Une école de filles musulmane enseigne à ses élèves comment décapiter les blasphémateurs

Une école de filles musulmane au Pakistan a réagi à la nouvelle des caricatures de Mahomet en France en montrant comment décapiter les blasphémateurs. Les filles de l'école sont activement encouragées à chercher le martyre en versant leur sang pour Mahomet. David Wood discute la question. (sous-titres en anglais)

https://www.youtube.com/watch?v=5T6EkSFxly8

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Cenator: Pendant ce temps, les migrants arrivent massivement, chaque jour en Europe Occidentale. Parmi eux, des soldats entrainés pour massacrer les coufards.
Même la Hongrie attrape régulièrement des "migrants" qui arrivent malgré tout à traverser les frontières, pourtant gardées par radars et l'armée. Des tunnels sont régulièrement creusés, et grâce aux ONG, des fermes vides ont été rachetés par les musulmans provenant de l'invasion, près de la frontière, du côté serbe, croate. Les opérations sont dirigées depuis ces bases, les propriétaires sont des vrai barons du trafique humain.

Nous avons lu dans le journal de ce jour cette nouvelle:

Dix-neuf migrants syriens ont été appréhendés sur l'autoroute M1 à Tata (ndlr: pas loin de Visegrad), les migrants voyageaient dans un minibus arrêté

MTI
Dans un communiqué envoyé au MTI vendredi, le bureau du procureur général du comté de Komárom-Esztergom a écrit que les migrants avaient été pris en charge dans le minibus à Ruzsa, près de la frontière serbe, puis se sont rendus devant le bus pour Vienne pour "détecter d'éventuels contrôles de police".
Le véhicule a été arrêté jeudi pour inspection par la police sur l'autoroute M1. Le conducteur et le passager de la voiture de tête ont aperçu la police et ont fait demi-tour sur l'autoroute. Ils ont été arrêtés sur la route 1, a écrit le porte-parole adjoint Sándor Horváth.
Le tribunal de district de Tatabánya a ordonné l'arrestation de deux chauffeurs et de leurs associés, deux citoyens roumains et un double citoyen roumain-hongrois, pendant un mois, soupçonnés de traite des êtres humains. L'ordonnance n'est pas définitive car les avocats de la défense n'étaient pas présents à l'audience afin qu'ils puissent faire leurs déclarations juridiques après l'arrestation.
(Ndlr: Les ONG de Soros vont à présent entrer en action, très actives également dans les pays de l'Est.)

source: https://demokrata.hu/magyarorszag/tizenkilenc-szir-migranst-fogtak-el-tatanal-312461/

traduction libre: Cenator:

Russie: la nounou musulmane dit avoir décapité l’enfant sur ordre d’Allah

La nounou arrêtée à Moscou alors qu'elle brandissait en pleine rue la tête décapitée d'un enfant a affirmé avoir agi "sur ordre d'Allah", avant sa présentation mercredi devant une juge qui l'a placée en détention provisoire.

Goultchekhra Bobokoulova, une Ouzbèke de 38 ans, a été arrêtée lundi par la police près d'une station de métro dans le nord-est de la capitale alors qu'elle déambulait avec la tête d'une fillette, en se proclamant "terroriste".

"C'est ce qu'Allah m'a ordonné" de faire, a déclaré, à son arrivée à l'audience, cette femme aux cheveux noirs coupés courts aux journalistes.

Une fois les caméras sorties de la salle du tribunal, la nounou a subitement changé de comportement, répondant aux questions de la juge de manière polie et rapide, en apportant toutes les précisions demandées.

Originaire de Samarkand, une ville du sud-est de l'Ouzbékistan, ex-république soviétique d'Asie centrale, Goultchekhra Bobokoulova a demandé à être assistée par un interprète lors de l'audience, en affirmant ne pas bien connaître le russe.

Elle a cependant répondu elle-même à toutes les questions, s'exprimant couramment dans cette langue étudiée à l'époque soviétique dans toutes les écoles de l'URSS.

"J'ai trois fils, l'aîné a 20 ans, un autre a 19 ans et le cadet a 16 ans", a déclaré Goultchekhra Bobokoulova, en précisant qu'elle était divorcée depuis plus de 10 ans.

