États-Unis: les données de Yelp montrent que 60% des entreprises qui ont fermé pendant le Covid sont maintenant définitivement fermées

C'est confirmé - plus de la moitié des entreprises aux États-Unis qui ont fermé pendant l'hystérie Covid de 2020 sont maintenant définitivement fermées.

En juillet de cette année, l'ancien gouverneur de New York, Cuomo, suppliait les entreprises de revenir à New York. C'était trop tard. Les dégâts dus à Cuomo et à de nombreux gouverneurs tyranniques à travers le pays étaient faits. Des millions de personnes ont été licenciées et des petites entreprises dans tout le pays ont fermé.

Il est trop tard pour Cuomo et tous les gouverneurs qui ont adoré détruire les emplois, les entreprises et les moyens de subsistance des Américains. Ces emplois sont définitivement perdus.

Les données de Yelp montrent que les emplois ont disparu .

Yelp a publié mercredi son dernier Rapport d'impact économique, montrant que les fermetures d'entreprises aux États-Unis augmentent en raison des répercussions économiques de la  pandémie de coronavirus .

Au 31 août, 163'735 entreprises indiquaient sur Yelp qu'elles étaient fermées. Ce chiffre est en baisse par rapport aux 180'000 qui ont fermé au tout début de la pandémie. Cependant, il montre en réalité une augmentation de 23% depuis la mi-juillet.

En plus du suivi des fermetures temporaires, Yelp prend également en compte les commerces dont les fermetures sont devenues définitives. Ce nombre a régulièrement augmenté au cours des six derniers mois, atteignant maintenant 97'966, c'est-à-dire que 60% des entreprises qui ont fermé ne rouvriront pas.

"Dans l'ensemble, les données de Yelp montrent que les fermetures d'entreprises ont continué d'augmenter, avec une hausse de 34% des fermetures permanentes depuis notre dernier rapport à la mi-juillet", a déclaré à CNBC Justin Norman, vice-président pour la science des données chez Yelp.

Bravo au Dr Fauci, au Dr Birx, à Nancy Pelosi, aux Démocrates, aux RINO, aux antimasques et à tous ceux qui n’ont pas su voir plus loin que le bout de leur nez pour comprendre que le remède était pire que le Covid. Maintenant, des millions de personnes sont sans travail, sans argent et ont perdu leurs rêves. Vraiment, bravo.

source: https://www.thegatewaypundit.com/2021/09/data-yelp-shows-60-businesses-closed-covid-now-permanently-gone/

Traduction Albert Coroz

Familles de touristes confinés dans un hôtel insalubre de Palerme

Covid. Aveyron : le cauchemar de cinq touristes de Villefranche-de-Rouergue confinés dans un hôtel insalubre de Palerme

Ils étaient partis en croisière l'esprit tranquille après avoir reçu double dose de vaccin. Une famille de Villefranche-de-Rouergue, dont le mari a été testé positif au covid, est retenue dans un hôtel de Sicile, sans contact avec l'extérieur. Une soixantaine de Français seraient dans le même hôtel.
Palerme (Sicile-Italie)- le cauchemar de cinq touristes de Villefranche-de-Rouergue confinés dans un hôtel insalubre. août 2021.
Palerme (Sicile-Italie)- le cauchemar de cinq touristes de Villefranche-de-Rouergue confinés dans un hôtel insalubre. août 2021.© DR

Partis pour une croisière au départ de Marseille, Brigitte, son mari, son fils, sa belle-fille et son petit-fils de sept ans sont depuis cinq jours bloqués dans un hôtel de Sicile, après avoir été débarqués de leur paquebot.

Ils avaient embarqué à Marseille pour une croisière en Méditerranée. Tous avaient été testés négatifs avant de monter sur le bateau. Mais après une sortie touristique à Messine, le 28 juillet, le mari, médecin retraité, est testé positif au covid malgré sa double vaccination. Toute la famille est alors transférée en ambulance dans un hôtel de Palerme où elle vit recluse depuis, dans des conditions sanitaires déplorables.

Les enfants sont livrés à eux-mêmes
Les enfants sont livrés à eux-mêmes

Des conditions sanitaires d'isolement "épouvantables"

On est confiné au 6e étage, sans eau courante, sans médicaments, sans médecin. L'ascenceur est bloqué pour nous empêcher de sortir. Nous n'avons vu qu'un seul médecin depuis une semaine, et encore il parlait italien, impossible de le comprendre, et personne depuis. Il n'y a pas d'issue de secours. Pas de clim, pas de frigo. Il fait excessivement chaud. La chambre est sale, pas désinfectée, pas nettoyée. Nous n'avons droit qu'à un litre et demi d'eau par jour et par personne.

Brigitte F.

La climatisation complètement obsolète de l'hôtel de Palerme où sont confinés les touristes originaires de Villefranche-de-Rouergue.
La climatisation complètement obsolète de l'hôtel de Palerme où sont confinés les touristes originaires de Villefranche-de-Rouergue.© DR

Jointe par téléphone, par France 3 Occitanie, Brigitte raconte l'enfer qu'elle vit depuis cinq jours dans cet hôtel de Palerme qui ressemble à une prison. Elle a dû arrêter un traitement qu'elle suit à long terme. Son mari, victime de coliques néphrétiques depuis deux jours, vient tout juste d'être admis dans un hôpital, après qu'elle ait réussi à joindre l'ambassade de France qui a envoyé son médecin puis l'ambulance.

Mon mari a un covid fort, il n'a eu, depuis son hospitalisation ce matin, qu'une prise de sang. Moi-même, j'ai dû arrêter le traitement que je suis régulièrement, faute de réfrigérateur pour stocker au frais mon médicament. Mon fils, ma belle-fille et mon petit-fils sont cas contacts, comme moi, mais testés négatifs. Et encore, on a de la chance, on est en famille. D'autres sont complètement éparpillés dans tout l'hôtel, dans des étages ou des chambres séparées.

Brigitte F.

Pas d'eau potable à l'hôtel
Pas d'eau potable à l'hôtel

Une soixantaine de Français "retenus" dans cet hôtel ?

Car cette famille de Villefranche-de-Rouergue, qui ne sait pas combien de temps elle risque de rester sur place, n'est pas la seule dans cette situation.

D'après nos informations, une soixantaine de Français seraient eux-aussi retenus dans le même hôtel de Palerme. Parmi eux, deux familles de la région toulousaine, avec quatre enfants en bas âge.

