Ils essaient de renvoyer Tommy Robinson en prison

Par  Ezra Levant

Tommy Robinson m'a téléphoné.

Il est censé passer des vacances tranquilles avec sa famille. Mais il ne peut pas. Il a dû aller à l'hôpital deux fois, à cause des sévices physiques qu'il a subis en prison. Ils l'ont affamé. Il a perdu 40 livres en deux mois.

Tommy m'a dit de mauvaises nouvelles: ils veulent le renvoyer en prison.

Dans trois semaines, le 4 septembre.

C'est scandaleux.

La semaine dernière, la cour d’appel a confirmé que Tommy avait été mal jugé, condamné à tort, condamné à tort et emprisonné indûment. C'est pourquoi ils l'ont libéré. C'était une confirmation totale de tout ce que Tommy avait dit.

Mais maintenant, le gouvernement britannique veut tout recommencer. Ils n'ont pas fini avec Tommy.

Ils veulent lui faire passer un deuxième essai - pour la même chose, son livestream Facebook en mai, à Leeds.

Ils veulent le mettre à nouveau en prison. Cela va probablement le tuer.

Vous l'avez vu après deux mois en isolement cellulaire. Maintenant, imagine-le après 13 mois.

Tommy est en danger. Alors Tommy m'a téléphoné et m'a demandé de l'aider une fois de plus. Jusqu'à ce qu'il soit mieux.

Et je lui ai dit que je le ferais.

Il a besoin d'aide pour payer les avocats, car ils doivent se préparer pour l'audience de septembre. J'ai donc parlé aux avocats. Ils y travaillent déjà.

Et j'ai à nouveau mis en place une page de financement participatif. Vous pouvez contribuer ci-dessous ou cliquer ici pour faire un don en dollars canadiens .

Le gouvernement britannique dispose de fonds illimités. Je pense qu'ils essaient de briser Tommy - physiquement, psychologiquement et maintenant financièrement.

Il n'y a aucun moyen de le faire tout seul. Mais si nous sommes assez nombreux avec lui, nous avons une chance.

Nous commençons également une pétition massive , que nous remettrons personnellement au nouveau procureur général, exigeant qu'ils suspendent leur persécution de Tommy.

Tommy a déjà servi deux mois de prison de manière irrégulière - il est stupéfiant que le gouvernement britannique veuille qu’il purge plus de temps. Veuillez signer notre pétition ici .

Je pensais que nous avions terminé la semaine dernière avec la victoire de la Cour d’appel. Mais nous ne sommes pas Le gouvernement britannique veut se battre avec Tommy - maintenant qu’il pense qu’il est affaibli. Eh bien, ils ont oublié une chose - ils nous ont oubliés, n'est-ce pas?

S'il vous plaît aider avec les frais juridiques de Tommy. Ses avocats doivent se préparer immédiatement à l'affaire. Vous pouvez contribuer sur cette page maintenant - aidons notre ami une dernière fois.

 

 

 

The Rebel et Reseau-Actu

 

Nos remerciements à Victoria Valentini 's back

 

Rappels :

Tommy Robinson libéré : on sait à présent ce qu’il a subi en prison…

Tommy Robinson a été libéré sous caution.

L’ambassadeur de Trump aurait fait pression pour que le Royaume-Uni offre un meilleur traitement à Tommy Robinson

 

 

 

 

 

 

Tommy Robinson a été libéré sous caution.

L'ancien dirigeant de l'EDL, Tommy Robinson, a été libéré de prison après avoir gagné une bataille en appel.

Tommy Robinson a été libéré sous caution après avoir été mis en examen pour outrage au tribunal.

Le Lord Chief Justice (président de la Haute cour de justice)Lord Burnett et deux autres juges ont annulé l'ordonnance pour outrage effectuée en mai à Leeds Crown Court, où il a été condamné à 13 mois.

Ils ont ordonnée une nouvelle audience dans cette affaire.

L'ancien leader de la Ligue de défense anglaise, dont le vrai nom est Stephen Christopher Yaxley-Lennon, a été emprisonné en mai après avoir filmé des personnes impliquées dans un procès criminel et mis les images en ligne.

Il a été condamné à 10 mois d'outrage au tribunal et à trois mois de plus pour avoir enfreint une condamnation avec sursis.

(...)

Cambridge-News / Evening Standard

 

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

 

 

 

 

L’ambassadeur de Trump aurait fait pression pour que le Royaume-Uni offre un meilleur traitement à Tommy Robinson

Sam Brownback, l’ambassadeur des États-Unis pour la liberté religieuse internationale, s’est plaint à l’ambassadeur britannique à Washington D.C. du traitement d’un militant de droite anglais qui est en prison pour avoir perturbé un procès, selon trois sources familières avec la discussion.

Brownback a soulevé le cas de l’activiste connu sous le nom de Tommy Robinson lors d’une réunion en juin avec Sir Kim Darroch, ambassadeur de Grande-Bretagne aux États-Unis, selon un fonctionnaire britannique et deux sources proches des organisateurs d’une manifestation pro-Robinson prévue à Londres samedi.

