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Zemmour analyse le second tour [vidéo]
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https://youtu.be/Cs9So5se3-w
Michel Garroté -- La Ligue de Défense Juive (LDJ), l'Union des Patriotes Français Juifs (UPFJ), par la voix la de son président, Michel Thooris et le Parlement Juif Européen (PJE), par la voix de son président, Vadim Rabinovich, se démarquent du Conseil Représentatif des Instituions juives de France (le CRIF, qui soutient le candidat Emmanuel Macron au second tour).
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En effet, la LDJ, l'UPFJ et le PJE estiment que "Marine Le Pen ne représente aucun danger pour les Juifs Français" et que "La politique d’Emmanuel Macron est une bombe à retardement pour les Français Juifs" (voir source en bas de page). Ces positions de l'Union des Patriotes Français Juifs, de la Ligue de Défense Juive et du Parlement Juif Européen peuvent surprendre. Les médias prétendent, et, continueront, de prétendre, naturellement, que ces trois organisations juives françaises seraient "trop à droite", et, qu'elles ne seraient pas assez "représentatives" de la diaspora....
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Ces positions de l'UPJF, de la LDJ et du PJE peuvent donc surprendre. Pourtant, il n'en est rien. Car le Conseil Représentatif des Instituions juives de France (CRIF) n'est pas si "représentatif" des Juifs Français qu'il veut bien le dire. Et au sein de la diaspora juive française, des voix s'élèvent régulièrement, pour se désolidariser du CRIF, qu'elles jugent trop à gauche, et, trop peu efficace dans la situation présente.
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Très clairement, ces dernières années, une partie de l'électorat juif français a manifesté ses craintes, non pas face au Front National de Marine Le Pen, mais face aux islamo-gauchistes et leurs propos - ainsi que leurs actions - non-seulement israélophobes, mais aussi judéophobes.
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Cette même partie de l'électorat juif français, a également manifesté ses craintes, face à la nouvelle orientation - très palestinophile et très islamophile - du parti socialiste français. Celui-ci privilégie nettement l'électorat franco-musulman et il se garde bien de dénoncer ses dérapages antisémites, craignant de perdre des voix.
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Ainsi, Michel Thooris, président de l'Union des Patriotes Français Juifs (UPFJ), écrit-t-il, notamment (extraits adaptés ; voir source en bas de page) : C’est dans les vieux pots [ndmg - hollandiques] qu’on fait les meilleures soupes [ndmg - de gauche et de centre-gauche] et pas un ingrédient ne manque dans la recette Macron.
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L’Union européenne, ardemment défendue par le candidat de "En marche !", est - pour mémoire - largement pro-palestinienne. En France, une partie de cette mouvance pro-palestinienne relaye les revendications portées par le Hamas qui prône la destruction des Juifs et d’Israël. Des slogans à caractère antisémite sont lancés lors de ces rassemblements de rue qui se terminent, le plus souvent, dans la violence contre les forces de police.
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La proximité d’Emmanuel Macron avec une personnalité comme Mohamed Saou en dit long sur ses affinités politiques. Selon la sénatrice socialiste Bariza Khiari, Emmanuel Macron est "le candidat des banlieues" [ndgm - zones de non-droits aujourd'hui contrôlées par les islamistes]. La sénatrice socialiste avait cosigné - avec une quarantaine de personnalités musulmanes - une tribune dans le Journal du Dimanche, en juillet 2016, pour critiquer l’organisation actuelle de l’Islam de France.
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Une controverse était immédiatement née suite à cette parution, les victimes françaises juives du terrorisme ayant été occultées du texte par les signataires.
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Sur les questions d’insécurité et de terrorisme, Emmanuel Macron appliquera à la lettre la politique imposée par la Cour Européenne des Droits de l’Homme [CEDH]. La CEDH a pourtant retiré aux Etats membres tous les moyens juridiques pour lutter efficacement contre le crime et le terrorisme, alors même que la principale menace qui pèse sur les Français Juifs, c’est précisément le terrorisme et l’insécurité.
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Macron n’incarcérera pas ou n’expulsera pas les individus fichés 'S' au nom des libertés, à l’instar de monsieur Valls, pas plus que Macron n’empêchera le retour sur notre sol des Français partis combattre en Syrie avec Daesh [l'Etat Islamique, EI].
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Macron est le candidat du CAC 40. Pour preuve, sa qualification pour le second tour a immédiatement rassuré les marchés et provoqué des hausses importantes à la bourse. A ce titre, il est un immigrationniste convaincu.
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La politique social-démocrate sur les questions migratoires - imposée à toute l’Europe par l’Allemagne d’Angela Merkel - n’a qu’un seul et unique objectif : tendre le marché du travail - par une immigration massive et incontrôlée - pour peser à la baisse sur les salaires.
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Même si - naturellement - tous les clandestins ne sont pas des criminels, il est indéniable que des terroristes s’infiltrent parmi les migrants pour entrer en Europe, et, à terme, y commettre des actions violentes. La maîtrise de l’immigration légale et la lutte contre l’immigration illégale sont primordiales pour stabiliser une situation sécuritaire et sociale délétère, tant en France qu’au niveau européen, comme on l’a vu à Molenbeek en Belgique.
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Sur tous ces points cruciaux, Emmanuel Macron, le fils spirituel de François Hollande, fera office de vice-Chancelier en France de Madame Merkel. Malgré ses 6%, le Parti Socialiste n’est pas mort, il a juste changé de nom et de visage.
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L’Union des Patriotes Français Juifs appelle les électeurs à ne pas être dupe de cette manœuvre du système pour tenter de se maintenir au pouvoir, malgré le rejet clair et massif des Français pour les partis de gouvernement. La mondialisation est mortifère pour notre planète et la famille humaine. Il faut rompre avec ces politiques dont les Français ne veulent plus, conclut Michel Thooris, président de l'Union des Patriotes Français Juifs (fin des extraits adaptés ; voir source en bas de page).
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Michel Garroté pour Les Observateurs
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https://upfj.org/2017/04/25/la-politique-demmanuel-macron-est-une-bombe-a-retardement-pour-les-francais-juifs/
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Malaise, déception, gueule de bois? Je ne sais vraiment pas définir ce que les résultats de ce premier tour ont comme effet sur moi ce matin.
L'improbable s'est réalisé ! L'artifice a pris forme. La construction médiatique et financière s'est métamorphosée, la créature européenne est en place. Les résultats de ce premier tour démontre à l'évidence, que la France cancérisée et inconsciente, s'est mise au lit et attend que sa migraine passe, avec un marteau au dessus de sa tête!
Les ahuris ont donné la main aux abrutis contre les patriotes. Le vide politique embrasse à pleine bouche le sida socialiste. À première vue, rien ne se passera, mais à terme, ce sera la mort de notre Nation.
Les ahuris, ce sont ces Françaises et Français fascinés par les apparences. Ces gamines se pâmant devant le mignon du Roi. Ces mamies retraitées, trouvant qu'il a du charme, une belle gueule, et que la jeunesse serait un gage de compétence. Misère !
Ces ahuris de la télévision, des paillettes, de la caste journalistique, des artistes et autres friqués de la bien pensance, ont fait ce qu'attendaient les financiers, les banques, les patrons de journaux dans leurs arrières boutiques. Ce qu'espéraient les Ruquier de la serpillière, les Noah du balai, les cyniques, de Bergé, Drahi, Minc à Attali, en passant par les recyclés socialistes et autres Pujadas et Salamé. La bien pensance exulte. Elle a fait croire aux ahuris qu'ils avaient un cerveau, et ceux-ci ont fini par croire qu'ils pensaient par eux-mêmes !
Le représentant du vide est là et il se peut même qu'un jour prochain, il s'installe sur le fauteuil qu'occupa le général De Gaulle, avec la complicité de ceux qui osent encore, se dire gaulliste, comme Fillon, Barouin, NKM et autres Pécresse. Un François Fillon qui non seulement a bu la ciguë socialiste, mais a aussi mangé le récipient avec. Quant à la France ? Quant aux électeurs de Fillon, accepteront-il le suicide collectif ?
Les dirigeants de l'Union Européenne ont obtenu un orgasme et n'en peuvent plus de se répandre sur les moquettes bien épaisses de Bruxelles. Pas de soucis, il y aura des "nettoyeurs détachés" pour effacer les traces de leurs plaisirs collectifs et solitaires, et la bave des gastéropodes qui les servent !
Tous ces acteurs sont ravis de voir cette créature prendre forme. Du vide sidéral, de l'inculture crasse, de la négation de l'histoire d'un peuple, ils en ont fait un jouet. Eux seuls connaissent les manettes. Ils pourront faire ce qu'ils veulent de leur Daladier, y compris le faire braire, au nom de la France, auprès de la Chancelière Allemande.
La démocratie ? C'est cette belle idée qui aura accouché en 2017 d'un têtard devenu grenouille en deux mois, et qui n'a même eu besoin de se gonfler pour devenir grosse et faire illusion, tant les ahuris ont regardé le doigt montrant la Lune.
Les abrutis. Une espèce que je pensais en voie de disparition. Une engeance pitoyable qui ne savait pas pour qui voter la veille, voire le jour même du scrutin. Affligeants électeurs, ne sachant toujours pas, que ne pas voter, c'est toujours approuver.
Certes, ils vont encore râler, comme ces vaches menées à l'abattoir. Ils vont pester contre les impôts, les taxes, les radars, et sans doute contre l'Europe, l'immigration, les socialistes, la droite, et pester contre les pourris qui nous gouvernent, et que sais-je encore ? Bref, des abrutis qui nous entourent, et font aussi partie de notre environnement le plus souvent.
Ils tiendront compagnie à une sous espèce d'abrutis socialo-communiste et autres antifas, qui lèvent le poing en hurlant égalité, fraternité tout en détruisant les permanences électorales du Front National, en déversant leur haine de l'autre, du patriote, au nom de la liberté bien sûr, en attendant de se faire pulvériser comme d'autres en Allemagne nazie, en URSS, en Chine ou en Amérique latine !
Alors oui, ce matin, j'ai comme une lourdeur au niveau de la nuque. Une envie de vomir. Un profond sentiment d'écœurement, une grande lassitude.
Ce matin, j'ai une pensée pour tous les patriotes qui vont subir pendant quinze jours, toutes les insultes et vont devoir rester debout et fiers sous les lazzis et les quolibets de la bien pensance, et sous les ricanements imbéciles des ahuris et des abrutis qui viennent de blesser gravement notre Patrie, notre France.
Demain, il faudra continuer le combat et démontrer à ces Français, que l'abrutissement n'est pas une tare inguérissable, que l'ahurissement peut se dépasser, et que le combat de la Nation contre le mondialisme est une nécessité vitale ! Alors oui, continuons le combat, car au fond, il ne reste rien d'autres à faire, sinon à s'expatrier, et faciliter le grand remplacement !
