D’où vient le Coronavirus ?

Stéphane Montabert
Suisse naturalisé, Conseiller communal UDC, Renens
post_thumb_default

D'où vient le virus responsable de la maladie du Covid-19, le coronavirus SARS-CoV-2 selon sa dénomination officielle?

Avec une pandémie mondiale, plus de 3,5 millions de victimes infectées et 250'000 morts en ce mois de mai, et des dégâts économiques chiffrés en milliers de milliards de dollars, on pourrait penser que la question a quelque importance. Mais non. Les médias "d'investigation" sont étonnamment peu curieux.

C'est d'autant plus étrange que ces derniers jours ont donné lieu à des progrès fulgurants sur cet aspect du dossier. Mentionnons donc ici les quelques informations dont nous disposons et dont les médias de masse parleront peu, ou mal.

Il y a deux mois et demi, même le Global Times, la Pravda du régime communiste chinois, avouait que le virus ne provenait pas du marché exotique de Wuhan - ce qui n'a pas empêché les médias des pays dits "libres" de continuer à propager cette fable.

À la même date, le New York Post - un respectable quotidien américain publié depuis deux siècles - avait accusé le virus de provenir d'un laboratoire chinois.

Depuis, tous les regards des rares personnes que cela intéresse se tournent vers le fameux laboratoire P4 (pour Pathogènes de classe 4) de Wuhan, situé à moins d'un kilomètre du fameux marché exotique de la ville...

coronavirus,chine,santé,mensonges
Le laboratoire P4 de Wuhan (image Yahoo! News)

Pour un aperçu du site et de l'affaire en cours, BFMTV donne un résumé intéressant:

Selon le quotidien Washington Post, l'ambassade des États-Unis à Pékin, après plusieurs visites à l'institut, a alerté en 2018 les autorités américaines sur des mesures de sécurité apparemment insuffisantes dans un laboratoire qui étudiait les coronavirus issus de chauves-souris.

La chaîne américaine Fox News, citant "plusieurs sources" anonymes, a incriminé le laboratoire P4 (pour pathogène de classe 4) du site, sans donner de preuves précises. Il s'agit d'une installation de très haute sécurité, qui héberge les souches les plus dangereuses des virus connus, comme Ebola.

Ce lieu ultrasensible a été réalisé avec la collaboration de la France, même si la coopération franco-chinoise a été un échec. Les laboratoires P4 Jean Mérieux-Inserm de Lyon Bron et celui de Wuhan devait collaborer. "On peut dire sans dévoiler un secret d'État que depuis 2016, il n'y a pas eu de réunion du comité franco-chinois sur les maladies infectieuses", a déclaré Alain Mérieux, qui était membre du comité de pilotage, à la cellule investigation de Radio France. 

Le laboratoire permet de mener des recherches de pointe. Ambition: réagir plus rapidement à l'apparition de maladies infectieuses. Bien que la presse américaine évoque à chaque fois le P4, les germes moins pathogènes comme les coronavirus sont en théorie plutôt étudiés dans les P3, un type de laboratoire dont dispose également l'institut.

D'un coût d'environ 40 millions d'euros, le laboratoire a été financé par la Chine. Les chercheurs y travaillent en confinement absolu. Il existe moins d'une trentaine de P4 dans le monde, dont la moitié aux Etats-Unis. L'Institut de virologie de Wuhan possède par ailleurs la plus grande collection de souches de virus en Asie, avec 1'500 spécimens différents, selon son site internet.

Interrogé, l'institut a refusé de répondre aux questions de l'AFP. Le chercheur français qui y travaille n'a pas voulu non plus s'exprimer, invoquant son "devoir de réserve". Nous ne sommes donc pas en mesure de confirmer formellement que des coronavirus ont bien été étudiés avant l'épidémie dans ces laboratoires.

On notera les tournures de styles venimeuses propre au journalisme à la française, parlant de mesures de sécurité "apparemment" insuffisantes - l'éventualité qu'un virus mortel s'échappe n'est peut-être pas un motif suffisant de remise en question? - ou la vilaine chaîne américaine Fox News "citant des sources anonymes" et "ne donnant pas de preuves précises", avec le gros sous-entendu que tout ceci n'est que pire calomnie... Pas le genre de choses auxquelles un journaliste français oserait s'abaisser! Il n'y a même pas le lien vers l'article incriminé, afin d'éviter qu'un Internaute curieux aille vérifier de lui-même. Le voici donc.

