Le communisme n’est pas mort, il a juste changé de nom

La différence entre l'Europe de l'Ouest et l'Europe de l'Est, et pourquoi c'est important ?
L'Europe occidentale va devoir subir les horreurs que provoquera inévitablement une société influencée par le marxisme, woke et totalitaire. Sans parler du nombre élevé d'attentats terroristes islamiques qui y sévissent déjà.

Alors que le multiculturalisme, le politiquement correct et l'immigration musulmane massive sont en train d'éliminer les identités nationales et la culture des pays d'Europe occidentale, le rejet catégorique de ces politiques par l'Europe de l'Est et sa ferme volonté de maintenir des États souverains feront d'elle le nouveau berceau de la civilisation occidentale avec toutes les libertés qu'elle représente.

vidéo: (traduction automatique disponible)

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Le communisme n'est pas mort, il a juste changé de nom

La seule façon de décrire ce qui nous arrive est de comprendre le mouvement nihiliste appelé communisme culturel.

Par F. C. Blahut

La montée du politiquement correct a coïncidé avec la chute des normes culturelles occidentales. Peu de gens reconnaissent le lien entre ces deux tendances. Ce lien s'appelle le communisme culturel.

Ce dont nous sommes témoins aux États-Unis et dans l'Europe chrétienne, c'est la destruction planifiée de la civilisation occidentale. Ce n'est pas un hasard.

En 1917, lorsque les bolcheviks sont arrivés au pouvoir en Russie, leur attaque était économique et politique. Ce n'est qu'après avoir pris le pouvoir qu'ils se sont tournés vers la destruction de la culture aux racines chrétienne de l'Occident.

Avec le mouvement du politiquement correct, nous assistons à la méthode inverse : une attaque contre la culture chrétienne afin que les communistes puissent prendre le pouvoir. Et le bolchevisme culturel est en train de gagner alors que les responsables chrétiens se désolent.

Dans un récent discours prononcé lors d'une réunion du Conseil œcuménique des Églises, l'archevêque anglican de Canterbury, le Dr George Carey, a déclaré "Pendant une grande partie de ce siècle, l'Église occidentale, en particulier en Europe, a accepté le déclin comme le résultat inévitable de la laïcité."

C'est vrai; mais il n'a pas reconnu la force motrice de ce déclin. La nature a horreur du vide. Lorsqu'une culture meurt, elle est remplacée par une autre. [...]

Source : Communism Isn't Dead, It's Just Been Renamed

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Laure Mandeville - 18/12/2020

Bret Weinstein: «Tant qu’on n’affronte pas la gauche “woke”, on ignore combien elle est dangereuse»

GRAND ENTRETIEN - Bret Weinstein est un professeur de biologie et théoricien de l’évolution américain. En 2017, il a dû démissionner de l’université d’Evergreen où il enseignait, après s’être opposé à une journée interdite aux blancs.
Pour la première fois, il s’exprime dans un média français pour alerter sur la gauche «woke», cette gauche américaine adepte de la politique identitaire qui pratique la chasse aux sorcières et veut faire taire toute parole dissidente au nom d’un antiracisme devenu fou.

Bret Weinstein: «Tant qu’on n’affronte pas la gauche “woke”, on ignore combien elle est dangereuse» (Laure Mandeville – Le Figaro)

LE FIGARO. – Après avoir refusé d’observer une journée «sans Blancs», décrétée par l’administration du campus de l’université Evergreen, où vous enseigniez, dans l’État de Washington, vous avez fait l’objet de harcèlements d’organisations militantes étudiantes antiracistes «woke», puis avez dû démissionner de votre poste avec fracas, ajoutant votre nom à la liste de plus en plus longue de «professeurs annulés» par le mouvement des «justiciers sociaux». Quelles leçons tirez-vous de ce qui vous est arrivé?

Bret WEINSTEIN. – Ma femme et moi avons eu le sentiment d’être aspirés, en mai 2017, par une tornade qui ne nous a toujours pas redéposés au sol! Cela a changé tous les aspects de notre vie. Les changements ont été très traumatisants sur le moment mais ils nous ont ouvert de nombreuses portes et nous ont transportés dans un monde qu’il est très excitant d’explorer. On a eu le sentiment d’avoir fait face à la tornade trois ans avant les autres. Ce qui veut dire que nous avons vécu une sorte d’avant-première du chaos qui venait. Evergreen est aujourd’hui partout! Les mêmes dynamiques révolutionnaires sont visibles dans les rues, et pas seulement celles des États-Unis: en Europe, en Australie! C’est un moment très intéressant, mais j’ai le sentiment que les leçons d’Evergreen ont été gâchées. Si nous avions compris qu’il ne s’agissait pas d’une aberration mais d’un avant-goût du présent, nous n’aurions pas permis que notre civilisation s’amuse à jouer avec de nouvelles formes de racisme, camouflées en lutte contre l’injustice.

Comment comprendre cette «révolution woke» dont vous avez été victime?

[...] La difficulté, en 2017, était de convaincre les gens qu’il ne s’agissait pas seulement d’étudiants en train de faire du bruit. Certains d’entre nous en étaient conscients. On a essayé de sonner l’alarme. Mais les gens qui n’ont pas été confrontés personnellement à ce défi idéologique, ne voient pas à quel point il est sérieux et le sous-estiment. C’est une erreur. Même si les arguments sont pauvres, le pouvoir stratégique de ce mouvement est extrêmement important.

De quel danger s’agit-il? Est-ce une atteinte aux principes fondamentaux du libéralisme qui fait de nous des citoyens, et non simplement les porteurs d’identités raciales ou sexuelles?

[...] L’Occident est très dynamique et productif, mais n’a jamais été à la hauteur de ses idéaux en matière de justice et d’égalité des conditions. Nous avons tendance à ne pas voir tout ce que ce système fait bien et à nous concentrer sur ses manquements. Il faut comprendre qu’il y a aujourd’hui une énorme énergie, tout particulièrement aux États-Unis, qui vise à abattre le système parce qu’il est perçu comme corrompu. Il l’est bien sûr. Mais ce mouvement est très naïf car il a décidé que les réponses étaient très simples. Il veut tout recommencer à partir d’une simple page blanche. Un scénario qui nous emmènerait presque inéluctablement vers un désastre. Malheureusement, le mouvement «woke» regarde toute personne qui pense ainsi comme un simple réformateur, c’est-à-dire quelqu’un qui ne fait que changer les choses à la marge. C’est l’échec chronique de ce mouvement que de tout simplifier. Aucune nuance n’est possible.

N’est-ce pas précisément l’essence des mouvements révolutionnaires?

C’est juste. Les mouvements révolutionnaires font du trafic de fictions utopiques pour trouver des motifs pour changer l’ordre établi. La bêtise de la vision «woke» est évidente. Mais le caractère contagieux de la stratégie est spectaculaire. Et c’est là le problème. Les gens ne prennent pas ces mouvements au sérieux parce qu’ils sont ridicules. Mais quand ils s’y retrouvent confrontés, ils n’ont plus qu’un choix: soit se soumettre, soit être détruits.

C’est une dictature en cours de formation. On a un problème d’action collective. La société a besoin que les individus fassent front commun pour empêcher ces actions

Bret Weinstein

J’ai regardé les images des séances d’autocritique du collège d’Evergreen, où les professeurs doivent battre leur coulpe en public en énumérant leurs privilèges. Elles sont grotesques. Comment un tel théâtre peut-il tenir longtemps?

Oui, ce sont des séances grotesques. Mais votre question sur le fait de savoir pourquoi cela marche, trouve une réponse intéressante dans la théorie des jeux. Bien que la solution paraisse facile, elle ne l’est pas. A priori, cela a du sens de se défendre, quand on est accusé de crimes qu’on n’a pas commis. Mais le problème est que ce mouvement manie la stigmatisation et comme il suit une forme de fausse logique, il n’y a pas de mécanisme qui vous permette d’établir votre innocence. Chaque personne se retrouve confrontée à la question suivante: vais-je me défendre sans chance de succès et me retrouver avec un stigma féroce attaché à mon nom (et potentiellement des vidéos de ma résistance utilisées comme preuves de ma culpabilité), ou ferais-je mieux d’accepter de dire des choses qui ne sont pas vraies, dans l’espoir que mes accusateurs passent à autre chose, et s’en aillent cibler quelqu’un d’autre?

Ce que vous décrivez ressemble à la logique de la dictature.

C’est une dictature en cours de formation. On a un problème d’action collective. La société a besoin que les individus fassent front commun pour empêcher ces actions.
Mais les incitations à aller dans l’autre sens sont plus fortes pour chaque individu, car il y a menace sur leur emploi, leur réputation, leur sécurité…
Ils ont donc tendance à plier, et à laisser la société vulnérable.

Mais une fois qu’ils ont cédé, ils sont forcés de se regarder dans un miroir et n’ont pas envie de se voir comme des couards. Ils finissent donc par se convaincre qu’ils croient à ce qu’ils ont dit. Ils se disent que s’ils ont dit qu’ils étaient racistes, c’était sans doute parce qu’ils le sont.

