La photo virale montre l'homme avec son genou sur la nuque d'un enfant, qui semble pleurer. Une deuxième personne sur la photo tient les mains de l'enfant derrière son dos. La photo est accompagnée du texte : "Blm now" [NDLR : le texte est suivi de la mention "mf", c'est-à-dire "Black Lives Matter now motherf***er"].
La photo semble mimer l'intervention des policiers de Minneapolis lors de l'arrestation de George Floyd qui a entraîné sa mort le 25 mai dernier.
Les enquêteurs du comté de Clark ont déclaré qu'ils enquêtaient sur le message, mais aucune arrestation n'a été effectuée et aucune accusation n'a été portée.
La grand-mère paternelle de l'enfant a écrit sur Facebook que la photo a été prise il y a deux jours alors que l'enfant de deux ans était avec sa mère. Celle-ci sort avec un individu du nom de Jackson. Elle a déclaré au site The Gateway Pundit.com que son fils n'a pris connaissance (de cette photo) qu'hier matin.
La grand-mère, que le site The Gateway Pundit.com a choisi de ne pas nommer pour la sécurité de l'enfant, nous a fourni des captures d'écran de conversations dans lesquelles la mère a tenté de justifier la photo, traitant la personne d'"ignorante" et prétendant qu'"il ne lui faisait pas de mal". Elle a également affirmé qu'elle n'était pas présente lorsque la photo a été prise.
La grand-mère, très en colère, a affirmé que l'enfant était maintenant en sécurité avec son fils.
"Mon fils est plus qu'énervé. Il a emmené son fils aux urgences pour se faire examiner et tout est rentré dans l'ordre", a-t-elle écrit.
[...]
(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
Lors d’une manifestation Black Lives Matter à Londres, un activiste métis se réclamant de la communauté LGBT a déclaré que le concept d’intersectionnalité signifie qu’il y a «un ennemi commun : l’homme blanc» et donc «nous devons nous en débarrasser.».
Dimanche, les manifestants de Black Lives Matter ont défilé de Marble Arch à Hyde Park à Vauxhall Pleasure Gardens, où des orateurs se sont prononcés contre le racisme systémique et le capitalisme.
L’un des orateurs a déclaré que pour comprendre le mouvement, il est important de comprendre les tenants du concept sociologique de gauche d ‘«intersectionnalité».
« Vous ne pouvez pas parler d’éducation, et vous ne pouvez pas parler des problèmes des Noirs et des problèmes LGBT, et les exclure comme s’il s’agissait d’un problème individuel ; vous devez regarder cela en utilisant l’intersectionnalité », a-t-il déclaré dans une vidéo exclusive de Breitbart London.
L’orateur a déclaré que l’intersectionnalité «signifie reconnaître qu’il y a un ennemi commun : l’homme blanc. Les systèmes qu’ils utilisent sont le capitalisme, le patriarcat et le fascisme. Ils ont été créés et perpétués par des hommes blancs, pour des hommes blancs, dans l’intérêt des hommes blancs.»
Il a ajouté qu ‘«une fois que nous réalisons que nous menons tous le même combat, cela ne fait que renforcer l’armée. Un problème partagé est un problème divisé par deux. Imaginez si nous nous rendions tous compte, nous nous réunissions et nous nous regroupions ?»
«Tous ces groupes de personnes, les problèmes auxquels ils sont confrontés, tout cela vient des mêmes personnes : des hommes blancs. Nous devons donc nous en débarrasser », a-t-il dit, poursuivant en suggérant, à mi-voix, que les gens devraient « tuer les riches ».
Black Lives Matter protestor captured on film saying that white men are "the common enemy" and that "we need to get rid of them." https://t.co/2wOZZMYGeU
Une jeune mère de l'Indiana a été abattue devant son fiancé après avoir déclaré à un groupe de militants de Black Lives Matter que "toutes les vies comptent" le week-end du 4 juillet.
Jessica Doty Whitaker, 24 ans, se promenait avec son fiancé, Jose Ramirez, et deux autres personnes près de la promenade du canal d'Indianapolis vers 3 heures du matin lorsque l'un d'entre eux aurait utilisé le mot "nègre".
Un groupe de personnes a entendu le mot et une confrontation a eu lieu. Au cours de la discussion, Madame Whitaker a affirmé que "Toutes les vies comptent" alors que l'autre groupe déclarait "La vie des Noirs compte".
Madame Whitaker, infirmière à domicile, laisse derrière elle un fils âgé de trois ans
[...]
(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
Car si les manifestations très publiques de Black Lives Matter ont polarisé l’Amérique, les retombées silencieuses ont maintenant atteint Hollywood.
Une révolution est en marche. Des acteurs blancs sont licenciés. Les décrets des patrons des studios stipulent que seules les minorités – raciales et sexuelles – peuvent recevoir des emplois.
Une nouvelle vague de ce que certains qualifient de préjugés anti-blancs fait craindre aux auteurs, aux réalisateurs et aux producteurs de ne plus jamais travailler. L’un d’entre eux a décrit l’atmosphère actuelle comme « plus toxique que Tchernobyl », les principaux acteurs ayant peur de s’exprimer de peur d’être qualifiés de racistes.
Le premier signe est apparu avec l’un des plus puissants réalisateurs noirs d’Hollywood, Jordan Peele, lauréat d’un Oscar – l’homme derrière des succès au box-office tels que Get Out and Us – a déclaré en public qu’il ne voulait pas engager un acteur principal qui était blanc.
Je ne me vois pas confier le rôle principal de mon film à un blanc », a déclaré Jordan Peele. Ce n’est pas que je n’aime pas les Blancs. Mais j’ai déjà vu ce film.
Un directeur de studio a répondu en privé : « Si un réalisateur blanc disait cela à propos de l’embauche d’un acteur noir, sa carrière serait terminée en un clin d’œil. Peu de gens en doutent.
Peele est plus loquace que la plupart des gens sur sa politique d’embauche, mais son point de vue est de plus en plus répandu. Des dizaines de producteurs, d’auteurs et d’acteurs ont parlé au Mail on Sunday de la vague de « racisme inversé » qui déferle sur l’industrie.
S’exprimant sous le couvert de l’anonymat, les cadres ont confirmé que le climat était désormais toxique pour tout « homme blanc d’âge moyen dans le show-business ». Leur carrière « est pratiquement terminée ».
Ils ont poursuivi : « Nous n’embauchons que des personnes de couleur, des femmes ou des LGBT pour écrire, jouer le rôle principal, produire, faire fonctionner les caméras, travailler dans les services d’artisanat. Si vous êtes blanc, vous ne pouvez pas vous exprimer parce que vous serez instantanément qualifié de « raciste » ou condamné pour « privilège blanc ».
Jordan Peele
Le mouvement de balancier a été tellement inversé que tout le monde est paralysé par l’idée que tout ce que vous dites pourrait être mal interprété et que votre carrière s’arrête instantanément. Il y a beaucoup de conversations étouffées, mais publiquement, tout le monde est désespéré d’être perçu comme promouvant la diversité et trop terrifié pour s’exprimer. C’est l’implosion : un effondrement total ».
L’incapacité à nommer des acteurs de couleur pour les Oscars a été considérée comme une tache sur Hollywood ces dernières années. Mais il est à craindre que la correction ne soit allée trop loin dans l’autre sens – et que les industries du cinéma et de la télévision ne soient « au bord de la dépression nerveuse collective ».