Gérard Brazon
Michel Garroté -- A deux jours du premier tour de l'élection présidentielle française et au lendemain de l'attentat islamiste sur les Champs-Elysées, la présente compilation d'analyses - je le précise d'emblée - est longue. Et c'est pourquoi je commence par en donner les divers contenus, afin que les lectrices et lecteurs puissent, s'ils le souhaitent, aller directement sur le contenu qui les intéresse le plus. La compilation commence par une série de réflexions d'Ivan Rioufol et de Les 4 Vérités sur le gauchisme, l'islamo-gauchisme et le Decodex. Puis, la compilation reprend diverses analyses (de Réinformation.tv et de Challanges) sur les Médias milliardaires et leurs méthodes très militantes. Enfin, la compilation cite des extraits d'une analyse du Général Antoine Martinez sur les risques de guerre civile.
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Gauchisme et Islamo-gauchisme :
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Ivan Rioufol : Parler de radicalisation pour désigner à la fois le mouvement Sens Commun, la formation issue de La Manif pour Tous qui a rejoint François Fillon, et le totalitarisme islamique en guerre contre la démocratie revient évidemment à édulcorer la dangerosité des fanatiques ayant fait allégeance à l’Etat islamique. Ceux-là peuvent se satisfaire de cette soumission en marche. Les intimidations des islamistes, qui sont les premiers à se réclamer du vivre ensemble, de l’antiracisme et des droits de l’homme pour consolider leur impunité, semblent malheureusement efficaces. Fillon, candidat des Républicains se distingue de ses concurrents par un discours sans fard contre l’islam radical.
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Fillon est celui qui s’est le plus engagé dans la défense des Chrétiens d’Orient, victimes d’une épuration par l’islam sunnite. Lors de son meeting du 9 avril, à Paris, il avait appelé les Français musulmans "à se soulever contre l’obscurantisme et à nous aider à faire le nettoyage". Il persiste ce mercredi dans Le Parisien : "Je veux combattre l’intégrisme avec les musulmans". Et si Marine Le Pen n’épargne pas non plus l’islamisme, elle le fait parfois d’une manière oblique. Lors d’un meeting à Lyon, le 5 février, elle avait cru bon de dénoncer à la fois le totalitarisme djihadiste et le totalitarisme affairiste, présentés comme deux effets de la mondialisation. Ce relativisme saugrenu n’aide évidemment pas à hiérarchiser les dangers. Il faut néanmoins remarquer que la présidente du FN a, depuis quelques jours, repositionné plus clairement son discours.
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Ivan Rioufol : L’islamo-gauchisme, cette alliance du marxisme et du djihad contre l’Occident libéral et capitaliste, s’est désormais installé, comme une plaie, dans les rangs de l’extrême gauche et chez les plus radicaux des socialistes. Manuel Valls, qui était le seul de sa famille politique à avoir mis en garde contre ce fascisme islamiste et son antisémitisme, n’a évidemment aucun point commun, sur ce sujet, avec Benoît Hamon et ses accommodements. Si l’ancien premier ministre a déclaré, mardi, ne pas vouloir parrainer son concurrent désigné par la primaire du PS, en dépit des engagements initiaux, c’est bien parce que le candidat à la présidentielle n’a pas rompu les liens avec l’idéologie islamiste et ses exigences de visibilité et de respect. Elle a réussi à faire passer, chez les moins regardants et autres idiots utiles, le musulman pour le nouveau damné de la terre.
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Ce clientélisme est l’une des plus graves faiblesses de Hamon. Pour autant, le soutien de Valls à Emmanuel Macron n’a rien d’évident non plus. L’enfant chéri du progressisme "bienveillant" ne montre, en effet, aucune envie d’engager l’épreuve de force contre le nouveau totalitarisme qui exige et obtient la soumission des plus dociles. Valls, lui, avait eu le mérite de le désigner comme l’ennemi à "combattre et abattre". La gauche rampante et collaborationniste devrait au moins lire ce que les islamistes eux-mêmes écrivent de leur stratégie. Ils ont ce mérite de faire ce qu’ils disent. Carlos, par exemple. Le terroriste vénézuélien, converti à l’islam à 25 ans et déjà condamné deux fois à la perpétuité depuis son arrestation par la France en 1994, comparaît depuis lundi devant la Cour d’assises spéciale de Paris. Il doit répondre, 43 ans après les faits, de l’attentat du Drugstore Publicis (2 morts, 34 blessés).
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Or Carlos, marxiste et islamiste, est un des théoriciens de cet islamo-gauchisme qui fait aujourd’hui partie du paysage politique français. Dans son livre, L’islam révolutionnaire (Editions du Rocher, 2O03), Ilich Ramirez Sanchez, dit Carlos, invitait déjà les "mouvements anti-globalisation" à venir rejoindre la lutte pour "libérer le monde de l’exploitation impérialiste et la Palestine de l’occupation sioniste". Rejetant la différence entre islam et islamisme, il écrit : "L’Islam est par essence "politique" en tant qu’organisation divine de la communauté des croyants".
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D’ailleurs, pour lui, la France a déjà basculé : "Du fait des flux migratoires nés de la colonisation, elle est déjà et depuis des décennies dar al-islam (terre d’islam,NDLR). Des moquées, des lieux de culte s’érigent partout. Cette conquête spirituelle se fait sans violence. Le facteur démographique joue en la faveur de l’Islam", etc. Pour Carlos, "la lutte armée est non seulement licite, mais elle devient une obligation religieuse et par conséquent un devoir moral quand il n’existe aucune solution non violente". L’islamo-gauchisme est dans cette logique d’affrontement et de guerre civile. Autant le savoir, précise Ivan Rioufol.
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Et à propos du "barrage" qu'il faudrait faire, non pas à l'islamisme violent et conquérant, mais au Front national (le seul parti politique français qui ne fait pas dans l'islamophilie très tendance), Ivan Rioufol écrit : Faire barrage fait monter le niveau. Cette donnée ne s’applique pas seulement aux eaux retenues. Les voix comprimées peuvent aussi produire cet effet. Rien de tel, pour faire croître le vote FN, que de poursuivre la stratégie du No pasaran !, héritée des républicains espagnols. Rien n’est plus convenu dans cette campagne que de faire à Marine Le Pen le reproche de sa recherche d’affrontement. Pourtant, c’est Emmanuel Macron, le chantre de la bienveillance, qui désigne le FN comme un "ennemi".
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Ce faisant, le leader d’En Marche ! installe dans les esprits une notion de guerre civile qu’il réfute du côté de l’islam totalitaire. La gauche, qui n’a rien à dire sur les grands sujets posés par l’asphyxie migratoire et la montée de l’islamisme dans les cités, déploie également toute sa violence verbale pour disqualifier les solutions qu’apporte ce parti. Les mesures avancées par le FN peuvent être évidemment contestées. Mais la pire des réponses consiste à ne pas vouloir traiter les sujets d’inquiétude portés par ses électeurs. Ceux-là ne méritent pas d’être accusés d’antisémitisme ou de racisme, même s’ils veulent, en effet, un retour à la nation souveraine et à la différence existentielle entre le citoyen et l’étranger. Criminaliser ce conservatisme oblige à dénigrer tout ce qui a constitué la "douce France", conclut Ivan Rioufol.
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A propos de la présidentielle et du communisme, Ivan Rioufol écrit notamment : Arrêtez les frais ! Un autre "Grand débat" sur la présidentielle n’est pas nécessaire. La resucée prévue le 20 avril n’apportera rien de plus à la longue et fastidieuse soirée d’hier (près de 4 heures !) diffusée par CNews et BFMTV. Elle n’a d’ailleurs recueilli que 6,3 millions de téléspectateurs. La lutte des classes, promue par Philippe Poutou et Nathalie Arthaud, a fait rappeler que ce communisme qui se pavane et fait la leçon reste l’héritier de celui qui, au XXe siècle, a causé plus de cinquante millions de morts. La faucille et le marteau, qui se retrouvent aussi parfois sur des drapeaux brandis lors de meetings de Jean-Luc Mélenchon, m’indignent autant que la vision d’une croix gammée. Mais si le régime nazi a connu son procès de Nuremberg, qui a heureusement criminalisé son idéologie et son insigne, le communisme n’a jamais eu à se confronter à ses propres massacres. Il passe à la télé, conclut Ivan Rioufol.
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Decodex et des conneries :
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Lu dans Les 4 Vérités : Les médias « mainstream » ont un problème avec la vérité. Ils accusent volontiers la « réinfosphère » et l’information alternative de mentir. Pourtant, les mensonges sont au moins aussi répandus dans la « grande » presse. Pour lutter contre le « complotisme » qui aurait cours dans la « réinfosphère », « Le Monde », journal de l’oligarchie s’il en est, a lancé le « Decodex », qui note les sites d’informations selon des critères obscurs. Mais ces notations n’excluent pas des approximations ou des omissions – qui s’apparentent fort à des mensonges.
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Ainsi l’Observatoire de la christianophobie, dirigé par Guillaume de Thieulloy, est-il présenté comme un site « traditionaliste », alors qu’il s’agit d’un site oecuménique, évoquant toutes les confessions chrétiennes, et comme donnant des informations « non vérifiées », alors que tous ses articles font référence au minimum à une source et souvent davantage. Détail croustillant : la « preuve » de l’absence de source de l’Observatoire de la christianophobie est donnée par une référence… au « Monde des religions », c’est-à-dire que « Le Monde » est juge et partie ! Si l’on voit comment « Le Monde » méprise des vérités aussi aisées à découvrir, on devine que ses « enquêtes » doivent être des plus contestables, conclut Les 4 Vérités.
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Médias milliardaires :
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Réinformation.tv révèle : Un récent sondage Sofres/Kantar média publié par la Croix révèle que « la confiance dans l’information relayée par les différents médias est historiquement basse ». Avec 41 %, la télévision perd 9 points de confiance, la radio perd 3 points à 52 %. Ce sondage n’est que la confirmation d’une défiance de plus en plus grande des Français à l’égard de ceux que l’on appelle « les grands médias ». Pour répondre aux questions posées par Armel Joubert des Ouches dans ce documentaire, nous avons interrogé Jean-Claude Bourret, ancien présentateur des journaux de TF1 et de la Cinq. Le journaliste, qui fut également rédacteur en chef à France Inter et à RMC, évoque la mainmise des milliardaires sur les médias depuis ces 20 dernières années en particulier.
