Des mineurs étrangers isolés… ou pas !

29 avril 2021- Jany Leroy

Un article du Figaro le confirme une fois de plus, le 29 avril : le mineur isolé n’est souvent ni mineur ni isolé. L’inversion de la réalité facilite ainsi l’apprentissage du langage mondialiste. En guise d’exercice d’initiation, le débutant découvrira que Plages ne comporte pas l’ombre d’une plage et que tout acte délictueux commis par une personne immigrée (ou d’origine) n’a rien à voir avec l’.

Selon ce principe décrit par Orwell, il paraît désormais acquis que le migrant est mineur à compter de ses 18 ans. Le Figaro le rapporte dans ses colonnes : après envoi des empreintes des personnes interpellées aux autorité algériennes, marocaines et tunisiennes, « sur 1.162 demandes, la DSPAP (Direction de la sûreté de proximité de l’agglomération parisienne) a déjà reçu 330 retours d’identifications formelles, établissant qu’il s’agit en fait de majeurs dans 263 cas ». 78,7 % ! Lors d’une précédente expertise, ce taux atteignait 96 % (Figaro du 16/3/2021).

Le concept de minorité s’en trouve ainsi affiné. Entre zéro et 35 ans, le plus ou moins jeune migrant peut tenter sa chance auprès d’associations et collectifs éplorés devant le sort de grands garçons, non accompagnés de leurs parents. Pour les postulants dépassant l’âge limite, l’arrivée en dans une poussette est fortement recommandée.

En fait d’isolement, le MMI (migrant mineur isolé) tout mimi est pris en charge par un réseau mafieux dirigé par ses compatriotes en situation irrégulière et sous l’ordre desquels il vole et agresse tout ce qui bouge. Quartiers porteurs, lignes de métro à privilégier, techniques de cambriolage, l’ex-mineur est formé et envoyé sur le terrain avec, pour mission, de ramener dans ses filets un butin fixé à l’avance par ses mentors. Une trentaine de téléphones par jour fut l’un des objectifs relevés lors d’une arrestation.

Équipages de bateaux humanitaires et autres Bisounours décérébrés apportent ainsi une aide indirecte à un odieux trafic d’êtres humains qu’ils aiment à imaginer mineurs, orphelins et isolés. Une fable nimbée de fantasmes romantiques dont le seul but est de flatter leur propre ego. Il n’est d’autre enjeu que cette image merveilleuse qu’ils souhaitent s’offrir. Raison pour laquelle les conséquences néfastes de leur bienveillance ne pèsent pas lourd dans la balance. Selon la règle d’inversion apprise plus haut, nous laissons le soin au débutant en langage mondialiste de traduire « bon samaritain ».

source: https://www.bvoltaire.fr/des-mineurs-etrangers-isoles-ou-pas/

Rappels :

Genève : Augmentation de 93% des cas traités par le Tribunal des mineurs : Les mineurs non accompagnés à l’origine de cette hausse.

Le collectif Perce-Frontières dénonce les conditions d’accueil des mineurs non accompagnés à Genève.

“À Genève, 80 % des mineurs non-accompagnés que l’on rencontre ont des problèmes de santé mentale”

Genève : les migrants mineurs non accompagnés exigent que la Suisse les prenne en charge financièrement jusqu’à 25 ans

Maurice Berger, pédopsychiatre : la France n’a plus d’autre choix que de se retirer de la Convention européenne des Droits de l’Homme pour pouvoir expulser les mineurs non accompagnés criminels

Pays-Bas : Les employés d’un centre pour migrants affirment que des criminels nord-africains se font passer pour des « mineurs non accompagnés »

Suisse: Les églises protestantes, des socialistes et des Verts veulent imposer un contingent de 10’000 réfugiés par année.

La Suisse priée par l'ONU de mieux accueillir les mineurs non accompagnés

Lausanne: Cercle de silence en faveur des « réfugiés mineurs non accompagnés »

 

Genève : Augmentation de 93% des cas traités par le Tribunal des mineurs : Les mineurs non accompagnés à l’origine de cette hausse.

Les brigandages explosent avec +65% sur un an.

Les cambriolages +26%

Les infractions contre le patrimoine +11%

Les rixes et les agressions ont également augmenté.

 

 

Rts.ch


Rappels :

Le collectif Perce-Frontières dénonce les conditions d’accueil des mineurs non accompagnés à Genève.