Robinson a été arrêté à la fin mai à l’extérieur d’un palais de justice de Leeds, en Angleterre, alors qu’il enregistrait des enregistrements vidéo d’un procès lié à la maltraitance d’enfants et a été emprisonné pendant 13 mois pour avoir enfreint la loi anglaise limitant la publicité pendant les procès criminels.

Brownback a soulevé la question de l’emprisonnement de Robinson lors d’une réunion avec Darroch qui couvrait une série de « questions de liberté religieuse », a confirmé le responsable britannique plus tôt cette semaine.

Brownback aurait dit à Darroch que si la Grande-Bretagne ne traitait pas Robinson avec plus de sympathie, l’administration Trump pourrait être obligée de critiquer le traitement de l’affaire par la Grande-Bretagne, selon les deux sources en contact avec les organisateurs de la manifestation pro-Robinson prévue.

Les sources ont déclaré que les partisans de Robinson, qui ont également été en contact avec l’administration Trump sur la question, étaient préoccupés par le fait qu’il puisse être attaqué par d’autres prisonniers.

Reuters n’a pas été en mesure de déterminer pourquoi le haut fonctionnaire américain responsable de la défense de la liberté religieuse tenterait d’intervenir auprès du gouvernement britannique au nom d’un activiste qui avait exprimé des opinions anti-islamiques.

M. Brownback, ancien gouverneur du Kansas et ancien sénateur américain, n’était pas disponible pour faire des commentaires. Cependant, jeudi, un porte-parole du département d’État américain a déclaré que les  « caractéristiques »  de la rencontre de Brownback avec Darroch par des sources de Reuters étaient  « complètement fausses »  mais le porte-parole n’a pas développé davantage.

L’ambassade britannique n’avait aucun commentaire sur les détails de la discussion.

Source : Reuters

Via Suavelos.eu

Les concerts britanniques de Morrissey annulés car il a apporté son soutien à Tommy Robinson

L’ancien leader de Smiths a récemment fait des commentaires de soutien au leader emprisonné de l’EDL Tommy Robinson.

Les dates de tournée au Royaume-Uni et en Europe de Morrissey le mois prochain ont été reportées en raison de « problèmes logistiques ».

Sa direction a fait l’annonce vendredi soir, affirmant que les problèmes sont « hors de notre contrôle ».

L’ancien chanteur des Smiths, 59 ans, devait jouer deux concerts à Castlefield Bowl dans sa ville natale de Manchester les 7 et 8 juillet.

D’autres spectacles avaient été programmés à Reading, Portsmouth et Edimbourg en juillet.

(…) Sky.com

Tommy Robinson transféré dans une prison essentiellement peuplée de musulmans

Le militant nationaliste et journaliste Tommy Robinson se trouve en prison depuis le 25 mai dernier. Tandis que de nombreuses voix s’élèvent pour demander sa libération, son entourage s’inquiète pour sa sécurité.

Lors de son arrestation puis de son emprisonnement, l’entourage du militant nationaliste Tommy Robinson s’était inquiété du danger qu’il courrait en prison, en raison des multiples menaces de mort émises par des musulmans dans le pays comme au sein de ses prisons. Ils avaient été rassurés par le traitement réservé jusqu’alors au confondateur et ancien porte-parole de l’English Defence League, le mouvement identitaire opposé à l’immigration massive et à l’islamisation du Royaume-Uni.

Mais les choses ont changées depuis que Tommy Robinson a été transféré dans un établissement très majoritairement peuplé de détenus musulmans, qui l’auraient d’ailleurs accueilli avec sifflets et menaces… Sa famille et son entourage ont depuis fait savoir qu’ils travaillaient activement, avec des avocats, pour tenter de changer la situation qu’ils décrivent comme « vraiment inquiétante ».

Tommy Robinson avait été arrêté le vendredi 25 mai pour « atteinte à l’ordre public », alors qu’il interpellait des hommes qui sortaient du tribunal dans lequel se tenait le procès supposé de certaines personnes présumées coupables d’appartenir aux gangs de Pakistanais qui ont violé des jeunes Anglais pendant des décennies entières sans intervention des pouvoirs publics. Ces derniers ont reconnu avoir parfois été informés, mais s’être tus par peur de l’accusation de racisme. Le 25 mai, Tommy Robinson était donc en train de filmer en direct sur Internet, devant le tribunal de la ville de Leeds.

