Liège (Belgique) : affrontement entre bandes tchétchènes et kurdes à la kalashnikov, 1 mort et 2 blessés

Selon des informations que la RTBF a pu se faire confirmer, il s’agissait d’une expédition punitive menée par des verviétois d’origine tchétchène, à la suite d’un précédent “incident” survenu jeudi à Bressoux-Droixhe. Plusieurs armes ont été retrouvées dans leurs voitures au moment où ils ont été arrêtés au pont-barrge de l’île Monsin. On nous parle de fusil mitrailleur AK-47 (Kalsahnikov) et d’arme blanche. Certains protagonistes étaient déjà connus de la justice. Plus de cent policiers étaient présents sur le terrain à Droixhe ce vendredi après-midi.

 

 

“Des armes lourdes ont été utilisées” précise ce matin le Parquet de Liège qui évoque “une rivalité entre bandes de jeunes. Un juge d’instruction et le Parquet sont descendus sur place hier soir avec un médecin légiste et un expert balistique. Les 28 personnes interpellées sont toujours en audition.”

 

 

Une personne est décédée et deux autres sont blessés. lors d’une altercation ce vendredi après-midi avenue de Nancy, dans le quartier de Bressoux-Droixhe. La bagarre a impliqué plusieurs personnes dans un affrontement entre bandes, tchètchène d’un côté et kurde de l’autre.

[…]

RTBF

Via Fdesouche

Evreux : rixe interethnique entre Africains et Tchétchènes, un mort, le quartier “en état d’alerte”

Coup de feu à Évreux. Un homme d’origine tchétchène abattu à la terrasse d’un café

Vendredi, vers 18 h 30, un individu a ouvert le feu sur un homme à la suite d’une altercation entre plusieurs personnes dans le quartier de La Madeleine à Évreux. Il est décédé.

[…]

De source judiciaire, c’est là, le vendredi 25 septembre 2020, vers 18 h, à la terrasse du Xpress, un bar dépôt de presse, qu’une bagarre a éclaté entre plusieurs individus issus des communautés tchétchène et africaine de la ville d’Évreux.

[…]

Le quartier en état d’alerte.

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L’article dan son intégralité sur La Dépêche Evreux via actu.fr

Merci à Duchemin Via Fdesouche

Vienne : Des “gardiens de la moralité publique” tchétchènes menaçaient des femmes trop occidentalisées. “Les photos des femmes auraient été accrochées dans les mosquées”

Parce qu’ils estiment qu’elles se sont comportés "trop à l'occidentale", cinq hommes et une femme - tous citoyens tchétchènes - auraient systématiquement persécuté, dénoncé, menacé, ou même blessé des femmes. Les six "gardiens de la moralité" autoproclamés ont été arrêtés

On pense qu'ils appartiennent à un groupe hiérarchiquement structuré qui, depuis le début de l'année au moins, tente de "rappeler" aux femmes tchétchènes de Vienne et de Linz, et dans certains cas à leur partenaire ou à leur famille, de se comporter conformément aux valeurs. La police pense qu’il y a d’autres victimes et d’autres criminels.

L'affaire a débuté après qu'une victime a contacté la police. D’autres femmes se sont alors manifestées et la police a ouvert une enquête. Les victimes - on en connait dix à ce jour - ont déclaré qu'une photo en maillot de bain ou une relation avec une personne non tchétchène suffisait pour être ciblée par le groupe. [...]

Les victimes - on en connaît dix à ce jour - ont indiqué qu’une photo en maillot de bain ou une relation avec une personne non tchétchène suffisaient à se retrouver dans la ligne de mire du groupe. [...]

Des photos des femmes ont été accrochées dans les mosquées

En premier lieu, les membres du groupe auraient épluché leur communauté, mais aussi les médias sociaux. Si des preuves du "délit" existaient, quelqu’un allait parler à la femme concernée. Selon la police, si cela ne fonctionnait pas, les membres de la famille étaient également touchés par les menaces.

De plus, des photos de ces femmes auraient été accrochées dans les mosquées pour les dénoncer. Selon la police, si les femmes ne cédaient pas, d'autres menaces et violences suivaient, que ce soit à la maison ou au travail. Selon la police, ce sont plutôt les membres plus âgés du groupe qui sont à l’origine des faits.

