Coup d’Etat militaire contre Trump ? Le Colonel Richard H. Black s’exprime

Dans cette vidéo extrêmement importante de la conférence de l'Institut Schiller qui s'est terminée le 6 septembre, l'ancien sénateur et juge-avocat général de l'État de Virginie Richard Black constate que ces généraux à la retraite, désormais actifs contre Donald Trump, violent la section 88 du Code uniforme de justice militaire.
Il nomme les noms et dit ce que le Président devrait ordonner au Secrétaire à la Défense Mark Esper de faire, si Esper ne le fait pas lui-même.
La publication Defense One utilisée par les insurgés appartient maintenant à Atlantic Media, principalement à Laurene Powell Jobs, qui a été un ange financier clé soutenant Kamala Harris. Atlantic Media publie également l'Atlantic qui pousse le faux récit actuel sur le président dénigrant l'armée.

https://www.youtube.com/watch?v=ere_RENZIxM

Trump stoppe les formations contre le racisme dans l’administration

En pleine campagne électorale marquée par de fortes tensions entre les deux camps sur la question du racisme, le président américain décide de stopper les formations contre le racisme dans l’administration.

Le président américain Donald Trump a ordonné la suppression des formations contre le racisme dispensées dans l’administration fédérale, a annoncé vendredi la Maison Blanche. Elles constituent selon lui de la «propagande clivante et anti-américaine».

[...]

L’administration présidentielle a reçu l’ordre de «s’assurer que les agences fédérales cessent d’utiliser les dollars des contribuables pour financer ces séances de propagande clivantes et anti-américaines», ajoute le communiqué.

[...]

Donald Trump cite régulièrement en exemple les manifestations antiracistes, qui dégénèrent parfois en affrontements avec la police, pour agiter le spectre d’une Amérique à feu et à sang, à la merci des «voyous» d’extrême gauche et autres «terroristes de l’intérieur» en cas de victoire de son adversaire démocrate Joe Biden.

(ATS/NXP)

Melania Trump: Ce n’est pas du journalisme – c’est du militantisme

Accusé d’avoir traité de losers les soldats américains morts lors de la Première Guerre mondiale, Donald Trump a reçu le soutien de sa femme

La Première dame des États-Unis Melania Trump, d’ordinaire très discrète, a pris vendredi la défense de son mari, accusé selon elle à tort d’avoir qualifié de «losers» des soldats américains tombés lors de la Première guerre mondiale.

La publication d’un article du magazine The Atlantic a encore fait monter d’un cran la tension d’une campagne présidentielle déjà particulièrement agressive aux États-Unis.

Lors d’une visite en France en novembre 2018 pour commémorer les 100 ans de la fin de la Première Guerre mondiale, Donald Trump avait annulé sa visite d’un cimetière américain près de Paris, expliquant que les mauvaises conditions météorologiques la rendaient impossible.

Mais selon le mensuel, il n’en voyait tout simplement pas l’intérêt. «Pourquoi devrais-je aller à ce cimetière? C’est rempli de losers», aurait-il dit à des membres de son équipe, rapporte The Atlantic, qui ne cite que des sources anonymes.

«L’article de The Atlantic n’est pas vrai», a réagi Melania Trump sur Twitter. «L’heure est devenue très grave lorsque l’on croit avant tout des sources anonymes, sans que personne ne sache leurs motivations».

«Ce n’est pas du journalisme – c’est du militantisme. Et ce n’est pas rendre service aux habitants de notre grande nation», a ajouté la Première dame.

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(AFP/NXP)

Trump estime que Kyle Rittenhouse a tiré pour se défendre et qu’il aurait pu mourir s’il ne l’avait pas fait

Note : Le 20min.ch romand refuse toujours de publier la vidéo montrant les gauchistes attaquer Kyle Rittenhouse alors que le propos de Trump vise justement les circonstances de cette fusillade.

Et cela alors que les vidéos ont été diffusées sur Twitter depuis de nombreux jours.

 


Les propos tenus par Donald Trump concernant la mort de deux personnes lors d’une manifestation contre la violence policière, la semaine dernière à Kenosha, sont venus mettre de l’huile sur le feu. Lors d’un point presse lundi, une journaliste a invité le président à condamner l’acte de Kyle Rittenhouse, l’adolescent pro-Trump qui a ouvert le feu.

Le président a botté en touche, estimant que le jeune homme de 17 ans avait agi en état de légitime défense: «C’était une situation intéressante. Il essayait de s’éloigner d’eux, il est tombé et ils l’ont très violemment attaqué. C’est quelque chose que nous étudions, ça fait l’objet d’une enquête. Je crois qu’il était dans de sales draps. Il aurait probablement été tué», a-t-il répondu.

 

 

 

Donald Trump base sa réponse sur des vidéos montrant Kyle Rittenhouse armé, se faire courir après par des manifestants, dont au moins un portait également une arme.

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20min.ch


Rappels :

 

 

Kenosha (USA) : un jeune Blanc est agressé par des Black Lives Matter. Il tire pour se défendre. (Vidéo)

Le jeune tireur qui a tué deux émeutiers à Kenosha est accusé de meurtre alors qu’il ne faisait que se défendre

Kenosha (Wisconsin) : BLM et Antifa incendient le commerce d’un Blanc de 70 ans, puis le tabassent violemment. Que dit la RTS de ces événements?

Washington : une foule de Black Lives Matter harcèle les gens qui refusent de soutenir leur mouvement (Vidéos)

Portland : Le suspect du meurtre du partisan de Donald Trump est “100% ANTIFA”

Caroline du Sud : une employée de crèche noire jette à terre un enfant blanc alors que celui-ci tentait de récupérer son jouet volé par un enfant noir

Portland (États-Unis) : un pro-Trump tué par balle au cours d’émeutes, l’annonce de sa mort provoque la joie de manifestants #BlackLivesMatter

États-Unis : un homme noir poignarde un homme blanc après avoir « ressenti le besoin de trouver et tuer un homme blanc »

L’effigie de Trump placée sur une guillotine par des Black Lives Matter devant la Maison blanche (Vidéos)

Baltimore : Des Noirs exultent après l’agression d’un Blanc à coup de brique : « La vie des Blancs ne compte pas »

 

Portland (États-Unis) : un pro-Trump tué par balle au cours d’émeutes, l’annonce de sa mort provoque la joie de manifestants #BlackLivesMatter

PORTLAND, Minerai. (AP) – Une personne a été tuée par balle samedi dernier à Portland, Oregon, alors qu’une grande caravane de partisans du président Donald Trump et de manifestants de Black Lives Matter s’affrontaient dans les rues, a déclaré la police.