Il y a eu tant de procès et d’écrits en URSS, qui décrivaient les mêmes phénomènes d’accusation, de démission et de soumission…

Cette comparaison est juste. Ce que nous voyons ressemble de manière effrayante au bolchevisme ou à la période chinoise précédant le Grand Bond en avant. Ce qu’il est important de noter, c’est que ces mouvements révolutionnaires qui recherchent le pouvoir et ont pour objet de maximiser la justice sociale, évoluent immanquablement vers ces mécanismes coercitifs, parce qu’ils fonctionnent! Mais dans le cas présent on est face à une coalition instable, temporaire, dans laquelle les règles d’appartenance à la cause sont basées sur ce qu’on appelle l’intersectionalité. Si ce mouvement gagne du pouvoir, et qu’il parvient à prendre le contrôle du système, il se fragmentera en factions. Les différents groupes coalisés se mettront à se battre les uns contre les autres.

Le fait que de larges segments de la population soient obsédés par l’identité mènera ceux qui ne le sont pas, à voir aussi le monde sous ce biais

Bret Weinstein

N’est-ce pas déjà le cas? Le fait que certains hommes noirs soient maintenant jugés inaptes à soutenir la cause «woke» parce qu’ils sont hommes n’est-il pas un signe?

Tous ces groupes pourraient en effet potentiellement se fragmenter. La communauté LGBT se fractionne déjà aujourd’hui entre les homosexuels et les transgenres par exemple. Mais cette fragmentation potentielle est aujourd’hui utilisée comme une arme pour forcer les troupes à serrer les rangs. Cela finira par éclater, mais le résultat, dangereux selon moi, c’est que les tribus se recomposeront selon des lignes identitaires raciales.

Votre crainte est que cette révolution identitariste réveille le nationalisme «blanc» qu’elle prétend combattre?

L’Occident est une expérience unique qui essaie de réduire l’impact de l’identité en favorisant la collaboration au-delà des lignes identitaires, à travers la citoyenneté et le mérite. Mais le problème est que ce système occidental, éminemment supérieur aux autres, et plus juste, est aussi très fragile. Le fait que de larges segments de la population soient obsédés par l’identité mènera ceux qui ne le sont pas, à voir aussi le monde sous ce biais. Ce mouvement «woke» pourrait créer le démon qu’il entendait combattre, et mener le nationalisme blanc des marges vers le «mainstream». Il pourrait réveiller l’antisémitisme. Si on diabolise les Blancs, ils finiront par se penser en minorité opprimée et réagir.

Beaucoup des libéraux (de gauche, dans le vocabulaire américain, NDLR) qui se rebellent contre l’idéologie «woke» sont juifs. Ils dénoncent l’antisémitisme qui grandit dans ce mouvement?

Oui, l’antisémitisme est présent dans le mouvement de manière ouverte et en progression. L’antisémitisme grandit toujours quand le centre politique s’affaisse. Le centre disparaît, la polarisation le remplace, l’antisémitisme devient inévitable.

Comment la presse «mainstream» a-t-elle couvert votre histoire en 2017?

Le New York Times est pénétré par la mentalité des «justiciers sociaux». Mais en 2017, la réaction a été complexe. Quand mon histoire a éclaté, les pages news n’ont quasiment pas traité le sujet, tandis que les pages éditoriales ont permis à Bari Weiss de la couvrir sans biais. Ce qu’a montré mon histoire est la réalité du journalisme actuel. Dans une presse superpolarisée, les journaux font un très bon travail sur les sujets qui coïncident avec leur vision idéologique des choses, et ne font rien sur les histoires qui ne collent pas avec leur prisme. Pour la presse libérale, l’idée que des sectaires noirs s’en prennent à un professeur blanc aux vues égalitaristes ne faisait pas sens. Ils préféraient que cela n’existe pas et ont refusé d’en parler. Pour la presse de droite, cela a été une affaire nationale.

Trump a été une rupture avec l’étau que les élites traditionnelles maintenaient sur le pouvoir. Mais cela n’a pas été une rupture très utile

Bret Weinstein

Que pensez-vous de la défaite cuisante que la gauche identitariste a essuyée aux élections, vu qu’une portion assez spectaculaire du vote des minorités est allée à Donald Trump, et a rejeté l’obsession raciale de la campagne démocrate?

C’est la partie la plus importante, et la moins couverte, de l’histoire. L’absurdité du portrait que fait la gauche «woke» des défauts de l’Occident, est en fait une insulte terrible pour les minorités qui veulent simplement une chance de réussir. Si vous essayez de réussir dans le système où vous vivez, la dernière chose dont vous avez besoin, est un mouvement qui vous dise que votre succès est impossible parce que toute personne blanche est raciste et vous opprime. L’élection a aussi révélé le nombre impressionnant d’intellectuels noirs qui ont donné de la voix contre ce mouvement «woke». Je suis en admiration devant leur courage et la force de leurs arguments.

Quelle est votre vision du trumpisme après Trump?

Il faut comprendre que le système politique est profondément corrompu par les intérêts spéciaux. [...] De l’autre côté, on a eu Donald Trump qui a mené avec succès une rébellion contre la hiérarchie républicaine corrompue. Donald Trump a gagné, mais il n’a pas la capacité, ou peut-être plutôt le tempérament, pour utiliser productivement le pouvoir.

Trump a été une rupture avec l’étau que les élites traditionnelles maintenaient sur le pouvoir. Mais cela n’a pas été une rupture très utile. Et aujourd’hui, avec l’élection de Joe Biden, nous revenons à l’ancien système corrompu que décrivait Bernie Sanders. La vérité est qu’on est face à deux familles du «crime», le Parti démocrate et le Parti républicain. Ce sont des réseaux d’influence pour des intérêts privés et de larges corporations.

Joe Biden le centriste pourrait-il aller contre le mouvement identitaire «woke» avec l’aide des républicains, vu le signal encourageant envoyé par les électeurs?

Je pense qu’il n’essaiera même pas, car c’est un politicien de la machine du parti, une sorte de porte-parole du Comité national démocrate (DNC). Il essaiera d’utiliser le pouvoir et l’énergie de ce mouvement, tout en laissant le DNC gérer les activistes. Mais je pense que la direction démocrate aura du mal à contrôle ce tigre qu’elle a lancé dans l’arène. Elle s’alliera cyniquement avec lui, mais n’aura pas le dessus.

article complet: http://elnetwork.fr/bret-weinstein-tant-quon-naffronte-gauche-woke-on-ignore-combien-dangereuse-laure-mandeville-figaro

https://resistancerepublicaine.com/2020/12/20/se-soumettre-ou-etre-detruit-bientot-le-totalitarisme-des-woke-en-france-aussi/

source 1: www.lefigaro.fr/vox/monde/bret-weinstein-tant-qu-on-n-affronte-pas-la-gauche-woke-on-ignore-combien-elle-est-dangereuse-20201217

Une diplômée de Harvard menace ceux qui diraient « Toutes les vies comptent »… et se retrouve au chômage

Cette jeune femme, diplômée de Harvard, analyste dans un cabinet d’expertise comptable, a publié sur TikTok une vidéo devenue virale où elle fanfaronne : « Le prochain qui dit ‘All Lives Matter’, je le poignarde ».

(Car il est raciste de dire ‘Toutes les vies comptent’. On a uniquement le droit de dire ‘Les vies des Noirs comptent’. Un vidéaste l’a testé !)

Mais peu après, la voici en pleurs dans une autre vidéo : non seulement elle a reçu des menaces de mort (ce n’est rien, dit-elle), mais en plus, son employeur l’a licenciée, ce qui compromet son avenir !

Qui est responsable de tous ses malheurs, selon elle ? Les partisans de Donald Trump !

Article complet en anglais, avec vidéos : The Blaze
Résumé et commentaire : Cenator

USA 2020

La dernière vidéo promotionnelle de One America News Network propose un scénario fictif qui soulève la question :
Quelles mesures faudrait-il prendre éventuellement pour garantir que les forces de l'ordre ne soient pas confrontées à des problèmes de race, d'âge, d'orientation sexuelle, de genre, et que les citoyens qui appellent à l'aide soient traités d'une manière correcte ?

Type au téléphone: J'ai besoin d'aide, quelqu'un s'est introduit dans ma maison par le garage, envoyez-moi la police !

Policière: Quel genre de police ?

Type: Comment, quel genre de police ?

Policière: Il y a de nouvelles directives: on doit être sûr que les agents qu'on envoie ne seront pas vus comme racistes ou discriminateurs. […] Avant de vous envoyer des agents, il faut que je sache de quelle race sont les suspects, leur âge, leur orientation sexuelle, leur genre, s'ils ont un casier judiciaire, s'ils sont sous l’influence de drogues, s'ils ont une arme, si oui laquelle […]

24 heures du 18.02.2019, extraits du courrier des lecteurs

Cenator : Comme d’habitude, les courriers retenus sont exclusivement orientés politiquement correct.

Mais même,si ces courriers ne sont pas triés sur le volet, la santé mentale de notre jeunesse et en général des Romands est réellement inquiétante !

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1) Venezuela, à propos de l’article intitulé « Juan Guaido, vrai messie ou simplement marionnette ? » (24 heures du 12 février 2019)

Françoise Marillier, de Saint-Prex, écrit que bien sûr, l’article des 24 heures dit vrai, Juan Guaido est une marionnette des USA. [...] le jeu en sous-main des Etats Unis. Les sanctions économiques et financières s’abattent depuis plusieurs années sur le Venezuela. [...] une pression de plus en plus impitoyable sur la population...

Mais cette fois, les ficelles sont trop grosses [...]

Croit-on vraiment que si le Venezuela ne recelait pas d’immenses réserves pétrolières et autres richesses du sous-sol, l’Oncle Sam et consorts se soucieraient tant ce pays ?

