Italie : une statue de la vierge décapitée et démembrée par un réfugié Palestinien de 31 ans

Aux premières heures de la nuit dernière, la statue de la Vierge de la Piazzale Giovannacci à Marghera a fait l’objet d’un acte de vandalisme: la tête a été décapitée et les mains du monument coupées . […]

Grâce au système de vidéosurveillance, le responsable du geste a été identifié, interpellé et mis à la disposition des autorités judiciaires. Il s’agit d’un Palestinien de 31 ans qui détient un titre de voyage pour réfugié délivré par la Belgique. […]

Il Gazzettino

Via Fdesouche

Finlande : une jeune femme tuée par son petit ami, un requérant d’asile musulman.

Dans plusieurs messages attribués à cette jeune femme, il apparaît qu'elle est très à gauche, qu'elle considère "les hommes blancs comme de la merde".


Dans la nuit du 21 janvier, le "Palestinien" Hasan A. a assassiné sa petite amie à Hämeenlinna. La femme aurait tenté de rompre, ça a été sa condamnation à mort. Par le passé, la jeune femme a milité pour l'accueil des migrants et a exprimé son mépris des hommes autochtones.

Les voisins ont alerté la police après avoir constaté qu’une grande quantité de sang se soit répandue sous la porte de l'appartement.

La Finlande est régulièrement secouée par des crimes relationnels similaires impliquant des immigrants arabes.

 

 

Jusqu'à présent, il semble que l'affaire soit étouffée en Finlande. La police ne veut pas divulguer d’informations avant le début de la semaine prochaine, jusque-là elle fait profil bas. Les rares informations proviennent de MTV Finland et de recherches émanant de sites alternatifs.

Selon cette source, le prétendu Palestinien aurait déjà reçu une décision d'asile négative.

 

 

 

 

Photos émanant du compte Facebook d'Hasan A.

 

 

 

Cette jeune femme, qui a perdu la vie sans raison, s'appellerait Sanni O., son âge n'est pas connu.

Si l'on se base sur les photos disponibles, elle devait avoir une vingtaine d'années. Comme beaucoup de jeunes, Sanni était active dans le mouvement d'ouverture des frontières et d'accueil des migrants.

Hormis de nombreux messages politiques, elle aurait systématiquement fait des remarques particulièrement désobligeantes à l'égard des hommes autochtones.

 

Le compte Twitter d'Hasan A. avec la photo du Hamas.

 

La victime a peut-être été décapitée

Quand un voisin a vu du sang jaillir sous la porte d'entrée de l'appartement, il a appelé la police. Celle-ci a fait une découverte macabre. Sanni O. avait été assassinée, son assassin se serait suicidé sur les lieux. La rumeur locale prétend que la femme a été décapitée. Toutefois, la police n’ayant pas encore publié d’informations, cela n’a pas pu être confirmé.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Wochenblick.at / Nationalfile.com / Extra.cz / Ntvuutiset.fi

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Suisse : un Palestinien, dealer et interdit de séjour dans notre pays, s’en était pris à un Israélien

Un natif de Gaza, dealer et interdit de séjour dans notre pays, s'en était pris à un touriste dans le train Fribourg-Lausanne.

Le Palestinien a saisi le livre et la bouteille d’eau de l'Israélien, les a lancés au bas de l’escalier, puis s’est emparé de sa kippa qu’il a piétinée avant de la jeter dans une poubelle. Ensuite, il y a eu des coups portés sur tout le corps. Les lunettes d’Israël ont été cassées et sa montre volée. Mohamed lui a aussi indiqué par geste sa volonté de l’égorger. Il a du reste fait de même avec une passagère, témoin de l’altercation.

(...)

