Australie: Un Français crie «Allah Akbar» après avoir tué une Britannique

Une Britannique aurait été poignardée à mort par un Français dans la ville de Home Hill, dans le Queensland (Australie), selon une information rapportée par le Guardian (en anglais). La scène se serait déroulée dans une auberge de jeunesse devant une trentaine de personnes, dans la nuit de mardi à mercredi 24 août. La jeune femme âgée de 21 ans a été retrouvée morte par la police, qui a décrit "une scène terrible".

Selon les autorités, le Français de 29 ans aurait crié "Allah Akbar" au moment de son interpellation. Il aurait également poignardé un Anglais d'une trentaine d'années qui se trouverait dans un état critique, ainsi qu'un Australien de 47 ans, blessé plus légèrement.

Source et article complet

 

 

L’Australie ne changera pas sa politique d’asile malgré les immolations

 

L'Australie a promis de ne pas modifier sa politique des réfugiés après qu’une femme musulmane somalienne, en quête d'asile, a tenté de s’immoler par le feu pour protester contre sa détention sur l'île de Nauru dans le Pacifique.

Elle est la dernière demandeuse d’asile en Australie, en détention, à se mettre le feu. La semaine dernière, un Iranien de 23 ans est mort après s’être mis le feu.

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Cenator :

Les Européens devraient réprimer toute sensiblerie et rester sourds à toute tentative de chantage, pour assurer leur survie.

Malheureusement, nous sommes plutôt prêts à nous immoler pour les immigrants…

Pour notre survie, il faut : fermer hermétiquement nos frontières, les faire garder par les forces de l’ordre, repousser par la force les clandestins qui violent nos frontières, refuser le droit d'asile aux musulmans (les rediriger vers l’Arabie Saoudite, le Qatar, etc.).

 

Attentat de Bruxelles vu d’Australie : La Belgique doit accepter l’échec de sa politique d’ouverture des frontières

Ndlr : un de nos lecteur nous propose la traduction de l'article de la journaliste australienne Jennifer Oriel, paru le 28.03.2016 dans "The Australian".

Il est intéressant de constater la différence de traitement de l'information par rapport à nos médias suisses, belges et autres.   

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Les attaques de la semaine passée à Bruxelles ont sûrement scellé le destin des accords Schengen.

L’UE récolte ce qu’elle a semé. L’attaque de Bruxelles par les djihadistes de l’EI de, la capitale de facto de l’UE, est la conséquence directe du manque de politique migratoire, qui a produit un cœur islamiste en Belgique prêt à mettre en œuvre le djihadisme contre l’occident.

L’ambassadeur de Belgique en Australie, Jean-Luc Bodson, a minimisé la responsabilité de l’Etat dans ces attaques et prétendu que ce n’est pas le reflet de la politique migratoire de l’Europe. Il a faux sur les deux points. Deux mois avant que la Belgique soit visée par les djihadistes, le favori républicain Donald Trump a averti qu’elle était devenue un enfer en raison des partisans de la charia refusant de s’intégrer. On l’a excorié pour cette déclaration.

A la fin de l’année passée, Tony Abbott (ndlr : ex premier-ministre australien) a vivement recommandé à l’Europe d’adopter une politique sécuritaire des frontières rationnelle et a offert en exemple le modèle migratoire australien. La gauche était si dérangée par la perspective que l’Europe pourrait voir le bout du tunnel, qu’elle s’est précipitée pour défendre le manque de politiques des frontières, lesquelles font entrer les djihadiste en Occident.

Les éditorialistes du New York Times avertirent les officiels européens du modèle australien, écrivant sans honte le titre « Le traitement brutal des migrants par l’Australie ».

Peu après les attaques de Bruxelles, Malcolm Turnbull (ndlr : actuel premier ministre australien) a confirmé le succès du modèle migratoire australien qui associe une politique des frontières forte avec la sécurité nationale et qui donne la priorité aux authentiques requérants d’asile des camps de réfugiés de l’ONU. L’ambassadeur de Belgique a réagi de manière plutôt non-productive. Au lieu de prendre en considération les bénéfices du modèle australien il a poursuivi en arguant faussement qu’il n’y a aucun lien entre la politique européenne des réfugiés et le terrorisme islamiste.