Il n’a pas été possible de déterminer si les coups de feu étaient liés aux bagarres qui ont éclaté lorsqu’une caravane d’environ 600 véhicules fut confrontée à des manifestants dans le centre-ville.

Un photographe indépendant de l’Associated Press a entendu trois coups de feu puis a observé les médecins de la police travaillant sur le corps de la victime, qui semblait être un homme blanc. Le photographe indépendant a déclaré que l’homme portait un chapeau portant l’insigne de Patriot Prayer, un groupe de droite dont les membres se sont souvent confrontés aux manifestants à Portland précédemment.

 

 

La police n’a donné aucun détail supplémentaire et s’est rendue sur les lieux pour enquêter tard samedi.

« Les agents de la police de Portland ont entendu des coups de feu provenant de la zone sud-est de la 3e Avenue et sud-ouest de la rue Alder. Ils sont intervenus et ont localisé une victime avec une blessure par balle à la poitrine. Les médecins ont répondu et ont déterminé que la victime était décédée », a déclaré le bureau de la police de Portland dans une déclaration.

Portland a été le site de manifestations nocturnes pendant plus de trois mois depuis l’assassinat de George Floyd par la police à Minneapolis.

Beaucoup d’entre elles se terminent par du vandalisme et de la violence, et des centaines de manifestants ont été arrêtés par les forces de l’ordre locales et fédérales depuis fin mai. La caravane est arrivée au centre-ville au moment où une manifestation prévue pour samedi se mettait en place. La police a procédé à plusieurs arrestations avant la fusillade et a conseillé aux habitants d’éviter le centre-ville.

Cette scène chaotique s’est produite deux jours après que M. Trump a évoqué Portland comme une ville de gauche envahie par la violence dans un discours prononcé à la Convention nationale républicaine, dans le cadre de sa campagne de réélection axée sur la loi et l’ordre public. La caravane a marqué le troisième samedi consécutif où des partisans de Trump se sont rassemblés dans la ville.

Trump et d’autres intervenants à la convention de cette semaine ont évoqué un avenir violent et dystopique si le candidat démocrate à la présidence Joe Biden gagnait en novembre et ont indiqué que Portland serait un exemple de ce qui attend les Américains.
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Associated Press

Via Fdesouche

L’effigie de Trump placée sur une guillotine par des Black Lives Matter devant la Maison blanche (Vidéos)

Les manifestants de Black Lives Matter ont placé une effigie de Donald Trump sur une guillotine devant la Maison Blanche.

La scène choquante a été mise en place à quelques mètres de l'endroit où le président prononçait son discours lors duquel il acceptait l'investiture républicaine dans la nuit de jeudi.

 

 

 

 

Un papier était placé sur l'effigie de Trump sur lequel il était écrit : "Fasciste, violeur, criminel".

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(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Tennesseestar.com / Disrn.com

Le combat de Trump contre l’état profond – Les standards pour censurer les réseaux sociaux

CENSURÉ par Facebook 👉 Trump : "Je combat l'état profond" #ObamaGate

28 mai 2020
Faire un don : http://www.filsdepangolin.com 💖 Facebook : https://www.facebook.com/FilsDePangolin Twitter : https://twitter.com/Filsde_Pangolin @Filsde_Pangolin ----------------------------------------- Interview originale complète : https://youtu.be/gyYdNN_klWs
Si vous reuploader cette vidéo sur votre chaine, merci de mettre un lien vers ma vidéo.
 Beaucoup d'actes répréhensibles présumés ont été découverts récemment par le FBI et des officiels du renseignement, jusqu'à ce que vous nommiez Richard Grenell directeur par intérim du renseignement national.
Les journalistes, les membres du congrès, et de la société civile, ont insisté pour voir ces informations et ce depuis 3 ans, mais elles ont été cachées, qu'en pensez-vous ? Parce qu'elles ont été caché par des personnes travaillant pour votre administration. Richard Grenell est une superstar, il a eu le cran et le courage de faire ce qu'il a fait.
Nous avons une autre superstar qui arrive comme vous le savez, John Ratcliffe, il vient d'être approuvé hier et il prendra la relève mardi. Richard Grenell a fait l'un des meilleurs travail que j'ai jamais vu, en peu de temps, il les a exposé comme étant corrompus.
Regardez, ils ont essayé de faire tombé un président des États-Unis, illégalement, tout est illégal. Je ne sais pas ce qui se passe, nous espérons que Bill Barr va être aussi bon que nous le pensons parce que c'est un grand gentleman, un grand homme, il doit utiliser cette information et faire ce qui est juste, il fera ce qui est juste, Bill Barr fera ce qui est juste.
Mais ce que Richard Greneel a fait pour ce pays est incroyable. Pourquoi a t-il fallu Richard Grenell ? vous aviez d'autres personnes qui travaillaient dans votre ... Je l'ai fait, parce qu'ils n'ont pas fait leur travail, Dan Coats n'aurait jamais dû laisser ça arriver, Dan Coats est resté la pendant deux ans et n'a pas fait son travail,
Il a ensuite été remplacé par une bonne personne issu des militaires, mais il n'était là que pour une courte période.
Mais je suis tellement déçu que Dan Coats n'ait pas fait son travail, Jeff Session était un désastre en tant que procureur général, il n'aurait jamais dû être procureur général, il n'est pas qualifié, il n'est pas mentalement qualifié pour être procureur général.
Il était le plus gros problème, je veux dire que Jeff Session a mis des gens en place qui ont été un désastre, Ils ont toujours eu le département de la justice, mais ils l'ont gardé sous Jeff Sessions.
Et toute cette affaire russe est une arnaque. Pensez-y  : ils ont dépensé 45 millions de dollars pour enquêter pendant 2 ans et demi et ils n'ont rien trouvé. Pas de collusion  !
Une de mes amis, très intelligent, un grand homme d'affaire m'a appelé, il m'a dit  : «  Tu dois etre la personne la plus honnête du monde, ils t'ont scruté sur des années et des années. Ils ont interrogé des gens que je n'avais pas vu depuis des années  » Des millions d'appels téléphonique, et pas un seul à la Russie.
Regardez, certaines de ces personnes, et je le dis fièrement. Je ne suis venu à Washington que 17 fois dans ma vie, et la 18eme fois que Je suis venu c'était en tant que président des États-Unis.
J'ai eu une belle vie, j'ai bien réussi, et beaucoup bonne choses sont arrivé. Et que s'est il passé ? Je ne connaissais personne a Washington, et que ce soit Jeff Sessions qui était une erreur, ou Dan Coats qui était une erreur de recrutement, mais c'est surtout Jeff Sessions qui était une grosse erreur.
Coats est resté là et il n'a rien fait du tout Lorsque vous regardez ce qu'a accompli Richard Grenell en 8 semaines, et ces gens n'ont rien fait pendant 2 ans et demi alors qu'ils auraient du révéler ce scandale.
Certaines personnes m'ont beaucoup déçu, et d'autres ont fait un travail phénoménal. Mais que suis je en train de faire  ? Je combat l'état profond. Je combat le «  Marais  »  Et j'ai dit que j'étais en train de le faire, je les expose.
Je pense que … Si cela poursuit son cours, et Ratcliffe est formidable, si cela poursuit son cours alors j'ai une chance de briser l'état profond.
C'est un groupe de gens malsains, c'est très néfaste pour notre pays, et ce n'était jamais arrivé auparavant. Vous êtes aussi une victime de l'état profond, ça ne me fait pas plaisir de vous dire cela , mais que vous en soyez consciente ou non, ils vous ont maltraité pendant des années, et c'est le cas pour bien des personnes....#ObamaGate