Ni eau courante ni réfrigérateur pour la nourriture ou les médicaments
Ni eau courante ni réfrigérateur pour la nourriture ou les médicaments

Ils ont pris l'avion à Toulouse, il y a une semaine, après un test antigénique négatif. Ils étaient tous doublement vaccinés, sauf les enfants. Arrivés à l'aéroport de Palerme, on leur a refait un test qui s'est révélé cette fois positif pour deux d'entre eux. Ils ont été transféré à Palerme. La soeur d'une des familles essaie d'alerter l'opinion publique par tous les moyens possibles.

Les enfants n'ont plus d'appétit, ils ne se nourrissent plus, la chaleur est insupportable, nous sommes inquiets pour eux.

Laure Cucuron, soeur d'une des personnes confinées à Palerme.

Selon les informations de l'ambassade de France, "la quarantaine pourrait être levée au bout de vingt-et-un jours à condition que le patient ne présente plus de symptômes depuis au moins une semaine".

Le seul lien avec l'extérieur est la vue depuis l'hôtel dans lesquels sont confinés les touristes originaires d'Occitanie à Palerme en Sicile.
Le seul lien avec l'extérieur est la vue depuis l'hôtel dans lesquels sont confinés les touristes originaires d'Occitanie à Palerme en Sicile.

Pour tenter d'aider sa famille et les autres Français retenus en Sicile, Laure Cucuron a créé une page facebook avec de très nombreux témoignages alarmants.

source: https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/covid-aveyron-le-cauchemar-de-cinq-touristes-de-villefranche-de-rouergue-confines-dans-un-hotel-insalubre-de-palerme-2202664.html

Halte aux chicaneries – l’UDC réclame le retour de la liberté!

Modification de l’ordonnance COVID-19 situation particulière

Consultation - Autorisation des grandes manifestations en lien avec la mise en œuvre de l’art. 11a de la loi COVID-19

Nous prenons position dans le cadre de la procédure de consultation mentionnée ci-dessus. Nous nous exprimons comme suit:

L’UDC exige des ouvertures immédiates compte tenu du fait que plus de 70% des gens de plus de 65 ans au niveau suisse ont aujourd’hui reçu au moins une dose de vaccin et que plus de 65% des personnes âgées de plus de 75 ans sont complètement vaccinées. L’UDC réclame en particulier les interventions suivantes:

  1. lever les mesures Covid-19 à la place de travail, notamment supprimer l’obligation du travail à domicile et de porter un masque dans les locaux de travail;
  2. lever la limite maximale du nombre de personnes pouvant participer à une manifestation dans un cadre familial et amical à l’intérieur comme à l’extérieur,
  3. lever la limite maximale du nombre de personnes participant à des réunions dans l’espace public et à des manifestations publiques;
  4. lever la limite maximale de personnes admises dans les magasins et les entreprises de services;
  5. ouvrir les restaurants et les bars ainsi que lever l’obligation d’être assis et la fermeture obligatoire entre 23 et 6 heures;
  6. ouvrir les équipements culturels, sportifs et de loisirs à l’intérieur comme à l’extérieur;
  7. lever la limite maximale de personnes participant à des activités culturelles et de loisirs;
  8. lever les mesures Covid-19 concernant le chant;
  9. lever les mesures Covid-19 concernant le sport dans les locaux et en plein air;
  10. lever la limite maximale de personnes dans l’enseignement du degré tertiaire et dans les cours du secteur des loisirs.

L’UDC soutient en principe les efforts du Conseil fédéral visant à créer des directives transparentes pour l’organisation de grandes manifestations.

L’ordonnance mise en consultation donne aux organisateurs des directives sur la manière d’organiser des grandes manifestations d’intérêt interrégional après le 1er juillet 2021 pour assurer la protection de la santé. Parallèlement, elle définit la participation aux coûts par la Confédération et les cantons en cas d’annulation à brève échéance de grandes manifestations. Ces explications qui doivent en principe être saluées, ne peuvent cependant pas faire oublier que la Confédération n’a toujours pas annoncé des étapes d’ouverture concrètes. Faute de l’annonce rapide d’étapes d’ouverture, les organisateurs se garderont bien de planifier et surtout de lancer des festivals, expositions et autres manifestations du même type.

L’UDC exige des ouvertures immédiates compte tenu du fait que plus de 70% des gens de plus de 65 ans au niveau suisse ont aujourd’hui reçu au moins une dose de vaccin et plus de 65% des personnes âgées de plus de 75 ans sont complètement vaccinées. Un grand nombre parmi les mesures proposées, comme l’interdiction de vendre des billets aux groupes de fans de l’équipe adverse, doivent être biffées, car ce ne sont que des chicaneries parfaitement inutiles. Les vaccinations, tests et preuves de guérison doivent précisément permettre d’organiser et de visiter des manifestations sans restriction supplémentaire. Contraindre les organisateurs de mettre en place des concepts de protection supplémentaires, c’est prononcer une interdiction indirecte pour les manifestations organisées par des sociétés et grâce au concours de volontaires. Il faut que cessent ces chicaneries inventées par des fonctionnaires désœuvrés. Il est faux d’inscrire dans l’ordonnance des délais fixes pour les personnes vaccinées (6 mois) ou guéries (3 mois). Ces délais devront en effet être adaptés en fonction de l’évolution des connaissances médicales...

...En l’absence d’étapes d’ouverture concrètes, l’UDC adopte une attitude critique à l’égard des directives proposées par le Conseil fédéral concernant l’autorisation de grandes manifestations.

En vous remerciant de tenir compte de notre prise de position, nous vous adressons nos salutations les meilleures.

source: https://www.udc.ch/parti/positions/consultations/modification-de-lordonnance-covid-19-situation-particuliere/

Le confinement ne sert à rien

Le Royaume-Uni a un succès à fêter: la courbe de progression du Covid-19 s'est enrayée. La baisse est spectaculaire, "grâce à des mesures de confinement strict", se félicitent les autorités.

D'autres pays peuvent montrer une courbe similaire en ayant mis en place des mesures similaires, comme la Suisse. Mais cela ne prouve rien. Pour prouver quelque chose, il faut trouver un pays à peu près comparable, et qui a fait différemment.

Ce pays existe, c'est la Suède.