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« J’ai toujours dénoncé l’interpénétration qui existait entre le pouvoir politique et le pouvoir médiatique, explique-t-il, mais de façon mesurée car vous ne pouvez pas attaquer de front ceux qui sont beaucoup plus puissants que vous sinon ils vous écrasent ! Je l’ai dénoncé dans des journaux comme Télé Star, Télé 7 jours. Cela m’a valu de perdre le journal de 20 heures sur TF1 au moment où il y a eu la grande manifestation (1984) en faveur de l’école libre parce que j’avais fait mon métier de journaliste ! ». Ce jour-là en effet, parce qu’il est le seul à annoncer un chiffre officiel « censuré par l’Agence France presse » – 800.000 personnes présentes à la manifestation – Jean Claude Bourret s’attire les foudres du pouvoir socialiste de l’époque.
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C’est alors François Mitterrand qui dirige le pays. Il est un fait que si Radio France (France Inter, France Info) et France Télévision appartiennent à l’Etat, les « grands patrons » sont propriétaires de la plupart des gros médias dans le pays. Bouygues détient TF1, LCI et TMC ; Dassault possède le groupe le Figaro ; Patrick Drahi est propriétaire du journal Libération et de l’Express ; quant à BFMTV et RMC, ces deux médias sont entre les mains d’Alain Weill, actionnaire majoritaire du groupe NextradioTV. Il faut également compter sur Vincent Bolloré, Bernard Arnault ou Arnaud Lagardère. Des banques telles que le Crédit Agricole et le Crédit Mutuel détiennent également des parts importantes dans la presse régionale notamment.
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Pour Ivan Rioufol, essayiste et journaliste au Figaro, il faut admettre que « les journalistes sont tous formatés. Je suis surpris de constater que les journalistes qui sortent des écoles n’ont pas d’esprit critique ». Robert Werner, ancien rédacteur en chef à TF1 – pourfendeur de l’énergie éolienne, voir notre reportage « Energie éolienne, la grande escroquerie » – estime lui que « la culture générale de la part de la grande majorité de journalistes laisse pleinement à désirer. Parlez-leur de la Saint Barthélémy, parlez-leur des guerres de Vendée, c’est le vide ». Dans ce documentaire de 26 minutes, Armel Joubert des Ouches a également interviewé Martial Bild, Directeur de la rédaction de TV libertés, Jeanne Smits journaliste depuis une trentaine d’année, mais aussi Frédéric Pons, journaliste – écrivain et professeur aux écoles de Saint Cyr. Frédéric Pons qui est l’auteur de nombreux ouvrages vient d’achever Le martyre des chrétiens d’Orient, livre publié chez Calmann-Lévy, conclut Réinformation.tv.
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Mediapart & Canard Enchaîné - Deux stratégies opposées :
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Dans Challanges, Marc Baudriller livre l'analyse que voici : Le Canard enchaîné, qui a lancé l'interminable affaire Fillon, mène la danse des affaires dans cette campagne électorale mais son concurrent Mediapart se porte très bien. Le site payant d'Edwy Plenel créé il y a maintenant neuf ans vient de publier ses comptes 2016. Son créateur a longuement détaillé la fourmilière qu'il anime. Outre les articles de la rédaction, Mediapart livre sur le web des documentaires tournés en vidéo, des débats enregistrés dans son studio, il s'est associé avec des chercheurs, avec un pool européen d'enquêteurs, il publie une revue sur papier, des livres... Impossible de tout citer. Il a surtout 131.000 abonnés qui payent chaque mois. Cette idée de site éditorial payant paraissait un peu déraisonnable voilà neuf ans, c'est devenu une entreprise très prospère. Les 32 salariés du départ sont aujourd'hui 74. L'entreprise occupait 350 m2 de bureaux dans l'est parisien, elle s'étale maintenant sur 600 m2. C'est peu dire qu'Edwy Plenel a réussi son pari.
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Mediapart, en retrait face au Canard enchaîné dans l'affaire Fillon, est cependant souvent comparé à cette institution de la cinquième République qui fête ses 100 ans qui a sorti tant d'affaires, des Micros du Canard aux diamants de Bokassa en passant par les avions renifleurs et tant d'autres. A elle seule, la comparaison en dit donc long. Le Canard vend presque 400.000 exemplaires par semaine en moyenne, trois fois le nombre des abonnés à Mediapart. Surtout, le Canard a mis de côté 124 millions d'euros. De quoi vivre pendant cinq ans sans la moindre recette.
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Mediapart n'a évidemment pas cette cagnotte. Mais le site de Plenel affiche en 2016 deux fois la rentabilité du Canard en 2015 (ce sont les derniers chiffres disponibles): 2,04 millions d'euros de résultat net l'an dernier sur un chiffre d'affaires de 11,6 millions d'euros pour Mediapart contre 2,2 millions d'euros de résultat net sur un chiffre d'affaires 2015 de 24,5 millions. Mais les deux médias d'investigation affichent deux stratégies très différentes. L'un reste craintif, l'autre affiche un gros appétit. Alors que le Canard thésaurise pour résister en cas de coups durs, Mediapart veut se développer, participer à des initiatives du même genre dans les grandes villes de France ou à l'étranger, conclut Marc Baudriller.
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Guerre civile :
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Le Général Antoine Martinez : Les événements dramatiques qui se sont déroulés sur notre propre sol depuis quelques années et surtout récemment sont autant de signaux d'alarme totalement ignorés par ceux qui nous gouvernent et qui ont plongé le peuple dans la désespérance et l'exaspération. Cette exaspération alimente une colère qui ne cesse de monter et qui conduit à une radicalisation des esprits. Alors, si la primauté du politique sur le militaire n'est absolument pas contestée, la Grande Muette [ndmg - l'armée française], garante de la continuité historique directement liée à la sécurité et à la protection de son peuple, doit à présent, devant le danger imminent qui menace le pays, briser le silence pour rappeler aux responsables politiques leurs obligations à l'égard de la Nation.
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Cela devient même un devoir lorsque l'État trahit la Nation, comme c'est le cas depuis plusieurs années, et que l'intérêt supérieur du pays est en cause : suivre l'évolution de la situation sur un laps de temps de huit années et constater, sur de nombreux points, l'aggravation de cette dernière en raison du déni des réalités des responsables politiques, de leur manque de vision à long terme et de la prise de décisions contraires aux intérêts de la Nation. L'évolution dramatique de la situation de la France, et d'ailleurs de l'Europe, par la faute des responsables politiques qui ne veulent pas admettre la stratégie de conquête d'un islam incompatible avec la démocratie et qui mènent le pays vers le chaos, nécessite que la Grande Muette brise à présent son silence pour provoquer un sursaut, conclut le Général Antoine Martinez.
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Sources :
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/04/surtout-ne-pas-dire-le.html
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/03/lislamo-gauchisme-plaie-mortel.html
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/04/faire-barrage-fait-monter-le.html
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/04/pitie-pas-un-autre-grand-debat.html
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http://www.les4verites.com/culture-4v/manipulations-mediatiques
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http://reinformation.tv/defiance-envers-medias-discredit-joubert-67335-2/
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https://www.challenges.fr/election-presidentielle-2017/la-campagne-dans-les-medias/mediapart-face-au-canard-enchaine-deux-strategies-d-investigation-opposees_460607
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http://www.apopsix.fr/catalogue/quand-la-grande-muette-prendra-la-parole--978-2-35979-135-8.html
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Michel Garroté -- Dans le cadre des présidentielles françaises, le chroniqueur catholique Michel Janva demandait, tout récemment : "Si la droite l’emporte pour pratiquer une politique de gauche, à quoi bon ?". Sans doute soutient-il Marine Le Pen, certainement est-il catho-traditionaliste, et c'est son droit. Au demeurant, sa question reste pertinente (imaginez Macron et Le Pen au second tour ou même Fillon et Le Pen à ce même second tour, sachant qu'en effet, la "droite" de LR, comme auparavant l'UMP, pratique une politique de centre-gauche, voire même de gauche...).
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Plus en détail, sur 'Le Salon Beige', Michel Janva écrivait, il y a peu, notamment ceci [extraits adaptés ; cf. lien en bas de page] : Les catholiques de retour dans le jeu politique. Souvent moqués dans les média, l’enseignement et certaines administrations où l’anticléricalisme est la règle, les catholiques n’hésitent plus à s’investir dans la vie publique et politique. Leur action pourrait bien s’avérer décisive pour les prochaines échéances électorales. Manif Pour Tous, Manif Pour La Vie, cortège pour célébrer Jeanne d’Arc, les catholiques investissent massivement la rue depuis plusieurs années maintenant et dépassent même souvent les effectifs des syndicats. Mais ce n’est pas seulement dans la rue que l’on retrouve les catholiques.
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Michel Janva : En politique, il n’est plus rare de voir des personnalités qui se revendiquent pratiquant ou de culture chrétienne notamment chez Les Républicains dans l’entourage direct de François Fillon avec Bruno Retailleau et Valérie Boyer ou au Front National dans le sillage de Marion Maréchal Le Pen notamment. Le candidat Les Républicains à l’élection présidentielle doit d’ailleurs la réussite de sa manifestation de soutien au Trocadéro aux réseaux de Sens Commun, émanation de La Manif Pour Tous au sein de la droite parlementaire. Et le secteur associatif n’est pas en reste, en témoigne la récente réussite du semi-marathon de Paris où pas moins de 3'000 personnes ont couru pour les chrétiens d’Orient à l’initiative de trois associations.
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Michel Janva : Du côté des médias, l’hostilité déclarée de la presse de gauche n’a pas empêché le développement des magazines catholiques comme 'Famille Chrétienne' ou 'France Catholique' et la création de nouveaux titres comme la revue 'Limite'. Mais c’est aussi sur Internet que le phénomène a pris de l’ampleur avec des sites catholiques d’information. Si les exemples ne sont pas homogènes et que des organisations comme 'Civitas' (ndmg - les cathos traditionalistes) et 'Sens Commun' (ndmg - les cathos fillonistes) peuvent paraître assez éloignées, si ce n’est dans le fond au moins dans la forme, les catholiques se rejoignent sur les principes non négociables de la foi catholique. Pour l’écrivain Jean Sévillia, les catholiques sont aujourd’hui 10 millions de pratiquants occasionnels et seulement 3 millions de pratiquants réguliers.
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Michel Janva : C’est peu mais ça n’empêche pas l’émergence d’actions originales comme "Faire gagner nos convictions", dernière initiative de 'LSB' qui part du postulat que les catholiques doivent agir en minorité active (ndmg - seulement 3 millions de pratiquants réguliers, en effet, c'est peu ; c'est même très peu, dans un pays de 65 millions d'habitants, dont 8 millions de musulmans ; ajoutons que lors de La Manif Pour Tous, LMPT, ils étaient tout de même un million dans la rue, mais que depuis, malgré ce succès, on ne les voit plus manifester ; ils tiennent des colloques et des conférences, ils sont hyper-actifs - dans l'écriture - sur Internet, mais où donc est passée l'action, concrète et pacifique, sur le terrain ?).
