Bologne. Violences et passages à tabac : Le gang pakistanais “AK 47” a été dissout (Vidéo)

Le gang AK-47, qui est responsable ces derniers mois d'épisodes de violence dans la région de Bologne, a été dissout. Le gang était composé de jeunes Pakistanais, dont certains étaient mineurs.

Les enquêtes menées également sur les réseaux sociaux ont permis de vérifier l'existence d'une véritable organisation qui s'identifie grâce à l'utilisation du hashtag "AK-47-gang" [NDLR: nom porté en référence au fusil d'assaut russe].

 

 

Ils sont accusés d'avoir planifié et perpétré au moins deux agressions, dont l'une ressemble à une véritable expédition punitive, à l'aide d'armes tranchantes et d'autres armes contondantes.

Le premier épisode remonte à août 2019, lorsqu'un jeune Roumain est attaqué et poignardé dans le dos. Heureusement, il ne décède pas. [...] La police a identifié les deux auteurs de l'attaque, deux Pakistanais majeurs et dix autres personnes présentes sur les lieux.

Cependant, le "gang" aurait au moins une autre agression à son actif. Cette fois, les victimes sont trois Pakistanais. En décembre 2019, un homme de 20 ans est contacté sur Facebook par des profils qui lui ordonnent de rompre sa relation avec une fille de la même ethnie. Pour résoudre le problème, ils se donnent rendez-vous aux Jardins de Corticella, dans la banlieue de Bologne. Le jeune homme se présente avec deux amis, mais il n'a aucune idée de ce qui va se passer. En fait, les trois hommes font face à 15 compatriotes armés de poings américains, de couteaux et de chaînes. Ils sont encerclés, massacrés et dévalisés. Le malheureux amant et l'un des deux amis ont pu guérir de leurs blessures en 15 jours. Le troisième est parvenu à se réfugier dans un bar.

Le commissariat et la police postale se sont immédiatement mis sur la piste du gang. En scannant TikTok, Facebook et Instagram, les agents ont pu retracer 10 profils qui peuvent être rattachés aux agressions.

Une vidéo sur TikTok a trahi le gang. On y voit certains des suspects exultant dans des voitures avec une musique de fond et les mots "AK-47-gang", Italie-Bologne" inscrits.

 

 

Et c'est précisément ce "AK-47" qui permet d'identifier d'autres corrélations entre tous les profils, caractérisés par ce signe d'appartenance. Les photos et vidéos issues de ces identités virtuelles permettent d'identifier les suspects, grâce aux descriptions des victimes et à l'utilisation d'un logiciel de reconnaissance faciale : certains des membres ont également fait tatouer sur leurs avant-bras ce fusil automatique, symbole du groupe.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Tgcom24.mediaset.it / Ilgiornale.it


Rappels :

Ursula Von der Leyen veut répartir les migrants dans toute l'Europe de manière obligatoire

Ursula von der Leyen veut “construire une Union véritablement antiraciste” et s’attaquer “aux préjugés inconscients”

Allemagne : Ralf, 19 ans, poignardé dans le dos par un Pakistanais qui passait derrière lui… Il a expliqué vouloir “tuer quelqu’un” pour obtenir un titre de séjour

Pakistan : La colère enfle contre la Une de Charlie Hebdo. « Cessez d’aboyer, chiens français »

Pakistan : “Violée, séquestrée et mariée de force”, une chrétienne âgée de 14 ans a réussi à s’échapper du joug de son tortionnaire musulman

Grèce : Violents affrontements entre 200 Pakistanais et une trentaine de Grecs, qui voulaient venger une femme agressée sexuellement par un Pakistanais

 

 

Bologne. Projet d’art urbain féministe : “La norme hétéro est un concept colonial”

NdLR : la photo d'article clame que "la norme hétéro est un concept colonial médiocre"

A Bologne "La lotta è fica" ("la lutte est un vagin") avec l'initiative artistique féministe, antiraciste, body et sexe-positive promue par le collectif Cheap :

25 affiches collées sur les murs et les arcades de la rue Indipendenza pour donner une touche de couleur aux combats menés par les femmes, pour les femmes, à travers des œuvres créées par des auteurs et des artistes de rue qui dénoncent la discrimination de genre et la violence domestique.

[...]

Corps et esprit, physique et nu, tabous transgressés, yeux ouverts sur l’univers transgenre dans un ensemble créatif, aux couleurs de l'arc-en-ciel.

 

"Comme ça (si j'ai envie)."

Vingt-cinq dessinateurs, graphistes, peintres, illustrateurs et artistes, utilisant différents supports issus de leur parcours professionnel et personnel, racontent sous différents points de vue les luttes socioculturelles pour la conquête des droits. Tous liés par le trait d'union du transféminisme. Il s'agit de la première exposition en plein air dans la ville après le confinement forcé dicté par Covid-19, conçue et organisée par l'association d'art public "Cheap", née sous la forme d'un festival et fondée par 6 femmes dans la capitale de l'Emilie-Romagne il y a 7 ans.

[...]

Selon l'association "Cheap", "repartir du féminisme n'est qu'un acte de bon sens" pour lutter contre le sexisme et le masculinisme rampants, ainsi que contre le fléau xénophobe."

