Bruxelles attend une réaction rapide de Berne en faveur de l’accord-cadre après le vote de dimanche

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La Commission s’était engagée à ne plus rien dire sur l’accord cadre d’ici à la votation sur la libre circulation. Le sujet va donc rapidement revenir sur la table en cas de rejet de l’initiative de limitation soumise au vote le dimanche 27 septembre.

Du côté du Parlement européen, l’on se montre toutefois un tout petit plus bavard à l’image de l’Allemand Andreas Schwab, président du groupe parlementaire sur les relations UE-Suisse, se disant «assez confiant» ces derniers jours que l’initiative sera rejetée compte tenu des sondages. Et impatient que les discussions reprennent car «le statu quo n’est plus possible».

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La Commission a déjà prévu un dispositif de communication et devrait réagir dès l’annonce des résultats éventuellement avec une déclaration de la présidente Ursula Von der Leyen.

Le scénario privilégié étant celui d’un rejet du texte de l’UDC et non d’une grande crise du type de 2014, l’Allemande pourrait donc se rappeler au bon souvenir de Berne et réitérer son souhait de voir l’accord cadre signé le plus vite possible comme elle l’avait fait en janvier à Davos avec Simonetta Sommaruga.

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LeTemps

Nos remerciements à Info


Note : Le Temps se garde bien de mentionner les détails portant sur cet accord secret entre notre gouvernement et l'UE ou même de critiquer le Conseil fédéral. Voici comment ce Conseil fédéral a trahi les Suisses :

Le procès-verbal de l’accord secret entre Sommaruga et von der Leyen est en main de la «Weltwoche »  

 

 

Rappels :

Sommaruga, Cassis et Schneider-Ammann veulent imposer un accord-cadre à la Suisse

« L’accord-cadre avec l’Union européenne est une trahison, car il signifierait la fin de la démocratie directe en Suisse »

Accord-Cadre avec l’UE : comment notre gouvernement trompe la population suisse

Edito du 24 Heures : « Avec l’accord-cadre, l’Union Européenne exige de la Suisse des conditions inacceptables ».

La Suisse annonce une mesure de rétorsion contre l’UE. L’Union Européenne rétorque qu’elle veut un accord institutionnel.

Union Européenne: Roberto Balzaretti veut convaincre les Suisses de l’intérêt de l’accord-cadre porté par Ignazio Cassis.

« L’accord-cadre avec l’Union européenne est une trahison, car il signifierait la fin de la démocratie directe en Suisse »

 

4 commentaires

  1. Posté par Anatole Valent le

    Lorsque l’on sait qui est -bien souvent- derrière le parlement européen, on ne peut que penser qu’il y en a qui aime semer la zizanie pour ne mieux arriver qu’à ses fins. Soros aimerait-il cette situation ne pouvant qu’en arriver à ses propres fins personnelles.
    “la politique, la vraie, n’est pas celle visible par le grand public, mais celle qui lui est cachée.” 😉

  2. Posté par combattant le

    L’UERSS pressée de nous faire les POCHES comme dans les autres pays de cette SINISTRE DESUNION dirigée et dans mains souillées de sang de ces bolchèviques assoiffés de pouvoir,et de DICTATURE ou nom du DIEU FRIC ! Que Dame Nature s’occupe de remettre de l’ordre,sur cette terre en la laissant à nos ANIMAUX et à la Nature ! Je HAIS cette époque ! en reprenant les paroles de Michel Sardou ! Que sont devenus les Humains ? quel désastre,une honte.OUI C’ETAIT MIEUX AVANT ! Justice par la peine de mort,la guillotine doit reprendre du SERVICE,un service aux victimes de ces barbares,violeurs,pilleurs des caisses sociales,pyromanes.C…………er de payer des impôts !

  3. Posté par antoine le

    NON à l’accord-cadre !
    A moins que certains politicards désirent un coûteux Swissxit dans les années à venir ….

Et vous, qu'en pensez vous ?

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