En Angleterre, la loi interdit de parler d’un procès en cours. Cela a donc valu à l’activiste une peine de 13 mois de prison ferme, puisqu’il avait déjà été condamné avec sursis pour ce même « outrage au tribunal », en 2017.
Mais cette fois-ci, le juge a même interdit aux médias britanniques de parler de cette arrestation ou de la situation de Tommy Robinson, pour éviter de compromettre le procès des pédophiles présumés. Une décision jugée politique par ses soutiens puisque l’affaire est désormais connue de tous. A l’évocation des nombreuses menaces de mort émises contre Tommy Robinson et de la dangerosité d’un séjour en prison pour cette même raison, le juge avait tout simplement répondu : « et alors ? »

Des personnalités politiques avaient immédiatement pris la défense de sa liberté d’expression, en Europe comme aux Etats-Unis, dénonçant tour à tour un « état policier », un « viol de la liberté d’expression », une « folie » ou une « censure inacceptable ». Au dernier rassemblement organisé samedi dernier en soutien au militant, le député néerlandais Geert Wilders avait fait le déplacement pour réclamer la libération de Tommy Robinson aux autorités anglaises. Des messages de Louis Aliot et de l’Américain Steeve Bannon avaient même été lus sur scène.
Depuis le changement de prison, des parlementaires américains ont également écrit aux autorités britanniques, sans réponse jusqu’à maintenant. Ce jeudi, au parlement européen, c’est  la député britannique - anciennement proche de l’UKIP et désormais indépendante -Janice Atkinson  qui a tenté d’évoquer la situation de cet activiste, avant que son micro ne soit tout simplement coupé au moment où elle évoquait la forte présence musulmane dans la prison.

L’ancien directeur du site d’informations Breitbart Londres, Raheem Kassam, a confirmé, ce jeudi soir, que de sérieuses interventions diplomatiques étaient en cours auprès des autorités britanniques.

Tommy Robinson transféré dans une prison essentiellement peuplée de musulmans
6medias2
jeu 14/06/2018 - 20:02

Source et auteur

Parlement Européen : Le microphone d’une députée britannique est coupé lorsqu’elle tente de poser une question sur la sécurité de Tommy Robinson dans une prison remplie de musulmans.

L'eurodéputée britannique, Janice Atkinson, a tenté de soulever la question urgente des droits de l'homme concernant le transfert secret de Tommy Robinson d'une prison sûre à une prison très dangereuse.

Son micro a été coupé (voir vidéo plus bas). Janice décrit l'événement d'aujourd'hui ainsi :

 

 

Aujourd'hui, mon groupe ENF a déposé une demande pour soulever une question urgente concernant les droits de l'homme. Cela a été approuvé par le président et j'ai été appelée à prendre la parole avant de voter.

Cependant, comme à l'accoutumée, malgré l'approbation de cette requête, nous avons été stoppés.

Lors d'un échange désagréable avec le chef des conservateurs britanniques Ashley Fox - que je ne pouvais guère entendre en raison du bruit et qui n'a pas été filmé par la caméra - j'ai également été attaquée.

Ses expressions faciales me disaient qu'il ne souhaitait pas que j'intervienne et que je parle  du déplacement de Tommy Robinson de la prison relativement sûre de Hull à la prison de  Leicester qui possède une population musulmane plus élevée. Cette population musulmane a menacé de mort Tommy Robinson la nuit dernière.

Lors de cet échange très vif, j'ai déclaré à M. Fox que son gouvernement aurait du sang sur les mains si quelque chose arrivait à Tommy et que Lord Pearson poursuivrait personnellement le ministre de l'Intérieur, Sajid Javid.

 

 

Source

 

Nos remerciements à Λlex Λ

Pétition : plus de 500 000 personnes demandent la libération de l’activiste Tommy Robinson

Plus de 500 000 pétitionnaires demandent au Premier ministre Theresa May de libérer Tommy Robinson, qui a été condamné pour avoir filmé devant un tribunal où se tenait, selon l'activiste identitaire, un procès lié au scandale des viols de Telford.

Arrêté et emprisonné pour avoir filmé devant le tribunal de Leeds où se déroulait, selon la chaîne américaine Fox News, le procès de plusieurs hommes accusés d'abus sexuels sur des enfants, l'activiste identitaire Tommy Robinson continue de faire parler de lui au Royaume-Uni et au-delà. Il affirme, d'après le site d'information Slate, que le procès en question était celui du scandale pédophile de Telford impliquant des gangs indo-pakistanais, mais rien à cette date ne permet de le confirmer.

Alors que des manifestations de soutien se sont tenues à Leeds ou encore devant le 10 Downing Street, une pétition demandant au Premier ministre britannique Theresa May sa libération, publiée sur la plateforme en ligne Change.org, a rassemblé en quelques jours plus de 560 000 signatures.

«Tommy Robinson a été arrêté et emprisonné pour avoir parlé des gangs pédophiles musulmans. Un travail qu’il choisit de faire au détriment de sa propre sécurité pour informer le public des horreurs commises au nom d’Allah», assure le texte, qui estime que le cofondateur et ex-porte-parole du mouvement identitaire anglais English Defence League «fait le travail d’information que les médias de masse refusent de faire».