 

2) Climat : C’est toute la Terre qui se languit, par Gilles Vuille, Montreux

[...] Aux « nettoyages mondiaux » s’ajoute une liste exhaustive des tâches à entreprendre. [...]

En voici quelques unes : réduire les vols aériens de 50%, soit un avion décollant toutes les deux minutes, [...]

Il est impératif de prélever enfin une taxe « carburant », unitaire, de 20 dollars par client et par vol, les arguments contre étant ceux d’un débat mercantile, honteux, égoïste, à deux doigt de la rapinerie.

[...] Jeunes Verts suisses, au travail !

 

3) Noémie Duc, Gymnase de Morges : « L’erreur est humaine, persévérer est diabolique »
(cité également en latin, par cette bonne élève gymnasienne)

[...] c’est notre devoir de nous battre pour une cause universelle et ainsi protéger non seulement notre avenir, mais aussi celui de toutes les personnes qui sont dans l’impossibilité de s’en inquiéter. Le choix du vendredi nous a aussi été reproché à maintes reprises. La Suisse aurait-elle oublié la jeune Suédoise à l’origine de notre combat, Greta Thunberg, postée devant le Parlement suédois tous les vendredis depuis de nombreuses semaines ?

[...] notre but [...] comme l’a justement dit Nicolas Hulot [...]

Quoi qu’il en soit, et à l’instar de tous les grands combats de l’Histoire dont les débuts furent difficiles, le nôtre mérite d’être mené.

 

4) Soyez Végétaliens ! par Claude Chapuis, thérapeute indépendant, Lausanne

[...] Si tous les habitants de la Terre devenaient végétaliens, le réchauffement global pourrait être tenu sous contrôle.

« En 2050 la planète sera végétalienne ou affamée », affirment les chercheurs du Stockholm International Water Institute [...].

Un végétalien ou végan en 4/4 pollue moins qu’un omnivore à vélo ! [...]

 

 

 

 

 

Si le raciste est Noir et déteste les Blancs c’est “politiquement correct”

giampaolo-rossi-150x150Par Gianpaolo Rossi (photo) qui se définit lui-même ainsi :
« D’abord et surtout archéologue. Pour cette raison je m’occupe de politique et des médias. J’écris pour Il Giornale. A leurs risques et périls.»

 

 

LE COCKTAIL RACISTE

Prenez le New York Times, la Bible libérale des progressistes du monde entier, la voix de la gauche radicale-chic qui rêve global, des gens "cool" qui sont toujours du côté des derniers (avec les sous des premiers) : c'est le journal du multiculturalisme idéologique et des pouvoirs économiques, de l'anti-racisme et des maîtres illuminés de la finance apatride.

Bien. Maintenant, prenez un juriste afro-américain dénommé Ekow Yankah qui enseigne le Droit à la Yeshiva University de New York; actif au parti démocrate comme chef du conseil des avocats du DNC (Comité national démocrate ) et dont les articles sont régulièrement publiés, justement sur le New York Times et aussi sur le Huffington Post.

A présent mélangez le tout, secouez bien et vous boirez un cocktail d'un racisme tellement violent, bête, éhonté et répugnant qu'une brochure du Ku Klux Klan à coté semble être un texte de propagande pour l'intégration multiraciale.

Mais voilà, comme cette fois le raciste est Noir et que la haine est dirigée contre les Blancs, pour cette gauche hypocrite, c'est politiquement correct.

Si le raciste est noir, son racisme est politiquement correct car c'est considéré comme un acte de défense contre les Blancs

UN DELIRE POLITIQUEMENT CORRECT

Il y a quelques jours, dans un éditorial publié dans le New York Times, le prof. Yankah s'est posé cette question :  "mes enfants pourraient-ils être amis avec des Blancs?" 

Evidemment, sa réponse est non. Ses enfants ne peuvent être amis des Blancs. Pas parce que lui est raciste mais parce que les Blancs le sont; donc puisque les Blancs sont racistes il apprendra à ses enfants à ne pas avoir d'amis Blancs. Simple, non ?

Mais alors, pourquoi les Blancs seraient-ils racistes ? Avant tout parce qu'ils sont Blancs; par conséquent ils portent une sorte de marque infâme de racistes pour l'éternité à cause de l'esclavage. Ensuite parce que les Blancs sont ceux qui ont voté pour Trump et cette élection oblige le pauvre professeur nazi-black à rappeler aux enfants la leçon des vieilles générations : "je leur enseignerai la suspicion et la méfiance"; donc il leur apprendra à se tenir loin des méchants blancs.

Il écrit ces choses, précise-t-il, par charité,  "le cœur brisé" , mais pour lui, malheureusement il n'existe aucune autre alternative : "L'histoire a fourni aux gens de couleur bien peu de raisons leur permettant de faire confiance aux Blancs (...) et ces derniers mois le mépris et la façon dont le pays respecte la valeur des minorités a été évident".

L'élection de Trump a fixé dans l'esprit de ce pauvre juriste noir "une pensée terrible mais familière aux Noirs américains : on ne peut pas se fier à ces gens là", c'est à dire aux Blancs. Et pas seulement aux Blancs qui ont voté Trump mais également à ceux qui haïssent Trump et qui font tout pour le critiquer.

Comme l'a écrit Scott Greer : ce qui est exprimé ici "est un concept fou qui mine les enseignements de ces 60 dernières années sur les races" qui est "de ne pas juger quelqu'un sur la couleur de sa peau mais sur son caractère individuel". En revanche, le professeur libéral progressiste affirme le contraire en affirmant que "la race est le facteur principal pour juger une personne".

Imaginons un instant ce qu'il serait arrivé si un juriste blanc avait publié un éditorial affirmant vouloir enseigner à ses enfants de ne pas avoir d'amis noirs. On l'aurait probablement viré de son poste d'enseignant, il aurait été lynché dans les médias (et pas seulement dans les médias) et il aurait certainement été dénoncé pour discrimination raciale.

Mais si le raciste est Noir, sa discrimination est seulement un réflexe de défense; le racisme anti-blancs est un racisme victimaire : je vous hait parce que vous me haïssez.

LE RACISME ANTI-RACISTE

Cet article du NewYork Times est un délire raciste et, par certains côtés, plus dangereux que celui des suprémacistes blancs, car c'est un racisme exprimé par l'élite libérale et légitimé par le puissant pouvoir des médias, car, ce qui est préoccupant, c'est qu'Enkow Yankah enseigne son racisme anti-Blancs à l'université, comme le fait, par exemple aussi la professeure Jessie Daniel, sociologue (Blanche) de la City University de New York, qui a expliqué récemment que les familles composées de Blancs et "qui donnent naissance à des enfants blancs", génèrent le racisme et légitiment la suprématie blanche du pays. Et que donc,  les familles multiraciales devraient être favorisées : "Si un Blanc se définit comme anti-raciste mais qu'ensuite il donne naissance à des enfants blancs, alors, il fait partie du problème". En somme si tu un Blanc ou une Blanche et que tu ne veux pas être complice du racisme, tu dois procréer avec une femme ou un homme noir.

Une femme comme celle-là devrait être enfermée en asile psychiatrique au lieu d'enseigner dans une université américaine.

La haine idéologique face à Trump empêchent les élites intellectuelles libérales de voir que les minorités raciales sont défendues dans la Constitution américaine par le XIV amendement qui représente un des plus grands progrès civil de tous les temps; il fut encouragé et voulu par des législateurs blancs (et Républicains vu que les esclavagistes étaient, historiquement, les Démocrates).

Le racisme d'un raciste est facile à combattre parce qu'il est visible, exécrable et souvent caricatural, violent, certes, mais facilement punissable et condamnable par l'opinion publique.

Mais le racisme des anti-racistes est sournois, caché, hypocrite car il est considéré comme politiquement correct par l'élite. Un peu comme le fascisme des anti fascistes.

Gianpaolo Rossi / Il Giornale.it

Source en italien (traduit par Danielle Borer pour lesobservateurs.ch)

