Un Anglais s'énerve et exigent qu'ils remettent ces objets volés à leur place. On entend très bien que les voleurs ne maitrisent pas l'anglais.
Les migrants jouent aux imbéciles en prétendant qu'ils ne savent pas.
Un Anglais s'énerve et exigent qu'ils remettent ces objets volés à leur place. On entend très bien que les voleurs ne maitrisent pas l'anglais.
Les migrants jouent aux imbéciles en prétendant qu'ils ne savent pas.
La ville de Lille a fait savoir ce samedi qu'elle avait demandé l'évacuation du camp Rom de la Poterne après une série d'agressions commises par des adolescents et des enfants le long de la Deûle.
Après les récentes agressions à la Citadelle, la Ville de Lille, en accord avec Saint-André, demande l'évacuation du camp Rom de la Poterne. Elle exprime tout son soutien aux victimes de ces agressions et fait tout ce qui est en son pouvoir pour que cela ne se reproduise plus", a indiqué ce samedi la ville de Lille sur les réseaux sociaux. "La Ville demande systématiquement l'évacuation des terrains lorsque les conditions d'hygiène, d'insalubrité ou de sécurité nuisent aux riverains ou aux occupants eux-mêmes", rappelle-t-elle sur son site internet.
Cette décision fait suite à plusieurs agressions survenues ces derniers jours le long de la Deûle, à proximité de deux camps Roms situés à proximité du pont de la ligne TGV : celui de la Poterne à Lille et celui de la rue de Constantine à Saint-André.
Le 12 février dernier, une joggeuse a été victime d'une tentative de vol et d'une agression sexuelle de la part d'un groupe de six ou sept adolescents roms près de la passerelle qui enjambe la D749. La jeune femme de 22 ans, prénommée Lucie, a témoigné dans une vidéo postée sur une page de soutien.
"Après m'avoir frappé, ils ont voulu m'agresser sexuellement", a-t-elle expliqué. "Ils m'ont touché les parties intimes et m'ont demandé de leur faire un câlin, de les embrasser, ils m'ont serrée dans leurs bras. Un des jeunes a descendu mon collant de course à pied". Un rassemblement/footing de 6km est organisé dimanche matin, à 11h, à la Citadelle de Lille pour dénoncer cette agression.
D'autres se sont produites depuis dans le même secteur. Le 14 février, une adolescente de 17 ans, qui faisait du vélo le long de la Deûle, a été prise à partie, avec une amie, par deux enfants Roms qui voulaient s'emparer de son téléphone portable. "Ils avaient, l’un, pas plus de 6-7 ans, l’autre 12, et l’un portait un bâton", a-t-elle raconté à La Voix du Nord. "Ma copine a tenté de les éloigner, moi je criais, je leur disais de partir. Je cherchais des yeux quelqu’un pour nous aider. C’est là que je me suis rendu compte que le plus petit me mordait la main". Un passant est parvenu à mettre les deux jeunes agresseurs en fuite.
Saint-André avait déjà demandé une évacuation
Le camp Rom de Saint-André, près de la Deûle, côtoie une aire d'accueil légale de gens du voyage avec lesquels les relations sont parfois tendues. La police est déjà intervenue plusieurs fois pour des bagarres et même des coups de feu. En mai 2015, le maire UDI de la commune, Olivier Henno, avait déjà demandé l'évacuation de ce camp Rom. Le préfet Michel Lalande lui a répondu un an plus tard que ce n'était pas "envisagé", faute d'une "solution de réimplantation".
D'autres agressions avaient déjà été signalées en décembre dernier, au niveau de l'échangeur voisin du Pont-Royal, entre Lille, Saint-André et Lambersart. Le 27 décembre, les policiers avaient notamment interpellé deux jeunes Roms de 16 et 19 ans, soupçonnés de quatre agressions, dont une sur un automobiliste stoppé sur la chaussée par un groupe d'enfants. Selon La Voix du Nord, le plus âgé a écopé de 6 mois de prison ferme en comparution immédiate.
Christian Hofer: A noter que c'est comme par hasard Me Yaël Hayat, celle qui s’inquiétait des mesures d’expulsion pour les jihadistes, qui défend cet Africain.