https://www.youtube.com/watch?v=Ql9n_SMKaIs

 

 

Réplique cinglante de Trump aux attaques lancées par Michelle Obama lors de la Convention démocrate

Dans son long discours à la Convention nationale démocrate (virtuelle), Michelle Obama a blâmé Trump pour le péril économique dans lequel se trouve l'Amérique en raison du coronavirus et a affirmé que la Maison Blanche avec Trump représentait "le chaos, la division et un manque total et absolu d'empathie".

Comment Trump a-t-il réagi ?

Dans un tweet, M. Trump a contesté que la présidence d'Obama ait été une période de prospérité pour l'Amérique - comme l'insinuait Michelle - et il a bien fait comprendre que s'il est président, c’est bien parce que, lors de l'élection de 2016, les Américains ont réagi aux huit années de présidence d'Obama :

"Quelqu'un pourrait-il expliquer à @MichelleObama que Donald J. Trump ne serait pas ici, dans la belle Maison Blanche, si ce n'était à cause du travail fait par votre mari, Barack Obama. Biden n'était qu'une réflexion après coup, une bonne raison pour ce soutien très tardif et peu enthousiaste."

Il a ajouté : "Mon administration et moi avons construit la plus grande économie de l'histoire, de tous les pays, nous l’avons mise sur pause, nous avons sauvé des millions de vies, et maintenant nous construisons une économie encore plus grande qu'avant. Les emplois se multiplient, le NASDAQ est déjà à un niveau record, le reste suivra. Asseyez-vous et regardez !"

Sources : President Trump fires back at Michelle Obama with cold hard truth over DNC speech attacks ; https://t.co/q4WejXpuWU
Résumé Cenator

États-Unis : pour Goodyear dire que « les vies des policiers comptent » ou que « toutes les vies comptent » est « inacceptable » Trump incite à ne plus acheter chez ce fabricant

 

 

 

Un employé de Goodyear affirme que l’entreprise a mis en place une nouvelle politique que certains qualifient de pas égale pour tous.

Une photo qui circule sur les médias sociaux montre une diapositive présentée lors d’une formation sur la diversité, montrant ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas dans le cadre de la politique de tolérance zéro de la société Goodyear Tire and Rubber Company.

Accepté : Black Lives Matter (BLM), fierté LGBT.

Inacceptable : Blue Lives Matter [=les vies des policiers comptent], All Lives Matter [=toutes les vies comptent], vêtements MAGA (Make America Great again), slogans ou matériel à caractère politique.

Selon l’employé qui a pris la photo de la diapositive, celle-ci a été présentée à l’usine de Topeka par un responsable de secteur et il affirme que la diapositive provient de leur siège social d’Akron, dans l’Ohio.

« Si quelqu’un veut porter une chemise BLM ici, alors pas de souci. Je ne vais pas m’en offenser. Mais en même temps, si quelqu’un ne va pas pouvoir porter quelque chose lié à la politique, même en allant chercher très loin, c’est discriminatoire », a déclaré l’employé sous le couvert de l’anonymat par crainte de perdre son emploi. « Si nous parlons d’égalité, alors il faut que ce soit l’égalité. Sinon, c’est de la discrimination ».

13 NEWS a contacté Goodyear à propos de cette diapositive. Ils n’ont pas répondu à la question de savoir si la diapositive faisait partie d’une formation dispensée par leur bureau central.

« Goodyear s’engage à favoriser un lieu de travail inclusif et respectueux où tous nos associés peuvent faire de leur mieux dans un esprit de travail d’équipe. Dans le cadre de cet engagement, nous permettons à nos associés d’exprimer leur soutien en matière d’injustice raciale et d’autres questions d’équité, mais nous leur demandons de s’abstenir de toute expression sur le lieu de travail, verbale ou autre, en faveur d’une campagne politique pour un candidat ou un parti politique, ainsi que d’autres formes de plaidoyer similaires qui ne relèvent pas des questions d’équité ».

Melissa Monaco, The Goodyear Tire & Rubber Company

NBC15

Via Fdesouche

Donald Trump propose de ramener l’impôt sur le capital à 15%, alors que Joe Biden double ce taux

Le président Donald Trump a déclaré jeudi qu’il souhaitait voir l’impôt sur les plus-values ramené à 15 %, tandis que son rival dans la course à la Maison-Blanche, le candidat démocrate Joe Biden, a demandé qu’il soit porté à un niveau proche du triple du taux d’imposition proposé par M. Trump.

Le président Trump a déclaré jeudi à Maria Bartiromo, de Fox News, dans une interview téléphonique, que s’il était réélu pour un second mandat, il ferait pression pour réduire le taux d’imposition des plus-values à long terme, qui est actuellement de 20 % pour les revenus supérieurs à 441 451 $ (372 770 €) provenant d’actifs détenus depuis plus d’un an.

Le plan de Joe Biden prévoit d’imposer les plus-values à long terme et les dividendes qualifiés au même taux que l’impôt sur le revenu, soit 39,6 % sur les revenus supérieurs à un million de dollars.