Politiquement trop correct – Les très nuls téléfilms policiers français

   
Michel Garroté  --  A l'exception de "R.I.S. Police scientifique" (photos ci-dessus), diffusée, en ce moment, les mercredi, sur HD1, toutes les séries policières actuelles de l'audiovisuel français sont, à mon humble avis, nulles, et, surtout, "politiquement correctes" à l'extrême. La plus désastreuse de ces séries policières s'intitule "Capitaine Marleau", avec un casting complètement loupé, des comédiens médiocres et des dialogues débiles. Vous êtes maso ? Taper vous Marleau.
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Dans le genre "flop", il y a aussi "Profilage", sur TF1, qui, malgré le départ de la triste looser Odile Vuillemin (jeune disciple de Freud et Lacan au 21ème siècle, faut le faire...), "Profilage" donc, qui reste une série anachronique et neuneu. Autre nullité : "Section de recherches", avec un protagoniste au front bas, qui tente désespérément de singer le flic de choc dans Les Experts Miami (C.S.I Miami : on aime ou on n'aime pas...). Sur "Candice Renoir" et "Caïn", je ne dirait rien, ce sont des séries "B" et encore, je suis gentil et je reste poli.
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Il existe toutefois du "buvable", côté séries policières de l'audiovisuel français, mais ce n'est pas toujours du plus récent. Exemples : "Boulevard du Palais" (excellent duo). "Alice Nevers : Le juge est une femme" (là aussi excellent duo). "Une femme d'honneur" (style France profonde). "Les Cordier, juge et flic" (rafraîchissant). "Julie Lescaut" (brillante). Sans oublier ces bons vieux "Maigret" (crimes style la "douce France" d'autrefois) et "Navarro" (directement sorti des studio de l'Elysée à l'époque de tonton), ces deux derniers plutôt aux "moins jeunes"...
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Côté séries policières scandinaves  --  traduites en allemand, et, diffusées par ARD et ZDF, et, rarement, traduites en français, et, diffusées par ARTE principalement  --  en plus du magistral "Millénium" qu'il n'est plus nécessaire de présenter, je retiens ce que j'ai vu et apprécié : "Les Enquêtes de l'inspecteur Wallander" ; "Annika Bengtzon : Crime Reporter" ; le fabuleux "Borgen, une femme au pouvoir" ; "Lilyhammer" ; "Bron" dit "The Bridge" ; "The Killing" ; "Maria Wern", et, enfin, "Trapped", une production islandaise.
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Côté séries policières anglophones : signalons notamment "London District" et "DCI Banks". Le reste est, toujours selon moi, médiocre et parfois malsain.
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Et enfin côté germanophone, retenons l'inévitable "Tatort" ; "Großstadtrevier" ; "Heiter bis tödlich" ; "Soko" ; "Ein Fall für zwei" ; "Das Team", co-produit par l'Allemagne, la Belgique et le Danemark ; "Der Alte" ; "Der Kriminalist" et bien d'autres encore.
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Du côté de ces séries policières non-francophones, le tableau est donc beaucoup moins triste : bons acteurs, bon casting et bons dialogues, avec, très peu de politiquement correct. Le téléspectateur n'a que l'embarras du choix, selon ses goûts. A noter que si les Allemands font d'excellents téléfilms en la matière, c'est souvent dans le style du film réaliste avec ses anti-héros, hommes ou femmes, soit sans Schwarzenegger, Angelina Jolie et autres Rambo.
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Trump Matador – Le politiquement correct est mort

RIP-1

   
Michel Garroté - Deux journalistes américains, Monisha Rajesh (Time et le Guardian) et Mark C.O'Flaherty (le Telegraph, le Financial Times, Time et le Guardian), appellent au meurtre de Donald Trump, ils veulent que Trump soit assassiné. Ils souhaitent que quelqu'un tue Trump, mais c'est le politiquement correct qui est mort et eux (Monisha Rajesh, C.O'Flaherty et tous les autres) avec lui. Et si vraiment quelqu'un parvenait à assassiner Trump, le peuple américain investirait les locaux de la "grande presse", pour lyncher (ou défenestrer) les journaleux, pour mettre le feu à leurs bâtiments.
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A propos de politiquement correct agonisant, l'Officier parachutiste à la Légion étrangère, gérant de portefeuilles, manager commercial et conseiller de dirigeants, François Bert écrit, avec humour et sans uni-forme (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Un programme politique c'est comme un sac à dos, plus il est lourd, moins longtemps on marche avec. C'est pour cela que je souhaite bonne chance à certains avec leurs 1000 mesures. Pour que chacun en ait "pour son grade", il faut savoir que par une réaction chimique inexpliquée, les programmes pleins de vent sont paradoxalement les plus lourds à porter.
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Vous l'aurez compris, le sujet n'est pas le sac à dos mais celui qui le porte. Nous subissons depuis 40 ans des commerciaux en aventure et des professeurs Tournesol (hors-sol) : il est temps d'avoir - enfin! - des chefs pour conduire le pays. Car la matière politique est donnée à 80% par le contexte, pas par des laboratoires d'idées expérimentales ou des agences de communication, conclut François Bert (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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De son côté, Gilles-William Goldnadel écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : On peut ne pas adhérer à toutes les thèses de Donald Trump. On peut détester son style et sa vulgarité. Il est même permis de critiquer sa démagogie. Il n'empêche. Qu'il est doux, le son du glas de la défaite de ceux qui auront contribué puissamment à son triomphe. Ceux qui viennent de se faire sonner les cloches. Pour une fois, Le Monde n'a pas tort d'évoquer un vote de la « colère ». Mais il est de saintes colères. Sainte colère contre les médias arrogants qui auront protégé l'incompétente et factice Hillary jusqu'au bout. Sainte colère contre les médias tricheurs qui n'ont même pas critiqué cette collaboratrice de CNN qui a envoyé d'avance les questions à Clinton avant un débat crucial.
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Sainte colère contre la folie psychotique du genre qui impose désormais des WC mixtes pour les transsexuels dans les toilettes de la Maison-Blanche. Sainte colère contre ce faux antiracisme, condescendant envers les blancs pauvres qui seraient « petits » et qui n'a pas un mot, encore moins celui de « raciste », lorsqu'un noir fait un carton contre quatre policiers uniquement parce qu'ils sont blancs. Sainte colère contre les artistes faussement généreux mais vraiment privilégiés d'Hollywood qui avec un unanimisme conformiste obligatoire votent tous démocrates. Bien sûr, cette colère démocratique et pacifique a traversé l'Atlantique et habite désormais une Europe envahie par un doute démoralisant et un islamisme terrorisant qui ne doute de rien.
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Monsieur Ayrault - paraît-il, ministre des affaires étrangères - considère le président élu américain comme inquiétant. Qu'est-ce qui est plus inquiétant pour une nation qui veut vivre: un homme politique américain qui ose reconnaître le danger d’une immigration massive, illégale, invasive et dangereuse, ou un président français qui avoue la même chose à deux journalistes le soir à la chandelle, tout en continuant à proférer le même discours convenu pour ne pas fâcher les cerbères du terrorisme intellectuel de plus en plus méchants depuis qu’ils se savent bêtes ? La victoire de ce que les fausses élites appellent avec mépris « populisme » signe avant tout leur défaite. À tout prendre, il n’est pas interdit de préférer le populisme de son peuple, à ceux qui préfèrent imposer le populisme de l’Autre, conclut Gilles-William Goldnadel (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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De son côté, Ivan Rioufol écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le message est révolutionnaire. Il vient du peuple américain qui a décidé de prendre son destin en main. En élisant Donald Trump, mercredi, il a envoyé paître les mandarins de Washington, professionnels de la politique claquemurés dans leur Cité interdite et observant la populace à la jumelle. La caste croyait régner sur un pays anesthésié. Elle avait avec elle les médias, le show-biz, Wall Street, le Vatican, l’Union européenne et tout ce que l’Occident culpabilisé produit d’esprits clonés.
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Les sondeurs, issus de ce Système mirobolant, persistaient à ne rien voir venir. Comme les autres, ils négligeaient d’écouter l’Amérique profonde, ce "panier de pitoyables" (dixit Hillary Clinton). Ce qu’elle hurlait s’entendait pourtant d’ici. Les gens réclamaient des frontières, une limite à l’immigration massive, une riposte contre l’islam conquérant, une compassion pour les vaincus de la mondialisation, une once d’humanité de la part des humanitaristes narcissiques.
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C’est cette colère contre les "élites" que Trump a su habilement fédérer en tirant profit de sa diabolisation. Or cette rage est partagée par de nombreux Français gagnés par le sentiment d’abandon. Leur malaise reste entier, un an après les actes de guerre civile commis par des jeunes des cités venus assassiner des jeunes des villes, le 13 novembre à Paris (130 morts, 350 blessés). Depuis, les autres assauts des djihadistes contre la nation - dont le carnage de Nice le 14 juillet - n’ont toujours pas mobilisé les acteurs politiques contre l’agresseur islamiste. Ils préfèrent discuter sur la laïcité, comme les Byzantins le faisaient du sexe des anges en 1453 avant la chute de Constantinople.
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La plupart des candidats à la primaire de la droite ont soutenu Clinton, crânement à côté de la plaque. Ce monde-là, qui peine à se libérer de la pensée conforme, vit ses derniers instants. La révolution que Trump a portée au cœur des États-Unis, souvent dans le chaos et la bassesse, n’épargnera pas l’Europe. Elle souffre, en effet, des mêmes maux existentiels et économiques, conclut  Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Et sur Euro-Libertés, l'analyste Anne Lauwaert écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Voilà donc monsieur Trump élu. Un choc ? Certainement. Une surprise ? Non car comme dit Zemmour : « Le peuple est stupide » (pour ceux qui ne l’avaient pas compris, c’est de l’ironie). Le peuple a voté Non lors du référendum UE en France et Hollande ; les Belges n’ont pas eu l’occasion de voter, mais ils auraient voté tout aussi Non que les précédents - Les Suisses ont voté Non à l’immigration de masse - Les Anglais ont voté  Oui au Brexit - et le peuple a voté  Oui à Trump. Le peuple « stupide » a voté contre les smart-zélites.
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Les  peuples « stupides, cul terreux, va-nu-pieds  et sans dents » sèment des grains de sable dans les engrenages. Alors, maintenant les matamores, marioles et autres mégalomanes à la Madonna, Bruce Springsteen, Bon Jovi, Hollywood & Co qui allaient quitter les USA si Trump gagnait, quelle nouvelle ? Tellement présomptueux qu’ils croyaient au chantage ? Ben, non le peuple « stupide » préfère Clint Eastwood, ça alors ! Et chez nous ? Nos Patrick Bruel, Enrico Macias, Yannick Noah, Le Clézio, Bedos et autres Nagui qui ont menacé le peuple stupide de l’abandonner si Marine Le Pen est élue ? Attention, les amis, Miami c’est fini ;  L.A. c’est grillé ; Frisco, c’est no go et y'a la frontière en Ca-li-for-nieee.
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Il y a un truc que ces prétentieux « amuseurs publics » oublient : le peuple n’a pas besoin d’eux, mais eux ont besoin du fric que le peuple, qu’ils méprisent, leur donne pour qu’ils l’amusent avec leurs concerts, livres ou CD.  Mais, le peuple dépense déjà pas mal pour « l’autre bord » avec les Éric Zemmour ou Philippe de Villiers. Le peuple pourrait bien se passer des olibrius bobo et leur préférer B.B. ou Delon. Alors, maintenant que Trump a brisé le tabou du langage troupier (entre nous, commun à tous les hommes et aussi… aux femmes dès qu’il s’agit de l’autre sexe, n’en déplaise aux saintes ni-touches…) et qu’il a même promis la prison pour les magouilleurs à la Clinton, le politiquement correct va-t-il enfin s’écrouler ? Ça ce serait quelque chose !, conclut Anne Lauwaert (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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https://lesobservateurs.ch/2016/11/11/usa-lorsque-des-journalistes-appellent-au-meurtre-de-donald-trump-sur-twitter/
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http://www.valeursactuelles.com/societe/goldnadel-la-defaite-des-cons-descendants-66418
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/11/il-est-temps-davoir-enfin-des-chefs-pour-conduire-le-pays.html
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/11/bloc-notes-trump-elu-annonce-l.html
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http://eurolibertes.com/evenements/debut-de-la-fin-du-politiquement-correct/
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Contre le terrorisme intellectuel