Les "gardiens de la moralité publique" connus à ce jour ont entre 19 et 37 ans et ils auraient commis des actes d'intimidation, mais également des lésions corporelles dans au moins dix cas depuis le début de l'année environ. Après une enquête approfondie, les cinq hommes et la femme ont été arrêtés dans la nuit du 17 juin lors d'une opération coordonnée et simultanée au domicile des suspects, selon une déclaration de la direction de la police de Vienne.

Des armes à gaz et d'alarme, des couteaux, des téléphones portables et de l'argent liquide ont également été saisis. [...]

La police n'a pas été en mesure de dire jeudi si les armes ont été utilisées lors des menaces proférées à l'encontre des femmes. Cependant, les suspects auraient publié des photos avec ces armes sur les réseaux sociaux.

Les suspects sont poursuivis pour de nombreuses infractions pénales, en particulier pour suspicion d'agressions multiples, de coercition et d'association criminelle. La police part du principe qu'il y a d'autres victimes et d'autres auteurs. L'enquête est en cours.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Krone.at / Msn.com/de-at / wien.orf.at


Rappels :

Autriche : Attentats déjoués au marché de Noël, 3 Tchétchènes arrêtés

Allemagne : Des émeutes violentes provoquées par des Tchétchènes dans la petite ville de Rheinsberg. « Une atmosphère extrêmement agressive » selon la police.

Dijon : le conflit entre Tchétchènes et Maghrébins se serait réglé… à la mosquée

Tchétchènes vs Maghrébins : “On peut attaquer un chrétien, mais on peut pas attaquer un frère musulman”

Steyr (Autriche) : des Turcs, des Albanais et des Tchétchènes provoquent une émeute au tribunal

Déjà en 2017Vienne : les migrants tchétchènes qui avaient agressé une adolescente feraient partie d’une « police de la charia » soupçonnée d’une série d’attaques identiques

Allemagne : Des émeutes violentes provoquées par des Tchétchènes dans la petite ville de Rheinsberg. “Une atmosphère extrêmement agressive” selon la police.

Deux jours de suite, la police a dû se rendre à Rheinsberg pour une opération de grande envergure. Jeudi et vendredi, des émeutes ont éclaté, impliquant principalement des personnes d'origine tchétchène. Mais qu'est-ce qui se cache derrière ce conflit ?

Ce sont des images effrayantes qui sont portées à l'attention du public depuis Rheinsberg, une ville par ailleurs paisible du district d'Ostprignitz-Ruppin dans le Brandebourg, avec près de 9000 habitants. Jeudi dernier, la petite ville est devenue le théâtre d'une violente bagarre entre deux groupes d'hommes.

 

 

Les images montrent plusieurs hommes se battant furieusement. Selon le journal "Tagesspiegel", le conflit aurait été déclenché par un affrontement entre un Allemand et un Tchétchène. La police a déclaré plus tard que 15 à 20 personnes étaient impliquées, dont certaines se battaient brutalement.

En outre, plusieurs véhicules des personnes impliquées ont été endommagés dans la bagarre. La police a finalement mis fin à la rixe et a arrêté huit suspects âgés entre 20 et 46 ans. Sept personnes ont été blessées. Mais vendredi déjà, de nouveaux incidents ont de nouveau éclaté.

Une centaine de personnes s'étaient rassemblées dans un quartier résidentiel vendredi soir, selon les rapports de la police. Une porte-parole a décrit l'atmosphère comme "extrêmement agressive". Deux hommes ont été arrêtés pour avoir résisté aux policiers. Les agents ont procédé à 51 expulsions du site. Un officier de police a été légèrement blessé. À minuit, la situation s'est calmée. Une fois de plus, la plupart des personnes impliquées étaient des Tchétchènes.

Incident dans le Brandebourg : la famille tchétchène s'est-elle vengée ?

Mais qu'est-ce qui se cache derrière ces deux incidents ? Comme le rapporte le "Tagesspiegel", la dispute de jeudi soir a été précédée par l'agression d'un employé d'une société de location de péniches par un homme parlant tchétchène. Plusieurs collègues allemands et polonais de l'homme agressé se sont alors adressés à la famille tchétchène de l'auteur présumé avant qu'une bagarre massive n'éclate.