BFMTV passe comme chat sur braise sur le fait que le laboratoire de Wuhan a été financé par la Chine et construit par la France dans le cadre d'une collaboration internationale avec la bénédiction de l'OMS tenue par les Chinois. Son "accréditation niveau P4" est inaugurée en février 2017 par le Premier ministre français de l'époque Bernard Cazeneuve, accompagné de la ministre française des Affaires sociales et de la Santé Marisol Touraine, ainsi que d'Yves Lévy, président de l’INSERM, et accessoirement conjoint d'Agnès Buzyn, proche d'Emmanuel Macron et candidate LREM pour la Ville de Paris... La même qui expliquait dès janvier au Président la gravité de l'épidémie à venir, à une date où tout pouvait encore être sauvé! L'amère découverte de ce timing a fort logiquement donné naissance au hashtag #ilsSavaient.

La page Wikipédia française de l'Institut de virologie de Wuhan n'ayant pas encore été "rectifiée", elle contient encore de nombreuses informations intéressantes. Il n'est même pas certain d'ailleurs que l'attention portée au secteur P4 de l'Institut de Virologie de Wuhan soit appropriée. Le travail sur les Coronavirus a pu être mené en zone P3, moins sécurisée.

Mais revenons aux vilaines accusations parues dans les médias anglo-saxons.

Quinze pages accablantes

Les services de renseignement de l'Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis collaborent dans le cadre du traité UKUSA et leur alliance est parfois appelée les "Cinq Yeux". Enquêtant sur la source de l'épidémie depuis qu'elle s'est révélée au monde, ils ont rassemblé leurs découvertes dans un document de quinze pages... Qui a forcément fuité dans la presse.

Le Daily Telegraph australien s'en fait l'écho. Si l'entier du document n'est pas encore disponible, il contient nombre d'éléments accablants. Comme une sorte de fil rouge dans le rapport, les auteurs soulignent que la négligence et les mensonges de la Chine ont entraîné la "mise en danger de pays tiers", alors que le Parti Communiste Chinois (PCC) faisait taire ou "disparaître" les médecins qui rompaient le silence:

Les médecins qui ont courageusement parlé du nouveau virus ont été arrêtés et condamnés. Leurs détentions ont été relayées par les médias de l'État chinois avec un appel de la police de Wuhan afin que "tous les citoyens ne fabriquent pas de rumeurs, ne répandent pas de rumeurs, ne croient pas aux rumeurs."

Un tweet du Global Times du 2 janvier déclare: "La police de Wuhan, en Chine centrale, a arrêté 8 personnes répandant des rumeurs sur une épidémie locale de #pneumonie non identifiable. Des articles en ligne précédents disaient que c'était le SRAS. Cela a eu pour effet de faire taire les autres médecins qui pourraient être enclins à s'exprimer."

De plus, des preuves ont été détruites, et la Chine a refusé de fournir des échantillons vivants à des scientifiques internationaux travaillant sur un vaccin.

Le document obtenu par [le quotidien] parle de "suppression et destruction de preuves" et pointe "des échantillons de virus commandés détruits dans les laboratoires de génomique, les cages pour faune animale passées à la javel, le refus de partager au public la séquence du génome, la fermeture du laboratoire de Shanghai pour" rectification", des articles universitaires soumis à un examen préalable par le Ministère des sciences et de la technologie, et les données sur les "porteurs silencieux" asymptomatiques gardées secrètes".

Le dossier pointe du doigt les mensonges continuels de la Chine à propos du virus, notant que les preuves de transmission d'humain à humain existent depuis le début décembre, mais que "les autorités nient cette éventualité jusqu'au 20 janvier", appuyée en cela par l'OMS prenant une posture identique. Pourtant, des officiels de Taïwan soupçonnent cette transmission dès le 31 décembre, et des experts de Hong-Kong le 4 janvier.