20Minutes.ch

Nos remerciements à Wilhelm

Presque tout sur Israël mais pas tout

   
Le président américain Barack Hussein Obama a renoncé à tout effort visant à pousser Israël à agir concernant le "processus de paix" (bloqué par les palestiniens), ont déclaré des responsables américains, précisant qu’Obama évitera une dernière rencontre avec le gouvernement israélien avant son départ, le 20 janvier 2017, de la Maison Blanche.
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J'en profite pour signaler ou rappeler (voir source en bas de page) qu'Israël est la 8ème puissance mondiale : Israël détient le record de la plus forte concentration de start-ups dans le monde, après la Silicon Valley. D’après le magazine américain US World Report & News, Israël est aujourd’hui la 8ème puissance mondiale. Israël est l’un des rares pays au monde à avoir atteint le plein-emploi en 2015 : moins de 5,3% de la population est au chômage. Israël est le seul pays où Starbucks a échoué son introduction au marché israélien, car pour la plupart des israéliens, il n’y a pas meilleur que les cafés servis dans les boutiques locales, comme Aroma ou Cafe Cafe.
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Depuis au moins 2 ans et pour toutes les innovations à venir, 100% des produits Apple intègrent des recherches et des technologies en Israël. Jérusalem est la première ville au monde à être entièrement couverte par du Wi-Fi. 12 israéliens ont déjà remporté un prix Nobel, dont 10 sur les vingt dernières années : 6 en chimie, 3 Nobel de la paix, 2 de l’économie et 1 de littérature. En juin 2013, Google rachète Waze, la célèbre application israélienne de GPS, pour 1,15 milliard de dollars. Tel-Aviv a été élue 9ème ville balnéaire du monde par National Geographic. L’espérance de vie d’un israélien est l’une des plus élevées au monde : 81,6 ans.
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Israël est le seul pays au monde à avoir instauré le service militaire obligatoire pour les femmes. Il y a plus de 40 McDonalds certifiés cacher en Israël. Le seul de ce type en dehors de l’Etat Juif se situe à Buenos Aires, en Argentine. L’équipe de basket du Maccabi Tel-Aviv fait partie des meilleurs clubs au monde. Elle a remporté l’EuroLeague 5 fois. Israël est le seul pays du globe à avoir accru le nombre d’arbres sur sa terre au 21e siècle. Grâce à Taglit, chaque jeune juif, âgé de 18 à 26 ans, a la possibilité de faire un voyage de découverte de 10 jours en Israël gratuitement. Et vous savez quoi ? Innovation de taille : il existe des glaces au houmous en Israël (voir source en bas de page).
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A propos d'Israël, le Pasteur Gérald Fruhinsholz écrit notamment (voir source en bas de page) : Fin novembre 1947, le plan de partage de la Palestine est approuvé par l’Assemblée Générale de l’ONU, à New York. Il propose le partage de la Palestine en deux États, l’un juif, l’autre arabe, Jérusalem devant être placé sous contrôle international. Alors que le plan est accepté par les dirigeants de la communauté juive, il est totalement rejeté par la totalité des Arabes, qui s’empressent de déclarer la guerre aux Juifs dès la création de l’Etat hébreu, le 14 mai 1948. La Jordanie occupera alors durant 19 ans (jusqu’à la guerre des six jours) Jérusalem et la Judée-Samarie, sans réaction des nations ; durant cette occupation arabe, le monde musulman ignorera Jérusalem.
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Le Partage est voté par 33 voix contre 13 avec 10 abstentions. L’ONU ne comptait alors que 57 membres contre 192 aujourd’hui. Le terrorisme a toujours accompagné l’histoire de l’Israël moderne. Il n’est pas lié aux « territoires » comme on veut le dire aujourd’hui. Le terrorisme préexiste à la naissance même de l’État d’Israël en 1948. Dans les années 1920-1921, une vague d’émeutes antijuives se déchaîna. Le massacre de la communauté juive de Hébron date de 1929 ; la révolte arabe de 1936-1939 fut l’occasion d’assassiner de nombreux Juifs. Le terrorisme arabe s’intensifia à la veille de la résolution 181 des Nations Unies du 29 novembre 1947 qui officialisait la partition du territoire. Ce fut en fait véritablement le début de la guerre dite Guerre d’Indépendance. Le rejet arabe du plan de partage ne se limita pas à un acte politique.
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Les Arabes de la Palestine mandataire ont lancé une campagne terroriste à grande échelle contre leurs voisins juifs, suivie par l’invasion d’Israël par cinq armées arabes qui voulaient le détruire, dès que fut proclamée son indépendance, le 14 mai 1948. La population juive se défendit contre le projet des Arabes : « jeter les Juifs à la mer », au prix élevé de près d’1% de sa population totale tout en subissant les dommages importants causés au tout nouvel Etat. La population arabe locale a également souffert en raison du refus d’accepter le plan de partage. Plusieurs ont cédé aux appels de leurs dirigeants à fuir, d’autres se sont fait prendre au combat.
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La majorité de la population arabe restée en Israël a opté pour un statut citoyen à part entière, bénéficiant de droits égaux à ceux des citoyens israéliens. Néanmoins, le problème des réfugiés palestiniens est alors créé artificiellement, entretenu par les dirigeants arabes et palestiniens jusqu’à ce jour. Le problème des réfugiés juifs, qui lui est comparable, a cependant été résolu, lui, par l’Etat d’Israël naissant. À la fin de la guerre, l’Egypte disposait du contrôle de la bande de Gaza et la Jordanie avait annexé la Cisjordanie. Sans pour autant jamais juger bon d’établir un Etat palestinien dans le territoire qu’ils ont pourtant contrôlé pendant 19 ans, ajoute le Pasteur Gérald Fruhinsholz (voir source en bas de page).
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Michel Garroté
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http://www.tribunejuive.info/israel/un-texte-jouissif-israel-8eme-puissance-mondiale
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http://www.shalom-israel.info/?p=5559
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Affrontements entre parrains du Fatah

