Wikileaks publie le #Macronleaks, c’est énorme… des centaines de courriels compromettants

 


Travail effectué par Résistance Républicaine

Nos remerciements à Didier S.

 

C’est parti ! Wikileaks publie le #Macronleaks, c’est énorme… des centaines de courriels compromettants

C’est à cette adresse…

https://twitter.com/hashtag/MacronLeaks?src=hash

On ne comprend pas trop pourquoi ça sort ce soir, alors que dans une heure il sera interdit de communiquer sur le sujet… Mais chacun pourra se renseigner librement en surfant sur le net les jours à venir.

Captures d’écran faites entre 23h et 23 h 55 le 5 mai, le reste à voir à l’adresse ci-dessus.

Certains ont eu le temps de décrypter quelques données, comme cette décision de généraliser l’enseignement de l’arabe dans tous les établissements de France, au motif que les musulmans le voudraient… !!!

Et…240 000 euros pour envoyer 6 millions de coups de fil…

 

 

 

 

La Russie a favorisé l’élection de Donald Trump ? Et alors ?

Un mois après l'élection de Donald Trump, les services de renseignement américains accusent la Russie d'être impliquée dans la révélation de certaines informations secrètes afin de favoriser la candidature de Donald Trump aux élections présidentielles.

La Russie impliquée dans la fuite d'informations secrètes via Wikileaks ?

L'information a été révélée par le Washington Post, Barack Obama aurait demandé à la CIA d'enquêter pour savoir si la Russie avait soutenu la campagne du candidat républicain. Le rapport de l'agence de renseignement américaine indique que plusieurs individus ont été identifiés dans l'affaire du piratage informatique du parti démocrate, piratage qui aura conduit à la divulgation par le site Wikileaks de milliers d'e-mails internes au parti d'Hillary Clinton, y compris les e-mails de son directeur de campagne, John Podesta. Selon le Washington Post, la CIA indique (sans apporter de preuve) que les « hackers » auraient des « connexions » avec le gouvernement russe. Selon le New York Times, le parti républicain aurait également été victime de pirates informatiques russes mais ils n'auraient rien rendu public.

De son côté, Donald Trump a décrit, sur la chaîne Fox News, ces accusations comme étant « ridicules ». John Bolton, républicain proche des néo-conservateurs, ancien ambassadeur des États-Unis à l'ONU et pressenti aujourd'hui pour devenir le futur secrétaire d’État de Donald Trump, a indiqué, quant à lui, qu'il ne savait pas « si ces activités avaient été inspirées par des Russes ou s'il s'agissait d'une opération sous fausse bannière ».

L’hôpital qui se moque de la charité ?

Il est aujourd'hui difficile de savoir qui a raison et qui ment. Les agences de renseignement américaines n'ayant, pour l'instant, diffusé aucune preuve, on ne peut que se fier à la bonne parole de ces agences (autant dire qu'on ne peut pas s'y fier).

Mais admettons l'espace d'un instant que la CIA dit la vérité, admettons que le gouvernement russe ait bel et bien cherché à influencer le résultat des élections américaines en ayant recours au piratage informatique, ne s'agit-il pas là d'un juste retour de bâton au regard de ce que font ces agences de renseignement américaines ?

Après tout, les américains restent (et de loin), ceux qui ont le plus recourt à l'espionnage informatique. Avant de taper sur les doigts des méchants espions russes, il ne faudrait pas oublier les révélations d'Edward Snowden à propos des programmes d'écoute totalement illégaux de la NSA . Il ne faudrait pas oublier non plus que c'est bien la NSA qui a mis sur écoute plusieurs chefs d’État de pays pourtant alliés aux États-Unis. Wikileaks avait d'ailleurs révélé que la chancelière allemande Angela Merkel, mais également Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande avaient fait l'objet d'écoutes téléphoniques de la part de la NSA.

Alors messieurs les Américains, si ces informations sont justes, si la Russie a réellement tenté d'influencer vos élections présidentielles, dites-vous que c'est de bonne guerre.