Cette pétition a trouvé un relais à même de lui donner un écho supplémentaire en la personne de Samantha Markle – qui n'est autre que la demi-sœur de la célébrissime ex-actrice et épouse du prince Harry, Meghan Markle – qui l'a partagée sur Twitter.

L'activiste a par ailleurs reçu des soutiens depuis la sphère politique européenne ces derniers jours, à l'instar du chef de file de la droite anti-immigration néerlandaise Geert Wilders (Parti de la liberté, PVV), qui demande à ce que la «liberté d'expression» soit «rétablie» au Royaume-Uni.

En France, la députée Les Républicains (LR) Valérie Boyer s'est également émue du sort de Tommy Robinson au «pays de la liberté d'expression».

Le 25 mai, alors qu'il se filmait en direct depuis l'extérieur du tribunal de Leeds, Tommy Robinson a été arrêté par les forces de l'ordre. Il a été condamné à 10 mois de prison pour outrage au tribunal et à trois mois supplémentaires correspondant au sursis d’une peine précédente. Il a été immédiatement incarcéré. Au Royaume-Uni, les juges peuvent fixer un embargo limitant le traitement médiatique de certaines affaires judiciaires, comme c'était le cas pour celle-ci. En d'autres termes, Tommy Robinson n'avait pas le droit de couvrir médiatiquement le procès de Leeds.

Par une décision du juge, les médias britanniques ont par ailleurs eu l'interdiction temporaire d'évoquer l'arrestation de l'activiste. Aucun d’entre eux n'a eu le droit de traiter le sujet jusqu’au mardi 29 mai, à l’exception du quotidien The Independent.

Injustice expéditive : le cas Tommy Robinson

  • Le caractère expéditif de l'injustice infligée à Tommy Robinson est stupéfiant. Non, pire que ça : terrifiant.
  • Privé de communiquer avec son avocat, Robinson a été sommairement jugé et condamné à 13 mois de prison. Il a ensuite été conduit à la prison de Hull.
  • Le juge qui a condamné Robinson a aussi ordonné aux médias britanniques de faire silence sur l'affaire. Les journaux qui avaient déjà relaté en ligne son arrestation ont rapidement retiré les articles. Tout cela a eu lieu le même jour.
  • En Grande-Bretagne, les violeurs ont droit à un procès complet et équitable et à l'avocat de leur choix ; ils ont droit au temps nécessaire pour préparer leur procès et le droit de rentrer chez eux entre les sessions du tribunal. Aucun de ces droits n'a été respecté pour Tommy Robinson.

J'ai mis les pieds à Londres pour la première fois quand j'avais vingt ans et la montée d'adrénaline qui m'a saisi a duré tout au long de mon séjour. Jamais, au cours des années qui ont suivi, une capitale n'a eu autant d'impact sur moi - ni Paris, ni Rome. Oui, Rome est un berceau de la civilisation occidentale, et Paris un carrefour de la culture occidentale - mais la Grande-Bretagne est le berceau des valeurs de l'Anglosphère, avec une passion pour la liberté qui y a été pleinement développé. Sans la Grande-Bretagne, il n'y aurait pas eu de déclaration d'indépendance américaine, de constitution américaine ni de déclaration des droits.

Mais ces dernières années, l'engagement de la Grande-Bretagne dans la défense des libertés semble avoir été dévoyé. Les critiques étrangers de l'islam, tels le chercheur américain Robert Spencer, et – momentanément - le parlementaire néerlandais Geert Wilders ont été exclus du pays. Aujourd'hui, un éminent critique indigène de l'islam, Tommy Robinson, s'est vu harcelé par la police, trainé en justice, et livré par les autorités pénitentiaires aux détenus musulmans qui ont pu le rouer de coups sans raison. A l'évidence, les autorités britanniques considèrent Robinson comme un fauteur de troubles et n'aspirent qu'à le voir abandonner son combat, quitter le pays (comme Ayaan Hirsi Ali a quitté les Pays-Bas) ou se faire tuer par un djihadiste (comme le cinéaste néerlandais Theo Van Gogh).

Vendredi 25 mai, la saga de Tommy Robinson est entrée dans une phase nouvelle. Des policiers britanniques l'ont arrêté à l'extérieur du palais de justice de Leeds, au moment où, conformément à son rôle de journaliste-citoyen, il diffusait en direct sur Facebook, une vidéo. À l'intérieur du palais de justice, plusieurs personnes, presque toutes musulmanes, étaient jugées en tant que membres présumés d'un « gang pédophile » - ils étaient accusés d'avoir violé systématiquement des jeunes filles non musulmanes, par centaines, sur un période de plusieurs années, voire plusieurs décennies. Quelque dix mille membres de Facebook à travers le monde ont assisté à l'arrestation de Robinson en direct.

La police a rapidement traîné Robinson devant un juge, sans qu'il ait eu accès à son propre avocat, il a été sommairement jugé et condamné à 13 mois de prison. Il a ensuite été transporté à la prison de Hull.

