Edito du 24 Heures : Sans effort, l’eau finira par nous manquer. Quid de l’effet de l’immigration sur cette ressource?

Note : Quid de l'effet de la libre-circulation, de l'immigration, de l'asile sur nos ressources? Non seulement ces migrants épuisent nos ressources mais encore ils impactent directement la régénération des nappes phréatiques par le bétonnage et la densification (même un PLR le reconnait).

Une Suisse à 10 millions est-elle souhaitable dans ces conditions?

L'édito du 24 Heures évite soigneusement de parler des conséquences de ces immigrations pour nos ressources. On comprend bien qu'il s'agit de taper sur les Suisses tout en évitant de donner raison à l'UDC.

 


Aujourd’hui, les ruisseaux secs, les étiages décalés et autres pénuries d’eau locales sont devenus monnaie courante. Sans grand bruit, le «château d’eau de l’Europe» fait face à l’arrivée, désormais documentée, du climat méditerranéen. Même s’il est presque encore contre-intuitif pour le quidam de s’en préoccuper, les spécialistes de l’eau et, plus généralement, du climat, invitent, quant à eux, à une prise de conscience.

Dans le canton, l’eau est bel et bien présente sous les roches, dans les lacs. Mais l’atteindre ou la pomper plus avant ne sera pas toujours possible. Les obstacles peuvent être économiques, ou simplement physiques. Pour leur rentrée politique, les Vert·e·s vaudois veulent mettre l’accent sur ces réalités en invitant les Communes et les propriétaires de villas à récupérer l’eau de pluie. Si la chose n’est pas simple, toute préservation de l’eau potable doit être prise en considération, jugent-ils. La chaleur fera monter les besoins sans que les ressources augmentent.

[...]

24heures.ch / Une fausse impression d’abondance

 


Rappels :

Sommaruga: "Cibler les étrangers pour des raisons écologiques est xénophobe."

Verts Vaudois : L’initiative de résiliation de la libre-circulation nuit à la Suisse

Parti socialiste : NON à l’initiative de résiliation de la libre-circulation

PLR : Non à l’initiative de résiliation de la libre-circulation

PDC : NON à l'initiative de résiliation

L’immigration de masse détruit les objectifs climatiques

Vaud: Un Kosovar clandestin et travaillant au noir pollue gravement le cours d’eau. Le 20 Minutes censure la nationalité du coupable.

Un garagiste indépendant, en situation irrégulière en Suisse, avait déversé de l'huile de vidange dans une canalisation d'eau claire se jetant dans la rivière.

L'origine de la pollution a été localisée dans une surface industrielle en sous-sol d'un garage officiel à Chavannes-près-Renens. Ce local était utilisé par un garagiste indépendant de 32 ans, en situation irrégulière en Suisse depuis plusieurs années.

(...)

 

 

L'alerte avait été donnée peu après 10h00 (Nd Christian Hofer: le 10 octobre) par une entreprise de voirie qui oeuvrait non loin et la police est arrivée rapidement sur place pour disposer un barrage de bouées en deux endroits, afin d'éviter une propagation plus large de "l'épais liquide noir et gluant en surface du cours d'eau", a constaté la RTS sur place.

La pollution s'est propagée sur un kilomètre jusqu'au lac Léman via la Chamberonne - rivière dans laquelle se jette la Mèbre - et plusieurs animaux sont touchés, ainsi que la flore, selon plusieurs services - pompiers, garde-pêche, brigade du lac - mobilisés pour maîtriser le sinistre.

Travaux de plusieurs heures, voire plusieurs jours

Le liquide visqueux est resté en surface. "Les poissons ne semblent pas avoir été perturbés", alors que des volatiles ont été partiellement souillés et des réflexions sont en cours pour leur traitement.

Les travaux d'aspiration du produit, puis de nettoyage des berges, sont en cours et pourraient durer plusieurs heures, voire plusieurs jours, selon un communiqué de la police diffusé en fin d'après-midi.

Source et article complet Source2

A noter qu'à l'origine l'article comportait la nationalité du coupable. A présent, ce journal choisit en toute connaissance de cause de cacher les origines, copie d'écran à l'appui:

 

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Quant à nos autorités laxistes, on constate encore une fois qu'un énergumène qui devait être expulsé, travaille au noir et a pu contaminer nos ressources vitales: encore un enrichissement dont Simonetta Sommaruga peut être fière.

Italie: un jihadiste marocain voulait empoisonner l’eau potable de Rome

Rome: pour des raisons de sécurité publique, le ministre de l'Intérieur Marco Minniti a signé aujourd'hui une mesure afin d'expulser un citoyen marocain. (...)

Laaraj Noureddine, 37 ans, se trouvait déjà en prison pour trafic et détention de drogue.

Il a également affirmé qu'il n'aurait aucune difficulté à commettre un attentat au Vatican et à empoisonner l'eau de Rome.

Depuis sa cellule, il a salué l'attentat au Musée du Bardo à Tunis. Il a déclaré qu'il pensait que cette attaque était «une bonne réponse à l'intervention militaire de la Coalition internationale dans les pays musulmans»

Il s'agit du 71e rapatriement en 2017.

Source Source2 Souce3 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

France : la mairie de Nanterre accuse les Blancs d’ouvrir les bouches à incendies, au mépris de la réalité.