   
Michel Garroté - Commençons tout de même par rappeler que Mahmoud Abbas (du Fatah palestinien) est l'ennemi idéologique N.1 d'Israël. Abbas (alias Abu Mazen) fait semblant de reconnaître qu'Israël existe, tout en ne reconnaissant pas le droit d'Israël à exister. Et notons aussi, en passant, que le président américain Barack Hussein Obama (très, très pro-palestinien) a renoncé à tout effort visant à pousser Israël à agir concernant le "processus de paix", bloqué par les palestiniens.
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C'est ce qu'ont déclaré, jeudi 1er décembre 2016, des responsables américains, précisant qu’Obama évitera une dernière rencontre avec le gouvernement israélien avant son départ, le 20 janvier 2017, de la Maison Blanche. Continuons en signalant que le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a fustigé "l’élection" (scandaleuse !) du terroriste palestinien Marwan Barghouti  -  emprisonné à vie en Israël  -  au Comité central du Fatah, lors de la Convention (houleuse) du parti.
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A ce propos, C. Jacob, chargé de recherche à MEMRI, écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le 29 novembre 2016, le Septième Congrès général du Fatah s’est tenu au quartier général de l’Autorité palestinienne à Ramallah, trois ans après la date prévue par le règlement du mouvement. La date du Congrès n’est pas une coïncidence ; c’est le 29 novembre 1947 que l’ONU a adopté son Plan de partition de la Palestine, et en 1977, cette date a été déclarée par l’ONU comme la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien. Le Congrès intervient alors qu’Abbas affronte une pression grandissante de certains éléments palestiniens et des pays du Quartet arabe menés par l’Egypte, en vue de lui désigner un adjoint ou un successeur, pour deux raisons principales : tout d’abord, pour qu’il n’y ait pas de vide politique le jour où il disparaîtra de la scène, et ensuite, pour empêcher le Hamas d’obtenir le contrôle de l’Autorité palestinienne (AP).
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Selon la loi, en effet, le président du Conseil législatif palestinien (CLP) est le suppléant en cas d’incapacité du président, et cette fonction est actuellement remplie par Aziz Duwaik du Hamas. Cette pression s’est manifestée par le soutien de l’Egypte aux réunions tenues sur son sol par les partisans de l’amer rival et potentiel successeur d’Abbas, Dahlan, et par les demandes présentées à Abbas par le secrétaire général de la Ligue arabe Ahmad Abou Al-Gheit et les anciens secrétaires généraux Amr Moussa et Nabil Al-Arabi, lors d’une visite à Ramallah, pour qu’Abbas accepte la proposition du Quartet de désigner un successeur et d’accepter une réconciliation au sein du Fatah, demandes qu’Abbas a entièrement rejetées.
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Afin de promouvoir une telle réconciliation, les Egyptiens ont accepté d’accueillir toutes les factions palestiniennes au Caire, après leur rencontre avec des représentants du Djihad islamique palestinien, au début novembre 2016. Des représentants haut-placés du Fatah ont affirmé que le Septième Congrès général du Fatah pourrait choisir un adjoint à Abbas uniquement en tant que président du Fatah, et qu’il n’était pas habilité à désigner un adjoint pour ses autres fonctions en tant que président palestinien ou chef de l’OLP. Le membre du Conseil révolutionnaire du Fatah Amin Maqboul a expliqué : « Selon le règlement du Fatah, un adjoint au président du mouvement doit être choisi parmi les membres du Comité central. Cela n’a rien de nouveau ».
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Le membre du Comité central du Fatah Azzam Al-Ahmad a déclaré : [Selon le règlement,] le président du mouvement a un adjoint. Dans ces conditions, pourquoi est-il nécessaire de soulever ce sujet alors que c’est stipulé dans le règlement ? Aujourd’hui, Abou Maher Ghneim est le président adjoint du mouvement, et avant lui, à l’époque du président martyr Yasser Arafat, c’était Khalil Al-Wazir Abou Jihad ». Le Secrétaire général du Comité exécutif de l’OLP Saeb Erekat a également déclaré qu’Abbas avait besoin d’un adjoint : « Le président Arafat est décédé sans avoir d’adjoint, et le Comité exécutif de l’OLP a choisi Abbas comme président ; le Comité central du Fatah s’est réuni et a choisi Abbas [comme dirigeant du mouvement] ; et le peuple est allé aux urnes et a choisi Abbas comme président de l’AP ».