Le juge qui l'a condamné a également ordonné aux médias britanniques de ne pas rendre compte de l'affaire. Les journaux qui avaient déjà mis en ligne des articles sur son arrestation les ont rapidement retirés. Des citoyens ordinaires qui avaient rapporté l'arrestation de Robinson sur les médias sociaux ont retiré leurs posts, de peur de partager le destin de Robinson. Tout cela a eu lieu le même jour.

Un tribunal bidon, puis une lettre de cachet. Au Royaume-Uni, les violeurs jouissent du droit à un procès complet et équitable ; ils ont le droit d'être défendus par l'avocat de leur choix, du temps leur est laissé pour préparer leur dossier et ils peuvent rentrer chez eux sous caution tous les soirs jusqu'à la fin de leur procès. Aucun de ces droits n'a été respecté dans le cas de Tommy Robinson.

La rapidité avec laquelle l'injustice a été infligée à Robinson est stupéfiante. Non, pire que ça : terrifiante. A plusieurs reprises dans un passé récent, j'ai été l'objet de menaces islamistes : un jeune membre d'un gang m'a menacé de son couteau et une foule d'hommes hostiles en djellabas m'a encerclé devant une mosquée radicale. Mais ce n'était pas effrayant. Ce qui est arrivé à Robinson - cette violation totale des libertés fondamentales britanniques, ça c'est effrayant.

D'un certain point de vue, bien sûr, l'arrestation, le jugement et l'emprisonnement rapide de Robinson ne devraient pas surprendre. « Certains font campagne pour « choper Tommy » - ou quelque chose qui ressemble à cela - depuis quelque temps », m'a déclaré pas plus tard que samedi matin, une source que j'appellerai "L", au Royaume-Uni.

L'arrestation de Robinson était en apparence justifiée puisqu'il était sous le coup d'une peine de prison avec sursis. En mai 2017, il avait été placé en garde à vue alors qu'il se trouvait devant un palais de justice du Kent, où un autre groupe de prévenus musulmans était jugé, là encore pour pédophilie et proxénétisme. Cette première arrestation déjà, était injustifiée. Mais au moins, la sentence infligée à Robinson avait été assortie du sursis. Cette fois, quelqu'un semble avoir décidé que le simple compte rendu d'un événement à l'extérieur d'un autre palais de justice constituait une violation de la peine avec sursis prononcée initialement contre lui.

Le cynisme officiel est ici évident. L soulève un point essentiel : souvent, à l'occasion du procès de ces gangs de proxénètes, les familles élargies et les amis des accusés se mobilisent à l'extérieur du palais de justice pour « chahuter et intimider » les victimes de viol ainsi que leurs familles et soutiens. « J'ai eu des rapports sur des enfants de cinq ans qui jetaient des pierres aux familles des victimes », a déclaré L.

« Cette intimidation de groupes tribaux étendus va jusqu'au harcèlement à domicile. » L a même entendu dire que des témoins de l'accusation avaient besoin de la protection de la police pour utiliser les toilettes du palais de justice. Ce chahut et ce harcèlement sont, inutile de le préciser, rarement signalés et jamais punis.

Cette accélération des événements a toutefois eu un aspect positif : des personnes qui auraient dû se sentir concernées depuis longtemps se sont émues. L a noté que beaucoup de ses contacts sur Twitter « tweetaient qu'ils ne soutenaient pas nécessairement Tommy en général mais étaient horrifiés d'apprendre que le simple compte rendu de ces crimes [de proxénétisme d'enfants] donne lieu à une arrestation ». Certaines de ses connaissances, dit L, « sont assommées et désespérées ». Samedi, des milliers de partisans de Robinson se sont rassemblés devant Westminster. Mais ces protestations publiques feront-elles une différence? Sur une vidéo, un ex-policier britannique a exhorté ses compatriotes non seulement à protester contre l'incarcération de Robinson mais aussi à rejoindre le parti de Ann Marie Waters pour la Grande-Bretagne et à agir en faveur de la liberté d'expression en Grande-Bretagne de la même manière que UKIP a agi pour sortir de l'Union européenne.

L avait d'autres d'informations intéressantes. Alors que Robinson est puni pour avoir attiré l'attention sur les gangs de violeurs musulmans, la Sikh Awareness Society (Association pour la prise de conscience Sikh), qui a également rendu compte de ces procès de pédophiles, s'en est sortie indemne. « Ils sont un cadeau du ciel », a déclaré L, « parce qu'ils ne mettent pas de gants mais ne subissent pas l'intimidation qui accable Tommy. » Bien entendu, la police britannique n'oserait pas arrêter un homme barbu chapeauté d'un turban. L a ainsi mentionné le cas d'un imam arrêté par la police puis relâché après que « d'importants groupes de fidèles aient exigé sa libération ». Un policier a admis que l'imam avait été libéré pour éviter « des émeutes dans tout le pays ». L a résumé ainsi l'attitude des autorités britanniques face à l'islam : « ils ont perdu le contrôle ... et optent pour la solution qui fera le moins de bruit. L'intimidateur de la classe a terrorisé l'enseignant qui préfère punir les enfants eux-mêmes victimes d'intimidation. »

Les autorités croient que perpétuer ce genre d'injustice maintiendra la paix. Si j'étais eux, je n'en serais pas si sûr. Les manifestants de Westminster samedi étaient en colère. Combien d'autres sujets britanniques partagent leur colère? L a exprimé sa préoccupation que l'été en Grande-Bretagne puisse s'avérer chaud. Eh bien, il en sortira peut-être du bien.