Bien entendu lorsqu'il s'agit de pointer du doigt les vrais coupables, il n'est plus question de montrer l'immigration qui fait tant de mal à la France.

Cela ne dérange aucunement les "antiracistes" si prompts à imposer dans l'esprit des gens que les pays européens ne sont plus blancs lorsque cela les arrange...

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La réalité :

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Source

France: la racaille ouvre des bornes d’incendie pour « se rafraîchir ». Une facture de plusieurs millions d’euros (Vidéos)

600.000 mètres cubes d'eau ont été ainsi gaspillés en moins d'un mois. Devant la multiplication de ces actes de vandalisme censés adoucir les périodes de fortes chaleurs, collectivités locales et forces de l'ordre sont dépassées.

Regardé au départ avec une relative bienveillance par le public, le phénomène de "street pooling", l'ouverture sauvage de bouches à incendie, préoccupe désormais les pouvoirs publics. Depuis dimanche, à Paris et dans les trois départements de Seine-Saint-Denis, Hauts-de-Seine et Val-de-Marne, un millier de cas ont été recensés. Selon le distributeur Veolia, 600.000 mètres cubes d'eau ont été ainsi gaspillés depuis le 26 mai dernier. Soit l'équivalent de la contenance de 240 piscines olympiques.

L'ampleur du phénomène "devient critique" en Ile-de-France, a également déploré jeudi le groupe Veolia, qui distribue l'eau de 150 communes autour de Paris.

"La journée du mercredi 21 juin a vu le phénomène des ouvertures intempestives de bouches et poteaux incendie prendre une ampleur non connue à ce jour, qui devient critique", a affirmé Veolia dans un communiqué.

Un phénomène d'ampleur nationale

Sur le territoire du Syndicat des eaux d'Ile-de-France, qui regroupe 150 communes dans sept des huit départements de la région, "le volume d'eau distribué a augmenté de près de 50%", entraînant la perte de 150.000 m3, "soit l'équivalent de 60 piscines olympiques".

La région parisienne n'est pas la seule concernée: sur la même période, 600 bouches à incendie ont été ouvertes dans les Hauts-de-France, provoquant la perte de 100.000 mètres cubes d'eau, principalement à Lille, Roubaix et Tourcoing.

Veolia "en appelle au civisme et à la responsabilité des usagers" pour mettre fin aux "ouvertures intempestives".

Des passants arpentent la rue, en voiture ou à pied. Certains disent aux jeunes d’arrêter de laisser couler l’eau, mais rien n’y fait. Le jeu continue, sous le soleil qui tape dur à cette heure de l’après-midi. « La police a rappelé les jeunes à l’ordre, mais ça n’a rien changé. Jusqu’à 21 h, ils sont restés faire trempette », explique encore la jeune femme, domiciliée allée de Brno, qui fait part de son exaspération : « À chaque nouvelle dégradation, on nous promet des solutions mais rien n’est jamais fait. On n’en peut plus. »

Une "mode" qui met en danger la vie des riverains

Si le gâchis est la première conséquence du phénomène, il comporte aussi des risques plus graves: la perte de pression dans la canalisation peut entraver le travail des pompiers si un incendie se déclare aux alentours. Sans parler des problèmes d'acheminement de l'eau potable pour les bâtiments de la zone concernée.

Cette même pression met en péril ceux qui ouvrent les bouches. En 2015 à Bobigny, un enfant de 8 ans a été projeté en l'air avant de retomber sur la tête, rapportait à l'époque Le Parisien.

L'eau peut aussi gêner la circulation, masquer les piétons aux véhicules qui arrivent à hauteur du geyser provoqué par l'ouverture intempestive de la bouche.

Une facture de plusieurs millions d'euros

Enfin, les pompiers mettent en garde contre un risque d'électrocution si l'eau projetée dans les airs, parfois jusqu'à cinq ou six mètres de haut, venait à entrer en contact avec des caténaires SNCF et des lignes électriques.

La dernière conséquence est financière. La mobilisation supplémentaire des pompiers et services de secours, la dégradation des matériels inondés et l'eau gâcher coûtent des centaines de milliers d'euros aux collectivités locales touchées. Pour la seule journée de mercredi, notent Les Echos, l'ouverture illégale de 500 bouches et poteaux à incendie aura coûté entre 600.000 et 800.000 euros. Une somme acquittée au final par les communes et leurs habitants. Et parfois par les contrevenants qui s'exposent à une amende de 500 euros.

Source Source2

L’état islamique projette de contaminer l’eau des grandes villes de l’UE et de la CEI

Les djihadistes de l’État islamique (Daech) projettent une attaque chimique d’envergure dans les grandes villes du Proche-Orient, de l'Union européenne et de la Communauté des États indépendants (CEI).

Le ministère russe de l'Intérieur a appris que les djihadistes de Daech envisagent de lancer une attaque chimique d'envergure contre les grandes villes du Proche-Orient, de l'Union européenne et de la Communauté des États indépendants (CEI), lit-on dans un document dont la presse a obtenu copie.

Les terroristes ont choisi pour cible le système central d'approvisionnement en eau et se proposent notamment de diluer de puissants médicaments dans l'eau qui alimente les immeubles afin d'empoisonner le plus de gens possible, apprennent les médias russes.

« Les djihadistes entendent utiliser de puissants médicaments et des substances chimiques se trouvant en vente libre », dit le document évoqué.

Source et article complet