Le transgenre? C’est dépassé! Voici maintenant le « transhandicap »

post_thumb_default

Carla Montet: La question se pose alors: Si des médecins acceptent de castrer des corps parfaitement sains pour les faire correspondre à une obsession mentale, pourquoi ne pas amputer, rendre manchot, unijambiste, paraplégique ou tétraplégique, selon le ressenti profond du patient? Et nos assurances sociales, donc nous les gueux, nous allons financer la prise en charge médicale de ces personnes leur vie durant?

Les parents des enfants trans sont coincés par le chantage au suicide s'ils tentent de s'opposer aux mutilations de leurs enfants. Les spécialiste disent: mieux vaut un enfant trans qu'un enfant mort, n'est-ce pas?
Les parents vont-ils également être obligés d'accompagner leurs enfants qui veulent devenir transhandicapés?

Où s'arrêtera cette folie?

*******

Il existe des personnes qui s'identifient comme « transhandicapés ». Auparavant valides, ces personnes ont choisi de devenir handicapées en se blessant de façon permanente ou en subissant des interventions chirurgicales afin de pouvoir vivre en tant que personne handicapée.

Twitter: @Lencyclopediste

*******

Du transgenre au "transhandicapé" : Aujourd'hui, des gens "choisissent" de s'identifier comme handicapés

Certaines personnes souffrant d'un "trouble de l'identité de l'intégrité corporelle" souhaitent même une amputation ou d'autres handicaps – des experts s'expriment.

Un problème sociétal troublant appelé "transhandicap" (en anglais "transableism") attire l'attention ces jours-ci.

Il s'agit d'un nouveau terme pour ce que l'on appelait le "trouble de l'identité et de l'intégrité corporelle" (TIIC), dans lequel une personne valide s'identifie comme handicapée.

Selon certains, le trouble de l'intégrité corporelle a été rebaptisé "transhandicap" pour s'aligner sur la communauté transgenre d'aujourd'hui.

Le but de ce remplacement d'un terme psychiatrique (TIIC) par un terme évoquant la "défense des droits" (transhandicap) est d'"exploiter le pouvoir culturel énorme de l'idéologie du genre" afin de permettre aux médecins de "traiter" les patients TIIC en "amputant des membres sains, en coupant la moelle épinière ou en détruisant la vue", selon Evolution News and Science Today (EN), un journal qui rapporte et analyse l'évolution, les neurosciences, la bioéthique et d'autres questions liées à la science.

D'un point de vue culturel, le transgenrisme est "le prochain abîme", note également ce site.

Pourquoi ?

Parce que "certaines de ces personnes se mutilent elles-mêmes, d'autres demandent aux chirurgiens de les amputer ou de leur sectionner la moelle épinière", ajoute ce site à propos des mesures choquantes prises par certains.

L'Institut national de la santé (NIH) note sur son site web que "les personnes atteintes du syndrome TIIC souhaitent l'amputation d'un ou de plusieurs membres sains ou la paralysie".

Un étudiant de Caroline du Nord a qualifié le transhandicap d'"appel à l'attention".

Ce jeune homme de 24 ans a dit à Fox News Digital : "C'est offensant pour les personnes qui souffrent réellement d'un handicap de dire que vous en avez besoin pour être vous-même. (…) Je me demande si on peut vous prendre au sérieux si vous altérez votre corps de cette manière, au lieu d'obtenir une aide psychiatrique."

Dans un cas de TIIC, Jørund Viktoria Alme, 53 ans, analyste de crédit senior à Oslo, en Norvège, s'identifie comme handicapée et utilise un fauteuil roulant, bien qu'il/elle ne souffre d'aucun handicap physique.

Elle est également transgenre, selon Heraldscotland.com. En 2022, lors de l'émission télévisée matinale "Good Morning Norway", Alme a déclaré que c'était son "souhait de toute une vie" d'être née "femme paralysée à partir de la taille".

Dans un autre cas encore plus choquant, une femme de 21 ans, de Caroline du Nord, qui s'identifie comme aveugle, a tenter de s’ôter elle-même la vue, selon de nombreux articles de presse datant de quelques années.

Une interniste de l'Arizona a qualifié le transhandicap d'aujourd'hui de "trouble délirant".