Le dernier mot à la mode à Tinseltown est « Bipoc » – un acronyme pour « Black, Indigenous and People of Colour » – et « Menemy », qui signifie un ennemi blanc et masculin du mouvement pour la diversité. Tout le monde veut pouvoir cocher toutes les cases pour chaque nouvelle embauche », selon une source nominée aux Oscars.
Les réalisateurs ont normalement leur mot à dire sur les personnes qui participent à leur projet. Ce n’est plus le cas. Il s’agit de « l’embauche de Bipoc ». Et cela vient directement des directeurs de studios qui savent que leur travail est en jeu. Les hommes blancs d’âge moyen sont des dommages collatéraux. Ils sont les « Menemy ».
Un acteur d’une cinquantaine d’années qui a travaillé sur certains des plus grands spectacles de ces vingt dernières années a décrit comment, lors d’une récente audition, le directeur de casting lui a dit qu’il était « parfait pour le rôle » mais qu’ils avaient reçu l’ordre d’engager « une personne de couleur » pour le rôle. J’ai compris, j’ai vraiment compris », a déclaré l’acteur.
« Je comprends qu’Hollywood a encore un long chemin à parcourir avant que les personnes de couleur soient correctement représentées à l’écran, mais comment suis-je censé payer mon hypothèque, mettre de la nourriture sur la table ? Tout le monde est terrifié. Et vous ne pouvez rien dire parce qu’alors vous vous exposez à la crucifixion publique. »
Rejetant ces plaintes, même si elles sont exprimées calmement, la réalisatrice de Selma, Ava DuVernay, qui est aujourd’hui l’une des femmes noires les plus puissantes d’Hollywood, a écrit sur Twitter : Tout le monde a le droit d’avoir son opinion. Et nous, producteurs noirs ayant un pouvoir d’embauche, nous avons le droit de ne pas embaucher ceux qui nous diminuent.
Donc, pour les hommes blancs de ce fil… si vous n’obtenez pas le poste que vous souhaitiez, rappelez-vous… les préjugés peuvent aller dans les deux sens. C’est l’année 2020 qui parle. »
[…]
Mais lorsqu’une femme blanche, un cadre très respecté, a été chargée de « superviser » la production sur place, on lui a dit qu’elle ne recevrait aucun crédit à l’écran.
[…]
Nous envoyons cette femme, qui est brillante, pour diriger les choses sur le terrain. Mais elle ne sera pas citée au générique. Les gens ne veulent pas l’admettre, ils ne peuvent pas l’admettre, mais le racisme inversé est bel et bien présent. On pourrait dire que c’est une bonne chose, que ce balancement du pendule dans l’autre sens n’est que juste après des années de privilège blanc. Mais à quel prix ? Il est certainement préférable pour tout le monde que les gens soient embauchés sur la base de leur talent et de leurs capacités. Je peux vous dire que nous recrutons des gens sur la base de leur seule appartenance ethnique, de leur sexe et de leur profil dans les réseaux sociaux.
Si vous êtes basané, femme et gay, alors entrez. Nous recevons tous une formation sur la diversité. Nous marchons sur des œufs à chaque réunion de Zoom. C’est arrivé au point où, s’il y a une personne de couleur dans la réunion, nous ne pouvons pas raccrocher avant qu’elle ne le fasse, de peur que cela ne soit considéré comme offensant ».
Un monteur de film qui a osé s’exprimer a vu sa carrière complètement détruite. Nathan Lee Bush, qui a tourné des publicités pour des entreprises telles que Budweiser et Nike, a critiqué un post sur un groupe privé de Facebook qui disait : « J’ai besoin d’un monteur ! Looking for Black Union Editors » (J’ai besoin d’un rédacteur en chef !).
Bush, qui est blanc, a qualifié l’annonce de « racisme anti-blanc » et a écrit : « Regardez ce que l’on nous demande de tolérer. Les personnes qui pratiquent ouvertement et fièrement le racisme sont celles qui appellent tous les racistes à les faire taire, et toute personne qui ose parler est ‘cancelled » [=annulée], son gagne-pain et ses rêves lui étant retirés par une foule en colère ».
[…]
Mais si les intentions sont sans aucun doute bonnes, beaucoup craignent que cela n’ait l’effet inverse. Un écrivain blanc nominé aux Emmy Awards a déclaré : « Je n’ai jamais connu de gens aussi effrayés. Des maisons sont mises en vente. Les gens déménagent parce que même lorsque les choses reviendront à la normale après la pandémie, il n’y aura pas de travail ».
« C’est une question d’équité », a déclaré un autre auteur. J’ai passé les trois dernières années à parrainer de jeunes écrivains noirs. Mais maintenant, je n’ai plus de travail et cela n’a rien à voir avec mes talents d’auteur. Les gens pensent qu’Hollywood est un endroit où les rêves se réalisent, mais pour des gens comme moi, c’est devenu un cauchemar ».
La foule de gauche qui envahit l’internet mène une campagne pour faire taire les voix dissidentes et faire en sorte que les libres-penseurs perdent leur emploi. Et ils ont réussi. Maintenant, les wokerati veulent entrer dans la chambre à coucher et dire aussi avec qui nous pouvons coucher.
Prenez la tentative de la semaine dernière d' »annuler » l’actrice Jodie Comer. Son crime ? Rien de ce qu’elle a dit ou pensé.
Au lieu de cela, les trolls en ligne étaient enragés de découvrir avec qui elle sortait. Le coupable présumé est un joueur de lacrosse appelé James Burke.
Son crime ? M. Burke est présumé être un républicain encarté et un partisan de Donald Trump. Il est à l’origine d’un tollé sur Internet et d’une demande des militants pour que Comer soit empêché de travailler à nouveau.
C’est ridicule. Comment peut-on exiger que nous nous limitions à des partenaires qui sont à 100 % en accord idéologique avec les vues d’une secte de gauche ?
[…]
Black Lives Matter (BLM) est un mouvement révolutionnaire marxiste qui a pour but de faire des États-Unis une dystopie communiste. BLM déclare vouloir abolir la famille nucléaire, la police, les prisons et le capitalisme. Les dirigeants du BLM ont menacé de « mettre le feu au système » si leurs demandes n'étaient pas satisfaites. Ils disposent également de milices parfaitement entrainées.
« Réduire le budget du Los Angeles Police Department (LAPD) signifie que les réponses aux appels d'urgence du 911 seront plus longues, que les policiers qui demandent des renforts ne les obtiendront pas, que les enquêtes sur les viols, les meurtres et les agressions n'aboutiront pas ou mettront une éternité à démarrer » - Los Angeles Police Protective League, le syndicat de la police de la ville.
« Les Blancs sont tellement confus en Amérique ... le racisme systémique, c'est contre les Blancs qu'il s'exerce aujourd'hui, ce sont les Blancs qui s'entendent dire qu'ils sont responsables de tous les maux du monde ... » - Dr Carol M. Swain, professeur d'université et membre du conseil consultatif de Black Voices for Trump.
« Nous sommes tous des êtres humains à l'image de Dieu. Black Lives Matter, les Antifas et les organisations de cet acabit ne nous aideront pas à transcender le racisme et le classisme et tous les « ismes » qui les préoccupent. Des choses peuvent être faites pour la communauté noire, mais le plus important est d'aider les gens à comprendre combien leur attitude compte... » - Dr. Carol M. Swain.