Cependant, l’émergence d’un djihadisme pan-européen démontre que les politiques de sécurité nationales et de migration sont indivisibles. Malgré que M. Bodson prétende le contraire, les djihadistes impliqués dans les attaques terroristes de Paris et de Belgique ont directement bénéficié de la politique européenne migratoire des frontières ouvertes. Le cerveau des horribles attaques de Paris, le Belge Abdelhamid Abaoud, combattait avec l’EI avant de ré-entrer en Europe en se présentant comme un réfugié. Le kamikaze Ibrahim Abdeslam était un djihadiste de retour de Syrie. Un autre djihadiste de Paris est entré en Europe comme réfugié sous la fausse identité d’Ahmad al-Mohammad. A ce qu’on dit, il a été accueilli dans un camp de réfugié avant de massacrer des dizaines d’innocent à Paris.

Le faiseur de bombes Najim Laachraoui a également voyagé en Syrie en 2013 avant de rentrer en Europe avec le djihadiste algérien Mohamed Belkaid sous une fausse identité.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan déclare que les autorités belges ont ignoré les avertissements turcs informant que Ibrahim El Bakraoui, un des deux frères belges responsables des dernières attaques, était un djihadiste de retour. Ce n’est pas la première fois que le manque d’approche sécuritaire nationale de la Belgique est lié au djihadisme international. Deux jours avant le 11 septembre 2001, le Belge d’origine tunisienne Tarek Maarfoui a aidé à l’assassinat de Ahmad Shah Massoud, un champion des forces anti-talibans en Afghanistan. Le gouvernement belge était impliqué dans cet assassinat car il avait refusé la demande tunisienne d’extradition de Maaroufi sur la suspicion qu’il faisait partie d’un groupe terroriste.

En Europe, la Belgique est le plus gros fournisseur de djihadistes par tête pour la Syrie et l’Iraq. Il apparaît que depuis plus d’une décennie, le gouvernement belge est au courant du problème djihadiste dans le pays.  Par exemple, un rapport de 2002 du comité parlementaire belge des services secrets détaillait l’échec de l’Etat à détecter correctement les islamistes radicaux. Celui-ci était attribué à un manque de financement, à la fausse croyance que les islamistes belges n’attaqueraient pas à la maison, et à la peur des officiels d’être accusés de xénophobes ou de racistes à l’égard des immigrés et des musulmans.

Bruxelles est devenue un centre du terrorisme à cause d’un manque de politique migratoire et le refus de beaucoup de politiciens de combattre la menace islamiste. Mais la structure administrative complexe de la Belgique gêne la politique de cohésion bipartite nécessaire pour combattre le terrorisme.

A travers l’Europe, les communautés musulmanes tendent à voter à gauche, ce qui motive les politiciens progressistes à minimiser n’importe quels problèmes y-relatifs et à refuser les alliances bipartites avec la droite.

Un sondage du Figaro, par exemple, a révélé que 93 % des musulmans français votèrent pour le parti socialiste de François Hollande en 2012. Hollande continua de défendre sa politique d’ouverture des frontières, même après que son exploitation par les djihadistes afin de massacrer des citoyens français devienne notoriété publique. Le rôle des politiciens socialistes est large dans le développement de l’islamisme en Belgique. De 1992 à 2012, Molenbeek a été gouvernée par le bourgmestre socialiste Philippe Moureaux. Molenbeek est l’origine de plusieurs terroristes impliqués dans les attaques de Paris et Bruxelles et Salah Abdeslam y a été caché. Durant son mandat, Moureaux a affiché une position forte pour l’ouverture des frontières et attaquait ceux qui le critiquaient de racistes.