"À mon avis, les personnes transgenres et transhandicapées souffrent d'un trouble délirant", a déclaré par courriel à Fox News Digital Jane Orient, interniste généraliste à Tucson, Arizona, et directrice exécutive de l'Association des médecins et chirurgiens américains.

"Le serment d'Hippocrate engage les médecins à ne pas faire de mal", a écrit Mme Orient.
"La mutilation du corps est un mal objectif, même si elle permet au patient de se sentir subjectivement mieux."
"Le handicap dure toute la vie et impose des charges aux autres. Ni les patients, ni les médecins ne peuvent se soustraire à cette responsabilité."
"Le suivi des transgenres est généralement très court - je ne sais pas ce qui en sera des amputés volontaires", a-t-elle ajouté.

L'excuse du "pas d'autre moyen" [de faire face au trouble mental] est une dérobade. Nous devons trouver d'autres moyens", souligne-t-elle également. "Le déni de la réalité est anti-scientifique. […]

Le Dr Marc Siegel, professeur de médecine et interniste au centre médical NYU Langone à New York, ainsi que collaborateur médical de Fox News, a déclaré par courriel à Fox News Digital que la plupart des médecins "ne pratiquent que les procédures qu'ils jugent médicalement indiquées".

Le Dr Siegel mentionne le syndrome de Munchausen, qui est un "trouble factice" dans lequel une personne "agit de manière répétée et délibérée comme si elle souffrait d'une maladie physique ou mentale" alors qu'elle n'est pas réellement malade, selon WebMd.com.

Le Dr Siegel ajoute : "Nous avons affaire à des cas de Munchausen et de Munchausen par procuration, où les patients peuvent être très convaincants à propos de maladies qu'ils n'ont pas vraiment – et nous devons être attentifs à ce genre de cas."

Qualifiant les interventions de chirurgie esthétique de "zone grise", Siegel relève qu'"en tant qu'interniste qui autorise les patients à subir toutes sortes d'interventions chirurgicales, je me retrouve à discuter longuement avec eux pour savoir s'ils ont vraiment besoin d'un lifting du visage, d'une abdominoplastie, etc.

À propos du "transhandicap", il ajoute: "Je n'autoriserais jamais quelqu'un à se faire amputer d'un membre si cela n'est pas médicalement nécessaire."

L'étudiant de Caroline du Nord a également ait à propos de la tendance actuelle au transhandicap: "Aujourd'hui, j'ai l'impression que les gens encourageraient [même] la mutilation des personnes 'transhandicapées', afin d'être considérés comme des 'alliés'."

https://www.foxnews.com/lifestyle/transgendered-transabled-people-choosing-identify-handicapped

Traduction libre: Carla Montet

*******

Trouble identitaire de l'intégrité corporelle

Le trouble identitaire de l'intégrité corporelle (TIIC, appelé aussi trouble de l'identité amputée) est un trouble psychologique causant à un individu en bonne santé la sensation de devoir être handicapé.

Le terme transcapacité est un synonyme utilisé par certains chercheurs francophones pour traduire l'anglais transability, dérivé du terme transabled inventé par Sean O'Connor en 2004.

(Ndlr : L'anglais transabled est une contraction de trans et de disabled ‘handicapé’. La personne qui a inventé le terme français transcapacité n’a apparemment pas compris cela et a traduit littéralement l'élément ability par ‘capacité’.)

Ce trouble n'est pas médicalement reconnu par le DSM-5 de l'Association américaine de psychiatrie.

Le TIIC est généralement accompagné du désir d'amputer un ou plusieurs membres sains. Il comprend également le désir d'avoir d'autres formes de handicap, comme le cas d'une femme qui s'est intentionnellement rendue aveugle. Le TIIC peut être associé à l'apotemnophilie, c'est-à-dire l'excitation sexuelle basée sur l'image de soi amputée. La cause du TIIC est inconnue. […]

Wikipédia (adapté)

*******

Le transgenre? C’est dépassé! Voici maintenant le “transhandicap”

Par Jonathon Van Maren de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

14 septembre 2015

Les idées ont des conséquences. Il fut un temps où nous comprenions cela. […]

De même, récemment, l’idée que la façon dont nous nous sentons devrait primer sur ce que nous sommes a été mise en valeur sur la couverture de Vanity Fair avec Bruce Jenner se présentant comme son nouvel alter ego, Caitlyn Jenner.