La juge Tatiana Vassioutchenko a rapidement satisfait la demande des enquêteurs, en plaçant la nounou en détention provisoire jusqu'au 29 avril.

"Elle représente un danger réel pour la vie et la santé des gens", notamment des enfants, a souligné l'enquêtrice Olga Lapteva, les larmes aux yeux, rappelant que cette femme était accusée d'un "crime grave (...) qui prévoit des peines dépassant largement trois ans de prison".

La justice a ouvert une enquête pour "meurtre d'enfant en bas-âge" tandis que les médias russes s'interrogeaient sur les motivations de celle qu'ils surnomment la "nounou sanguinaire", la qualifiant tour à tour de "démente" ou de "terroriste".

Le jour du meurtre, les chaînes nationales russes avaient décidé de ne pas évoquer l'arrestation de la nounou dans leurs bulletins d'information, soutenues par le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, estimant que c'était "trop monstrueux pour être montré à la télévision".

Mercredi, la chaîne publique Rossia 24 a évoqué l'audience, tout en omettant les détails du drame.

La nounou de la petite fille née en 2011 a attendu que les parents quittent l'appartement puis, "pour un motif inconnu", a "blessé l'enfant au cou, a séparé la tête du corps" avant d'aller dans le métro avec la tête, selon le rapport des enquêteurs présenté à la cour.

"A ce jour, il n'a pas été établi l'existence de complices présumés ou de personnes l'ayant poussé à commettre ce crime", ont-ils déclaré.

Les enquêteurs ont soumis Goultchekhra Bobokoulova à des examens psychiatriques. Il n'est pas exclu qu'elle ait agi "sous l'empire de psychotropes ou drogues", ont-ils expliqué sans plus de précisions.

Source

“Les Suisses chrétiens ne doivent pas être convertis mais décapités”

Le principal accusé du procès qui s'est tenu hier au Tribunal pénal fédéral de Bellinzone contre quatre Irakiens accusés d'être des membres ou des soutien d'Isis continue d'éluder les questions du juge et à contester le bien fondé des accusations. Celles-ci sont basées essentiellement sur des extraits de communications via internet.

Pendant les débats qui se tiennent en allemand et sont traduits en arabe, cet homme de 29 ans en chaise roulante suspecté d'avoir planifié un attentat terroriste a de nouveau éludé les accusations fondées sur des protocoles de tchats. Il aurait échangé des messages avec Abu Hajer, un homme suspecté de soutenir l'Etat Islamique et aurait continué d'avoir des contacts avec lui depuis son arrivée en Suisse. [Précisons que l'individu a fait une demande d'asile en Suisse en 2010]

[...]

Dans des extraits de l'acte d'accusation, cet homme avait qualifié les Suisse de "chiens", mais lui parle d'un malentendu. Il a expliqué qu'il avait vu à la télévision des soldats tuant des talibans et avoir cru que c'était des soldats suisses, puisque le reportage passait sur la télévision suisse alémanique....

[...]

Dans une sentence du TPF publiée le 18 mai 2015 [...] il été rapporté que l'homme avait fait des déclarations choquantes quand il habitait dans le canton de Schaffhouse. Parlant des Suisses de confession chrétienne il aurait déclaré :

"Oui, par Allah, on doit les décapiter et non les convertir"

 

Article complet en italien (trad. partielle D. Borer)

Allemagne. Un Migrant musulman décapite sa femme, brandit sa tête puis la jette dans la cour au cri d’Allahu Akbar.

Pour les germanophones… pour les autres faudra attendre la traduction. En bref un musulman s’est disputé avec sa femme, et n’a rien trouvé de mieux que de lui couper la tête puis de la jeter dans la cour de la résidence.

 

https://youtu.be/jCy6_-YYiJ4

Source

Nos remerciements à Bernard Morand

L’ancien directeur du site de Palmyre décapité par le groupe EI

Le groupe Etat islamique a décapité l'ancien directeur du site archéologique de Palmyre, au centre de la Syrie. Son corps a été suspendu à une colonne antique, a déclaré mardi soir le directeur des Antiquités syriennes.

