Marseille : trois jeunes hommes tués par balles

Des inconnus circulant en voiture ont ouvert le feu sur un autre véhicule dans lequel se trouvaient cinq hommes. La police judiciaire a été saisie de l'enquête.

Vers 5 heures du matin, dans le quartier tranquille de la Pomme, dans le 11ème arrondissement de Marseille, 5 hommes qui circulaient en voiture ont été pris pour cibles à l'arme de guerre, à quelques centaines de mètres d'une boîte de nuit d'où ils sortaient. Le bilan est lourd : 3 morts. Les tirs de kalachnikov ont été sans appel. La voiture qui a servi à commettre le crime a été retrouvée un peu plus tard, totalement brûlée pour tenter d'effacer les traces.

Il s'agit d'une nouvelle fusillade qui s'ajoute à la longue liste depuis le début de l'année sur fond de trafic de stupéfiants. […] Âgées d'une vingtaine d'années, [les victimes] seraient toutes déjà connues des services de police. […]

Des tueurs à gage filment leurs crimes et les diffusent sur les réseaux sociaux

[…] Quelques semaines après l'un de ces épisodes sanglants, la police judiciaire a interpellé l'un de ces tueurs présumés, un jeune de 18 ans, au profil inquiétant, capable de se filmer en commettant ses crimes. Et il n'est pas rare désormais que ces tueurs à gage filment leurs actes et les diffusent sur les réseaux sociaux, avec un double objectif : montrer sa force et prouver au commanditaire que la mission a bien été remplie.

Face à cette violence, et au recrutement décomplexé des réseaux, les enquêteurs tentent à la fois de résoudre les enquêtes et de déjouer des assassinats. L'an dernier, au moins deux projets ont été déjoués, une trentaine depuis 2016. Et depuis le début de l'année, plusieurs équipes ont été interpellées, à Marseille et jusqu'en Espagne […]

À chaque fois, des armes de guerre sont saisies […]

Grand remplacement : Victime de procès, Thaïs d’Escufon persécutée par la Macronie et les juges

Depuis lundi, les articles de la presse locale et nationale s’enchaînent pour parler du procès des militants de Génération Identitaire contre SOS Méditerranée. Et avec eux, un flot ininterrompu de mensonges à l’encontre des 22 prévenus et des figures de proue du mouvement dissous, Thaïs d’Escufon (1), 23 ans, et Jérémie Piano, 28 ans, candidat RN aux élections législatives dans les Bouches-du-Rhône en 2015 et aux dernières législatives pour le mouvement d’Éric Zemmour Reconquête. Dix-neuf hommes et trois femmes sont donc jugés depuis lundi à Marseille. Le procès, prévu devant le tribunal correctionnel de Marseille du 10 au 19 octobre, porte sur l’occupation du siège marseillais de l’association SOS Méditerranée (2) le 5 octobre 2018. Un procès très politique et orchestré par le pouvoir. Ce dernier veut tuer dans l’œuf la révolte d’une jeune élite française qui aime la France, et qui refuse que notre pays soit transformé en Liban d’ici 10 ans.

Un physique de viking, des arguments imparables, un constat qui glace le sang, des chiffres en millions de migrants accueillis à l’appui, Thaïs d’Escufon dérange les politiques.

Cultivée, éduquée, ancienne porte-parole de génération identitaire la France, Thaïs d’Escufon dérange en France. Comme Christine Tasin, présidente de Résistance Républicaine, elle ose dénoncer le grand remplacement en cours. Elle s’attaque aussi au président Emmanuel Macron qui a signé le pacte migratoire de Marrakech. Pour la faire taire, il y a eu un acharnement médiatique et judiciaire contre la jeune Toulousaine, qui refuse que la France devienne africaine d’ici 20 ans.

Un physique de viking, des arguments imparables, un constat qui glace le sang, des chiffres en millions de migrants accueillis à l’appui, Thaïs d’Escufon dérange les politiques, les juges, les décideurs, Emmanuel Macron et tous les complices d’une immigration de masse.

L’ennui pour tous ses adversaires, c’est qu’elle est redoutablement intelligente et instruite, méritante aussi. Elle est née à Toulouse en 1999 au sein d’une famille catholique de la bourgeoisie française ayant dix enfants. Elle a grandi à Drémil-Lafage, à dix kilomètres de Toulouse, en Haute-Garonne. Elle a obtenu un baccalauréat littéraire au lycée Pierre-Paul-Riquet, à Saint-Orens-de-Gameville, puis décroche en 2016 une licence de langues étrangères à l’ Université Toulouse-Jean-Jaurès.

Considérée comme une influenceuse dans le combat contre l’invasion migratoire, les pouvoirs publics français n’ont eu de cesse de la faire taire. Des consignes ont été données par le pouvoir aux médias généraliste subventionnés par l’état via les aides annuelles à la presse. Subitement, et sans raison, les réseaux sociaux l’ont banni. Ils n’ont pas encore osé lui retirer sa carte bancaire !

Des migrants en train d’être recueillis dans la mer Méditerranée par SOS Méditerranée.

Comme cela ne suffisait pas, Thaïs d’Escufon a subi un harcèlement judiciaires, les services de la sécurité intérieure traçant ses moindres déclarations au lieu de s’intéresser aux islamistes intégristes qui préparent des assassinat ou des attentats sur le sol français. Car Thaïs d’Escufon doit disparaitre socialement.

Même des juridictions correctionnelles de villes pratiquement inconnues l’ont assigné. L’avant dernière comparution en date remonte à un peu plus d’un an devant la juridiction de Saint-Gaudens ( en Haute-Garonne, pour tous los lecteurs qui ne connaitraient pas cette localité de l’arrière-pays). Le 9 septembre 2021, la jeune femme a été condamnée à deux mois de prison avec sursis « pour injures publiques », après la publication d’une vidéo anti-migrants.

Mais, Thaïs d’Escufon ne se décourage pas. Elle explique : « le contexte actuel de répression politique de la Macronie à l’encontre des patriotes n’est pas la preuve de la force du pouvoir en place mais au contraire de sa faiblesse. Ils savent que nous progressons chaque jour un peu plus : les victoires populistes comme en Italie et en Suède en sont une preuve. La durabilité du gouvernement Orban, aussi. Et chez nous, un candidat à la présidentielle a pu défendre lors des dernières élections, de façon explicite, une politique de re migration soutenue par la majorité des Français juste avant que le RN ne constitue un groupe historique à l’Assemblée. Bref, les choses changent. Et dans le bon sens. Alors bien sûr, comme tous les Français attachés à leur pays, je suis impatiente que tout se règle au plus vite : mais nous devons faire preuve de patience et ne rien lâcher. Et surtout pas les militants qui, comme les 22 de Marseille, luttent en première ligne…. ».

Une justice à deux vitesses pour Thaïs d’Escufon

Par contre les poursuites judiciaires vont moins vite lorsque Thaïs d’Escufon se fait agresser sexuellement par un migrant à son domicile. En effet, Thaïs d’Escufon a déposé plainte pour agression sexuelle et séquestration le 21 décembre dernier. Un homme s’est introduit chez elle alors qu’elle rentrait d’une séance de sport et avait ses écouteurs dans les oreilles. Selon Thaïs d’Escufon « l’homme se serait présenté à elle comme un migrant d’origine tunisienne ».

A ce jour, l’agresseur n’a pas été identifié ou retrouvé par les services d’enquête. Cherchez l’erreur….

« Tuez ces lanceurs d’alerte que je ne saurais voir » Thaïs d’Escufon

Redoutable stratège, espoir pour notre France de demain, Thaïs d’Escufon décrypte le plan de guerre de ses adversaires : « Lors du procès, la stratégie de SOS Méditerranée est d’une simplicité remarquable : solliciter au maximum le pathos pour brouiller l’opposition politique qui est à la source de notre action militante. En un mot, tuer les lanceurs d’alerte pour que personne ne puisse formuler d’opposition à l’immigration-invasion.

« Ils veulent aussi nous tuer judiciairement d’abord, en faisant peser les peines les plus lourdes possibles sur Génération Identitaire (association aujourd’hui dissoute) et ses militants : les prévenus risquent aujourd’hui jusqu’à 5 ans de prison.

« Nous tuer économiquement ensuite : SOS Méditerranée réclame 273 000 € et les membres de l’association quant à eux exigent des réparations atteignant un total de 114 000 €.