Le 23 janvier, alors qu'ils fuient la capitale régionale contaminée, la Chine piège des millions de personne dans la ville. Pendant tout le mois de février, Pékin lance une offensive diplomatique auprès des États-Unis, de l'Inde, de l'Australie, de ses voisins du Sud-Est asiatique et d'autres pays afin qu'ils renoncent à se protéger à travers des restrictions de voyage, alors même que la Chine impose les restrictions de déplacement les plus sévères entre ses propres régions. La Chine bloque ses ressortissants tout en faisant tout pour qu'ils puissent circuler librement à l'étranger. De décembre à février, pas moins de 500'000 Chinois se seront ainsi rendus aux États-Unis.

Un virus naturel ou artificiel?

Bien que le dossier divulgué ne tranche pas sur la question de l'origine naturelle ou artificielle du Covid-19, il mentionne une étude de l'Université de technologie de Chine méridionale datée du 6 février suggérant que "le coronavirus tueur est probablement né d'un laboratoire à Wuhan."

Si le document d'étude a finalement été retiré, officiellement parce que son auteur principal a déclaré être en manque de preuves directes, le savant Yanzhong Huang précise le 5 mars que "nul scientifique n'a confirmé ni réfuté les conclusions de l'article."

Le 16 mars, même le professeur Luc Montagner, prix Nobel déclara que le virus a été fabriqué par l'homme au labo de Wuhan dans l'espoir de trouver un vaccin au virus du SIDA, et qu'il en serait sorti à la suite d'un accident. Les médias tirèrent sur le messager. Mais il n'est pas le seul témoin...

Le consensus actuel - et la position officieuse de nombreux États - est que le virus n'a pas été conçu artificiellement, mais s'est échappé soit de l'Institut de virologie de Wuhan, soit du CDC chinois, qui est situé à moins d'un kilomètre du marché de Wuhan à partir duquel une grappe de premiers cas est apparue. Pour l'heure, on ne sait pas si l'épidémie a commencé par contact avec des animaux infectés ou si elle était le résultat d'un accident dans un laboratoire.

Toutefois, le dossier du renseignement met en évidence les recherches menées par les scientifiques Shi Zhengli et son protégé Peng Zhou, dont les travaux sur le coronavirus de chauve-souris, et qui modifiaient le coronavirus de chauve-souris pour tester sa transmissibilité à d'autres espèces...

Une étude réalisée en novembre 2015 par Zhengli et son équipe, en collaboration avec l'Université de Caroline du Nord, conclut que le coronavirus de type SRAS pouvait passer directement des chauves-souris aux humains, et qu'il n'y a actuellement aucun remède ni traitement.

Le dossier mentionne au sujet de cette étude: "Pour examiner le potentiel d’émergence (c'est-à-dire le potentiel d'infection des humains) des CoV de chauves-souris en circulation, nous avons construit un virus chimérique codant pour une nouvelle protéine de pointe du CoV zoonotique - à partir de la séquence RsSHCO14-CoV qui a été isolé des chauves-souris rhinolophes chinoises - dans le contexte de la charpente du SRAS-CoV adaptée à la souris."

"Ce virus est hautement pathogène et les traitements développés contre le virus du SRAS d'origine en 2002 et les médicaments ZMapp utilisés pour lutter contre le virus Ebola ne parviennent pas à neutraliser et à contrôler ce virus particulier", a déclaré le professeur Ralph Baric de l'Université de Caroline du Nord, co-auteur du document de 2015.

Quelques années plus tard, en mars 2019, le Dr Shi et son équipe, dont Peng Zhou, qui a travaillé en Australie pendant cinq ans, publient une étude intitulée Bat Coronaviruses in China dans la revue médicale Viruses, où ils écrivent qu'ils "visaient à prédire les points chauds des virus et leur potentiel de transmission inter-espèces", décrivant cela comme une "urgence à étudier les coronavirus de chauves-souris en Chine pour comprendre leur potentiel à provoquer une autre épidémie." Leur étude conclut: "Il est très probable que les futures épidémies de SRAS ou de MERS comme les coronavirus proviendront de chauves-souris, et il y a une probabilité accrue que cela se produise en Chine."

Tant Shi et Zhou passèrent trois ans au Laboratoire de Santé Animale d'Australie, géré par l'agence nationale scientifique CSIRO. Entre 2011 et 2014, Zhou organisa la capture et le transport de chauve-souris sauvages depuis la région du Queensland jusqu'au laboratoire en Victoria, où les animaux furent euthanasiés, disséqués et étudiés dans le but d'y dénicher des virus mortels.