Sévilla-1

   
Michel Garroté - En 1978, Jean Sévilla fait ses débuts à la 'Presse française'. En 1981, il entre au 'Figaro Magazine', dont il est aujourd'hui une des plus anciennes signatures. Outre sa chronique hebdomadaire consacrée aux livres d'histoire, il traite de sujets touchant au débat d'idées, à la culture et aux questions religieuses. Parallèlement, il intervient sur 'Figarovox' et il tient une chronique dans le 'Figaro Histoire', revue dont il est membre du comité scientifique. Il collabore par ailleurs à 'L'Homme Nouveau' et à 'Politique Magazine'. Dès 1978, et, surtout, dès 1981, Jean Sévilla mène un travail,  à la fois énorme et remarquable, sur et contre la gauche sectaire, contre le terrorisme intellectuel et contre le politiquement correct. Sévilla est devenu un dissident dans son propre pays. Ci-dessous, je publie les extraits adaptés d'un excellent article de Mathieu Bock-Côté consacré Jean Sévilla, article paru sur 'La faute à Rousseau'.
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Sur le site Internet 'La faute à Rousseau', Mathieu Bock-Côté  --  docteur en sociologie, chargé de cours aux HEC à Montréal, chroniqueur au Journal de Montréal et chroniqueur à Radio-Canada  --  écrit notamment, a propos du "politiquement correct", tel que perçu et dénoncé par le remarquable Jean Sévilla (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Nombreux sont ceux qui dénoncent le politiquement correct, mais rares sont ceux qui (ndmg - comme Sévilla) prennent vraiment la peine (ndmg - et le temps) d'étudier sa logique et son fonctionnement. Dans de nombreux livres parus au fil des quinze dernières années, Jean Sévillia s'est imposé cet exercice, pour voir de quelle manière le politiquement correct manipule les esprits et étouffe la liberté de pensée, de réfléchir et de débattre, dans des sociétés qui prétendent pourtant avoir renversé tous les tabous. Aujourd'hui, sous le titre 'Écrits historiques de combat' (éd. Perrin, 2016), il rassemble trois d'entre eux, 'Historiquement correct', 'Moralement correct' et 'Le terrorisme intellectuel'. Il fait précéder le tout d'une vigoureuse préface inédite où il revient sur l'état de la vie intellectuelle en France, aujourd'hui, et sur les manifestations de dissidence contre le conformisme progressiste, à un moment, où le pays est victime d'une offensive islamiste qui ramène le tragique au cœur de la cité.
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Cette réédition est heureuse : ces trois ouvrages, parus respectivement en 2000, en 2003, en 2007, n'ont pas vieilli. Ou plutôt, l'analyse qu'ils nous proposent est confirmée. J'ajouterai qu'ils ont été écrits avant la percée médiatique du "nouveau conservatisme français", qui a traumatisé une gauche habituée à définir seule les paramètres de la respectabilité idéologique. Même s'ils demeurent aujourd'hui très minoritaires dans un paysage médiatique où l'hégémonie progressiste est indéniable, les "dissidents conservateurs" sont néanmoins plusieurs et ont le bonheur, comme on dit, de chasser en meute. Il n'en a pas toujours été ainsi. Quand Jean Sévillia a écrit ses livres, il était un des rares à affronter aussi ouvertement le progressisme, tout en le faisant avec une grande courtoisie démocratique, sans jamais verser dans la polémique gratuite. Il a fait preuve d'un immense courage civique. C'était un précurseur.
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Sévillia est non seulement journaliste de profession mais historien de vocation. On comprend pourquoi 'Historiquement correct' ouvre ces 'Écrits historiques de combat'. L'espace public, on le sait, est accroché à une certaine vision de l'histoire, qui conditionne le présent et contribue à sa définition. En d'autres mots, le récit historique joue un grand rôle dans la définition des termes de la respectabilité médiatique et de la légitimité politique. Et comme le montre Sévillia, la conscience historique occidentale est obstruée par des légendes et autres mythes qui déforment le passé. Il faut savoir se délivrer de cette mythologie culpabilisante. Qu'il s'agisse des Croisades, de l'Inquisition, des Guerres de Religion, des Lumières, de l'esclavage ou de bien d'autres thèmes, Sévillia déconstruit avec une érudition remarquable les clichés qui habitent l'esprit public contemporain. Avec une culture encyclopédique, fruit de très nombreuses lectures, il invalide la vulgate médiatique.
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Le travail intellectuel de Sévilla est indispensable. Sévillia montre comment une forme d'obstination dans l'anachronisme domine notre rapport au passé. On ne pose pas aux acteurs des temps anciens les questions qu'ils se posaient mais on les écrase sous nos préoccupations contemporaines. On instrumentalise le passé pour justifier le dynamitage de la continuité historique. C'est l'obsession de la table rase. Paradoxe : on pourrait croire que plus le passé s'éloigne et plus son étude se dépassionne. C'est le contraire. Le passage des années le simplifie à outrance. On ne veut y voir que des gentils et des méchants. Plus les témoins disparaissent et plus l'histoire se laisse enfermer dans un récit idéologique qui gomme la complexité des situations. Elle devient dès lors inintelligible. Sévillia réhabilite les vertus de la nuance historique. C'est à cette condition que l'histoire peut redevenir un laboratoire pour réfléchir aux divers visages de la nature humaine.
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'Moralement correct' examine un autre grand pan du système d'inhibitions qui étouffe le débat public, en illustrant comment les ravages associés aux grandes mutations culturelles liées à la révolution libertaire des années 1970 sont sacralisés. Sévillia montre de quelle manière s'impose la figure de l'individu-roi, au nom de qui on détricote les institutions et on pousse à la dissolution des mœurs communes dans la cité. L'individualisme fanatisé fait des ravages et pousse l'être humain vers le fantasme le plus destructeur qui soit, celui de l'auto-engendrement. Ici encore, la contribution de Sévillia est majeure : elle démontre la dynamique idéologique commune aux revendications « sociétales ». Toute querelle politique véritable repose en fait sur une divergence anthropologique.
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Troisième ouvrage de ces 'Écrits historiques de combat', 'Le terrorisme intellectuel' propose une remarquable analyse du politiquement correct à travers une petite histoire de l'intelligentsia française depuis la Deuxième guerre mondiale. De Lénine à Staline, de Mao à Pol Pot, elle s'est très souvent trompée et croit encore aujourd'hui indiquer le sens de l'histoire. Elle se trompe à nouveau en décrétant la fin des Nations, en célébrant l'immigration massive ou la théorie du genre. Derrière l'hostilité à la civilisation occidentale, on retrouvera une forme de fureur nihiliste, qui la pousse à tout déconstruire. Elle aime aussi présenter ses contradicteurs dans les habits d'un "fascisme éternellement renaissant", ce qui est n'est pas sans efficacité lorsque vient le temps d'exécuter médiatiquement un adversaire, de le frapper d'ostracisme. Encore aujourd'hui, on préfère psychiatriser un adversaire plutôt que de débattre avec lui. La "parole dissidente" fait encore scandale.
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C'est un travail de longue haleine qui permet aujourd'hui à Jean Sévillia de rassembler ces trois livres. On les lira ou les relira avec grand bonheur. À la différence de ceux qui ont adhéré aux mythes progressistes avant de rejoindre eux aussi le camp des critiques du politiquement correct, on peut dire que Jean Sévillia était dès le début une "figure dissidente". Dans nos sociétés, il faut d'abord avoir été de gauche pour avoir un jour le droit de ne plus l'être. On tolère les esprits désenchantés, mais beaucoup moins ceux qui n'ont pas été bluffés. Il ne s'agit pas de se moquer de ceux qui ont d'abord cru au progressisme, avant de s'en éloigner, mais seulement de constater qu'il était possible, dès le début, de ne pas se laisser bluffer par ses légendes, de ne pas se plier à ses commandements. Ces 'Écrits historiques de combat' nous rappellent que Jean Sévillia fut de ceux-là. Il s'est imposé comme un écrivain politique indispensable de notre temps où la liberté se paie et se paie plus cher qu'on ne le croit, conclut Mathieu Bock-Côté, site Internet 'La faute à Rousseau' (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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Source mentionnée :
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http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/10/03/jean-sevillia-un-dissident-de-la-premiere-heure-contre-le-te-5855679.html
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Immigration: Pourquoi il n’y a pas de débat

Christian Hofer: Un article datant de 2015 qui cible la Suède mais qui peut évidemment s'appliquer à la Suisse tellement les caractéristiques se recoupent (médias bien-pensants, besoin de nos politiciens de prouver que la Suisse est irréprochable, rhétorique irrationnelle et suicidaire, déni de la réalité).