Maamoun Abdoulkarim a précisé tenir cette information de la famille du défunt. Khaled Assaad était âgé de 82 ans. Cet universitaire avait dirigé pendant 50 ans le site des ruines romaines de Palmyre.

Au fil des années, il avait été amené à travailler avec des archéologues français, américains, allemands et suisses.

Ville occupée

Il était détenu depuis un mois par le groupe djihadiste qui s'est emparé en mai de la ville du centre de la Syrie. Il aurait été exécuté mardi.

Depuis le 21 mai, le groupe Etat islamique contrôle la totalité de la cité antique de Palmyre. Les djihadistes y ont notamment détruit deux anciens mausolées islamiques, ainsi que la fameuse statue du Lion d'Athéna, haute de trois mètres. Ils y ont aussi procédé à l'exécution de prisonniers.

Source RTS

La Napolitaine de Daech qui prône la décapitation

Une djihadiste italienne de 28 ans (photo "Le Figaro") convertie à l'islam radical et installée dans le nord de la Syrie veut porter la guerre sainte dans son pays d'origine. Pour elle, les décapitations sont une « juste rédemption ».

«Quand nous décapitons une personne - et je dis nous parce que je le fais au nom de l'État islamique -, nous obéissons à la charia»: difficile d'imaginer que des propos d'une violence extrême puissent sortir de la bouche d'une jeune Napolitaine de 28 ans au profil avenant, joviale, adorant se ...

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Les Suisses, bons à décapiter?

"Les Suisses ne sont bons qu'à être décapités", proclame un certain Oussama M., Irakien incarcéré en Suisse. Les autorités fédérales, décidément très remontées, ont décidé de "prolonger une nouvelle fois sa détention", explique le Matin. Pas de jours-amende avec sursis ni de réhabilitation aux petits oignons pour le vilain petit canard du vivre-ensemble métissé et festif - en tout cas, pas pour l'instant.

daesh.jpgPadamalgam™, double dose

Sans doute pas au courant que l'islam-ce-n'est-pas-ça (on attend avec impatience le débat télévisé entre un frère Ramadan et ce genre d'olibrius) l'individu explique au Tages Anzeiger qu'il n'y a pas lieu de perdre du temps à essayer de convertir les infidèles: "Les chrétiens suisses ne sont bons que pour la décapitation, pas pour le prosélytisme". On a beau être promis au paradis, il faut utiliser son temps efficacement. D'ailleurs Oussama se préparait à joindre le geste à la parole:

Pour les autorités suisses, Oussama M. était clairement en train de préparer une action en Suisse pour le compte de l'organisation terroriste avec l'aide de deux complices. L'Irakien «est totalement en phase avec les activités de l'Etat islamique et se considère comme un de ses membres», écrit le Tribunal pénal fédéral. Il se décrit comme un combattant respecté qui a participé à des batailles.

Heureusement, c'est probablement un loup solitaire, le genre de type qui devient méchant à coup de vidéos sur Youtube alors qu'avant il était gentil comme tout et disait bonjours à ses voisins lorsqu'il les croisait dans l'escalier... Rien qui justifierait, par exemple, une remise en question de la politique d'asile habilement conduite par notre conseillère fédérale socialiste Mme Sommaruga... Oups!

Oussama M. a été accueilli en Suisse après une grave blessure en Irak. Il souhaite retourner dans son pays une fois sur pied. Actuellement, il se déplace en chaise roulante. Et même s'il a été soigné et qu'il touche l'aide sociale, il est virulent (sic) avec la Suisse. Selon les autorités fédérales, l'accusé a apporté son soutien à l'Etat islamique, notamment pour des transferts de fonds. Il aurait aussi eu des contacts avec un membre influent Abu al-Muhajir Akkab, recherché par Interpol. Oussama M. était aussi chargé de mettre en place une cellule terroriste en Suisse chargée de préparer des attentat ici ou en Allemagne.

padama10.jpgLa Suisse est tellement accueillante qu'elle soigne et entretient des gens qui avouent ouvertement leur souhait de décapiter ses habitants! A-t-on jamais vu plus merveilleuse démonstration d'hospitalité? Mais ne vous inquiétez pas outre mesure des propos tenus! Force restera à la loi:

L'Irakien, comme ses deux complices, clame leur innocence depuis des mois. Aucune de ses demandes de libération ne lui a été accordée. En fait, sa détention préventive vient même d'être prolongée jusqu'au 20 septembre au moins.

