Vidéo : Un Albanais s’exhibe en tenue militaire suisse avec drapeau de l’Albanie et insigne de l’UCK

Vidéo datant du 28 novembre 2020 d'un Albanais naturalisé en tenue d'assaut suisse :

La vidéo fait référence à l'indépendance de l'Albanie, datée du 28 novembre 1912. En quoi ce soldat est-il suisse et pour quelle raison notre population devrait-elle faire confiance à un tel individu ?

 

 

 

Impressions d'écran :

 

 

La provocation des Albanais sur Twitter :

 

 

 

 


Rappels :

Suisse/Italie : démantèlement d’un trafic d’êtres humains organisé par un gang albanais lié au groupe paramilitaire Nuovo UCK. Certains de ces criminels habitent en Suisse.

Suisse: Lorsque notre administration accueillait les criminels de l’UCK en tant que réfugiés.

Hashim Thaçi et les activités criminelles de l'UCK en Suisse

Le Kosovo honore Micheline Calmy-Rey.

Le parti socialiste a milité pour l'accueil massif des Albanais en Suisse.

Des soldats suisses chantent un hymne albanais : “Les étrangers ont conquis la Suisse, personne ne peut nous arrêter”

Suisse: Des soldats d’origine albanaise photographiés avec l’écusson albanais

Des soldats suisses posent avec un drapeau albanais

Le jeu trouble de l'administration suisse avec l’UCK

Rap : Albanais De Suisse Planchette 1860 AIGLE, avec liasses de billets, batte de Baseball et couteau "Vas-y casse-toi de ma ville"

 

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Suisse/Italie : démantèlement d’un trafic d’êtres humains organisé par un gang albanais lié au groupe paramilitaire Nuovo UCK. Certains de ces criminels habitent en Suisse.

La structure criminelle, qui appartenait à des suspects résidant à Palerme, a également développé ses opérations dans les provinces de Sondrio, Côme, Pordenone et Sienne, ainsi qu'en Suisse, en Allemagne, en Macédoine et au Kosovo.

Les carabiniers de Palerme ont éradiqué deux bandes qui organisaient le trafic de migrants à travers les Balkans vers l'Italie et la Suisse. Elles étaient également impliqués dans le commerce des armes de guerre et dans le blanchiment de diamants, d'or et d'argent liquide.

Dix-sept personnes ont été arrêtées pour association criminelle transnationale. L'organisation criminelle avait des relations avec la mafia sicilienne, à laquelle elle vendait des armes, et avec le groupe paramilitaire albanais Nuovo UCK, lié aux milieux djihadistes.

Grâce au groupe, des dizaines de personnes ont tenté d'atteindre la Suisse et l'Europe du Nord. Outre la Suisse, l'Allemagne, la Macédoine et le Kosovo, la structure criminelle appartenait à des suspects résidant à Palerme.

Selon les enquêteurs, deux bandes constituaient les éléments du réseau criminel avec un énorme potentiel et des cellules dans plusieurs pays. Un groupe dirigé par quelques Kosovars, résidant soit en Italie ou soit en Suisse, l'autre groupe était composé d'Italiens et de Macédoniens.

Les enquêtes des Carabiniers ont déterminé que le chef de l'association criminelle kosovare est Arben Rexhepi, un Albanais actif pendant la guerre des Balkans dans le groupe paramilitaire de l'UCK. C'était lui qui recrutait les migrants à faire venir en Italie.

Les complices - Driton Rexhepi, Xhemshit Vershevci, Franco et Tiziano Moreno Mapelli, Ibraim Latifi et sa compagne Jlenia Fele Arena - transportaient des réfugiés en Suisse en voiture.

Grâce à la coopération avec la police suisse, deux voyages illégaux organisés par le groupe ont été découverts en 2017. Pour passer la frontière, chaque réfugié devait payer 3'000 euros.

(...)

Selon les enquêteurs, Ibraim Ljatifi - arrêté il y a sept mois à Palerme lors d'un retour de voyage au Kosovo - disposait de kalachnikovs et de grenades qu'il aurait également vendues à une cellule de combattants du groupe paramilitaire « Nuovo UCK », protagoniste d'une attaque commise dans la ville macédonienne de Kumanovo en 2015.