Suivant les attaques de Paris, un ancien habitant de Molenbeek, Teun Voeten, s’exprimait sur le déclin de la commune, passée d’un rêve multiculturel à une monoculture délabrée dirigée par l’Islam conformiste. Ecrivant pour [le journal] Politico, il raconta la fermeture des magasins juifs, la persécution des homosexuels et l’abus des femmes, qui se faisaient cracher dessus dans la rue et qui se faisaient traiter de putes. Comme résultat de l’échec de l’UE à assurer son devoir principal de protection des citoyens respectueux des lois, les accords de Schengen dans une Europe sans frontières touchent à leur fin.

L’élite politique européenne et l’ambassadeur de Belgique en Australie devraient dire la vérité à propos des raisons profondes de la crise du djihadisme continental.

L’approche politique européennne opportuniste à l’égard de l’immigration jointe à une politique agressive des frontières ouvertes a facilité la croissance du djihadisme transnational en maladie de l’Europe.

La tentative apparente de Bodson de passer la réalité au prisme et d’accuser principalement la pauvreté et le chômage, plutôt que la politique européenne d’ouverture des frontières, comme cause du djihadisme, n’est pas persuasive.

Il ferait mieux de prendre en considération le modèle d’immigration australien plutôt que de le dénigrer avec l’attitude bornée longtemps associée à la classe politique européenne.

Traduit par Athos pour Les Observateurs.ch

Article source en anglais

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aristote

 

Mer de Chine : Les États-Unis et l’Australie envoient des signaux contradictoires à Pékin

 

Carrefour de voies commerciales maritimes et zone supposées receler d’importantes réserves en hydrocarbures, la mer de Chine méridionale fait l’objet de tensions entre Pékin, qui en revendique la souveraineté sur sa quasi-totalité, et ses voisins. Sans attendre un arbitrage qui trancherait ce différend territorial, les autorités chinoises y aménagent, en particulier dans l’archipel des Spratleys, […]

Cet article Mer de Chine : Les États-Unis et l’Australie envoient des signaux contradictoires à Pékin est apparu en premier sur Zone Militaire.

 

Extrait de: Source et auteur

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Australie: Un musulman sortant de la mosquée abat un policier

L’adolescent qui a tiré mortellement sur un employé du service de police de New South a été identifié comme Farhad Jabar Khalil Mohammad.

Une source policière a déclaré à ABC que Farhad s’était rendu dans une mosquée peu de temps avant la fusillade.

La soeur de Farhad, Shadi, aurait aussi disparu jeudi. [...] Elle aurait quitté l’Australie en avion, sur un vol de Singapore Airlines à destination d’Istanbul, tentant peut être de rejoindre l’Irak ou la Syrie. [...]

Source (Traduction FDS)

L’assassinat d’un employé du commissariat de Parramatta, près de Sydney, est un « acte terroriste », ont précisé samedi les autorités australiennes. L’agent a été abattu vendredi par un adolescent de 15 ans.

« Nous pensons que ses actions avaient un motif politique et qu’il s’agit par conséquent de terrorisme », a déclaré à des journalistes Andrew Scipione, commissaire de la police de Nouvelles-Galles du Sud.

L’adolescent a abattu vendredi après-midi un agent administratif qui sortait du siège de la police à Parramatta, à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de Sydney, dans l’Etat de Nouvelle-Galles du Sud. Il a été ensuite tué après des échanges de tirs avec les forces de l’ordre.

Etat d’alerte
D’origine kurde irakienne et né en Iran, l’adolescent n’était pas connu des services de police, a précisé M. Scipione. Le tireur, qui a abattu sa victime quasiment à bout portant, n’avait aucun antécédent judiciaire, a-t-il ajouté. (…)

Source

Des Australiens hostiles à l’islam manifestent

ND Ch. H. A noter que le 24h met en exergue le terme "néo-nazis" afin d'associer dans l'esprit du lecteur que s'opposer à l'islam est synonyme de nazisme.

Des manifestations anti-islam ainsi que des contre-manifestations dénonçant l'islamophobie ont rassemblé plusieurs centaines de personnes dimanche en Australie.