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Si le Fatah avait déjà parlé de tenir la conférence cette année, c’est Abbas qui a décidé de manière impromptue, début novembre, qu’elle devait avoir lieu ce jour-là, dans l’intention d’en profiter pour écarter totalement Dahlan du mouvement. Dahlan, de son côté, a tenté, avec le soutien du Quartet arabe, d’empêcher ou de repousser la conférence, mais sans succès. En outre, ses partisans ont par la suite été éliminés de la liste des participants. Mais ce n’est qu’une victoire temporaire pour Abbas, qu’il doit à l’AP. Ayant agi contre la volonté du Quartet, il devra en payer le prix dans ses relations avec les pays du Quartet, et notamment avec l’Egypte. Dans l’arène intérieure palestinienne, la tension des relations Abbas-Dahlan pourrait donner lieu à une rupture totale entre les deux camps, qui aggravera encore la situation des Palestiniens.
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Deux jours avant la conférence, l’associé de Dahlan, Sufyan Abou Zaida, a appelé tous les membres du Fatah qui avaient été éliminés à participer au Septième Congrès général pour élever la voix et protester contre l’injustice qui leur est faite, « afin que le mouvement ne leur soit pas dérobé ». Entre-temps, la rivalité entre Abbas et Dahlan s’est accrue, comme en témoignent les échanges d’accusations entre les deux camps, lors de la réunion tenue début novembre par les partisans de Dahlan dans le camp de réfugiés d’Al-Amari près de Ramallah, et le harcèlement des partisans de Dahlan par les appareils de sécurité de l’AP, qui a mené à de violents affrontements au cours desquels des gens innocents ont été tués.
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Afin de neutraliser Dahlan et ses supporters, Abbas a pris des mesures supplémentaires, dont l’arrêt du versement des salaires des employés de l’AP qui soutiennent Dahlan ; la réduction de la liste des participants au Septième Congrès général pour éliminer les hommes de Dahlan, comme indiqué, faisant passer le nombre des participants de 2'500 lors du précédent congrès à 1'400 ; l’autorisation demandée à un tribunal palestinien de retirer l’immunité des membres du CLP pour pouvoir viser les hommes de Dahlan au sein du CLP ; et l’ordre aux appareils de sécurité de procéder à des arrestations préventives au sein de leurs propres effectifs affiliés à Dahlan.
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Selon des représentants du Fatah, le Septième Congrès général devait débattre d’un projet politique et de l’impasse dans le processus politique ; des méthodes de combat contre Israël ; de la réconciliation Fatah-Hamas ; du règlement intérieur du Fatah et d’une autocritique au sein du mouvement, focalisée sur un bilan des réussites, les conclusions à tirer des erreurs commises et sur l’apport de sang neuf au sein de la direction du mouvement. Les conflits au sein du mouvement ont contribué à diminuer les attentes à l’égard du Congrès. Plusieurs officiels du Fatah ont affirmé que sa seule tenue était en soi une réussite.
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Pour eux, maintenir Dahlan et ses partisans au dehors et repousser les tentatives de la moitié des pays arabes de le réintégrer au sein du Fatah, véhiculant le message que les Palestiniens sont maîtres de leur destin et que leurs décisions restent indépendantes, montrerait que le Congrès a atteint plusieurs de ses objectifs. Concernant le projet politique du Fatah, les officiels ont affirmé qu’il se focaliserait sur la poursuite de l’activité diplomatique pour isoler et délégitimer Israël et pour étendre la résistance populaire, conclut C. Jacob, chargé de recherche à MEMRI (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté pour lesobservateurs.ch
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http://www.memri.org/report/en/0/0/0/0/0/0/9580.htm
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http://www.memri.fr/2016/11/30/le-septieme-congres-general-du-fatah-se-reunit-a-lombre-de-laffrontement-entre-abbas-et-dahlan/
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“Prendre les armes nucléaires pakistanaises. Eliminer l’Etat Juif”