Un récent sondage du Pew Research Center a révélé que plus des deux tiers des Américains soutenaient Black Lives Matter (BLM). Ce degré élevé de sympathie oblige à s'interroger sur ce que le public sait exactement de BLM.
En apparence, BLM se présente comme un mouvement de citoyens qui s'est attribué la noble tâche de lutter contre le racisme et les brutalités policières. Un examen plus attentif montre que BLM est un mouvement révolutionnaire marxiste visant à transformer les États-Unis - et le monde entier - en une dystopie communiste.
Cet article est le premier d'une série de deux, qui révèle :
Que les fondateurs de BLM admettent ouvertement être marxistes. Parmi les mentors avoués figurent d'anciens membres du Weather Underground, un groupe terroriste radical de « gauche » qui, dans les années 1960 et 1970, a tenté d'instaurer une révolution communiste aux États-Unis. Le BLM est proche du dictateur vénézuélien Nicolas Maduro, dont les politiques socialistes ont entraîné l'effondrement économique du pays et l'appauvrissement indescriptible de millions de personnes.
BLM déclare vouloir abolir : la famille nucléaire, la police, les prisons, l'hétéronormativité et le capitalisme. BLM et les groupes qui lui sont associés demandent un moratoire sur le paiement des loyers, le paiement des hypothèques et des services publics, ainsi que le versement de réparations concernant une longue liste de griefs. Les leaders de BLM ont menacé de « mettre le feu au système » si leurs revendications n'étaient pas satisfaites. Sur le modèle du Black Panther Party des années 1960, ils entraînent également des milices.
BLM n'a pas le statut juridique d'une association à but non lucratif, ce qui ne l'a pas empêché d'encaisser des dons dont le montant atteint plusieurs dizaines de millions de dollars. Les finances de BLM sont opaques. Les dons sont collectés par ActBlue, une plateforme de collecte en ligne liée au Parti démocrate et aux causes qui lui sont associées. Les dirigeants de BLM ont confirmé que leur objectif immédiat est de démettre le président américain Donald J. Trump de ses fonctions.
Plus important encore, la prémisse principale de la doctrine de BLM - à savoir que les États-Unis sont « en guerre » avec les Afro-Américains – est un mensonge. Les Noirs ne sont pas systématiquement pris pour cible par les Blancs. Cinquante ans après la signature de la loi de 1964 sur les droits civils, plus de trois Américains sur quatre, Blancs et Noirs mélangés, reconnaissent que de réels progrès ont été accomplis en matière de lutte contre la discrimination raciale. Les chercheurs estiment que l'incapacité des dirigeants de BLM à produire des preuves solides du racisme systémique qui sévirait aux Etats Unis, les pousse à « élargir et approfondir » l'acte d'accusation à l'ensemble de l'ordre social et politique américain.
BLM dans ses propres mots
« Nous avons un cadre idéologique. Alicia [Garza] et moi-même avons été formées à l'organisation. Nous sommes des marxistes accomplies. Nous avons une profonde connaissance des théories idéologiques. » - Patrisse Cullors, cofondatrice de BLM, 22 juillet 2015.
« Si ce pays ne nous donne pas ce que nous voulons, nous mettrons le feu au système et nous le remplacerons. C'est compris ? Je pourrais m'exprimer au figuré. Mais il n'est pas exclu que je parle littéralement. C'est une question d'interprétation ... Je veux juste la libération noire et la souveraineté noire, par tous les moyens. » - Hank Newsome, militant du BLM, 25 juin 2020.
« Restez dans les rues ! Le système multiplie les actes de diversion et pousse à la démobilisation. Nous nous battons pour mettre fin à la police et aux prisons en tant que système ; et la lutte contre le système nécessite de combattre le capitalisme suprémaciste blanc hétéropatriarcal impérialiste. Contrôlez vos camarades et restez concentré » - BLM Chicago, Twitter, 16 juin 2020.
« Les « vies bleues », ça n'existe pas. Il n'y a pas de teinte d'une vie bleue. Être officier de police est un métier. C'est un travail. Dire « toutes les vies comptent », c'est comme dire que le ciel est bleu. Je n'ai jamais entendu dire que la police était du bon côté de l'Histoire. » - Cofondatrice de BLM, Alicia Garza, ktvu.com, 30 mars 2018.
« Des centaines d'années d'oppression générationnelle, de traumatismes et de racisme structurel ont affecté notre organisme et notre corps a été rendu plus vulnérable à quelque chose comme le COVID-19. » - Cofondatrice de BLM, Patrisse Cullors,Hollywood Reporter, 2 juin 2020.
« Nous disons #Coupez les crédits de la police et #Coupez les crédits de la justice parce qu'ils fonctionnent en tandem. La hausse de l'incarcération de masse a eu lieu parallèlement à l'augmentation du nombre de policiers et à leur militarisation. Ils doivent être abolis en tant que système. » - BLM Chicago, 13 juin 2020.
« Nous sommes anticapitalistes. Nous croyons et nous savons que les Noirs ne pourront jamais être libres au sein de ce système capitaliste racialisé mondial. » - Movement for Black Lives (M4BL), dont BLM fait partie, 5 juin 2020.
« All Lives Matter » ne vaut pas mieux qu'un sifflet raciste pour chiens qui tente à la fois de délégitimer des siècles de revendications contre l'oppression mondiale antinoirs et de positionner comme ennemis de l'État ceux qui affichent l'immense fierté de leur noirceur. Eh bien, nous sommes ennemis de tout État raciste, sexiste, classiste, xénophobe qui réagit par la brutalité et le meurtre aux tentatives des personnes marginalisées de vivre libres. » - Feminista Jones, militante BLM.
« Nous soutenons la société civile palestinienne et nous exigeons des sanctions ciblées conformes au droit international contre le régime colonial d'apartheid d'Israël. » - BLM UK, 28 juin 2020.
« Nous sommes un mouvement ABOLITIONNISTE. Nous ne croyons pas à la réforme de la police, de l'État ou du complexe industrialo-pénitentiaire. » - BLM UK, 21 juin 2020.
« Oui, je pense qu'il faut aussi déboulonner les statues de cet Européen blanc dont ils prétendent qu'il est Jésus. Elles sont une forme de suprématie blanche. Elles l'ont toujours été. Dans la Bible, quand la famille de Jésus a voulu se cacher et disparaître, devinez où ils sont allés ? EN EGYPTE ! Pas au Danemark. A bas les statues de Jésus. » - Leader BLM Shaun King , 22 juin 2020.
« Nous vivons un moment politique où, pour la première fois depuis bien longtemps, il devient possible d'évoquer une alternative au capitalisme. »- Alicia Garza, cofondatrice de BLM, mars 2015.
« L'antiracisme est anticapitaliste, et vice versa. Il n'y a pas deux façons de le contourner. Un antiraciste digne de ce nom doit rejeter le statu quo. La fin du racisme passe par une transformation du cadre politico-économique mondial. » - Joshua Virasami, BLM UK, 8 juin 2020.
Bref historique
Black Lives Matter est né en juillet 2013 au moment ou George Zimmerman, agent de surveillance d'un quartier âgé de 28 ans, d'origine hispano-allemande, a été acquitté du meurtre en 2012 de Trayvon Martin, un lycée noir de 17 ans, scolarisé à Sanford, en Floride.