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Michel Janva : Et c’est donc en faisant tomber des têtes aux législatives que les catholiques pourraient tirer leur épingle du jeu. Les principales cibles sont déjà connues : le rapporteur de la loi Taubira, le socialiste Erwann Binet, Nathalie Kosciusko-Morizet des Républicains qualifiée d’égérie bobo libertaire et Sophie Montel du Front National devenue une ardente 'défenseuse' de l’avortement. En tout, dix cibles devraient être visées et la blogosphère catholique pense pouvoir faire la différence, sur les quelques centaines ou milliers de voix, qui permettent de gagner ou de perdre, une élection, concluait, il y a peu, Michel Janva, sur 'Le Salon Beige' [fin des extraits adaptés ; cf. lien ci-dessous].
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Adaptation & Mise en Page de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Lien vers source :
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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L'Islam est le grand absent de cette campagne Présidentielle. Rien d'étonnant devant la terreur judiciaire qui règne en ce moment dans notre pays dit des "Droits de l'Homme" !
Liberté que de crimes commet-on en ton nom ! Le pire des crimes étant celui de faire taire la presse alternative, celle des réseaux, et de s'attaquer à la libre expression des citoyens par des lois mortifères dites mémorielles.
L'islam disais-je, n'existe nulle part dans les propos de tous les candidats y compris ceux de Marine Le Pen. On se doute bien des raisons finalement. L'autocensure étant la première de toutes. Le premier qui s'y risquerait, se retrouverait sous le feu des dhimmis et particulièrement sous les bombardements des islamo-gauchistes patentés sévissant dans les associations droits de l'hommistes qui s'offusquent plus facilement des propos imbéciles et antisémites tenus par Alain Soral, que par ceux des amis de la bien pensance sévissant à France Inter, Bondy Blog, et autres Inrocks comme Medhi Merklat et son acolyte Badroudine Saïd Abdallah. Nous avons pu réaliser combien le patriotisme et l'amour pour la France était profond pour ces deux là ! À tel point que la justice, sensibilisée et touchée par cet amour, n'a encore rien fait, ni rien dit concernant les propos tenus par ces deux là !
On ne peut pas en dire autant pour ceux qui subissent la vindicte judiciaire comme Éric Zemmour, Pascal Hilout, Ivan Rioufol, Pierre Cassen, Christine Tasin , Georges Bensoussan, et bien d'autres qui n'ont pas eux, le soutien d'une Christiane Taubira qui estimait qu'il ne fallait pas "charger" les issus de l'immigration avec le lourd passé d'esclavagistes de leurs ancêtres. Les métropolitains blancs, par contre, peuvent être chargés !
Exit donc les propos antisémites, raciste des "issus de la minorité" ! Bonjour la France, pays des libertés à géométrie variable. Pour s'exprimer librement, il vaut mieux être "issus des banlieues difficiles", être noirs, ou arabes, plutôt qu'être Blancs ou Asiatiques. C'est un constat désespérant qui ne rend service à personne finalement, en transformant notre devise Liberté (pour certains) Egalite (Interdit aux patriotes) Fraternité (pour les immigrés) !
Tous les candidats éviteront de parler de cette engeance qui s'étale dans notre pays comme une peste verte détruisant toutes nos libertés d'expression, en instaurant une sorte de délit de blasphème qui ferait hurler d'indignation les Révolutionnaires de 1789 et 93. Une attitude indigne de la loi de 1905 sur la laïcité.
Alors, ils nous feront le coup de l'islam radical, celui des méchants islamistes de DAESH, des imams salafistes, des mosquées intégristes, et que sais-je encore ! Point de l'islam issu en direct du Coran ! Ce Coran mis en avant par tous ceux qui brûlent, décapitent, mettent en esclavage et violent, comme l'enseigne Mahomet dans les hadiths.
Tous passeront sous silence, que dans la majorité des cas, un feu de cheminée n'est pas dû à une fuite d'eau. Les Salafistes ne sont pas des adeptes d'une secte adorant les gallinacés. Les terroristes de l'islam, ne sont pas des adorateurs de gastéropodes. Allah n'est pas un Dieu des lumières.
Allah est un Dieu de guerre, de meurtres commandités, de la haine du différent. Dieu exclusif, jaloux, raciste, sexiste. Ce Dieu est à l'origine d'une religion qui s'appelle Islam, qui veut dire en arabe Soumission, c'est peu de dire que cette religion n'a aucune ouverture d'esprit.
Certes, la plupart des croyants n'est jamais lu son livre débordant de haine et de rancune. La plupart n'ont aucune idée des hadiths sanguinaires, de la pédophilie ambiante, du lamentable sexisme d'un prophète guerrier et assassin qui serait de nos jours, traduit devant un tribunal pour "crime de guerre et contre l'humanité".
Tous les candidats vont éviter de parler de l'islam, des raisons du terrorisme, de l'antisémitisme de fond qui baigne l'enseignement de mort de cette religion, de son absolutisme intransigeant et de sa volonté de domination totale.
Tous les candidats éviteront de parler du Wahhâbisme, de cette vision d'un islam rigoriste issu de l'Arabie Saoudite avec lequel, la plupart des candidats ont d'excellentes relations. Nul ne dira pourquoi le Qatar a des liens étranges avec nos politiciens d'hier et d'aujourd'hui, de droite comme de gauche et avec nos services fiscaux.
Aucun de ces candidats ne remettra en cause, dans ses déclarations, dans les débats, les accords signé avec l'OCI à Bruxelles, cette organisation islamique de 57 pays qui exige le délit de blasphème sous la forme d'une pénalisation des critiques de l'islam et la poursuite des islamophobes qui devraient êtres considérés comme des criminels au même titre que les antisémites, les négationnistes, et autres. Comme si l'on pouvait considérer les crimes des nazis égaux aux critiques de l'islam. Comme si l'islam était innocent des écrits antisémites du Coran et de l'ensemble de l'enseignement islamique dans les écoles coraniques. Voire ce tableau des libertés de la femme.
Aucun Macron, Hamon, Mélenchon, Fillon, Le Pen ne diront leur sentiment face à 1400 ans d'invasions multiples, d'épuration de cultures antéislamiques, de mises en esclavage des blancs du Caucase, de la traite négrière intra africaine, de massacres de noirs et de blancs à travers la vente des eunuques, très rémunérateur, de pillage sur les côtes européennes et cela, jusqu'en 1830, année bénie de la prise d'Alger qui libéra tous les esclaves de cette ville forteresse. L'islam, avant sa mise sous contrôle par la colonisation, a commis des millions de morts, laissé des lacs de sang sur son passage, permit des étangs de douleurs, additionna des monceaux de cadavres sur son passage, domina au nom d'un prophète ignoble, et au nom d'un dieu.
Aucun Asselineau, Poutou, Dupont Aignan, n'osera dire que l'islam est à la source du terrorisme, lui-même issu du Coran et qu'il n'y a pas deux, trois islams mais bien un seul. Il n'existe de nos jours, qu'un seul islam, celui qui considère la femme, sa liberté, comme dépendante de la volonté des hommes (Sourate 4 verset 34)
Cette élection se fera sous la surveillance des gardes chiourmes médiatiques des islamo-collabos, celui des supplétifs droits-de-l 'hommiste, sous l'œil des syndicats de la magistrature mais pas seulement.
Cette élection particulière, inédite, mise en pièces détachées par le jeu des primaires déliquescentes, aboutira à une élection par défaut, une de plus, celle qui arrange finalement nos élites et Bruxelles et fera rire l'Europe, si ce n'est le Monde. France dérision !
Une élection ou les patriotes se retrouvent à plusieurs prétendants sur la piste, et qui au lieu de se dire bonne chance, où à bientôt ensemble, au deuxième tour, prononcent des phrases assassines comme celle de Nicolas Dupont Aignan vis-à-vis de Marine Le Pen. Personne ne devrait ainsi insulter l'avenir.
Alors, c'est dans un drôle de théâtre que ces candidats vont jouer leur rôle. Un théâtre aux décors judiciaires pipés, masquant la réalité des "faits divers". Avec aux manettes, des metteurs en scène installés à Bruxelles, à Doha ou à Riad. Tous ces candidats vous diront qu'ils seront, après le deuxième tour, "l'élu du peuple" ! Je crains fort, que ce soit encore le peuple qui se verra contraint de jouer le rôle du cocu, dans ce vaudeville politique !
J'irai voter, j'irai déposer dans l'urne mon vote pour Marine Le Pen, et même si j'enrage souvent, je comprends son silence sur l'islam protégé par les hyènes affamées de scandales judiciaires, et conchiant la démocratie. Je continue d'espérer que nous serons un jour, la majorité pour renverser cette maudite table du mondialisme.
Michel Garroté - Le site Internet de gauche 'Le Vent se lève' (mentionné par le site Internet 'Eurocalifat' : voir lien en bas de page) écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le Président François Hollande, jusque là réservé sur la question du candidat auquel il apporterait son soutien, a choisi son camp. L’Elysée et le Quai d’Orsay ont en effet organisé en sous-main le déplacement d’Emmanuel Macron au Liban, l’occasion pour ce dernier de se donner une stature internationale et d’organiser quelques levées de fonds.
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Emmanuel Macron a bénéficié d’une aide active de l’Élysée, du Ministère des Affaires étrangères et de l’Ambassade de France au Liban lors de son déplacement à Beyrouth des 23 et 24 janvier, selon plusieurs sources concordantes. La visite de l’ancien ministre de l’économie et actuel candidat à l’élection présidentielle au Liban a été rythmée par plusieurs temps forts, grâce à quelques coups de pouce de l’État français.
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Il a pu donner une conférence à l’École supérieure des Affaires de Beyrouth, lundi 23 au soir, devant un parterre de personnalités françaises présentes au Liban. Initialement réticent à donner une tribune à un homme politique en campagne, le directeur de l’école fondée dans le cadre d’un partenariat entre la France et le Liban, Stéphane Attali, aurait finalement accepté d’organiser cette conférence suite à un appel du ministère français des Affaires étrangères, selon une source anonyme. L’ambassadeur de France au Liban, Emmanuel Bonne, était assis au premier rang.
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A noter également, l’introduction de la conférence par le journaliste Emmanuel Chain, qui n’a pas tari d’éloges envers la candidat à l’élection présidentielle. Alors même qu’il a produit le documentaire « Emmanuel Macron, la stratégie du météore », diffusé il y a quelques semaines sur France 3, une chaîne du service public.
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Emmanuel Macron a également pu rencontrer le Président libanais Michel Aoun, le Premier ministre Saad Hariri et le patriarche maronite Béchara Raï grâce à l’intervention de l’Élysée, selon cette même source. L’ambassade de France a également joué un rôle puisque le candidat à la présidentielle a été logé au sein de la Résidence des Pins, résidence officielle de l’ambassadeur de France.