L'article arrive à disserter sur les "dettes de jeu" de ce délinquant tout en passant sous silence le sort des victimes. Tout n'est fait que dans un seul sens.
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Selon nos renseignements, un Marseillais, originaire du Maghreb, a été extradé vers la Suisse à la fin de l’été.
Il a avoué avoir écumé les bancomats genevois entre l’automne 2014 et l’automne 2015, empochant un butin d’environ 150 000 francs. Ce père de famille, condamné une quinzaine de fois pour des faits similaires en France, convoitait avant tout les proies faciles: des retraités nés le plus souvent entre les années 20 et 40. Il s’attaquait aux victimes devant les bancomats de Champel et de Florissant, mais aussi des Eaux-Vives et de Chêne-Bourg.
Christian Hofer: Libération arrive à prétendre que les Blancs sont racistes alors qu'ils sont victimes d'une telle arnaque. Une escroquerie qui démontre un racisme anti-Blancs écœurant puisqu'il vise a assécher économiquement un Européen crédule, jusqu'à le détruire. N'attendez pas les pleureuses des droits de l'homme et autres justiciers de pacotille pour s'en émouvoir: le Blanc est un salaud, et même volé par un Africain, il reste coupable.
Bien entendu, pour ce journal d'extrême gauche, l'excuse est toute trouvée: le colonialisme. Il n'y a visiblement personne pour leur rappeler que la Suisse n'a pas eu de colonie et que notre pays a contribué à hauteur de dizaines de milliards de francs à l'aide économique en Afrique pendant des décennies.
Il faut que le fantasme du "Blanc raciste" perdure, même devant les arnaques répugnantes dont les Africains sont responsables. Ainsi on leur donne toute légitimité d'haïr le Blanc, d'abuser de ses largesses, de violer ses femmes, d'agresser: absolument tout leur est dû, tout leur est excusé par avance.
Dès lors, on comprend mieux la minimisation de la criminalité de ces migrants dans nos contrées.
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Harangues, palabres, plans drague plus ou moins louches : au Tarmac, à Paris, la pièce de Marielle Pinsard se joue des codes amoureux de l’argot ivoirien.
Fruit d’une enquête de terrain menée entre Brazzaville, Cotonou et Abidjan, ce petit précis des nouveaux rapports amoureux n’évoque jamais Tinder ou d’autres applis de rencontres, pourtant devenues le passage obligé du dating dans les capitales occidentales. Quid du romantisme et des sentiments? Pour toute une génération d’Afrique de l’Ouest, ce sont la corruption et les conflits armés qui ont redéfini l’intimité. Si l’on a certes besoin de chaleur humaine, c’est d’abord l’argent qui manque, d’où le recours aux arnaques sur Internet – le «broutage» -ou dans la rue. Plumer les Blancs et se faire entretenir, c’est aussi, disent-ils, s’affranchir d’une dette coloniale.
Tout est bon pour ferrer l’Européen, même le marabout et le gri-gri.
Si elles ne sont pas très éloignées d’une forme de tourisme sexuel ou de prostitution, les recettes de cette parade amoureuse évoquées avec gouaille et sourire enjôleur aux lèvres signalent en tout cas un rapport inégalitaire entre les partenaires, souvent sous-tendu par le racisme. [...]
Libération via Fdesouche.com
Nos remerciements à Didier S.
Une agression violente, avec de la torture et de coups sans précédents. Une côte cassée, les signes de violences sur le corps meurtri par la torture.
Enrico a raconté son histoire incroyable au site Il Populista dans une interview vidéo. Les voleurs sont entrés dans sa maison en forçant la porte, puis ils ont détruit tout ce qu'ils ont trouvé. Dans la chambre à coucher, ils ont vu Enrico couché dans son lit et ont déchainé toute leur violence sur le pauvre fermier. "Ils me disaient « Tais-toi, tais-toi. Où est l'argent? - Raconte Enrico - Maintenant nous allons te tuer".
A présent, sa maison ressemble à une décharge en raison du désastre provoqué par les voleurs: les tiroirs renversés, portes arrachées, armoires forcées et tout est jeté à terre. "Ils m'ont sauté dessus et pour éviter que je puisse réagir, ils m'ont bloqué les poignets. Ensuite, ils ont commencé à hurler: «Ne crie pas, on va te tuer, on va te tuer».