En réponse, la famille vivant à Rheinsberg aurait mobilisé ses amis et ses proches vendredi. Selon le journal, un nombre frappant de jeunes hommes en faisaient partie, dont certains profils dans les médias sociaux montrent des liens évidents avec le groupe turc extrémiste "Loups Gris" [NDLR : Le site les présente en tant "qu'extrémistes de droite" alors que ces Turcs sont justement présents en Allemagne grâce au multiculti de gauche que la droite combat.].

Les affrontements avec les Tchétchènes ne sont pas nouveaux dans le district d'Ostprignitz-Ruppin. Dès 2018, le site d'information "Märkische Allgemeine" a fait état d'un incident à Wittstock au cours duquel quatre jeunes Tchétchènes d'une même famille ont été impliqués dans une bagarre.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Focus.de

 

Dijon : armistice signé entre Tchétchènes et Maghrébins !

Après 48 heures de guerre ethnique à Dijon - on se serait cru dans les Balkans - les chefs musulmans des deux communautés ont signé un accord de paix. Le maire socialiste Rebsamem est aux anges, ses racailles du quartier des Grésilles pourront voter pour lui au 2e tour des municipales. Il paraît que cela sera la France de demain, mais que le problème serait le racisme que les Noirs subiraient par les Blancs !

 

 

 

Pour Hamid El Hassouni, adjoint au maire PS de Dijon, les jeunes armés d’AK47 ont juste souhaité « garantir la sécurité des habitants »

Après quatre nuits tendues dans la Métropole dijonnaise, Hamid El Hassouni, adjoint au maire de Dijon, délégué au quartier des Grésilles, est revenu sur la situation. Il appelle au calme et regrette l’image tronquée que donnent les images de ce quartier.

 

 

 

 

 

(…) Hamid El Hassouni est d’abord revenu sur les évènements du week-end, avec l’arrivée de personnes se revendiquant de la communauté tchétchène. « Je l’ai vécu en direct, c’était indescriptible, a-t-il raconté au micro de France Bleu Bourgogne. On a eu le sentiment que les groupes de Tchétchènes opéraient en toute liberté et que la sécurité n’était pas garantie pour les habitants du quartier ». Selon lui, les habitants « ont décidé de gérer eux-mêmes ce qui ne dépend pas du tout de leur compétence, en ‘garantissant’ la sécurité des habitants ».

(…)

France Bleu

Via Fdesouche

Dijon et Nice. Nouvelle nuit de violence inter-communautaire : 3 Tchétchènes blessés par balles

15/06/20

Les bagarres Place de la République sont presque devenues une habitude. Mais celle de ce vendredi 12 juin 2020 dans la nuit, était impressionnante : plusieurs dizaine de personnes réunies, armées de barre de fer et de battes de baseball. Il s’agirait d’un règlement de compte entre des membres de la communauté tchétchène venus de toute la France, et des dealers maghrébins dijonnais.

Tout commence sur les réseaux sociaux la semaine précédente. La communauté tchétchène y appelle au rassemblement, afin de venger l’un de leurs membres : un garçon de 16 ans qui aurait été « passé à tabac » à Dijon par un groupe de dealers plus âgés. Le jeune serait toujours hospitalisé dans un état grave, nous indique une membre de la communauté tchétchène.

Le soir même, des tchétchènes venus des quatre coins de la France s’en prennent donc à un bar à chicha : le « Black Pearl », Place de la République, où se trouvaient les potentiels coupables. Des vidéos de ces échauffourées ont ensuite circulé sur les réseaux sociaux. Une bagarre faisant une dizaine de blessés, dont certains sérieusement : l’un d’eux aurait le bras cassé, certains sont en incapacité de travailler.

France Bleu

 

https://youtu.be/fLtI4rms8wQ

 

 

Trois hommes d’origine tchétchène ont été blessés par balles dans la nuit de dimanche à lundi dans le quartier des Liserons. Leurs jours ne sont pas en danger selon nos informations.

 

 

 

 

 

 

Nice Matin

11/06/20

Des coups de feu ont été signalés en milieu d’après-midi, impasse des Liserons à Nice. Après avoir été alertées par les riverains, les forces de police disponibles se sont rendues rapidement sur place. L’impasse a été fermée à la circulation, ainsi qu’une partie de la route de Turin.