Qu'aucune personnalité britannique ou qui conque doté d'une quelconque autorité n'ait mis en cause les mauvais traitements infligés à Tommy Robinson – et n'ait défendu sa liberté d'expression, me laisse pantois.

L'establishment britannique est-il composé uniquement de lâches? Nous le saurons bientôt, à moins que nous ne le sachions déjà.

Bruce Bawer est l'auteur du roman The Alhambra (Éditions Swamp Fox). Son livre While Europe Slept (2006) a été inscrit sur la liste des best-sellers du New York Times et a été finaliste du National Book Critics Circle Award. Ses autres livres sont A Place at the Table (1993),Stealing Jesus (1997), Surrender (2009) et The Victims' Revolution(2012). Natif de New York, il vit en Europe depuis 1998.

Voir aussi: Pétition pour libérer Tommy Robinson

 

Source

Tommy Robinson arrêté pour avoir simplement filmé en dehors d’un tribunal. Incarcéré, il se trouve en grave danger.

Tommy Robinson, le fondateur de l’English Defense League et désormais journaliste d’investigation, a été arrêté vendredi 25 mai, accusé de trouble à l’ordre public alors qu’il filmait en dehors d’un tribunal. Le jeune homme de 35 ans se trouvait devant le tribunal de Leeds et a commencé à diffuser en direct sur sa page Facebook en marge d’une affaire dans laquelle un gangs de prédateurs sexuels pakistanais était jugée.

Arrêté dans la foulée simplement pour avoir filmer en dehors du tribunal, dans la rue, ce dernier est emmené par les policiers, puis, présenté rapidement à un juge qui aurait révoqué une peine de sursis qu’il avait pour le même type de délit. Il aurait été condamné dans la foulée à 13 mois de prison ferme par la justice anglaise.

En effet, il avait écopé  le 22 mai 2017 de 3 mois avec sursis pour outrage à magistrat avec mise à l’épreuve de 18 mois.

 

 

 

Tommy Robinson, le fondateur de l’ENGLISH Defence League, a été arrêté aujourd’hui, suspecté de trouble à l’ordre public alors qu’il filmait en dehors d’un tribunal.

Le jeune homme de 35 ans se trouvait à la Cour de la Couronne de Leeds vendredi matin et a commencé à diffuser en direct sur sa page Facebook pendant qu’une affaire de gangs de prédateurs sexuels était jugée.

Les images montrent M. Robinson conduit à l’arrière d’un fourgon de police et on pouvait l’entendre crier à un ami : « S’il te plaît, George, trouve-moi un avocat, je suis en sursis, tu vois. »

La vidéo, filmée sur un smartphone, montre M. Robinson – qui portait une veste de costume – expliquer ce qui se passe à l’extérieur du tribunal.

Un policier lui a demandé : « Est-ce que vous avez compris ce que j’ai dit ? Vous avez été arrêté pour suspicion de trouble à l’ordre public. »

Un autre policier lui a demandé de « couper son direct live ».

M. Robinson a ajouté : « J’incite les gens. Comment ai-je incité les gens ? C’est la liberté d’expression ; c’est là où nous en sommes. On n’a même pas le droit de faire ça. »

« C’est ridicule. Les mecs vous avez la conscience tranquille en faisant ça ? Je n’ai pas dit un mot. »

« Dans les faits quelqu’un a levé la main sur moi et m’a agressé à l’extérieur du tribunal. D’autres personnes m’ont insulté et m’ont menacé en parlant de ma mère et me voilà arrêté pour n’avoir rien dit. »

« Je n’ai rien fait. Un trouble à l’ordre public, apparemment j’inciterais sur ma vidéo. »

M. Robinson est monté à l’arrière du fourgon de police et les policiers ont fermé la porte.

Il a fondé la Ligue de défense anglaise dans sa ville natale de Luton en 2009 et a démissionné du groupe quatre ans plus tard.

L’organisation s’est heurtée à la police lors d’un certain nombre de marches violentes dans les rues de Grande-Bretagne.

M. Robinson a été condamné à une peine avec sursis pour outrage au tribunal en mai 2017 après avoir essayé de filmer quatre hommes accusés d’avoir violé une adolescente.

La police locale a refusé de commenter l’arrestation.