Des unités de la police antiémeute et de la police montée s'étaient déployées à Martin Place, dans le centre de Sydney, pour séparer une centaine de manifestants du collectif Reclaim Australia (Reconquérir l'Australie) de quelque 250 opposants.

https://youtu.be/_n-paOCN0xo

Les uns scandaient «non à la charia», la loi islamique, les autres «non au racisme, non à l'islamophobie». La police a arrêté cinq personnes.

Les forces de l'ordre avaient dû disperser les manifestants samedi à Melbourne après des échauffourées.

D'autres rassemblements étaient organisés dimanche dans la capitale Canberra (sud), à Perth (ouest) et Hobart sur l'île de Tasmanie.

Source

Prise d’otages de Sydney: Les Australiens pensent en priorité à soutenir les musulmans

Même si ce sont des non musulmans qui viennent de mourir de la main d'un musulman, la priorité est de protéger l'islam pour certains.

#illridewithyou

La réponse des Australiens sur les réseaux sociaux ne s'est pas faite attendre. Contrairement aux messages de haine qui sont apparus dans d'autres pays, c'est un message de solidarité envers l'immense majorité de musulmans pacifiques qui est devenu le point de ralliement des internautes: sur Twitter, le hashtag #illridewithyou (qui peut être traduit par «j'irai avec toi») a émergé rapidement, se transformant en tendance globale dans la nuit de lundi à mardi.

Photo

La photo du 24H ne fait aucun doute sur la priorité de ce média.

Ce hashtag s'adressait aux musulmans d'Australie qui pourraient craindre des représailles suite à la médiatisation de la prise d'otages: pendant que tous les yeux étaient braqués sur le café Lindt, le hashtag invitait les Australiens à escorter les personnes de confession musulmane portant des tenues facilement reconnaissables pour éviter qu'elles ne subissent des violences.

Ce hashtag, qui a surpris le monde entier par son intelligence et sa spontanéité, a été créé par l'Australienne Tessa Kum. Celle-ci a expliqué aux médias locaux que, voyant une femme enlever à la hâte son voile dans le métro au moment de l'annonce de la prise d'otages, elle est allée vers elle et lui a dit «remettez le, je marche avec vous».

Emue aux larmes, la femme l'aurait alors pris dans ses bras pendant une longue minute.Une «leçon» pour le reste du monde, titrent aujourd'hui de nombreux médias anglophones.

Source

 

Prise d’otage à Sydney : “Il faut lutter contre la stigmatisation et l’islamophobie” selon les médias

Selon Olivier Ravanello, le communiqué de presse publié par le Grand Mufti australien est une erreur de communication, la communauté musulmane n’étant aucunement responsable de cette prise d’otages, aucune revendication n’ayant été émise par un quelconque groupe ou par le preneur d’otages lui-même. Olivier Ravanello estime qu’en anticipant sur la possibilité d’une revendication d’un groupe terroriste islamiste, le Grand Mufti fait lui même l’erreur de faire tomber la communauté qu’il défend dans une certaine stigmatisation dont elle fait l’objet en Australie.

Dans un contexte d’islamophobie croissante en Australie, cette prise d’otages a suscité beaucoup de réactions et de propos anti-musulmans, notamment sur internet. [...]

Man Haron Monis, l’islamiste preneur d’otage de Sydney

« Les attaques de terroristes sont extrêmement rares en Australie. Il y a une ambiance islamophobe en Australie qui est encouragée par le gouvernement conservateur » réagit David Camroux, Australien et chercheur au CERI. [...]

France Info

«le gouvernement -assez impopulaire- joue beaucoup sur la fibre islamophobe». «On assiste à un repli isolationniste, avec une politique extérieure très agressive et une politique d’immigration très dure. Une majorité de musulmans se trouve victime de cette islamophobie et de l’amalgame avec les terroristes.»