“À Genève, 80 % des mineurs non-accompagnés que l’on rencontre ont des problèmes de santé mentale”

Genève : les migrants mineurs non accompagnés exigent que la Suisse les prenne en charge financièrement jusqu’à 25 ans

Maurice Berger, pédopsychiatre : la France n’a plus d’autre choix que de se retirer de la Convention européenne des Droits de l’Homme pour pouvoir expulser les mineurs non accompagnés criminels

Pays-Bas : Les employés d’un centre pour migrants affirment que des criminels nord-africains se font passer pour des « mineurs non accompagnés »

Suisse: Les églises protestantes, des socialistes et des Verts veulent imposer un contingent de 10’000 réfugiés par année.

La Suisse priée par l'ONU de mieux accueillir les mineurs non accompagnés

Lausanne: Cercle de silence en faveur des « réfugiés mineurs non accompagnés »

 

 

 

 

Mineurs non accompagnés : un système à revoir

Par François Brélaz, ancien député, Cheseaux-sur-Lausanne

La problématique des mineurs non accompagnés, donc de moins de 18 ans, fait régulièrement polémique, notamment à cause des difficultés à déterminer leur âge réel.

La plupart n’ont pas de pièce d’identité et celles qui pourraient être présentées ne sont pas nécessairement des originaux.

Pour ne rien arranger, les pédiatres suisses sont hostiles à collaborer pour établir l’âge des jeunes migrants. Ils affirment qu’il n’existe actuellement aucune méthode scientifique qui permette de déterminer précisément l’âge entre 15 et 20 ans et ainsi de savoir qui est mineur ou non.

D’autre part, l’ordre des médecins allemands a rejeté des appels de responsables politiques visant à introduire des examens médicaux obligatoires pour les jeunes demandeurs d’asile, prétextant une « atteinte à la dignité humaine ».

Et voilà qui n’arrange pas les choses, selon « Valeurs actuelles », le 23 février 2018 le tribunal administratif de Nice s’est opposé au renvoi en Italie d’une vingtaine de clandestins considérant que « le doute profite au mineur présumé lorsque son âge est indéterminé. »

Selon la statistique du Secrétariat d’Etat aux migrations, en 2017, 733 jeunes ont été reconnus comme tels mais ils ne viennent pas nécessairement de pays en guerre. C’est ainsi qu’il y en a eu 32 de Côte d’Ivoire, 25 du Maroc, 22 d’Algérie et 10 d’Albanie. Ce sont des migrants économiques et non des demandeurs d’asile dans le sens « personnes persécutées ».

La logique veut qu’un enfant vive avec ses parents ce que la Convention relative aux droits de l’enfant confirme.

C’est ainsi qu’en son article 5 elle évoque la « famille élargie » et c’est particulièrement vrai pour l’Afrique où souvent frères, beaux-frères et cousins vivent dans la même concession. L’enfant n’est pas élevé uniquement par ses parents mais par l’ensemble de la communauté.

L’article 7 dit que dans la mesure du possible, l’enfant a le droit de connaître ses parents et d’être élevé par eux.

L’article 9 dit que s’il est séparé de ses parents, le mineur a le droit de maintenir des contacts avec son père et sa mère.

On le constate, le mineur doit avant tout être élevé par ses parents et le fait d’avoir signé la Convention aux droits de l’enfant ne doit pas signifier que nous devons naïvement accepter tous les prétendus mineurs qui se présentent à la frontière. Du reste, lors d’un reportage vu à la télévision française, il a été dit que les gendarmes refoulaient les prétendus mineurs qui tentaient d’entrer en France par le col de l’Echelle pour atteindre Briançon.

Un certain nombre de mineurs viennent du Maghreb et sont des réfugiés économiques. Mais ce qui est inquiétant, c’est qu’un certain nombre de mineurs marocains isolés squattent le quartier de la Goutte d’Or à Paris. Ils vivent de débrouille et de petits larcins, jouant parfois les petites mains pour les trafiquants. Voulons-nous cela en Suisse ?

En novembre 2016 les médias nous apprennent que 7 mineurs non accompagnés ont tenté de se suicider dans le canton de Vaud. Avant d’évoquer le désespoir de ces gens, il faudrait savoir si lors de leur arrivée les autorités ont procédé à des recherches concernant leurs parents et s’il leur est proposé de rentrer au pays.

Peut-on avoir des parents, être en contact avec eux, et être mineur non-accompagné en Suisse ?

Visiblement, les règles régissant ces enfants doivent être réadaptées…

François Brélaz