Actuellement, les plus-values comprises entre 40 001 et 441 450 $ (33 776 et 372 760 €) sont déjà taxées à 15 %, tandis que celles inférieures à 40 000 dollars bénéficient d’un taux d’imposition de 0 %. Certains affirment donc que la proposition de M. Trump profiterait principalement aux Américains les plus riches et que son impact en tant que mesure de relance pendant la crise Covid-19 serait limité.

« Si vous regardez la distribution des gains en capital, elle va surtout aux personnes qui s’en sortent probablement assez bien ou mieux que beaucoup de personnes qui sont vulnérables en ce moment », a déclaré Garrett Watson, un analyste politique senior de l’Association fiscale, à la station de télévision Cheddar.

Cependant, M. Trump a parlé de l’impôt sur les plus-values lundi, en insistant sur le fait que cela créerait des emplois.

« J’envisage très sérieusement une réduction de l’impôt sur les plus-values et aussi une réduction de l’impôt sur le revenu pour les familles à revenus moyens », a déclaré M. Trump, ajoutant : « Je pense que ce sera très stimulant. Un impôt sur les plus-values va faire travailler beaucoup de gens. »

Les partisans des réductions de l’impôt sur les plus-values font valoir que, pour diverses raisons, cette mesure stimule la formation de capital et l’investissement des entreprises, ce qui, à son tour, crée des emplois.

« Nous aimerions revenir à 15 %, comme c’était le cas pendant longtemps, car cela favorise l’emploi, l’investissement, la productivité et les salaires », a déclaré Larry Kudlow, conseiller économique de la Maison-Blanche, aux journalistes mercredi.

[...]

article complet: https://fr.theepochtimes.com/share/1496013

Trump et la Davos Connection

Depuis le bureau de la rédaction, Michael Matt jette un coup d'œil sur les bonnes nouvelles concernant le taux de récupération de Covid avant d'explorer ce qui se passe réellement avec la pandémie mondiale.

Pour le comprendre, il nous emmène en Suisse, au Forum économique mondial, où les décideurs du monde entier se réunissent régulièrement, en particulier depuis janvier 2020, pour planifier "la grande réinitialisation" lors du sommet de Davos en janvier 2021.

À l'aide de nombreux clips vidéo, Michael montre comment tous, de Soros à Gates, en passant par Schwab et Al Gore, ainsi que le secrétaire général des Nations unies, ne sont que trop prompts à admettre que le Covid leur offre une rare occasion de "réinitialiser" l'économie mondiale, le contrôle de la population, le commerce mondial, la régulation du changement climatique, l'éducation et les objectifs de développement durable des Nations unies afin de "réorganiser", "réimaginer" et transformer fondamentalement chaque aspect de la vie telle que nous la connaissons.

Est-ce là le reste de l'histoire derrière l'intox sur l'ingérence russe, l'Ukraine, l'impeachment bidon et toutes les autres tentatives de l'État profond de saper les efforts de Trump pour "rendre sa grandeur à l'Amérique" ?

Les gens de Davos veulent un nouvel ordre mondial, et leur seul obstacle en ce moment, c'est les États-Unis. Et s'ils obtiennent leur "nouvelle normalité", rien ne sera plus jamais comme avant... sauf peut-être si Donald Trump gagne en novembre.

Traduction Cenator

Trump avait raison : quatre Démocrates accusés de fraude électorale en lien avec le vote par correspondance

À Paterson (New Jersey), le conseiller municipal Michael Jackson et le conseiller élu Alex Mendez ont été accusés de fraude électorale, après la décision du comité électoral du comté de Passaic d’annuler 800 bulletins de vote dans plusieurs municipalités.

Jackson, 48 ans, et Mendez, 45 ans, ont été accusés de fraude liée au vote par correspondance, de possession non autorisée de bulletins de vote, de falsification de documents publics et de falsification de dossiers publics. Mendez a également été accusé de fraude électorale.

Deux autres hommes du même comté, Shelim Khalique, 51 ans, et Abu Razyen, 21 ans, ont également été accusés.

Le vote par correspondance a été un sujet brûlant ces derniers mois. Les Démocrates s'efforcent d'en étendre l'usage, en invoquant les craintes liées au coronavirus. Les Républicains s'y opposent souvent, arguant que cela facilite les fraudes.

Sources : Washington Examiner,  NJ.com

Deux des quatre accusés sont musulmans. Shelim Khalique est le frère du conseiller municipal Shahin Khalique – celui qui est à l’origine de l’ordonnance municipale qui autorise l’appel islamique à la prière – et Abu Razyen est lié à la campagne de réélection de Khalique.

Source : Neon Nettle

Résumés Cenator

Rappel : Pandémie: Trump évoque un report de la présidentielle pour que «les gens puissent voter normalement»
« Avec le vote universel par correspondance […] 2020 sera l’élection la plus imprécise et la plus frauduleuse de l’histoire. […] »

États-Unis : un enseignant très apprécié licencié pour avoir simplement tweeté « Trump est notre président » et retweeté Trump sur la réouverture des écoles

Un district scolaire du Michigan a licencié un populaire enseignant et entraîneur de lycée après qu’il eut fait état sur les réseaux sociaux que « Trump est notre président ».

Justin Kucera, entraîneur de base-ball et professeur d’études sociales, a déclaré que les responsables du district scolaire de Walled Lake l’avaient convoqué à une réunion à huis clos après qu’il eut indiqué son soutien au discours du président Trump sur la réouverture des écoles. Il a déclaré au Washington Free Beacon que le principal et le surintendant du district de Walled Lake Western lui avaient donné un ultimatum : être licencié ou démissionner.

 

 

« J’ai dû rencontrer [les ressources humaines], le surintendant et mon proviseur [le 10 juillet]. Ils ont d’abord recueilli ma déclaration sur les raisons pour lesquelles j’ai tweeté cela et m’ont dit qu’ils prendraient une décision sur mon futur emploi dans les prochains jours. Lorsqu’ils eurent terminé la réunion, on me dit que j’avais le choix entre être licencié ou démissionner ». a déclaré M. Kucera.

Ni le district scolaire ni le directeur n’ont répondu aux demandes de commentaires.

Kucera a déclaré que la déclaration qui lui a coûté son emploi visait à unifier, plutôt qu’à diviser.

[…]

D’autres enseignants de Walled Lake avaient exprimé leurs opinions politiques sans aucune répercussion. […]

Washington Free Beacon

Via Fdesouche

Trump et l’aigle nazi

Trump a cette fois commis l'irréparable: il a commercialisé un T-shirt.