20 Minutes

Cette prise d’otages risque d’avoir des conséquences négatives sur les relations entre les musulmans et les non musulmans en Australie. Déjà en septembre, rapporte notre correspondante à Sydney, Caroline Taix, il y avait eu des tensions et le pays avait relevé son niveau d’alerte : selon les services de renseignement, un jihadiste australien avait demandé à un jeune depuis la Syrie de décapiter une personne choisie au hasard dans la rue à Sydney. D’après la communauté musulmane les actes islamophobes s‘étaient alors multipliés. Un homme armé d’un couteau avait, par exemple, proféré des menaces devant une école musulmane, des graffitis avaient souillé les murs d’une mosquée ou des femmes voilées avaient été insultées. « La peur du terrorisme s’est transformée en peur du musulman », avait alors confié à RFI Jamal Rifi, un représentant de la communauté musulmane modérée.

RFI

L’homme qui retient en otage entre 15 et 30 personnes dans un café de Sydney a demandé, entre autres revendications, un drapeau de l’organisation Etat islamique. Pour lutter contre les amalgames, le mot dièse #Illridewithyou a été lancé. En quelques heures, il est devenu la mention la plus populaire sur Twitter.

[...] Ne pas se laisser aveugler par la colère ou la peur. Tel est le message caché derrière le hashtag #Illridewithyou – « je t’accompagnerai » – lancé sur Twitter quelques heures après la prise d’otages de Sydney. Objectif: lutter contre l’islamophobie et les amalgames haineux en proposant à des personnes portant des tenues religieuses de les accompagner pendant leur trajet en transports en commun. [...]

L’Express

Pendant la prise d’otages à Sydney, un mot clé invitant à la solidarité avec les musulmans victimes d’amalgames  s’est répandu en quelques heures sur les réseaux sociaux.

JordanJablonka , étudiant en M2 Droit des Affaires@SorbonneParis1, Delégué #JeunesPop du 12eme :

twitt

Le phénomène s’est emparé des réseaux sociaux dans la journée de lundi.Toute la journée, alors que les otages étaient encore retenus dans le café par un homme armé, des centaines de milliers d’internautes se sont joints à une initiative devenue virale en quelques heures. Pour lutter contre le risque que cette prise en otages puisse déclencher des amalgames, voire des représailles envers des musulmans, une internaute australienne, blogueuse antiraciste, et anti islamophobie a lancé le mot-dièse «#Illridewithyou» (je voyagerai avec vous). L’expression provient d’un premier tweet où elle proposait d’accompagner les personnes qui ne se sentaient pas en sécurité compte tenu de leur religion dans les transports publics. Le preneur d’otages avait reclamé qu’on lui apporte un drapeau de l’Etat islamique. [...]

Plusieurs médias australiens se sont fait l’écho d’une initiative considérée comme une manifestation spectaculaire de tolérance: «Sydney se lève contre le racisme et l’intolérance grâce à un beau hashtag» , ou encore «#Illridewithyou est la réponse parfaite aux réactions racistes suite à Martin Place» titraient ainsi certains journaux en ligne. Alors que cet appel à la tolérance se répandait, certains responsables musulmans australiens ont publiquement pris position contre la prise d’otages. Le grand mufti d’Australie a condamné «sans équivoque» une attaque «criminelle».

Le Figaro

En réponse aux propos anti-musulmans qui ont circulé suite à la prise d’otage en cours dans un café du quartier des affaires de Sydney, des habitants de la ville australienne et d’ailleurs ont proposé publiquement aux personnes de confession musulmane de les accompagner lors de leurs trajets en transports en commun.

Le Monde

Via Fdesouche

Australie – Prise d’otages: Le drapeau islamique visible [Vidéo]

Sydney - Des otages étaient retenus lundi dans un café de Sydney et un drapeau islamique noir était visible à une fenêtre de ce café, tandis que la police intervenait à l'Opéra de Sydney pour un incident de nature inconnue, ont rapporté la police, des médias et des témoins.

https://www.youtube.com/watch?v=rw_oBXOariE

Martin Place, une place du quartier des affaires de Sydney, était fermée à la circulation, et de nombreux policiers encerclaient le Lindt Chocolat Cafe. Des images des télévisions montraient un drapeau noir avec des inscriptions islamiques en blanc plaqué sur une fenêtre de l'établissement.

TnjiAor

Prise d’otage en cours à Sydney (Australie) où au moins un homme armé retiendrait otage une vingtaine de clients dans une boutique de chocolat. Des photos de la télévision australienne montre un drapeau blanc et noir avec des signes arabes.

