Suisse : Une brochure pour lutter contre la radicalisation et “favoriser le vivre ensemble”

La Plateforme Jeunes et médias de l'Office fédéral des assurances sociales édite un guide de contre-discours pour empêcher que les jeunes vulnérables soient appâtés par les discours extrémistes.

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Les contre-discours visent à déconstruire et discréditer les messages et les stratégies de propagande extrémiste en leur opposant des arguments. Les discours alternatifs consistent, eux, à diffuser des messages positifs pour briser les préjugés et favoriser la capacité de penser de manière nuancée ainsi que le vivre ensemble.

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L'extrémisme islamiste a été au centre de la majorité des projets [...]

20min.ch

 


Rappels :

Simonetta Sommaruga: « La Suisse sera toujours plus multiculturelle »

Le socialiste Alain Berset veut agir avec fermeté et rapidité contre le racisme des Suisses. « La diversité est une richesse pour la Suisse. »

Pour l’UDC Guy Parmelin, « La diversité culturelle de la Suisse la rend plus forte »

«La ville de Bienne est le modèle du vivre ensemble», déclare Sommaruga

 

Suisse: Extrémisme de gauche plus vivace chez les jeunes

Une étude de deux hautes écoles montre que les jeunes Suisses sont plus sensibles aux idéologies qu'aux violences politiques.

L'extrémisme de gauche est un peu plus répandu chez les jeunes Suisses que l'extrémisme de droite. Les objectifs idéologiques recueillent plus d'adhésion chez les jeunes que les violences politiques. C'est le résultat d'une étude de deux HES fribourgeoise et zurichoise.

Au total, 8317 jeunes âgés de 17 à 18 ans et venant de dix cantons ont participé à cette enquête réalisée par la Haute école de travail social de Fribourg (HETS-FR) en collaboration avec la Haute école spécialisée de Zurich (ZHAW). Les résultats ont été publiés mardi.

Selon l'étude, 7% des jeunes sans parcours migratoire ayant participé à l'enquête peuvent être considérés comme des extrémistes de gauche et 5,9% comme des extrémistes de droite. Chez les jeunes musulmans, 2,7% peuvent être considérés comme des extrémistes islamistes.

Anticapitalistes

Parmi les extrémistes de gauche, 47,1% sont anticapitalistes et 21,7% sont hostiles envers la police et l'Etat. Seuls 5,6% des jeunes interrogés soutiennent le communisme, 8,1% prônent la violence contre les policiers et 4,4% ont commis des actes de violence au cours des douze derniers mois.

Parmi les extrémistes de droite sans parcours migratoire, 25,1% des jeunes interrogés adhèrent à la xénophobie et 21,1% au nationalisme, 4,8% prônent la violence contre les étrangers et 5,4% sont favorables à une dictature. 2,6% ont commis des violences physiques ou des dommages matériels contre des étrangers ou des extrémistes de gauche.

Perception négative

Selon l'enquête, 2,7% des jeunes musulmans peuvent être considérés comme des extrémistes islamistes, 43% ont une perception négative des sociétés occidentales et 28,8% sont hostiles aux musulmans non traditionnels. Seuls 3,7% des jeunes musulmans interrogés font preuve d'hostilité à l'encontre des Suisses et 5,1% ont une propension à la violence envers les musulmans non traditionnels.

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(ats/nxp)

source:

Les extrémistes de l’antiracisme deviennent hors de contrôle

Voici le genre de message que l’on commence à voir sur internet. Et n'en doutez pas, ce n'est que le début tellement cette propagande à sens unique s'insinue partout, jusque dans les universités.

Le moindre élément est devenu raciste dans la tête de ces individus préformatés.