Le T-shirt en question est disponible dans le magasin du site de campagne de Donald Trump, porté comme on peut le voir par un beau spécimen de suprémaciste blanc:

Screenshot_2020-07-12 e5c70cbf190c1b6067a22d38401ba9b34c0e1f61 webp (Image WEBP, 600 × 900 pixels).png

Mais le problème n'est pas là - le problème est dans le dessin affiché sur le T-shirt, qui montre un aigle. Un aigle... Qui n'a pas vu ce symbole ailleurs? Qui d'autre utilisait un aigle? Les nazis, bien sûr!

Trump -> aigle et nazis -> aigle, donc Trump = nazi. CQFD.

Et voilà certains des plus acharnés de la gauchosphère partir en croisade pour montrer que ce T-shirt est la preuve définitive du nazisme de Trump (m'est avis qu'après trois ans et demi de présidence ils auraient mieux fait de pointer du doigt le bilan du Président plutôt qu'un imprimé sur coton, mais après tout, chacun cherche les preuves là où il peut.)

Tout cela n'aurait pu être qu'une de ces tempêtes dans un verre d'eau dont Internet est coutumier si "l'affaire" n'avait été reprise par les médias, au premier rang desquels USA Today dont le service de "fack-cheking"... Confirme bien que Trump a utilisé un symbole nazi.

Screenshot_2020-07-12 USA TODAY sur Twitter The claim Trump campaign shirts feature imperial eagle, a Nazi symbol Our rulin[...].png
Les experts ont parlé et leur sentence est irrévocable.

Hélas pour le quotidien publié depuis 1982, la conclusion du panel d'experts (essentiellement engagés, cela va sans dire) n'a pas provoqué l'assentiment général, mais plutôt un tollé, dont USA Today fait les frais en termes de crédibilité. Il est vrai que le symbole de l'aigle fait partie de l'iconographie américaine traditionnelle depuis plus d'un siècle, avant et après l'époque nazie et la Seconde Guerre Mondiale.

La publication a donc depuis profondément remanié son article pour expliquer que oui c'est vrai l'aigle, c'est-à-dire ici le Pygargue à tête blanche, fait partie des symboles américains... Mais sans changer la conclusion. C'est-à-dire que lorsque Trump utilise une image d'aigle, cela prouve sans ambiguïté ses liens avec le nazisme. Alors que lorsque d'autres l'utilisent, eh bien, bon, c'est juste un aigle.

Pour les besoins de la démonstration, on oubliera que le gendre du Président est juif.

Évidemment, certains ne se sont pas gênés pour relever l'absurdité de la situation, en pointant quelques contre-exemples, qu'il s'agisse du site de Nancy Pelosi, des billets de banque, du corps des marines, de la masse de la Chambre des Représentants... Voire les pièces de monnaie. Et là c'est encore plus fort:

twitter_nazi_dollar_1.png

"Avez-vous déjà vu le côté face d'une pièce de 25 cents?" demande un Internaute... Et Twitter cache l'image parce qu'elle pourrait être choquante. Respirons profondément et vérifions:

twitter_nazi_dollar_2.png

Voilà. OK, il s'agit de la gravure du quarter de 1804, mais nous en sommes arrivés à un point où montrer l'aigle au revers d'une pièce de monnaie américaine authentique est jugé par Twitter comme quelque chose de potentiellement choquant - là encore parce que l'aigle est un symbole nazi, vous comprenez.

L'analyse d'USA Today n'est pas un accident.

Ces gens-là sont complètement fous. L'hystérie anti-Trump (baptisée Trump Derangement Syndrome ou TDS par ceux qui en observent quotidiennement les effets dans les médias) n'est pas un vain mot.

Toutes les marques, équipes, clubs et drapeaux arborant un aigle (jusqu'aux armoiries de Genève) feraient bien de les changer avant la convocation au prochain procès de Nuremberg.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 12 juillet 2020

Le compte de Trump suspendu tandis qu’une vague de censure se propage sur Internet interdisant les voix pro-Trump

Tim Pool

Twitch a déclaré que le discours de Trump en 2016 et le récent rassemblement de Tulsa avaient violé ses règles.

Aujourd'hui, Reddit a banni plus de 2 000 subreddits différents, dont The Donald. The Donald était l'un des points de rassemblement les plus importants, sinon le plus important, pour les partisans de Trump. Ce qui est pourtant curieux, c’est qu’ils avaient quitté Reddit il y a 4 mois et Reddit les a bloqués quand même.

Cela signifie que Reddit applique des règles rétroactivement, et donc que personne ne peut être sûr de ne pas violer les règles un jour.

Pendant ce temps, la fraude dans le vote par correspondance est un vrai problème. Moi-même, j'ai reçu un bulletin de vote par correspondance pour quelqu'un qui ne vit chez moi.

Tous les freins sont sortis pour arrêter Trump.

Traduction libre Cenator

***

Voir aussi en français:

https://www.journaldemontreal.com/2020/06/29/comportements-haineux-twitch-et-reddit-sattaquent-a-trump-et-a-ses-partisans-1

https://www.huffingtonpost.fr/entry/twitch-et-reddit-bannissent-donald-trump-et-certains-de-ses-fans_fr_5efa5172c5b6acab2845a3ca

Anniversaire de Donald Trump. Des parades de bateaux dans tous les États-Unis

Les abonnés de la presse fake news sont persuadés que Trump serait actuellement décrié par tous les Américains. Ce n’est pas tout à fait la vérité.

A l’occasion des 74 ans du président d’impressionnantes parades de bateaux ont eu lieu en son honneur dans tous les États-Unis.

Boat parade on San Diego Bay to support President Trump

https://www.youtube.com/watch?v=WXtT_luQCYg

MAGA boat parade to Downtown Detroit celebrates Trump’s 74th birthday

https://www.youtube.com/watch?v=uQi57XCy3eg

Jacksonville rally for President Trump’s birthday draws more than 1,000 boats

https://www.youtube.com/watch?v=4BF_tvHyf_k

Lake Havasu City AZ Trump Boat Parade Memorial Weekend 2020

https://www.youtube.com/watch?v=45c6-odRFwY

Norfolk Trump Boat Parade "Trumptilla" June 6, 2020

https://www.youtube.com/watch?v=Ub0hM9JDRQM

Boat parade held in South Florida to celebrate President Trump's 74th birthday

https://www.youtube.com/watch?v=p8fhSg7CWqM

L’UE apporte son soutien à Twitter dans sa bataille contre Trump et appelle les géants du net à lutter contre la désinformation

Un rapport mensuel sur les mesures prises contre les fausses informations sera désormais demandé à Facebook, Twitter et Google, a annoncé ce mercredi la vice-présidente de la Commission chargée des valeurs et de la transparence.