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Il a également participé à deux repas de levée de fonds. Une place dans l’un de ces dîners aurait coûté de 10'000 à 15'000 euros selon une source, un chiffre surprenant, étant donné le plafond légal de 4'600 euros de dons individuels pour une campagne présidentielle et de 7'500 euros pour un parti politique. Le premier réunissait des personnalités politiques libanaises, tandis que l’assistance du second était composée de dirigeants des milieux économiques, selon plusieurs sources.
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Ces repas, qui auraient accueilli une centaine de convives chacun, ont eu lieu dans une galerie d’art du quartier de Mar Mikhaël. Ils devaient initialement se dérouler au domicile de Jean Riachi, banquier d’affaire libanais, avant un changement de programme pour des raisons d’image, selon une source anonyme. Jean Riachi, camarade de promotion d’Emmanuel Chain à HEC, aurait joué un rôle central dans l’organisation de la visite d’Emmanuel Macron au Liban, grâce à l’entremise de l’ambassade, poussée par le Quai d’Orsay.
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Cette visite a permis à Emmanuel Macron de continuer à lever les fonds nécessaires pour sa campagne, ainsi que de se donner une stature internationale jusque là absente. Elle met surtout en lumière l’engagement direct de l’administration Hollande pour ce candidat, alors que le Président de la République n’a pas encore pris position concernant l’élection présidentielle à venir.
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On sait depuis octobre qu’Emmanuel Macron dispose de réseaux au Liban, grâce à l’aide du franco-libanais Bernard Mourad. L’ancien directeur général adjoint du pôle médias du groupe SFR et banquier d’affaire chez Morgan Stanley avait alors rejoint le mouvement En Marche. L’État français lui aura donc permis d’étendre ses réseaux libanais.
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Ce soutien de l’Élysée à Emmanuel Macron était, au sein de nombreux milieux, un secret de polichinelle. Alain Marsaud, député LR de la 10ème circonscription des Français de l’étranger, qui comprend le Liban, était tout à fait au courant de l’aide fournie à Emmanuel Macron. Il a choisi de laisser la visite se dérouler, afin de pouvoir révéler le scandale et attaquer le Président de la République.
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Emmanuel Macron ne cesse de répéter que son mouvement « En Marche » ne bénéficie pas de fonds publics. Le mensonge apparaît de plus en plus flagrant : le soutien de l’Elysée à l’ancien Ministre de l’économie semble indéniable. S’ajoutant à nos informations, le livre Dans l’enfer de Bercy (éd. JC Lattès) des journalistes Frédéric Says et Marion L’Hour, qui sort aujourd’hui, montre que Macron s’est servi de fonds publics pour lancer son mouvement.
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Ces faits mettent en lumière le soutien du président à un candidat qui n’est même pas issu du Parti Socialiste, sa propre formation politique, et ce, grâce aux moyens de la République.
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La responsable communication de Macron jointe au téléphone par 'Le Vent se lève' affirme ne pas connaître le directeur de l’école d’affaires, aussi ne peut-elle pas répondre de ses intentions. Elle qualifie les accusations portées à l’encontre d’E. Macron de « fantaisistes ». « Je ne sais pas qui a pu vous dire ça » ; « Nous démentons tout traitement exceptionnel » a-t-elle déclaré. Elle ajoute qu’il ne peut pas y avoir eu de repas sauf à en organiser un à 4h du matin. Il y a eu seulement des cocktails dans la galerie d’art Agial. La presse était présente d’après elle.
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Emmanuel Macron n’était selon elle pas logé à la résidence des Pins, mais à l’hôtel. Il a averti les autorités françaises comme il le fait à chaque déplacement, la préfecture en France, les ambassades à l’étranger. Les seules facilités mises à disposition par les pouvoirs publics sont pour loger sur la base aérienne en Jordanie qu’il visite aujourd’hui, c’est obligatoire d’être contrôlé par le ministère de la défense pour ça. Elle dément aussi « complètement » l’aide pour les rencontres. « On s’appuie sur nos propres contacts » : pour les rencontres, c’est organisé par Mme Bariza KHIARI présidente du groupe d’amitié franco-libanais au Sénat. De son côté - sur francetvinfo - l'Elysée, dément avoir organisé "en sous-main la venue de Macron au Liban", ajoute 'Le Vent se lève' (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). Hébédidon, bonjour l'ambiance...
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://lvsl.fr/exclusif-lelysee-a-organise-deplacement-macron-liban
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https://eurocalifat.wordpress.com/2017/01/30/apres-la-berezina-de-valls-hollande-soutient-macron/
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Michel Garroté - Un an après avoir anticipé le Brexit et Trump, l'agence de presse Bloomberg annonce Marine Le Pen présidente et un Frexit pour 2017 (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Bloomberg s'est lancé le défi d'envisager les événements et les actualités qui pourraient bien être amenés à devenir réels au cours de l'année 2017, compte tenu du contexte actuel et des mutations économiques, géographiques, politiques et militaires vers lesquelles nous nous dirigeons. Le travail auquel se livre Bloomberg est largement inspiré par - et lié à - l'actualité du monde qui nous entoure.
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Comme écrit plus haut, Bloomberg avait anticipé le Brexit et la victoire de Trump, ce qui donne à cette agence de presse une forte crédibilité. Donc, pour 2017, Bloomberg anticipe la victoire de Marine Le Pen à l'élection présidentielle française, et, dans les mois qui suivront, la tenue d'un référendum sur une sortie de la France de l'Union européenne.
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L'agence Bloomberg anticipe en outre : Qu'en Allemagne, Angela Merkel perdra les élections. Qu'en Italie, le leader du Mouvement 5 Étoiles, Beppe Grillo, se hissera au pouvoir et lancera l'idée d'un référendum pour la réintroduction de la lire italienne. Qu'au Royaume-Uni, Theresa May, elle, se verra dépassée par un candidat de la ligne dure du Brexit, après que les discussions sur la mise en place du Brexit n'aboutissent pas à quelque chose de concret. Qu'en Grèce, la crise économique persistera mais, que cette fois, aucun renflouement par l'UE ne sera prévu.
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Parmi les autres événements anticipés par Bloomberg, on trouve également un retour en grâce, sur la scène internationale, de la Russie de Vladimir Poutine (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.slate.fr/story/130589/monde-2017-predictions
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Michel Garroté - Certes, selon certains, Fillon apparaît comme le seul candidat capable de battre le FN en 2017. Mais dans la presse, on ne dit pas pour autant : "Fillon est le seul" ; on dit : "Fillon apparaît comme le seul". Nuance ! "Apparaître" et "être" sont deux choses différentes ! N'est-il pas ? Il est...
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Je note que personne n'avait prédit le Brexit. Que personne n'avait prédit la victoire de Trump. Que personne n'avait prédit que 'Mutti Merkel' ferait marche-arrière concernant la 'massive migration mahométane' (MMM en abrégé...). Que personne n'avait prédit la montée des partis populaires et souverainistes en Europe. Et, par conséquent, personne ne peut "prédire" (avec ou sans boule de cristal) la victoire de François Fillon, ou, celle de Marine Le Pen, aux présidentielles de mai 2017.
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Je note avec amusement, qu'en ce moment, Fillon est "harcelé" (aïe...) par toutes celles et tous ceux qui, aussi bien à droite qu'à gauche, lui "conseillent" (de la part d'un ami qui vous veut du bien...) d’adoucir son projet, de mettre de l'eau dans son vin. Mais celles et ceux qui agissent ainsi, connaissent-ils vraiment "le-Fillon-nouveau" ? Et sont-ils persuadés qu’il reculera dans son projet, dans son programme et dans sa volonté de réforme ? La réponse est : ils ne connaissent rien à ce sujet ; ils ne sont persuadés de rien ; et donc ils ne savent rien.
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A ce propos, Yvan Rioufol écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Fillon a encore à faire ses preuves, bien entendu. Reste que sa désignation comme candidat à la présidence de la République vient mettre fin au long règne (près de trente ans) de la droite honteuse, centriste et conformiste, que Juppé entendait perpétuer avec l’appui de la majorité des médias. Ses soutiens venus de la gauche, de fonctionnaires, de féministes, de militants homosexuels, de mosquées et de prédicateurs musulmans, ont mis au jour les ambiguïtés chiraquiennes de cet homme au "modernisme" déjà dépassé.
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La défaite sans appel de Juppé est révélatrice de la volonté d’un électorat réactif de tourner une page et de s’assumer clairement dans son choix de rupture conservatrice. La recherche d’une unité retrouvée des Républicains, qui alimentait hier soir les commentaires des médias audiovisuels, n’est certainement pas souhaitable. La claque que viennent de prendre les centristes nigauds et les zozos de l’"identité heureuse" les invite à aller voir ailleurs. En se mobilisant massivement pour Fillon, les électeurs l’invitent à s'émanciper une fois pour toute de cette fausse droite culpabilisante, moralisatrice et tire en bas, prête à se coucher devant l’islam politique et ses exigences de soumission.
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A partir de ce jour, Fillon ne peut se permettre aucune faiblesse s’il veut attirer à lui une partie de l’électorat sans parti fixe, qui se désespère de trouver un point d’ancrage à droite. Sur le papier, ses solutions libérales et identitaires sont de bonnes réponses qui demandent à être précisées. La colère du peuple peut être canalisée. Mais pour cela, Fillon va devoir l’entendre jusqu’au bout s'il ne veut pas qu'elle lui échappe, ajoute Yvan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/11/le-triomphe-de-fillon-peut-nui.html
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Michel Garroté - "Farid Fillon d’Argenteuil et Ali Juppé de Bordeaux seront au second tour" (des primaires de LR), écrivait récemment - avec humour - Gérard Brazon, responsable politique du Siel. "François Fillon doit-il appeler M. Trump pour le remercier ?", se demandait, il y a peu - avec humour lui aussi - Patrice Lemaitre, dans Nice-Provence. Dans la foulée, j'apprends que la grand-orientaliste vaudoue Christiane Taubira soutient Ali Juppé, ce qui me pousse - évidemment - à "soutenir" Fillon plutôt que Juppé (dans ce second tour de la primaire de LR ; qui se transforme gentiment en second tour de l'élection présidentielle de mai 2017 lors de laquelle je soutiendrai... allez savoir...).
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De plus, j'estime, à tort ou à raison, que le projet d'Ali Juppé est fondé sur l'idée d'une France islamophiloïde qatarisée ; alors que le projet de François Fillon contient certaines valeurs essentielles.
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Par ailleurs, je reste persuadé que des électeurs de gauche vont voter pour Juppé au second tour de la primaire de LR (car légalement et techniquement ils en ont la possibilité), pour faire de Juppé le vainqueur de ces primaires et pour faire de lui le candidat LR (et peut-être le gagnant) aux présidentielles de 2017 (ce qui serait désastreux pour la France). Bonjour Monsieur Fillon : faites attention, vous n'êtes malheureusement pas sûr de gagner....