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Ilmessaggero.it / Frizzifrizzi.it

 

 

Italie. Fête islamique du sacrifice. Encore des tortures sur les animaux : un nouveau cas à Bologne avec des Tunisiens

Nous nous trouvons dans le petit village de Bentivoglio, à Bologne. Les deux Tunisiens sont sur la place centrale de l'interport (centre de chargement) lorsqu'ils commencent à pratiquer le rituel cruel, égorgeant les deux animaux. Mais un agent de sécurité remarque les deux migrants et signale immédiatement le cas [...]. Les deux "bouchers clandestins" voulaient profiter du fait que les entreprises soient fermées durant les vacances et pensaient qu'ils passeraient inaperçus.

Surpris par les carabiniers, les deux Tunisiens sont étonnés d'avoir des problèmes. Pour eux, il semble normal d'égorger les animaux sans étourdissement pendant la fête islamique du Sacrifice. En Italie, cependant, l'abattage clandestin est un crime.

Mais cette affaire n'est que la dernière d'une longue série. Toujours ces derniers jours, les carabiniers de Martino, dans la région de Bologne, ont surpris deux Marocains avec deux moutons : l'un immobilisé dans le coffre avec les jambes attachées, un autre sous le capot. Les deux migrants n'ont pas été en mesure d'expliquer d'où provenaient les deux animaux, n'étant pas en possession des documents d'origine. Ils ont également reçu une plainte, cette fois pour mauvais traitements infligés à des animaux.

Hier, cinq individus ont été arrêtés dans la province de Florence. Ils auraient procédé à des abattages clandestins, en massacrant plusieurs moutons et chèvres.

La fête islamique du Sacrifice

A l'occasion de cette fête, les musulmans sacrifient un mouton. Celui-ci est égorgé lors d'un rituel précis. Tout ceci, cependant, a lieu sans étourdissement préalable de l'animal. Par la suite, la viande est divisée de préférence en trois parties égales, dont l'une doit être consommée immédiatement par les membres de la famille.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Ilgiornale.it

Italie. Bologne : la police municipale prendra des cours d’antiracisme avec un responsable musulman

Un cours de formation antiraciste pour les agents de la police de Bologne. C'est la tâche confiée par la municipalité à l'association Eos, qui organisera pendant un an des ateliers et des séminaires à l'intention des officiers de police municipaux sur le thème des différences et de la société multiculturelle. Parmi les professeurs figurent également le président de l'UCOII et de la communauté islamique de Bologne, Yassine Lafram, et le numéro un de l'Association italienne des Roms de Bologne, Luigi Chiesi, ainsi que Marina Pirazzi, fondatrice d'EOS. Le projet coûtera un peu moins de 5 000 euros.

Dans le Plan local contre la discrimination, la municipalité de Bologne avait prévu "des activités de formation spécifiques à l'intention du personnel sur le thème des différences et de la société multiculturelle", de manière à "développer" un projet de formation pour le personnel de la police municipale, concernant l’organisation des services de police locaux dans une société transculturelle ".

La première phase du projet devrait débuter dans les prochains jours: un questionnaire sera distribué aux agents et aux agents de police municipaux. Sur cette base, un programme d'ateliers et de séminaires sera mis en place. Il devrait commencer en janvier et devrait être terminé au printemps 2019. En septembre suivant, les séminaires porteront sur des thèmes tels que "la discrimination directe, indirecte et institutionnelle" ou "le poids des stéréotypes et des préjugés et le poids du système de discrimination institutionnelle", mais aussi sur "le respect des droits de l'homme dans la police et les obligations éthiques et professionnelles de ne pas discriminer à l'intérieur et à l'extérieur de la police et de promouvoir l'égalité des chances.

(...)

Bolognatoday.it

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Italie : Rupture du Ramadan directement dans les rues de Bologne. “C’est un enrichissement.” (Vidéos)

Il y avait le maire, Virginio Merola, qui a reçu l'inscription "Bologne" écrite en arabe et un passage du Coran.

 

 

Mgr Matteo Maria Zuppi, l'archevêque métropolitain parle d'un seul Dieu unique.

"Bologne accueille et s'enrichit, en réunissant les différences de ses citoyens"

 

 

 

 

Source

Source2

 

Nos remerciements à Ester Piera Zuercher-Camponovo

Viol collectif à Rimini par des Africains: un médiateur pour migrants déclare que « la femme a du plaisir durant le viol ».

Suite au viol horrible et à l'attaque qui ont été commis par des Maghrébins à l'encontre d'un couple polonais dont nous parlions déjà ici.

**********

"C'est mauvais seulement au début, puis la femme se calme et c'est un rapport normal."

L'auteur de ces paroles, Abid Jee, a été suspendu. L'individu âgé de 24 ans travaille depuis 2016 dans une coopérative sociale de Bologne qui s'occupe de la gestion des migrants et il fait des études de droit.

Le conseiller de la sécurité sociale de Bologne déclare: «Des paroles incompatibles avec son rôle. Je connais la coopérative Lai-Momo pour le sérieux du travail qu'elle accomplit.

A présent, je m'attends à ce que des mesures immédiates soient prises "

 

21151596_1845813102400011_9073947582748078334_n

 

"Le viol? C'est mauvais seulement au début, une fois que la bite est entrée, la femme devient plus calme et elle apprécie comme un rapport sexuel normal". Ce sont les mots de Abid Jee, médiateur culturel de Crotone âgé de 24 ans, des termes utilisés pour commenter hier sur Facebook la violence d'un groupe sur une plage de Rimini à l'encontre d'une femme polonaise.

L'information a été signalée par le Quotidiano Nazionale. Le jeune homme, un employé de la coopérative sociale bolognaise Lai-Momo travaille à l'accueil des migrants.

(...)

Source Via CivilWarInEurope

Traduction de la deuxième source Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch