Les Palestiniens parmi les plus obscurantistes

 

Selon l’enquête de l’Institut Piew publiée en 2013, les habitants de Gaza et de la Cisjordanie ont l’une des visions les plus fanatiques de l’islam. Les nouveaux alliés avec qui ils manifestent chaque jour n’en ont cure.

On savait les Palestiniens sous l’emprise de l’islam. La glorification de leur Dieu pour la sauvagerie sanglante du 7 octobre l’a une fois de plus montré. L’Institut Piew qui avait exploré les convictions de la population de Gaza et de la Cisjordanie en 2013 le confirme.

Le Syrien d’origine Omar Youssef Souleimane rappelait récemment dans Causeur: «On grandit dans la haine d’Israël et de tous les juifs. Le mot «juif» est une insulte.»

Les conséquences du 7 octobre représentent une fête ininterrompue pour toutes les officines intégristes. Tous ont eu la Palestine (pays qui n’existe pas) en ligne de mire dès leur enfance.

Les promesses de l’islam

Les  Palestiniens soutiennent la version la plus fanatique de l’islam, qu’il s’agisse des châtiments physiques, du statut des femmes ou du rôle politique de l’islam .

L’avortement n’est pas acceptable pour 77%
33% pensent que les crimes d’honneur (qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme) sont souvent ou quelquefois justifiés.

L’isolement ou l’absence de progrès technologique ne sont pas en cause: 81% possèdent  un téléphone portable, la moitié utilisent internet, beaucoup voguent sur les réseaux sociaux.

Religion et politique

On ne s’étonnera donc pas que 89% des Palestiniens souhaitent que la charia soit la loi officielle de leurs territoires.
82% sont complètement ou le plus souvent d’accord que les musulmans doivent tenter de convertir les autres. En revanche, on sait que l’inverse est partout sévèrement sanctionné.
Parmi ceux qui sont favorables à la charia, 39% considèrent que cette loi doit s’appliquer tant aux musulmans qu’aux autres citoyens.

La connaissance de Descartes n’étant pas un prérequis parmi les sondés, 85% se déclarent satisfaits que les membres d’autres religions puissent la pratiquer chez eux et plus de la moitié préféreraient la démocratie à un leader à poigne.

Les attentats suicides contre des civils ou d’autres violences sont-ils souvent ou parfois justifiés pour défendre l’islam? Les Palestiniens arrivent en tête de l’enquête avec 49%.

Les femmes

  • 89% sont d’accord qu’une femme doit toujours ou le plus souvent obéir à son mari.
    81% sont opposés au mariage d’une musulmane avec un non-musulman.
    51% estiment qu’il faut favoriser les fils dans l’héritage.
    Les femmes ne doivent pas avoir le droit de divorcer affirment 57%.

44%, des hommes considèrent que ce sont aux femmes de décider si elles veulent porter le foulard, 61% de femmes veulent décider elles-mêmes.

Est immoral

  • Le sexe hors mariage (93%), l’alcool (92%), le suicide (90% sauf pour les bombes humaines, 49%).
    L’avortement: 77%.
    La polygamie 20%, acceptable  48%.
    Est-il nécessaire de croire en Dieu pour être moral? Oui: 86%.

Le dessin d’illustration montre quelques autres convictions

La haine d’Israël fait des heureux

Les activistes de l’islam ont participé avec délice aux manifestations de soutien à leurs frères palestiniens et fréquenté avec ferveur les universités suisses occupées. Tous sont aimablement appelés «pro-Palestiniens» alors qu’«anti-Israéliens» leur conviendrait tellement mieux. Les victimes d’autres conflits leur sont indifférentes. Le sort des Iraniens, par exemple, les laisse de marbre.

Parmi les fiers soutiens, de l’occupation genevoise figurait Adel Mejri, responsable et membre de moult mouvements intégristes. Aux élections tunisiennes de 2019, il a été candidat d’Ennadha, mouvement des Frères musulmans.

Dans 24 Heures repris par la Tribune de Genève, Sylvain Besson met en lumière les idées du conseiller communal PS lausannois Mountazar Jaffar, Suisse d’origine irakienne. Assistant en sciences politiques à l’Université de Lausanne, il like des déclarations du guide suprême d’Iran, Ali Khamenei. Il «aime» même un post relayant une déclaration des talibans qui proposent d’envoyer 400’000 hommes en Palestine pour détruire Israël. De nombreux membres des corps professoraux soutiennent publiquement ces mouvements de fureur, voire de fanatisme.

On a cru au début du soutien islamo-occidental que les activistes scandaient «Palestine libre, de la mer au Jourdain» en ignorant qu’ils appelaient ainsi à la suppression d’Israël. Depuis que la signification est connue, le slogan résonne autant, sinon davantage.

À Genève, un drapeau du terroriste Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) a été déployé durant l’occupation de l’uni.

Le bal des foulards colorait les lieux des unis et les sectes LGBT participaient en rangs serrés à la fête. Pour ces «iels», les cartons de bienvenue à Gaza sont à l’impression.

En revanche, le 7 octobre et les otages ne figuraient sur aucune banderole, contrairement à l’imaginaire génocide qui dégoulinait de tous les murs.

Sur le même sujet:

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À Gaza, des restrictions pour voyager imposées aux femmes

A Gaza, une décision de justice récente fait débat. Les femmes ne peuvent pas quitter l’enclave côtière sans autorisation d’un tuteur.

Il est interdit « à une femme non mariée, qu'elle soit vierge ou non, de voyager sans permission d'un tuteur qui peut lui refuser de voyager en cas de préjudice », explique le texte de la décision signé par le président du Conseil suprême de la charia, Hassan al-Joujou. Par tuteur, il faut comprendre le père ou un frère, ou un autre parent plus agé, de sexe masculin. Cette autorisation devra être enregistrée au tribunal. Dans le libellé de la décision, on comprend aussi qu’une femme mariée doit avoir l’autorisation de son mari.

Cette mesure s’applique aussi pour les hommes non mariés, qui peuvent se voir refuser toute sortie si leur famille n’est pas d’accord. Ils n’ont pas besoin, comme les femmes, d’une autorisation obligatoire, mais si la famille n’est pas d’accord, elle peut le faire savoir au tribunal. Il faut toutefois préciser que la possibilité de « voyager » est très limitée à Gaza, sous blocus israélien et égyptien. Quitter la bande de terre côtière est un processus ardu, coûteux et extrêmement difficile.

(...)

Rfi.fr

Nos remerciements à Samantha Smith

 

Le cheikh palestinien Issam amira : “La décapitation du professeur de français est un grand honneur pour tous les musulmans”

L'érudit islamique palestinien Issam Amira a déclaré lors de ses cours hebdomadaires à la mosquée Al-Aqsa que c'était un grand honneur pour les jeunes Tchétchènes d'avoir décapité le professeur de français Samuel Paty, et que c'était également un grand honneur pour tous les musulmans.

Il a déclaré que le seul terrorisme autorisé selon l'islam est la "terrorisation des ennemis". La conférence a été publiée le 29 octobre 2020 sur la chaîne YouTube de Al-Aqsa Call.

 

 

Le cheikh Issam Amira : "L'islam n'a rien à voir avec le terme "terrorisme", sauf pour ce qui est de terroriser les ennemis. Le [Coran] dit : "Et préparez [pour lutter] contre eux tout ce que vous pouvez comme force et comme cavalerie équipée, afin d'effrayer l'ennemi d'Allah et le vôtre, et d'autres encore que vous ne connaissez pas en dehors de ceux-ci mais qu'Allah connaît." [NDLR : Coran, Surah Al-Anfal - 8:60]. Le terrorisme est donc un motif de préparation militaire. En d'autres termes, elle justifie les préparatifs militaires.

"Un jeune homme qui a défendu le prophète Muhammad..."

"Quand un musulman d'origine tchétchène a décapité un infidèle qui avait calomnié le prophète Muhammad, les gens ont appelé cela du "terrorisme"... C'est un grand honneur pour lui et pour tous les musulmans qu'un si jeune homme ait défendu le prophète Muhammad. Il est comme les hommes et les femmes qui, tout au long de l'histoire, ont défendu le prophète Muhammad, sa sainteté et son honneur. Tous ces termes sont révisés une fois que la parole d'Allah règne sur la parole des mécréants."

Les salafistes allemands célèbrent la terreur sur Facebook - pas de censure!

Mais même dans la région de la langue allemande, les musulmans sont impatients de fêter cela, et c’est là que l’on fait remonter le meurtrier musulman de Vienne :

 

 

Les "héros turcs" de Vienne

On se demande de plus en plus si les soi-disant "Héros de Vienne" offrent un signe d'espoir : Recep Gültekin, en particulier, est célébré par les médias et les politiciens comme une étoile dans le ciel multiculturel et l'un des "Héros de Vienne".

On dit souvent qu'il pensait différemment du massacre déclenché aux cris Allahu akbar sur la Breitscheidplatz et qu'il a fait savoir sur Twitter qu'il ne regrettait pas du tout "ce qui s'est passé à Berlin". Mais plus tard, il a regretté ce tweet et l'a supprimé. Taqīya ? Peut-être - du moins si vous regardez les tweets dont nous n'avons pas vérifié la véracité :

 

 

 

Traduction : Les "Héros de Vienne" sont des fascistes & islamistes turcs !

Recep Gültekin concernant l'attaque terroriste de 2016 à Berlin "Je ne regrette pas du tout ce qui s'est passé à Berlin" Mikail Özen fait le signe fasciste. Le Loups gris a son nom écrit sur une bombe!

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Philosophia-perennis.com

Israa Ghrayeb, 21 ans, tuée pour avoir posté une photo avec son fiancé avant leur mariage

Sur les réseaux sociaux, ils sont des centaines à demander justice pour Israa. À 21 ans, cette Palestienne est décédée dans des conditions suspectes le 22 août dernier. Originaire de Beit Sahour, au sud de la Cisjordanie, la jeune femme aurait été battue à mort par sa famille après avoir posté un selfie en compagnie de son fiancé. Elle est la dernière victime présumée de crime d’honneur.

Ce lundi 2 septembre, ils étaient une centaine à s’être réunis dans les rues de Ramallah pour demander justice pour Israa Ghrayeb. La jeune femme est devenue malgré elle le symbole de la lutte contre les crimes d’honneur, "Israa est comme ces centaines de Palestiniennes et comme ces milliers de femmes dans le monde arabe qui ont été tuées par des membres de leur famille ou leurs compagnons en raison du soi-disant honneur familial. On en a marre !", a expliqué, hors d’elle, Amal Khreishe, directrice d’une ONG, comme le rapportent nos confrères de RFI.

 

 

Si la famille d’Israa assure qu’elle a été victime d’un arrêt cardiaque, peu croient à cette version des faits. En effet, bien qu’une enquête soit actuellement en cours pour déterminer les circonstances du décès, l’affaire suscite une vague d’indignation sans précédent dans les territoires palestiniens occupés où nombreux sont ceux qui affirment que la jeune esthéticienne a été battue par sa famille après avoir posté un selfie avec son fiancé sur les réseaux sociaux, avant d’être de nouveau attaquée par son frère sur son lit d’hôpital, où elle serait décédée.

 

https://youtu.be/rh2u0SKzNH4

 

 

Une vidéo, devenue virale sur les réseaux sociaux, laisse entendre les cris stridents de la victime.

Pour l'ancienne ministre Majda al-Masri, présente au rassemblement devant le siège du gouvernement palestinien à Ramallah, "tout indique que c'est un meurtre", et de préciser, "Cette manifestation aujourd'hui n'est pas seulement pour que les auteurs soient poursuivis, mais aussi pour que le gouvernement assume ses responsabilités en promulguant la loi pour protéger les familles."

Pour Dima Tadrouz, 23 ans, l’Autorité palestinienne doit prendre des mesures au plus vite. "Il n’y a pas de loi qui protège les femmes et les adolescentes et ceux qui ont commis ce crime doivent être reconnus coupables sinon les femmes en Palestine ne seront pas en sécurité, car on ne se sent pas en sécurité quand il n’y a pas de loi qui tient les familles responsables de tels crimes."

 

En moyenne, chaque année, une vingtaine de femmes sont tuées, victimes de crimes d'honneur, dans les Territoires palestiniens.

Selon l'AFP, Majda al-Masri aurait demandé à Mahmoud Abbas, président palestinien, de modifier le code pénal jordanien, en vigueur en Cisjordanie, qui "considère encore la défense de 'l'honneur' comme une circonstance atténuante pour un homicide".

Aufeminin.comRfi.fr

 

L’aide allemande à l’Agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens avait été augmentée   

Le Conseil fédéral a annoncé qu’il suspendait immédiatement toute contribution à l'Agence de l’ONU d’aide aux réfugiés palestiniens UNRWA durant les investigations concernant des « agissements à caractère sexuel inappropriés, népotisme, représailles, discriminations et autres abus d’autorité pour réprimer des divergences d’opinions légitimes ». La peine est légère: la Confédération a déjà versé sa contribution annuelle, soit plus de 22 millions de francs, alors que le gouvernement allemand, toujours plus anti-Juifs et anti-Israël, a augmenté massivement son soutien financier.

https://www.achgut.com/artikel/palaestinenser_hilfeswerk_korrupt_deutschland_voll_dabei

Traduction (Claude Haenggli) : Le ministre des affaires étrangères Heiko Mass a annoncé en été 2018 une augmentation « substantielle » et ce serait au total 145 millions d’aide pour les activités de cette organisation que l’Allemagne aurait promis l’an passé. Une grande partie de cet aide accordée généreusement devrait, comme d’autres centaines de millions d’argent des contribuables pour le Proche-Orient, finir dans les canaux obscurs de la corruption et du népotisme de cette organisation obsolète. À l’opposé du gouvernement suisse, le ministre des affaires étrangères Heiko Maas, dont l'obstination idéologique est bien connue, ne tirera sans doute pas de conséquences des révélations de la commission d’enquête de l’ONU concernant son organisation d’aide. 

La nouvelle “Naqba” palestinienne : un centre commercial qui embauche… des Palestiniens

La colère gronde au Fatah, le parti du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. Un homme d'affaires israélien a ouvert un centre commercial à Jérusalem-Est et la plupart des employés et clients sont Arabes.

Les dirigeants du Fatah ont appelé au boycott du centre commercial.
Le Fatah que les médias occidentaux décrivent comme une organisation « modérée », agit comme n'importe quelle organisation palestinienne : empêcher la population palestinienne de tirer un avantage quelconque de sa proximité avec Israël.

Quel dirigeant au monde peut condamner un projet qui crée plusieurs centaines d'emplois ? Dans quel pays un chef d'Etat demande-t-il à son peuple de boycotter un centre commercial ou un supermarché qui propose des vêtements et de la nourriture à des prix compétitifs ? Seuls les dirigeants palestiniens qualifient de catastrophe ("nakba") un projet commercial qui facilite la vie de la population.

Rami Levy, homme d'affaires et principal actionnaire du troisième groupe de distribution israélien, a investi plus de 50 millions de dollars dans la construction d'un centre commercial dans le parc industriel d'Atarot, au nord-est de Jérusalem. Malgré les appels au boycott, des commerçants Palestiniens ont loué des magasins dans ce centre commercial qui est décrit comme un modèle de coexistence entre Arabes et Juifs. Le nouveau centre commercial comprend également un grand supermarché appartenant à la chaîne des supermarchés Levy.
Les supermarchés Levy à Jérusalem et en Cisjordanie ont plutôt la cote chez les consommateurs palestiniens tant leurs prix sont inférieurs à ceux des commerces arabes. Le 8 janvier 2019, jour de l'inauguration, des centaines de Palestiniens ont donc convergé vers le supermarché et les allées du centre commercial.

Les supermarchés israéliens embauchent des centaines de Palestiniens de Cisjordanie, ainsi que des résidents arabes de Jérusalem, et tous travaillent aux côtés de leurs collègues juifs. Selon Levy, la moitié de ses 4 000 employés sont des Palestiniens et des Arabes israéliens. « J'ai employé des Palestiniens et des Arabes israéliens dans le premier magasin Rami Levy, qui était à l'époque un simple stand à Mahane Yehuda, le marché de Jérusalem. Ce magasin a ouvert en 1976 et les Arabes ont été parmi mes premiers employés » a-t-il déclaré.

« Ces employés ont fait carrière au sein de Rami Levy Hashikma – le nom de nos supermarchés - et nombre d'entre eux occupent aujourd'hui des positions hiérarchiques. Ibrahim, un Arabe de Jérusalem-Est, est le premier que j'ai engagé il y a 35 ans. Il est aujourd'hui directeur de la logistique à Rami Levy. Nombre d'employés arabes, israéliens et palestiniens, qui ont rejoint Rami Levy, occupent des postes de direction, sans distinction de race, de sexe ou de religion. Tous les employés, Palestiniens ou Israéliens, sont traités sur un pied d'égalité et bénéficient des mêmes avantages. Les salaires sont calculés uniquement sur la base des performances et du poste. Mon objectif est d'offrir à tous les employés de Rami Levy les mêmes chances de réussite. Cet objectif ne peut être atteint que si le principe d'égalité est mis en œuvre dans tous les aspects de l'entreprise. »

Mais le Fatah de Mahmoud Abbas n'apprécie guère cette image d'harmonie au travail entre Palestiniens et Juifs. Que des travailleurs palestiniens touchent des salaires décents et soient traités avec respect par leur employeur ne leur convient pas. Et que des consommateurs palestiniens fassent la queue aux caisses de supermarchés qui proposent des produits alimentaires et non alimentaires de qualité et à des prix abordables leur déplait souverainement. Les responsables du Fatah préfèrent voir leur peuple au chômage ou payer plus cher sur le marché palestinien. Tout plutôt que de voir les Palestiniens dépenser leur argent dans un centre commercial contrôlé par un juif.

Loin de se féliciter qu'un nouveau centre commercial crée des opportunités d'emploi pour des dizaines de Palestiniens et des prix plus bas pour les consommateurs, les responsables du Fatah ont dénoncé un plan israélien pour « saper » l'économie palestinienne. « Quel triste jour pour Jérusalem ! », s'est exclamé Hatem Abdel Qader Eid, ancien responsable du Fatah. « Ce projet de centre commercial vise à saper le commerce arabe à Jérusalem et à le subordonner à l'économie israélienne ».

Les centaines de consommateurs palestiniens qui, dès le premier jour, ont envahi les allées du nouveau centre commercial n'ont pas cédé aux grimaces d'Abdel Qader Eid. Comme tous les clients du monde, les Palestiniens apprécient les produits de bonne qualité à des prix compétitifs. Leur visite n'avait donc rien de « triste ». Il était même temps qu'un centre commercial de proximité leur propose une large gamme de produits à des prix compétitifs.
Abdel Qader Eid avait toutefois raison sur un point : les investisseurs et détenteurs de capitaux palestiniens ont fait le choix de s'abstenir. « Les capitalistes palestiniens sont des lâches », a-t-il déclaré, ajoutant que les investisseurs palestiniens auraient pu bloquer le projet de Rami Levy s'ils avaient investi dans un projet palestinien concurrent. « C'est vrai qu'il y a de riches hommes d'affaires palestiniens. Ils ont beaucoup d'argent, mais sont pauvres en volonté et en éducation. »

Le responsable du Fatah a déploré que les hommes d'affaires palestiniens n'aient aucune confiance en leur peuple et préfèrent investir au loin.

Osama Qawassmeh, autre haut responsable du Fatah, a lui proféré des menaces. Tout Palestinien qui ferait ses achats dans le nouveau centre commercial ou y louerait un magasin « trahirait sa patrie » a-t-il déclaré. Il n'a pas hésité à reprendre le vieux mensonge palestinien selon lequel tout achat de produits israéliens représente un « soutien aux colonies et à l'armée israélienne ».
Les menaces du Fatah ne sont pas restées lettre morte. Le jour de l'inauguration, de jeunes palestiniens ont lancé plusieurs bombes incendiaires dans l'enceinte du centre commercial, forçant les acheteurs (palestiniens) à fuir pour sauver leur vie. Heureusement, personne n'a été blessé et aucun magasin, ni véhicule n'a été endommagé.

La campagne contre le centre commercial de Rami Levy a démarré dès l'ouverture du chantier et se poursuit encore aujourd'hui. Des menaces sont en effet proférées à l'encontre des consommateurs et commerçants palestiniens qui ont loué un magasin dans le nouveau centre commercial. Les voyous qui ont attaqué le site avec des bombes incendiaires auraient pu blesser ou tuer des Palestiniens. Ces voyous, vraisemblablement affiliés au Fatah, préfèrent que leur peuple meure plutôt que de se distraire ou acheter des produits à prix attractifs dans un centre commercial israélien.
Cette campagne de haine et d'intimidation, révèle une nouvelle fois le vrai visage du Fatah d'Abbas. Comment croire qu'Abbas ou l'un de ses lieutenants pourrait conclure une paix avec Israël quand ils ne tolèrent pas que Palestiniens et Juifs travaillent et œuvrent en commun ?
Si acheter un litre de lait israélien est considéré comme une trahison, quel sort réserverait le Fatah au premier Palestinien qui oserait discuter d'un compromis avec Israël ? S'il a de la chance, une bombe incendiaire tentera de l'intimider. S'il n'a pas de chance, il sera pendu en place publique. Une attitude qui en dit long sur l'attitude des Palestiniens envers un quelconque processus de paix.

Bassam Tawil, un arabe musulman, est basé au Moyen-Orient.

La Justice suédoise annule l’expulsion d’un migrant palestinien condamné pour avoir incendié une synagogue car il risquerait d’être en danger dans son pays

La Cour d’appel suédoise a annulé une mesure d’expulsion contre un Palestinien qui avait attaqué une synagogue à l’aide de cocktails Molotov en décembre 2017, affirmant qu’il serait en danger s’il était renvoyé en Israël et livré aux mains de l’Autorité palestinienne, rapporte le Jérusalem Post.

Trois hommes, originaires de Syrie et de Cisjordanie, avaient été condamnés en Suède à des peines de prison ferme en juin dernier pour leur participation à l’attaque au cocktail Molotov d’une synagogue. L’un d’eux devait notamment être expulsé de Suède à sa sortie de prison.

« L’individu a commis cet acte qui pourrait être perçu comme une menace pour les autres Juifs et Israël ‘pourrait être intéressé par l’affaire’. La Cour d’appel a statué que l’on ne pourra pas protéger les droits humains fondamentaux de cet homme s’il est expulsé en Palestine », a déclaré le juge.

 

Source

Onu : Déficit de l’agence pour les réfugiés palestiniens depuis la baisse du financement américain

Malgré des aides supplémentaires venues compenser une baisse de financements américains, l'agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) reste en déficit de plus de 200 millions de dollars pour finir l'année, selon l'ONU.

S'il n'est pas comblé, des écoles gérées par l'UNRWA "pourraient ne pas rouvrir en août", a averti le président de l'Assemblée générale de l'ONU, Miroslav Lajcák, lors d'une conférence de donateurs lundi à New York. "Les activités humanitaires en Cisjordanie et à Gaza sont en jeu", a-t-il ajouté.

(...)

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France. Clermont-Ferrand: La place de la Victoire rebatpisée “place de la nakba” par des militants pro-Palestine (Vidéo)

Environ 400 manifestants ont répondu à l'appel de l'association France Palestine Solidarité 63, signé par 36 organisations. Ils ont formé une grande chaîne humaine place de Jaude puis ont défilé rue du Onze-Novembre. Une plaque "Rue de la Nakba" a été aussi dévoilée place de la Victoire.

 

 

 

 

Les manifestants ont pour cela formé une chaîne silencieuse autour de la place de Jaude vers 15h. Puis, au son de "Israël assassin, Macron complice", ils ont pris la direction de la place de la Victoire.

Ils ont aussi renommé la place de la Victoire de Clermont-Ferrand la rue de la nakba, un mot qui signifie "catastrophe" et qui fait référence aux 750 000 palestiniens expulsés de leurs terres entre 1947 et 1948. Ce moment symbolique est un appel à la prise en compte des palestiniens par les hommes politiques.

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Nos remerciements à Wilhelm

 

 

 

Etre sioniste vous condamne à un relatif isolement

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Michel Garroté  --  Pour ce qui me concerne, un Juif sioniste (ou un non-juif pro-sioniste) est tout simplement quelqu'un qui défend le droit d'Israël à vivre dans des frontières qui garantissent réellement la sécurité du peuple juif israélien. L'on me rétorquera : oui, mais alors, quelles frontières ? Et là, je répéterai : dans des frontières qui garantissent réellement la sécurité du peuple juif israélien.
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Ah, j'allais oublier de préciser : je suis catholique pro-sioniste depuis 34 ans (auparavant, soit avant 1983, j'étais anti-sioniste et pro-Arafat). Selon moi, les frontières d'Israël ne sont pas encore toutes tracées, puisque la ligne qui sépare Israël de la Judée-Samarie (dite "Cisjordanie") n'est pas une frontière, mais une ligne de cessez-le-feu. Je ne vais pas ré-écrire ici ce que j'ai déjà écrit - depuis 1983 - des centaines de fois (et sur Internet depuis 2007  : d'abord sur dreuz.info, puis, dès 2015, sur lesobservateurs.ch).
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Céder des territoires en échange de la paix :
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A noter que l'argument selon lequel il faudrait céder des territoires en échange de la paix n'a pas fonctionné et ne fonctionne toujours pas. Israël a cédé le Sinaï, le Sud-Liban et la Bande de Gaza. Résultat : il n'y a pas de paix. Et céder la Judée-Samarie (dite "Cisjordanie") n'apporterait pas non plus la paix, car en réalité, le Fatah (comme le Hamas) veut "rayer Israël de la carte" et "jeter les Juifs à la mer", même si "l'autorité palestinienne" allègue le contraire lorsqu'elle s'adresse à des médias occidentaux.
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L'option jordanienne :
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A ce propos, il faut ici rappeler que la "Jordanie" est un Etat totalement artificiel fabriqué par les Occidentaux. Or, la population "jordanienne" est palestinienne à 80%. Etant donné l'attitude du Fatah et du Hamas, le seul territoire qui puisse un jour devenir un Etat palestinien, c'est précisément la "Jordanie".
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Haine du Juif – Haine d’Israël :
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Sur la question du sionisme, Danilette, sur son blog, signale un article intéressant d'Olivier Ypsilantis intitulé "Haine du Juif – Haine d’Israël". Ainsi, sur Zakhor Online, Olivier Ypsilantis écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : C’est vrai, être sioniste vous condamne à un relatif isolement. Mais qu’on se le dise, je préfère avoir quelques amis que des hordes de potes. Shmuel Trigano souligne à raison que le « nouvel antisémitisme » active un dédoublement de la figure juive qu’a rendu possible la création d’un État juif, l’État d’Israël. Ainsi cet antisémitisme « nouvelle cuvée » oppose : le sioniste / le Juif ; l’Israélien (le Juif souverain) / la victime de la Shoah ; la mémoire juive de la Shoah / l’universel de la Shoah.
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Des individus toujours affairés à désigner le Bien et le Mal, à distribuer Bons Points et Mauvais Points (on les trouve aujourd’hui généralement à gauche, des socialistes ménopausés à l’extrême-gauche en chaleur), ont dressé le petit tableau suivant : Mal : Sioniste – Juif souverain – Singularité de la Shoah ; Bien : Juif – Juif victime – Universalité de la Shoah. Sioniste = Mal ; Juif = Bien. Ainsi l’antisioniste espère-t-il découpler antisionisme et antisémitisme.
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Juif souverain = Mal ; Juif victime = Bien. Une même personne va y aller de sa larme devant les victimes de la Shoah et serrer les poings devant les soldats de Tsahal, n’hésitant pas à établir en toute bonne conscience une équivalence entre Gaza et Auschwitz. Paresse mentale, conformisme de cauchemar. Singularité de la Shoah = Mal ; Universalité de la Shoah = Bien. C’est le grand discours dans le style on-est-tous-frères, on-est-tous-potes, l’Humanité-est-une, etc. La Shoah est une atteinte à l’Homme, à l’Humanité. Certes, mais ce n’est pas tout.
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S’en tenir à cette considération relève une fois encore du conformiste fourre-tout, du bon ton et, surtout, du désir de préserver son petit confort mental. Il faut avoir la décence (je ne sais à quel autre mot faire appel) de reconnaître que la Shoah concerne spécifiquement une partie de l’humanité : les Juifs. Mais sous couvert de « bons sentiments » on va s’employer à dissoudre une spécificité dans le bain d’acide de l’Humanité.
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Certains jalousent aux Juifs jusqu’à leurs souffrances, ce que montre ce refus entêté de reconnaître la spécificité de la Shoah. Je dis bien la Shoah, je ne dis pas que les Juifs ont été le seul peuple à souffrir et à subir un génocide ; et je ne suis pas ici pour organiser un hit-parade de la souffrance.
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L’antisionisme n’attaque pas seulement un gouvernement, il attaque aussi un État dont il souhaite la disparition – et celle de la population qui s’est placée sous sa protection. Le « deux poids, deux mesures » est trop souvent appliqué à Israël, notamment au sujet des opérations conduites par Tsahal à Gaza.
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Certains Juifs ne sont pas en reste dans cette dénonciation et parfois d’une manière extrêmement insidieuse. Israël est bien la terre ancestrale des Juifs du monde entier et l’État d’Israël a été fondé « sur la base d’un consensus de traités internationaux, ce dont ne peuvent se prévaloir que très peu d’États » nous rappelle Shmuel Trigano. Étudiez la lawfare (guerre juridique) menée par les Palestiniens, notamment à l’ONU, par l’intermédiaire de l’Organisation de la Coopération islamique (O.C.I.), ajoute Olivier Ypsilantis (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). Lire la suite sur http://zakhor-online.com/?p=12729
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Michel Garroté pour Les Observateurs
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Sources :
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http://zakhor-online.com/?p=12729
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http://www.danilette.com/2017/09/haine-du-juif-haine-d-israel-olivier-ypsilantis.html
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Fin de la Palestine, seul Etat fantôme de la planète ?

Palestiniens-4

   
Michel Garroté - Pour commencer, je souhaite avertir nos lectrices et nos lecteurs, que l'analyse ci-dessous, est très longue et très détaillée. Le plus simple, pour lire cette analyse, c'est de jeter un coup d'oeil sur le début de chaque "chapitre" (paragraphe...?). A mon sens, la partie la plus intéressante est la dernière, celle écrite par Daniel Greenfield. De plus, je souhaite faire une remarque très personnelle : "Fin de la Palestine, seul Etat fantôme de la planète ?" est un titre en apparence très provocateur. Mais il n'en est rien.
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Depuis 1948, le politiquement correct nous intoxique avec la cause dite "palestinienne". Or, si nos lectrices et nos lecteurs prennent la peine de lire l'analyse ci-dessous, ils et elles s'apercevront qu'en effet, la cause dite "palestinienne" pose un sérieux problème de crédibilité.
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Je me permets d'écrire cela, car dans ma jeunesse, lorsque j'étais à l'université, j'ai été pendant quelques années, farouchement pro-palestinien, farouchement anti-sioniste et farouchement israélophobe. J'ai été, pour être clair, de 1976 à 1979, habité par la "Haine des Juifs Israéliens", sans avoir pris la peine de me documenter sur la réalité historique et géographique de cette région du monde.
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Et depuis 1980, je me documente sur cette région du monde, et, oui, depuis 1980, je suis pro-israélien (on peut toujours me taxer de "sale sioniste" car je m'en moque et la plupart des gens ne savent même pas ce qu'est le sionisme...). J'ai lu les travaux de Bat Ye'or, Michel Gurfinkiel, Gilles William Goldnadel, Alexandre Del Valle, Lucien Samir Oulahbib, Albert Soued, Rachel Franco, Caroline Glick, Daniel Pipes, Manfred Gerstenfeld et Daniel Greenfield, dont l'on trouvera, ci-dessous, l'analyse, déjà mentionnée plus haut (Fin de la « Palestine », Etat fantôme).
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Un grand merci, en toute simplicité, pour leur travail qui m'a fait changer d'avis - et qui a fait changer d'avis bien d'autres personnes - sur le Proche et le Moyen Orient, sur l'intégrité des dirigeants israéliens (les rares qui n'ont pas été intègres ont été jugés et condamnés par la justice israélienne alors qu'ils étaient encore en fonction : qui dit mieux ?), sur l'OLP et le Fatah, bref, sur la maffia de Yasser Arafat, Mahmoud Abbas & Consorts. Voilà. Bonne lecture.
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Ce n'est pas le sujet de la présente analyse, mais j'en fais tout de même mention car c'est éclairant : Aisal al-Qassem, animateur de la chaîne télévisée Al-Jazeera, a présenté une photo du libanais Samir Kuntar (ndmg - assassin psychopathe ayant massacré à coups de crosse une fillette juive israélienne), Samir Kuntar qui a « quitté la prison israélienne avec une bedaine et un doctorat », près d'une photo d’un détenu syrien décharné. Bachar Al-Assad devrait « traiter les prisonniers et les détenus syriens de la même manière qu’Israël traite ses ennemis dans ses prisons », a dit Aisal al-Qassem sur Al-Jazeera (ndmg -  bien après sa libération par Israël et son retour au Liban, le libanais Samir Kuntar aurait, dit-on, trépassé -- en Syrie -- lors d'un malheureux "accident"...).
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Ce n'est pas non plus le sujet de la présente analyse, mais j'en fais tout de même mention, car cela aussi, est éclairant : lors d’une récente interview avec la chaîne de télévision libanaise Al-Manar, appartenant au Hezbollah, Salah Al-Zawawi, ambassadeur de « Palestine » en Iran et représentant de l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas (et donc du Fatah), appelle à faire disparaître Israël et souhaite que l’Iran fabrique des atomiques.
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Ce n'est toujours pas le sujet de la présente analyse, mais j'en fais tout de même mention, car cela encore, est éclairant (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Hélène Keller-Lind révèle qu'en 2016 plus de 130 posts sur la page Facebook officielle du parti de Mahmoud Abbas, le Fatah, glorifiaient le terrorisme et le meurtre d’Israéliens. À ce jour, en 2017, nombre de posts tout aussi violents ont continué à présenter les terroristes en héros et modèles à suivre. Cette page, suivie par soixante-dix milles personnes, est l’un des vecteurs utilisés par pour inciter à la violence et au meurtre par les dirigeants palestiniens. Un scandale que dénonce Palestinian Media Watch mais sur lequel ferment les yeux nombre de donateurs qui financent l’Autorité palestinienne (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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A propos d'Israël et de "l'Autorité palestinienne" (en réalité le Fatah), Khaled Abu Toameh, Arabe Israélien, journaliste pour NBC News depuis 1989, écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La torture pratiquée dans les prisons et les centres de détention contrôlées par l'Autorité palestinienne n'a rien de nouveau. Ces dernières années les Palestiniens se sont habitués à entendre des histoires terribles sur ce qui se passe entre les murs de ces structures. Cependant, parce que ce ne sont pas les Israéliens qui commettent ces violences, ce qui est rapporté laisse les journalistes indifférents. ais alors, comment l'Autorité palestinienne, financée par l'Occident, qui essaie depuis longtemps de faire partie d'institutions comme les Nations unies, explique-t-elle sa barbarie systématique ? Cela fait des années que l'Autorité palestinienne agit en « État indépendant » reconnu par plus de cent pays.
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Dans ces conditions, les gouvernements étrangers, les contribuables américains et européens surtout, ont le droit, ou plutôt l'obligation de tenir l'Autorité palestinienne responsable de ses violations des droits de l'homme et d'exiger transparence et responsabilité. Ce droit découle du fait que l'Autorité palestinienne demande à faire partie de la communauté internationale en obtenant la reconnaissance d'un État palestinien. À moins, bien sûr, que la communauté internationale soit prête à accueillir un État arabe de plus qui piétine les droits de l'homme et torture dans ses prisons. Les preuves les plus récentes de torture en Cisjordanie ont été révélées dans un article en ligne sur un site web affilié au Hamas. Cet article donne des détails sur certaines des méthodes de torture employées par les interrogateurs de l'Autorité palestinienne et offre un aperçu unique des conditions dans lesquelles les prisonniers sont placés en détention.
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Cet article fait référence plus particulièrement à la Prison centrale de Jéricho qui est sous le contrôle de diverses sections des services de sécurité de l'Autorité palestinienne. Ayant pour titre « Jéricho, un Fort de la Torture ? », l'article décrit des conditions à l'intérieur de la prison ressemblant à ces films à sensation qui passent sur les écrans de télévision pour attirer l'attention des téléspectateurs. Un Palestinien récemment relâché de la Prison centrale de Jéricho est cité. Il raconte que quiconque arrive dans les lieux a d'abord les yeux bandés et les mains attachées derrière le dos avant d'être battu sévèrement par entre cinq et dix agents de sécurité. L'une des formes les plus courantes de torture dans une prison de l'Autorité palestinienne, raconte-t-il, s'appelle la position « shabah » : les mains du prisonnier sont menottées et il est pendu au plafond pendant plusieurs heures.
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Pendant ce temps, le détenu est battu sur toute la surface du corps. S'il essaie de bouger ou de changer sa position, les coups empirent. Parfois ce « shabah » se pratique dans les toilettes de la prison. Une autre forme de torture notoire dans la Prison centrale de Jéricho est la « falaka » : les victimes sont battues sur les pieds nus. Selon le témoignage d'un autre ancien prisonnier, qui n'est identifié que sous le nom d'Abu Majd, il a subi cette « falaka » avec un tuyau de plastique pendant plusieurs heures à chaque séance. Parfois, l'un des « interrogateurs » le giflait pendant qu'on le frappait sur les pieds. Abu Majd raconte qu'il a également subi une autre forme de torture connue : on lui demandait de « grimper » sur une échelle inexistante sur un mur. Comme il n'y a pas d'échelle, le détenu ne peut pas y monter et il est puni par des coups.
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D'autres anciens prisonniers racontent que des privations de sommeil, une réclusion cellulaire ou une détention du détenu enfermé dans un petit placard, avec une climatisation puissante, sont des formes de torture couramment pratiquées dans cette prison. Ceci s'ajoutant à une violence verbale, bien sûr, et au fait que les prisonniers sont forcés de dormir à même le sol, sans matelas ni couvertures. En 2013, selon certaines sources, deux Palestiniens sont morts sous la torture dans la Prison centrale de Jéricho à cinq jours d'intervalle. Leur identité étant Arafat Jaradat et Ayman Samarah. Plus tôt ce mois-ci, le père de Ahmed Salhab, qui a été détenu récemment par les forces de sécurité de l'Autorité palestinienne et emmené à la prison de Jéricho, s'est plaint d'une grave détérioration de la santé de son fils à cause des tortures subies. Le père a raconté que son fils souffrait de douleurs aiguës ayant résulté de coups qui lui ont été portés à la tête par ses interrogateurs.
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On rapporte que des détenus dans des prisons palestiniennes ont fait des grèves de la faim pour protester contre leur incarcération et les tortures. Malheureusement pour eux, ce n'est pas dans une prison israélienne qu'ils font une grève de la faim, là où de telles actions attirent immédiatement l'intérêt des grands médias. Une organisation des droits de l'homme basée à Londres a rapporté trois mille cent soixante-quinze cas de violations des droits de l'homme, détentions arbitraires y compris, par les forces de l'Autorité palestinienne en Cisjordanie en 2016. Selon ce rapport, parmi ceux qui ont été détenus, des étudiants et des enseignants à l'université, ou des professeurs d'école également. Pendant cette même année les forces de sécurité de l'Autorité palestinienne ont également détenu vingt-sept journalistes palestiniens, comme l'a révélé ce rapport. Les responsables politiques et des services de sécurité de l'Autorité palestinienne rejettent ces rapports, les qualifiant de « propagande » orchestrée par le Hamas.
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Mais on n'a pas besoin d'attendre que le Hamas parle au monde de torture et de violations des droits de l'homme aux mains des agents de sécurité de l'Autorité palestinienne. Parmi les milliers de Palestiniens qui ont vécu une incarcération dans les prisons et les centres de détention de l'Autorité palestinienne ces deux dernières décennies, nombreux sont ceux qui sont prêts à raconter leur histoire. Mais qui est prêt à les écouter ? Pas les gouvernements occidentaux, ni les organisations des droits de l'homme, ni les journalistes. La plupart d'entre eux cherchent le mal en Israël et en Israël seulement. Pourtant une telle politique encourage l'émergence d'une dictature arabe de plus au Moyen-Orient. Pour le moment, les habitants de Jéricho continueront à entendre dans leur ville les hurlements des détenus qui sont torturés. Le reste du monde fermera les yeux, se bouchera les oreilles, et continuera à prétendre que tout est rose au pays d'Abbas, conclut Khaled Abu Toameh (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Mais revenons à la "Palestine" : 154 députés et sénateurs français de tous bords politiques confondus ont lancé un appel au président de la République, François Hollande, par courrier (une lettre ouverte publiée dans le Journal du dimanche du 26 février 2017), pour lui demander de reconnaître 'l'État de Palestine'. "La France doit marquer sa volonté de sortir de l'impasse sur ce conflit en réaffirmant solennellement, au nom du droit inaliénable à l'autodétermination, que le peuple palestinien est fondé à se doter d'un État. Il en va du respect du droit international". Non mais de quoi se mêle la France ? Elle ferait mieux de gérer ses zones de non-droit contrôlées par des franco-musulmans parfois islamistes radicaux et accorder l'indépendance à ses territoire occupés d'outre-mer, au lieu de donner, sans cesse, des leçons totalement déplacées, au peuple juif israélien, qui de toute façon, se moque éperdument, de ce qui se dit, à son sujet, à Paris...
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Dans le climat d’incertitude quant à l’avenir de la « solution à deux États » depuis la rencontre entre Donald Trump et Binyamin Netanyahu, un commentateur palestinien a averti que l’idée d’un "Etat palestinien" comprenant Gaza et une partie de la péninsule égyptienne du Sinaï (option « Gaza-Sinaï ») gagnait du terrain. De son côté, le ministre israélien Ayoub Kara avait signifié, avant la réunion de Netanyahu avec Trump, que les deux hommes « adopteraient le plan du président égyptien al-Sisi : un Etat à Gaza et au Sinaï ; au lieu de la Judée et de la Samarie dites "Cisjordanie".
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A noter également que la nouvelle ambassadrice américaine aux Nations-Unies, Nikki Haley a déclaré : « Les Etats-Unis ne laisseront plus faire, ils exprimeront au sein de l’ONU leur alliance d’acier avec Israël ». Nikki Haley a en outre dénoncé « l’obsession anti-israélienne » et elle a affirmé qu’elle ne laisserait pas le Conseil de sécurité cibler Israël avec des condamnations unilatérales. Puis elle a ajouté : « Je pensais que le Conseil de sécurité était censé trouver des voies vers la paix et la Sécurité dans le monde, mais lors de cette séance [ndmg - du Conseil de Sécurité], au lieu de parler du réarmement du Hezbollah au Liban, de l’argent iranien qui coule à flots en direction des organisations terroristes, de la manière dont on peut anéantir Daech, la séance a été consacrée à Israël, la seule démocratie de la région.
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Daniel Greenfield - Fin de la « Palestine », Etat fantôme :
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De son côté, Daniel Greenfield, toujours à propos de la "Palestine", écrit notamment, dans une analyse fondée et détaillée (extraits adaptés par Albert Soued ; voir liens vers sources en bas de page) : Le mot Palestine représente bien des choses. Un nom romain et un mensonge de la Guerre Froide. C’est surtout la justification pour tuer du Juif. « La Palestine » est un vieux complot soviéto-saoudien qui avait pour objectif de créer une fausse nationalité à des clans arabes qui avaient envahi et colonisé le territoire d’Israël. Ce grossier mensonge a réussi à transformer des terroristes gauchistes et islamistes en des libérateurs d’une nation imaginaire. D’un coup, les efforts meurtriers du bloc soviétique et du bloc musulman pour détruire l’état juif devinrent une entreprise liée à de « sympathiques victimes ». Mais ce mensonge palestinien est périmé aujourd’hui.
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Nous percevons le « terrorisme palestinien » comme un conflit de niveau bas qui relie entre elles les diverses invasions d’Israël par les armées arabes socialistes. Après plusieurs guerres perdues, ce qui restait c’était la terreur intermédiaire (voir www.nuitdorientcom/n741.htm ). L’Egypte, la Syrie et l’Union soviétique jetèrent l’éponge, et arrêtèrent les guerres de chars et d’avions, le financement de la terreur étant moins coûteux et moins risqué pour eux. De plus, dans les opérations terroristes, les dividendes sont de loin supérieurs à la mise. Pour un prix inférieur à celui d’un avion de combat, les terroristes peuvent atteindre Israël en profondeur, tout en l’isolant sur le plan international, avec des exigences de « nation » et de « négociation ». En effet, après la Guerre Froide, la Russie était à court de liquidités et les « papas apportant des bonbons à l’Olp » s’étaient lassés de payer des collections de chaussures de mode à Mme Souha Arafat et les factures de nettoyage des « keffyeh » de son époux.
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Le groupe terroriste approchait de sa fin et la notion de Palestine apparaissait plus clairement comme une illusion, sans beaucoup d’avenir. Mais voilà que sieur Clinton, et la gauche agitée du parti travailliste israélien qui, contrairement à son homologue britannique, n’avait pas réussi à s’adapter au nouveau boom économique mondial, ont décidé de sauver Arafat et de créer une entité, « la Palestine ». Le désastre terroriste qui s’ensuivit tua des milliers d’individus, angoissa 2 générations d’Israéliens, isola le pays, et mit à la portée des bombes humaines, pour la première fois, toutes les villes israéliennes. Malgré des propositions de concessions majeures, Israël n’a pas réussi à se débarrasser du poids de la nouvelle idée des « 2 états pour 2 peuples ». Détruire Israël brutalement ou à petit feu était généralement perçu comme un petit prix, comparé à un conflit généralisé.
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Les mêmes forces économiques qui avaient transformé le monde après la Guerre Froide ont sauvé la Palestine. Arafat avait perdu ses parrains à Moscou, mais il venait de trouver de nouveaux « papas à bonbons » dans le Mondialisme. La loi et les affaires internationales, l’internet, la suppression des frontières constituaient le nouvel ordre mondial remplaçant la Guerre Froide. Les exigences d’un clan à Hébron pouvaient attirer l’attention du monde entier, car le nouvel ordre mondial pouvait mondialiser tout conflit local, puisque tout était connecté. Un terroriste qui explose une pizzeria à Jérusalem peut avoir une incidence sur les cours de bourse à New York, le développement d’une société en Chine ou sur une autre attaque terroriste à Paris. Ces interconnections sont devenues l’arme de choix des terroristes islamiques. Aujourd’hui le Mondialisme est moribond et sa mort emportera la Palestine avec elle.
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Une nouvelle génération de chefs est née, sérieusement hostile à cette Globalisation. D Trump et Brexit sont deux exemples importants opposés au « transnationalisme ». Et les sondages ailleurs montrent qu’ils ne sont pas seuls. La plupart des gouvernements cherchent aujourd’hui à avantager leur propre pays plutôt qu’à déployer un filet de sécurité transnational pour les autres nations. Et la cause palestinienne perd de son intérêt. D’ores et déjà, de nombreux pays arabes et Musulmans s’intéressent plus à coopérer avec Israël qu’à cacher leurs difficultés derrière la cause palestinienne (Note de Michel Garroté - s’exprimant lors de la toute récente Conférence sur la Sécurité à Munich, Avigdor Lieberman et le Ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Jubeir se sont alignés sur la même position face à l’Iran et ont exhorté l'ONU à sanctionner les agressions iraniennes, notamment au Yémen et aussi le tir de missile balistique par Téhéran il y a quelques jours).
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Malgré le fait que 45% des Américains sont favorables à un état palestinien dépassant de peu ceux qui le refusent, la tendance est à l’inverse et à « l’Amérique d’abord ». Les « transnationalistes » croient fermement qu’ils peuvent et doivent résoudre n’importe quel problème qui se pose dans le monde, depuis le réchauffement climatique, jusqu’à la justice internationale, ou encore l’idée de « 2 états pour 2 peuples ». L’Islam radical s’est engouffré dans les failles du système, pas de frontières, membres de coalitions qui se neutralisent, propagande et recrutement aisés… Cela ne veut pas dire que les « nationalistes », comme le Japon, qui ont par exemple besoin de pétrole, ne cèderont pas devant les exigences de leurs fournisseurs arabes, malgré leur sympathie à l’égard de la lutte d’Israël. D’un autre côté, alimenter indéfiniment les caisses de l’Autorité palestinienne sans résultat, a des limites, de même que déployer des efforts diplomatiques dans un probable trou noir.
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Mais cela ne veut pas dire non plus qu’ils s’aligneront immédiatement sur la position israélienne. Pendant 2 décennies, s’aligner sur la solution « 2 états pour 2 peuples », avec l’objectif de créer un état islamique terroriste au milieu d’Israël, a été le prix demandé à l’Etat juif pour qu’il participe à la Communauté internationale. Ce niveau de prix ne disparaîtra pas du jour au lendemain, mais il sera plus aisé à négocier. Le changement réel viendra du côté palestinien où une cleptocratie terroriste se nourrit de la misère humaine pour construire des villas à Ramallah. Conçu au départ comme moyen de combat par les ennemis de l’Occident, lors de la Guerre Froide, cet Etat terroriste a été réanimé par conviction, par les « transnationalistes occidentaux ». L’Autorité palestinienne, créée comme entreprise par l’Olp, elle-même entreprise des terroristes du Fatah, n’est pas une structure économiquement viable.
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Elle vit de dons et ses succès diplomatiques sont dus aux réseaux « transnationalistes », l’Onu, les medias et les Ong. Rappelons que lors des négociations entreprises par l’administration Obama, c’est le Secrétaire d’Etat américain John Kerry lui-même qui représentait les Palestiniens. Si vous ôtez cet ordre « transnational », l’Autorité palestinienne aura besoin d’un nouveau « papa avec des bonbons ». Mais l’Arabie est meilleure dans les promesses que dans leur exécution. Et la Russie n’a plus les moyens de subvenir aux besoins croissants de Ramallah. Peut-être l’Iran. Mais c’est à voir. En tout cas, cette Autorité palestinienne ne peut survivre sans le soutien américain.  Et la farce prendra fin, mais pas tout de suite. Aujourd’hui Israël a les moyens d’accélérer le processus, si cet état veut bien prendre le risque de transformer un statu quo corrosif en un conflit plus explosif dans le court terme, mais plus gérable à long terme.
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Contrairement à feu Peres et Sharon, B Netanyahou n’est pas un joueur. Le processus de paix était une grosse spéculation, comme d’ailleurs le retrait du Liban et l’expulsion de Gaza. Toutes ces spéculations ont échoué, laissant des cicatrices et des crises qui durent. A l’opposé des autres 1ers ministres, Netanyahou n’a pas pris beaucoup de risques. Il a été un excellent gestionnaire d’une économie en pleine croissance et d’une nation florissante. S’il est resté si longtemps au pouvoir, c’est que le citoyen est assuré qu’il ne prendra pas de folle décision. Obama était furieux contre lui, car il ne voulait prendre aucun risque, se contentant de gérer prudemment son pays, d’où sa longévité. Mais n’oublions pas non plus que Bibi était aussi un ancien commando. En fait, il ne prend aucun risque avant d’avoir une balle en ligne de mire. Et aujourd’hui, il est beaucoup plus risqué pour Israël de ne pas prendre de risque que d’en prendre.
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Il est temps de jeter les dés. Car la vague nationaliste peut ne pas durer. L’ordre « transnational » peut revenir. Ou la nouvelle vague peut se transformer en quelque chose d’imprévisible etc. Le statu quo actuel est instable : un faible état terroriste islamo-gauchiste soutenu par les Etats-Unis, un état terroriste des Frères Musulmans, soutenu par la Qatar et la Turquie, se renforçant à Gaza, et Israël utilisant sa brillante technologie pour gérer les menaces de tout bord. Cet équilibre peut s’effondrer d’un moment à l’autre. L’Olp a infligé à Israël de grands dommages sur le plan diplomatique et le Hamas terrorise la plupart de ses villes. Ensemble, ils constituent une menace existentielle qu’Israël a laissé filer, sous prétexte de la gérer. L’avenir n’est pas aussi sûr qu’il n’en a l’air. La Palestine est aujourd’hui moribonde, et Israël n’y est pour rien. Cela vient de la chute de l’ordre « transnational ». La question est de savoir quel autre ordre le remplacera. Aujourd’hui une vague nationaliste envahit l’Occident et Israël a devant lui l’opportunité de réclamer des frontières et une Nation, ajoute Daniel Greenfield (fin des extraits adaptés par Albert Soued ; voir liens vers sources en bas de page).
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Introduction & mise en page de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Source (Hélène Keller-Lind) :
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http://www.desinfos.com/spip.php?article56924
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Source (Khaled Abu Toameh) :
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https://fr.gatestoneinstitute.org/9904/palestiniens-torture
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Source (Daniel Greenfield) :
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http://www.nuitdorient.com/n24149.htm
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L'auteur : Daniel Greenfield, écrivain new yorkais spécialisé dans l’Islam radical et membre du 'Freedom Center', via 'Shillman Journalism'. Son article a été publié dans 'Front Page Mag'.
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Traduit et adapté, par Albert Soued, écrivain et journaliste, pour :
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www.nuidorient.com
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'Front Page Mag' pour la version originale de l'analyse de Daniel Greenfield :
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http://www.frontpagemag.com/fpm/265820/end-palestine-daniel-greenfield
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Coup de bluff – L’AFP “suspend” son journaliste du Fatah