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A ce propos, le chroniqueur du 'Figaro' Ivan Rioufol écrit notamment (extraits adaptés ; voir premier lien vers source en bas de page) : Le sort d’Hillary Clinton est promis, comme prévu, à Alain Juppé. Le candidat des médias et des sondeurs vient de trébucher au premier tour de la primaire de la droite et du centre. Sa défaite semble annoncée, dimanche, face à François Fillon qui a récolté hier 44,2% des voix (contre 28,5% à Alain Juppé et 20,6% à Nicolas Sarkozy). Le triomphe de l’ancien premier ministre s’inscrit en effet dans une dynamique révolutionnaire qui devrait se confirmer, à moins que la gauche ne se mobilise massivement pour soutenir Juppé. "J’ai décidé de continuer le combat", a annoncé hier soir l’ex-grand favori qui a, un temps, envisagé de jeter le gant. "C’est un combat, projet contre projet, qui s’engage". En prenant cette décision, Juppé accepte l’éventualité de fracturer définitivement Les Républicains, cette association bancale.
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Car si le libéralisme semble être un dénominateur plus ou moins rassembleur, les valeurs qui fondent la société sont une source de divergences irréconciliables. Les électeurs auront à trancher dimanche entre une conception assimilatrice et identitaire de la nation, défendue par Fillon, et une conception multiculturaliste et éclatée, défendue par Juppé. La Seine-Saint-Denis a d’ailleurs voté majoritairement pour ce dernier. C’est la droite profonde, catholique et provinciale, qui a décidé de s’assumer en soutenant Fillon et de son conservatisme libéral. Elle l’a préféré à Sarkozy, qui paye une lassitude de l’opinion, un comportement trop passionnel et des convictions mal arrimées. De ce point de vue, la déferlante réactive ressemble à celle qui a porté Donald Trump, même si le sarthois, élégant, discret, pudique, est l’antithèse du milliardaire.
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Sa défense de la Famille, sa proximité avec La Manif pour Tous (à travers Sens Commun), ses engagements pour les Chrétiens d’Orient, son combat contre le totalitarisme islamique sont des éléments qui ont donné du souffle à une campagne qui jusqu’alors était restée morne. Face à lui, Juppé est apparu indifférent à ces piliers civilisationnels, vus comme des obstacles à sa loufoque "identité heureuse", c’est-à-dire à une société ouverte à la négociation permanente avec l’islam conquérant et colonisateur. Ces deux mondes, qui cohabitent dans en même famille, vont s’affronter toute cette semaine. Le centrisme capitulard de Juppé et de ses alliés ressemble déjà plus à la gauche endormie qu’à la droite enfin réveillée, prête à résister, ajoute Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir premier lien vers source en bas de page).
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Sur LCI (repris par fdesouche), Ivan Rioufol précise (extraits adaptés ; voir deuxième lien vers source en bas de page) : Alain Juppé, qui se présente comme un rassembleur de la droite et du centre, aurait intérêt à ne pas fracturer cette droite-là. Or, en caricaturant son adversaire, il se place dans le camp que pourrait ne pas renier la gauche qui se retrouve dans tous les éléments de langage que développe Alain Juppé (réactionnaire, homophobe, islamophobe, intégriste). Et je pense que ce sont des blessures qui resteront.
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Ce camp des Républicains, qui était déjà fragile dans cette pseudo-harmonie de façade, risque d’éclater si Juppé persiste dans cette course folle qui ne me paraît pas très argumentée. Ce que ne voit pas Juppé, c’est que Fillon est porté par un courant conservateur, une révolution conservatrice, et qu’il défend des Valeurs, or je n’entends pas le mot de Valeurs chez Juppé qui, lui, se contente de démolir ce que son concurrent est en train de vouloir construire.
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Juppé a attaqué Fillon sur l’avortement par flatterie, pour essayer de récupérer un vote prétendument progressiste qui fait de l’avortement l’étendard de toutes les libertés. Il se range à ce « Camp du Bien » qui se caricature tous les jours, n’apporte plus rien, et sans doute n’ira pas voter, ajoute Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir deuxième lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/11/fillon--juppe-deux-conceptions.html
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http://www.fdesouche.com/792459-les-republicains-risquent-declater-si-juppe-persiste-dans-cette-course-folle-ivan-rioufol#
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Ivan Rioufol (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Les médias ont choisi : pour la France, ce sera Alain Juppé ; pour les Etats-Unis, ce sera Hillary Clinton. Mais la machine propagandiste ne s’arrête pas là. Samedi soir, dans On n’est pas couché (France 2), chacun a tenu à se féliciter, avec la ministre du logement, Emmanuelle Coste, de la politique d’accueil pour tous du gouvernement et de sa décision de poursuivre dans cette voie impensée. Durant cette même émission, personne n’a jugé utile de relancer Magyp Cherfi (groupe Zebda) qui a assuré, parlant du tueur de Montauban et de Toulouse, Mohamed Merah : "On a le devoir d’une empathie".
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Laurent Ruquier, qui ne fait pas mystère de ses opinions pour la gauche forcément généreuse et éclairée, est devenu un personnage incontournable de la pensée médiatique. France Inter, autre service public, demeure pareillement la voix officielle du conformisme léthargique ; je n’ai jamais été invité à y débattre. Après l’élection de François Hollande en 2012, ma participation à C dans l’air (France 5) a été rapidement suspendue. Pour de nombreux jeunes journalistes de l’audiovisuel, Edwy Plenel, patron de Médiapart, est un modèle à suivre, en dépit de ses alliances avec l’islam totalitaire. Ce sont ces médias grégaires, soumis au confort moral du politiquement correct, qui espèrent faire encore la pluie et le beau temps.
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Cependant, leur apparente force cache une faiblesse, qui est celle du pouvoir plus généralement : ils ne voient plus passer les trains. Comme les hommes politiques, les commentateurs labellisés se parlent entre eux, s’imitent, se suivent, s’auto-congratulent, s’auto-protègent, se chamaillent pour la forme. Mais ils se coupent de cette France qui ne se sent plus représentée. Un gouffre les sépare de plus en plus d’une opinion rebelle. L’engouement médiatique pour Juppé et son centrisme fade promeut un candidat ayant toutes les caractéristiques qui plaisent au Système. Mais c’est justement la légitimité du Système qui est en jeu, conclut Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/10/ces-medias-allies-dun-systeme-.html
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Michel Garroté - La France nage dans le chaos islamique, dans la guerre civile annonçée, dans le diktat islamo-gauchiste, dans la domination exercée par un régime socialiste nul et mondain. C'est dans ce climat explosif que Macron aspire à la fonction présidentielle en 2017.
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A ce sujet, dans Politique Magazine, Louis Vick écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Emmanuel Macron, ancien ministre français de l’économie pratique l’art du grand écart. Celui qui livrait une réflexion inattendue sur la figure du roi il y a un an, puis visitait Philippe de Villiers au parc du Puy du Fou en août, est également un conférencier du GOF, le Grand Orient de France (Note de Michel Garroté - une loge maçonnique de gauche qui veut définitivement et totalement supprimer le christianisme en France) ; en juin, Emmanuel Macron planchait dans les loges du GOF lors d’une tenue blanche fermée. Rebelote au GOF en septembre.
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Louis Vick : Tandis qu'en octobre, il petit-déjeunait « de manière discrète » avec des prêtres influents du diocèse de Versailles – puis le faisait savoir –, il affirmait sur TF1 et dans la presse régionale vouloir réunir « tous les progressistes contre les conservateurs ». Peu de temps après, il déclarait sur la chaîne I24news que « les réfugiés sont une opportunité économique pour la France ». Macron, candidat progressiste ? C’est ce que suggère l’analyse de ses principaux soutiens.
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Louis Vick : Son association – 'En Marche' – est apparue comme une émanation de l’Institut Montaigne, un lobby libéral financé par les grandes multinationales européennes et américaines, favorable à l’immigration et à l’Union européenne. A son lancement, le mouvement d’Emmanuel Macron était domicilié à l’adresse personnelle de Laurent Bigorgne, le directeur de l’Institut Montaigne. Pour monter sa campagne médiatique, 'En Marche' a puisé dans les réseaux très puissants de Dominique Strauss-Khan.
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Louis Vick : La communication est assurée par Ismaël Emelien, un homme formé chez le géant de la publicité Euro RSCG, l’entreprise qui contrôle, avec Publicis, la majeure partie des annonces payantes passées dans les médias. Pour vendre l’image de Macron (clips, meetings, etc.), 'En Marche' a passé un contrat avec la plus grosse entreprise de stratégie électorale en Europe, 'Liegey Muller Pons'. La machine est bel et bien en marche, conclut Louis Vick dans Politique Magazine (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.politiquemagazine.fr/macron-derriere-le-masque/
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J'apprends que Jean-Luc Mélenchon est crédité entre 13% et 15% des intentions de vote. Nicolas Dupont-Aignan obtient entre 6% et 8%. Marine le Pen est créditée de 26% à 31% des intentions de vote. Cela fait entre 45% à 54% du total de ces intentions. Il est donc clair que 45% à 54% des Français sont favorables aux thèses dites "souverainistes" et "populistes", et cela, malgré les attaques venant des médias, du PS et des Républicains. A noter que le "souverainisme", c'est surtout le scepticisme envers l'Union Européenne et envers la Zone Euro. Et que le "populisme", c'est tout simplement la légitime volonté, de la part des oubliés, de rependre en main, leur destin. Ou, formulé autrement, de la légitime volonté, de la part du peuple, de rependre en main, son destin. Les partis dits "populistes" sont en fait des partis populaires dans tous les sens du terme.
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J'apprends, par ailleurs, que quand la population française en général, compte 11,7% d’inactifs, ils sont 29,5%, chez les musulmans. J'apprends, aussi, que 28% des musulmans de France estiment que la charia prévaut sur les lois de la République. En clair, près d’un tiers des musulmans de France vivent selon le régime de la charia. Combien d'entre eux, à l'avenir, passeront-ils de la charia au djihad ? Sans compter ceux qui sont déjà passés de la charia au djihad. J'apprends, également, que l’islam inquiète 70% à 80% des Français. En résumé, 29,5% des musulmans de France sont inactifs ; près d’un tiers des musulmans de France vivent selon le régime de la charia ; et cela inquiète déjà -- ou va bientôt inquiéter -- 70% à 80% des Français, voire plus. J'en apprends tous les jours....