Des témoins ont dit avoir entendu de fortes détonations qui ressemblaient à des coups de feu.

Selon des médias, une vingtaine de personnes ont été prises en otages par au moins deux hommes armés.

Source et Source2

Vladimir Poutine claque la porte du G20

Chahuté par les pays Occidentaux sur son attitude vis-à-vis de l'Ukraine, le président russe a décidé de quitter le sommet du G20 plus tôt que prévu.

Vladimir Poutine a mis sa menace à exécution. Le président russe a quitté le sommet du G20 qui se déroule à Brisbane en Australie bien avant sa fin officielle. Il faut dire que le chef d'Etat était chahuté en raison de son implication dans la crise ukrainienne.

Suite

L’Australie se protège de l’islam

Le Parlement australien est revenu sur sa décision : le port de la burqa dans l’hémicycle ne sera finalement pas réglementé. Car la question fut posée. Le 2 octobre, la présidente de la Chambre des représentants, Bronwyn Bishop, et le président du Sénat, Stephen Parry, avaient approuvé une règle provisoire visant à faire asseoir les personnes recouvrant leur visage et pénétrant la Chambre des représentants ou le Sénat, dans des zones isolées, protégées par des panneaux de verre. Les femmes portant la burqa ne pouvaient plus circuler librement dans l’ensemble du bâtiment.

Mais les deux présidents sont finalement revenus en arrière. Les visiteurs doivent désormais montrer leur visage au personnel de sécurité à l’entrée mais peuvent ensuite se couvrir à nouveau la figure. «Une fois que ce processus a eu lieu, a précisé Bronwyn Bishop, les visiteurs sont libres de se déplacer, visage couvert, dans les différents espaces publics du bâtiment, y compris les galeries de la chambre.»

UN PARTI «ANTIMUSULMAN» A ÉTÉ CRÉÉ

L’annulation de cette décision, sous la pression exercée par le Premier ministre, Tony Abbott, illustre la virulence du débat autour des questions relatives aux musulmans en Australie. Lundi matin, trois protestants ont tenté d’entrer dans le Parlement en se couvrant respectivement la tête avec un casque de moto, une burqa et un capirote – habit traditionnel du Ku Klux Klan – pour dénoncer l’autorisation du port du voile intégral. Ces militants font de la lutte contre l’habit musulman une revendication politique. Mais dénoncent très ouvertement l’islam qu’ils jugent contraire aux valeurs australiennes.

Le sentiment "islamophobe" se répand dans le pays. En mars, un parti «antimusulman» a été créé. De nombreuses agressions ont été recensées. Lundi, une femme voilée a été passée à tabac par un individu scandant «Vous les musulmans, retournez d’où vous venez !» alors qu’elle faisait son shopping à Melbourne. Début octobre, une autre musulmane avait été battue sauvagement puis éjectée d’un train en marche, échappant de justesse à la mort. Relayée dans les médias, l’histoire d’une femme voilée attaquée au volant de sa voiture et défendue par un groupe de jeunes, au début du mois, avait également suscité l’exaspération générale.

DES GUIDES DANS LES MOSQUÉES

«Il y a un grand sentiment d’anxiété chez les musulmans en ce moment» a expliqué à la BBC le Cheikh Wesam Charwaki, imam à la mosquée de Sydney. Dans le but d’apaiser ces tensions, différentes mosquées australiennes ont ouvert leurs portes au public, le week-end dernier. Afin de sensibiliser la société, les guides ont accompagné les nombreux visiteurs australiens tout au long de leur visite en leur expliquant certains principes religieux, notamment les différences entre sunnites et chiites ou encore les raisons du port du voile par les femmes.

La classe politique réagit également. «L’extrémisme conduit souvent à des conflits,avait déclaré le vice-Premier ministre, Warren Truss, en mars. Les Australiens doivent se respecter mutuellement, respecter les opinions des autres, et quiconque désire promouvoir ses idées doit le faire pacifiquement, sans livrer autrui à la vindicte.» De même, Bill Shorten, le leader du Parti travailliste, appelait à davantage de mesure. «L’extrémisme, que ce soit de l’extrême gauche ou de l’extrême droite, n’est pas le bienvenu en Australie.»