Et les mêmes arguments sont maintenant utilisés par une communauté qui vient de commencer à faire entendre sa voix : les « transhandicapés ».

Le National Post a publié un article sur les « transhandicapés », citant en introduction le cas d'un homme qui a intentionnellement coupé son bras droit. « Jason-n’a-qu’une-main», comme il se nomme lui-même, n’est apparemment pas le seul. Citons le Post :

« Nous définissons le “transhandicap’’ comme le désir ou le besoin d'une personne, identifiée comme valide par les autres, de transformer son corps pour obtenir une déficience physique », explique Alexandre Baril, un universitaire d’origine québécoise qui a présenté le « transhandicap » au Congrès des sciences sociales et humaines de l'Université d'Ottawa ...
« La personne pourrait vouloir devenir sourde, aveugle, amputée, paraplégique. Il s’agit d’un désir vraiment très fort. »
[Dans cette communauté,] beaucoup de gens, comme Jason-n’a-qu’une-main, organisent des « accidents » pour aider à atteindre l'objectif. L’un d’entre eux a fait tomber un bloc de béton incroyablement lourd sur ses jambes – il a tenté de se blesser si gravement qu’une amputation serait nécessaire. Mais les médecins ont sauvé sa jambe. Il boite, mais ce n’est pas le handicap qu'il voulait.

Nous sentons instinctivement que cela est une forme de maladie mentale, ou un dysfonctionnement cognitif. Et en effet, c’est de cette façon que les « transhandicapés » ont été initialement abordés. Mais les choses changent:

Les transhandicapés sont très discrets et gardent souvent leurs désirs à l’intérieur d’eux-mêmes, dit Baldwin. Un homme âgé de 78 ans a confié à Baldwin qu’il avait vécu avec ce secret pendant 60 ans et ne l'avait jamais dit à sa femme.
« C’est un problème pour les individus, car c’est pénible. Mais beaucoup de choses le sont. » Il suggère que ceci est simplement une autre forme de la diversité du corps – comme la transsexualité — et que l'amputation peut aider une personne à atteindre des objectifs similaires à ceux d’une autre qui, par exemple, subit une chirurgie esthétique pour ressembler davantage à son moi idéal. 

Cela ne surprendra personne que cette façon de parler de désirs secrets et tourmentés, ainsi que d'autonomie corporelle et de droit à la libre expression de la personne, soient récupérés encore par une nouvelle « communauté ». Ces gens se sentent parfaitement normaux, et croient que c’est la réalité qui doit être pliée à leurs désirs, indépendamment du fait que ces désirs conduisent au malheur et à l'auto-mutilation.
Mais, dans une large mesure, nous avons déjà accepté l'idée que les gens peuvent utiliser la chirurgie pour se trancher, couper et modifier eux-mêmes en différents genres, alors pourquoi devrions-nous nier à cette communauté les mêmes droits? […]

    « Ils ont tendance à voir les personnes transhandicapées comme des gens malhonnêtes, des gens qui tentent de voler les ressources de la communauté, des personnes qui seraient irrespectueuses en niant, fétichisant ou romançant le vrai handicap », dit Baril, ajoutant que des gens, à la fois dans le cercle des transgenres et des personnes handicapées, ont tendance à faire des déclarations critiques ou préjudiciables à propos des personnes transhandicapées. « Chaque groupe essaye de prendre ses distances. »

Bien sûr . Tout comme les militants sexuels de toutes allégeances ont ouvert la fenêtre Overton de plus en plus large, ils s’arrêtent seulement pour prétendre que la logique qu'ils utilisent ne sera jamais récupérée par un autre groupe un peu plus en dehors des limites. Et pourtant, une fois que ces arguments sont acceptés, la société est obligée de les appliquer à de plus en plus de manifestations bizarres de « l'expression de soi ». […]

Les idées ont des conséquences, qui ne se limitent pas aux petites minorités qui s’expriment dans des micros gigantesques. […] La question, à l'origine hypothétique, de savoir si quelqu'un qui est suicidaire à cause d’une dépression sévère [risquerait] d’être envoyé à un centre de « mort assistée » ou de suicide est maintenant [devenue] très réelle, et très effrayante.