La comparaison entre un pays à "confinement strict" et un pays reposant sur la simple protection des personnes à risques et l'implication personnelle de ses habitants montre la criante différence entre les deux approches... Ou peut-être pas, en fait:


Taux comparé de mortalité par 100'000 habitants, en moyenne sur une semaine
entre le Royaume-Uni (en bleu) et la Suède (en rose) (cliquez pour agrandir)

Comme le dit avec ironie le Dr Eli David, "le confinement au Royaume-Uni a été tellement efficace qu'il a même fait baisser la propagation de la maladie en Suède!"

Le confinement, le couvre-feu, les interdictions commerciales, les interdictions de regroupement et de manifestations en extérieur, dignes des pires régimes totalitaires de l'histoire, n'ont aucun effet sur la pandémie. Et je soupçonne bon nombre de politiciens d'être parfaitement au courant. Mais la populace gobe tout, parce qu'on ne lui montrera que la courbe qui "prouve" l'efficacité des mesures, la courbe bleue ci-dessus - et surtout aucune autre.

Jamais on ne fait la comparaison avec des pays qui ont fait autrement. Sans élément de comparaison, on peut faire gober n'importe quoi à n'importe qui.

Le totalitarisme sanitaire a le vent en poupe, amenant d'innombrables familles à la ruine, les réduisant à de pauvres quémandeurs à la merci de l'État. Cela n'a aucun rapport avec la maladie. Et il m'est avis que la propagation de celle-ci vient bien plus des comportements individuels que des politiques décrétées au sommet.

En attendant, les peuples peuvent se réjouir que d'ici quelques semaines le garrot qui les étrangle soit un peu desserré, en attendant la prochaine vague.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 19 février 2021

Alain Berset peut-il donc faire tout ce qu’il veut avec ce pays ?

Le ministre de la santé et son OFSP produisent les pannes à la chaîne. Dernier exemple en date: l’acquisition de doses de vaccin et le plan de vaccination. Et voilà qu’Alain Berset veut tout simplement reporter la décision sur l’assouplissement du confinement. Cette politique arbitraire doit cesser! L’UDC exige du Conseil fédéral qu’il décide la semaine prochaine de lever le confinement au début du mois de mars.

Le ministre de la santé Alain Berset a fait annoncer aux médias de Suisse romande que le Conseil fédéral ne déciderait pas – comme prévu – mercredi prochain d’un éventuel assouplissement du confinement, mais seulement le 24 février. Il resterait donc juste quatre jours (!) aux entreprises pour réagir. Berset recourt manifestement à toutes les combines possibles et imaginables pour empêcher une levée raisonnable des restrictions.

La question surgit avec de plus en plus d’instance: Alain Berset peut-il donc faire tout ce qu’il veut? Alors que les conseillers fédéraux UDC Ueli Maurer et Guy Parmelin se battent contre la politique Covid-19 destructrice du gouvernement, les autres conseillers fédéraux prétendument de droite se sont apparemment retirés de la scène – admettant ainsi des dommages durables pour notre pays.

 

Qu’est-ce que la population suisse doit encore accepter?

  • 8,5% des salariés sont au chômage partiel.
  • Le chômage a passé à 3,7%.
  • La Suisse subira une vague de faillites jamais observée jusque-là.
  • Chaque jour de confinement coûte 144 millions de francs. La classe moyenne et les générations devront payer l’addition de cette mauvaise politique par des hausses d’impôts.
  • Des milliers de personnes perdent leur place de travail et de formation.
  • D’innombrables exploitations craignent pour leur existence.
  • Les jeunes perdent toute perspective d’avenir.
  • Les dépressions, violences domestiques et suicides sont à la hausse.

 

Et comment se présente la politique du Conseil fédéral?

L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) multiplie les pannes: manque de matériel de protection au printemps dernier, informations contradictoires sur les masques respiratoires, traçage des contacts qui ne fonctionne pas, absence de concept national de protection des homes pour personnes âgées et homes médicalisés, mesures arbitraires et contradictoires, débâcle de l’acquisition de vaccins et du plan de vaccination.

Le conseiller fédéral Berset et son OFSP tentent de détourner l’attention de leurs erreurs en multipliant les mesures draconiennes. Pendant ce temps, cette politique de confinement destructrice génère des dommages sociaux, sociétaux et économiques de plus en plus lourds.

 

L’UDC exige du Conseil fédéral qu’il décide le 17 février de la fin du confinement

L’UDC poursuit une stratégie claire depuis mars 2020: protéger efficacement les groupes à risque, mais permettre au reste de la population de vivre et travailler librement tout en respectant des mesures de protection efficaces comme la distanciation sociale, l’hygiène et le port de masques aussi longtemps que la pandémie de Covid-19 est aiguë. La pétition « Stop Lockdown » confirme que des centaines de milliers d’habitants de la Suisse soutiennent cette politique.

Nous exigeons que le Conseil fédéral décide – comme prévu – le 17 février de mettre fin au confinement début mars – pour que la population suisse puisse à nouveau vivre et travailler.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/alain-berset-peut-il-donc-faire-tout-ce-quil-veut-avec-ce-pays/

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Il est réjouissant que la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral ait en partie au moins repris les exigences de l’UDC et soit revenue sur la voie de la raison dans sa politique contre la pandémie de Covid-19:– les voyageurs entrant en Suisse en provenance d’une région à risque devront présenter un test PCR;

– la stratégie de test est modifiée en ce sens que dans les institutions de soins et dans les hôpitaux un plus grand nombre de tests sera imposé, notamment pour le personnel soignant;

– les écoles restent ouvertes et l’enseignement direct en classe est garanti au moins pour le degré primaire.

L’UDC a été le seul parti à présenter fin mars 2020 déjà une stratégie claire contre la propagation du virus. L’élément central en est la protection de la santé de la population, notamment des groupes à risque, tout en réduisant au maximum les dommages économiques et sociaux.

On saluera donc la décision du ministre de la santé Alain Berset de renforcer enfin les contrôles aux frontières et la protection des résidants des homes pour personnes âgées et des homes médicalisés. En revanche, le maintien du confinement est fatal. Les conséquences de ce choix sont désastreuses. La politique du conseiller fédéral Berset détruit des milliers d’emplois et coûte aux contribuables suisses quelque 6 millions de francs par heure, soit 144 millions de francs par jour. Et il ne s’agit là « que » des dépenses publiques. Ce chiffre ne tient pas compte des dommages économiques qui se compteront par milliards de francs.

Au lieu de lever le confinement et de laisser enfin les gens travailler, la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral préfère allouer une rallonge d’environ 8,5 milliards de francs pour les cas de rigueur et le financement de l’assurance-chômage – et cela bien que tous les indicateurs clés concernant le coronavirus soient nettement à la baisse.