Des téléphones et des ordinateurs ont été saisis ainsi que des photos et des vidéos de diamants et d'armes vendues à l'étranger.

(...)

 

Source Source2 Source3 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Rappels :

Suisse. Cédric Wermuth, socialiste: « L’albanais et le serbo-croate devraient devenir des langues nationales. »

Le parti socialiste  a milité pour l'accueil massif des Albanais en Suisse.

Le Kosovo honore Micheline Calmy-Rey.

Suisse: Lorsque notre administration accueillait les criminels de l’UCK en tant que réfugiés.

Les crimes de l'UCK éclaboussent la Suisse

 

Suisse: Lorsque notre administration accueillait les criminels de l’UCK en tant que réfugiés.

Interpellation déposée par Frehner Sebastian, Groupe de l'Union démocratique du Centre en date du 15 mars 2012.

Figurant dans un rapport du Conseil de l'Europe datant de décembre 2010, les accusations portées contre des personnes faisant partie des plus hautes sphères de la société au Kosovo concernent des crimes graves et des violations des droits de l'homme. Il est problématique que H. Thaçi et d'autres dirigeants de l'UCK aient obtenu le statut de réfugié en Suisse. Il ressort d'un travail de licence présenté à l'Université de Zurich en 2008 que H. Thaçi a organisé depuis la Suisse - alors qu'il bénéficiait du statut de réfugié - un trafic d'armes et plusieurs attaques contre des unités de la police yougoslave entre 1993 et 1996.

A cet égard, je prie le Conseil fédéral de répondre aux questions suivantes:

1. Ces événements sont-ils connus des autorités compétentes (comme le DFJP, le DFAE, l'ODM, le SAP, le MPC et Fedpol)?

2. A-t-on enquêté sur X. Haliti et H.

pour des infractions en matière de stupéfiants et des infractions contre la propriété, avant tout dans le canton de Zurich, voire ouvert des enquêtes pénales contre eux avant de les suspendre?

3. Les autorités susmentionnées avaient-elles connaissance du fait que H. Thaçi avait été accusé de possession illégale d'armes en Albanie en 1993?

4. Pour quelles raisons H. Thaçi s'est-il vu prononcer une interdiction d'entrée en Suisse en 2002?

5. Pourquoi l'ODM n'a-t-il pas retiré la qualité de réfugié à H. Thaçi et à X. Haliti?

6. Qui était responsable de l'octroi des bourses à H. Thaçi et à X. Haliti et de leur immatriculation à l'Université de Zurich dans les années 1990?

7. Pourquoi le Conseil fédéral n'a-t-il pas informé la Commission de politique extérieure, en 2008, quand la proposition a été faite de reconnaître l'indépendance du Kosovo, alors dirigé par H. Thaçi, du fait que ce dernier était sous le coup d'une interdiction d'entrée en Suisse prononcée en 2002?

8. En février 1999, un avis de recherche a été lancé contre H. Thaçi pour plusieurs attentats terroristes perpétrés contre des unités de police. Les autorités avaient-elles connaissance de cet avis de recherche?

9. Pourquoi Bardhyl Mahmuti, président d'un parti en Macédoine, et Azem Syla, commandant de l'UCK, sont-ils toujours en possession d'un permis C?

10a. Les autorités fédérales connaissent-elles les sociétés "Feniks Company" et "Mabatex", qui ont leur siège en Suisse? Pourquoi des enquêtes pénales ont-elles été ouvertes contre elles?

10b. Des membres connus de l'UCK étaient-ils impliqués dans ces sociétés?

11. Quels sont les noms des membres de l'UCK qui ont pu échapper aux autorités suisses en prenant la fuite bien que des enquêtes pénales aient été ouvertes contre eux?

 

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La presse alémanique reste interloquée par les liens étroits entre Berne et Hashim Thaçi, décrit "depuis peu" comme un boucher sans scrupules.

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Avis du Conseil fédéral du 16 mai 2012

Pour des raisons ayant trait à la protection de la personnalité, le Conseil fédéral est habilité à ne pas apporter de précisions concernant certaines questions posées par l'auteur de l'interpellation en vertu de l'article 7 alinéa 2 lettre c de la loi sur l'Assemblée fédérale (RS 171.10) lorsque les informations demandées doivent rester confidentielles (cf. réponses aux interpellations Wobmann 11.3294 et Stamm 11.3271).

