre Hilary Clinton évoquait le génocide chrétien qui a lieu en Syrie et en Irak. Un consensus international semble enfin intervenir, lentement et bien tard, mais absolument nécessaire. Le patriarche catholique chaldéen de Babylone, Louis Sako, appelait début février le président du parlement européen Martin Schulz dans une lettre ouverte à faire « tout ce qu’[il peut] pour arrêter ce génocide avant qu’il soit achevé », conclut Sophia Kuby (fin des extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page) .
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Michel Garroté
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http://www.katholisch.de/aktuelles/standpunkt/den-genozid-stoppen
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http://fr.aleteia.org/2016/02/28/il-faut-mettre-un-terme-au-genocide-des-chretiens-en-orient-lappel-dune-philosophe-allemande/
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Guillaume Faye: Un projet de génocide des peuples européens?

Le génocide a été pratiqué depuis la plus haute antiquité. Dans un passé récent, on évoque évidemment la Shoah, les Arméniens, le Rwanda, le Cambodge de Pol Pot (auto–génocide). Le génocide peut prendre deux formes : éliminer directement une population ciblée ou la faire disparaître indirectement par d’autre types de mesures criminelles. Le génocide indirect a été commis de nombreuses fois dans l’histoire. L’actuelle ”crise des migrants” participe de ce projet : la noyade démographique des peuples européens.

Le soft génocide volontaire et nihiliste  

Les peuples européens sont subrepticement victimes d’une tentative de génocide, d’élimination démographique et culturelle, pilotée par leurs propres élites ethnomasochistes et xénophiles. Une première dans l’histoire. Les autorités françaises sont, avec les belges, les plus impliquées dans cette entreprise de soft génocide. Ce dernier est à la fois physique et culturel.

Enrobé par l’idéologie antiraciste, il suit pourtant un objectif racial et raciste : éliminer d’Europe, progressivement, – et en particulier de France – les populations autochtones. Les éliminer par cinq moyens : en favorisant une immigration de peuplement de provenance extra-européenne ; en décourageant la natalité des autochtones et en pénalisant les familles des classes moyennes ; en provoquant l’exil  des jeunes forces vives autochtones par des mesures de taxation dissuasive ; en privilégiant, sur les plans sociaux, économiques, juridiques et culturels, les populations d’origine extra-européenne par rapport aux autochtones ; en pénalisant et punissant toute opposition au projet global immigrationniste et toute entrave à son idéologie.

Certains à droite répètent que le ”système”, le pouvoir, l’État, les autorités de l’UE sont impuissants à maîtriser l’immigration massive et incontrôlée. Impuissants ? Ils sont très puissants au contraire et fort efficaces dans la réalisation de leur dessein : épuration ethnique de l’Europe, et de la France pour commencer.

En France, l’idéologie trotskiste joue un rôle central  dans cette entreprise, dont le PS bourgeois et gauchiste et son conseil, le think tank Terra Nova, sont les fers de lance. Un de ses dirigeants a récemment déclaré qu’il ne fallait pas trop s’inquiéter du votre FN parce qu’il allait décliner en proportion pour des raisons démographiques. C’est une stratégie subtile, cynique, élaborée. Les électeurs mal–pensants vont disparaître au profit de nouveaux. Ce ”grand remplacement” ethnique est souhaité.

Terra Nova (”nouvelle terre”, nouveau pays, nouvelle population) est un lobby métapolitique fort efficace, qui influence toutes les sphères du pouvoir. Son calcul électoral (séduire les immigrés et délaisser les classes populaires ou moyennes) est motivé par son animosité contre la France ”de souche”. Cette hostilité provient de l’idéologie marxiste–trotskiste, dont l’ ”internationalisme prolétarien ” est le cœur : détruire les appartenances nationales, enfin surtout celles des Européens.

Que l’islam soit sexiste, rétrograde, antidémocratique, etc. n’est pas le problème des idéologues trotskistes du PS et de Terra Nova, qui n’ont rien de ”républicains”. Leur objectif obsessionnel est  l’éradication de l’identité ethnique des peuples européens et notamment de la France. Cette idéologie trotskiste, ”internationaliste” au départ, n’est-elle pas suicidaire  pour ceux-là mêmes qui la prônent ? Oui, et alors ?  Ils s’en moquent. Car ils sont logiques avec eux mêmes, ils sont nihilistes. Leur objectif est la destruction de ce qu’ils haïssent – la civilisation européenne. Pas la construction d’un nouveau monde auxquels ils ne croient pas eux-mêmes.