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L’altruisme obligatoire est un narcissisme

Depuis des mois, les relations entre la Suède et le Danemark ont pris un tour orageux. En cause : la politique d’immigration, restrictive au Danemark, très libérale en Suède. La brouille n’a pas attendu les dernières élections qui, à Copenhague, ont été remportées par une majorité de droite légèrement dominée en terme de suffrages et d’élus par le Parti du Peuple danois (Dansk Folkeparti, DF). Ainsi, le parti socialiste suédois avait dès le printemps dernier annoncé sa rupture avec son alter ego danois, après que celui-ci, sous la pression d’une opinion publique chauffée à blanc, eut annoncé son virage sur la question migratoire.

Ce désaccord s’est transformé en querelle, lorsque le gouvernement danois a décidé de protéger (temporairement) sa frontière et bloqué le trafic ferroviaire entre l’Allemagne et la Suède, via Copenhague. Les mots qui fâchent ont été lancés, les indignations symétriques se sont dressées, les uns se sont sentis un peu plus Danois, les autres un peu plus Suédois, et tous de moins en moins Scandinaves.

Mais les querelles ont parfois du bon, et peuvent aussi permettre qu’on se parle (enfin) de ce qui fâche.

L’interview parue dans le Jyllands Posten (Danemark) d’un journaliste suédois, Johann Andersson, par l’écrivain et historien danois Mikaël Jalving fait froid dans le dos, tant le premier décrit une sorte de totalitarisme progressiste qui sévirait dans les médias outre-Øresund. Mais il rassure aussi : c’est quand on commence à percevoir la tyrannie d’une idéologie qu’elle perd de sa puissance.

Le journaliste suédois affirme d’emblée : « En Suède, les médias ne surveillent pas le pouvoir, ils surveillent le peuple. » Puis il décrit la manière dont des journalistes ont harcelé une blogueuse, connue sur la toile sous le nom de Julia Caesar et qui, tant sur les questions d’immigration que de genres, affichaient des opinions dissidentes. En dernier ressort, le nom, l’adresse et la photo de la blogueuse auraient été publiés, contre le souhait de cette dernière, journaliste à la retraite. « De cette manière, les médias mainstream lui ont fermé le clapet, elle devenait trop dangereuse. » C’est à cause de cet exemple que le journaliste interviewé tient à garder une sorte d’anonymat (il donne son nom, si courant qu’il pourrait être un pseudonyme, mais refuse d’être photographié).

Comme Mikaël Jalving s’étonne de cette peur (qui fait le jeu du pouvoir), Johann Andersson la justifie et évoque la pression sociale, voire physique (cas de violences contre certains blogueurs),

mais il insiste surtout sur la légitimation par les élites de ces intimidations : la gauche a en effet inventé le concept de « god had », la bonne haine, la haine justifiée, la haine nécessaire. Cette « bonne haine » est alors relayée par des associations dites antifascistes et antiracistes. Cette bonne conscience et cette impunité morale se double, pour les journalistes, du sentiment d’être objectifs quand les dissidents, quand ils évoquent ce qu’ils constatent, sont nécessairement au mieux victimes d’idées reçues, au pire fanatiques et partisans.

Tout ceci n’étonnera que modérément les lecteurs français qui connaissent un même « climat du débat » depuis de nombreux mois. Mais, là où l’interview devient passionnante, c’est lorsque le journaliste suédois analyse ce que nous appellerons ici les ressorts pulsionnels de la politique de son pays.

Pour Johann Andersson, il y a derrière la politique très favorable à l’immigration des élites suédoises deux désirs aussi inconscients que têtus.

Le premier consiste à être moralement les meilleurs. Il ne s’agit pas d’agir bien, mais d’agir mieux. Mieux que tous les autres. Andersson déclare que son pays veut devenir le meilleur élève de le communauté internationale, le chouchou des Nations-Unies (« Eliterne drømmer om at gøre Sverige til FN’s kæledægge »). Le second consiste à obliger les autres nations européennes à suivre son exemple, en étant à la fois membre de l’espace Schengen et en n’appliquant pas le protocole de Dublin, créant ainsi une situation de fait contraignant les autres capitales à réviser leurs propres politiques (ce qu’ont fait l’Allemagne, puis la France…). Andersson conclut ainsi « Sveriges politik er en trussel mot hele Europa » : La politique menée par la Suède constitue une menace pour l’ensemble de l’Europe.

Nous comprenons ici que la position narcissique des élites suédoises renvoie à quelque chose apprise fort tôt à l’école et dans la famille : la sublimation de la pulsion de domination par un surmoi exemplaire et persécutif, véritable colonne vertébrale de la société du consentement. Chacun est appelé à exercer son emprise sur l’autre en exerçant un mieux-disant, mieux-faisant moral, sanctionné positivement par l’Autorité.

Le grand intérêt de cette analyse est qu’elle dépasse l’explicite et le conscient pour aborder la dimension irrationnelle et intime des comportements politiques. On comprend bien pourquoi il ne peut y avoir débat sur la question migratoire (un argument du type « en déracinant définitivement les classes moyennes syriennes, vous appauvrissez le pays et ruinez son futur » n’a aucune chance d’être entendu pour ce qu’il est, il relèvera automatiquement pour l’interlocuteur d’un non-dit « Démocrate-suédois »).

Certes, une telle analyse ne prête pas à l’optimisme, mais il reste qu’une brèche est ouverte. Si pareil diagnostic peut-être posé en Suède même, alors nécessairement, le débat s’ouvrira un jour.

*Photo : Sipa. Numéro de reportage : AP21801087_000001.

Source

Notre camp politique serait “d’extrême-droite”