Ensuite, de temps en temps, ils me brûlaient le bras avec un briquet." Pour le torturer. Des brûlures de second degré sont encore bien visibles sur le corps d'Enrico.
https://youtu.be/NHm5SvTcmV4
"Ils avaient la peau foncée - continue de raconter l'homme - des Africains. Ils me disaient: «Donne-nous l'argent, donne-nous l'argent », puis ils m'ont menacé avec le pistolet et le couteau. J'étais certain que cette nuit serait la dernière de ma vie.
"Outre les brûlures traitées par la suite à l'hôpital, Enrico a également une côte fracturée. "Je leur ai aussi dit que j'avais subi une opération et que j'avais une valve mécanique, mais ils s'en fichaient - il ajoute - ils me demandaient tout le temps le code secret".
Puis l'horreur: «Ils ont mis les mains autour de mon cou et m'ont soulevé puis m'ont jeté contre le mur.
Ils m'ont mis à genoux, ils ont mis un pied sur la tête en me l'écrasant. «Donne-nous le code secret", ils ont continué. Je ne me suis souvenu que deux chiffres, je les leur ai donnés avec deux autres que j'ai inventés. Ils ont attaché mes poignets avec le câble de la télévision. Ils m'ont dit: «Nous allons à la banque. Si les chiffres ne sont pas les bons, nous revenons et nous te tuons."
Finalement, il a réussi à se libérer et à se cacher dans sa grange. Puis, il a tout dénoncé à la police.
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Mes remerciements à Wilhelm ✙ ن
Rattrapé à Cuarnens, le fautif roulait seul à bord d'un véhicule volé. Ce Français de 42 ans circulait sans permis de conduire et sous l'influence de médicaments. Il est interdit d'entrée en Suisse et sous mandat d'arrêt dans deux cantons.
Lettre de lecteur au journal tessinois Il mattino online :
"Je voulais vous signaler un évènement qui m'est déplaisant à un point que vous ne pouvez même pas imaginer :
Depuis plusieurs années mon fils joue au foot avec un garçon d'origine africaine vivant au Tessin comme requérant d'asile. Dès le début, nous l'avons invité chez nous, nous l'avons traité comme notre propre fils en faisant tout pour l'accueillir le mieux possible.
La semaine dernière nous sommes partis en vacances et quand nous sommes revenus, nous nous sommes aperçus que l'argent que nous gardions dans une boîte avait disparu, et il etait clair qu'il ne s'agissait pas de l'oeuvre d'un voleur mais de celle de quelqu'un qui nous connaissait bien puisqu'il a utilisé notre clef de réserve. Il n'a pas été difficile de remonter jusqu'à ce garçon qui a admit avoir pris l'argent.
Ce matin, j'irai à la police pour porter plainte mais, croyez-moi, avec les larmes aux yeux, car nous avions tout fait pour que ce garçon se sente comme chez lui quand il venait à la maison et il a trahi notre confiance."
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Nom de l'auteur de la lettre connu de la rédaction de Il mattinonline
Un Lausannois qui s’est fait dérober son smartphone à Renens est nargué par ceux qui l’utilisent en Algérie.
L’un de ces personnages lui a même proposé de la drogue par le biais de l’application Viber.»
Quant à ses relations professionnelles et ses proches, ils sont bombardés de messages envoyés en son nom via la messagerie gratuite WhatsApp.
Le plus difficile à supporter pour le retraité sera la récolte quotidienne sur son PC des photos laissées par Dropbox, le service Internet qui transmet toutes les images enregistrées par le smartphone volé. «J’ai vu la carcasse d’un mouton tué pour la fête de l’Aïd à la fin du ramadan et une famille réunie autour d’une grillade.» Selon Wolfgang F., le smartphone aurait changé de mains par la suite. «D’un coup, Dropbox a été envahi par des selfies émanant d’un jeune homme grassouillet, visiblement à l’abri du besoin. Il poste des portraits de Hitler, photographie sa main baguée sur le volant d’une Renault ou filme un mariage traditionnel à l’hôtel Sheraton d’Oran.»
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