Le Pape préoccupé par le «souverainisme» et le «populisme» : “Leurs discours ressemblent à ceux d’Hitler”

«Le souverainisme est une attitude d'isolement. Je suis préoccupé parce qu'on entend des discours qui ressemblent à ceux d'Hitler en 1934.», a souligné le souverain pontife dans une interview à la presse italienne.

Le pape François a fustigé le souverainisme, une attitude de «fermeture» qui «mène à la guerre», et a jugé que le populisme avait un discours «très proche», dans un entretien publié ce vendredi dans La Stampa, au beau milieu d'une crise politique déclenchée en Italie par le leader d'extrême droite Matteo Salvini.

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Le Figaro

Pour le pape François “le populisme mène à Hitler.”

Cité du Vatican, 23 octobre.

Le pape François a déclaré aux jeunes que le populisme commence en semant la haine. Il a noté que Hitler et l'Allemagne nazie avaient accédé au pouvoir grâce au populisme.

Le pape François a déclaré mardi "Il est important que les jeunes sachent comment le populisme est né. Je pense à Hitler durant le siècle dernier, qui avait promis le développement de l'Allemagne. Nous savons comment le populisme commence: en semant la haine. Tu ne peux pas vivre en semant la haine "

Le pape François a appelé à plus de tolérance et a dénoncé la montée du populisme durant le discours d'un lancement d'un livre au Vatican, mardi dernier.

Il a dit qu'il devrait y avoir plus d'efforts pour enseigner aux jeunes l'histoire de la Première et de la Seconde Guerre mondiale, "afin qu'ils ne tombent pas dans la même erreur et sachent comment le populisme se propage".

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MSN.com / DW.com / Ansa.it

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Propagande : Spirou magazine s’engage contre les méchants populistes

Ce magasine est un habitué de la bien-pensance. Déjà en 2007, il s'engageait à "combattre le racisme et toutes les exclusions". Les salauds ne pouvant être que les Européens.

 

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Décidément, tout est bon pour permettre à l’invasion migratoire d’avoir lieu et pour culpabiliser ceux qui y trouvent à redire. Tout, même embrigader les enfants dans Spirou magazine, qui sort cette semaine un numéro consternant spécial “Droits de l’homme”.

L’hebdomadaire de bande dessinée pour toute la famille ne lésine pas sur la propagande. Spirou magazine a prévu, pour son numéro 4200 du 10 octobre 2018, un numéro spécial « Défenseur des droits de l’homme », en partenariat avec les Nations Unies. En couverture, la titraille est aussi affublée d’un hashtag #spirou4rights, histoire d’apprendre aux enfants à lire et écrire correctement et en français. Mais évidemment tout cela participe de la même idée : sur la terre universelle et sans frontières, on parle forcément globish pour se comprendre (ou pas).

 

 

 

Aussi ne sera-t-on pas surpris de tomber sur une planche proposant un détournement de Blake et Mortimer, d’après un scénario d’Yves Sente et des dessins d’André Juillard, tous deux bien connus des afficionados du 9e art. C’est un véritable catéchisme droits-de-l’hommiste qui est mis en scène, car l’heure est grave et c’est Mortimer qui le dit : « Des réflexes populistes ont ressurgi chez certains de nos concitoyens. » Pour rappel, l’action se situe en janvier 1959. On se demande donc ce que veut bien dire « populiste » dans ce contexte. Et le capitaine Blake de surenchérir : « Outre nos lois britanniques, la Déclaration universelle des droits de l’homme établit les droits des migrants. » Qui sont les « migrants » en 1959 ? En France, ce terme n’a commencé à remplacer « clandestins » ou « sans-papiers » dans la presse qu’à partir de l’année 2014, « migrants » ayant l’avantage d’être neutre, désignant les personnes qui migrent et non pas le fait qu’elles se trouvent dans une situation illégale dans les pays dans lesquels elles passent ou s’installent.

Qu’à cela ne tienne, et qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour les Droits de l’homme… Ou plutôt, pour les faire ingérer à nos ouailles. Ainsi aperçoit-on quelques vignettes plus loin de très méchants Anglais blancs, sans nul doute surpris en train de faire le jeu du Front national (après tout, on n’est plus à une incohérence historique près) : « Si ça continue, après nos mineurs, ce sera notre tour de nous faire piquer nos places ! » Bouh, les fachos ! Ils osent crier aux « voleurs de travail » ! Le monde est-il si simple que ça ? Les populistes existaient-ils en 1959 ? Et l’immigration massive ? Etait-il fasciste en 1959 de vouloir éviter l’insécurité sociale et culturelle ? Vous le saurez, vraisemblablement, en vous procurant ce merveilleux tissu de propagande.