Est-il à ce point impensable que des chercheurs manipulant des virus soient à l'origine du Coronavirus? Chacun croira ce qu'il veut ; mais à ce stade, même si elle est entièrement responsable de la pandémie, il paraît certain que la Chine ne plaidera pas coupable.

coronavirus,chine,santé,mensonges

Le Daily Telegraph australien rappelle enfin le cas de Huang Yan Ling, une chercheuse de l'Institut de Virologie de Wuhan dont on pense qu'elle serait le "patient zéro", ayant été la première diagnostiquée avec la maladie.

Puis vinrent les nouvelles de sa disparition, et la biographie et sa photo effacées du site web de l'Institut de Virologie de Wuhan.

Le 16 février, l'Institut nia qu'elle fut le patient zéro et qu'elle était vivante et en bonne santé, mais il n'y a plus eu la moindre nouvelle de son existence depuis, suscitant de nombreuses spéculations.

Le 9 novembre 2015, l'Institut de Virologie de Wuhan publiait une étude révélant la création artificielle d'un virus en laboratoire à partir du SARS-CoV. Était-ce un galop d'essai?

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 7 mai 2020

15 commentaires

  1. Posté par Gub le

    Oui les Chinois n’ont pas tout fait juste on est d’accord mais delà à les accabler!
    Ce laboratoire est un truc mis en place avec la collaboration des ”français” et tout spécialement le docteur Lévy mari de Mme Buzin ex-ministre de la santé du gouvernement dictatorial de l’apprenti dictateur Macron. Qui est à la solde de personnes de la même église. Je suis sûr que tout ce gouvernement soumis savait exactement ce qui se passait mais n’a rien fait, même déconseillé aux français de porter des masques. On sait que la France est assez influente en Europe et n’a certainement pas trop expliqué aux autres gouvernements de l’UE ce qui allait exactement se passer après. Pourquoi? Je n’en sais pas grand chose même si j’ai mon idée la dessus.
    J’ai aussi pensé et tiré à boulets rouge sur les chinois mais après avoir fait un peu le tour de la question, je ne pense pas que les chinois et leur chauve souris soient si responsable que ça. C’est ce que les gros médias veulent nous faire croire. Posez vous juste la question à qui le crime profite?
    Qui veut nous pucer via un vaccin inutile certainement, comme celui-là du VIH d’ailleurs. On ne meurt pas du SIDA ou du Covid19. Non on meurt de dégâts qu’il fait sur nos métabolismes et sur certains de nos organes. Qui a intérêt de faire croire que la Chloroquine est inefficace? Qui a intérêt à faire passer le Professeur Raoult pour un illuminé? etc! On en revient toujours aux mêmes, ceux qui ont le pouvoir l’argent et qui en veulent plus.
    À réfléchir! Non?

  2. Posté par Laberlue le

    Encore une précision sur le commentaire du Professeur Luc Montagnier. Il dit : « Les américains ont mis de grosses sommes d’argent dans le laboratoire de Wuhan, puis il précise que c’est la NAS américaine. « The National Association of Scholars » a été créée en 1987 comme fondation philanthropique soutenue par des fonds privés et attachée aux plus grandes universités. Les mécènes ne sont pas connus, mais on risque de retrouver les mêmes omniprésents dans ce genre d’ONG. Pourquoi financent-ils un laboratoire de virologie dangereux et problématique en Chine ? Voilà une piste.

  3. Posté par Blaise le

    Naturel ou pas, ce coronavirus se soigne très bien, si on s’en donne la peine. Que ce soit avec le traitement du Pr Raoult ou avec d’autres protocoles, compris ceux issus de la phytothérapie chinoise. Mais voilà, les Pharmas ont voulu profiter de l’occasion pour faire financer par les hôpitaux leurs études en double aveugle sur les antiviraux , et ont donc tout fait pour discréditer les traitements bon marchés et efficaces. On attends toujours les résultats de la grande étude européenne « Discovery »…Probablement que les antiviraux y ont fait un « flop », et que l’on ne va plus nous en parler. Malheureusement, dès le début de dette affaire, des « idiots utiles » ont fait paniquer la population au lieu de s’en tenir aux faits : 1. En infectiologie, on isole et on soigne uniquement les malades 2. Confiner n’est pas soigner. 3. Quand elle est bien soignée, cette maladie n’est pas pire qu’une autre.
    Résultat de ce refus de reconnaître les faits ? Une catastrophe économique dont nous ne voyons aujourd’hui que les prémisses, des victimes indirectes innombrables, y compris parmi les personnes âgées que l’on a prétendu « protéger », et que l’on a laissées sans soins adaptés à leurs pathologies, cause du confinement. Si on avait voulu détruire nos sociétés, on ne s’y serait pas pris autrement. A moins que nous soyons entrés à grand fracas dans l’ère de l’Idiocratie…..et de l’Hypocondrie. Je vous laisse décider, car pour ma part, je n’y arrive pas encore.