Prend ça, vil islamiste! Ça calme, hein? Face à un type qui a probablement vu (et commis) des atrocités sans nom en Syrie et en Irak, la perspective d'être incarcéré "jusqu'au 20 septembre au moins" dans une confortable cellule helvétique - à la superficie scrupuleusement conforme aux Droits de l'Homme - doit probablement être terrifiante, faisant vaciller toutes ses convictions.

Ce triste entrefilet de la presse locale n'est qu'un exemple parmi tant d'autres d'une guerre qui gagne en intensité non seulement en Suisse mais dans l'ensemble du monde occidental, et ce d'autant plus que le flot de réfugiés "syriens" que Mme Sommaruga accueille à bras ouverts avec l'argent des contribuables comporte son lot de combattants de l’État Islamique.

La myopie ordinaire

Sans transition, prenons l'exemple imaginaire mais très réaliste de Martine. Martine se définit elle-même comme une amoureuse de la nature ; Martine concrétise cet amour dans un respect scrupuleux des directives officielles édictées par les écologistes et religieusement retransmises par les médias de masse. Martine mange Bio autant qu'elle peut, consomme local, recycle, ne laisse pas ses appareils en veille quand elle y pense, et se maudit intérieurement plusieurs fois par semaine lorsqu'elle est contrainte d'utiliser sa voiture.

Naturellement, Martine vote écolo - les mêmes qui réclament l'accueil de 100'000 réfugiés syriens dans le pays.

Bernard, lui, est fonctionnaire. Employé dans la prestigieuse administration cantonale de Fribourg, son travail est routinier mais finalement confortable. L'argent rentre, il a droit à ses vacances, ses chèques Reka, l'accès à la cantine du personnel. Il ne se foule pas trop mais s'entend bien avec son supérieur, ça compense. Sa progression salariale est garantie et chaque année ses copains syndicalistes réussissent à grappiller un petit plus par-ci ou par-là.

Depuis quelques temps, Bernard dort mal. Sa petite commune de Chevrilles a été sélectionnée par Mme Sommaruga pour implanter un nouveau (et énorme) centre d'accueil pour requérants. Il se demande quel effet cela aura sur la valeur de sa maison et les trajets qu'effectuent quotidiennement ses deux filles. Naturellement, cela ne l'empêchera pas de continuer à voter socialiste.

Thomas, enfin, est un rebelle. Il ne supporte pas les normes sociales rigides. Il se plaint sans arrêt que la Suisse "ne bouge pas assez", qu'elle est trop "réactionnaire" et que sa vie est un carcan. Il rêve d'un revenu universel qui lui permette une vie tranquille avec son copain, bière à volonté et un peu de deal d'herbe au noir comme complément. Il en fume aussi, tant pour oublier ses études qui ne décollent pas que pour mieux planer avec sa musique où on rêve d'un monde ouvert, beau et généreux où tous les humains se tendent la main.

Si Thomas est homosexuel, il ne s'en vante pas - et encore moins depuis vendredi dernier, où il s'est laissé submerger par l'émotion en embrassant son ami devant la gare de Zurich. Il était tard, ils devaient se quitter, mal leur en a pris. Une douzaine d'individus désœuvrés et visiblement étrangers les a vigoureusement houspillés. Les baffes ont commencé à pleuvoir et la situation manquait de dégénérer jusqu'à l'arrivée providentielle d'une patrouille de police qui dispersa l'attroupement. Depuis, Thomas s'efforce de ne plus penser à cet incident troublant, de peur de remettre en question sa vision du monde où l'UDC est le principal obstacle sur le chemin du bonheur.