Cette mauvaise politique Covid-19 alourdit la dette. Selon des estimations d’experts, l’endettement brut de la Suisse passera de 93,7 milliards de francs fin 2019 à plus de 130 milliards et approchera donc le sommet de l’endettement public suisse de l’année 2005. Ainsi, les efforts de 15 années de remboursement de la dette publique auront été complètement annihilés en deux ans seulement. Il est prévisible que la population laborieuse, soit la classe moyenne, devra supporter sous la forme de hausses d’impôts les conséquences de cette politique Covid-19 erronée.

L’UDC exige donc avec insistance que  

  • les magasins et les restaurants, qui ont mis en place des concepts de protection exemplaires, puissent immédiatement rouvrir leurs portes;
  • la Suisse veille immédiatement à s’assurer un approvisionnement suffisant en vaccins pour accélérer la vaccination de la population.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/enfin-le-conseil-federal-sinspire-de-la-strategie-covid-19-de-ludc/

Stopper le confinement – surtout nos enfants et adolescents ont enfin besoin d’une perspective

La politique Covid-19 menée par la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral provoque de lourds dommages non seulement financiers, mais aussi psychiques et sociaux. Alors que la situation en Suisse devient de plus en plus précaire, le Conseil fédéral n'a pas été capable jusqu'ici d'offrir une perspective à la population. L'UDC invite donc le gouvernement à décider durant sa séance de demain

  • de lever le confinement dur ou, du moins,
  • de présenter une stratégie de sortie par étapes.

Communiqué de presse UDC, 02.02.2021

Dans les deux cas, il s'agira de protéger de manière ciblée et efficace les groupes à risque et d'accélérer la campagne de vaccination afin que la population restante puisse travailler et vivre le plus librement possible tout en respectant les concepts de protection.

Tous les indicateurs déterminants pour la pandémie de Covid-19 ont nettement baissé. La politique de confinement du Conseil fédéral sous la direction du ministre de la santé Alain Berset n'est donc absolument plus justifiée.

Il faut donc que le Conseil fédéral mette fin au confinement lors de sa séance de demain ou, du moins, qu'il présente une stratégie permettant aux habitants de la Suisse de revenir progressivement à une vie normale. Une telle ouverture par étapes pourrait, par exemple, consister à permettre immédiatement la réouverture des magasins appliquant des concepts de protection, d'autoriser les activités associatives et les types de sport sans contact physique et de permettre aux restaurants des régions de ski d'offrir à nouveau des consommations en plein air.

Le Conseil fédéral doit enfin offrir des perspectives à la population, car la situation est précaire:

  • le nombre de dépressions augmente. Les services et offres psychiatriques enregistrent une augmentation massive des cas. Il existe des indices selon lesquels le nombre de suicides ou de tentatives de suicides est en forte progression.
  • les cas de violences domestiques et de maltraitances d'enfants ont fortement progressé. Les experts expliquent ce développement par les mesures Covid-19 du Conseil fédéral, soit en particulier la fermeture des écoles, le travail à domicile obligatoire et le confinement, ainsi que par les difficultés financières qui en résultent pour les familles.
  • à la suite de la perte de leur place de travail ou de formation, des milliers de personnes se retrouvent devant le néant et sont désespérées parce qu'elles n'ont plus de perspective d'avenir.

Mais ces conséquences du confinement ne préoccupent pas trop le ministre de la santé Alain Berset. Lui et son parti politique n'ont aucune idée valable sur la manière de se comporter dans cette crise, si ce n'est d'agir comme ils le font de coutume: tirer de l'argent des poches des contribuables pour tenter de dissimuler les problèmes. Des aides financières permettent certes d'assurer la survie économique, mais elles sont inefficaces contre les dommages causés par le manque de perspectives.

Les conséquences financières de la politique Covid-19 sont surtout désastreuses pour la jeune génération. La politique sans discernement menée par le Conseil fédéral provoque des déficits par milliards de francs. Les dettes qui en résultent devront être remboursées par la population laborieuse – notamment la jeune génération – sous la forme d'une hausse des impôts.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/stopper-le-confinement-surtout-nos-enfants-et-adolescents-ont-enfin-besoin-dune-perspective/

Le confinement doit être immédiatement levé!

Cenator: Alors que la gauche réclame des mesures plus contraignantes pour le confinement, ou au moins le statu quo, parallèlement, elle demande des mesures plus sévères pour "sauver le climat". Ainsi, un projet de société totalitaire, néomarxiste, utopique et de plus en plus délirant se met en place dans le monde occidental.
Seul l’UDC a su préserver sa santé mentale dans cette épidémie de démences, propagées par des Démocrates américains.
Ces réactions disproportionnées ont fait bien plus de dégâts à notre civilisation que la covid elle-même.

« Toute réalité implique par elle-même une limite. Ce qui n’existe pas du tout n’est jamais limitable. C’est pour cela qu’il y a affinité entre le totalitarisme et le mensonge. »

De Simone Weil (1909-- 1943).

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Réuni en séance numérique aujourd’hui, le comité de l’UDC Suisse s’est clairement prononcé pour

– que le confinement soit immédiatement levé;

– que les groupes à risque soient enfin protégés de manière ciblée et efficace afin que le reste de la population puisse travailler et vivre le plus librement possible tout en respectant les concepts de protection;

– qu’un approvisionnement suffisant en vaccins soit immédiatement assuré et que la campagne de vaccination de la population soit accélérée.

En vue de la votation populaire du 7 mars prochain, le comité de l’UDC Suisse recommande aux délégués d’approuver les trois objets soumis au peuple.

La politique Covid-19 du Conseil fédéral sous la conduite du ministre de la santé Alain Berset ne se justifie absolument plus compte tenu de la baisse du nombre de contaminations. Au lieu de protéger efficacement contre la contagion les groupes à risque qui sont le plus souvent parfaitement identifiables, le Conseil fédéral préfère enfermer l’ensemble de la population pendant des mois. Cette politique a entraîné pour toute la population une fatale perte de perspectives. La situation actuelle est précaire:

  • le nombre de dépressions augmente; les institutions et services psychiatriques annoncent une augmentation massive des cas et les établissements psychiatriques pour les jeunes affichent fréquemment complet.
  • le nombre de cas de violences domestiques a fortement augmenté. L’hôpital pédiatrique de Zurich annonce un nombre exceptionnellement élevé de cas suspects de mauvais traitements d’enfants. Selon cet établissement, la majorité des enfants maltraités sont les victimes de violences physiques et sexuelles. Les experts expliquent ce développement par les mesures Covid-19 du Conseil fédéral, soit en particulier la fermeture des écoles, le travail à domicile obligatoire et le confinement, ainsi que par les difficultés financières qui en résultent pour les familles.
  • le confinement provoque la perte de milliers de places de travail et de formation. D’innombrables personnes n’ont plus de perspectives et sont désespérées. Certains signes semblent indiquer une forte progression des suicides ou des tentatives de suicides.
  • l’interdiction des réunions privées provoque la solitude de nombreuses personnes; la vie associative, qui offrait autrefois un repère à beaucoup de gens, est détruite.