  4. Posté par Laberlue le

    @Stephane Montalbert;
    J’ai réécouté l’interview du Prof. Montagnier sur Radio-Sud (https://www.youtube.com/watch?v=hECevTKmwRk). Il dit vers la 6e minute que les USA ont financé le labo de Wuhan « avec de grosses sommes d’argent ». Je n’ai pas retrouvé la séquence où il dit que les P4 ne sont pas autorisés aux USA, mais ça m’est resté..
    Quant à votre question sur « ma théorie » : je constate que les experts analysent tout ce qui ne va pas en Chine ou en Russie avec beaucoup de sagacité, mais analysent peu les incohérences françaises et américaines ou les soupçons que l’on peut avoir sur l’ingérence politique de l’Etat profond. Mais ce chapitre ne vous concerne pas.

  5. Posté par Dede le

    SI il y’a eu un accident au P4 de Wuhan, il a eu probablement lieu le 5 ou le 6 octobre! Le site NBC news a fourni le 9 mai (hier) le lien vers un rapport qui démontre que subitement, et sans aucune raison connue (ni prévue), entre 7 et 11 octobre il y’avait plus aucun telephone cellulaire sur le site du P4 à Wuhan. Ensuite, sporadiquement, ils ont détecté aux mois de novembre qu’un ou deux telephones, appartenant probablement aux gardiens. Pratiquement plus personne au labo?
    Lien: https://www.nbcnews.com/politics/national-security/report-says-cellphone-data-suggests-october-shutdown-wuhan-lab-experts-n1202716
    A mon humble avis, le gouvernement Français a « merde » (encore une fois..) car « la DGSE aurait été au courant des failles du laboratoire P4 de Wuhan depuis 2018 ».. «  »C’est un fiasco d’État », regrette un diplomate dépité du Quai d’Orsay à propos de ce projet de coopération franco-chinois », voir https://lesobservateurs.ch/2020/05/09/france-la-dgse-aurait-ete-au-courant-des-failles-du-laboratoire-p4-de-wuhan-depuis-2018/
    cqfd..

  6. Posté par Stephane Montabert le

    @Laberlue:

    1- la moitié des laboratoires P4 dans le monde sont aux USA. J’aimerais bien la source de cette « citation » de M. Montagnier que vous évoquez, je doute qu’elle existe.

    2- L’article « n’enfonce » personne, il énonce des faits et des indices, qui ne visent nullement les Chinois dans leur ensemble, mais des chercheurs sans garde-fous et un régime déterminé à transformer une épidémie en pandémie.

    « Seulement cet état d’esprit ne doit pas être réservé qu’aux chinois » – Vous pourriez développer votre théorie? Vous allez nous sortir que des services secrets étrangers sont venus infecter délibérément les habitants de Wuhan?

  7. Posté par Gérard Guichard le

    On commence d’avoir le fin mot de l’histoire: La Chine a admis que le Covid-19 avait révélé des «lacunes» dans son système de santé et de prévention des maladies infectieuses. En fait l’image de modernité que voulait véhiculer la Chine en prend un sérieux coup; c’est en fait un pays susceptible du premier coup de vent. On peut donc présenter la note à la Chine, qui a voulu se donner une image de modernité -à laquelle certains pays ou groupes d’influence ont cru- alors qu’elle reste un pays émergent (anciennement on disait sous-développé) du fait essentiellement de sa population rurale et jeune laquelle reste sous l’influence du maoïsme de stricte observance

  8. Posté par Noel Cramer le

    Quelque-soit l’origine du virus, c’est la Chine qui profitera du chaos économique mondial que la pandémie causera. Le faible nombre de cas annoncés par la Chine est d’ailleurs surprenant compte tenu de la taille de sa population. Les mesures de confinement pris sur place étaient radicales alors que les déclarations officielles parlaient de la faible transmissivité à l’homme du virus. Il est assez vraisemblable que l’origine de la contamination soit dans la fuite accidentelle d’un laboratoire – et que les conséquences aient été minimisées pour des raisons politiques. L’avenir le dira, on l’espère.