Source

Resistancerepublicaine.eu et Breizh-info.com

Londres: Les musulmans deviennent agressifs et attaquent les gens après le discours de Tommy Robinson (Vidéo)

Des antifas et des musulmans radicaux répondent au discours tenu par Tommy Robinson au Speakers Corner (Hyde Park) en criant des obscénités et en frappant les gens à coups de bâtons.

 

 

Ils utilisent la violence pour tenter de faire taire leurs opposants politiques.

A noter qui la police repousse sur la vidéo...

 

Via Mike Toke

Italie: Tommy Robinson assomme un migrant africain qui le menace dans une “No-Go Zone” (Vidéo)

Tout ce que vous avez à faire est de rechercher le terme «zones interdites Europe» sur YouTube, et vous trouverez une série de vidéos avec des exemples choquants de bâtiments, de villes envahies par les migrants musulmans dans les pays qui leur ont permis d'échapper à la violence de leur pays d'origine.

Un journaliste britannique a décidé de prendre les choses en main en visitant l'une de ces «zones interdites» alors qu'il était à Rome pour couvrir les élections italiennes.

Journaliste citoyen indépendant et ancien fondateur du mouvement d'extrême droite anglais Défense League (EDL) Tommy Robinson a visionné une vidéo d'une journaliste italien qui a été attaqué en direct.

Robinson s'est rendu compte que la zone dans laquelle la journaliste de la chaîne de télévision italienne Francesca Parisella et son cameraman avaient été attaqués était à proximité de l'hôtel où il séjournait.

« Je suis allé dans ces zones, on m'a dit de ne pas m'y rendre en tant que journaliste, » a déclaré Robinson dans la vidéo. « Je voulais savoir ce qui se passait là-bas. »

Voici la vidéo de Robinson. Celle-ci comprend également la vidéo de l'attaque sur la journaliste Parisella et son cameraman:

 

 

Robinson a déclaré que « quelques minutes » après que son caméraman et lui-même soient arrivés dans la prétendue « No-Go Zone » ils ont été repérés. L'un des migrants s'est dirigé vers le preneur d'image et sa caméra.

Le migrant qui était particulièrement furieux a commencé à dire: «Vous ne pouvez pas [filmer ici]."

Le migrant a tenté d'intimider Robinson et son caméraman. Mais l'on sait que c'est une tactique qui ne fonctionne pas sur Robinson.

Après avoir été poussé à plusieurs reprises par le migrant qui tentait de saisir la caméra, Tommy Robinson l'a mis en garde. Puis, un autre migrant s'est joint à la mêlée en essayant d'empêcher le caméraman de filmer,

"Je peux tuer ton...", dit le migrant juste avant que Robinson ne lui assène un crochet de droite et ne l'assomme.

La vidéo se termine par un commentaire de Robinson.

"Compte tenu de ce genre de violence, de l'empressement de ces migrants à attaquer, il n'est pas étonnant que l'Italie ait voté correctement pour expulser les politiciens qui ont introduit cela dans leur propre pays".

Source Traduction libre Les Observateurs.ch

 

Rappels:

La RTS continue sa propagande: Fratelli d’Italia, CasaPound, Forza Nuova « ces partis héritiers du fascisme »

« Les Italiens ont besoin d’être accompagnés dans le changement de composition de leur population » déclare Cécile Kyenge, ancienne ministre de l’Intégration

Sans Tommy Robinson, l’Angleterre aurait pu être dirigée par un djihadiste. La taqiya c’est ça. A ne pas manquer.

Une enquête exclusive de Guy Sauvage (Riposte Laïque)

Février 2015 :  les élections législatives anglaises allaient se tenir en Mai.

L’étoile montante du parti conservateur, Afzal Amin (photo), ayant servi en Afghanistan et en Irak comme capitaine et formateur des princes Harry et William, semblait bien placé pour un futur poste ministériel, voire comme premier ministre.

D’origine pakistanaise, ce musulman de rêve sera pourtant démasqué comme corrupteur et islamiste par un homme, Tommy Robinson, ex-dirigeant de l’English Defence League (EDL).

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Tommy Robinson est présenté par les médias comme un « extrêmiste de droite, raciste et xénophobe », insulte irrémédiable qui colle à la peau et veut placer celui qui en est victime en position défensive afin de le faire taire.

Or, Tommy n’a aucune velléité de racisme (il se bat contre le racisme des islamistes dangereux), de xénophobie, de haine ou de violence (il lutte contre la violence et la haine, qu’il dénonce et qu’il subit).

Il a rencontré Afzal Amin, l’a trouvé affable, intelligent, doué d’un langage châtié, avec un discours anti islam bien structuré, et il l’avait alors particulièrement apprécié.

Mais, à sa grande surprise, assez rapidement, Afzal Amin lui a proposé un « marché » :

« Annoncez une grande manifestation dans ma circonscription.