A leur arrivée, les forces de police ont trouvé de nombreuses personnes sur place. Un jeune homme de 19 ans, blessé à l’arme blanche, a été pris en charge et évacué vers l’hôpital Pasteur 2 vers 17h30. Il serait dans un état grave.

Plusieurs dizaines de représentants des forces de l’ordre sont encore sur place en fin d’après-midi : police et gendarmerie collaborent, et la brigade de recherche canine est arrivée sur place. De source policière, des douilles ont été retrouvées sur place, confirmant les coups de feu : un suspect est activement recherché.

Via Fdesouche

Allemagne. Terrorisme islamique : perquisitions multiples dans le pays

La police allemande a mené plusieurs opérations simultanées dans différentes régions du pays pour prévenir un attentat qui aurait été projeté par les milieux islamistes tchétchènes.

L'opération, dont le but était de «clarifier la motivation» des suspects, a permis aux enquêteurs de saisir «de l'argent liquide», «des armes blanches» et du «matériel informatique», selon un communiqué de la police et du parquet.

[...]

TdG

Steyr (Autriche) : des Turcs, des Albanais et des Tchétchènes provoquent une émeute au tribunal

Agitation au tribunal régional de Steyr. Lors d'un procès à l'encontre d'un Turc de 19 ans et d'un Albanais de 21 ans pour fausses déclarations et agression, 16 étrangers, tous amis des accusés, sont devenus complètement fous.

Au tribunal, les individus provenant de Turquie, de Tchétchénie et d'Albanie se sont si mal comportés qu'ils ont dû être escortés hors du palais de justice par la police.

Il a fallu 20 policiers pour maîtriser la foule en émeute. Les étrangers ont finalement été expulsés et accusés de troubles à l’ordre public.

Le Turc a été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour fausses déclarations, l'Albanais violent doit payer une amende de 4.800 euros. Les deux jugements ne sont pas définitifs.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

KroneWochenblick

 

Autriche : Attentats déjoués au marché de Noël, 3 Tchétchènes arrêtés

Les forces de l'ordre ont neutralisé trois hommes qui projetaient des tueries au marché de Noël à Vienne.

Trois hommes d'origine tchétchène seraient impliqués dans cette affaire. Leur meneur, âgé de 24 ans, était influencé par l'idéologie du groupe Etat islamique (EI), a ajouté APA.

[...]

24heures.ch

Deux Tchétchènes font un signe d’allégeance à l’EI en plein marché de Noël de Strasbourg

Deux Tchétchènes ont été placés en garde à vue, mercredi 27 novembre, à Strasbourg après avoir fait un signe d’allégeance au groupe État islamique en plein marché de Noël, un an après l’attentat qui avait endeuillé la capitale alsacienne.

Ils ont été aperçus dans l’après-midi devant la cathédrale de Strasbourg, située au cœur du marché de Noël, par une patrouille de CRS alors qu’ils étaient en train de faire des selfies, l’index « pointé vers le ciel », un signe d’allégeance au groupe État islamique. Deux Tchétchènes ont été placés en garde à vue, ce mercredi, a-t-on appris de source policière, confirmant une information des Dernières Nouvelles d’Alsace.

[...]

Ouest-france.fr

 

 

France. Enrichissement multiculturel: Violences entre Tchétchènes et Maghrébins

Des échauffourées ont éclaté mardi soir dans le quartier de Hautepierre à Strasbourg. Des individus appartenant à la communauté tchétchène, dont certains étaient armés, sont arrivés vers 21 h. Ils se sont opposés à un groupe d’habitants du quartier d’origine maghrébine. Des coups ont été échangés et une arme de poing aurait été exhibée par l’un des russophones.

Les policiers, rapidement présents en nombre, ont réussi à séparer la vingtaine de protagonistes et à éviter que la situation ne dégénère. Ils n’ont procédé à aucune interpellation sur le moment. Au cours de l’intervention des forces de l’ordre, un cyclomotoriste qui circulait sur un scooter volé a commis un refus d’obtempérer. Cet épisode de violences urbaines pourrait être en lien avec un incident survenu samedi dernier. Les enquêteurs de la sûreté départementale du Bas-Rhin vont tâcher de faire la lumière sur ces événements.