Palestiniens-Abu-Baker-2

   
Michel Garroté - L’AFP suspend un « journactiviste » palestinien du Fatah pour… une petite semaine (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : en effet, ce journaliste AFP, qui est aussi activiste du Fatah, Nasser Abu Baker (alias Abu Bakr) a été suspendu de ses fonction par l’agence pendant une semaine (sur sa page Facebook, Nasser Abu Baker alias Abu Bakr déverse toute sa haine envers le peuple israélien : à ce propos, voir lien vers source en bas de page).
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Mais que se passera-t-il maintenant que la période d’une semaine est écoulée ? L’AFP peut-elle décemment se dire impartiale et employer comme journaliste quelqu’un qui est lié - de très près - au Fatah, mouvement palestinien, qui lui, est l’un des principaux protagonistes du conflit régional et qui soutient l’éradication d’Israël ? (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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L'AFP, financée par l'Etat français, est pro-palestinienne à 300% et israélophobe de surcroît. Elle porte le surnom, bien trouvé, d'Agence France Palestine. Au demeurant, les 99% des journalistes français sont pro-palestiniens et israélophobes. C'est notamment le cas de l'audiovisuel public français, concrètement, du Groupe France Télévisions (à ce propos, on se souviendra de l'affaire Al-Dura sur France 2 : voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté pour Les Observateurs
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http://www.infoequitable.org/lafp-suspend-journactiviste-palestinien-fatah-semaine/
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http://www.causeur.fr/affaire-al-dura-israel-france-2-23166.html
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Trump bloque le transfert de dernière minute des 220 millions de dollars aux Palestiniens décidé par Obama

L’Administration Trump a décidé de bloquer « pour un réexamen » le dernier chèque de B. Obama aux Palestiniens de 220 millions de dollars, que le dernier président avait fait passer le matin même de son départ de la Maison blanche.

Juste avant de quitter le ministère des Affaires étrangères le 20 janvier, John Kerry avait en effet donné « instruction » à l’agence de développement USAID de débloquer « 220,3 millions de dollars pour des programmes de reconstruction à Gaza » selon Mark Toner, qui assure l’intérim entre les deux administrations durant la transition.

Avant l’arrivée du secrétaire d’Etat nommé par M. Trump, Rex Tillerson, le département d’Etat « réexamine cette dépense de dernière minute approuvée par l’administration précédente et fera les ajustements nécessaires pour s’assurer qu’elle correspond aux priorités de l’administration Trump-Pence », a indiqué Mark Toner.

Source

Le dernier coup d’Obama: Il verse 223 millions à la Palestine juste avant de partir

Pour ceux qui s'interrogent encore sur la passivité de l'armée américaine face aux exactions de l'état islamique à l'encontre des chrétiens durant de nombreux mois alors qu'un génocide s'y déroulait. A ce moment, Obama ne voulait plus jouer aux redresseurs de torts alors que les exactions se déroulaient devant ses troupes.

Visiblement seuls les musulmans sont importants aux yeux d'Obama.

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Kerry en a informé le Congrès vendredi matin, quelques heures seulement avant l'investiture de Trump

L’administration Obama a versé 221 millions de dollars (205.4 millions d’euros) à l’Autorité palestinienne (AP) juste avant l'investiture du nouveau président Donald Trump, ont annoncé lundi soir des responsables américains.