A ces graves dommages sociaux et psychiques provoqués par la politique Covid-19 s’ajoutent les pertes économiques. Le confinement coûte les contribuables suisses 144 millions de francs par jour. La conséquence de cette politique du marteau-pilon est un accroissement de la dette publique. Selon des estimations d’experts, l’endettement brut de la Confédération pourrait atteindre 130 milliards de francs, approchant ainsi le sommet de l’endettement public suisse de l’année 2005. Il est dès à présent prévisible que la population laborieuse, donc la classe moyenne, devra passer deux fois à la caisse pour payer la politique Covid-19 du Conseil fédéral: aujourd’hui en raison des pertes financières et des restrictions qui rendent les gens malades et plus tard à cause de la hausse des impôts.

Trois fois oui le 7 mars

Dans la perspective des votations fédérales du 7 mars, le comité de l’UDC Suisse recommande aux délégués d’approuver l’initiative populaire pour l’interdiction de se dissimuler le visage, la loi sur les services d’identification électronique (LSIE) et l’accord de libre-échange avec l’Indonésie. Le comité a par ailleurs décidé que le projet de loi e-ID ferait l’objet d’un débat contradictoire à l’assemblée des délégués de demain. Ainsi, les délégués adopteront également le mot d’ordre du parti concernant cet objet.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/le-confinement-doit-etre-immediatement-leve/

 

 

Communiqué de presse UDC: Pour revenir à la normalité il faut imposer des tests généralisés

Il faut que le Conseil fédéral décide lors de sa séance de demain de lever le confinement national qui frappe les magasins et les restaurants, mais en maintenant les concepts de protection. Parallèlement, les tests Covid-19 aux frontières doivent être renforcés. L’UDC s’engage pour une protection efficace des personnes particulièrement menacées, mais sans pour autant détruire l’économie et le commerce, faute de quoi la Suisse s’expose à des dommages incommensurables et durables pour la santé des habitants et l’économie.

Tous les indicateurs clés concernant le coronavirus ont nettement baissé: le nombre de personnes infectées, le taux de mortalité et ledit taux de reproduction (R). En même temps, les coûts des mesures édictées par le ministre de la santé Alain Berset et la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral atteignent des montants incommensurables: l’actuel confinement coûte 6 millions de francs d’argent des contribuables par heure, soit environ 8,5 milliards de francs jusqu’à fin février – et c’est sans compter les dommages économiques provoqués par la politique du marteau-pilon pratiquée par le Conseil fédéral. Partant de ces constats, l’UDC adresse avec insistance les revendications suivantes au Conseil fédéral en vue de sa séance de demain:

  • les magasins et restaurants doivent immédiatement rouvrir leurs portes;
  • les écoles doivent rester ouvertes pour l’enseignement en classe;
  • des concepts de protection efficaces doivent enfin être mis en place au niveau national dans les homes pour personnes âgées et les homes médicalisés;
  • des contrôles systématiques et des tests doivent être immédiatement imposés aux frontières pour les voyageurs entrant en Suisse;
  • les tests doivent être étendus aux exploitations de production et, d’une manière générale, aux entreprises ainsi que, dans une deuxième étape, aux manifestations culturelles et sportives;
  • en cas de résultat négatif du test, les règles de quarantaine doivent être assouplies;
  • la vaccination de la population doit être accélérée.

Le taux de reproduction R étant tombé en dessous de 1, la poursuite du confinement ne se justifie plus, également selon les propres critères du Conseil fédéral. Pour rappel: en décembre le Conseil fédéral avait annoncé des exceptions pour les cantons affichant un taux R inférieur à 1.

Echec mortel de la politique

L’UDC s’engage depuis des mois pour une stratégie de lutte efficace et proportionnée contre le virus, mais sans pour autant détruire l’économie et le commerce et sans provoquer des problèmes sociaux massifs. La priorité doit être donnée à la protection des personnes particulièrement menacées, donc les personnes âgées et celles ayant de graves antécédents médicaux. Le Conseil fédéral a commis la faute d’ignorer l’appel réitéré de l’UDC en faveur de concepts de protection efficaces dans les homes pour personnes âgées et les homes médicalisés. Avec la conséquence tragique que l’on sait: plus de la moitié des décès liés à la pandémie de Covid-19 sont à déplorer précisément dans ces institutions.

On ne saurait pas non plus sous-estimer les conséquences psychiques du confinement notamment pour les jeunes gens. Les dépressions et autres maladies psychiques, pouvant aller jusqu’au suicide, se multiplient à la suite du confinement.

La majorité de la population soutient l’UDC

La majorité de la population soutient les positions de l’UDC. Preuve en est le dernier sondage de l’observateur Covid-19 de la SSR: « Le week-end avant la décision correspondante du Conseil fédéral, 56% des personnes interrogées se sont opposées à la fermeture des magasins qui ne servent pas à couvrir les besoins quotidiens. » Voilà le principal résultat de cette enquête. Une « majorité évidente » de la population suisse est également contre les fermetures des écoles.

En mars 2020 déjà, l’UDC avait présenté une stratégie claire de lutte contre la pandémie de Covid-19. Ses principaux objectifs étaient la « protection des groupes à risque » et la « défense rigoureuse des intérêts des citoyennes et des citoyens ainsi que des arts et métiers ». Si les autorités appliquaient enfin strictement les exigences de l’UDC, la propagation du virus pourrait être efficacement combattue. Il s’agit notamment des points suivants:

  • protéger les personnes menacées
  • mettre en place des concepts de protection efficaces dans les homes pour personnes âgées et homes médicalisés
  • imposer des tests systématiques aux frontières
  • procéder à des tests réguliers et ciblés dans les hôpitaux, les homes, les écoles et les entreprises de production

L’UDC invite avec insistance le Conseil fédéral à prendre enfin ces mesures efficaces contre la pandémie et à lever immédiatement le néfaste confinement.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/pour-revenir-a-la-normalite-il-faut-imposer-des-tests-generalises/

Ce n’est pas un confinement pour les restaurateurs, c’est une mise à mort !