Jordi Vives, Les Observateurs

Wikileaks : L’administration Obama aurait privilégié les réfugiés musulmans

Rappel:

USA. Accueil de réfugiés syriens par Obama: 9’945 musulmans pour 55 chrétiens (Vidéo)

http://lesobservateurs.mg/2016/09/01/usa-accueil-de-refugies-syriens-obama-9945-musulmans-55-chretiens-video/

On notera que le clan Clinton est massivement derrière les musulmans ce qui explique l'hystérie de nos médias lorsqu'il s'agit d'attaquer Trump.

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Selon WikiLeaks, l'administration Obama aurait favorisé les réfugiés musulmans au détriment des chrétiens.Une nouvelle fois, les démocrates sont pointés du doigts par les chrétiens qui s'indignent de cette discrimination.

Atlantico : Qu'avons-nous pu observer concrètement de la part de l'administration Obama envers les chrétiens d'orient ? Pensez-vous réellement qu'ils ont pu être défavorisés par rapport aux musulmans d'orient ?

Roland Hureaux : Ce sont des informations très graves qui nous parviennent d'Amérique au travers de Wikileaks ou de Fox News.

Les courriels interceptés, ce ne sont pas des opinions, ce sont des faits - que je découvre avec vous. Les preuves représentées par les courriels échangés au sein de l'entourage d'Obama entre Prêta Banal (qui avait servi dans l'administration Clinton dans les années 1990) et John Podesta, secrétaire général de la Maison blanche sous Bill Clinton et actuel directeur de campagne de Hillary, contiennent des instructions pour recruter des Américains d'origine arabe mais seulement des musulmans, en excluant les chrétiens d'Orient donc.

Dans un courriel daté du 29 septembre 2008, elle écrit "J'ai exclu (de la liste) ceux qui sont d'origine arabo-américaine mais qui ne sont pas musulmans". Cela en violation de la Constitution américaine, qui stipule qu'"aucun questionnaire portant sur la religion ne sera imposé pour juger de l'aptitude d'un candidat à l'exercice de fonctions ou charges publiques aux États-Unis".

Instruction d'autant plus paradoxale qu'elle émane d'une ancienne présidente de la Commission américaine sur la liberté religieuse internationale, passée au service de Bill Clinton puis de Barack Obama. 

Nous sommes à la fin de 2008, elle prépare la future administration Obama, sachant qu'aux États-Unis, du fait du spoil system, les changements à la tête de l'exécutif sous un nouveau Président sont plus étendus qu'en France.

Par ailleurs, Fox News fait part d'une autre discrimination : les Etats-Unis s'étaient engagés à recevoir 10 000 réfugiés syriens, ce qui est bien normal compte tenu de la responsabilité de ce pays dans le chaos qui règne actuellement en Syrie. Sur les 10 801 Syriens qui sont entrés aux États-Unis en 2016, 56 seulement étaient chrétiens, tous les autres musulmans sunnites, ce qui ne reflète pas la part des chrétiens dans la population du pays (environ 10 % avant la guerre, moins aujourd'hui). 

Discrimination d'autant plus paradoxale que les chrétiens ont été, bien plus que les sunnites, les premières victimes de la guerre, les cibles privilégiées des rebelles islamistes. 

S'agissant du recrutement de cadres pour l'administration, on pouvait penser que les chrétiens, peu suspects de collusion avec les islamistes, auraient été un élément plus sûr. Or ils ont été systématiquement écartés.

Cette discrimination au détriment de chrétiens remonte loin : souvenez-vous que la grande entreprise militaire de Bill Clinton, la guerre de Yougoslavie (1999), se fit au bénéfice de musulmans des Balkans (Bosniaques et Albanais) avec l'appui des Turcs, contre les chrétiens orthodoxes (Serbes). 