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Yann Vallerie pour Breizh-info.com : Il y a vingt ans, tous ceux qui évoquaient le risque d’une guerre civile (et ethnique) en France étaient qualifiés de fascistes. Aujourd’hui, le mot sort de nombreuses bouches, dont la vôtre. Pourquoi les dirigeants ont ils attendu tout ce temps avant de prendre la mesure de la situation, et cela alors que des lanceurs d’alerte prédisaient déjà ce qui se passerait en France (Raspail en tête) ?
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Ivan Rioufol (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Guerre civile est un mot qui effraie, à juste titre. J’ai voulu développer ce sujet dans mon livre, paru en mars,pour mettre enfin les mots les plus justes sur les conséquence de la fracture identitaire, que j’avais décrite en 2006 dans un précédent essai paru chez Fayard (La fracture identitaire). Depuis, cette hypothèse de plus en plus vraisemblable, celle d’un affrontement entre deux conceptions radicalement opposées de la société, est entrée dans les discours politiques, après avoir été reconnue en mai par le patron de la DGSI lui-même. Il y a vingt ans, trente ans, c’était le mot immigration qui était tabou. Je reproche d’ailleurs au FN de l’époque, celui de Jean-Marie Le Pen, d’avoir contribué à rendre ce sujet inabordable en l’assimilant à des attitudes inutilement provocatrices. Quand Raspail écrit son livre prophétique dans les années soixante-dix, il n’évoque pas la guerre civile mais l’invasion massive d’un peuple étranger, qui ne rencontre aucune résistance. Ce pacifisme reste notre faiblesse. L’angélisme est un danger mortel.
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Yann Vallerie pour Breizh-info.com : Y’a t’il encore des dirigeants politiques ayant une vision à long terme du pays, de la civilisation ? Leur lâcheté n’est-elle pas, petit à petit, transformée en collaboration active avec l’ennemi ?
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Ivan Rioufol : Je n’ai plus confiance en la classe politique en général. Elle est responsable de cinquante ans de déconstructions de la nation, de son peuple, de son unité. Je vois que le FN développe une approche plus réaliste, qui lui donne des ailes. Mais je crois davantage au réveil, à la lucidité et à la sagesse de la société civile. Le peuple raisonnable sait qui est l’ennemi. Les citoyens, de plus en plus réactifs, ont un rôle important d’aiguillon à jouer. En fait l’ennemi est double : il est bien sûr cet islam totalitaire et conquérant, qui a déjà ses < collabos > chez tous ceux qui croient reconnaître le nouveau prolétaire dans le musulman minoritaire. Mais l’ennemi est aussi au coeur de la caste politique qui persiste à s’aveugler et à vouloir jouer l’apaisement devant ce que j’appelle le nazislamisme. N’oublions pas que les collaborateurs de Vichy venaient majoritairement de la gauche pacifiste et antiraciste. L’histoire bégaie.
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Yann Vallerie pour Breizh-info.com : Pour mener une guerre, il faut être deux, et avoir désigné un ennemi. Les Islamistes ont désigné l’Europe mécréante. Mais avons nous désigné l’ennemi ?
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Ivan Rioufol : Le premier ennemi, c’est nous-mêmes, qui avons cautionné ce monde politique. François hollande a aussi mis beaucoup de temps avant de parler de terrorisme islamiste. Mais il faut aller plus loin et désigner l’islam comme le problème à résoudre, sans pour autant désigner tous les musulmans comme boucs émissaires. Il n’est plus possible de soutenir que le Coran serait tombé du ciel, dicté par Dieu. La raison et l’esprit critique doivent admettre que le Coran, comme la Bible, sont des textes écrits par les hommes, et donc amendables. Cette responsabilité revient aux Français musulmans les plus éclairés. Mais ils doivent parler sans plus attendre que les tensions se crispent davantage.
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Yann Vallerie pour Breizh-info.com : Daesh n’est il pas un épouvantail servant à masquer des avancées communautaires lourdes (charia dans certains quartiers, halal, burkini, burka …) liées à l’expansion démographique d’une part, à la « soumission » de nouveaux convertis d’autre part ?
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Ivan Rioufol : La contre société islamisée est, en France, une réalité qui n’a pas attendu l’existence de l’Etat islamique. Son éventuelle disparition ne changera rien aux fractures françaises. Il faut les réduire en cessant l’immigration de peuplement et en exigeant de l’islam qu’il renonce à la charia et à ses lois incompatibles avec la démocratie. Cette épreuve de force est celle qui attend l’Etat. S’il recule, c’est le totalitarisme qui gagnera. La guerre civile est dans ce possible affrontement, s’il devait tourner mal. Une nouvelle Bataille d’Alger est possible, tant nous vivons aussi les suites revanchardes d’une contre-colonisation.
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Yann Vallerie pour Breizh-info.com : Que vous inspirent les propos récents d’Emmanuel Macron déclarant que l’arrivée de milliers de migrants sera positive, économiquement, pour la France ? On a l’impression que la crise des migrants a fait oublier qu’avant cette vague migratoire sans précédent, la France se délitait déjà ethniquement et culturellement. Quid ?
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Ivan Rioufol : Angela Merkel n’a pas fini de payer sa folie qui a consisté, en septembre 2015, à ouvrir son pays à près d’un million de clandestins musulmans. Ces propos humanitaristes sont des bombes en puissance. Ils sont des aubaines pour les partis populistes qui partout en Europe s’apprêtent à faire l’histoire.
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Yann Vallerie pour Breizh-info.com : quelles solutions pour redonner espoir aux Français ? La « dictature du droit » (pour reprendre l’expression d’E. Zemmour) couplée à « l’idéal républicain » et à la « religion des droits de l’homme » ne sont ils pas les meilleurs moyens de perdre cette guerre civile ? Fait on la guerre avec des bougies, des stylos et des incantations ?
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Ivan Rioufol : Nous sommes en guerre. Il faut donc se préparer à la guerre et être plus brutal que l’ennemi, qui ne comprend que la force. Ce rôle doit revenir à l’Etat, dans le respect du droit mais aussi s’il le faut avec le recours à l’armée. Si l’Etat devait se coucher, beaucoup de Français risqueraient de se faire justice eux-mêmes. Les Corses ont déjà lancé l’alerte.
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Yann Vallerie pour Breizh-info.com : Comment voyez vous la France dans quinze ans, dans cinquante ans ?
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Ivan Rioufol : Je crois au réveil des Français, qui ne sont pas du tout prêts à se soumettre à une idéologie si contraire à leurs mœurs et que beaucoup de musulmans ont pensé fuir en venant en France. Ces prochaines années vont être décisives et probablement cruelles, dans ce choc des cultures qui s’installe. La renaissance est au bout du chemin, je n’en doute pas, ajoute Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.breizh-info.com/2016/09/12/49335/rioufoul-le-figaro-islamisme-imm
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Michel Garroté - Or donc, Medias-presse.info allègue qu'Eric Zemmour a annoncé, à la page 36 de son ouvrage « Un quinquennat pour rien », que des officiers français étaient formés en Israël pour un projet de reconquête militaire des banlieues, connu sous le nom de code « Opération Ronces ».
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Dans une intervention radiophonique mercredi, il comparait cette future mission militaire à la bataille d’Alger, mais inversée, déclarant nettement que la France était maintenant un pays colonisé, ajoutant : « C’est quelqu’un de très proche de l’état-major qui me l’a assuré. C’est la Bataille d’Alger qui recommencera.
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Medias-presse.info : Je n’ai pas donné le nom de l’Opération Ronces en vain. Le plan est prêt ». Ceci permet de comprendre le revirement d’une certaine frange de la communauté qui est passée en quelques années de « Touche pas à mon pote » à « Pas touche mon pote ». Ainsi, le 18 août 2015, le journaliste Michel Garroté, déclarait que la gauche française basculait dans l’antiaméricanisme, l’antisémitisme et la dictature.
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Medias-presse.info : D’autres intellectuels connus pour leurs idées arrêtées au sujet du Proche-Orient ont abondé dans ce sens : Ivan Rioufol dans Le Figaro du 8 janvier 2015 et Pascal Bruckner dans Le Point du 25 juin 2015. En novembre 2015, le général Didier Tauzin évoquait la possibilité d’une guerre ethnique et religieuse en France.
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Medias-presse.info : L’Opération Ronces est prévue depuis très longtemps, affirme Medias-presse.info. En 1992, la 8e division d’infanterie qui était alors en garnison à Lille, avait réalisé des manoeuvres militaires sur le thème suivant : « reprise de la ville de Roubaix sous contrôle de milices islamiques », selon Medias-presse.info. Cinq ans plus tard, en 1997, le colonel Emmanuel de Richoufftz, ancien commandant du 2e REI, réalisait un scénario similaire dans la ville de Brignoles, toujours selon Medias-presse.info.
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.medias-presse.info/operation-ronces-un-scoop-qui-nen-est-pas-un/60787
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Michel Garroté - Nous sommes en septembre 2016 et la campagne électorale pour avril-mai 2017 a commencé en août dernier. Mais la caractéristique de cette campagne électorale n'est pas seulement qu'elle commence très tôt. La caractéristique de cette campagne électorale, c'est, d'une part, le nombre hallucinant de candidates et de candidats ; et d'autre part, le fait qu'elle se déroule alors que les ingrédients d’une explosion sociale sont actuellement réunis, avec, a la clé, une migration musulmane massive et des attentats terroristes en hausse.
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Le sondeur Jérôme Fourquet (Ifop), a déclaré, sur 'C dans l'air', à propos des villes dirigées par un maire FN (extraits adaptés) : Là, il faut faire un travail objectif. Nous, en tant qu’institut de sondage, on est allé faire des échantillons dans ces villes. Ce qu’on a constaté, c’est que le niveau de satisfaction de la population locale, par rapport au travail fourni par la municipalité, est plus élevé que dans la moyenne française. On n’est pas du tout dans le schéma de 1995 où les municipalités Front avaient plutôt déçu, conclut Jérôme Fourquet (fin des extraits adaptés).
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Face à l'abondance des candidats, Maximme Tandonnet, de son côté, donne au FigaroVox quelques pistes (extraits adaptés) : Il est difficile d'imaginer la difficulté et la complexité de la chose publique. Pour faire son choix dans un vote nominatif, il est préférable de s'en tenir autant que possible aux actes passés plutôt qu'aux paroles : qu'a fait concrètement tel ministre, tel maire, tel député ? Il est tellement facile de lancer des mots et des formules et tellement plus difficile de décider et de prendre ses responsabilités dans la confrontation avec le réel et de devoir assumer ses actes.
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Deux mots doivent guider l'électeur: vérité et réalisme. Résister au matraquage des sondages. Il en sort tous les jours. Nous allons en être gavés. Or, la plupart son biaisés, destinés à peser sur l'opinion dans un sens ou un autre, voire même achetés. Il faut à tout prix réussir à s'en décrocher, en faire abstraction. Si le monde politico-médiatique sombre dans l'hystérie, il faut rester soi même, guidé par la raison et le sens critique. Les propositions qui sont sorties ces derniers temps sont la plupart du temps destinées à faire des voix, sans rapport avec l'intérêt du pays, Maximme Tandonnet (fin des extraits adaptés).