  9. Posté par Jean Bastide le

    SELON ANTHONY FAUCI, LE CORONAVIRUS, PUREMENT NATUREL, NE VIENT PAS DU LABORATOIRE DE WUHAN! IL CRAINT UNE DEUXIÈME VAGUE EN SEPTEMBRE!
    https://jeanbastide.simplesite.com/

  10. Posté par Gérard Guichard le

    Il faudrait débrouiller ce méli-mélo parce qu’il va bien falloir présenter la note à quelqu’un :):)

  11. Posté par Laberlue le

    L’article enfonce les chinois. C’est normal d’investiguer, de mener une enquête, de chercher le pourquoi, le comment et les causes. Seulement cet état d’esprit ne doit pas être réservé qu’aux chinois. Il y a des tas d’incohérences en Europe et aux USA qui sont suspectes et peu nombreux sont ceux qui se donnent la peine d’en faire l’analyse. Ce que l’article ne dit pas, c’est que les USA ont financé les labos chinois avec de grosses sommes d’argent, tout simplement parce qu’ils n’ont pas le droit d’avoir des labos P4 chez eux. Montagnier dixit. Cela ne disculpe aucunement les chinois, mais quand on enquête il faut être neutre. L’analyse à sens unique décrédibilise son auteur.

  12. Posté par Poilagratter le

    En attendant, macron a refusé que des malades soient amenés en réanimation en clinique privées, pourtant désœuvrées . Il a aussi passé des lois pour être intouchable, juridiquement du moins.

  13. Posté par Dominique le

    Voilà pourquoi il faut toujours parler du Coronavirus chinois de Wuhan !
    Après l’inauguration tardive en 2017 et en grande pompe de ce labo P4 avec le discours cocorico de Caseneuve, un spécialiste et coach français était toujours actif dans ce labo !

  14. Posté par Clöment Durosier le

    Inutile de se perdre dans des détails de l’origine du virus et allons à l’essentiel: le terrorisme est fabriqué avec l’intention de semer la peur dans les populations et, de là, faire pression sur les gouvernements pour qu’ils abandonnent le peu de souveraineté théorique qui leur reste pour la confier à un gouvernement mondial qui seul saurait les protéger. Une population sous l’emprise de la peur n’est plus à même de penser rationellement et peut être manipulée facilement pour lui faire accepter n’importe quoi. Vous en voyez les résultats maintenant chaque fois que vous allez faire vos courses. Pensez aussi au « Patriot Act ».
    Faisons une petite synthése des points forts du terrorisme concocté par la secte mondialiste:
    Attentats du 11 septembre: Ont été prédédés d’exercices (46 répertoriés par W. Tarpley), incluant des avions percutant les tours.
    Attentat du métro de Londres (7/7): Un exercice a impliqué des attaques terroristes sur les mêmes gares routières et ferroviaires, exactement au même moment où les attaques du 7/7 se sont produites.
    Attentats du Bataclan: Le médecin chef du Samu de Paris explique que ses équipes s’étaient entraînées le matin même à un scénario prévoyant de multiples fusillades.
    Réchauffement climatique: La « communauté scientifique » stipendiée s’exerce constamment à fabriquer des modéles mathématiques terrorisants et quand ça ne suffit pas, on appelle Greta.
    Attentat du Coronavirus: Octobre 2019, « Event 01 »: exercice de simulation d’une pandémie de coronavirus avec la participation de Bill Gates.
    On voit bien qu’ils mettent beaucoup d’efforts à nous terroriser et comme, au théatre, ils font des répétitions pour être sûrs que le spectacle soit un succès. Alors, ne nous perdons pas dans les détails et concentrons-nous seulement sur ce que la secte maudite veut obtenir de nous, pour le refuser avec force et détermination.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.