Alicia Garza, une femme noire d'Oakland, en Californie, a publié sur Facebook ce qu'elle a dit être une « lettre d'amour aux Noirs ». Elle a écrit : « Je continue d'être surprise de voir à quel point les vies noires comptent peu. Peuple Noir. Je t'aime. Je nous aime. Nos vies comptent. Black Lives Matter. »
Patrisse Cullors, une femme noire de Los Angeles, en Californie, a partagé le post Facebook de Garza sur Twitter, avec le hashtag #BlackLivesMatter. Après avoir vu l'hashtag, Opal Tometi, une Nigériane américaine de première génération établie à Phoenix, Arizona, s'est associée à Garza et Cullors pour établir une présence sur Internet. Tometi a acheté le nom de domaine, construit la plate-forme numérique de BLM, et ouvert les comptes de médias sociaux, où ils ont encouragé les gens à raconter leurs histoires.
Le hashtag #BlackLivesMatter a attiré l'attention nationale en août 2014, après que Michael Brown, 18 ans, ait été abattu à Ferguson, Missouri, par Darren Wilson, un policier blanc. En novembre 2014, quand un grand jury a décidé de ne pas placer Wilson en examen, le hashtag de BLM a été omniprésent dans les émeutes qui ont suivi. En 2018, le hashtag #BlackLivesMatter a été tweeté plus de 30 millions de fois.
Depuis ses débuts il y a sept ans, Black Lives Matter est devenu un mouvement structuré avec près de 40 sections comprenant des milliers de militants aux États-Unis, au Canada et en Grande-Bretagne. Ce qui a commencé comme une demande de justice pour les Noirs s'est transformé en mouvement radicalisé au fur et à mesure qu'il grossissait en taille.
Quel est le programme ?
La vision du monde de BLM est structurée par un mélange de théories d'extrême gauche, de théorie critique de la race et de théorie intersectionnelle. La théorie critique de la race postule que le racisme est systémique puisqu'il repose sur un système, celui de la suprématie blanche qui est une caractéristique permanente de la vie américaine. La théorie intersectionnelle postule que les gens souffrent de discriminations multiples : en fonction de la race, de leur classe sociale, de leur identité de genre, de leur orientation sexuelle, de leur religion et d'autres marqueurs identitaires.
Black Lives Matter et tous les autres théoriciens de la race et de l'intersectionnalité rejettent toute responsabilité individuelle en général, et toute responsabilité en matière criminelle : ils l'affirment haut et clair, les Noirs sont les victimes systémiques et permanentes du racisme. A en croire BLM, seul un démantèlement complet du système économique, politique et social américain permettrait de vaincre le racisme et de rebâtir une société à partir de zéro - selon les principes marxistes.
Black Lives Matter veut abolir les pierres angulaires de la société américaine, à savoir : 1) le concept judéo-chrétien de la famille nucléaire traditionnelle qui est l'unité sociale de base en Amérique; 2) la police et le système pénitentiaire; 3) l'hétéronormativité (la croyance que l'hétérosexualité est la norme) pour faire du transgenre une norme ; 4) le capitalisme (une économie libre) pour le remplacer par le communisme (une économie contrôlée par le gouvernement).
Abolir la famille nucléaire traditionnelle
Le programme politique de Black Lives Matter s'engage à abolir la famille nucléaire traditionnelle :
« Nous déstabilisons le modèle familial nucléaire occidental en nous aidant les uns les autres au sein de familles élargies et de « villages » dont les membres prennent soin collectivement les uns des autres, avec une attention particulière portée aux enfants, pour autant que les mères, les parents et les enfants l'acceptent ».
Karl Marx et Friedrich Engels ont été les premiers à s'en prendre à la famille traditionnelle. Ils estimaient que le noyau familial était une unité économique qui en tant que telle était devenue un pilier du système capitaliste. Engels a écrit : « Le soin et l'éducation des enfants deviennent une affaire publique ; la société s'occupe de tous les enfants, qu'ils soient légitimes ou non. »
De nombreux experts ont mis en avant que les Afro-Américains ont besoin de familles fortes plutôt que faibles. En mars 1965, Daniel Patrick Moynihan, secrétaire adjoint au Travail du président américain Lyndon B. Johnson, a remis un rapport révolutionnaire sur les racines de la pauvreté noire aux États-Unis. Pour Moynihan, la criminalité, le chômage, l'échec scolaire, les naissances hors mariage... qui affligent les Afro-Américains, sont liés à l'effondrement de la famille nucléaire traditionnelle.
En 1965, date à laquelle le rapport Moynihan a été rédigé, 25% des enfants noirs aux États-Unis naissaient hors mariage. Cinquante ans plus tard, en 2015, plus de 75% des enfants noirs naissent hors mariage, selon le National Center for Health Statistics.
Vingt ans après le rapport Moynihan, Glenn Loury, le premier économiste noir à enseigner à Harvard, a loué Moynihan en tant que prophète :
« La partie la plus pauvre de la communauté noire souffre de problèmes impérieux qui ne peuvent plus être imputés uniquement au racisme blanc. La société noire rencontre des problèmes fondamentaux qu'elle est obligée d'affronter seule. Le désordre sociétal des Noirs pauvres, le retard scolaire des étudiants noirs, le taux inquiétant de la criminalité noire et l'augmentation alarmante des grossesses précoces hors mariage des jeunes filles noires s'énumèrent désormais comme les principaux obstacles au progrès des Noirs. »
Thomas Sowell, économiste afro-américain et théoricien social, a estimé que le rapport Moynihan a sans doute représenté en 1965 « le dernier rapport honnête du gouvernement américain sur les questions raciales ». De leur côté, les militants afro-américains des droits de l'homme ont critiqué Moynihan pour avoir « rejeté la faute sur la victime ».
Abolir la police et les prisons
BLM veut « abolir » la police et les prisons en « supprimant les budgets » de ces institutions. Les policiers seraient remplacés par des éducateurs, des travailleurs sociaux, des experts en santé mentale et des chefs religieux qui, selon BLM, feraient baisser le niveau de criminalité.
Dans une interview accordée à Newsweek, l'une des co-fondatrices de BLM, Cullors, a déclaré :
« La liberté de la plupart des blancs riches a pour corollaire les limitations imposées aux Noirs. Ainsi, l'application des lois ne sert pas à assurer la sécurité des Noirs mais à patrouiller, occuper, harceler, abuser, souvent chasser et surtout, à l'évidence, tuer les membres de nos communautés.
« La police et l'incarcération sont un continuum. Le maintien de l'ordre est la première réponse, puis vient l'incarcération. Les deux systèmes sont imbriqués l'un dans l'autre très, très profondément. Nous devons nous débarrasser de ces deux systèmes ».