Valeurs Actuelles

Faut-il brûler les “populistes” ?

  
Michel Garroté -- Les partis souverainistes, populaires et patriotiques d'un certain nombre de pays européens sont de plus en plus incontournables et ils bousculent le discours - pour l'instant dominant - des partis classiques de l'establishment politico-médiatique installé (des partis souverainistes, populaires et patriotiques accusés de "populisme" par les médiocres écrivassiers des castes médiatiques).
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Les principaux points communs à ces partis souverainistes, populaires et patriotiques sont le refus de la migration musulmane massive, l'opposition aux institutions européennes (qui ne proposent aucune réforme des Etats et de l'UE), institutions européennes jugées - à juste titre - autoritaires et liberticides, le conservatisme éthique (avec notamment leur opposition au pape François islamophile et immigrationniste), et, pour la plupart d'entre eux, un grand respect pour le président russe Vladimir Poutine.
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De plus, les partis souverainistes, populaires et patriotiques sont de plus en plus soutenus par le peuple car ils condamnent fermement le fait que des centaines d'Européennes et d'Européens sont violés et tués par des étrangers musulmans, des clandestins musulmans et des migrants musulmans, sans provoquer d’indignations médiatiques et sans provoquer des mobilisations chez les personnalités politiques. Bref, en résumé et en conclusion, notons que le "populisme" est devenu la seule alternative face aux puissants du moment sur le déclin.
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 29.8.2018
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Robert Ménard interviewé dans l’émission “Vacarme” sur le populisme [audio]

Robert Ménard, maire de Béziers, est un apôtre de la liberté dʹexpression depuis son combat au sein de lʹONG Reporters sans frontière jusquʹà son élection, soutenue par le Front national. Cette "parole libérée" reprend les oppositions classiques du populisme: parole vraie contre déni de réalité, vrai peuple contre élite, immigrés contre Français. Reportage dans son fief du sud de la France.

Reportage: Arnaud Robert
Réalisation: Bruno Séribat
Production: Véronique Marti

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Y a-t-il encore des journaux objectifs ?

Le FIGARO n'est plus un journal de droite. Ce n'est pas d'hier d'ailleurs. Il y a belle lurette que sa rédaction a été contaminée par la bien pensance. Serge Dassault qui en est le propriétaire laisse faire.

Comme d'autres patrons de médias. Comme Rothschild pour Libération, comme Bolloré pour ses télévisions, C8,  I-télé, et Alain Weill pour RMC, RBMTV, cette dernière télévision a viré de son plateau une journaliste pro-Trump qui avait déplu par son soutien au nouveau Président !

Tous ces patrons sont au minimum corsetés par le CSA (Conseil Supérieur de l'Audivisuel), le censeur du politiquement correct ou par les intérêts de la finance. Comme nous le savons tous, quand vous dites finance, vous n'êtes pas loin de l'Arabie et du Qatar. Quand vous dites Qatar et Arabie Saoudite, vous touchez du doigt l'OCI (Organisation de la Coopération islamique) cette ONU de l'islam est très puissante et a passé des accords avec l'Union Européenne pour favoriser l'Islam, sa culture et la langue arabe. La fameuse Eurabia , (Voir ICI également)

Nous sommes cernés diront les rieurs ! Ce n'est pas faux et les médias sont les filets journaliers qui prennent à la gorge, et aux pattes tous les auditeurs et téléspectateurs sans leur laisser le temps d'analyser, et de comprendre à l'aide d'infos tronquées, de mots clefs, de certitudes fausses, etc.

Pour revenir au Figaro, je voulais en quelques mots dire le traitement inique de ce journal par les correspondants à Washington comme Pierre-Yves Dugua (@pdugua) qui, dans ce journal, a tenu des propos lamentables et manipulateurs de la pensée. Loin d'être un observateur, ses propos dénotent son parti pris anti-Trump comme la plupart des journalistes Français.

Lisez en quelques lignes la condamnation de Donald Trump: "Le populisme de Donal Trump" (…) "Canaliser les instincts protectionnistes" (…) "de l'insouciance de Trump",  "les initiatives trop dispendieuse en matière d'infrastructures", etc. En quelques mots, ce journaliste se veut moralisateur et explique par des mots significatifs son opinion.

Nous savons tous ce que veut dire "populisme" pour les bien-pensants. Un mot antichambre de l'extrême droite, du nationalisme et bien sûr du fascisme. Avec ce mot de populisme, nous ne sommes pas loin du point Godwin qui résume en un mot la tendance des militants populistes à être des nazis en puissance.