Israël-Mont-du-Temple-1

   
Michel Garroté - Dans une allocution consacrée au résultat des élections présidentielles américaines, allocution prononcée à la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem, le religieux palestinien Cheikh Abd Al-Salam Abou Al-Izz a déclaré (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La réaction des musulmans à la victoire de Trump était : 'Avec un peu de chance, il détruira les Etats-Unis et s’assoira sur leurs ruines. Puisse-t-il s’engager dans des guerres nucléaires, d’où les musulmans sortiront intacts'.
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Les choses ne se passent pas comme ça. Ce qui est censé arriver est que la Nation islamique émergera et prendra ses propres affaires en main. Elle doit prendre le contrôle et commander ses armées. Elle doit se débarrasser des gouvernements, des rois, des sultans, des cheikhs et des émirs. Elle doit les jeter dans les poubelles de l’Histoire. Peu importe si nous les pendons à une potence ou non. Ce qui importe, c’est que nous devrions les jeter dehors et avancer.
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Nous devrions prendre leurs armées et leurs armes. Nous devrions prendre les armes nucléaires pakistanaises de ces criminels et les utiliser au service de l’islam. Nous devrions prendre ces armées et éliminer l’Etat des Juifs, en une ou deux frappes, puis diffuser l’islam à travers le monde, a ajouté Abd Al-Salam Abou Al-Izz (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Question : pourquoi Israël ne jette pas en prison le nazislamiste palestinien de Jérusalem Al-Salam Abou Al-Izz ? Parce qu'Israël est un Etat de droit, un pays libre, une démocratie.
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.memri.fr/2016/11/24/le-religieux-palestinien-abd-al-salam-abou-al-izz-a-la-mosquee-al-aqsa-apres-la-victoire-de-trump-nous-devrions-prendre-les-choses-en-main-utiliser-des-armes-nucleaires-pakistanaises-pour-detruire/
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Post Scriptum : Une cérémonie a eu lieu, mardi soir, 29 novembre 2016, au Parlement britannique, pour marquer le 100e anniversaire de la Déclaration Balfour. Plusieurs législateurs britanniques et l’ambassadeur d’Israël à Londres, Mark Regev, ont participé à la cérémonie. C’est l’un des nombreux événements de l’année 2016 pour marquer le centenaire de la déclaration du Secrétaire britannique aux Affaires étrangères, Lord Arthur Balfour, en 1917. En septembre dernier, la Première ministre britannique, Theresa May, a souligné le fait que le Royaume-Uni et Israël marqueront bientôt le 100e anniversaire du soutien du Royaume-Uni à la création d’une maison nationale pour le peuple juif lors de la signature de la déclaration.
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Explosif – Succession de Mahmoud Abbas et guerre civile