   
Michel Garroté - L'hebdomadaire français de gauche Le Point reprend une dépêche de l'agence de presse d'extrême-gauche AFP intitulée "Ces médias à la droite de la droite qui veulent réinformer les Français". Lorsque l'AFP s'épenche sur ce qu'elle appelle "extrême-droite", il y a toujours matière à rire. L'AFP met toutes les "droites de la droite" dans le même sac. L'AFP prétend voir l'extrême-droite là où elle n'est pas. L'AFP, dans sa dépêche, ne fait pas de différence entre "Egalité et réconciliation", "Fdesouche", "Boulevard Voltaire" et "Valeur Actuelles". Encore un petit effort et l'AFP va nous dire que Le Figaro est d'extrême-droite...
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"Ces médias à la droite de la droite qui veulent réinformer les Français", c'est donc une dépêche typiquement AFP, une dépêche un brin délirante et parano, dans laquelle on peut lire, avec amusement (extraits adaptés et commentés par mes soins ; voir lien vers source en bas de page) : Egalité et réconciliation, Fdesouche, Boulevard Voltaire ou encore Russia Today... Depuis une décennie, des médias au positionnement très droitier ont fait leur apparition sur la toile, avec l'objectif de "réinformer" les citoyens. "Trop à gauche" ou encore "pas suffisamment représentatifs", c'est bien souvent en ces termes que les Français jugent leurs médias (Michel Garroté - En effet, les journalistes sont trop à gauche et pas suffisamment représentatifs, c'est même un euphémisme que de le dire).
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Les sondages réalisés élection après élection ne démentent pas ces impressions. En juin 2012 par exemple, un sondage Harris Interactive estimait à 74% le taux des journalistes ayant voté à gauche lors de la présidentielle. Pour lutter contre "la gauchisation des esprits" - selon la formule de Jean-Marie Le Pen - des médias à la droite de la droite ont ainsi fait leur apparition (Michel Garroté - Et ça y est, hop, l'AFP fait exprès de metre dans le même sac l'opinion des Français et l'opinion de Jean-Marie Le Pen. Si les Français, notamment ceux qui s'informent sur Internet, veulent lutter contre la gauchisation des esprits, le fait que Le Pen pense ou ne pense pas la même chose n'a ici aucun intérêt, sauf pour l'AFP).
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Pour Jean-Marie Charon, sociologue des médias, la montée des "médias de masse", et notamment la télévision, a banni "les opinions minoritaires" de l'espace médiatique: "de l'avènement de la télévision jusque dans les années 1990, les courants minoritaires dont l'extrême droite n'ont plus eu accès à la télé officielle", explique-t-il. Privés de leur droit de cité dans les médias, "ces courants minoritaires" ont, selon le sociologue, "profité de l'essor du numérique pour lancer leur propre plateforme d'information" (Michel Garroté - En France, tous les sociologues sont d'extrême-gauche depuis 50 ans. Et accessoirement, je trouve amusant, ce mépris, à peine "voilé", si j'ose dire, pour les courants "minoritaires").
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Hétéroclites, ces médias partagent néanmoins une vision du monde et un positionnement idéologique. Toutefois, deux stratégies se font face : d'un côté, un choix en faveur d'un discours presque exclusivement identitaire et de l'autre, une stratégie plus "confusionniste", dont l'intérêt selon Tristan Mendès France, enseignant en cultures numériques à l'université Sorbonne-Nouvelle, est de créer "des passerelles" entre extrême droite et extrême gauche (Michel Garroté - C'est, là encore, du charabia de journalistes et  d'enseignants. Du reste, c'est totalement faux d'alléguer que les sites et blogues de la droite de la droite et les sites et blogues de la droite libérale-conservatrice partagent une même "vision du monde" et un même "positionnement idéologique").
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Le site Egalité et réconciliation par exemple, traite régulièrement de la question du TTIP (traité de libre échange transatlantique) ou encore du Big Pharma (...) En clair, des thèmes qui pourraient être traités par des médias d'extrême gauche, relate l'enseignant à l'AFP (Michel Garroté - "Créer des passerelles entre extrême droite et extrême gauche" ? Tiens donc ! Selon l'AFP et ses interlocuteurs, Mélenchon crée des passerelles avec Marine Le Pen qui elle crée des passerelles avec Mélenchon ? L'AFP et l'université Sorbonne-Nouvelle devraient préciser un peu leur postulat, comme ça nous comprendrons -- peut-être -- de quoi il retourne ici).
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Dans la même lignée, le site Agence Info Libre, co-fondé par David Bonapartian et qui propose d'offrir "un regard libre et différent" sur l'actualité, brasse lui aussi un large choix de sujets. A contrario, Fdesouche, qui fonctionne comme un agrégateur d'informations, ou encore La Gauche m'a tuer se concentrent eux presque exclusivement sur les thématiques identitaires (Michel Garroté - Pas un mot sur Riposte Laïque, pas un mot sur Résistance Répuclicaine, et, pas un mot, sur Les Observateurs, notre site libéral-conservateur suisse, dont un tiers des lecteurs sont des Français vivant en France... L'AFP a-t-elle omis de les mentionner ? Ou est-ce de la censure pure et simple, envers ces trois sites Internet incontournables et qui comptent un nombre très élevé de lecteurs ?).
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Si chacun dispose d'une ligne éditoriale propre, tous partagent le même objectif : "réinformer" les citoyens. Le concept de "réinformation" n'est pas nouveau. Mais il est promu depuis quelques années par l'intellectuel d'extrême droite Jean-Yves Le Gallou. En 2003, comme acte fondateur, il lance Polémia, un cercle de réflexion qui met sur pied une critique des médias (Note de Michel Garroté - Décidément, l'AFP ne supporte pas les sites et blogues de réinformation, elle enrage, elle voudrait qu'ils n'existent point).
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En 2010 naissent les Bobards d'or, une cérémonie destinée à dénoncer les journalistes "qui n'hésitent pas à mentir délibérément pour servir le politiquement correct". Deux ans plus tard, il co-fonde l'OJIM (observatoire des journalistes et de l'information médiatique) afin "d'informer sur ceux qui nous informent" (Michel Garroté - Polémia et les Bobards d'or, encore de quoi irriter l'AFP, mais enfin, comment osent-ils nous accuser de mentir délibérément pour servir le politiquement correct, nous, l'AFP, la crème de l'info ?).
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Pour Tristan Mendès France, cette critique des médias vise à "discréditer les journalistes. En optant pour un discours de l'alternative, ils s'assurent les faveurs d'un public déçu ou méfiant des médias traditionnels", décrypte-t-il auprès de l'AFP. Pourtant, note Dominique Albertini, journaliste et co-auteur de l'ouvrage "La Fachosphère", la "réinformation" est avant tout "un concept marketing car la plupart de ces médias sont des médias d'opinion". Qu'importe, la "réinformation" est un créneau qui fonctionne : s'il n'y a pas de chiffres officiels mesurant l'audience de ces sites, ils sont souvent cités comme faisant partie des blogs politiques les plus populaires (Michel Garroté - les gens comme nous s'assurent les faveurs d'un public déçu ou méfiant des médias traditionnels. Oui. Et alors ?).
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Une audience qui attise les convoitises d'un pays en particulier: la Russie, qui voit en la "réinformation" une façon de diffuser sa vision du monde. Présente en France pendant de nombreuses années à travers le titre "La Voix de la Russie", c'est en 2014 que la Russie modernise son offre française avec le lancement de Sputnik, un service d'informations multimédia (Michel Garroté-J'avoue qu'en effet, Sputnik est plus agréable à lire que Le Monde, Libération, L'Obs, ou encore, l'omniprésente et déficiente AFP subventionnée avec les impôts des Français).
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Mais c'est le lancement en octobre du site Russia Today, du nom de la chaîne d'information internationale qui émet notamment en anglais, en arabe et en espagnol, qui intrigue. Doté d'une large palette d'intervenants allant du souverainiste Pierre Lévy, à l'économiste euro-critique Jacques Sapir en passant par le directeur de la publication du droitier Valeur Actuelles, Yves de Kerdrel, il est, selon Nicolas Hénin, auteur de l'enquête "La France russe", adepte du confusionnisme : "la chaîne cultive, sciemment un discours confusionniste, dans le but de faire émerger un souverainiste, même de gauche, favorable à la Russie" (Michel Garroté - Cerise sur le gâteau ! Nous serions à la botte de Poutine, l'homme à abattre !).
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Mais la chaîne ne s'arrête pas là. Pour parfaire son image de média alternatif, elle recrute fin novembre Philippe Verdier, présentateur météo de France 2 licencié après la parution de son livre controversé sur le climat. Une façon de dire que, contrairement aux médias "dominants", elle ne censure pas ses journalistes (Michel Garroté - J'ignore à quel point Poutine censure les médias russes. Ce dont je suis sûr, en revanche, c'est que la Russie n'a rien à envier à la France, pour ce qui concerne la censure, 'intox, la médisance, la calomnie et les allégations mensongères. En France, 99% des journalistes sont de gauche, voire d'extrême-gauche, qui dit mieux ?).
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Pour la spécialiste de la Russie Anne Nivat, ce positionnement n'a rien d'étonnant : "les Russes veulent incarner l'alternative dans chaque pays où ils s'implantent et en France, l'alternative selon eux c'est de relayer les thèses de la droite dure (Michel Garroté - Mais bon sang mais c'est bien sûr ! Poutine, c'est le patron occulte du Front National et Marine Le Pen voudrait même l'épouser, sauf qu'hélas, Poutine est déjà marié) - (fin des extraits adaptés et commentés par mes soins ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.lepoint.fr/politique/ces-medias-a-la-droite-de-la-droite-qui-veulent-reinformer-les-francais-03-09-2016-2065633_20.php
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Selon Le Parisien, la “fachosphère” veut contrôler l’opinion

Mais pas Le Parisien, du puissant Bernard Arnault, l’ami de Blair et Sarkozy

C’est la magie de la presse dominante : alors qu’elle participe de toutes ses forces au contrôle de l’opinion, en distillant chaque jour son information pour les nuls, ses grands écarts avec le réel ou la vérité, elle s’en prend de plus en plus à la contre-propagande, qui ne supporte plus sa collusion avec le pouvoir oligarchique.

Il suffit pour cela de qualifier d’« extrême droite » tout ce qui conteste la parole officielle, de criminaliser tout acte, toute parole, toute pensée non conforme au projet oligarchique, dont les journalistes mainstream se font le relais, et le tour est joué. On reste du côté du Bien, peu importe si c’est au prix de la vérité.

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Cette « fachosphère » qui veut manipuler l’opinion

Des sites proches de l’extrême droite s’agitent pour créer des polémiques sur le Net. Des manœuvres qui vont se multiplier pendant la campagne.

C’est la magie des réseaux sociaux : quelques tweets suffisent pour qu’une simple querelle de clocher devienne un événement de portée... nationale. La « fachosphère », cette nébuleuse d’extrême droite de plus en plus active sur Internet, a parfaitement intégré cette nouvelle réalité. Et sait, comme personne, transformer un simple fait divers en phénomène médiatique.

L’évacuation mercredi dernier de l’église Sainte-Rita, dans le XVe arrondissement de Paris, constitue un modèle du genre. À l’origine, il ne s’agit que d’un banal conflit de quartier : l’édifice néogothique doit être détruit pour laisser la place à des logements (certains sociaux) et à des parkings pour les résidents. Le propriétaire du lieu, l’association belge des Chapelles catholiques et apostoliques, doit au préalable faire évacuer le bâtiment, occupé par une poignée d’irréductibles catholiques traditionalistes, afin de finaliser la vente avec un promoteur immobilier. L’évacuation — validée par ordonnance du TGI en janvier 2016 — est donc programmée pour le 3 août. Un cas de figure on ne peut plus classique.

C’est sans compter sur la fachosphère. La veille, les premiers messages d’alerte fleurissent sur Twitter. Concocté par l’association Sainte-Rita, l’un d’eux est un « appel à tous les Franciliens. L’église Sainte-Rita est menacée de destruction. Des impies (sic) veulent la vider et la raser pour y construire un parking ». Les royalistes de l’Action française, le sulfureux Alexandre Gabriac, un ancien membre du FN viré du Front en 2011 pour une photo où il fait un salut nazi, ou encore les sites Ripostelaïque et Fdesouche figurent parmi les premiers à relayer le message. Des anonymes très actifs sur le Web embrayent. Le lendemain matin, le sujet devient l’un des plus commentés sur Twitter.

Lire la suite de l’article sur leparisien.fr

Rappel:

Août 2015. Lorsque les médias nous prenaient pour des imbéciles : « Non, les terroristes de Daech ne s’infiltrent pas parmi les migrants

 

Londres a sous-estimé l’islamisme au nom du politiquement correct

Le ministre des Affaires étrangères britannique a avoué que le gouvernement britannique fermait les yeux sur la propagation de l’activité extrémiste dans le pays au nom de « multiculturalisme ».