Selon l'Associated Press, ces fonds avaient été initialement bloqués par les membres républicains du Congrès.

C’est vendredi matin, à quelques heures du début de l’investiture de Donald Trump, que l’administration sortante a informé le Congrès que cet argent serait finalement versé aux Palestiniens, ont révélé des membres du Congrès et un responsable du département d’Etat qui ont été autorisés à révéler ses informations à la presse mais ont requis l'anonymat.

D’après cette dernière source, l’ancien secrétaire d’Etat, John Kerry, a informé certains députés de cette initiative, quelques instants avant de quitter son poste au département d’Etat, jeudi dernier.

Source et article complet

Nos remerciements à Monsieur Quentin S.

 

Le Front National est-il redevenu israélophobe ?

   
Michel Garroté - Certes, le Front National n'est pas le seul - en France - à être israélophobe, ou, pour ce qui concerne le FN, à être à nouveau israélophobe, à être redevenu israélophobe. Mais récemment, il s'est surpassé, suite à une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU contre Israël (Jean-Marie Le Pen vient de radoter qu’il ne pourrait y avoir, selon lui, de "paix" tant qu’existera la "colonisation" : non mais de quoi se mêle-t-il, le vieux gaga ? Dit-il cela pour ficher - encore plus - la pagaille au FN ?).
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Cette récente résolution du Conseil de sécurité de l’ONU contre Israël, il faut tout de même le dire ici, a été rédigée par John Kerry, Susan Rice, conseillère à la la Sécurité nationale, Samantha Power, ambassadeur des États-Unis auprès des Nations unies et une délégation de l’OLP conduite par Saeb Erekat, négociateur palestinien à vie, avec Ryad Mansour, observateur palestinien aux Nations unies et d’autres officiels palestiniens comme le directeur des renseignements et le chef de cabinet de Abbas et son conseiller aux affaires stratégiques : Bravo ! Une fois de plus, le puissant lobby palestinien rallie la gauche américaine à son panache et le point de vue d'Israël n'est évidemment pas, n'est toujours pas, pris en compte.
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La résolution du Conseil de sécurité de l’ONU contre Israël est une résolution palestinienne et rien d'autre. Véritable scandale, que cette trahison de l'ONU envers Israël ; véritable scandale, que cette soumission de l'ONU aux parrains palestiniens du Fatah & Consorts en particulier ; et à l'islamo-gangstérisme en général. Véritable scandale, que cette pensée unique, cette pensée toute faite, cette pensée politiquement correcte et éthiquement abjecte ("Il y a quelque chose de pire que d'avoir une mauvaise pensée. C'est d'avoir une pensée toute faite", écrivait Charles Péguy).
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A noter tout de même que Donald Trump a critiqué le président sortant estimant qu'on ne peut continuer à traiter Israël avec un tel mépris et un tel manque de respect ; à noter, aussi, que le ministre russe des Affaires étrangères, Serguei Lavrov, a rejeté la proposition du secrétaire d’Etat américain John Kerry.
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A noter, aussi, qu'en Israël, il y a 133.000 chrétiens et le chiffre est stable, car en Israël, le fait d'être chrétien ne pose aucun problème, alors que les chrétiens de Gaza et de Cisjordanie vivent un véritable cauchemar. Deux auteurs palestiniens (parmi tant d'autres) témoignent de cela : Khaled Abu Toameh et Samir Qumsieh. Pourquoi nos médias (palestino-maniaques) n'en parlent-ils jamais ?
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Pour revenir à la récente résolution du Conseil de sécurité de l’ONU contre Israël, j'aimerais dire que moi j'appelle ça de l'israélophobie, de la judéophobie, mais bon, voilà, mes confrères journalistes, eux, sont tellement palestinophiles qu'il ne peut y avoir matière à débat sur ce thème. Du reste,  les américains de gauche n'ont pas le monopole de l'israélophobie et de la judéophobie.
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Ainsi, en France, la situation est encore bien pire qu'aux Etats-Unis : le Front de Gauche et le Front National sont d'importants vecteurs de la "judéophobie des modernes", à laquelle s'ajoute l'inévitable israélophobie dans sa version française, le tout agrémenté d'un soutien, aussi fanatique qu'anachronique, à la "cause" dite "palestinienne". "Cause" dont les arabes locaux qui sont au pouvoir dans les territoires disputés, se servent pour se remplir les poches, avec notre argent, et pour terroriser leurs propres habitants, aussi bien juifs, que chrétiens et musulmans qui vivent dans les territoires susmentionnés.
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Michel Garroté
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Presque tout sur Israël mais pas tout

   
Le président américain Barack Hussein Obama a renoncé à tout effort visant à pousser Israël à agir concernant le "processus de paix" (bloqué par les palestiniens), ont déclaré des responsables américains, précisant qu’Obama évitera une dernière rencontre avec le gouvernement israélien avant son départ, le 20 janvier 2017, de la Maison Blanche.
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J'en profite pour signaler ou rappeler (voir source en bas de page) qu'Israël est la 8ème puissance mondiale : Israël détient le record de la plus forte concentration de start-ups dans le monde, après la Silicon Valley. D’après le magazine américain US World Report & News, Israël est aujourd’hui la 8ème puissance mondiale. Israël est l’un des rares pays au monde à avoir atteint le plein-emploi en 2015 : moins de 5,3% de la population est au chômage. Israël est le seul pays où Starbucks a échoué son introduction au marché israélien, car pour la plupart des israéliens, il n’y a pas meilleur que les cafés servis dans les boutiques locales, comme Aroma ou Cafe Cafe.
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Depuis au moins 2 ans et pour toutes les innovations à venir, 100% des produits Apple intègrent des recherches et des technologies en Israël. Jérusalem est la première ville au monde à être entièrement couverte par du Wi-Fi. 12 israéliens ont déjà remporté un prix Nobel, dont 10 sur les vingt dernières années : 6 en chimie, 3 Nobel de la paix, 2 de l’économie et 1 de littérature. En juin 2013, Google rachète Waze, la célèbre application israélienne de GPS, pour 1,15 milliard de dollars. Tel-Aviv a été élue 9ème ville balnéaire du monde par National Geographic. L’espérance de vie d’un israélien est l’une des plus élevées au monde : 81,6 ans.
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Israël est le seul pays au monde à avoir instauré le service militaire obligatoire pour les femmes. Il y a plus de 40 McDonalds certifiés cacher en Israël. Le seul de ce type en dehors de l’Etat Juif se situe à Buenos Aires, en Argentine. L’équipe de basket du Maccabi Tel-Aviv fait partie des meilleurs clubs au monde. Elle a remporté l’EuroLeague 5 fois. Israël est le seul pays du globe à avoir accru le nombre d’arbres sur sa terre au 21e siècle. Grâce à Taglit, chaque jeune juif, âgé de 18 à 26 ans, a la possibilité de faire un voyage de découverte de 10 jours en Israël gratuitement. Et vous savez quoi ? Innovation de taille : il existe des glaces au houmous en Israël (voir source en bas de page).
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A propos d'Israël, le Pasteur Gérald Fruhinsholz écrit notamment (voir source en bas de page) : Fin novembre 1947, le plan de partage de la Palestine est approuvé par l’Assemblée Générale de l’ONU, à New York. Il propose le partage de la Palestine en deux États, l’un juif, l’autre arabe, Jérusalem devant être placé sous contrôle international. Alors que le plan est accepté par les dirigeants de la communauté juive, il est totalement rejeté par la totalité des Arabes, qui s’empressent de déclarer la guerre aux Juifs dès la création de l’Etat hébreu, le 14 mai 1948. La Jordanie occupera alors durant 19 ans (jusqu’à la guerre des six jours) Jérusalem et la Judée-Samarie, sans réaction des nations ; durant cette occupation arabe, le monde musulman ignorera Jérusalem.
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Le Partage est voté par 33 voix contre 13 avec 10 abstentions. L’ONU ne comptait alors que 57 membres contre 192 aujourd’hui. Le terrorisme a toujours accompagné l’histoire de l’Israël moderne. Il n’est pas lié aux « territoires » comme on veut le dire aujourd’hui. Le terrorisme préexiste à la naissance même de l’État d’Israël en 1948. Dans les années 1920-1921, une vague d’émeutes antijuives se déchaîna. Le massacre de la communauté juive de Hébron date de 1929 ; la révolte arabe de 1936-1939 fut l’occasion d’assassiner de nombreux Juifs. Le terrorisme arabe s’intensifia à la veille de la résolution 181 des Nations Unies du 29 novembre 1947 qui officialisait la partition du territoire. Ce fut en fait véritablement le début de la guerre dite Guerre d’Indépendance. Le rejet arabe du plan de partage ne se limita pas à un acte politique.
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Les Arabes de la Palestine mandataire ont lancé une campagne terroriste à grande échelle contre leurs voisins juifs, suivie par l’invasion d’Israël par cinq armées arabes qui voulaient le détruire, dès que fut proclamée son indépendance, le 14 mai 1948. La population juive se défendit contre le projet des Arabes : « jeter les Juifs à la mer », au prix élevé de près d’1% de sa population totale tout en subissant les dommages importants causés au tout nouvel Etat. La population arabe locale a également souffert en raison du refus d’accepter le plan de partage. Plusieurs ont cédé aux appels de leurs dirigeants à fuir, d’autres se sont fait prendre au combat.
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La majorité de la population arabe restée en Israël a opté pour un statut citoyen à part entière, bénéficiant de droits égaux à ceux des citoyens israéliens. Néanmoins, le problème des réfugiés palestiniens est alors créé artificiellement, entretenu par les dirigeants arabes et palestiniens jusqu’à ce jour. Le problème des réfugiés juifs, qui lui est comparable, a cependant été résolu, lui, par l’Etat d’Israël naissant. À la fin de la guerre, l’Egypte disposait du contrôle de la bande de Gaza et la Jordanie avait annexé la Cisjordanie. Sans pour autant jamais juger bon d’établir un Etat palestinien dans le territoire qu’ils ont pourtant contrôlé pendant 19 ans, ajoute le Pasteur Gérald Fruhinsholz (voir source en bas de page).
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Michel Garroté
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http://www.tribunejuive.info/israel/un-texte-jouissif-israel-8eme-puissance-mondiale
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http://www.shalom-israel.info/?p=5559
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Affrontements entre parrains du Fatah