La guerre de Syrie a vu une alliance entre les Etats-Unis et les islamistes de ce pays (dont Daesh et Al Qaïda) contre le régime musulman mais modéré et tolérant les minorités de Bachar el Assad. Peut-être avons-nous là l'explication du fait que les chrétiens aient été jugés peu sûrs car ils pouvaient difficilement approuver cette ligne. Mais comme au moment des faits, Obama n'était pas encore élu ; cet incident montre que la future politique pro-islamiste était déjà en gestation.

C'est d'ailleurs une constante de la politique américaine dans cette région que de soutenir les franges les plus radicales de l'islam, depuis le pacte passé sur le croiseur Quincy le 14 février 1945 entre le président Roosevelt et le roi d'Arabie, Ibn Séoud. Or la monarchie saoudienne a toujours protégé et financé les courants salafistes les plus radicaux du monde arabe.

S'agissant de l'exode des chrétiens de Syrie, il passe généralement par le Liban. Or, sans que cette fois les Américains y soient pour quelque chose, les agences de services et de traduction (payantes) par lesquelles les candidats à un visa pour l'Occident doivent passer sont notoirement tenues par des musulmans sunnites qui favorisent leurs coreligionnaires et défavorisent les chrétiens.

Quand le pape est venu à Lesbos, il a pris avec lui trois familles syriennes, toutes musulmanes, ce qui a choqué. Son secrétariat a fait savoir que les chrétiens n'avaient pas les papiers en règle. Voilà l'explication.

Quel est l'intérêt pour l'administration Obama/Clinton de placer des musulmans d'orient à des positions de pouvoir au dépit des chrétiens d'orient ? Pour quelles raisons sont-ils écartés au profit des musulmans parfois radicaux ?

Roland Hureaux : Il faut se replacer au moment où ces décisions ont été prises : Obama n'est pas encore élu mais il prépare ses équipes. Comme le vote est très communautaire aux Etats-Unis, il se peut que le candidat démocrate ait reçu le soutien des musulmans américains mais que les chrétiens venus du Proche-Orient aient plutôt joué les républicains (ce sont des communautés de faible importance qui ne pèsent ni l'une ni l'autre d'un poids décisif dans le vote).

Cela est en conformité avec un clivage très ancien. Face à la guerre d'Algérie, Eisenhower (républicain) était resté relativement neutre alors que Kennedy (démocrate) s'engagea, sitôt élu, à fond du côté du FLN, obligeant le général de Gaulle à précipiter l'indépendance, ce qui, au passage, montre la stupidité de ceux qui, par hostilité à la politique algérienne du général, se sont jetés dans l'atlantisme.

Mais le tropisme pro-musulman du gouvernement américain s'est accentué au cours des dernières années, comme le montre la politique étrangère du couple Obama-Clinton.

Il est vrai que le demi-frère d'Obama, Abon'go Malik Obama est trésorier d'une association missionnaire islamiste au Soudan. Mais je ne crois pas que ces instructions discriminatoires soient venues du Président : parce qu'il s'appelle Barack Hussein, parce que ses ennemis n'ont cessé de dire que, quoique officiellement protestant, il était en réalité un musulman caché, il n'avait pas intérêt à en faire trop en faveur des musulmans. Et encore, en pleine campagne, serait-il descendu dans ces détails ?

Je crois qu'il faut regarder plutôt du côté d'Hillary Clinton : sa plus proche conseillère, Huma Abedin, est une musulmane américaine dont la mère dirige les Sœurs musulmanes en Arabie saoudite et travaillait avec l'épouse du président égyptien islamiste Mohamed Morsi. Son frère Hassan est le conseiller spirituel d'Al-Jazeera.

Quant à Podesta il a été le lobbyiste attitré du Royaume d'Arabie saoudite au Congrès pour la modique somme de 200 000 dollars mensuels.

Hillary Clinton n'a cessé de favoriser les Frères musulmans ayant une affection particulière pour Erdogan et Morsi.