Que veut dire "canaliser les instincts" ? Donald Trump serait-il une bête, un monstre d'ignorance qui ne ferait que vivre sous son cerveau reptilien pour assurer ses bas instincts?

Que veut dire insouciance ? Est-ce que ce journaliste a fait une comparaison entre lui et Donald Trump ? Entre sa puissance intellectuelle de journaliste et la carrière de Donald Trump qui durant toute sa vie a, pour le moins, peu montré son insouciance !  Comment ce journaliste peut-il affirmer qu'un homme de la trempe de Trump serait un insouciant. N'est-ce pas plutôt ce triste journaliste à la pensée courte qui serait un "insouciant".

Que dire des dépenses dispendieuses en matière d'infrastructure (routes, ponts, écoles, hôpitaux, etc) alors même que les USA ont dépensées des milliards de dollars en guerres, en bombes, en coups montés au Moyen-Orient !  Ha, c'est pas les mêmes budgets, les mêmes priorités sans doute. L'un est onéreux, l'autre est normal ! Pauvre journaliste du Figaro ! Il y aurait pourtant tellement à dire en faveur de Donald Trump, mais ces gens-là ne trouvent rien !

On peut ne pas aimer un tel ou tel autre, mais le réduire à ce qu'il n'est pas est indigne d'un journaliste qui est sensé examiner et retraduire en toute objectivité ce qu'il voit.

Que dire de cet autre pseudo journaliste Philippe Gélie (@geliefig) que je ne connais pas non plus et qui est, lui aussi, correspondant à Washington et se permet de déformer le programme de Trump sur l'immigration en utilisant un mot chargé d'un sens si lourd qu'il n'est pas innocent. Donald Trump voudrait "déporter" les immigrés illégaux. Déporter est un mot écœurant, une vraie saloperie qui signifie bien autre chose que d'appliquer la loi envers des clandestins. Là aussi on est pas loin du point Godwin.

Vous allez trouver dans tous vos journaux ces clefs de langage servant à discréditer tout ce qui n'est pas dans la droite ligne de la bien pensance. La boue, le nauséabond, les heures les plus sombres et autres propos, faisant de ceux qui pensent que le nationalisme et la préférence faite aux nationaux ont des sentiments de vulgaires fascistes, voire d'exterminateurs de la SS en puissance, ou de futurs collabos des nazis !

Tous ces "braves gens" n'ont qu'une seule idée ! Interdire la libre expression. Interdire que des citoyens puissent penser par eux-mêmes.

Prenez un simple exemple: Bill Clinton s'envoie une stagiaire, s'étale sur sa jupe, et frise la mort politique. Pour autant, aucune manifestation de femmes, avec des bonnets roses sur la tête, n'ont accusé de sexisme Bill Clinton.

Par des mots imbéciles, que souvent les hommes prononcent entre eux, lorsqu'ils voient un beau cul, une poitrine avenante, suite à ses propos enregistrés à l'insu de Donald Trump, toutes les femmes des USA, de France, du Monde entier dit-on, s'élèveraient pour dénoncer le sexisme de Trump !  Pour avoir entendu des femmes parler des avantages et autres de certains hommes qui passent où qu'elles ont connus, je sais que sur ce sujet, les femmes n'ont rien à nous envier ! Mais alors, pourquoi ne protestent-t-elles pas contre le sexisme de l'islam considérant la femme comme un "champ de labour"? Ou l'autorisation donnée par l'islam de battre sa femme quand elle est désobéissante ! Ah oui, ce n'est pas pareil ! C'est raciste, c'est islamophobe !

C'est une actrice américaine Woopy Golberg qui affirme sans réaliser l'énormité de ses propos que "C'est lui le Président, il a divisé le monde et doit faire des excuses le premier aux minorités et aux femmes" Rien que ça !

En quoi a-t-il divisé le monde? Pourquoi devrait-il présenter des excuses ? Surtout aux minorités et aux femmes ? Si on lui posait la question, on serait étonné qu'au-delà des éléments de langage, elle n'aurait plus rien à dire.

Pour conclure sur le Figaro devenu Démocrate à la sauce socialiste, voici un troisième correspondant de ce journal qui ne manque décidément pas de moyens, à Washington, Laure Mandeville (@lauremandeville)  et affirme un propos encore clivant qui est de signaler la "guerre de tranchées" aux USA. Les morts de 1914/18 ont dû se retourner dans leur tombe. Sans compter son affirmation sur "l'élection surprise de Donald Trump". Pour une journaliste correspondante au Figaro, il serait temps qu'elle quitte son confortable poste à Washington et ses amis démocrates, car même en France beaucoup savaient, et nous l'avions dit, que Donald trump serait le 45ème Président des USA. Pour le bonheur des "populistes" et autres patriotes de France et d'Europe ! La presse alternative sur internet est bien plus sûre !