Par ailleurs, le Ministère public de la Confédération est tenu, conformément à l'article 73 alinéa 1 du Code de procédure pénale (CPP; RS 312.0), de garder le silence sur les faits qui lui ont été rapportés et sur les mesures prises. En vertu de cette obligation de garder le secret et selon le principe de la séparation des pouvoirs, le Conseil fédéral ne peut fournir que des réponses partielles.

1. Les événements sont connus des autorités compétentes. Dans son rapport sur la protection de l'Etat 1998, le DFJP a décrit précisément le rôle de l'Armée de libération du Kosovo (UCK) et mentionné le soutien financier et logistique fourni par des groupes d'immigrés. Hashim Thaçi a été cité dans ce contexte comme étant un dirigeant de l'UCK domicilié en Suisse.

2. Ce sont les autorités cantonales qui sont responsables de la poursuite pénale en cas d'infractions en matière de stupéfiants et contre le patrimoine.

3./8. Pour des raisons de protection de la personnalité, le Conseil fédéral ne peut fournir aucune information à ce sujet. Comme l'a indiqué le Conseil fédéral dans sa réponse à l'interpellation Stamm 11.3271, les activités de l'UCK sont mentionnées dans le chapitre intitulé "Terrorisme et extrémisme violent" du rapport sur la protection de l'Etat de 1999, publié par le DFJP.

4. Comme l'a précisé le Conseil fédéral dans sa réponse à l'interpellation Wobmann 11.3294, il s'était aussi penché sur le cas d'Hashim Thaçi lorsqu'il a pris sa décision le 3 juillet 2001 concernant des interdictions d'entrée contre trois dirigeants de l'UCK et qu'il avait pris connaissance des mesures réservées du DFJP. Ces mesures étaient dues au rôle déstabilisateur de l'UCK dans le sud de la Serbie et en Macédoine. La Suisse n'avait pas l'intention de tolérer les activités de ce groupe. Hashim Thaçi n'a cependant pas été frappé d'une interdiction d'entrée, pour divers motifs qui ne peuvent être précisés ici en raison de l'obligation de garder le secret mentionnée plus haut.

5. Hashim Thaçi et Xhavit Haliti, comme d'autres anciens membres de l'UCK, ont été reconnus comme réfugiés et ont obtenu l'asile sur une période allant du 20 novembre 1986 au 16 février 1996. Ils ont pu prouver ou, du moins, rendre vraisemblable qu'ils étaient poursuivis par les autorités de l'ex-Yougoslavie en raison de leurs opinions politiques. Les autorités compétentes en matière d'asile ont examiné chaque demande avec soin et de manière individuelle. Au moment de la décision, il a été vérifié, pour chacun des cas, qu'il n'existe aucun motif d'exclusion (cf. art. 53 de la loi sur l'asile; RS 142.31; art. 1F de la Convention relative au statut des réfugiés; RS 0.142.30). Peu après la fin de la guerre au Kosovo, une procédure de révocation de l'asile a été lancée à la fois pour Hashim Thaçi et Xhavit Haliti et pour d'autres anciens membres de l'UCK. Xhavit Haliti possédait alors déjà, en vertu de dispositions légales (art. 60 LEtr), une autorisation d'établissement à validité non limitée. Le 3 juillet 2001, le Conseil fédéral a prononcé une interdiction d'entrée à l'encontre de Xhavit Haliti, qui s'est suivie de la suppression de son autorisation d'établissement.

6. L'octroi des bourses relève des autorités cantonales et les immatriculations sont quant à elle du ressort des universités. Dans le cas d'Hashim Thaçi et de Xhavit Haliti, il s'agit de l'Université de Zurich.

7. Cf. réponse à la question n° 4. Etant donné qu'aucune interdiction d'entrée n'a été prononcée contre Thaçi, la question portant sur le fait que la Commission de politique extérieure n'a pas été informée ne se pose pas. Il convient d'ajouter que, du point de vue de la politique extérieure, la reconnaissance du Kosovo signifie la reconnaissance d'un Etat; cet acte souverain de la Suisse n'était pas lié à des personnes en particulier. Le Conseil fédéral était convaincu que cette décision, qui clarifiait la question du statut du Kosovo, permettrait de pacifier et de stabiliser la région.