Au Hollywood Reporter, Cullors a expliqué qu'elle n'est pas seulement une militante mais une abolitionniste moderne :
« Une abolitionniste croit en un monde où la police et les prisons ne sont plus une arme de sécurité publique. »
Opal Tometi, co-fondatrice de BLM, a déclaré au New Yorker, qu'en Amérique, le maintien de l'ordre plonge ses racines dans la gestion de l'esclavage ce qui est la preuve d'un racisme systémique. Elle a expliqué :
« Nous nous battons et plaidons pour que cesse la guerre contre les noirs. Nous analysons la situation ainsi - une guerre est menée contre la vie des Noirs. Et les gens comprennent que ce système regorge de toutes sortes d'inégalités et d'injustices, y compris les préjugés et le racisme ; et les préjugés implicites et le racisme pur et simple sont ancrés dans la manière dont la police est dirigée dans ce pays - et quand on réfléchit à l'évolution historique, on comprend qu'à l'origine, la police a été une patrouille d'esclaves. C'est là que l'évolution des services de police plonge ses racines ... »
Le chef de la police de Washington, DC, Peter Newsham, a déclaré que le sous-financement des services de police risquerait d'entraîner un usage de la force excessif de la part des policiers :
« Le sous-financement est la première cause d'un usage excessif de la force au sein d'un service de police. Le sous-financement affecte la formation, impacte l'embauche, et pèse sur notre capacité à développer de bons leaders. »
La Los Angeles Police Protective League, le syndicat de la police de la ville, a déclaré que des coupes budgétaires seraient « totalement irresponsables » :
« Réduire le budget du Los Angeles Police Department (LAPD) aurait pour conséquence d'allonger les délais de réponses aux appels d'urgence du 911 ; les policiers qui demandent des renforts ne les obtiendraient pas ; les enquêtes sur les viols, les meurtres et les agressions n'aboutiraient pas ou mettraient une éternité à démarrer ».
Les sondages montrent que la plupart des Américains - y compris la plupart des Noirs - ne partagent pas le point de vue de BLM sur l'abolition des services de police. Une étude Rasmussen a révélé que pour 63% des adultes américains « la fonction d'officier de police est l'une des plus importantes qui soit au sein de la société américaine ». De plus, 64% des Américains craignent que le rejet de la police ne décourage les candidatures et finisse par réduire « la sécurité publique dans la communauté où ils vivent ». Le rapport Rasmussen montre que « les Noirs (67%) – plus que les Blancs (63%) - sont préoccupés par les questions de sécurité sur leur lieu de résidence. Cette inquiétude est partagée par les autres minorités américaines (65%). »
« Nous réfléchissons sur nous-mêmes et travaillons résolument à démanteler le privilège cisgenre [terme désignant les personnes dont l'identité sexuelle correspond au sexe qui leur a été attribué à la naissance] et à améliorer la situation des transsexuels noirs, en particulier des femmes transsexuelles noires qui continuent à être touchées de manière disproportionnée par la violence trans-antagoniste... »
Une étude universitaire intitulée « Le queering de Black Lives Matter » a décrit en détail comment BLM est passé progressivement des problèmes de brutalité policière aux problèmes d'identité et d'orientation sexuelles. La focalisation du mouvement sur les questions sexuelles a fait germer des accusations selon lesquelles BLM serait « un mouvement gay déguisé en mouvement noir ».
Deux des trois fondatrices de BLM se décrivent comme des « femmes noires queer ». L'une, Alicia Garza, est mariée à un homme transgenre biracial. Et Patrisse Cullors se décrit comme « polyamoureuse ». Dans l'interview après l'interview, Garza et Cullors soulèvent la question des « personnes noires trans et de genre non conformes », oubliant au passage la question de la brutalité policière.ne
Dans une interview accordée au New Yorker, Garza a déclaré qu'elle n'était pas intéressée par la tradition américaine du vivre et laisser vivre : « Nous ne voulons pas que les gens disent : « Eh bien, quoi que vous soyez, je m'en fiche. Non, je ne veux pas que tu t'en fiches. Je veux que tu me voies dans mon intégralité. »
Abolir le Capitalisme et le Système "Patriarcal"
BLM assimile le capitalisme au racisme de la même manière que ses cousins Antifas assimilent le capitalisme au fascisme. BLM a repris à son compte l'idée de « capitalisme racial », un concept créé par feu Cedric Robinson, qui a tenté de démontrer que capitalisme et racisme sont pile et face d'une même médaille : les deux reposent, selon Robinson, sur l'esclavage, la violence, l'impérialisme et le génocide.
L'aile britannique de Black Lives Matter a déclaré : « Ce qui nous guide c'est la volonté de démanteler l'impérialisme, le capitalisme, la suprématie blanche, le patriarcat et les structures étatiques qui nuisent de manière disproportionnée aux Noirs en Grande-Bretagne et dans le monde. »
Le Movement for Black Lives (M4BL), un « écosystème » de plus de 170 organisations dirigées par des Noirs, dont BLM, déclare :
« Nous sommes anticapitalistes : nous croyons et comprenons que dans le système capitaliste racialisé mondial actuel, les Noirs n'atteindront jamais la libération. »
M4BL exige « que l'économie soit rebâtie pour instituer et garantir un droit de propriété collectif des communautés noires » et « une restructuration progressive des règles de la fiscalité au plan local, étatique et fédéral pour assurer une redistribution radicale et durable de la richesse ».
M4BL exige également des réparations pour les dommages passés et persistants :
« Le gouvernement, les sociétés responsables et toutes les institutions qui ont tiré profit des torts qu'ils ont infligés aux Noirs - du colonialisme à l'esclavage en passant par la nourriture et le logement, l'incarcération de masse et la surveillance - doivent réparer le mal qu'ils ont fait. Cela passe par :
« Un accès complet et gratuit pour tous les Noirs (y compris les sans-papiers et les personnes incarcérés) à l'éducation à vie ; un revenu minimum garanti ; des réparations pour la richesse extraite de nos communautés par le racisme environnemental, l'esclavage, l'apartheid alimentaire, les discriminations dans le logement et le capitalisme racialisé.
Les exigences du BLM et du M4BL sont similaires à celles du Manifeste communiste, qui comprennent :
« Abolition de la propriété foncière et réallocation des loyers en direction d'objectifs publics ; impôt sur le revenu strictement progressif ou graduel ; nationalisation des usines et instruments de production ; mise en culture des friches et amélioration des sols dans le cadre d'un plan global. »
Demande immédiate de BLM
Patrisse Cullors, co-fondatrice de BLM, a récemment confirmé que l'objectif immédiat de BLM était d'obtenir la démission du président américain Donald J. Trump :
« Non seulement Trump ne doit ne plus être en fonction en novembre, mais il doit démissionner dès maintenant. Il faut chasser Trump. Il n'est pas apte à exercer ses fonctions. Tous nos efforts doivent tendre à son départ. Parallèlement, nous allons continuer de faire pression sur Joe Biden pour qu'il remodèle ses politiques et reconsidère sa vision de la police et la criminalisation. Ce sont des choses importantes. Mais d'abord, il faut éjecter Trump. »
Évaluations du programme de BLM
Dans une interview accordée à Chanel Rion de One America News Network, le Dr Carol M. Swain, professeur d'université, spécialiste reconnue et membre du conseil consultatif de Black Voices for Trump, a déclaré :
« Il me parait évident que Black Lives Matter va au-delà de la cause noire, et qu'en réalité, ce mouvement promeut un programme socialiste et marxiste.
« Les Blancs sont tellement confus en Amérique. Je déteste le dire ainsi, mais je ne connais pas d'autre moyen : les Blancs veulent faire savoir aux Noirs qu'ils ne sont pas indifférents et ils pensent que la seule façon qu'ils ont de pouvoir le faire est de reprendre ce slogan en forme de profession de foi que les vies noires comptent de la même manière que toutes les vies comptent. Les vies blanches comptent, les vies marron comptent, mais le slogan, qui est un authentique manifeste, ne peut être séparé d'une organisation dont l'objectif est, du moins je le crois, profondément destructeur pour l'Amérique.