Source

Le gouvernement australien décourage les candidats à l’immigration illégale

Et ça fait du bien de voir un gouvernement qui tente de prendre le problème à bras le corps, de façon musclée et sans langue de bois. Ces affiches sont diffusées dans les pays d’origine des clandestins (Afghanistan, Pakistan, Iran, Soudan et Sri Lanka notamment), dans les langues nationales.

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Traduction de l’affiche :

« PAS QUESTION.

VOUS NE SEREZ PAS CHEZ VOUS EN AUSTRALIE.

Le gouvernement australien a mis en place les mesures de protection de ses frontières les plus sévères de tous les temps.

– Si vous montez sur un bateau sans visa, vous n’arriverez pas jusqu’en Australie.

– Toute embarcation qui cherche à gagner illégalement l’Australie sera interceptée et reconduite hors des eaux territoriales.

– Ces règles s’appliquent à tout le monde : familles, enfants accompagnés ou non, travailleurs qualifiés.

– Peu importe qui vous êtes et d’où vous venez, vous ne serez pas chez vous en Australie.

PENSEZ-Y A DEUX FOIS AVANT DE GASPILLER VOTRE ARGENT, LES PASSEURS SONT DES MENTEURS. »

Source

A comparer avec les déclarations d'une Sommaruga...

L’Australie va envoyer au Cambodge des réfugiés

C’est un accord très controversé qui a été signé ce vendredi à Phnom Penh entre l’Australie et le Cambodge. Le Cambodge a accepté d’accueillir les migrants dont l’Australie ne veut pas, en échange de quelques millions de dollars.

L‘équivalent de 28 millions d’euros sur quatre ans très exactement, le prix pour Canberra d’une décharge de responsabilité, voire d’un abandon, selon certaines ONG, des réfugiés arrivés sur son sol.

Suite

Australie : l’opération “Souveraineté des frontières” a un an.

Souveraineté des frontières : c'est comme ça que l'Australie a réussi à stopper les débarquements de clandestins.

Zéro débarquement en une année. Voilà le résultat au premier anniversaire de l'opération Souveraineté des frontières mis en œuvre par le gouvernement australien il y a tout juste un an pour endiguer l'immigration clandestine.

Cette opération est une sorte de Mare Nostrum à l'envers qui, en 12 mois, a stoppé complètement les flux de migrants. Depuis décembre dernier, une seule embarcation a réussi à rejoindre l'Australie, alors que, pendant la précédente administration (Australian Labor Party), les débarquements de clandestins étaient quotidiens, et où des centaines de migrants ont perdu la vie dans des naufrages.

Les médias australiens en parlent, à l'exemple de The West Australian, qui cite, une année après le début de l'opération, les paroles du ministre de l'immigration, Scott Morrison :

"La protection des frontières fonctionne et les passeurs le savent bien. Ils ne font plus d'affaires. Ils sont repartis d'où ils étaient venus". Selon lui, la drastique réduction des embarcations est directement proportionnelle au nombre de morts. De cette façon, l'Australie a sauvé des vies humaines.

L'action appelée "Souveraineté des frontière" a commencé le 18 septembre 2013, le jour suivant la victoire électorale de Tony Abbott. Il a mis en place une politique complètement opposée à celle du gouvernement italien, Mare Nostrum, commencée en octobre dernier. En Australie, les embarcations interceptées sont repoussées dans les eaux territoriales des pays d'où elles viennent et ne sont pas ramenées sur les côtes australiennes. Ce sont les navires de la Marine australienne qui repoussent les bateaux qui viennent le plus souvent d'Indonésie, un pays qui, soit repousse les migrants, soit les laissent libres de naviguer. C'est ainsi qu'en janvier dernier, un navire militaire australien a ramené en Indonésie une embarcation avec, à son bord, 45 personnes, venant majoritairement du Soudan et de la Somalie, et cela sans avertir les autorités indonésiennes, accusées par Canberra de dévier intentionnellement les flux migratoires en direction de l'Australie.

