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‘Marta Pardavi, coprésidente du Comité Helsinki en Hongrie, une ONG spécialisée sur les droits de l’homme (et cofinancée par l’Open Society Foundations de George Soros), explique le vrai problème aux lecteurs français du Figaro…’
Bien sur, il faut que la presse française obtienne ses informations sur Orban de la part de Soros et ses acolytes. Mais quand il y a des histoires sur l’influence de Soros sur des institutions européenes on entend pas grand chose de la presse. C’est la presse française entière qui a besoin de faire une revue de leurs propres publications.