Responsabilité électorale et priorités

La vie est faite de choix. Nous nous faisons une fierté de proclamer que ces choix sont l'écho de nos valeurs, de notre époque et de notre histoire personnelle ; ce n'est pas toujours vrai. Souvent, ces choix sont aussi les conséquences de notre conformisme, de nos habitudes ou de notre refus d'admettre un problème.

Les exemples de Martine, Bernard ou Thomas n'ont rien de particulier - on pourrait les décliner à l'infini. Mais chacun d'eux aura un petit souci: définir l'ordre de ses priorités face à la menace islamique incarnée par exemple par Oussama. Il y a les choix qu'on fait, mais aussi ceux qu'on refuse de faire.

  • La Suisse est-elle menacée davantage par l'islamisme ou par le réchauffement climatique?
  • La Suisse doit-elle privilégier l'accueil de faux réfugiés ou le respect de son cadre de vie?
  • Comment la Suisse peut-elle promouvoir le respect des homosexuels ou l'égalité homme-femme face à des populations allogènes totalement hostiles à ces concepts?
  • Que vaut la loi des hommes, la démocratie, la liberté d'expression, face à ceux pour qui la seule loi qui vaille est la loi d'Allah? Quel sens y a-t-il à les laisser s'installer sur notre territoire?
  • Quel sens y a-t-il à vouloir renvoyer les criminels étrangers dans leur pays, refuser l'accès à un flot de faux réfugiés, instaurer des quotas pour l'immigration lorsque les autorités élues par ces mêmes citoyens refusent par principe tout contrôle des frontières?

Ces interrogations dérangent - tant et plus que trois-quart des électeurs, et je suis généreux, s'efforcent surtout de ne pas se tourmenter avec des questions de ce genre.

La politique de l'autruche est aussi décriée qu'elle est pratiquée. Si nombre d'élus suisses ont clairement choisi leur camp, la responsabilité finale de leur accès au pouvoir incombe à l'électeur et à nul autre.

« Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime, il est complice ».

George Orwell

Pas besoin d'être devin pour comprendre qu'en Europe la situation va aller en s'aggravant: hordes de requérants d'asile, crise économique, islamisation, guérillas urbaines. L'ère de l'insouciance heureuse est terminée et chaque jour il devient plus dangereux de continuer à faire comme si.

L’État Islamique n'a pas encore un an

Voyant l'évolution des crises dans la période 2010-2015 et leur accélération stupéfiante rien que depuis le début de l'année, on s'effraie à penser à ce que sera devenu le monde en 2020 à ce rythme. Bien avant, nous aurons sans doute d'autres chats à fouetter que l'organisation des Jeux Olympiques de la Jeunesse.

La Suisse n'a plus guère les moyens de continuer à ignorer les problèmes, ou ceux-ci finiront par l'emporter. Mais la prise de conscience requiert le réveil des citoyens, une vision claire des enjeux, et un engagement fort pour appliquer des solutions concrètes. Nous reste-t-il, en tant que peuple, assez d'énergie et de volonté pour organiser notre propre survie? Ou les réglementations sur le ramassage des déchets sont-elles l'aboutissement de notre projet de civilisation?

Nous aurons les réponses à ces questions lors des élections fédérales de cet automne. Je ne vais pas vous mentir, les perspectives ne sont pas bonnes. Si au bout du compte nous nous destinons à n'être que du bétail pour islamistes, c'est aussi parce que nous en aurons décidé ainsi.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur Lesobservateurs.ch, 20 mai 2015

L’Enfant Jésus d’Hermance a été décapité

Une troisième église a été vandalisée. Comme à Chambésy et au Sacré-Cœur, les statues sont visées. Une tête et une main ont disparu.

Encore un lieu profané. Encore des victimes. Des statues de l’église de Saint-Georges à Hermance ont été endommagées entre jeudi et vendredi passés. C’est la troisième église vandalisée en un peu plus d’une semaine! La liste compte Sainte-Pétronille à Pregny-Chambésy, le mardi 3 mars (lire notre édition du 16 mars), et le Sacré-Cœur à Plainpalais, entre le vendredi 6 et le samedi 7 mars. Des lieux antagonistes du point de vue géographique mais que les faits rassemblent.