Elle appartient encore plus qu'Obama à cette gauche américaine postmoderne qui, reniant les valeurs chrétiennes sur certains points essentiels comme l'avortement ou le mariage homosexuel qu'elle soutient à fond, trouve bon de transcender ses propres origines en prenant le parti de l'autre, le musulman en l'occurrence. 

Nous connaissons cet état d'esprit en France. Le comportement de l'administration américaine ne devrait pas surprendre un Cazeneuve, notre ministre de l'Intérieur, qui s'agite aujourd'hui pour caser dans les communes les 8 000 réfugiés de Calais, en majorité musulmans, mais qui, il y a quelques mois, déconseillait à un maire de recevoir chez lui des chrétiens d'Orient. 

Alors qu'elle avait la mission historique de les protéger, la France est le pays qui en a reçu le moins au cours de ces dernières années ! 

En gros, la politique américaine des néo-conservateurs (les Clinton, Bush fils et Obama) peut s'expliquer par une alliance entre les Etats-Unis et le monde islamique contre la Russie. Dans ce triangle, l'Europe est un champ de bataille, pas un acteur que l'on prenne en considération. La position exprimée par Trump est différente : il propose, lui, un rapprochement avec la Russie contre l'islamisme. Affaire à suivre donc.

Suite aux révélations de WikiLeaks qui expliquent que l'administration Obama aurait favorisé les réfugiés musulmans, un pan de l'électorat chrétien accuse les démocrates de manipulation. Cette polémique sur la discrimination des chrétiens d'Orient au profit de musulmans survient après celle des emails demandant un "Printemps chrétien". Ces critiques envers les démocrates vous semblent-elles légitimes ? D'où émanent-elles ?

Blandine Chelini-Pont : Il y a plusieurs choses : d'un côté les critiques concernant l'accueil défavorable que recevraient les chrétiens d'Orient aux Etats-Unis, au profit des Syriens musulmans qui sont très majoritaires ; de l'autre les critiques privées du directeur de campagne d'Hillary Clinton qui pour résumer considère que cela ferait du bien si les catholiques se dépoussiéraient un peu. Ces critiques existent et sont situées : elles concernent une partie militante, même si pas majoritaire, qui est celle du catholicisme conservateur.

Source et article complet via Fdesouche.com

Nouveaux mensonges d’Hillary Clinton

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Michel Garroté - La face cachée d'Hillary Clinton apparait toujours plus au grand jour (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le site internet Wikileaks, qui révèle chaque semaine des e-mails concernant Hillary Clinton, a dévoilé qu’une collaboratrice de la chaîne CNN avait donné à Mme Clinton la liste des questions qui allaient être posées durant un débat de la primaire démocrate l’opposant à Bernie Sanders. Mais c’est surtout l’affaire de sa propre boîte email qui s’est réinvitée sur le devant de la scène. Le FBI avait classé l’affaire en début d’année, mais son directeur, James Comey, vient d’annoncer qu’il rouvrait l’enquête sur Hillary Clinton.
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Pour rappel, Hillary Clinton a utilisé sa boîte e-mail personnelle alors qu’elle était Secretary of State, c’est à dire n°2 du gouvernement Obama en charge entre autres des affaires internationales. Or cet usage est totalement interdit, vu qu’il expose les secrets d’Etat et les opérations militaires à n’importe quel « pirate » sur internet. Hillary Clinton avait plaidé l’ignorance, et le FBI, n’ayant pas trop le choix, lui avait accordé le bénéfice du doute. Mais ses opposants avaient au passage souligné que de nombreux e-mails avaient été effacés du serveur avant l’enquête.
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Le contenu des e-mails pourrait avoir des conséquences, par exemple si le secret d’activités militaires a ainsi été fragilisé (chacun pense à l’assassinat de l’ambassadeur des Etats-Unis en Libye alors qu’Hillary Clinton était en poste). Mais s’ajoute désormais à cela le risque d’accusations de mensonge et de parjure. Comme lors de l’affaire Monica Lewinski, frasque sexuelle de Bill Clinton alors qu’il était président, ce n’est plus l’affaire en elle-même qui est jugée, mais le mensonge (potentiel) de l’élu. Le risque pénal est donc important pour Hillary Clinton (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/11/hillary-clinton-menteuse-et-pas-meilleure-que-fran%C3%A7ois-hollande-pour-les-secrets-detat-.html
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Triche d’Hillary Clinton prévenue à l’avance de questions: Une consultante de CNN démissionne

Nous parlions de cette affaire déjà ici. Devant la gravité des faits, la journaliste est licenciée.