L'Union européenne a appelé les géants du net à en faire davantage pour lutter contre l’«énorme vague de désinformation» suscitée par la pandémie du coronavirus. Bruxelles a aussi apporté son soutien à Twitter dans sa bataille contre Donald Trump.

[...]

20min.ch

Nos remerciements à Panterina

 

Lettre de l’archevêque Carlo Maria Viganò au président Trump : « les forces du Mal sont contre vous »

Dans une puissante lettre adressée au président Trump, L’archevêque Carlo Maria Viganò explique que la lutte éternelle entre le bien et le mal se joue en ce moment.

Jean-Patrick Grumberg le 8 juin 20230

L’archevêque Carlo Maria Viganò avertit le président américain que les crises actuelles, la pandémie de coronavirus et les émeutes suite à la mort de George Floyd, font partie de l’éternelle lutte spirituelle entre les forces du bien et du mal.

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Carlo Maria Viganò :

Tout comme il existe un état profond, il existe aussi une église profonde qui trahit ses devoirs et renonce à ses engagements propres devant Dieu

Monsieur le Président,

Ces derniers mois, nous avons assisté à la formation de deux camps opposés que je qualifierais de bibliques : les enfants de la lumière et les enfants des ténèbres.

Les enfants de la lumière constituent la partie la plus visible de l’humanité, tandis que les enfants des ténèbres représentent une minorité absolue. Et pourtant, les premiers font l’objet d’une sorte de discrimination qui les place dans une situation d’infériorité morale par rapport à leurs adversaires, qui occupent souvent des positions stratégiques au gouvernement, en politique, en économie et dans les médias. D’une manière apparemment inexplicable, les bons sont pris en otage par les méchants et par ceux qui les aident soit par intérêt, soit par crainte.

Ces deux aspects, qui ont un caractère biblique, suivent la séparation nette entre la progéniture de la Femme et la progéniture du Serpent.

D’un côté, il y a ceux qui sont motivés par le désir de faire le bien, d’autre part, il y a ceux qui se servent eux-mêmes, qui n’ont aucun principe moral, qui veulent démolir la famille et la nation, exploiter les travailleurs pour s’enrichir indûment

• D’un côté, il y a ceux qui, bien qu’ils aient mille défauts et faiblesses, sont motivés par le désir de faire le bien, d’être honnêtes, d’élever une famille, de travailler, de donner la prospérité à leur patrie, d’aider les nécessiteux et, dans l’obéissance à la Loi de Dieu, de mériter le Royaume des Cieux.

• D’autre part, il y a ceux qui se servent eux-mêmes, qui n’ont aucun principe moral, qui veulent démolir la famille et la nation, exploiter les travailleurs pour s’enrichir indûment, fomenter des divisions internes et des guerres, et accumuler du pouvoir et de l’argent : pour eux, l’illusion fallacieuse du bien-être temporel cédera un jour – s’ils ne se repentent pas – au terrible destin qui les attend, loin de Dieu, dans la damnation éternelle.

Dans la société, Monsieur le Président, ces deux réalités opposées coexistent comme des ennemis éternels, tout comme Dieu et Satan sont des ennemis éternels. Et il semble que les enfants des ténèbres – que l’on peut facilement identifier à l’état profond auquel vous vous opposez sagement et qui vous mène une guerre acharnée ces jours-ci – ont décidé de montrer leurs cartes, pour ainsi dire, en dévoilant maintenant leurs plans. Ils semblent tellement certains d’avoir déjà tout sous contrôle qu’ils ont mis de côté cette circonspection qui, jusqu’à présent, avait au moins partiellement dissimulé leurs véritables intentions. Les enquêtes déjà en cours révéleront la véritable responsabilité de ceux qui ont géré l’urgence de Covid non seulement dans le domaine des soins de santé mais aussi dans la politique, l’économie et les médias. Nous constaterons probablement que dans cette opération colossale d’ingénierie sociale, il y a des gens qui ont décidé du sort de l’humanité, s’arrogeant le droit d’agir contre la volonté des citoyens et de leurs représentants dans les gouvernements des nations.

Nous découvrirons également que les émeutes de ces jours-ci ont été provoquées par ceux qui, voyant que le virus s’estompe inévitablement et que l’alarme sociale de la pandémie s’estompe, ont dû nécessairement provoquer des troubles civils, car ils seraient suivis d’une répression qui, bien que légitime, pourrait être condamnée comme une agression injustifiée contre la population. La même chose se produit également en Europe, en parfaite synchronie. Il est tout à fait clair que le recours aux manifestations de rue est utile à ceux qui souhaitent voir, lors des prochaines élections présidentielles, un candidat qui incarne les objectifs de l’État profond et qui exprime ces objectifs fidèlement et avec conviction. Il ne sera pas surprenant si, dans quelques mois, nous apprenons une fois de plus que derrière ces actes de vandalisme et de violence se cachent ceux qui espèrent profiter de la dissolution de l’ordre social pour construire un monde sans liberté : Solve et Coagula, comme l’enseigne l’adage maçonnique.

Dans les milieux religieux, il y a des bergers fidèles qui prennent soin du troupeau du Christ, mais il y a aussi des mercenaires infidèles

Bien que cela puisse paraître déconcertant, les alignements opposés que j’ai décrits se retrouvent également dans les milieux religieux.

Il y a des bergers fidèles qui prennent soin du troupeau du Christ, mais il y a aussi des mercenaires infidèles qui cherchent à disperser le troupeau et à livrer les brebis pour qu’elles soient dévorées par des loups voraces. Il n’est pas surprenant que ces mercenaires soient les alliés des enfants des ténèbres et haïssent les enfants de la lumière : tout comme il existe un état profond, il existe aussi une église profonde qui trahit ses devoirs et renonce à ses engagements propres devant Dieu. Ainsi, l’ennemi invisible, contre lequel les bons dirigeants se battent dans les affaires publiques, est également combattu par les bons bergers dans la sphère ecclésiastique. C’est une bataille spirituelle, dont j’ai parlé dans mon récent appel publié le 8 mai.

