Le Macédonien Ilir B. s'est présenté lundi devant la Cour suprême de Zurich. Il aurait menacé sa femme Luiza B. à plusieurs reprises avant sa mort violente en août dernier.
L'ancien ferrailleur Ilir B.* (38 ans) a dû comparaître lundi devant la Haute Cour du canton de Zurich. Par l'intermédiaire de son avocat, le Macédonien, né à Struga et vivant à Dietikon, avait fait recours du jugement du tribunal de district de Winterthur du 5 décembre 2018 concernant les menaces et autres accusations. Devant la Haute Cour, l'homme barbu aux cheveux foncés est apparu en survêtement avec un motif de camouflage gris-noir. Il était accompagné par deux policiers de la police cantonale de Zurich.
B. est en détention depuis le mois d'août dernier. En effet, il est également soupçonné d'avoir assassiné sa femme Luiza B. (34 ans). [...]
Le prévenu B. est accusé d'avoir menacé sa femme de mort à plusieurs reprises, de l'avoir frappée et de l'avoir forcée à se faire passer pour un conducteur de voiture à sa place. Début 2017, il aurait menacé de l'attacher à sa voiture avec ses cheveux et de la traîner à travers la ville.
Lors de l'interrogatoire de police, B. a d'abord déclaré qu'il n'avait jamais menacé sa femme. Plus tard, cependant, il a rectifié sa déclaration : "Vous savez comment c'est avec nous, les Albanais, ont dit "je vais te tuer", mais on ne le pense pas. Ce n'est pas non plus pris au sérieux". C'est comme lorsque les Suisses disent "merde" [NDLR : Il prend ouvertement les Suisses pour des imbéciles.]. Lorsque sa femme a été confrontée à la déclaration de B. lors de l'interrogatoire de police, elle a déclaré le même jour qu'il avait sérieusement envisagé les menaces.
L'acte d'accusation précise en outre que l'homme avait commis plusieurs agressions contre sa femme. En 2017, il l'aurait battue toutes les deux ou trois semaines. Il est impossible de déterminer avec précision la fréquence à laquelle il l'aurait frappée durant cette année, mais ce serait au moins 12 fois. Luiza avait des bleus sur le haut de ses bras et sur d'autres parties de son corps à la suite des coups reçus.
De plus, B. l'aurait forcée à se déclarer coupable d'une infraction routière à sa place. Il l'a menacée de lui causer des ennuis si elle ne le faisait pas. L'accusé voulait s'assurer que l'Office de la circulation routière ne prendrait aucune sanction contre lui.
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(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
Rappels :
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Un assassin qui invoque ses coutumes claniques comme excuse…C’est expulsion A VIE de Suisse après une peine de RECLUSION.
Qui sont les fonctionnaires zurichois aveugles et incompétents qui ont accordé un permis de séjour à ce caractériels dangereux et inassimilable?