« Il est très faux de soutenir comme ils le font que le racisme est structurel. Si le racisme est une donnée permanente, alors nul ne peut rien y faire. Cette peau blanche devient une propriété qui signifie que les personnes qui naissent blanches ont un avantage naturel sur les Noirs.
« S'il existe aujourd'hui un racisme systémique, c'est le racisme qui affirme que les Blancs sont responsables de tous les maux du monde, que le racisme Blanc est permanent et que les Blancs n'ont qu'une seule façon de se racheter c'est de se débarrasser de leur blancheur. Cela implique de faire honte aux jeunes blancs : si vous avez la peau blanche, vous vous retrouvez dotés de tous ces privilèges blancs. Je soutiens qu'il existe un privilège noir, un privilège brun, qu'il s'agit en fait d'une question de classe sociale. Plus vite on cesse de tout analyser, y compris la brutalité policière, en termes de racisme, plus vite on peut rassembler tout le monde en tant qu'Américains.
« Nous sommes tous des êtres humains à l'image de Dieu. Black Lives Matter et Antifa et toutes les organisations de ce genre ne nous aideront pas à transcender le racisme et le classisme et tous les ismes qui les préoccupent. Il y a des choses qui peuvent être faites en faveur de la communauté noire, mais le plus important est d'aider les gens à réaliser à quel point les bonnes attitudes sont importantes. L'attitude qu'une personne adopte est plus importante que la race, le sexe et la classe sociale, c'est cette attitude qui va déterminer si cette personne va réussir ou pas. »
Josh Hammer chroniqueur et éditorialiste, pense que la gouvernance et le mode de vie américains sont menacés par des groupes comme BLM et Antifas :
« La gauche moderne, prise en tenaille par les anarchistes d'Antifa et les marxistes de Black Lives Matter, s'est positionnée comme un mouvement politique en décalage avec le régime américain. Au plan institutionnel, la direction du Parti démocrate a toutes les apparences d'un chien dirigé par la queue. Et cette queue est tenue en mains par des minorités comme Antifa et Black Lives Matter qui - dans les moments de grande franchise, certains le reconnaissent -, sont résolument hostile à l'idée même de l'Amérique. Il n'y a pas d'autre moyen de comprendre le désir ardent de ces insurgés qui, canalisant le pire de la révolution culturelle à la Mao, brûlent de défigurer s'ils le pouvaient et de démolir s'ils en avaient les moyens, les hommages sociétaux à l'homme qui a écrit la Déclaration d'indépendance (Jefferson) et à l'homme qui a concrétisé ses idéaux (Lincoln). On ne saurait mieux démontrer le dédain dégoulinant avec lequel la gauche considère l'ensemble du projet américain.
« Nous sommes au milieu d'une guerre civile froide entre les américanistes, fiers défenseurs et conservateurs du régime et du mode de vie américains, et les pyromanes civilisateurs qui cherchent à brûler ce régime et ce mode de vie dans l'éther. Oui, nous sommes dans un combat pour l'âme de l'Amérique - mais nous sommes aussi dans un combat pour l'Amérique elle-même. "
Dans une partie II l'auteur examinera les influences idéologiques de BLM, ses activités et ses sources de financement.
Pour soutenir le mouvement Black Lives Matter, l’écurie championne du monde de F1 a modifié la livrée de la W11 qui débutera le championnat dimanche en Autriche.
[...]
En plus de chercher les manières d’intégrer davantage de noirs en F1, l’écurie va disputer la saison 2020 avec une monoplace entièrement noire. Les mots «End racism» figureront aussi sur le halo des voitures.
Un Leader du Black Lives Matter : "Si ce pays ne nous donne pas ce que nous voulons, alors nous brûlerons ce système et nous le remplacerons. Je pourrais parler au sens figuré. Je pourrais parler au sens littéral. C'est une question d'interprétation."
Black Lives Matter Leader: “If this country doesn't give us what we want, then we will burn down this system and replace it.. I could be speaking figuratively. I could be speaking literally. It’s a matter of interpretation.” pic.twitter.com/W7JDHrRtGH
À Zurich-Oerlikon, un vendeur ambulant légèrement handicapé du magazine de rue "Surprise" a été brutalement frappé. La police enquête sur l'affaire.
Le week-end dernier, des scènes choquantes se sont déroulées à la gare d'Oerlikon, à Zurich. Un homme attaque un vendeur du journal "Surprise". Il s'agit d'un handicapé connu de la ville. L'agresseur le pousse à plusieurs reprises, lui donne des coups de pied et le frappe. Lorsque la victime est allongée sur le sol, l'homme donne un nouveau coup de pied et s'agenouille sur la personne handicapée. A la fin de la vidéo, on peut voir le visage ensanglanté de la victime.
Ensuite, les gens qui se tiennent autour de la scène interviennent. La vidéo a été publiée par la chaîne Instagram "Szene_ish_zueri". La vidéo a déjà été vue plus de 20 000 fois. Parmi les commentaires, on peut lire: "Pourquoi faire quelque chose comme ça quand on sait que l'homme n'est pas tout à fait lui-même ?
[...]
Andreas Jahn, porte-parole du journal "Suprise", a déclaré au Blick : "L'employé est actuellement accompagné par des travailleurs sociaux. Nous l'avons emmené chez le médecin et un signalement a été déposé auprès de la police".
[...]
(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
Dans un discours prononcé en décembre 2015 devant la Société musulmane américaine (Muslim American Society, MAS) et le Cercle islamique d'Amérique du Nord (ICNA), Nihad Awad, le directeur exécutif du CAIR (Council on American-Islamic Relations), a exhorté les musulmans américains à soutenir la cause de Black Lives Matter, avec ces mots:
"Black Lives Matter est notre affaire. Black Lives Matter est notre campagne."
Lors de ce même événement, un cadre de la MAS, Khalilah Sabra, a appelé à la "révolution" et a comparé la situation aux États-Unis aux révolutions du printemps arabe menées par les Frères musulmans en Égypte, en Libye, en Tunisie et en Syrie. Elle a fait des remarques troublantes:
"Nous sommes la communauté qui a organisé une révolution à travers le monde; si nous pouvons faire cela, pourquoi ne pourrions-nous pas avoir cette révolution en Amérique?"
En septembre 2015, les organisations locales du CAIR de Californie ont ouvertement soutenu et participé à une manifestation de Black Lives Matter en faveur d'un projet de loi interdisant le "profilage" au bureau du gouverneur à Sacramento.
L'un des slogans scandés était "Voici à quoi ressemble un pharaon." C'était une allusion effrayante à l'assassin d'Anouar el-Sadate en Égypte, qui avait crié "Mort au pharaon".
Le CAIR a également participé aux manifestations de Black Lives Matter à Ferguson, Missouri.
Les manifestations de Black Lives Matter reflètent les tactiques d'agitation typiques de la gauche. Dans mon livre sur la guerre du Vietnam, j'ai noté l'étroite similitude des tactiques opérationnelles communistes, nazies et islamistes en matière d'"organisation communautaire" et de perturbation civile. Une tactique standard des marxistes aux États-Unis a été de créer ou d'exploiter des griefs raciaux. Nous avons maintenant une attaque conjointe marxiste-islamiste contre l'ordre public par le biais de l'agitation raciale. Michelle Malkin a récemment découvert que 70 % des manifestants de Charlotte, Caroline du Nord, venaient de l'extérieur de l'État.