Nous avons perdu la capacité de conduire les prémisses à leur conclusion logique. […] Mais malheureusement, ces conclusions ne sont pas seulement des fantasmes créés sous le coup d’une panique morale des conservateurs. Ce sont des prédictions qui, l’une après l’autre, se réalisent.

https://www.cqv.qc.ca/le_transgenre_c_est_depasse (adapté)

*******

Un Norvégien s’identifie désormais comme une femme handicapée et utilise un fauteuil roulant “presque tout le temps”

Genevieve Gluck

[…] En Norvège, un homme suscite l’indignation sur les réseaux sociaux après avoir été complaisamment interviewé au sujet de sa décision de commencer à s’identifier comme une femme handicapée.

Le 28 octobre, l’émission de télévision Good Morning Norway (God Morgen Norge, GMN) a diffusé une interview de Jørund Viktoria Alme, 53 ans, un homme valide qui s’identifie désormais comme une femme handicapée. Dans l’interview, Alme a déclaré qu’il avait toujours souhaité être né comme une femme paralysée au-dessous de la taille.

[…] Il a donné plusieurs interviews, souvent aux côtés de sa femme, Agnes Mjålseth.

Bien qu’il ne souffre d’aucun handicap physique, Alme utilise actuellement un fauteuil roulant « presque tout le temps ».

Outre la dysphorie de genre, Alme affirme souffrir d’un trouble de l’intégrité corporelle (TIC), évoquant une « dissonance » entre la façon dont il se perçoit et le fonctionnement de son corps. […]

Une étude menée en 2005 sur des personnes atteintes de TIIC a révélé que cette maladie « recoupait » largement d’autres paraphilies. Dans cette étude, 90 % des personnes interrogées étaient des hommes et, sur l’ensemble des participants, 87 % ont admis être sexuellement attirés par les amputés. Près d’un tiers ont déclaré avoir au moins une autre paraphilie, ou fétichisme sexuel, notamment le travestisme, le fétichisme, le masochisme ou la pédophilie. Les chercheurs ont fait remarquer qu’il y avait « des similitudes entre le trouble de l’identité de genre et cette affection ». […]

Vaishnavi Sundar, réalisatrice et représentante de l’organisation de défense des droits des femmes Women’s Declaration International (Déclaration internationale des femmes), s’est entretenue avec plusieurs dizaines de femmes de différents pays ayant divorcé ou quitté leur mari pour des raisons liées à une « identité de genre » autoproclamée. […]

« C’est très traumatisant pour les femmes qui sont obligées de rester dans la relation car c’est une forme de violence émotionnelle. On attend d’elles qu’elles jouent un mensonge jour après jour et elles sont réprimandées quand elles osent le contester. Elles sont obligées de remettre en question leur propre identité dans ce processus et certaines doivent alors vivre le reste de leurs vies comme des « lesbienne » dans certains cas. Sans parler du fait qu’elles doivent répondre à des exigences sexuelles et gérer le ménage pendant qu’il s’en va dépenser toutes leurs économies en vêtements, chaussures et maquillage. » […]

https://www.partage-le.com/2022/11/02/un-homme-norvegien-sidentifie-desormais-comme-une-femme-handicapee-et-utilise-un-fauteuil-roulant-presque-tout-le-temps-par-genevieve-gluck/

*******

Sur le même sujet, en anglais :

What is Body Integrity Dysphoria?

Becoming disabled by choice, not chance: 'Transabled' people feel like impostors in their fully working bodies – National Post (Canada)
Quand il s'est coupé le bras droit avec un "outil électrique très tranchant", l'homme qui se fait maintenant appeler Jason-n’a-qu’une-main a fait croire à tout le monde que c'était un accident.

The Complicated Issue of Transableism – JStor Daily
Certaines personnes nées avec un corps valide se sentent comme si elles étaient destinées à avoir des handicaps. Comment la communauté médicale doit-elle réagir ?

Disorder Makes Patients Want to Be Disabled – ABC News
Des personnes dites "transhandicapées" ont envie d'être amputées, paraplégiques, aveugles ou sourdes.

Une femme d'une vingtaine d'années (non photographiée) s'est déclarée aveugle alors qu'elle ne l'était pas - et a même pris des mesures pour tenter de perdre la vue, selon plusieurs rapports. (iStock)

source et article complet: https://www.foxnews.com/lifestyle/transgendered-transabled-people-choosing-identify-handicapped

 

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.