Les axes stratégiques du soft génocide

Les moyens utilisés, notamment en France, un laboratoire, sont les suivants. On les retrouve évidemment à l’échelle de l’Union européenne. Ils sont à la fois idéologiques, économiques, judiciaires et policiers.

1) Encourager l’immigration. Laisser faire et favoriser cyniquement par tous les moyens la colonisation  de peuplement. La crise des ”migrants ”en est la dernière démonstration. On est passé à la vitesse supérieure. Après une immigration continue depuis trente ans (fuite d’eau) on en vient (inondation) à l’accueil de la déferlante de millions de migrants, sous le label humanitaire de ”réfugiés”. Il n’y a aucune ”impuissance” des autorités européennes à arrêter les flux migratoires ; on note  au contraire (l’angélique et folle Mme Merkel en est l’exemple) la volonté de les accentuer. Toute expulsion est rendue impossible.

2) Favoriser l’islamisation. Tout ce qui est arabo-musulman devient intouchable et sacralisé par le pouvoir, en dépit des attentats islamiques et des gesticulations militaires contre Dae’ch. Le favoritisme envers l’islam est devenu une politique d’État. Et, de ce fait, l’ ”islamophobie” s’impose comme péché capital, délit impardonnable.

3) Appauvrir et taxer les classes populaires et moyennes autochtones. Et les faires payer pour les autres. Toute la politique fiscale du gouvernement socialiste va dans ce sens : assistanat pour les immigrés même clandestins (pompe aspirante) financé par des ponctions croissantes sur le peuple de souche.

4) Mener une politique antifamiliale et antinataliste. En déconstruisant le système des allocations familiales, le gouvernement a réussi à faire baisser la natalité des autochtones en 2015. C’était bien calculé. La famille nombreuse de souche française n’est pas très appréciée…

 5) Pratiquer la discrimination positive. Il s’agit de la préférence étrangère et ethnique dans l’emploi, au nom de l’ ”antiracisme”. Les entreprises privées y sont fortement encouragées et les administrations publiques y ont systématiquement recours dans les emplois peu qualifiés.

6) Assurer l’impunité judiciaire des délinquants  d’origine étrangère. Cette politique, inaugurée depuis trente ans au moins, a été accentuée par le passage de Mme Taubira au ministère de la Justice, dont les orientation idéologiques (schizophrènes par ailleurs) sont parfaitement repérées : animosité envers tout ce qui est labellisé ”franco-européen”.

7) Détruire la transmission culturelle dans l’Éducation nationale. Culpabiliser l’histoire de France, démanteler l’enseignement du grec et du latin, démolir la grammaire et l’orthographe, dégrader  l’ enseignement de la langue française, déraciner, promouvoir et encenser les cultures  des populations immigrées –islamiques, africaines et autres… Tel est le programme suivi par l’État. Cette défrancisation, cette déseuropéanisation, Mme Vallaud–Belkacem, ministre de l’Éducation nationale ”socialiste” et pseudo-féministe, en est l’actrice souriante, après bien d’autres ministres et syndicalistes de formation trotskiste.

8) Réprimer et punir tous les résistants à l’idéologie dominante.  

Jungle de Calais et des environs : les immigrés illégaux qui commettent des exactions sont impunis ; les Français qui résistent, manifestent et tentent de se protéger sont matraqués, incarcérés et poursuivis. Les répressions contre la ”Manif pour Tous” obéissaient à la même logique. Tout ce qui défend l’identité française est menacé et puni par l’État ”français”. La même répression est observable dans les médias, écrits, audiovisuels ou internet. Les tribunaux et la police sont tolérants envers l’envahisseur occupant et impitoyables envers la résistance. On pourrait appeler ça le syndrome de Vichy,  non ?

Collabos contre résistants

Les deux camps sont assez bien définis. Les autorités étatiques, médiatiques, judiciaires, policières – ces dernières aux ordres des précédentes – ont pour mission de juguler et de neutraliser la résistance du peuple autochtone et de ses défenseurs. Ils auraient tort de croire qu’ils ont gagné.

Ceux qui ont semé le vent de la guerre civile à venir en récolteront la tempête. Elle sera probablement sanglante. Ce n’est ni la bêtise, ni l’angélisme qui les a motivés. C’est la haine consciente et le désir de guerre, c’est la collaboration avec l’envahisseur et le pari de sa victoire. Mais ils risquent aussi de perdre la guerre qu’ils ont provoquée. Les résistants ont plus de chance de l’emporter parce qu’ils sont animés par une fidélité à leurs racines alors que les collabos sont soumis à des maîtres qu’ils peuvent toujours trahir .

Nous verrons bien qui vaincra, mais, à mon avis, ce sera comme toujours L’Armée des Ombres.

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