Source Via CivilWarInEurope

Vienne : les migrants tchétchènes qui avaient agressé une adolescente feraient partie d’une « police de la charia » soupçonnée d’une série d’attaques identiques

Le chef de file de la bande de migrants – accusés d’avoir brisé la mâchoire d’une jeune fille désespérée de 15 ans – passe pour avoir été derrière une série d’agressions similaires

La jeune fille, nommée seulement comme Leonie, dirige la bande de six migrants qui sont censés avoir mené plusieurs attaques inspirées par la Charia à travers la capitale européenne de Vienne.

Leonie, 15 ans, était parmi les six jeunes musulmans de Tchétchénie qui auraient battu une adolescente, nommée Patricia, au centre de la capitale autrichienne.

Patricia, une écolière polonaise, a été faussement accusée d’avoir retiré le foulard d’une femme musulmane.

L’attaque, qui lui a laissé une mâchoire cassée en deux endroits, a choqué l’Autriche quand les images de l’agression sont devenues virales.

Cependant, maintenant les procureurs estiment qu’ils ont suffisamment de preuves pour prouver que cette attaque était en fait l’une des nombreuses autres agressions commises par le gang de migrants.

  Les agresseurs étaient une bande de migrants tchétchènes

Les procureurs, qui attendent toujours que le procès commence, attendent Leonie pour faire face à une série d’autres accusations.

Elle est accusée d’avoir battu une autre fille le lendemain de l’attaque contre Patricia, où Léonie aurait dû lui donner un coup de pied dans le visage alors que deux garçons la retenaient.

On dit également que le jeune voyou a attaqué une jeune fille dans un centre de jeunes en Basse-Autriche et qu’il est impliqué dans une bagarre.

Son gang a frappé Patricia 22 fois au niveau de la tête pendant l’horrible attaque sur la jeune écolière polonaise.

Un des membres, nommé Ahmet K, ou Abuu, a posté plus tard une image de lui-même bandant ses muscles avec la légende, «Jawbreaker».

Il a d’abord présenté des excuses pour l’attaque, mais a posté plus tard: «À tous ceux que j’ai offensés, insultés ou battus, je ne donne pas un s ***. L’année prochaine, je vais faire mieux. »

Abuu, qui a été condamné à six mois de probation pour vol qualifié en septembre, pourrait être condamné à une peine d’emprisonnement s’il était reconnu coupable de l’agression contre Patricia.

Les noms du reste de la bande de six membres, tous âgés entre 15 et 21 ans, n’ont pas été dévoilés.

(…)

Express.co

(Traduction FdeSouche)

Danemark : Un lycéen poignardé à mort par 3 Tchétchènes

Trois jeunes boxeurs tchétchènes, âgés de 16, 17 et 18, ont été arrêtés jeudi soir pour leurs rôles présumés dans l’agression mortelle d’un adolescent de 17 ans. Ce dernier a été poignardé dans un tunnel près de Hillerød Handelsskole.

Selon Ekstra Bladet, le drame est survenu lors d’une pause déjeuner à un endroit où les étudiants vont souvent à fumer. Des témoins ont raconté que l’agression pourrait être liée à une bagarre qui a éclaté lors d’une fête, le week-end dernier.

Uriasposten et The Local via Fdesouche.com

Multiculturalisme à Reims: Violences extrême entre Tchétchènes et Africains

Cinq Tchétchènes ont été arrêtés après des violences communautaires exercées contre des Africains dans le quartier Croix-Rouge à Reims. Un étudiant béninois a perdu un œil.

«Les faits s’inscrivent dans une logique de règlements de comptes entre des communautés ethniques d’origine différente. » :  Quatre Tchétchènes accusés d’avoir participé à la sauvage agression d’un étudiant béninois de 19 ans, tabassé le mois dernier au terme d’une véritable chasse à l’homme lancée dans le quartier Croix-Rouge.

La victime a une main cassée, un œil crevé, définitivement perdu. Mis en examen pour« violences volontaires avec arme ayant entraîné une infirmité permanente », crime puni d’un maximum de quinze ans de réclusion, deux des Tchétchènes ont été écroués, les deux autres remis en liberté sous contrôle judiciaire strict.

L’union