La Grande-Bretagne a réalisé trop tard le danger lié à l’extrémisme islamiste, a annoncé le ministre britannique des Affaires étrangères Philip Hammond lors d’une visite au Bahreïn.

Selon lui, la montée en puissance des tendances extrémistes est le « défi principal » du monde contemporain.

« En Grande-Bretagne, nous l’avons réalisé un peu trop tard, mais nous devons résister à toutes les formes d’extrémisme, et pas uniquement celles qui impliquent de la violence », a-t-il déclaré.
« Nous avons reconnu à contrecœur le lien entre une forme agressive d’extrémisme et toutes les autres formes d’extrémisme. Pendant des décennies, nous avons à tort fait une différence entre ces deux formes. Au nom de multiculturalisme, nous avons toléré et même salué des idées, un modèle de comportement et l’activité d’organisations qui semaient la division et l’intolérance », a souligné le chef de la diplomatie britannique.

(…) SputnikNews

La Suède n’est décidément plus ce qu’elle était

Par Erik Verkooyen, observateur géopolitique.

Article paru dans le journal 24 heures du 28 octobre 2015

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Nulle part on est allés aussi loin dans le politiquement correct qu'en Suède.

Mon pays d'origine, imbu de son image de modèle depuis un demi-siècle, se sent investi du rôle de fer de lance de la planète progressive. Au point d'élever notamment la théorie du genre en dogme d'Etat implicite. Une grande majorité des Suédois a la même opinion sur la plupart des grandes questions de société qui font débat ailleurs (le cannabis, c'est mal, l'islam, aucun souci etc..) et ce n'est pas un hasard. L'école et les médias formatent les citoyens avec succès dans un climat orwellien. La liberté d'expression est limitée, les thèmes tabous nombreux et il vaut mieux ne pas s'écarter du prêt-à-penser en vigueur sous peine de mise au ban.

Ces derniers mois j'ai suivi de près les médias et les débats en ligne. Sidéré, j'ai pu observer la partialité exaspérante des modérateurs et le degré de censure, même de simples vérités, comme sur le mode de vie des Roms - qui y prolifèrent ayant trouvé là-haut un peuple naïf et pétri de bons sentiments - ou la biographie de Mahomet, peu compatible avec un message de paix et de spiritualité. Les quotidiens à grand tirage s'étalent sur des futilités inouïes, alors que des infos majeures ne sont même pas relayées, notamment quand elles peuvent favoriser la remise en question de la politique migratoire portes ouvertes. La chasse au racisme est hystérique, Tintin au Congo banni, et un nouvel ennemi subversif dénoncé cet été : les sparadraps, racistes, car de couleur trop claire ! Les vrais problèmes sont eux ignorés, comme par exemple le taux de viols vertigineux, un fléau dont le silence en dit long sur la cause.

Dans ce contexte, un parti qui rejette le cap multiculturel fixé par le système est forcément diabolisé.  On assiste pourtant à un revirement spectaculaire. Selon de nombreux sondages récents, le parti SD (les Démocrates de Suède), comparable à notre UDC, a doublé son électorat en un an (!) pour devenir le premier parti du pays. Pour rappel, son score aux élections de 2014 (13%) était déjà une sensation, le plaçant en position d'arbitre entre les deux blocs classiques qui s'étaient alors alliés par refus d'entendre la nouvelle voix discordante.

Ce pacte, appelé l'Accord de décembre, a fini par éclater début octobre, dénoncé par les Démocrates chrétiens, sans doute lassés de faire le jeu d'une islamisation bien réelle du pays et réalisant que le discrédit actuel du gouvernement profite au seul SD, devenu l'opposition unique et qui n'affiche pourtant rien d'extrémiste, il est juste conservateur, eurosceptique et nationaliste. Son taux de soutien de l'électorat immigré est d'ailleurs tout aussi élevé. Mon seul ami qui en soit membre est un apostat jordanien.  Il n'est pas venu là pour se faire rattraper par cet islam qu'il a fui.

Erik Verkooyen / 24 heures du 28 otobre 2015

 

 

 

Qui sont les résistants de notre époque ?


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En janvier 2011, j’écrivais : « Dans sa Résistance au Jihad mondial, l’Occident doit contenir, autant que possible, l’islamisme conquérant. Inutile de nous faire le coup de l’ingérence et de l’hégémonisme. L’Occident doit éviter – par tous les moyens – que de nouveaux Khomeiny, chiites et sunnites, ne viennent polluer l’Afrique du Nord, le Proche et le Moyen Orient ».

Neuf mois plus tard, en octobre 2011, j’écrivais : « Un résistant est quelqu’un qui a peur de son adversaire parce que son adversaire a tout simplement de quoi faire peur. Mais ce même résistant, en dépit de sa peur, choisit quand même de résister. Résister, ce n’est pas ne pas avoir peur. Résister, c’est transcender sa peur, c’est aller au-delà de sa peur. Ceux qui avaient la phobie, donc la peur du nazisme, avaient deux choix possibles : devenir des collabos capitulards ou résister. Je choisis de résister, en reconnaissant que la peur est l’une des motivations de ma résistance ; mais la peur n’est ni ma seule motivation, ni ma principale motivation ».

« L’autre motivation – beaucoup plus importante – est le refus de perdre ma liberté d’expression et de perdre ma liberté d’opinion. Le refus de renoncer à la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne. Le refus d’adhérer à une société qui se prétend, soi-disant, laïque, mais qui, néanmoins, pratique l’islamisation de la question religieuse. En clair, je défends, à la fois, la laïcité et la société libre, avec son indéniable héritage culturel judéo-chrétien. L’on peut dire que c’est là une opinion conservatrice, une opinion de droite. L’on ne peut pas – et cependant certains le font – alléguer que c’est là une opinion extrémiste ou raciste ». Voilà ce que j’écrivais en 2011.

A propos de celles et ceux qui incarnent les résistants de notre époque, l’avocat et essayiste Gilles-William Goldnadel a tout récemment écrit dans le Figarovox (extraits ; voir lien vers source en bas de page) : « C'est un professeur de collège visé par une fatwa pour avoir osé jeter un regard critique sur l'islam. C'est un journaliste du service public placardisé qui a osé s'en prendre à la mainmise gauchisante sur sa station. C'est un écrivain licencié pour avoir dit sa crainte de prendre le métro à certaines heures du soir. C'est un magistrat qui refuse une plus grande sollicitude pour les jeunes délinquants que pour les vieilles victimes, qui se verra privé d'avancement ».

Gilles-William Goldnadel : « C'est un musulman pratiquant qui milite pour l'ouverture d'une religion fermée et qui risque sa vie. C'est un juif qui refuse le dénigrement obsessionnel et criminogène d'Israël et qui sera exclu du débat médiatique. C'est un chrétien de France qui se bat contre l'arrachage des racines spirituelles de son pays et qui, moqué et méprisé, sait ce que signifie le mot désespérance ».

Gilles-William Goldnadel : « C'est un chanteur qui risque sa carrière pour refuser de marcher au pas cadencé des faux rebelles unanimistes, ou un cinéaste qui va avouer ne pas partager l'engouement extatique pour un misérabilisme cannois finement pailleté. C'est un intellectuel qui refuse l'obsession raciale pathologique d'un antiracisme de pacotille qui empêche toute analyse objective des rapports humains et que l'on va classer extrêmement à droite sur des listes soigneusement tenues à jour par la presse résistante et de progrès ».

Gilles-William Goldnadel : « C'est un historien qui va aborder l'histoire de l'esclavage autrement que dans le cadre de la traite transatlantique et qui pour cela fera l'objet d'une pétition et d'une menace de procès. C'est un simple citoyen qui va avouer ne pas avoir honte d'être blanc, catholique et hétérosexuel et même envisager l'organisation d'une « French Pride » , rien que pour faire bisquer les ligues de vertu. C'est un homme politique qui va être ostracisé parce qu'il ose dire non au chantage compassionnel du déferlement irrésistible et mortel d'une immigration incontrôlée ».

Gilles-William Goldnadel : « Tous ces résistants- là risquent la mort civile, quand ce n'est pas la mort physique. Et pourtant ils aiment la vie. Ce ne sont pas des démagogues, ils ne craignent pas l'impopularité et ne sont pas obsédés par les sondages. En rien romantiques, ils ne confondent pas la poésie et la politique. Ils ne crient pas « indignez-vous » ! De toute manière, on ne les écoutera pas autant qu'un ancêtre suprême embaumé de son vivant par les iconoclastes appointés. Ils ne se prennent pas pour Guy Moquet, ils ne sont ni dans l'imposture, ni même dans la posture. Mais ils avancent en marchant droit », conclut Gilles-William Goldnadel (fin des extraits ; voir lien vers source en bas de page).

Qui sont les résistants de notre époque ? Vaste question… Le problème réside notamment dans ce que j’appelle « le paradigme inversé ». La migration mahométane de peuplement, par exemple, ce sont, évidemment, tous des victimes. Et nous autres, qui n’en voulons pas, nous sommes, forcément, tous des méchants. De méchants résistants…

Michel Garroté, 3 juin 2015

Source :

http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2015/06/01/31003-20150601ARTFIG00232-gilles-william-goldnadel-qui-sont-les-resistants-de-notre-epoque.php