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Michel Garroté - Y aura-t-il bientôt une guerre civile entre "palestiniens" ? Ceux-ci n'en ont-ils pas assez de leurs dirigeants répressifs et corrompus ? Le Fatah -- groupe terroriste et parti du "président palestinien" Mahmoud Abbas (alias Abou Mazen), qui ouvre, mardi 29 novembre 2016, son premier Congrès depuis sept ans -- ce Fatah est au coeur des institutions palestiniennes (extraits adaptés et remaniés ; voir liens vers sources en bas de page) : le point d'orgue du Congrès --  qui va accueillir 1.400 membres -- sera l'élection, à partir de vendredi 2 décembre 2016, de ses instances dirigeantes : 1- le Conseil révolutionnaire -- 80 gangsters élus et une quarantaine de gangsters nommés. 2- Et le Comité central -- 18 gangsters élus et quatre gangsters nommés par le "président".
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Ses résultats donneront une idée du poids politique des différents courants au sein du Fatah, en proie à des divisions internes. Le Fatah au sein duquel Abbas -- un homme corrompu, vieillissant (81 ans) et affaibli par la contestation populaire et interne -- tente d'écarter les voix dissonantes, notamment les partisans de Mohammed Dahlane, son principal opposant, qui vit un exil doré aux Emirats Arabes Unis (EAU).
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A noter qu'actuellement la question palestinienne est reléguée à l'arrière plan diplomatique, d'une part, en raison des autres crises dans le monde (Syrie, Irak, Donbass, Yémen, etc.) ; et d'autre part, à cause de la division entre, d'un côté, "l'Autorité palestinienne" qui contrôle une partie des territoires disputés de Judée-Samarie ; et d'un autre côté, le Hamas terroriste qui tient la bande de Gaza, ce qui empêche la tenue d'élections depuis dix ans.
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Le Fatah :
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Le Fatah est la colonne vertébrale de l'OLP et il contrôle depuis 1994 "l'Autorité nationale palestinienne" (ANP), cantonnée depuis 2007 aux territoires disputés de Judée-Samarie. Ce Congrès, où la succession de Mahmoud Abbas sera au coeur des discussions, est le septième depuis la création du Fatah, en 1959, par le terroriste égyptien Yasser Arafat. Le Congrès doit élire un nouveau Comité central de 22 gangsters et plus de 120 gangsters du Conseil révolutionnaire, "Parlement" du parti.
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Le Fatah est la principale composante de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), composante créée en 1964, regroupant alors les principaux mouvements palestiniens et "reconnue" en 1974 par l'Assemblée générale de l'ONU et par la Ligue arabe comme "l'unique représentant légitime du peuple palestinien". Le comité exécutif de l'OLP est la seule instance habilitée à prendre les décisions engageant les Palestiniens, notamment dans le cadre du processus "de paix" avec Israël. Tout changement au sein du Fatah aura donc une incidence sur l'OLP, instance la plus importante pour les Palestiniens puisque c'est elle qui chapeaute "l'Autorité palestinienne", qui elle, n'est qu'une entité "intérimaire".
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L'OLP et l'ANP :
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Mahmoud Abbas dirige l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP) depuis novembre 2004 ; en clair, depuis la mort d'Arafat. L'OLP chapeaute l'Autorité Nationale Palestinienne (ANP), qui siège à Ramallah (dans les territoires disputés de Judée-Samarie). Cela dit, douze autres mouvements (avec autant de voix dissonantes) font partie de l'OLP. Mais le Fatah reste le principal décisionnaire dans cette organisation que le Hamas et le Jihad islamique -- les deux mouvements terroristes qui contrôlent la bande de Gaza -- n'ont jamais rejointe.
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Mahmoud Abbas a pris en janvier 2005 la suite de Yasser Arafat à la présidence de l'ANP. Celle-ci exerce ses pouvoirs sur 40% des territoires disputés de Judée-Samarie et Israël conserve 60% de ces territoires. L'ANP exerce théoriquement, et seulement théoriquement, ses pouvoirs sur la bande de Gaza, en réalité exclusivement aux mains du Hamas. L'ANP est chargée de cinq millions de Palestiniens vivant dans les territoires disputés tandis que l'OLP se veut "représentative" de tous les Palestiniens du monde (12 millions).
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Le Hamas :
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Le Hamas (qui est à la fois un mouvement terroriste, une branche des Frères musulmans et une entité financée par le Qatar), fondé en 1987 et opposé aux accords d'Oslo, n'appartient pas à l'OLP. Le Hamas a pris le contrôle de la bande de Gaza en 2007, au prix de combats meurtriers avec le Fatah, et, après s'être vu privé de sa victoire aux législatives de 2006. Le Hamas supplante, à Gaza, au Parlement de l'ANP (dit 'Conseil législatif') d'Abbas. Depuis 2007, l'ANP est cantonnée aux territoires disputés de Judée-Samarie, son Parlement ne siège plus et le mandat d'Abbas, "expiré" en 2009, est "prorogé" faute d'élections.
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Aucune élection générale ne s'est tenue dans les Territoires palestiniens depuis 2006. Le Hamas avait accepté de participer à des municipales prévues début octobre, mais elles ont été reportées. Les divisions Fatah / Hamas ont fait capoter trois accords de "réconciliation" entre Palestiniens depuis 2011. Mahmoud Abbas a rencontré, fin octobre 2016 à Doha (Qatar), le terroriste palestinien du Hamas -- en exil plus que doré chez les Qataris -- Khaled Mechaal (il est le véritable chef du Hamas), pour la première fois depuis deux ans. Parallèlement, face à l'impasse du processus de paix (à cause des exigences palestiniennes), Mahmoud Abbas a obtenu, en novembre 2012, le statut -- purement symbolique -- "d'Etat" observateur à l'ONU pour la "Palestine" (fin des extraits adaptés et remaniés ; voir liens vers sources en bas de page).
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Le Conseil révolutionnaire, le Comité central, l'OLP (avec ses douze mouvements), le Fatah, le Hamas, le Parlement de l'ANP (dit 'Conseil législatif') : avec toutes ces entités maffieuses et corrompues, comment les "palestiniens" (je préfère dire : les arabes locaux) peuvent-ils encore espérer quelque chose ?
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.lalibre.be/dernieres-depeches/afp/le-fatah-au-coeur-des-institutions-palestiniennes-583d5006cd703561307855a3
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http://www.dhnet.be/dernieres-depeches/afp/congres-du-fatah-pour-renouveler-le-plus-vieux-parti-palestinien-583d5071cd70a4454c070504
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Le mythe palestinien