Suite

Décapitations islamiques : le silence de Badinter…

Robert Badinter, en tant que juif, ne peut ignorer ce qu’est l’islam, et le sort que Mahomet et ses disciples ont fait subir à ses ancêtres.

Personne n’a oublié la date du 9 octobre 1981, où Robert Badinter, garde des Sceaux du gouvernement Mauroy, obtint l’aboutissement du combat de sa vie : l’abolition de la peine de mort, considérée par lui et son camp comme un acte barbare indigne d’une civilisation évoluée. François Mitterrand et ses alliés surent imposer cette décision à une opinion majoritairement hostile, dans un contexte où on ne guillotinait plus que deux ou trois personnes par septennat.

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État islamique : L’horreur avant les décapitations

Dans une enquête fouillée, fondée sur les interviews d’anciens otages et autres témoins, The New York Times retrace le calvaire d’une vingtaine d’otages détenus par l’Etat islamique en Syrie.

Les otages sont sortis de leur cellule un par un.
Dans une pièce isolée, les ravisseurs leur posent à chacun trois questions très personnelles, technique classique utilisée pour fournir des preuves de vie lors des négociations de libération.
James Foley retourne dans la cellule qu’il partage avec une vingtaine d’autres otages occidentaux et fond en larmes de joie. Les questions que ses ravisseurs lui ont posées portent sur des détails si intimes (“Qui a pleuré au mariage de ton frère ?”, “Qui était le capitaine de ton équipe de foot au lycée ?”) qu’il sait qu’ils sont enfin en contact avec sa famille.

 

Suite

L’image du jour: «Chaque fois qu’un Français est décapité, je suis content»

Voilà pour qui les Français paient les impôts:

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«Vive l’État islamique!». C’est ainsi qu’Abdelhafid Ayadi a exprimé sa colère dans les locaux de la Caisse d’allocations familiales de Strasbourg, lundi dernier, après avoir appris que ses droits avaient été revus à la baisse. «Chaque fois qu’un Français est décapité, je suis content», a-t-il ajouté, avant d’insulter copieusement l’employé de la CAF qui s’occupait de son cas. Il a menacé de revenir «avec un arme, au nom de l’islam».

Jugé en comparution immédiate, le tribunal correctionnel de Strasbourg l’a condamné à 6 mois de prison ferme pour «apologie directe et publique d’un acte de terrorisme». Ce fils de harki de 54 ans n’en était pas à sa première provocation: il avait déjà été condamné pour outrage, après avoir insulté des agents de la CUS (Communauté Urbaine de Strasbourg) chargés de lui trouver un logement.

Contactée par Le Figaro, son avocate décrit «une personne sensible, pas un individu dangereux malgré un dossier qui peut faire froid dans le dos». Il est assez impliqué dans des associations musulmanes, et «a l’impression que beaucoup de choses lui sont dues en France parce que son père était harki», commente l’avocate.

Source

Un musulman décapite une femme dans une plantation de l’Oklahoma – il essayait de convertir ses camarades de travail

Alton Nolen, musulman converti, a décapité une femme dans l’Oklahoma rapportent les agences officielles et il était récemment converti à l’islam. Colleen Hufford, femme de 54 ans a été assassinée et décapitée pendant l’agression selon les autorités il n’y avait aucune autre espèce de relations entre la victime et l’agresseur que le travail.

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Le sergent Jeremy Lewis du FBI a confirmé que la victime a été poignardée plusieurs fois et que son agresseur avait surtout visé la tête.

Le passif du criminel date déjà de 2011, puisqu’il avait déjà été arrêté pour possession de substances illégales et qu’il s’était échappé lors de sa détention et qu’à cette occasion il avait agressé un officier de police.

Source

Une femme décapitée à Londres

Une femme a été décapitée dans un jardin au nord de Londres

La victime a été retrouvée à Nightingale Road, Edmonton,

Una donna è stata decapitata in un giardino nel nord di Londra.peu après 13h, heure locale.