L'Association des étudiants musulmans (MSA), un autre front des Frères musulmans, a récemment rejoint Black Lives Matter dans une manifestation à Chicago pour perturber un rassemblement de la campagne Donald Trump. L'arme la plus puissante dans l'arsenal des Frères musulmans, cependant, ce sont des masses de pétrodollars blanchis. […]
Que se passe-t-il dans les villes américaines ? S'agit-il d'un mouvement pacifique et spontané de droit civil moderne ou d'une révolution planifiée et orchestrée ?
Greta Thunberg lance une nouvelle alerte. La militante suédoise pour le climat estime que le monde a passé un "point de basculement social", évoquant le mouvement "Black lives matter" ou le réchauffement climatique, dans une interview diffusée samedi sur BBC News.
"C'est toujours le combat pour la justice", a déclaré l'adolescente de 17 ans au sujet du mouvement qui a suivi la mort de George Floyd, Américain noir tué par des policiers aux Etats-Unis. "On dirait qu'on a passé une sorte de point de basculement social, où les gens commencent à réaliser qu'on ne peut pas continuer à détourner le regard, on ne peut pas mettre ces choses sous le tapis, ces injustices."
Dans une « Résolution du 19 juin 2020 sur les manifestations contre le racisme après la mort de George Floyd » le Parlement européen « condamne le suprémacisme blanc sous toutes ses formes, y compris l’utilisation de slogans qui visent à saper ou à affaiblir le mouvement « Black Lives Matter » et a en diluer la portée »
Cenator : Les émeutiers, appelés par l’ONU « manifestants pacifiques », exploitent, avec la gauche mondialiste, la bavure policière « Floyd » pour essayer, par tous les moyens, de faire passer à la caisse le peuple américain.
Le monde entier a vu avec horreur la racaille détruire la sécurité et la vie économique des Etats-Unis. Les « manifestants pacifiques » ont pillé, détruit des commerces partout, pour causer des dégâts par milliards, laissant des gens ruinés. Ces « manifestants pacifiques » ont laissé derrière eux une trentaine de morts, d’innombrables victimes de violences. Ils ont dressé les communautés les unes contre les autres, détruisant la sécurité, salissant et paralysant la police, compromettant l’avenir de certaines villes. Et ces émeutiers, sans foi ni loi, sont défendus par le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU.
L’ONU et le CDH peuvent ergoter dans leur coin, le monde entier a visionné les vidéos rapportant ces événements et toute personne n’étant pas remplie de haine envers la Civilisation occidentale et ayant un minimum de sens moral est remplie de compassion pour le peuple américain.
L’ONU discute pour savoir s’il faudrait condamner les États-Unis pour racisme systémique alors que ce sont des prétendus antiracistes qui ont mené le pays au bord de la guerre civile et à la ruine économique… anéantissant le produit de la vie laborieuse de centaines de milliers de gens !
L’indécence de cette gauche mondialiste, voulant détruire notre civilisation, ne connaît plus de limites.
Et tout cela également sur sol genevois !
« Aujourd'hui, toute personne blanche est sommée de se sentir coupable des crimes esclavagistes commis par d'autre blancs il y a bien longtemps. Faut-il dès lors demander à chaque individu noir de présenter ses excuses pour les attaques antisémites perpétrées par d'autres personnes ayant leur couleur de peau? »
RTS info: Les Etats-Unis ont échappé à des investigations internationales sur le "racisme systématique" et les "violences policières". Une résolution atténuée, qui ne les mentionne même plus, a été approuvée vendredi à Genève par le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU.
Le débat urgent sur cette question après le décès de l'Afro-Américain George Floyd, cinquième discussion de ce format depuis le lancement de l'instance onusienne, s'était achevé jeudi à la mi-journée. De longues négociations ont ensuite eu lieu pour aboutir à un nouveau projet de résolution.
Selon des sources concordantes, Washington a manœuvré en coulisses ces derniers jours pour inciter ses alliés à faire en sorte d'éviter une commission d'enquête internationale. Un premier projet de résolution du Burkina Faso, au nom des pays africains, prévoyait un tel mécanisme "aux Etats-Unis" et dans d'autres pays après le décès de George Floyd.
[...]
Mais elle ne demande plus qu'à la Haute commissaire aux droits de l'homme Michelle Bachelet un rapport sur le "racisme systémique" et les violations présumées des droits de l'Homme "contre les Africains et les personnes d'origine africaine" par la police, notamment contre George Floyd. Les Etats-Unis ne sont pas visés dans la résolution validée.
Philonise Floyd, l'un des frères de George Floyd, témoigne devant une commission du Congrès des Etats-Unis, Washington DC, le 10 juin 2020. [Greg Nash - Keystone/Pool via AP] Lors du débat "historique", selon la rapporteuse spéciale de l'ONU contre le racisme, Philonise Floyd avait dénoncé mercredi la "torture" dont a été victime son frère. "Vous avez le pouvoir de nous aider à obtenir justice", a-t-il dit.
"Je vous demande de l'aider. Je vous demande de m'aider. Je vous demande de nous aider, nous les Afro-Américains", a-t-il ajouté, appelant à une commission d'enquête, comme de nombreuses ONG.
Lors du débat, la Suisse s'est dite "inquiète" du "recours disproportionné à la force" par la police contre les Afro-Américains. Mais selon elle, tous les Etats doivent étendre leur engagement pour protéger tous les citoyens contre les discriminations.
Les Etats-Unis, qui se sont retirés du Conseil des droits de l'homme, n'assistent pas en salle aux débats. Dès la semaine dernière, la mission américaine auprès de l'ONU à Genève avait tenté de désamorcer les reproches en condamnant le décès de George Floyd mais en relevant que ce pays œuvrait à davantage "d'égalités". Et que son attachement aux libertés fondamentales permettait à la communauté internationale de "dialoguer ouvertement" avec lui pour trouver des solutions.
Affront évité pour les Etats-Unis
Autre avancée, le président américain Donald Trump a prononcé mardi un décret pour interdire l'étranglement comme mode opératoire policier, sauf en cas de danger. Un allègement estimé insuffisant par ses opposants démocrates.
Le scénario d'une commission d'enquête internationale aurait été considéré comme un affront par Washington. "Nous ne sommes pas exempts d'une surveillance" mais toute résolution devrait mentionner les "nombreux pays" où du racisme est observé, avait dit mercredi avant le débat l'ambassadeur américain à l'ONU à Genève Andrew Bremberg.
Parmi les ennemis des Etats-Unis, la Chine a appelé ceux-ci à se conformer à leurs obligations internationales. L'Iran a dénoncé la situation américaine et la Corée du Nord a vu dans celle-ci "le problème le plus brûlant" pour les droits de l'Homme. Le Venezuela a lancé une salve contre Donald Trump et ciblé sa proximité avec l'extrême droite dans son pays.
De leur côté, encore vendredi, neuf experts indépendants de l'ONU se sont dits inquiets à Genève de déclarations récentes du ministre américain de la justice William Barr contre certains groupes de manifestants, celles-ci violant selon eux les libertés fondamentales.
Outre cette question du racisme, des dizaines de résolutions doivent être discutées d'ici lundi par les 47 membres de l'instance onusienne.