Visiblement ce que divulgue WikiLeaks est considéré comme très important aux USA, tout le contraire des médias européens qui ont longtemps évité de parler de toutes ces révélations, préférant écrire des articles anti-Trump.

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CNN a annoncé lundi 31 octobre avoir cessé de collaborer avec Donna Brazile, présidente du Comité national démocrate et commentatrice politique, après la publication par WikiLeaks de courriels laissant entendre qu’elle a communiqué à l’équipe d’Hillary Clinton des questions prévues pour un débat.

https://youtu.be/xtBbaTM368E

Source et article complet

WikiLeaks: les journalistes d’AP impliqués dans le scandale Clinton

Les révélations de WikiLeaks ne s’arrêtent pas. La correspondance de John Podesta, directeur de campagne de la candidate démocrate à l’élection présidentielle américaine Hillary Clinton, publiée par le site, dévoile les liaisons de l’équipe de Mme Clinton avec les journalistes de l’agence Associated Press (AP).

Les journalistes de l'agence Associated Press (AP) étaient impliqués dans le règlement du scandale autour de la correspondance de la candidate démocrate à l'élection présidentielle américaine Hillary Clinton, apprend-on de la correspondance de John Podesta, directeur de campagne de Mme Clinton, publiée par WikiLeaks.

La correspondance rendue publique par WikiLeaks dévoile les discussions datées de juin 2015 au sein de l'équipe d'Hillary Clinton visant le règlement du scandale autour de son proche, Sidney Blumenthal, qu'elle n'avait pas soumis à l'examen du département d'État à l'époque.

Le plan d'actions dédié est discuté dans cette correspondance avec la participation du porte-parole d'Hillary Clinton, Brian Fallon. En particulier, le représentant de campagne de Mme Clinton Nick Merrill évoque dans un mail l'idée de « remettre une histoire » aux journalistes amis de l'agence AP Matt Lee ou Bradley Klapper. Une copie de l'article écrit par ces auteurs est également ajoutée dans le fil de la correspondance. Cet article cite les propos de Nick Merrill qui indique que les 55 000 pages de documents ont été soumises à l'examen du département d'État, y compris tous les courriels de Sidney Blumenthal, justement celles que les fonctionnaires n'avaient pas trouvé.

En tant que secrétaire d'État entre 2009 et 2013, Hillary Clinton menait sa correspondance de travail via sa propre ressource privée. Elle a été ainsi accusée de cacher des informations et de faire potentiellement fuiter des secrets d'État. Mme Clinton a soumis près de 30 000 emails à l'examen du département d'État, mais a supprimé 30 000 courriels supplémentaires qu'elle a déclarés comme personnels.

Le Bureau fédéral d'enquête (FBI) avait déjà enquêté sur l'utilisation par Mme Clinton en tant que secrétaire d'État d'un serveur privé pour envoyer et recevoir des informations classées confidentielles. Selon les conclusions du bureau, les actions de Mme Clinton ne constituaient pas un crime. Cependant, selon l'annonce vendredi 28 octobre du membre du Congrès et chef du comité de surveillance de la Chambre des représentants Jason Chaffetz sur Twitter, le FBI vient de rouvrir l'affaire des emails d'Hillary Clinton. Suivez Sputnik sur Telegram pour ne jamais manquer les actualités les plus importantes grâce à nos sélections du matin et du soir. Pour recevoir les actualités de notre chaîne, il suffit de télécharger l'application Telegram sur n'importe quel smartphone, tablette ou ordinateur puis cliquer sur le lien et appuyer sur « Join ».