Puis, nous tiendrons ensemble un débat sur les thèmes de ce rassemblement. Ensuite, vous l’annulerez, en me remerciant de ma prestation modérée. Cela facilitera mon élection et vous n’aurez PLUS JAMAIS FAIM. Vous gagnez quelques 2 000 livres par mois, mais pour NOUS, ce n’est vraiment rien. » .

Devant cette proposition directe de corruption, plus d’un n’aurait pas résisté. Tommy Robinson, la rencontre suivante, s’équipa de 3 caméras cachées et enregistra la proposition réitérée d’argent contre sa supposée complaisance. Puis, il diffusa l’enregistrement à un grand nombre de médias, journaux, BBC, interviews…

Après une tentative désespérée d’accuser Tommy Robinson d’avoir voulu lui extorquer un pot-de-vin, et après enquête suivie d’exclusion du parti conservateur, Afzal Amin s’est envolé pour Dubaï où il vit à ce jour.

Ce personnage avait commis, en 2 000, un article explosif sur la nécessité d’organiser des enclaves musulmanes en Angleterre, d’où partirait une guerre sans merci contre les « infidèles », un djihad désormais classique qui permettrait enfin une « pax islamica » universelle, solution de tous les problèmes, disait-il.

Pendant 11 années, un dangereux islamiste a pu mentir poliment, donner le change en souriant à de nombreux responsables, approcher légalement du pouvoir (grâce à la manne inépuisable du Qatar), dissimuler ses intentions malveillantes avec brio, réussir parfaitement son image de modéré musulman, si rare et si précieuse, qu’elle a failli le porter au sommet d’un pays démocratique…

Et sans la droiture de Tommy Robinson, si vilipendé par les insultes, les menaces et les persécutions quotidiennes, un djihadiste sans scrupules serait peut-être aujourd’hui à un haut poste de décision, avec ses intentions destructrices de la démocratie.

Très curieusement, cette énorme affaire n’a fait aucun bruit médiatique en France.

– Serait-ce un mauvais exemple, une mauvaise image du « musulman modéré » et de grands doutes sur la sincérité des discoureurs de plateaux peut-être, une brèche possible dans le déni et l’enfouissement de la réalité, pour ne pas s’en indigner ou au moins s’en inquiéter ?

– Et pour ne pas ouvrir les yeux devant des dangers croissants d’une idéologie mortifère en France ?

– Ou encore pour conserver les schémas des années 50, voire du 19e siècle afin de garder la foi en l’utopie d’un monde uni dans la belle fraternité partagée du grand soir ou du massacre des méchants?

Guy SAUVAGE

Angleterre. Le véritable visage du candidat de la Tori, Afzal Amir

Nos lecteurs nous informent

Un candidat conservateur vedette piégé en tentant de soudoyer l’EDL

Un important candidat conservateur aux prochaines élections a été suspendu la nuit dernière après avoir conspiré avec des extrémistes d’extrême droite pour attiser la haine raciale dans une tentative cynique pour gagner des voix. Afzal Main avait mis au point un plan pour persuader l’English Defense League [ la Ligue de Défense Anglaise ] d’annoncer une marche incendiaire contre une nouvelle « méga mosquée » à 18 millions de livres. Mais – comme cela a été révélé dans une vidéo secrètement filmée obtenue dimanche par le journal The Mail – le plan était que la manifestation ne soit en fait jamais lancée. Et à l’annonce de l’annulation de ce faux rassemblement, le férocement ambitieux Amin, qui est musulman, avait l’intention de mettre à son crédit le désamorçage de la situation, ce qui aurait amélioré son image auprès des votants, et de la police, pour le siège mineur de Membre du Parlement de Dudley North.

Source  Daily Mail Via fdesouche

Note de notre lecteur :

tommy-robinson-1-editedCe qui est extrêmement choquant ce sont les déclarations de Tommy Robinson (photo) lors de l’interview donnée hier. Afzal Amir serait en relation depuis vingt ans avec une personne qu’il appelle « the money man », propriétaire d’un hôtel vraisemblablement impliqué dans le « grooming » (à 7.15). Robinson, tout en n'accusant personne, fait le lien entre police et pouvoir politique. « Le money man » dont il ne veut pas donner le nom en direct est un financier propriétaire d’une vingtaine d’entreprises et la raison du soutien de ce dernier à Afzal Amir, c’est le principe du cheval de Troie, avec un élu capable de pouvoir influencer la police « sur simple coup de fil ».

La question que Robinson soulève, c’est la corruption des partis politiques par les installateurs du cheval de Troie à l’agenda fort différent. Le money man dit, entre autres et c’est enregistré, « Ce n’est pas nous qui iront vers David Cameron, c’est lui qui viendra à nous » « lorsque Amir sera premier ministre…. »… Voilà donc comment fonctionne ces politiques qui font les lèches-babouches à coup de dollars dans le caleçon, et c’est peu dire.
Dans son interview, Tommy Robinson déclare :"I see myself as a dead man walking" pour les risques qu'il prend.

Voici son interview (en anglais pas sous-titré) :