Pour la première fois, les États-Unis ont en vous un président qui défend courageusement le droit à la vie, qui n’a pas honte de dénoncer la persécution des chrétiens dans le monde entier, qui parle de Jésus-Christ et du droit des citoyens à la liberté de culte. Votre participation à la Marche pour la Vie, et plus récemment votre proclamation du mois d’avril comme Mois national de la prévention des abus envers les enfants, sont des actions qui confirment de quel côté vous souhaitez vous battre. Et j’ose croire que nous sommes tous deux du même côté dans cette bataille, même si nous utilisons des armes différentes.

Il est déconcertant qu’il y ait des évêques soumis au mondialisme, à la pensée alignée, au Nouvel Ordre Mondial

Pour cette raison, je crois que l’attaque dont vous avez été victime après votre visite au sanctuaire national de Saint Jean-Paul II fait partie du récit orchestré par les médias qui cherche non pas à lutter contre le racisme et à apporter l’ordre social, mais à aggraver les dispositions ; non pas à rendre la justice, mais à légitimer la violence et le crime ; non pas à servir la vérité, mais à favoriser une faction politique. Et il est déconcertant qu’il y ait des évêques – comme ceux que j’ai récemment dénoncés – qui, par leurs paroles, prouvent qu’ils sont alignés sur le camp adverse. Ils sont soumis à l’État profond, au mondialisme, à la pensée alignée, au Nouvel Ordre Mondial qu’ils invoquent de plus en plus souvent au nom d’une fraternité universelle qui n’a rien de chrétien, mais qui évoque les idéaux maçonniques de ceux qui veulent dominer le monde en chassant Dieu des tribunaux, des écoles, des familles et peut-être même des églises.

Avant que le pouvoir de la prière ne s’effondre, les tromperies des enfants des ténèbres seront exposées pour ce qu’elles sont : une tromperie infernale

Le peuple américain est mûr et a maintenant compris à quel point les grands médias ne veulent pas diffuser la vérité mais cherchent à la réduire au silence et à la déformer, en répandant le mensonge qui est utile aux fins de leurs maîtres. Cependant, il est important que les bons – qui sont la majorité – se réveillent de leur lenteur et n’acceptent pas d’être trompés par une minorité de personnes malhonnêtes avec des buts inavouables. Il est nécessaire que les bons, les enfants de la lumière, se réunissent et fassent entendre leur voix. Quel moyen plus efficace de le faire, Monsieur le Président, que la prière, en demandant au Seigneur de vous protéger, vous, les États-Unis, et toute l’humanité, de cette énorme attaque de l’Ennemi ? Avant que le pouvoir de la prière ne s’effondre, les tromperies des enfants des ténèbres s’effondreront, leurs complots seront révélés, leur trahison montrera, leur effrayante puissance ne se terminera en rien, mise en lumière et exposée pour ce qu’elle est : une tromperie infernale.

Monsieur le Président, ma prière est constamment tournée vers la nation américaine bien-aimée, où j’ai eu le privilège et l’honneur d’être envoyé par le pape Benoît XVI en tant que nonce apostolique. En cette heure dramatique et décisive pour toute l’humanité, je prie pour vous et aussi pour tous ceux qui sont à vos côtés au sein du gouvernement des États-Unis. J’espère que le peuple américain est uni à vous et à moi dans la prière à Dieu tout-puissant.

Unis contre l’ennemi invisible de toute l’humanité, je vous bénis, ainsi que la Première Dame, la nation américaine bien-aimée et tous les hommes et femmes de bonne volonté.

Carlo Maria Viganò

Archevêque titulaire d’Ulpiana

Ancien Nonce Apostolique aux Etats-Unis d’Amérique.

source: https://www.dreuz.info/2020/06/08/chaud-devant-lettre-de-larcheveque-carlo-maria-vigano-au-president-trump-les-forces-du-mal-sont-contre-vous/

 

La bataille pour la liberté d’expression a commencé

Comme souvent, le combat décisif aura lieu aux États-Unis.

Le déclenchement des hostilité a eu lieu il y a quelques jours à travers deux tweets du Président Trump concernant le vote par correspondance. Donald Trump dénonçait la forte probabilité que les résultats d'un tel scrutin s'avèrent frauduleux. Twitter se sentit obligé de rajouter un avertissement sur ces messages, les classant de facto comme des informations à prendre avec des pincettes.

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Les tweets par lesquels le scandale arrive.

Il n'en fallait pas plus pour que des médias romands comme Le Matin jubilent. "Ces tweets contiennent des informations potentiellement trompeuses sur le processus de vote et ont été signalés pour fournir du contexte additionnel sur le vote par correspondance", a justifié un porte-parole de la plateforme, explique l'article du quotidien.

La justification est étonnante. Trump déclara que le vote par correspondance ferait l'objet d'une fraude massive - c'est-à-dire, une prédiction. Comment qui que ce soit peut-il démontrer qu'une prédiction est fausse? Une prédiction, surtout en politique, fait nécessairement partie du domaine de l'opinion. Et, comme le prouve un journaliste qui se donna la peine d'enquêter, Trump pourrait bien avoir raison. Durant la dernière décade, 28 millions de bulletins de vote par correspondance arrivèrent à une mauvaise adresse, dont plus d'un million pour la seule année 2018, permettant ainsi à des individus qui ne devraient pas avoir le droit de vote, d'y prendre part.

Largement de quoi faire basculer une élection présidentielle.

Twitter aurait pu attendre de faire du "fact-checking" sur un tweet factuellement inexact de Donald Trump, mais la tentation était trop forte...

Un long chemin vers l'affrontement

Le timing, tant de l'action de Twitter que de la réaction du locataire de la Maison Blanche, est parfaitement compréhensible. Nous arrivons petit à petit dans le vif du sujet de la campagne électorale présidentielle de 2020 et chacun fourbit ses armes - Trump à affirmer qu'il est a été un bon Président, les réseaux sociaux profondément engagés à gauche à museler toute voix n'allant pas dans leur sens sur leurs plateformes.

Le biais gauchiste des réseaux sociaux, comme des médias en général d'ailleurs, est un phénomène largement observé et documenté - et a même fait l'objet d'un billet détaillé sur ce blog, parmi de nombreux autres. Pour ne prendre qu'un exemple, la plus grande communauté pro-Trump sur Internet, le fameux canal The_Donald de Reddit, fort de 8 millions de membres, fut saboté par la plateforme sur des prétextes fallacieux, forçant les Internautes à se créer une nouvelle plateforme parallèle.