Scotland Yard a donné peu de détails mais déclaré qu'un homme a été arrêté. Ils refusent de donner le nom du suspect. "A ce stade de l'enquête, nous ne sommes pas en mesure de donner d'autres détails".

Nous ne connaissons pas encore les raisons de cette décapitation, même si les décapitations commencent à être extrêmement populaires...
Source

 

 

La Grande-Bretagne, bastion du terrorisme islamique global?

Magdi-Cristiano-Allam-Io-Amo-lItalia-Par Magdi Cristiano Allam*

Le bourreau qui a décapité le journaliste américain James Foley serait Abdel-Majed Abdel Bary, un rappeur de 23 ans, citoyen britannique d'origine égyptienne.

Son père est un présumé terroriste égyptien ayant obtenu l'asile politique en Grande-Bretagne avant d'être extradé vers les Etats-Unis.

Selon le quotidien britannique The Sun, Abdel-Majed Abdel Bary, ex DJ rappeur, est un des six enfants d'Abdel Bary, extradé en 2012 d'Angleterre aux USA, suite à une longue bataille juridique. Il était impliqué dans les attentats des ambassades américaines en été 1998 au Kenya et en Tanzanie.

Le jeune Abdel-Majed s'est de plus en plus radicalisé depuis l'intervention britannique en Irak et en Afghanistan. Après être entré en contact avec des hommes proches du prédicateur radical Anjem Choudary, il est parti pour la Syrie et a rejoint la guérilla islamique. Il y a une semaine, Abdel-Majed avait twitté une photo de lui sur laquelle il tenait dans ses mains la tête d'une personne décapitée.

Si la nouvelle devait être confirmée, nous nous trouverions face à la énième confirmation que la Grande-Bretagne s'est transformée en bastion du terrorisme islamique global, fruit sans équivoque de la faillite du multiculturalisme que, en Italie, Kyenge, Boldrini, la gauche et les catho-communistes voudraient nous imposer.

Pour nous sauver, nous devons immédiatement fermer les mosquées et les sites internet qui prêchent la haine, la violence et la mort à l'égard des non-musulmans, comme nous devons aussi bloquer l'immigration sauvage et définir un parcours d'intégration fondé sur le partage de valeurs absolues et sur le respect de règles indiscutables.

Magdi Cristiano Allam

Source en italien (trad. D. Borer)

*Magdi Cristiano Allam, d'origine égyptienne, a émigré en Italie en 1972. Licencié en sociologie de l'université de Rome « La Sapienza », il a été un des sous-directeurs du quotidien Corriere della Sera, où il s'occupait des sujets relatifs au Proche-Orient et de ses relations avec l'Occident. En 2008 il décide de quitter l'islam et de se convertir au catholicisme. Il est depuis menacé de mort (l'apostasie est punie de mort en islam) et ne se déplace qu'avec ses gardes du corps. Il est euro-député et à créé un parti, Ioamolitalia.

Il a aussi écrit plusieurs livres :

  • Islam, Italia: chi sono e cosa pensano i musulmani che vivono tra noi (2001)
  • Bin Laden in Italia: viaggio nell'islam radicale (2002)
  • Diario dall'Islam. Cronache di una nuova guerra (2002)
  • Saddam: storia segreta di un dittatore (2003)
  • Jihad in Italia. Viaggio nell'Islam radicale (2003)
  • Kamikaze made in Europe. Riuscirà l'Occidente a sconfiggere i terroristi islamici? (2005)
  • Io amo l'Italia: ma gli italiani la amano? (2006)
  • Vincere la paura. La mia vita contro il terrorismo islamico e l'incoscienza dell'occidente (2006)
  • Viva Israele. Dall'ideologia della morte alla civiltà della vita: la mia storia (2007)

 

 

La traque du djihadiste meurtrier de James Foley mène à Londres

La traque est en cours. Les services secrets britanniques, assistés par le FBI américain, sont engagés dans une course contre la montre pour identifier l’assassin en Syrie du journaliste américain James Foley. Il ne fait désormais aucun doute que cet homme, qui apparaît le corps et le visage entièrement dissimulés de noir sur la vidéo atroce de l’exécution, est un citoyen britannique.

 

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