Source

Nos remerciements à Didier S.

WikiLeaks : Julian Assange privé d’internet par des services gouvernementaux

Les responsables du site de Julian Assange ont annoncé avoir appliqué des mesures d’urgence, le co-fondateur de Wikileaks s'étant vu coupé son accès à internet par des organes gouvernementaux.

Internet est l’un des rares moyens dont dispose Julian Assange pour rester en contact avec le monde puisqu'il vit reclus dans l’ambassade équatorienne à Londres.

Dans la matinée du 17 octobre, un tweet de WikiLeaks informait que l’accès à internet de son co-fondateur aurait été bloqué «par des organes gouvernementaux» sans préciser de quel pays.

La veille, WikiLeaks avait publié trois tweets en utilisant des liens inutilisables et incompréhensibles en mentionnant John Kerry, l’Equateur et le ministère britannique des Affaires étrangères du Commonwealth.

Ces problèmes de connexion à internet sont apparus après la publication de la neuvième partie des emails du chef de la campagne de Hillary Clinton, John Podesta. Au total, plus de 12 000 emails ont été révélés au public depuis le début du mois d’octobre.

 

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Nos remerciements à Aude

Scandale sur le clan Clinton : La Bombe de Wikileaks dont vous n’avez jamais entendu parler

Première traduction doublée

Yann Merkado inaugure un nouveau format de traduction : le doublage.
Si vous faites buzzer cette vidéo, il prendra le temps d’en faire de nombreuses autres.
Bon visionnage, et à vos partages !

Alors que les médias vous distraient en accusant Trump, accumulant quotidiennement des articles artificiels à charge, de grosses révélations ont émergé.

https://youtu.be/s74AFyf6XrM

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Christian Hofer: A noter que maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise est une technique de manipulation très connue, dont aujourd'hui nos médias abusent (censure des actes criminels des migrants,  étalage de stars nues, déni de réalité et minimisation, diabolisation des personnes de droite, focalisation sur les sujets annexes tel le sport, propagande pro immigration et pro islam).

Wikileaks: les musulmans contribuent pour 70% du crime juvénile à Berlin alors qu’ils ne représentent que 9% de la population.

Le chef de campagne de Clinton a reçu le 21 février 2016 un dossier du renseignement extérieur sur l’immigration musulmane en Europe.

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Outre l’effet dévastateur des migrations actuelles et passées sur la criminalité dans l’Europe entière, on peut aussi y trouver des statistiques plus détaillées pour l’Allemagne. Ainsi, les musulmans (Arabes et Turcs) contribuent pour 70% du crime juvénile à Berlin alors qu’ils ne représentent que 9% de la population.

Il y est aussi écrit que la situation en Grande-Bretagne n’est guère différente, contrairement à ce qui est parfois avancé.

Wikileaks via Fdesouche.com

WikiLeaks: Assange va faire des révélations sur Hillary Clinton (vidéo du direct)

WikiLeaks fête mardi ses dix ans en se targuant d’avoir lancé le phénomène des plateformes internet de divulgation de documents secrets et son controversé fondateur Julian Assange a promis de poursuivre son travail malgré les vives critiques.

«Les attaques contre nous nous rendent encore plus durs », a assuré Julian Assange retranché dans l’ambassade d’Équateur à Londres depuis 2012 pour éviter son extradition en Suède, dans un entretien au magazine allemand Der Spiegel.

Suivre la conférence en direct vidéo

L’ex-hacker, qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt dans le cadre d’une enquête pour un viol présumé en 2010, doit s’exprimer par vidéoconférence lors d’une conférence de presse de ses aficionados à Berlin mardi vers 10h locales. Il devrait alors rendre publiques des informations au sujet d’Hillary Clinton.

Une apparition de l’Australien prévue le même jour au balcon de l’ambassade d’Équateur à Londres a été annulée pour des raisons de sécurité, selon WikiLeaks.

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