Depuis des années, et de façon de plus en plus nette, les pages des conservateurs, des contestataires de la pensée médiatique dominante et des gens de droite en général sont marginalisées, démonétisées, placées en quarantaine ou suspendues du jour au lendemain. Le biais politique est évident puisque d'innombrable exemples montrent que les règles au nom desquels ces comptes sont fermés sont violées quotidiennement par des activistes politiques de l'autre bord sans que cela ne dérange personne.

Pour les journalistes du Matin, "les réseaux sociaux se voient régulièrement reprocher d'appliquer des politiques à deux poids deux mesures dans leur lutte contre la désinformation". Il faut traduire: les réseaux sociaux n'en font pas assez, c'est-à-dire qu'ils laissent encore bien trop de place à ces gens qui ne pensent pas comme il faut.

La hache de guerre est déterrée

Vient Donald Trump, "accro" à Twitter, "résumant la démocratie à 140 caractères", et des centaines d'autres qualificatifs dénigrant sa façon de communiquer... Mais Donald Trump n'aurait pas besoin de Twitter pour communiquer directement avec le public si des médias à l'agenda politique omniprésent ne dénaturaient pas constamment les moindres de ses paroles, quand ils n'inventent pas carrément des mensonges de toute pièce.

Trump est assez nettement pro-Trump, c'est incontestable. Mais imaginer qu'il puisse exister une organisation humaine à l'abri de toute idéologie et capable de censurer l'information de façon neutre et objective est une vision tellement enfantine que seuls les journalistes, peut-être, son assez naïfs pour la gober. Il est vrai que dans cette vision ils se donnent volontiers le beau rôle, ce qui aide à y croire.

Prenons Twitter, justement. Que valent les censeurs? Eh bien, leur chef est un certain Yoel Roth, responsable de "l'intégrité du site." Les curieux n'ont pas eu à chercher longtemps pour trouver des tweets récents de M. Roth dénonçant le Président Trump et ceux qui le soutiennent comme des "nazis", des excès de langages dont le responsable de l'intégrité de Twitter semble coutumier.

Alors qu'il n'est même pas capable de modération sur ses propres tweets, qui peut imaginer ce genre d'olibrius exercer quelque autorité que ce soit de façon neutre et objective?

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Quelques jours après l'épisode du "fact-checking", Twitter récidiva en dénonçant un autre tweet de Trump comme "faisant l'apologie de la violence". Le Président en exercice en avait en effet appelé au respect de la loi et de l'ordre au début des émeutes organisées à la suite du décès de George Floyd... Quelle apologie, en effet! Et depuis que Twitter a franchi le Rubicon, la plateforme s'en donne à cœur-joie. Ainsi, Donald Trump apparaît en premier sur une recherche avec le terme "racisme".

Twitter regorge de milliers, si ce n'est de millions, de messages appelant à tuer M. Trump, ses supporters, et les Républicains en général, sans qu'aucun des auteurs de tels message ne soit inquiété. Le délit "d'apologie de la violence" n'est visiblement pas pour tout le monde.

On peut aussi appeler au génocide des juifs sur Twitter. Les responsables iraniens comme Ali Khamenei ou Javad Zarif ne s'en privent guère. Cela a d'ailleurs amené un élu américain à s'inquiéter que la plateforme laisse ainsi libre court à des appels au meurtre en servant la soupe aux régime de Téhéran. Il pense ainsi que Twitter viole les sanctions internationales.

Bref, si vous êtes raciste anti-blanc, islamiste, antisémite, porté sur la violence au nom de "l'antifascisme" ou simplement de gauche, vous n'avez pas de grandes craintes à avoir quant à votre utilisation des réseaux sociaux, quels que soient les excès auxquels vous vous livrez.

La hache de guerre est déterrée

Tous les paragraphes précédents ne sont que les derniers épisodes d'une consternante progression vers une dictature médiatique basée sur l'opinion politique. Mais pour la première fois il y eut une riposte.

Sur le compte Twitter de la Maison Blanche, et non son compte personnel, Donald Trump a ainsi annoncé un décret présidentiel visant à une révision de l'article 230 du Federal Communication Act de 1996, voté sous la Présidence Clinton et visant à libéraliser le marché des télécommunications.

Le fameux article 230 stipule que les compagnies qui "mettent à disposition du contenu" ne sont pas responsables devant la loi des contenus violant celle-ci, pour peu qu'ils renoncent délibérément à exercer un contrôle rédactionnel. Autrement dit, ils ne sont que les messagers et ne sont pas responsables du message. Pour utiliser une analogie, la Poste ne peut pas être poursuivie pour avoir transmis à quelqu'un une lettre injurieuse.

"Internet et les autres services informatiques interactifs offrent un espace de discussion pour une véritable diversité du discours politique, des opportunités uniques pour le développement culturel, et une myriade de chemins pour l'activité intellectuelle", écrivaient les rédacteurs du document à l'époque. Quelle régression depuis!

En décrétant que certains tweets de Trump violent les règles éditoriales de Twitter et méritent donc d'être annotés avec un avertissement, Twitter devient de facto un éditeur. Contrôler certains contenu, pour les modifier ou les supprimer, signifie que la plateforme sort du simple rôle de mise à disposition de contenu.

Pour reprendre l'analogie avec la Poste ci-dessus, que penser d'une Poste qui ouvrirait les lettres envoyées par certains et refuserait de les délivrer si leur contenu ne plaît pas à l'organisation? Pourrait-on encore parler d'une Poste?

La même chose est vraie pour tous les réseaux sociaux qui se livrent aujourd'hui à une censure effrénée, qui va bien au-delà de ce qu'a jamais réclamé la loi. Les grands noms des réseaux sociaux ont mis en place des structures rédactionnelles et deviennent de ce fait responsables de tout contenu publié.

On s'en doute, l'interprétation de l'article 230 finira devant les tribunaux, et probablement très vite. La bataille est d'importance puisque les réseaux sociaux sont désormais le nouvel espace public dans lequel se forme l'opinion. Ces derniers le savent bien et pèsent déjà de tout leur poids sur la campagne présidentielle américaine de 2020.

Gagnée ou perdue, la bataille lancée par Donald Trump définira sans doute ce qui restera de la liberté d'expression sur Internet aux États-Unis, en sachant qu'elle sera toujours moindre dans le reste du monde.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 5 juin 2020