Prisons : 7 détenus sur 10 seraient musulmans

Réalité ou intox ? Selon un rapport de l'administration pénitentiaire que nous avons pu consulter grâce à l'ouverture d'esprit d'un directeur d'un établissement, 50 % des détenus ont sollicité un plateau repas spécial lors du dernier ramadan contre 27,5 % de détenus, en 2016, qui avaient demandé un repas spécial ramadan . Cette estimation doit aussi comporter une pondération chiffrées, puisque tous les musulmans ne pratiquent pas nécessairement le ramadan, et une partie des détenus musulmans purgent leur peine sous bracelet électronique à leur domicile.

Ces chiffres sont alarmants, car le gouvernement Castex affirme que les étrangers en France (ils ne sont pas tous musulmans) ne représentent que "7 % de la population totale". Sur cette base, je vous laisse calculer les taux de criminalité entre les communautés.

De manière plus globale, l'évaluation pénitentiaire de 60 % ou 70% de prisonniers musulmans, souvent citée par le candidat patriote Eric Zemmour, correspond à une estimation obtenue après une enquête sociologique  du sociologue Farhad Khosrokhavar. Ces chiffres ont une base réelle et officielle.

Le 19 mars 2021, lors d'un débat avec l'humoriste Yassine Belattar sur CNews, Eric Zemmour avait déclaré que "70 % de la population en prison est musulmane". Interrogé par l'animateur Pascal Praud sur la source de ces statistiques, le journaliste du Figaro déclarait les tenir d'un "rapport parlementaire".

Déjà en 2014, "Cette estimation de 60 %" avait été confirmée par le rapport du député UMP de l'Yonne Guillaume Larrivé.

L'ouvrage du sociologue Farhad Khosrokhavar paru en 2004 confirme, dès cette époque, le taux très élevé de détenus musulmans. Farhad Khosrokhavar avance que dans les prisons françaises, le taux de prisonniers musulmans dépasse "souvent les 50 %, avoisinant parfois les 70 %, voire les 80 % dans les prisons proches des banlieues, soit huit prisonniers sur dix".

A la lumière de cet éclairage chiffré, l'élection présidentielle, qui se joue dans deux mois, est un véritable choix de société. Soit la France poursuit sa politique d'accueil de millions de migrants supplémentaires et se doit de construire des prisons pour les années à venir. Soit l'électorat français fait confiance à Eric Zemmour, homme de conviction et de parole pour stopper la criminalité et la délinquance d'origine étrangères dans notre pays. Chaque français a les clés de l'avenir entre ses mains via son bulletin de vote.

 

250 tombes catholiques profanées: du banal « vandalisme » pour le maire ex-UMP et une “dégradation” pour le gouvernement socialiste

Des crucifix et des statues arrachés. Près de 250 tombes du cimetière Saint-Roch à Castres, dans le Tarn, ont été vandalisées. Aucune inscription, aucun tag, ni revendication n’ont été trouvés dans le cimetière. Les précisions du maire de Castres, Pascal Bugis.

ND Ch. H. Bien entendu pour le "Président de la République", il s'agit d'une dégradation et non d'une profanation. Le caractère sacré ou même le respect est inexistant lorsqu'il s'agit des Chrétiens. La discrimination est claire par rapport aux autres religions au pays du socialisme triomphant:

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L’UMP change de nom et vire à gauche

 Le choix du nouveau nom de l’UMP est décidé. Ce sera « Les Républicains » (mais pas du tout au sens américain du terme). C'est mardi prochain que les nouveaux statuts du parti seront débattus lors d'un bureau politique, avant leur adoption le 5 mai. Une nouvelle mouture qui sera intronisée le 30 mai lors d'un congrès.

Nathalie Kosciusko-Morizet (aile gauche de l’UMP) explique que la commission qu'elle préside a travaillé sur trois axes : décentralisation, démocratisation et modernisation (ça fait quarante ans que la droite molle en parle…). Les présidents des fédérations départementales devraient désormais être élus par les militants et non plus par le comité départemental (vraiment ?).

Autre modification : la suppression des cinq mouvements qui forment l'UMP. Une façon autoritaire d’imposer à tous les courants de l'UMP une seule ligne politique, en l’occurrence centriste, aux prochains scrutins, régionaux en décembre prochain et présidentiels et législatifs en 2017.

Il s'agit en fait d'éviter que « La Droite Forte » de Guillaume Peltier, un courant de droite tout simplement, ne suscite des contestations de la part du courant de centre-gauche « France et Humanisme » de Luc Chatel et de Jean-Pierre Raffarin. C’est Marine Le Pen qui va être contente.

Michel Garroté

  

Doubs : la revanche des petits blonds

Le 30 janvier 2015, alors en campagne pour les législatives partielles, M. Charles Demouge, candidat UMP, a affirmé au micro de BFMTV : « Ce sont les bons petits blonds qui m'emmerdent, pas ceux de l'immigration ». Il parle également de « Français autochtones », pour rendre les choses encore plus claires (si je puis m'exprimer ainsi)... (voir vidéo ci-dessous).

L'AGRIF a annoncé que ses avocats se concertaient afin d'envisager un recours au tribunal contre ce qui peut évidemment s'apparenter à du racisme pur et simple. Silence radical des "grands médias" sur la question.

On ne peut plus accepter, en France et en Europe, de tels propos. Lors du procès de l'AGRIF contre « Nique la France », j'ai entendu des arguments stupéfiants de la part de ceux qui « niquaient la France » : il n'y a de racisme qu'envers les Noirs et les musulmans, pas envers les "Français de souche" qui le méritent presque, puisqu'ils sont dans une « position dominante ». Le juge n'a pas bronché. La procureure a disserté sur l'existence de « français de souche », une « notion qui ne recouvre aucune réalité ».

Comment, dans cette situation médiatique, politique et juridique, pouvoir prétendre que nos sociétés oeuvrent à la concorde civile et à la non-discrimination ? Comment nos sociétés peuvent-elles prétendre qu'elles appliquent l'article 6 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 qui affirme que « la loi doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse » ?

Je pense aux « petits blonds », aux « français autochtones », qui « emmerdent » les élus de la nation. Ont-ils le droit d'être ainsi discriminés, ostracisés, insultés ?

Ils ont eu leur revanche, toutefois. Depuis cet épisode malheureux et significatif, Charles Demouge s'est fait expulsé du scrutin par les électeurs, laissant passer le Front National et le Parti socialiste au second tour. La revanche des petits blonds.

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