9. Selon la répartition des compétences prévue par le droit des étrangers, les autorités cantonales statuent sur l'octroi et la révocation des autorisations de séjour et d'établissement. Dans le canton de Vaud, des clarifications sont en cours pour savoir si le maintien de l'autorisation d'établissement de Bardhyl Mahmuti se justifie ou si cette autorisation prend fin du fait qu'il séjourne en réalité à l'étranger.

L'autorisation d'établissement d'Azem Syla a été révoquée par jugement du tribunal administratif du 13 février 2012 et le délai de son départ a été fixé au 15 mai 2012. Après l'entrée en force de ce jugement, l'ODM examinera l'opportunité de prononcer une interdiction d'entrée pour manquements liés aux assurances sociales et pour comportement frauduleux à l'égard des autorités.

10a/10b/11. Pour des raisons de protection de la personnalité et de maintien du secret en cas de procédures pénales, le Conseil fédéral ne peut pas se prononcer à ce sujet.

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La Serbie veut un détenu, la Suisse le libère

Prévenu de terrorisme, il retourne en France où il a demandé l’asile.

G. a été très étonné d’être arrêté dans les rues de Genève ce printemps. La Serbie recherche depuis 2012 cet ancien combattant de l’Armée de libération du Kosovo (UCK) afin de le juger pour terrorisme. Sous le coup de cette demande d’extradition serbe, il a été aussi surpris d’avoir été libéré provisoirement au début du mois. Il est donc reparti en France, où il avait demandé l’asile avant son interpellation.

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Macédoine: Les musulmans albanais exigent un califat…

Bien que la petite République de Macédoine – 25 000 km2, 2 millions d’habitants – soit majoritairement peuplée de chrétiens orthodoxes (65 %), les musulmans, notamment d’origine ethnique albanaise – la Macédoine a une frontière au nord-est avec le Kosovo et à l’ouest avec l’Albanie –, en constituent le tiers… Une minorité active – pour ne pas dire activiste – et revendicatrice.

Le Vendredi Saint 2012, un groupe d’islamistes d’origine albanaise assassina quatre pêcheurs chrétiens sur les rives du lac Smilkovci puis, dans la foulée, un témoin qui avait vu la scène. Lors de leur arrestation, 1 500 islamistes manifestèrent à Skopje, la capitale de la Macédoine, exigeant leur libération, la création d’une « Grande Albanie » et hurlant de charmants slogans comme le célèbre « Allahu Albar » ou encore le « Mort aux chrétiens »

Le 30 juin dernier, un tribunal de Skopje condamna ces six fanatiques musulmans à la réclusion criminelle à perpétuité – heureux islamistes à qui la justice macédonienne n’applique pas la charia… Comme il fallait s’y attendre, vendredi 4 juillet dernier, en plein ramadan donc et le jour de ladite “grande prière”, quelque 2 000 furieux, arborant drapeaux albanais et saoudien – au moins, on sait qui les finance… – ont manifesté violemment dans les rues de Skopje et blessé 20 policiers.

Avez-vous lu cela dans la große presse ? Sept jours plus tard, toujours en plein ramadan et jour de ladite “grande prière”, nouvelle manifestation de rue des islamistes aux cris de « UÇK ! UÇK ! » (Ushtria Çlirimtare Kombëtare, le groupe de guérilla albano-islamique qui a combattu, en 2001, les forces armées macédoniennes).

Les experts estiment qu’on trouve parmi ces manifestants des islamistes d’origine albanaise qui sont allés s’entraîner auprès des islamistes combattant en Syrie. Il y aurait des milliers de ces individus dans les Balkans qui rêvent d’un « Califat albanais ». Skopje nous en a montré quelques spécimens ces derniers jours… 

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A noter que la simple lecture du Larousse donne froid dans le dos lorsqu'on y décrit la présence albanaise en Macédoine:

1999 La Macédoine, présidée par Boris Traijkovski, doit faire face à l'afflux de réfugiés albanais du Kosovo, qui perturbe le fragile équilibre existant entre majorité slave (orthodoxe) et minorité albanaise (musulmane).

2001 Après une crise très grave (actions violentes de groupes armés albanais dans le nord du pays), une révision constitutionnelle élargit les droits de la communauté albanaise.