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Michel Garroté - Dans une longue analyse "politiquement incorrecte" intitulée "L’Europe, frappée d’amnésie" (voir lien vers source en bas de page), le politologue et diplomate Zvi Mazel étudie la destinée du peuple juif en Europe, en Afrique du Nord et au Moyen Orient. Il se penche également sur le sort des chrétiens et sur l'attitude anti-israélienne de l'Europe. Ci-dessous, je reproduis la partie sous-titrée "Le mythe palestinien" (sous-titre "politiquement très incorrect"). J'ajoute que ce faisant, je ne revendique aucune objectivité. Je considère que Zvi Mazel est objectif, correct et lucide. Mais pour ce qui me concerne, je préfère écrire clairement que je suis ouvertement pro-israélien, certains diront même que je suis "sioniste" et cela ne me dérange pas le moins du monde.
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Or donc, le politologue et diplomate Zvi Mazel écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Pourquoi les Juifs devraient-ils accepter le diktat des Arabes qui veulent dominer tout le Moyen-Orient ? La terre d’Israël a toujours été au sommet de leurs aspirations culturelles et religieuses. C’est l’espoir du retour sur sa terre qui a permis au peuple juif de survivre et de conserver son identité. La présence juive en Eretz Israël a été constante, et ce même après la conquête arabe de l’an 640 qui a durement frappé la communauté juive forte, à l’époque, de 500 000 âmes : beaucoup ont été tués ou convertis de force quand d’autres ont fui.
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Jusqu’au milieu du XVIIIe siècle, on comptait ainsi de nombreux juifs répartis dans plusieurs villes de Galilée, comme Safed et Tibériade mais aussi à Jaffa et à Jérusalem, ainsi qu’en attestent les écrits de nombreux pèlerins juifs et chrétiens venus en Terre sainte. On retrouve également les témoignages de cette présence ininterrompue dans les archives de l’Empire ottoman relatant l’existence d’un impôt dont chacun devait s’acquitter en fonction de son appartenance religieuse.
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Mais dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, les vexations incessantes et les pogroms de la part de leurs voisins arabes ont contraint les juifs de Galilée à partir. Beaucoup de villages arabes de Galilée étaient ainsi, à l’origine, des villages juifs dont les habitants ont été expulsés pour laisser la place aux Arabes. On retrouve leurs noms aussi bien dans la Bible que dans le Talmud, et même dans le Nouveau Testament. Tous les efforts des juifs pour retourner en Israël avant l’apparition du sionisme ont échoué car ils n’avaient ni soutien politique ni soutien militaire.
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Quid du mot « Palestine » ? Ce terme a été inventé par l’historien grec Hérodote au Ve siècle avant l’ère vulgaire pour décrire une partie d’Israël alors habitée par les Philistins d’origine grecque, installés là durant le second millénaire avant l’ère vulgaire et qui ont ensuite été chassés ou ont choisi de partir. L’empereur Hadrien, après avoir réprimé la révolte de Bar Kokhba en 132 après J.-C., et tué environ 1,5 million de juifs de Judée, a décidé d’oblitérer à jamais le nom de « Judée » et de lui donner son appellation grecque.
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Quoi qu’il en soit, le mot Palestine n’a jamais fait référence à une quelconque entité définie sinon la terre des Juifs. En atteste le vocabulaire des antisémites européens de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle qui avaient l’habitude de dire aux juifs : « Retournez chez vous en Palestine ! » Ainsi la Palestine n’est-elle pas mentionnée dans le Coran tout simplement parce qu’elle était connue comme juive. Les conquérants arabes n’ont même jamais songé à y établir un pays, et il aura fallu attendre la seconde moitié du XIXe siècle pour que des Arabes s’installent en masse dans le pays, attirés par les perspectives d’emploi offertes par le mouvement du yichouv. Ils sont alors arrivés par dizaines de milliers sur la terre d’Israël, toujours appelée Palestine, venus du Maghreb, d’Egypte, de la péninsule arabique et de Syrie.
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Tels sont les faits qui concernant la non-histoire du soi-disant peuple palestinien, des faits connus et incontestés jusqu’au tournant de la guerre des Six Jours : c’est à ce moment que les Arabes ont commencé à se nommer eux-mêmes « Palestiniens » et à revendiquer « des droits historiques sur la terre ». Au départ, personne n’a pris ces allégations sérieusement jusqu’à ce que cette rhétorique soit adoptée par la propagande arabe qui en a fait son arme principale. Lentement, la gauche libérale israélienne en est elle-même venue à accepter cette définition, motivée par la fausse croyance que cela encouragerait les Arabes à faire la paix. Dans les faits, cette erreur monumentale n’a aidé qu’à déformer la situation.
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Beaucoup d’Européens ont repris ce fantasme à leur compte au mépris de la Bible et de l’histoire, et se sont convaincus qu’Israël a conquis de larges parcelles de terres, propriétés d’un Etat palestinien imaginaire et d’un ancien peuple palestinien tout aussi imaginaire. Personne ne veut se souvenir que le conflit israélo-arabe est né des conquêtes islamiques et du nationalisme arabe qui a toujours dénié toute légitimité à un Etat juif en terre d’Israël.
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Nul besoin de préciser que dans ce contexte, les Arabes ont constamment refusé toutes les solutions qui leur étaient proposées, comme le démontre le siècle écoulé depuis la déclaration Balfour. Les compromis proposés par Israël ont été rejetés l’un après l’autre, sans que les Arabes ne fassent jamais de contre-propositions, puisque cela implique d’accepter que l’Etat juif soit là pour rester. Il suffit de regarder les livres d’histoire pour réaliser que les conquêtes islamiques et l’occupation du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord ont toujours mené à la destruction et qu’Israël n’est pas la racine du problème.
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Malheureusement, l’Europe n’est pas intéressée par les faits historiques. Elle s’entête à poursuivre le dénigrement systématique d’un Etat d’Israël confronté à la menace d’un monde arabe voué à le détruire. L’Europe confère aux Arabes la légitimité qu’elle refuse à Israël, et ne comprend pas qu’en faisant cela elle perpétue le conflit, semant les graines de toujours plus de guerres et menaçant sa propre existence, conclut le politologue et diplomate Zvi Mazel (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.jpost.com/Edition-Francaise/International/LEurope-frapp%C3%A9e-damn%C3%A9sie-473151
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© Jerusalem Post Edition Française
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Zvi Mazel : Born in Israel in 1939, graduate in Political Science and International Relations of the Institute of Political Science, University of Paris – 1966. Former diplomat in the Israeli ministry for Foreign Affairs 1966 – 2004. Served in various functions among them Deputy Director General in charge of African Affairs, Director of East Europe division, Director of Egypt and North Africa division in the research center of the Ministry. Was ambassador of Israel in Romania, Egypt, and Sweden. Retired in 2004 he monitors Arab Affairs. Since 2006 fellow of the Jerusalem Center for Public Affairs – a think tank specializing in Security and Foreign Affairs of Israel and publishes a weekly column. Was the Center's editor of its website in Arabic. Mazel is a regular contributor to the Jerusalem Post.
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Un policier danois poignardé par un réfugié palestinien