>> Regarder aussi: Rokhaya Diallo, journaliste, essayiste, militante antiraciste et féministe française s'exprime sur les violences raciales
« Les experts des droits de l’homme à l’ONU expriment leur profonde préoccupation face à la récente déclaration du procureur général américain décrivant #Antifa et d’autres militants antifascistes comme des terroristes nationaux. Ils affirment que cela porte atteinte aux droits de libre expression et de réunion pacifique dans le pays. »
SCOOTERCASTER (FNTV)
12 juin 2020 - BROOKLYN, New York : Une centaine de musulmanes, se sont rendues au Barclay's Center de Brooklyn pour protester contre la violence à l'égard des femmes noires et plus particulièrement des femmes musulmanes noires. Elles ont prié sur la Plaza à l'extérieur du Centre, et ont parlé du manque de reconnaissance que les femmes musulmanes noires ont obtenu tout au long des dernières manifestations de Black Lives Matter. L'événement a été appelé Jummuah, kutubah, prière et protestation, présenté par des femmes musulmanes noires et des alliés musulmans.
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Times Square : Israël n'existera jamais, chaque centimètre est de la Palestine
Didier Raoult, 2015: "Lorsque j'étais jeune, une mauvaise blague consistait à rapporter le faux programme d'un parti factice "on tuera tous les juifs et les coiffeurs". Immanquablement, ceci entraînait la question : pourquoi les coiffeurs ? Une blague qui traduit abruptement l'idée que personne n'est surpris que l'on tue les juifs. " [...]
Michel Garroté: [...] Quant à la superficie actuelle d'Israël (la taille de la Picardie, ou encore, la moitié de la Suisse), aucune nation démocratique au monde n'accepterait de s'en contenter, surtout dans l'actuel climat de haine prédominant. Avec les obus, roquettes et missiles du Hezbollah qui pleuveront encore sur la moitié nord d'Israël, avec les obus, roquettes et missiles du Hamas qui pleuveront encore sur la moitié sud d'Israël, avec les ridicules 12 km qui séparent Netanya en Israël, de Tulkarem en Judée Samarie, la démocratie israélienne est la démocratie la moins protégée de la planète. A cet égard, être pro-sioniste, c'est simplement défendre le droit d'Israël à la même sécurité territoriale que les USA et l'Union Européenne. Or, avec les frontières d'Israël fixées par l'ONU il y a plusieurs décennies, cette sécurité territoriale est tout simplement inexistante parce que rendue impossible par la haine de la plupart des voisins, directs ou indirects, d'Israël. [...]
A l’occasion de la manifestation à l'appel de Collectif Vérité pour Adama Traoré, ce samedi 13 juin, des manifestants antiracistes ont lancé des insultes antisémites.
Les partisans d’Adama Traoré souhaitant dénoncer les violences policières se sont réunis ce samedi 13 juin en début d'après-midi place de la République, à Paris. Si le cortège était alors bloqué par les forces de l’ordre, la tension est montée d’un cran après la banderole déployée par sur les toits par le groupe Génération Identitaire avec comme inscription : « Justice pour les victimes du racisme anti-blancs ».
Ulcérés par ce message, des manifestants antiracistes ont réagi avec des propos particulièrement violents et antisémites : « Sales juifs ». Le préfet de Police a signalé ces propos antisémites à la justice. Par ailleurs, des participants auraient accusé Israël d'être « le laboratoire des violences policières ». Le cortège parisien était toujours immobile en milieu d’après-midi. La police refusait de lever son barrage et rappelait l'interdiction des rassemblements de plus de 10 personnes. « On ne bougera pas d'ici pour l'instant », a-t-elle dit aux organisateurs de la marche contre les violences policières et le racisme. [...]
Cenator : L’Idaho a des lois permissives sur des armes, les États démocrates des lois restrictives. Ici, face à des citoyens armés, les Antifa n’ont pas fait la loi, la justice a pris le dessus, il n’y a pas eu de pillages.
******
À Coeur d’Alene, Idaho, des centaines de citoyens, peut-être plus de mille, étaient sortis dans les rues, lourdement armés, pour soutenir les manifestants pacifiques et protéger les commerces et les citoyens contre l’Antifa.
La nouvelle s’est répandue que l’Antifa allait envoyer des émeutiers pour se mêler aux manifestants pacifiques dans notre petite ville tranquille... et en effet plusieurs fourgonnettes Mercedes blanches ont été vues avec des douzaines de personnes qui n’étaient pas d’ici. On a également rapporté qu’ils prévoyaient d’utiliser le magasin Winco comme lieu de rassemblement.
Fort de ces informations, un groupe local bien organisé de citoyens engagés a installé une petite garnison sur le parking, afin que tout intrus comprenne rapidement que ce serait tolérance zéro pour tout type de violence ou de déprédations.
À un endroit, il y avait deux manifestants vêtus et masqués de noir, assis sur une marche, silencieux, avec leur petit panneau « Notre système, c’est de la m* ». Devinez pourquoi ils se tenaient si sages.
Des citoyens armés ont protégé la ville toute la nuit. Les uns étaient postés devant les commerces, d’autres arpentaient les trottoirs ou patrouillaient les rues en voiture ou en pickup.
Il y avait des jeunes, des vieux, des gens de tous les milieux et croyez-le ou non, TOUT LE MONDE, à part les sales types de l’Antifa, se sentait en sécurité !
Ne nous dites pas que vous êtes pacifiques si vous venez à une manifestation avec un pied-de-biche... On le leur a confisqué et on les a reconduits à leur voiture.[Non, ce n’est pas la voiture de la photo.]
Un capitaine de police à la retraite a été tué mardi par des émeutiers à St. Louis au cours d’une manifestation. Son meurtre a apparemment été diffusé en direct sur Facebook.
David Dorn, un capitaine de police à la retraite, a été sauvagement tué par balle mardi à St. Louis, dans le Missouri, au cours d’une manifestation qui a dégénéré. Il se trouvait devant la boutique d’un ami et voulait s’assurer qu’elle ne soit pas prise à partie ou pillée, lorsqu’il a été tué, rapporte le «St. Louis Dispatch». D’après plusieurs sources, le meurtre a été diffusé en direct sur l’application Facebook Live.
Selon des internautes cités par le «New York Post», David Dorn aurait été laissé sans vie au sol, sans que personne ne vienne l’aider, préférant le filmer. «Ce dont je viens d’être témoin, sur plusieurs directs, me rend malade. L’homme a été tué par balle», a écrit un certain Marquaello Futrell, qui se décrit d’après le quotidien américain comme un ancien policier.
Tous les suspects du meurtre de ce capitaine de police sont des Afro-Américains.
RECOGNIZE THESE SUBJECTS?
They're persons of interest in the murder of Ret. Capt. David Dorn.
Anyone with info should call our Homicide Div directly @ 314-444-5371, or if you want to remain anonymous & are interested in a reward (up to 45k) contact @STLRCS @ 866-371-TIPS(8477) pic.twitter.com/EaOxOvmHfs
Une vidéo sur Facebook montre un homme s'approchant de Dorn alors qu'il est mourant. On pouvait entendre l'homme le supplier de rester en vie alors qu'il gisait dans une mare de son sang.
La mort de Dorn est survenue lors d'une nuit violente à St. Louis, au cours de laquelle quatre policiers ont été abattus, des officiers ont été bombardés de pierres et des commerces ont été brûlés et cambriolés.
(Traduction partielle Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
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