Ce n’est pas un confinement pour les restaurateurs, c’est une mise à mort. Ils ne pourront pas supporter quatre mois de confinement, c’est une mise à mort de tout un pan de l’économie française !
On peut rouvrir les commerces, y compris les restaurants, qui ont été les premiers à respecter de façon très stricte le protocole sanitaire.
On peut très bien accueillir la moitié des clients, accueillir en terrasse puisqu’elles sont chauffées, à moins que les Verts ne nous fassent un caca nerveux sur ce sujet.

 

 

 

CRISE DU COVID : “LES RÉSIDENTS D’EHPAD ONT L’AIR DE MORTS-VIVANTS”

Sabrina Deliry demande à avoir le droit de rendre visite à sa mère, pensionnaire d’une Ehpad publique du 15ème arrondissement, reconfinée depuis l’apparition de cas de Covid au mois d’août.
Sans minimiser le virus, elle alerte sur le risque que représente l’isolement pour les personnes âgées qui peut provoquer un syndrome de glissement. Elle prévient : “Le Covid est extrêmement dangereux et il faut protéger nos parents en Ehpad. Mais l’isolement et cet enfermement strict, loin de leurs familles, c’est tout aussi désastreux.
C’est un véritable tsunami dévastateur pour eux. Ils ont besoin de ce contact parce que c’est la seule raison de vivre qu’ils ont.
Ces contacts avec les gens qu’ils aiment.” Bien connu des soignants, le syndrome de glissement peut conduire une personne bien portante mais isolée à se laisser mourir en très peu de temps.
Aux morts directes de la maladie, viendraient s’ajouter des morts indirectes, psychologiques dues au confinement. Soutenue par l’association nationale des familles de victimes du covid-19 en Ehpad (FAVICOVID EHPAD), elle a remis des préconisations à des membres des cabinets ministériels, à la Santé, à Matignon et à l’Autonomie afin de permettre aux proches aidants d'accéder à leurs parents tout en respectant les précautions sanitaires.

La tendance suicidaire des seniors a augmenté pendant le confinement

La tendance suicidaire chez les plus de 65 ans a augmenté de manière "dramatique" durant le semi-confinement, selon le responsable de l'antenne lucernoise de la Main tendue. Cette tendance s'est vérifiée dans toutes les régions du pays.

L'isolement du semi-confinement a beaucoup nui à la santé psychique des plus de 65 ans. [...]

article complet: https://www.rts.ch/info/

Confinement démocrate au Michigan : coiffeurs interdits, bar gay autorisé

Une plainte a été déposée contre la gouverneure démocrate du Michigan, Gretchen Whitmer, par plusieurs petits entrepreneurs qui lui reprochent d’autoriser ou interdire l’ouverture d’entreprises comparables de manière arbitraire et injuste.

Ainsi, dans la ville d’Owosso, un coiffeur de 77 ans, Karl Manke, s’est vu retirer sa licence et se retrouve sans revenu. Il avait d’abord fermé son salon conformément aux ordres de confinement, les salons de coiffure étant considérés comme « non essentiels ». Mais comme le confinement s’éternisait et qu’on lui refusait les allocations de chômage, il a été contraint de réouvrir. Les clients affluaient et lui-même prenait toutes les précautions sanitaires nécessaires. Il est maintenant menacé d’arrestation et doit se présenter au tribunal le 6 juin.

Pour le soutenir, des dizaines de coiffeurs ont organisé un salon de coiffure en plein air devant le Capitole de l’État du Michigan. Ceux qui ont refusé de quitter les lieux ont reçu des amendes de 500 dollars.

En même temps, un bar gay/trans/bi de Lansing, la capitale de l’État, figure sur la liste des services « essentiels » et peut donc ouvrir. Il est doté de tout le nécessaire, y compris des trous dans les parois pour copuler en tout anonymat. Par contre il n’annonce aucune mesure de protection contre le coronavirus.

Résumé Cenator

Sources :

Clownworld: Gay Sex Club Operates as ‘Essential Business’ in Michigan While Barbers Face Jail Time for Cutting Hair

Michigan Governor: Gay BDSM Club With ‘Glory Holes’ Is ‘Essential’ Service

Gretchen Whitmer Allows Gay Swinger's Club to Operate While Barber Loses License

Department of Justice Gets Involved in Fight Against Michigan Governor’s Irrational Restrictions

Militia Mobilizes to Block Arrest of 77-Year-Old Michigan Barber Who Reopened

Michigan Cops Issue Misdemeanors, Fines to ‘Disorderly Persons’ Giving Haircuts at State Capitol

France. Confinement : S’arrêter en marchant sans raison valable peut vous coûter 135 €

Jeudi 23 avril 2020. Si la sortie pour l’exercice quotidien est autorisée, elle ne signifie pas que l’on puisse s’arrêter, même quelques minutes, et discuter avec des connaissances, en respectant les consignes. Un couple de l’Orne, en Normandie près de La Ferté-Macé, et Gorron (Pays de la Loire) en a fait l’amère expérience dimanche 12 avril 2020.

« Le dimanche de Pâques, un couple de septuagénaires de Domfront entreprend de s’accorder une petite marche, raconte un habitant. Une patrouille de gendarmerie passant dans les parages s’arrête et contrôle le couple. Au niveau des attestations de déplacement dérogatoire, tout est en règle ».

Une troisième personne

Cependant, il est établi que le couple s’est arrêté et qu’il discutait avec une troisième personne en train de faire du sport dans son jardin. Les gendarmes sanctionnent d’une amende de 135 €, car le fait de rester statique pendant sa pause, sans raison valable est verbalisable.

« Si nous ne sanctionnons pas ceux qui prennent une pause pendant leurs sorties, alors, au bout d’un certain temps, trop de personnes en viendront à le faire, et les opportunités de discussion se multiplieront. Du coup, le confinement ne sera plus respecté ».

Sanction

C’est pourquoi l’une des personnes du couple a été sanctionnée. « Nous avons fait preuve de compréhension. Nous aurions pu demander deux amendes, une pour chaque personne du couple, voire trois, en ajoutant aussi celle de la personne qui faisait du sport. Nous ne l’avons pas fait. Chacune de nos actions est soumise à l’appréciation de l’agent. Nous avons considéré qu’une seule suffisait. Deux ou trois, cela aurait été excessif »

[...]

Actu.fr/normandie / Yahoo.com


Rappels :

Banlieues françaises : « Rien n’a changé avec le Coronavirus, il y a toujours le marché. C’est les vacances. »

Mantes-la-Jolie (78) : la police victime d’une embuscade se retrouve face à un groupe d’environ 80 émeutiers

Confinement : dans le Calvados, la police appelée à la retenue pendant le ramadan afin d’éviter qu’une entorse au confinement ne dégénère

Confinement en banlieue : les patrouilles de police ont reçu des consignes pour agir avec «discernement»

France. Grigny : Pompiers, hélicoptère et policiers caillassés et visés par des mortiers

18/04/2020


13/04/2020

Le quartier de Grigny 2 était sous tension ce week-end. Dans la nuit du vendredi 10 au samedi 11 avril […] Dans la nuit du samedi 11 au dimanche 12 avril, de nouveaux incidents ont eu lieu. Cette fois des tirs de mortier en direction d’un hélicoptère de la police ont eu lieu durant une intervention de sécurisation. […] Parmi les forces de l’ordre, nombreux sont ceux qui craignent une poussée des tensions si le confinement venait à durer et à continuer à assécher le business des trafiquants.

Le Républicain


11/04/2020

Des pompiers et des policiers ont une nouvelle fois été attaqués dans la nuit de vendredi à samedi, cette fois à Grigny dans l’Essonne.

 


 

via Fdesouche

 

La logique implacable d’Orban pour affronter la levée du confinement

Viktor Orbán à la radio Kossuth (3 avril 2020)

La journaliste salue Orban en annonçant la nouvelle du jour concernant la pandémie : Le nombre des personnes infectées augmente en Hongrie de 10% chaque jour. La courbe est assez plate, nous avons à ce jour 623 malades et 26 morts.

Orban : Parallèlement à la lutte contre le coronavirus, les forces de défense aux frontières ne lâchent rien. Bien que nous ayons réservé un couloir humanitaire, plus personne ne peut pénétrer dans notre pays de façon illégale.

Une très grande vague infectieuse est devant nous mais nous y sommes préparés. Le problème vient du fait que nous n’avons pas de vaccin. Il n’y a alors pas d’autre solution que le ralentissement du processus d’infection et la préparation à la grande vague. Les meilleurs scientifiques travaillent d’arrache-pied dans le monde entier pour tuer le virus, notre devoir, c’est que le pays soit prêt à affronter la guerre qui va arriver. On peut en mourir, donc on doit lutter pour la vie de chaque hongrois, on doit s’adapter aux vagues successives qui vont encore arriver, on doit survivre.

Actuellement, toutes les équipes sont en place partout. L’armée, les productions alimentaires, les transports, les camions, les soins.

L’aspect psychologique du confinement est aussi lourd pour la population. Pour les mamans à domicile qui coachent leurs enfants car, par peur, les parents n’envoient pas leurs enfants à l’école, même pas dans les groupes à effectif réduit.
Pour les personnes âgées le confinement est particulièrement pénible car la solitude est plus pénible avec l’âge. Malgré cela, toute la population se comporte d’une manière très disciplinée.
Les contacts humains sont particulièrement importants durant les fêtes de Pâques à venir, nous avons nos coutumes d’arrosage, les familles se réunissent.

D’ici mercredi, Orban va annoncer les mesures pour un retour à la vie normale car cet état contre nature ne peut pas durer.

« A Pâques nous allons nous tourner vers Dieu, et penser à la manière dont nous allons nous organiser pour la suite de notre vie. »

Orban rappelle un dicton de la période communiste :
Qu’est-ce qu’il va nous arriver ? Nous savons ce qui va arriver mais pas ce qui va arriver jusqu’à ce qu’il va arriver. Cela voulait dire que nous savions toujours qu’un jour nous allions chasser les soviétiques et les communistes du pouvoir mais nous ignorions ce qui allait arriver d’ici là. Maintenant, nous ne savons pas ce qui va arriver jusqu’à l’arrivée du vaccin. Cela pourrait prendre une année, une année et demie. Nous ne pouvons pas rester confinés. Notre ennemi, le virus est sournois, invisible. La pause de Pâques nous servira de réflexion pour affronter nos peurs.

Nous avons deux ennemis : le virus et la peur du virus. Pour vaincre les deux, nous aurons besoin du courage du peuple hongrois. Pour beaucoup de personnes qui n’ont pas le choix, pour qui aller au front est une obligation, les soignants, les personnels du commerce, les employés des services qui fonctionnent, tous ces gens ont dû vaincre leurs peurs. Nous allons tous prendre exemple sur eux, et affronter nos peurs, selon un plan que je vais présenter à la population d’ici mercredi. Nous allons affronter l’ennemi.

Après Pâques, nous allons réaménager  notre pays jusqu’à l’arrivée du vaccin. Et de nouveau, la vie sera supportable en Hongrie.

Actuellement, tout l’équipement pour nous défendre contre le virus est arrivé par les avions successifs venant de la Chine, de la Turquie. Nous avons reçu l’aide nécessaire de l’Est.
De l’Ouest, nous avons reçu des attaques et des condamnations. Je ne fais pas de cela une question d’idéologie, c’est un fait, cet aspect était très important dans cette période préparatoire de l’explosion de la pandémie. Nous avons reçu les machines pour la fabrication des masques (ndlr : les prisons hongroises se sont équipées depuis des semaines pour pouvoir fabriquer des masques. Le lois hongroises rendent le travail  obligatoire dans les prisons, ainsi il ne reste plus beaucoup d’énergie aux prisonniers pour organiser des émeutes, comme à Champ d’Ollon.)

Orban : Nous avons assez d’appareils respiratoires, nous bâtissons un énorme hôpital et nous en transformons d’autres. Il faut une planification militaire pour cela. On ne peut pas éviter que les soignants tombent malade à leurs tours. Nous avons maintenant la loi permettant de les remplacer obligatoirement. Cela est formulé d’une manière plus élégante dans la loi, on parle d’invitation, mais en réalité, c’est une obligation. C’est la loi sur la réorganisation des forces de soins.

110 collèges sont équipés pour les malades, ce qui a créé 18'800 places. 50 hôtels sont réaffectés pour accueillir les malades. Cela représente 5661 places. 10’000 hôpitaux ont été réaménagés dans tout le pays, les transports, les camions réaffectés. C’est un projet militaire.

Pendant ce temps, Bruxelles ne s’occupe pas de sauver les vies humaines, ni du virus. Quel genre d’êtres humaines sont-ils là-bas ? Ici, la mort de chaque Hongrois nous fait mal, notre devoir, c’est de sauver des vies. Mais la mode bruxelloise est différente. Ils sont assis dans leurs bulles, distribuent des leçons, au lieu de sauver des vies.

Le plus important pour nous, ce n’est pas de leur permettre de nous laisser dévier de nos devoirs, de déployer toutes nos énergies pour arriver à nos buts. Ne nous laissons pas provoquer, énerver, nous allons retenir nos indignations justifiées.

[...]

Puis, Orban parle des compensations salariales que vont toucher tous ceux qui travaillent durant le confinement.

Journaliste : La Roumanie a suspendu le Parlement et l’application des Droits de l’Homme durant la crise. Cela ne pose pas de problème à Bruxelles. Pourquoi la Hongrie dérange-t-elle ? Alors que le Parlement fonctionne et qu’elle a les mains libres jusqu’à la fin de la pandémie.

Orban : Le parlement de Roumanie et le P.E. dirigent par internet. En Hongrie, on ne débat pas que du coronavirus, le Parlement continue son travail habituel, 15-16 lois sont en élaboration.

Concernant les attaques prétendant que le gouvernement hongrois aurait profité de la crise pour introduire des lois totalitaire, Orban répond ainsi : Le premier ministre français a plus de droits en temps de paix que la loi de crise hongroise donne au Parlement durant cette période. Ceux qui critiquent cette loi, ne sont pas nos adversaires mais nos ennemis. C’est une attaque politique qui vient du réseau Soros et de leurs alliés au P.E. Certains salivent à l’idée de piller la Hongrie et de racheter nos richesses, ce sont des hommes de Soros qui nous critiquent.

Journaliste : Comment garder des emplois ? Une crise économique à l’échelle mondiale, et sûrement à l’échelle européenne.

Orban : Quand je jouais encore au foot, Jenö Làszto était notre entraineur - paix à son âme – il était venu au vestiaire avant le match et nous a dit: toi, tu seras l’attaquant de droite, toi, de gauche, etc.

L’un de nous a demandé : Mais qui fera la défense ?

Notre entraineur a répondu : Ce seront nos adversaires !

J’ai toujours gardé cela en tête.
Nous ne voulons pas nous défendre contre cette crise mais nous l’attaquons. Ce qui signifie que nous n’allons pas abandonner nos buts communs. Les circonstances ont changé, par conséquent on adapte le chemin et les outils pour obtenir et arriver à nos buts.
Je ne veux pas que notre pays retourne à l’époque des prêts, des emprunts à l’étranger. A la fin des aides, le crédit signifie endettement, aide-aumône. Finalement, il y a toujours une perte d’autonomie, une vie humiliante, à la merci des autres. Nous n’allons pas abandonner nos buts. Nous voulons une économie basée sur le travail, pas sur la dépendance.

Journaliste : Oui, mais à présent, nous avons besoin de changements fondamentaux.

Orban : Oui, sur ma page Facebook, j’ai publié notre échange avec Mihaly Varga, le ministre de l’économie. Nous avons élaboré en concertation avec la Banque Nationale, la Chambre du commerces, les grands économistes du pays, des partenaires de l’économie, un projet de sortie de crise. Le résultat donne de l’espoir, d’ici mercredi, le gouvernement va communiquer à la population des résultats de ce travail.

Nous allons créer autant de places de travail que le virus en a détruit. Il ne faut pas distribuer de l’argent mais il faut créer des places de travail.

Journaliste: Même la presse d’opposition a admis que le gouvernement avait raison.

Orban : Je distribue volontiers de l’argent mais où vais-je le trouver ? Tout le monde parle des fonds européens. Je ne vois pas un centime arriver ! L’argent gratuit, ça n’existe pas ! On ne peut distribuer que ce qu’on doit tôt ou tard produire. Si on commence par distribuer, on devra financer après coup ce qui a été distribué. Que la société puisse recevoir gratuitement, sans effort, de l’argent public, le monde n’a jamais vu cela.
(Ndlr : Orban ne connaît pas la gauche délirante occidentale qui est prête à sacrifier totalement la classe moyenne, l’économie en faisant croire que l’argent pousse sur les arbres, ou qu’il suffit de le prendre chez les « riches », puis de le distribuer pour acheter l’électorat. Le revenu universel, l’arrosage prévu pour remédier à la crise covid-19, l’aide aux clandestins, aux envahisseurs, aux prostituées, aux artistes subventionnés, aux médias-propagande, aux trafiquants de drogue, etc.. tout cela fait partie de « l’aide » destructrice de la gauche)

Orban termine: Les dettes, oui, mais à la fin on doit payer le prix de la dette. Et la règle est la suivante : la dette va coûter bien PLUS que l’effort nécessaire pour produire les biens dont nous avions besoin. C’est une loi que la vie m’a apprise.

Traduction libre : Cenator

*****

Réponse d'Orban aux attaques de Bruxelles

 

Ce n'est qu'après la fin de l' état d’urgence que le Premier ministre hongrois se dit prêt à débattre au sujet de ce que certains «fantasment» concernant ses intentions.

Le Premier ministre Viktor Orbán a envoyé une lettre à Antonio López-Istúriz White, secrétaire général du Parti populaire européen (PPE), après que treize membres du PPE aient réclamé, jeudi, l'expulsion immédiate de Fidesz du PPE.

Dans une lettre publiée sur Twitter par Katalin Novák, le Premier ministre s’est exprimé ainsi: le monde est totalement chamboulé, c’est pourquoi les premiers ministres et les présidents de partis se concentrent sur la prise de mesures efficaces et rapides pour protéger les citoyens.
Je peux difficilement imaginer qu’aucun d’entre nous ait le temps de fantasmer sur les intentions des autres pays. C’est un luxe trop cher de nos jours.

Orbán a écrit, ajoutant: "Je n'ai pas le temps pour ça."

Le Premier ministre a poursuivi en disant qu'il n'était disposé à discuter de cela qu'après la pandémie et qu'il recommandait également à d’autres de faire pareil.

source: https://twitter.com/KatalinNovakMP/status/1246017868950581249

 

https://twitter.com/katalinnovakmp?lang=fr

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