   
Michel Garroté - Commençons tout de même par rappeler que Mahmoud Abbas (du Fatah palestinien) est l'ennemi idéologique N.1 d'Israël. Abbas (alias Abu Mazen) fait semblant de reconnaître qu'Israël existe, tout en ne reconnaissant pas le droit d'Israël à exister. Et notons aussi, en passant, que le président américain Barack Hussein Obama (très, très pro-palestinien) a renoncé à tout effort visant à pousser Israël à agir concernant le "processus de paix", bloqué par les palestiniens.
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C'est ce qu'ont déclaré, jeudi 1er décembre 2016, des responsables américains, précisant qu’Obama évitera une dernière rencontre avec le gouvernement israélien avant son départ, le 20 janvier 2017, de la Maison Blanche. Continuons en signalant que le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a fustigé "l’élection" (scandaleuse !) du terroriste palestinien Marwan Barghouti  -  emprisonné à vie en Israël  -  au Comité central du Fatah, lors de la Convention (houleuse) du parti.
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A ce propos, C. Jacob, chargé de recherche à MEMRI, écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le 29 novembre 2016, le Septième Congrès général du Fatah s’est tenu au quartier général de l’Autorité palestinienne à Ramallah, trois ans après la date prévue par le règlement du mouvement. La date du Congrès n’est pas une coïncidence ; c’est le 29 novembre 1947 que l’ONU a adopté son Plan de partition de la Palestine, et en 1977, cette date a été déclarée par l’ONU comme la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien. Le Congrès intervient alors qu’Abbas affronte une pression grandissante de certains éléments palestiniens et des pays du Quartet arabe menés par l’Egypte, en vue de lui désigner un adjoint ou un successeur, pour deux raisons principales : tout d’abord, pour qu’il n’y ait pas de vide politique le jour où il disparaîtra de la scène, et ensuite, pour empêcher le Hamas d’obtenir le contrôle de l’Autorité palestinienne (AP).
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Selon la loi, en effet, le président du Conseil législatif palestinien (CLP) est le suppléant en cas d’incapacité du président, et cette fonction est actuellement remplie par Aziz Duwaik du Hamas. Cette pression s’est manifestée par le soutien de l’Egypte aux réunions tenues sur son sol par les partisans de l’amer rival et potentiel successeur d’Abbas, Dahlan, et par les demandes présentées à Abbas par le secrétaire général de la Ligue arabe Ahmad Abou Al-Gheit et les anciens secrétaires généraux Amr Moussa et Nabil Al-Arabi, lors d’une visite à Ramallah, pour qu’Abbas accepte la proposition du Quartet de désigner un successeur et d’accepter une réconciliation au sein du Fatah, demandes qu’Abbas a entièrement rejetées.
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Afin de promouvoir une telle réconciliation, les Egyptiens ont accepté d’accueillir toutes les factions palestiniennes au Caire, après leur rencontre avec des représentants du Djihad islamique palestinien, au début novembre 2016. Des représentants haut-placés du Fatah ont affirmé que le Septième Congrès général du Fatah pourrait choisir un adjoint à Abbas uniquement en tant que président du Fatah, et qu’il n’était pas habilité à désigner un adjoint pour ses autres fonctions en tant que président palestinien ou chef de l’OLP. Le membre du Conseil révolutionnaire du Fatah Amin Maqboul a expliqué : « Selon le règlement du Fatah, un adjoint au président du mouvement doit être choisi parmi les membres du Comité central. Cela n’a rien de nouveau ».
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Le membre du Comité central du Fatah Azzam Al-Ahmad a déclaré : [Selon le règlement,] le président du mouvement a un adjoint. Dans ces conditions, pourquoi est-il nécessaire de soulever ce sujet alors que c’est stipulé dans le règlement ? Aujourd’hui, Abou Maher Ghneim est le président adjoint du mouvement, et avant lui, à l’époque du président martyr Yasser Arafat, c’était Khalil Al-Wazir Abou Jihad ». Le Secrétaire général du Comité exécutif de l’OLP Saeb Erekat a également déclaré qu’Abbas avait besoin d’un adjoint : « Le président Arafat est décédé sans avoir d’adjoint, et le Comité exécutif de l’OLP a choisi Abbas comme président ; le Comité central du Fatah s’est réuni et a choisi Abbas [comme dirigeant du mouvement] ; et le peuple est allé aux urnes et a choisi Abbas comme président de l’AP ».
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Si le Fatah avait déjà parlé de tenir la conférence cette année, c’est Abbas qui a décidé de manière impromptue, début novembre, qu’elle devait avoir lieu ce jour-là, dans l’intention d’en profiter pour écarter totalement Dahlan du mouvement. Dahlan, de son côté, a tenté, avec le soutien du Quartet arabe, d’empêcher ou de repousser la conférence, mais sans succès. En outre, ses partisans ont par la suite été éliminés de la liste des participants. Mais ce n’est qu’une victoire temporaire pour Abbas, qu’il doit à l’AP. Ayant agi contre la volonté du Quartet, il devra en payer le prix dans ses relations avec les pays du Quartet, et notamment avec l’Egypte. Dans l’arène intérieure palestinienne, la tension des relations Abbas-Dahlan pourrait donner lieu à une rupture totale entre les deux camps, qui aggravera encore la situation des Palestiniens.
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Deux jours avant la conférence, l’associé de Dahlan, Sufyan Abou Zaida, a appelé tous les membres du Fatah qui avaient été éliminés à participer au Septième Congrès général pour élever la voix et protester contre l’injustice qui leur est faite, « afin que le mouvement ne leur soit pas dérobé ». Entre-temps, la rivalité entre Abbas et Dahlan s’est accrue, comme en témoignent les échanges d’accusations entre les deux camps, lors de la réunion tenue début novembre par les partisans de Dahlan dans le camp de réfugiés d’Al-Amari près de Ramallah, et le harcèlement des partisans de Dahlan par les appareils de sécurité de l’AP, qui a mené à de violents affrontements au cours desquels des gens innocents ont été tués.
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Afin de neutraliser Dahlan et ses supporters, Abbas a pris des mesures supplémentaires, dont l’arrêt du versement des salaires des employés de l’AP qui soutiennent Dahlan ; la réduction de la liste des participants au Septième Congrès général pour éliminer les hommes de Dahlan, comme indiqué, faisant passer le nombre des participants de 2'500 lors du précédent congrès à 1'400 ; l’autorisation demandée à un tribunal palestinien de retirer l’immunité des membres du CLP pour pouvoir viser les hommes de Dahlan au sein du CLP ; et l’ordre aux appareils de sécurité de procéder à des arrestations préventives au sein de leurs propres effectifs affiliés à Dahlan.
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Selon des représentants du Fatah, le Septième Congrès général devait débattre d’un projet politique et de l’impasse dans le processus politique ; des méthodes de combat contre Israël ; de la réconciliation Fatah-Hamas ; du règlement intérieur du Fatah et d’une autocritique au sein du mouvement, focalisée sur un bilan des réussites, les conclusions à tirer des erreurs commises et sur l’apport de sang neuf au sein de la direction du mouvement. Les conflits au sein du mouvement ont contribué à diminuer les attentes à l’égard du Congrès. Plusieurs officiels du Fatah ont affirmé que sa seule tenue était en soi une réussite.
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Pour eux, maintenir Dahlan et ses partisans au dehors et repousser les tentatives de la moitié des pays arabes de le réintégrer au sein du Fatah, véhiculant le message que les Palestiniens sont maîtres de leur destin et que leurs décisions restent indépendantes, montrerait que le Congrès a atteint plusieurs de ses objectifs. Concernant le projet politique du Fatah, les officiels ont affirmé qu’il se focaliserait sur la poursuite de l’activité diplomatique pour isoler et délégitimer Israël et pour étendre la résistance populaire, conclut C. Jacob, chargé de recherche à MEMRI (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté pour lesobservateurs.ch
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http://www.memri.org/report/en/0/0/0/0/0/0/9580.htm
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http://www.memri.fr/2016/11/30/le-septieme-congres-general-du-fatah-se-reunit-a-lombre-de-laffrontement-entre-abbas-et-dahlan/
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“Prendre les armes nucléaires pakistanaises. Eliminer l’Etat Juif”

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Michel Garroté - Dans une allocution consacrée au résultat des élections présidentielles américaines, allocution prononcée à la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem, le religieux palestinien Cheikh Abd Al-Salam Abou Al-Izz a déclaré (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La réaction des musulmans à la victoire de Trump était : 'Avec un peu de chance, il détruira les Etats-Unis et s’assoira sur leurs ruines. Puisse-t-il s’engager dans des guerres nucléaires, d’où les musulmans sortiront intacts'.
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Les choses ne se passent pas comme ça. Ce qui est censé arriver est que la Nation islamique émergera et prendra ses propres affaires en main. Elle doit prendre le contrôle et commander ses armées. Elle doit se débarrasser des gouvernements, des rois, des sultans, des cheikhs et des émirs. Elle doit les jeter dans les poubelles de l’Histoire. Peu importe si nous les pendons à une potence ou non. Ce qui importe, c’est que nous devrions les jeter dehors et avancer.
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Nous devrions prendre leurs armées et leurs armes. Nous devrions prendre les armes nucléaires pakistanaises de ces criminels et les utiliser au service de l’islam. Nous devrions prendre ces armées et éliminer l’Etat des Juifs, en une ou deux frappes, puis diffuser l’islam à travers le monde, a ajouté Abd Al-Salam Abou Al-Izz (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Question : pourquoi Israël ne jette pas en prison le nazislamiste palestinien de Jérusalem Al-Salam Abou Al-Izz ? Parce qu'Israël est un Etat de droit, un pays libre, une démocratie.
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.memri.fr/2016/11/24/le-religieux-palestinien-abd-al-salam-abou-al-izz-a-la-mosquee-al-aqsa-apres-la-victoire-de-trump-nous-devrions-prendre-les-choses-en-main-utiliser-des-armes-nucleaires-pakistanaises-pour-detruire/
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Post Scriptum : Une cérémonie a eu lieu, mardi soir, 29 novembre 2016, au Parlement britannique, pour marquer le 100e anniversaire de la Déclaration Balfour. Plusieurs législateurs britanniques et l’ambassadeur d’Israël à Londres, Mark Regev, ont participé à la cérémonie. C’est l’un des nombreux événements de l’année 2016 pour marquer le centenaire de la déclaration du Secrétaire britannique aux Affaires étrangères, Lord Arthur Balfour, en 1917. En septembre dernier, la Première ministre britannique, Theresa May, a souligné le fait que le Royaume-Uni et Israël marqueront bientôt le 100e anniversaire du soutien du Royaume-Uni à la création d’une maison nationale pour le peuple juif lors de la signature de la déclaration.
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Explosif – Succession de Mahmoud Abbas et guerre civile

