Suisse: Comment une vague de réfugiés surchargerait nos médecins

Christian Hofer: Il semblerait que ces gens aient oublié une autre problématique. Les femmes musulmanes ne doivent pas se faire ausculter par des hommes médecins. Je vous laisse imaginer tous les problèmes que notre pays est en train d'accumuler par la faute de Sommaruga pour les décennies à venir. Sans compter que la médecine est l'une des charges les plus lourdes sur le plan financier, tout cela sur le dos du sale kouffar.

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30.000 demandeurs d'asile en quelques jours. Ce que l'Autriche a connu l'automne dernier pourrait également arriver en Suisse. Ce scénario extrême soumettrait le système de santé suisse à un grand test de stress.

Ainsi les problèmes linguistiques entraveraient les examens déclare Laurent Dukas de la Société médicale de Bâle à la NZZ. Les médecins ne savent pas, par exemple, quelles clarifications ont été apportées. Ainsi, l'historique des maladies des patients pourrait rester inconnu. Laurent Dukas craint que des réfugiés touchés par des maladies non détectées soient envoyés vers les Cantons. Spécifiquement avec la tuberculose, il y a un certain risque d'infection.

L'Office fédéral de la santé publique a rassuré: Il n'y aura pas de réfugié distribué aux cantons, qui n'aura pas été d'abord été interrogé au sujet de la tuberculose. Le risque pour la population avec les autres maladies est aussi faible. Seulement dans certains cas, les réfugiés pourraient apporter des maladies existant dans leurs pays jusqu'en Suisse. Telle la gale ou la diphtérie explique Daniel Koch de l'Office fédéral de la santé publique.

Cependant, en cas d'une grande vague de réfugiés, beaucoup de gens devraient être rapidement examinés et traités.

Depuis des mois déjà, les médecins critiquent le fait que le service de santé publique n'est pas préparé à un fort afflux de réfugiés. Le BAG a cependant déclaré que les soins médicaux de base seraient garantis à tout moment.

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

 

7 commentaires

  1. Posté par Un observateur le

    Les politiques Suisses acceptent et encouragent même la décomposition de leur pays.
    Ayant travaillé deux décennies dans les pays Arabo-Africano-Musulmans et constaté leur retard et leur desastre poltique, économique, démographique , culturel, ethnico-religieux, je n’aurai jamais imaginé que cette invasion soit possible , surtout la passivité incroyable des peuples .
    Les peuples n’ont que ceux qu’ils méritent , surtout quand ils votent socialo-verts-écolos-gaucho pour des raisons économiques, écologiques ( égalité , justice sociale, etc…) , alors que ces partis sont pour l’accueil illimité des migrants et l’avénement d’une société multiculturelle moderne, fraternelle, bisounours, communautaire, sans frontières où tous les hommes se donneraient la main ….une utopie qui explose devant le réel….

  2. Posté par RealrecognizeReal le

    Déjà avec le vieillissement de la population, difficile d’avoir un rendez-vous rapidement. Avec en plus tout le tiers-monde qui débarque, ça promet!

  3. Posté par Myrisa Jones le

    Ne soyez pas étonné si les primes de l’assurance de base explosent d’ici quelques temps!

  4. Posté par Marylin le

    La « fièvre du poux » existe et c’est tout nouveau sur le marché!! Si si, ça vient de sortir. Un gugus somalien est mort en Autriche la semaine dernière. Krone.at

  5. Posté par Tommy le

    Là, je suis content de ne pas avoir entamé des études pour devenir gynécologue et etre ensuite contraint, sous la menace de mitraillettes et d’insultes, cautionnée par la gauche, de devoir ausculter des cadeaux pour la Suisse qui n’ont jamais vu un pommeau de douche de leur vie.

  6. Posté par Bilou le

    @ Anne, même s’ils le savent, vont-ils se dire « Bon… ben j’attends avant de monter sur le pneumatique futurement secouru par Frontex, je me soigne d’abord sur place car je ne veux pas risquer de contaminer les gentils mécréants européens »…

  7. Posté par Anne Lauwaert le

    mais enfin, ces gens ne savent même pas qu’ils sont porteurs de maladies

Et vous, qu'en pensez vous ?

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