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De son côté, Boulevard Voltaire a publié un manifeste pour l'union des droites, manifeste signé par Charles Beigbeder, entrepreneur, élu de Paris, membre fondateur de l’Avant-garde ; Roland Hureaux, président de Mouvance France ; Xavier Lemoine, maire de Montfermeil, vice-président du Parti Chrétien Démocrate ; Patrick Louis, professeur d’université, ancien député du Parlement européen, secrétaire général du Mouvement Pour la France ; Robert Ménard, maire de Béziers, 'Oz ta droite !' ; Bruno North, président du Centre National des Indépendants et Paysans ; Karim Ouchikh, conseiller régional Ile-de-France, président de Souveraineté, Identités et Libertés ; et Christian Vanneste, ancien député UMP, président du Rassemblement Pour la France.
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Voici quelques extraits de ce manifeste (extraits adaptés) : L’avenir de la droite ne tient pas à un homme, à un parti, à une doctrine. L’avenir de la droite passe par des hommes, des partis, des idées. Il passe par des victoires électorales qui permettront d’appliquer – enfin ! – des mesures de droite. Ces mesures reposent sur un socle : la souveraineté, l’identité, la liberté. Souveraineté nationale, bien sûr, mais aussi souveraineté du politique sur le juridique et sur l’économique.
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Souveraineté veut dire indépendance, combat et donc volonté. Identité nationale, comme il se doit, et donc communauté de destin, centrée sur une histoire et une langue, mais aussi une civilisation dans laquelle le christianisme joue un rôle fondateur. La droite, quel que soit le parti qui la représente, ne doit pas reprendre le pouvoir pour agir comme la gauche en matière d’éducation, de social, d’économie ou d’identité. La France a besoin d’une droite de combat. D’une vraie droite. Osons le mot : d’une droite française qui ne prenne ses mots d’ordre ni outre-Atlantique ni à Bruxelles, conclut le manifeste publié sur Boulevard Voltaire (fin des extraits adaptés).
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De son côté, Guillaume de Thieulloy, dans Les 4 Vérités, écrit notamment (extraits adaptés) : Hasard du calendrier ou manipulation du pouvoir socialiste : le lundi 5 septembre dernier, deux des titres principaux de l’actualité concernaient les rapports de politiciens avec la justice. Depuis plusieurs jours, nous savions que le procès Cahuzac allait enfin commencer. Mais nous avons également appris que le parquet réclamait la comparution de Nicolas Sarkozy dans l’affaire Bygmalion. Il est tout à fait possible que ce ne soit qu’une mesquine manipulation du pouvoir socialiste, désireux de détourner l’attention de l’affaire Cahuzac, en mettant Nicolas Sarkozy sous les feux de la rampe.
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Guillaume de Thieulloy : Est-il besoin de préciser aux dirigeants socialistes que, s’ils sont pour quelque chose dans l’accélération de l’agenda judiciaire, alors ils ont pris un risque important : le « tous pourris », qui ne peut manquer de se dégager de ce cloaque, n’a aucune chance de profiter au PS, dont chacun sait qu’il a une relation assez malsaine à l’argent. Le seul parti qui puisse en profiter c'est le FN.
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Guillaume de Thieulloy : La société française est aujourd’hui extraordinairement fragilisée par des décennies de gouvernements parmi les plus nuisibles de notre histoire et cette actualité politico-judiciaire laisse penser à l’ensemble des citoyens qu’aucun espoir d’alternance sérieuse n’est permis. C’est extrêmement dangereux. Alors que la France compte des milliers de djihadistes prêts à passer à l’action, le pouvoir nous adresse ce message ravageur : « La caste politique est pourrie. Elle ne se préoccupe que de ses intérêts les plus sordides et vous demande de vous serrer la ceinture ».
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Guillaume de Thieulloy : Tous les ingrédients d’une explosion sociale de grande ampleur sont désormais réunis. François Hollande – qui nous avait chanté la ritournelle de la France apaisée – portera devant l’histoire une responsabilité plus grave encore que celle de ses innombrables échecs économiques et sociaux : il aura divisé la société comme jamais et aura manifesté un mépris du peuple rarement atteint par une nomenklatura, conclut Guillaume de Thieulloy (fin des extraits adaptés).
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De son côté, l'excellent Oskar Freysinger, "ministre cantonal" en charge de la Sécurité et de la Formation en Suisse, a récemment écrit, sur Boulevard Voltaire, à propos du problème migratoire (ndlr - le salut de la France ne vient pas de la Suisse, mais celle-ci pourrait, sur certains points, inspirer nos amis français...).
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Voici quelques extraits de l'analyse d'Oskar Freysinger (extraits adaptés) : Le problème se situe très exactement au sud de la Méditerranée depuis que la route des Balkans est fermée. En effet, les passeurs favorisés par les islamistes qui contrôlent une grande partie de la Libye n’ont même plus besoin d’affréter des embarcations susceptibles de s’approcher de Lampedusa et des eaux territoriales italiennes puisque l’Union européenne joue elle-même les passeurs en recueillant les migrants à proximité de la côte libyenne, tout en sachant pertinemment qu’il s’agit, pour une part écrasante, de migrants économiques transportés par les islamistes depuis de nombreux pays du Maghreb et de l’Afrique noire. C’est donc par devoir de précaution que les flux migratoires et la nuée de migrants qui se perdent dans la « nature » doivent être stoppés. C’est ce que nous devons à la mémoire de nos ancêtres, à nos enfants et à nous-mêmes, conclut Oskar Freysinger (fin des extraits adaptés).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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Toutes les analyses ci-dessus sont disponibles avec leurs liens ad-hoc sur :
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Michel Garroté - Personnellement, je suis un mordu de fédéralisme, de l'Etat de Droit fédéral, comme le sont la Suisse, l'Allemagne et les Etats-Unis. La monarchie, ce n'est pas vraiment ma tasse de thé. Cela dit, je note qu'au moins deux monarchies constitutionnelles, l'Espagne et le Royaume Uni, fonctionnent mieux que la France, si je puis me permettre. Or, en France justement, la monarchie - aussi bien "absolue" que "constitutionnelle" - conserve, encore et toujours, des adeptes.
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Un tout récent sondage réalisé par BVA indique en effet que de nombreux Français pensent que la présence d’un roi au sommet de l’Etat serait bénéfique pour le pays (monarchie ou royauté ?). Près d’un Français sur quatre estime par exemple que cela aurait des conséquences positives sur l’unité nationale (39%) et la stabilité du gouvernement (37%). Pour 31% des Français, remplacer le président de la République par un monarque donnerait une meilleure image de la France dans le monde. Louis XIX, non, pardon, Louis XX, rendez-vous compte !
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Quand 20% des sympathisants de gauche estiment qu’un roi à la tête de la France peut avoir des conséquences positives sur l’unité nationale, ils sont 50% à droite et 55% au FN. La série d’attentats qui a touché la France en 2015 et 2016 a mis au cœur du débat la question de l’unité nationale, dans un contexte de défiance à l’égard de l’exécutif, voire de la classe politique dans son ensemble. C’est cette lassitude corrélée à de fortes attentes qui explique le regain d’intérêt pour un mode alternatif de régime.
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A ce propos, sur Boulevard Voltaire, Benjamin Leduc écrit notamment (extraits adaptés ; voir le 1er lien vers source en bas de page) : Parmi les raisons de ce retour en grâce de la monarchie, il y a certes le rejet du système en place, et le spectacle qui se déroule quotidiennement sous nos yeux ne peut qu’alimenter ce rejet. Mais il faut bien voir aussi que les institutions françaises coûtent deux fois plus cher que la couronne britannique ou quatre fois plus que celle d’Espagne. Une Restauration accompagnée d’une véritable simplification du mille-feuille administratif, mais dans le respect de nos réalités provinciales et régionales, permettrait sans nul doute des économies non négligeables et une baisse substantielle des impôts.
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Benjamin Leduc précise : Notons aussi - même si l’argument mercantile n’est pas le plus important - que la famille royale est génératrice de richesses, ne serait-ce qu’à travers les événements majeurs, à la fois familiaux et nationaux : couronnement, mariage, etc. Alors qu’en France, allongement de la durée de vie aidant, nous continuons à entretenir grassement les « maisons » des anciens présidents de la République, sans pour autant qu’ils nous rapportent un seul centime d’euro, ajoute Benjamin Leduc (fin des extraits adaptés ; voir le 1er lien vers source en bas de page).
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Mais où sont les prétendants ? - demande, de son côté, Emilie Defresne - sur medias-presse.info (extraits adaptés ; voir le 2ème lien vers source en bas de page) : Selon ce sondage, l’idée d’un retour du roi progresse assez spectaculairement dans le pays alors qu’aucun candidat ne réclame actuellement ce privilège, à l’encontre de ce qui était le cas jusqu’aux années 1980, même si Louis de Bourbon, le duc d’Anjou a fait une récente déclaration qui pourrait s’apparenter à un programme politique.
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Emilie Defresne : Si un prétendant réclamait sérieusement ses droits au trône, cela permettrait à cette proportion d’électeurs favorables au rétablissement de la royauté de se faire une idée sur la sorte de royauté à laquelle il pourrait s’attendre, car en Europe il ne reste plus guère comme exemples que des rois ou reines sans pouvoir, et parfois très éloignés de rois très chrétiens, comme c’est le cas en Espagne.
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Emilie Defresne : Louis de Bourbon est le fils d’Alphonse de Bourbon, aîné de la maison de Bourbon. Alors qu’il testait une piste de ski dans le Colorado, le prince royale Alphonse II, son père, a heurté à pleine vitesse un câble, très étrangement tiré en travers de la piste, qui l’a décapité en 1989, alors que son fils aîné avait lui-même perdu la vie peu avant au cours d’un accident de voiture. Une enquête pour homicide conclut en définitive à un accident.
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Emilie Defresne : Une conclusion qui n’a pas convaincu tout le monde. Son second fils Louis de Bourbon, actuel duc d’Anjou, est devenu à sa mort l’aîné des descendants mâles d’Hugues Capet par primogéniture, il deviendrait donc Louis XIX, mais jusqu’à présent il ne s’est pas montré aussi actif que son père pour endosser ses droits au trône de France, précise Emilie Defresne sur medias-presse.info (extraits adaptés ; voir le 2ème lien vers source en bas de page).
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http://www.bvoltaire.fr/benjaminleduc/le-retour-du-roi,280291
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http://www.medias-presse.info/39-de-francais-estiment-quun-roi-a-la-tete-de-la-france-aurait-des-consequences-positives/60339
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