Ce sont les Démocrates, ces socialistes américains mondialistes qui sont responsables et démontrent que la démocratie pour eux n'a de valeur que s'ils sont au pouvoir. Nous avons les mêmes en France et il y a de quoi s'inquiéter en Europe et en France lorsque les élections mettront au pouvoir des partis comme le Front National, et autres partis dit "populistes" et attachés au bonheur des peuples.

Gérard Brazon

 

Nos médias vomissent le « populisme « , ils vous endoctrinent !

Nos médias belges et français ne ratent aucune occasion pour transformer le sens des mots afin de les diaboliser. Nous le voyons hélas, tous les jours. C’est du matraquage.

C’est une méthode abjecte pour culpabiliser et lobotomiser le citoyen en travestissant la perception des mots.

Qu’est que le « populisme » au sens premier du terme ?

Clairement, c’est une politique menée par un pouvoir, afin de répondre aux demandes, aux besoins et au bien-être de son peuple. Cela nous semble d’une légitimité absolue et parfaitement noble.
Il est totalement clair que les politiques doivent écouter et « entendre » les vœux de leurs citoyens. Cela ne veut pas dire qu’il n’y aura pas de propositions complémentaires de la part des élus pour améliorer encore les solutions à appliquer.

Au fil des années le mot « populiste » a reçu de la part des écolos-bobos-socialos une connotation extrêmement péjorative. A tel point que dans tous les débats à la TV ou à la radio, on vous clouera au pilori en vous traitant de « populistes », si vous ne déclinez pas vos idées, selon la doxa bienpensante……

« Populiste » est une insulte du 1er niveau, un crachat qui arrive juste avant l’injure « d’extrême droite » ou de « fasciste ». Cela s’applique à tous ceux qui ne pensent pas en terme de « dogmes » des partis existants.

Certains médias franchissent allègrement le pas en amalgamant les « populistes » avec les xénophobes, les racistes et nous en passons.
Contrairement à ce que les médias essaient de vous faire croire, le peuple sait aussi que le bonheur global ne se construit pas sur le malheur des minorités, mais que cela n’implique pas un dénigrement des valeurs acquises durant des millénaires.

Nos médias sont tellement soumis, inféodés, contraints par les partis existants qu’ils en sont les esclaves serviles. Des robots de la pensée unique. Et ils veulent faire de même avec vous.

Il est tellement plus facile d’omettre des informations capitales ou de raconter des mensonges à l’opinion publique afin de recevoir des subsides distribués pour leur obéissance au pouvoir en place.
Il nous semble évident que nos médias répondent à des mots d’ordre et qu’une façon de penser leur est imposée.

Nous allons prendre un exemple qui montre toute la bassesse d’esprit de ces médias censés nous informer.
Vous allez vous-même conclure sur l’abjection du procédé.

La Suisse, ce pays magnifique est une des plus belles démocraties dans le monde. Ce pays se gère grâce une politique populaire et participative, où tous les grands enjeux sociétaux passent par des référendums. C’est la voix du peuple suisse qui décide directement.
Les Suisses sont donc des populistes ?

Il y a quelques jours, nous avons vécu une victoire intéressante, lors des dernières élections suisses : l’UDC (L’union Démocratique du Centre) a fait une percée considérable.

Les médias chez nous se sont déchaînés en crachant leur venin. Nous avons vu ou entendu : « Victoire des populistes en Suisse », ou d’autre « Les populistes se barricadent chez eux » ou encore : « Les populistes ont surfé sur la peur des migrants ».
Un radio trottoir nous a montré deux Suisses interrogés qui comme par hasard n’adhéraient pas tellement à ce système dit « populiste ».

Vous aurez compris que tous les autres Suisses interrogés seront passés à la trappe au montage. C’est cela l’impartialité de nos médias. Ils vont jusqu’à vous démontrez que les Helvètes n’ont pas bien voté !

C’étaient des élections pourtant parfaitement démocratiques respectueuses des citoyens suisses.

Quand les citoyens s’expriment sous le joug de la particratie, alors les résultats sont des triomphes de la gauche ou du progrès !
Nous avons compris que pour les médias, lorsque le peuple gagne sur ses idées, c’est le triomphe du populisme.

Nous n’avons plus besoin de ce genre de médias Ouste, du balai ! Nous ne voulons plus être manipulés.

Nous rêvons de vivre une vraie démocratie, comme en Suisse !

JACQUES D’EVILLE

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