 

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Source

 

Rappels:

Bradford (Royaume-Uni) : des jeunes immigrés pakistanais ont caillassé des pubs « parce qu’ils étaient tenus par des Blancs »

L’orchestre symphonique de Boston accusé de jouer trop d’œuvres d’«hommes blancs»

Londres : accusée de racisme, une université s’excuse pour avoir parlé de « campus blanc » au sujet de la neige tombée

Université de Yale : Les étudiants ne sont plus obligés de suivre des cours sur les auteurs blancs

France: L’islam, facteur aggravant de radicalité chez les lycéens

Un rapport sur les liens entre l’islam et la radicalisation au sein des jeunes a été repoussé à après les élections présidentielles, de peur que ses conclusions ne fassent monter Marine Le Pen.

Dans une conférence de presse à Paris, les chercheurs Olivier Galland et Anne Muxel ont délivré quelques grosses lignes choquantes qui souligneront le lien net entre être musulman et avoir des idées radicales.

Voici ce que nous savons jusque là :

11% des sondés ont été classés comme ayant une vision absolutiste de la religion définie par leurs croyances en la supériorité de la religion sur la science. 6% des étudiants chrétiens croient en l’absolutisme religieux, alors que le chiffre monte à 32% pour les étudiants musulmans.

Sans rapport avec leur résultats à l’école ni la profession de leurs parents, un jeune musulman a 4 fois plus de chances d’adhérer à des idées radicales qu’un jeune chrétien.

24% des sondés ont complètement refusé de condamner la tuerie de Charlie Hebdo. 21% ont refusé de condamner le massacre du Bataclan, qui a fait 130 morts et 368 blessés.

Le rejet de la laïcité ou de l’homosexualité est plus prononcé parmi les musulmans que dans les autres religions.

33% des étudiants musulmans considèrent qu’il est « acceptable » de « participer à des actions violentes pour ses idées« .

20% des étudiants musulmans sont d’accord que dans la société moderne, il est acceptable de combattre les armes à la main pour sa religion.

Quand on leur a demandé si ces attitudes pouvaient être dues à des facteurs économiques et sociaux ou à un sentiment de stigmatisation, les chercheurs ont répondu que « l’appartenance à la religion musulmane est le facteur le plus prédicteur« .

Un torchon de gauche, Le Monde, a accusé les chercheurs de vouloir « ouvrir la boite de Pandore »

Parfois la vérité fait mal… (et ce sont les mêmes qui parlent de "fake news" après cela et qui veulent dire ce qui est vrai ou non).

Traduction suavelos de Westmonster

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Après un stage de « déradicalisation », elle tente de partir en Syrie

La jeune fille de 17 ans avait été impliquée en 2014 dans un projet d'attentat contre une synagogue de Lyon.

INFO EUROPE 1 -

Malgré une tentative de "déradicalisation", impliquant un suivi psychologique, une jeune fille de 17 ans, déjà impliquée dans un dossier terroriste, aessayé de partir en Syrie. Clara (un prénom d'emprunt, car elle est mineure) a été rattrapée in extremis par son père, prévenu par les autorités de l'imminence du départ de sa fille.

Elle suivait une formation. La jeune fille, pourtant sous surveillance, a réussi à duper tout le monde. Interpellée en août 2014 pour un projet d'attentat-suicide devant une synagogue de Lyon, elle était depuis sous contrôle judiciaire. Très entourée par son père musulman et sa mère catholique, elle suivait aussi une formation dans le domaine du social. Selon son avocat, la famille est attentive et ouverte. Durant plusieurs semaines, Clara a participé aussi à des entretiens de "déradicalisation" avec Dounia Bouzar dans son programme de prévention contre les dérives sectaires liées à l'islam.

Un téléphone sur écoute. En parallèle cependant, la jeune fille préparait son départ en Syrie avec un recruteur à l'autre bout de la France. C'est parce que son téléphone était sur écoute que les policiers découvrent son projet. Une fois la famille alertée, le père l'a rattrapé in extremis quelques jours après Noël.

Dissimulation. Depuis le 20 janvier dernier, Clara dort en prison et a reconnu son intention de partir. Elle a aussi manifesté son adhésion aux attentats du 13 novembre et avoué que la dissimulation faisait bien partie de son plan.

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