Selon la loi australienne, les bateaux de clandestins interceptés en mer doivent être repoussés dans les eaux territoriales indonésiennes ou conduits dans quelque île de l'océan Pacifique qui joue le rôle d'un Ellis Island moderne.

En vertu d'accords bilatéraux, l'île de Manus, voisine de la Papouasie Nouvelle Guinée et celle de Nauru, prennent en charge ces "boat-people". Dans ces îles, les migrants doivent attendre les décisions des autorités australiennes. Soit ils recevront le statut de réfugiés, ce qui leur permettra de s'installer dans un état de l'archipel, soit ils seront rapatriés.

Depuis 2013 les requérants d'asile ne sont plus accueillis sur le territoire australien. Le gouvernement Abbott travaille actuellement sur un partenariat avec le Cambodge qui, avec des contreparties économiques, pourrait accueillir les migrants. Cette ligne dure sur l'immigration a été saluée comme un extraordinaire succès par le ministre de l'immigration Morrison. Il a repoussé les accusations des Nations Unies, qui, début septembre, avaient dénoncé "la suite de violations des droits humains" réservés au migrants par Canberra.

La majorité de l'opinion publique appuie le gouvernement.

Source en italien (trad. pour lesobservateurs.ch par D. Borer)

“Quiconque soutien la charia en Australie devrait quitter le pays”

« Ceux qui soutiennent la charia en Australie devraient perdre leur droit de vote et être inadmissibles aux prestations sociales. Ils devraient même plier bagages et quitter le pays. » a déclaré Jacqui Lambie, Sénatrice élue représentant la Tasmanie.
«Quiconque soutient ou demande la charia en Australie devrait quitter le pays, c'est aussi simple que cela», dit-elle.  Il s'agirait selon elle d'un «problème sous-jacent» dans la société australienne. «Si nous n'agissons pas maintenant, il deviendra plus important et plus dangereux.»

(...)

Speaking in the context of Australia’s pledge to deploy forces to help dislodge Islamic State (Isis) from Iraq, Lambie said supporters of sharia law should pack their bags and leave Australia.

Sharia law influences the legal code in most Muslim countries and includes regulations to do with all aspects of Muslim life, including daily routines, religious and family obligations, marriage and financial dealings.

But extremist groups such as Isis have become notorious for implementing hardline aspects of sharia law, including stonings and killings.

Lambie said any Australian who supported sharia law should not have the right to vote or get welfare payments.

“Anybody that is supporting or calling for sharia law in Australia should get out, simple as that,” she said.

She said it was an “underlying problem” in Australian society.

“Unless we put our foot down on it now it will only become bigger and more dangerous,” she said.

(...)

Article complet en anglais

Via postedeveille

Australie : Des jeunes attaquent un bus d’enfants juifs aux cris de « Heil Hitler, libérez la Palestine »

Les enfants juifs âgés de cinq à 12 ans voyageaient, mercredi 6 août, dans un bus privé de la banlieue de Sydney lorsque huit adolescents ont fait irruption dans le véhicule. Les agresseurs présumés ont harcelé et menacé les écoliers aux cris de « Heil Hitler »« Mort aux juifs » et« Libérez la Palestine », selon les parents des enfants.

Cinq des adolescents suspectés d’avoir terrorisé les passagers de ce bus scolaire ont été arrêtés le lendemain du méfait, a annoncé la police. Ils ont été auditionnés dans la nuit, avant d’être rendus à leurs parents.

Une mère de famille a expliqué avoir retrouvé ses trois filles en pleurs, traumatisées. « Ma petite dit qu’elle a peur tout le temps maintenant », confie Jacqui Blackburn à la radio publique ABC (en anglais). L’organisation représentative des juifs de l’État de Nouvelle-Galles du Sud a fait savoir que des agents de sécurité voyageraient désormais dans les bus desservant les écoles juives.

France TV Info

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