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Michel Garroté - Y aura-t-il bientôt une guerre civile entre "palestiniens" ? Ceux-ci n'en ont-ils pas assez de leurs dirigeants répressifs et corrompus ? Le Fatah -- groupe terroriste et parti du "président palestinien" Mahmoud Abbas (alias Abou Mazen), qui ouvre, mardi 29 novembre 2016, son premier Congrès depuis sept ans -- ce Fatah est au coeur des institutions palestiniennes (extraits adaptés et remaniés ; voir liens vers sources en bas de page) : le point d'orgue du Congrès --  qui va accueillir 1.400 membres -- sera l'élection, à partir de vendredi 2 décembre 2016, de ses instances dirigeantes : 1- le Conseil révolutionnaire -- 80 gangsters élus et une quarantaine de gangsters nommés. 2- Et le Comité central -- 18 gangsters élus et quatre gangsters nommés par le "président".
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Ses résultats donneront une idée du poids politique des différents courants au sein du Fatah, en proie à des divisions internes. Le Fatah au sein duquel Abbas -- un homme corrompu, vieillissant (81 ans) et affaibli par la contestation populaire et interne -- tente d'écarter les voix dissonantes, notamment les partisans de Mohammed Dahlane, son principal opposant, qui vit un exil doré aux Emirats Arabes Unis (EAU).
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A noter qu'actuellement la question palestinienne est reléguée à l'arrière plan diplomatique, d'une part, en raison des autres crises dans le monde (Syrie, Irak, Donbass, Yémen, etc.) ; et d'autre part, à cause de la division entre, d'un côté, "l'Autorité palestinienne" qui contrôle une partie des territoires disputés de Judée-Samarie ; et d'un autre côté, le Hamas terroriste qui tient la bande de Gaza, ce qui empêche la tenue d'élections depuis dix ans.
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Le Fatah :
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Le Fatah est la colonne vertébrale de l'OLP et il contrôle depuis 1994 "l'Autorité nationale palestinienne" (ANP), cantonnée depuis 2007 aux territoires disputés de Judée-Samarie. Ce Congrès, où la succession de Mahmoud Abbas sera au coeur des discussions, est le septième depuis la création du Fatah, en 1959, par le terroriste égyptien Yasser Arafat. Le Congrès doit élire un nouveau Comité central de 22 gangsters et plus de 120 gangsters du Conseil révolutionnaire, "Parlement" du parti.
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Le Fatah est la principale composante de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), composante créée en 1964, regroupant alors les principaux mouvements palestiniens et "reconnue" en 1974 par l'Assemblée générale de l'ONU et par la Ligue arabe comme "l'unique représentant légitime du peuple palestinien". Le comité exécutif de l'OLP est la seule instance habilitée à prendre les décisions engageant les Palestiniens, notamment dans le cadre du processus "de paix" avec Israël. Tout changement au sein du Fatah aura donc une incidence sur l'OLP, instance la plus importante pour les Palestiniens puisque c'est elle qui chapeaute "l'Autorité palestinienne", qui elle, n'est qu'une entité "intérimaire".
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L'OLP et l'ANP :
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Mahmoud Abbas dirige l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP) depuis novembre 2004 ; en clair, depuis la mort d'Arafat. L'OLP chapeaute l'Autorité Nationale Palestinienne (ANP), qui siège à Ramallah (dans les territoires disputés de Judée-Samarie). Cela dit, douze autres mouvements (avec autant de voix dissonantes) font partie de l'OLP. Mais le Fatah reste le principal décisionnaire dans cette organisation que le Hamas et le Jihad islamique -- les deux mouvements terroristes qui contrôlent la bande de Gaza -- n'ont jamais rejointe.
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Mahmoud Abbas a pris en janvier 2005 la suite de Yasser Arafat à la présidence de l'ANP. Celle-ci exerce ses pouvoirs sur 40% des territoires disputés de Judée-Samarie et Israël conserve 60% de ces territoires. L'ANP exerce théoriquement, et seulement théoriquement, ses pouvoirs sur la bande de Gaza, en réalité exclusivement aux mains du Hamas. L'ANP est chargée de cinq millions de Palestiniens vivant dans les territoires disputés tandis que l'OLP se veut "représentative" de tous les Palestiniens du monde (12 millions).
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Le Hamas :
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Le Hamas (qui est à la fois un mouvement terroriste, une branche des Frères musulmans et une entité financée par le Qatar), fondé en 1987 et opposé aux accords d'Oslo, n'appartient pas à l'OLP. Le Hamas a pris le contrôle de la bande de Gaza en 2007, au prix de combats meurtriers avec le Fatah, et, après s'être vu privé de sa victoire aux législatives de 2006. Le Hamas supplante, à Gaza, au Parlement de l'ANP (dit 'Conseil législatif') d'Abbas. Depuis 2007, l'ANP est cantonnée aux territoires disputés de Judée-Samarie, son Parlement ne siège plus et le mandat d'Abbas, "expiré" en 2009, est "prorogé" faute d'élections.
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Aucune élection générale ne s'est tenue dans les Territoires palestiniens depuis 2006. Le Hamas avait accepté de participer à des municipales prévues début octobre, mais elles ont été reportées. Les divisions Fatah / Hamas ont fait capoter trois accords de "réconciliation" entre Palestiniens depuis 2011. Mahmoud Abbas a rencontré, fin octobre 2016 à Doha (Qatar), le terroriste palestinien du Hamas -- en exil plus que doré chez les Qataris -- Khaled Mechaal (il est le véritable chef du Hamas), pour la première fois depuis deux ans. Parallèlement, face à l'impasse du processus de paix (à cause des exigences palestiniennes), Mahmoud Abbas a obtenu, en novembre 2012, le statut -- purement symbolique -- "d'Etat" observateur à l'ONU pour la "Palestine" (fin des extraits adaptés et remaniés ; voir liens vers sources en bas de page).
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Le Conseil révolutionnaire, le Comité central, l'OLP (avec ses douze mouvements), le Fatah, le Hamas, le Parlement de l'ANP (dit 'Conseil législatif') : avec toutes ces entités maffieuses et corrompues, comment les "palestiniens" (je préfère dire : les arabes locaux) peuvent-ils encore espérer quelque chose ?
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.lalibre.be/dernieres-depeches/afp/le-fatah-au-coeur-des-institutions-palestiniennes-583d5006cd703561307855a3
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http://www.dhnet.be/dernieres-depeches/afp/congres-du-fatah-pour-renouveler-le-plus-vieux-parti-palestinien-583d5071cd70a4454c070504
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Le mythe palestinien

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Michel Garroté - Dans une longue analyse "politiquement incorrecte" intitulée "L’Europe, frappée d’amnésie" (voir lien vers source en bas de page), le politologue et diplomate Zvi Mazel étudie la destinée du peuple juif en Europe, en Afrique du Nord et au Moyen Orient. Il se penche également sur le sort des chrétiens et sur l'attitude anti-israélienne de l'Europe. Ci-dessous, je reproduis la partie sous-titrée "Le mythe palestinien" (sous-titre "politiquement très incorrect"). J'ajoute que ce faisant, je ne revendique aucune objectivité. Je considère que Zvi Mazel est objectif, correct et lucide. Mais pour ce qui me concerne, je préfère écrire clairement que je suis ouvertement pro-israélien, certains diront même que je suis "sioniste" et cela ne me dérange pas le moins du monde.
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Or donc, le politologue et diplomate Zvi Mazel écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Pourquoi les Juifs devraient-ils accepter le diktat des Arabes qui veulent dominer tout le Moyen-Orient ? La terre d’Israël a toujours été au sommet de leurs aspirations culturelles et religieuses. C’est l’espoir du retour sur sa terre qui a permis au peuple juif de survivre et de conserver son identité. La présence juive en Eretz Israël a été constante, et ce même après la conquête arabe de l’an 640 qui a durement frappé la communauté juive forte, à l’époque, de 500 000 âmes : beaucoup ont été tués ou convertis de force quand d’autres ont fui.
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Jusqu’au milieu du XVIIIe siècle, on comptait ainsi de nombreux juifs répartis dans plusieurs villes de Galilée, comme Safed et Tibériade mais aussi à Jaffa et à Jérusalem, ainsi qu’en attestent les écrits de nombreux pèlerins juifs et chrétiens venus en Terre sainte. On retrouve également les témoignages de cette présence ininterrompue dans les archives de l’Empire ottoman relatant l’existence d’un impôt dont chacun devait s’acquitter en fonction de son appartenance religieuse.
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Mais dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, les vexations incessantes et les pogroms de la part de leurs voisins arabes ont contraint les juifs de Galilée à partir. Beaucoup de villages arabes de Galilée étaient ainsi, à l’origine, des villages juifs dont les habitants ont été expulsés pour laisser la place aux Arabes. On retrouve leurs noms aussi bien dans la Bible que dans le Talmud, et même dans le Nouveau Testament. Tous les efforts des juifs pour retourner en Israël avant l’apparition du sionisme ont échoué car ils n’avaient ni soutien politique ni soutien militaire.
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Quid du mot « Palestine » ? Ce terme a été inventé par l’historien grec Hérodote au Ve siècle avant l’ère vulgaire pour décrire une partie d’Israël alors habitée par les Philistins d’origine grecque, installés là durant le second millénaire avant l’ère vulgaire et qui ont ensuite été chassés ou ont choisi de partir. L’empereur Hadrien, après avoir réprimé la révolte de Bar Kokhba en 132 après J.-C., et tué environ 1,5 million de juifs de Judée, a décidé d’oblitérer à jamais le nom de « Judée » et de lui donner son appellation grecque.
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Quoi qu’il en soit, le mot Palestine n’a jamais fait référence à une quelconque entité définie sinon la terre des Juifs. En atteste le vocabulaire des antisémites européens de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle qui avaient l’habitude de dire aux juifs : « Retournez chez vous en Palestine ! » Ainsi la Palestine n’est-elle pas mentionnée dans le Coran tout simplement parce qu’elle était connue comme juive. Les conquérants arabes n’ont même jamais songé à y établir un pays, et il aura fallu attendre la seconde moitié du XIXe siècle pour que des Arabes s’installent en masse dans le pays, attirés par les perspectives d’emploi offertes par le mouvement du yichouv. Ils sont alors arrivés par dizaines de milliers sur la terre d’Israël, toujours appelée Palestine, venus du Maghreb, d’Egypte, de la péninsule arabique et de Syrie.
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Tels sont les faits qui concernant la non-histoire du soi-disant peuple palestinien, des faits connus et incontestés jusqu’au tournant de la guerre des Six Jours : c’est à ce moment que les Arabes ont commencé à se nommer eux-mêmes « Palestiniens » et à revendiquer « des droits historiques sur la terre ». Au départ, personne n’a pris ces allégations sérieusement jusqu’à ce que cette rhétorique soit adoptée par la propagande arabe qui en a fait son arme principale. Lentement, la gauche libérale israélienne en est elle-même venue à accepter cette définition, motivée par la fausse croyance que cela encouragerait les Arabes à faire la paix. Dans les faits, cette erreur monumentale n’a aidé qu’à déformer la situation.
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Beaucoup d’Européens ont repris ce fantasme à leur compte au mépris de la Bible et de l’histoire, et se sont convaincus qu’Israël a conquis de larges parcelles de terres, propriétés d’un Etat palestinien imaginaire et d’un ancien peuple palestinien tout aussi imaginaire. Personne ne veut se souvenir que le conflit israélo-arabe est né des conquêtes islamiques et du nationalisme arabe qui a toujours dénié toute légitimité à un Etat juif en terre d’Israël.
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Nul besoin de préciser que dans ce contexte, les Arabes ont constamment refusé toutes les solutions qui leur étaient proposées, comme le démontre le siècle écoulé depuis la déclaration Balfour. Les compromis proposés par Israël ont été rejetés l’un après l’autre, sans que les Arabes ne fassent jamais de contre-propositions, puisque cela implique d’accepter que l’Etat juif soit là pour rester. Il suffit de regarder les livres d’histoire pour réaliser que les conquêtes islamiques et l’occupation du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord ont toujours mené à la destruction et qu’Israël n’est pas la racine du problème.
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Malheureusement, l’Europe n’est pas intéressée par les faits historiques. Elle s’entête à poursuivre le dénigrement systématique d’un Etat d’Israël confronté à la menace d’un monde arabe voué à le détruire. L’Europe confère aux Arabes la légitimité qu’elle refuse à Israël, et ne comprend pas qu’en faisant cela elle perpétue le conflit, semant les graines de toujours plus de guerres et menaçant sa propre existence, conclut le politologue et diplomate Zvi Mazel (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.jpost.com/Edition-Francaise/International/LEurope-frapp%C3%A9e-damn%C3%A9sie-473151
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© Jerusalem Post Edition Française
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Zvi Mazel : Born in Israel in 1939, graduate in Political Science and International Relations of the Institute of Political Science, University of Paris – 1966. Former diplomat in the Israeli ministry for Foreign Affairs 1966 – 2004. Served in various functions among them Deputy Director General in charge of African Affairs, Director of East Europe division, Director of Egypt and North Africa division in the research center of the Ministry. Was ambassador of Israel in Romania, Egypt, and Sweden. Retired in 2004 he monitors Arab Affairs. Since 2006 fellow of the Jerusalem Center for Public Affairs – a think tank specializing in Security and Foreign Affairs of Israel and publishes a weekly column. Was the Center's editor of its website in Arabic. Mazel is a regular contributor to the Jerusalem Post.
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