Un policier a été grièvement blessé à l'arme blanche mardi dans le plus grand centre d'accueil des demandeurs d'asile du Danemark, provoquant l'interpellation d'un homme d'origine palestinienne.

La victime, poignardée à plusieurs reprises dans le ventre, était dans un état critique mais stable après une opération, a indiqué la police. Une enquête a été ouverte pour "tentative d'homicide", a-t-elle ajouté dans un communiqué. L'homme interpellé est un apatride d'origine palestinienne né en 1990, et qui était sur le point d'être expulsé vers un pays qui n'a pas été précisé.L'agression a eu lieu dans la nuit dans une ancienne caserne appelée Sandholm, à Birkerød (est), reconvertie en centre d'accueil pour les demandeurs d'asile, et entourée d'un cordon de sécurité mardi. Quelque 600 personnes y logent actuellement, dont des demandeurs d'asile qui viennent d'arriver dans le pays, et d'autres dont la demande a été rejetée.Au moins 17.700 migrants sont entrés sur le territoire danois depuis le 6 septembre, dont la plupart ont l'objectif de continuer leur chemin vers la Suède voisine, plus généreuse avec les demandeurs d'asile.

Une centaine de personnes demandent chaque jour l'asile au Danemark depuis trois semaines, selon les services de l'immigration.

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