« Nous tuer médiatiquement enfin, puisque la presse ne s’est pas fait attendre pour partager photographies, informations professionnelles et identités complètes des prévenus dans ses colonnes, ce qui sera sûr de causer des pertes d’emploi ou du harcèlement en milieu scolaire ou universitaire. Les journalistes, habitués à transformer les prénoms à consonance étrangère des délinquants se fixent soudain une exigence d’exactitude remarquable… ».

Cette jeune Femme, comme peu en France, représente par son courage et sa volonté ce que nous avons de mieux en France : l’Amour de notre Pays. Car j’oubliais : tous les français ne sont pas favorables au grand remplacement et à une immigration de masse.

Une manifestation de militants de Génération identitaire avant que l’association ne soit dissoute par les politiques au pouvoir en France.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

(1) Anne-Thaïs du Tertre, dite Thaïs d’Escufon, étudiante de 23 ans et ex-porte-parole de Génération identitaire.

(2) SOS Méditerranée, association subventionnée, se targue d’avoir recueilli 36 789 migrants illégaux en mer depuis février 2016. Cette structure se présente comme une chaîne de sauvetage ». Elle a été créée par Sophie Beau, cofondatrice de l’association SOS Méditerranée, implantée à Marseille et Berlin, et par Klaus Vogel, un drôle d’oiseau, ancien capitaine de marine marchande.

Fusillade à Paris devant un hôpital : règlement de compte entre criminels

Fusillade à Paris devant un hôpital : un mort, un blessé

Une fusillade a éclaté devant l’hôpital Henry-Dunant, dans le 16e arrondissement de Paris. Les faits se sont déroulés ce lundi vers 13h45. Une personne est morte, une seconde est blessée, en état d’urgence absolue.

L’auteur présumé est en fuite, avec un scooter sans plaque d’immatriculation. Il n’y a pas de notion terroriste à ce stade de l’enquête. Il s’agirait d’un règlement de comptes. La victime a été touchée de plusieurs balles dans la tête devant un centre de vaccination.

La victime, née en 1987, « est très connue, notamment pour meurtre en bande organisée […] ».

L’agente de sécurité, gravement blessée, est hospitalisée dans un état grave et son pronostic vital est engagé. Il semble qu’elle ait été victime d’une balle perdue. […]

Extraits de : https://www.lepoint.fr/societe/paris-deux-blesses-par-balle-devant-un-hopital-du-16e-arrondissement-12-04-2021-2421787_23.php

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La victime était une figure du banditisme marseillais

« La fratrie Djouhoud, très défavorablement connue de nos services, anime le trafic de stupéfiants en régionmarseillaise ainsi que la funeste chronique des règlements de comptes qui ensanglante le sud de la France depuis de nombreuses années », disait une note de la police judiciaire diffusée en 2017.

Hamza Djouhoud et son frère étaient soupçonnés d’avoir investi dans l’import-export de cannabis aux côtés de deux pointures du banditisme corse.

Le Franco-comorien de 33 ans assassiné lundi a été achevé à terre à l’aide d’un pistolet-mitrailleur par un homme à pied qui a ensuite pris la fuite sur un scooter conduit par un complice.

Qui cherchait à se venger ? En 2011 et 2014, Hamza Djouhoud avait été mis en cause dans deux homicides. En 2017, il avait tué Sofiane Hamimi devant une boîte de nuit d’Aix-en-Provence en lui roulant dessus avec sa voiture à plusieurs reprises. Il était également soupçonné d’avoir participé  à des règlements de comptes à Marseille, où de jeunes concurrents furent tués et retrouvés carbonisés ans leur véhicule.

L’auteur de l’homicide a également grièvement Khedidja R., 33 ans, une jeune femme agent de sécurité, toujours hospitalisée.

Extraits de : https://www.lepoint.fr/societe/fusillade-a-paris-la-victime-etait-une-figure-du-banditisme-marseillais-13-04-2021-2421959_23.php

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Un mort et un blessé après une fusillade dans le XVIe arrondissement de Paris (2:30)

Marseille : un homme armé d’un couteau a tenté de pénétrer dans une école juive et une épicerie kacher (Le suspect est Medjadi Jahid, déjà connu des services de police)

A Marseille, vers 8h15 ce vendredi matin, un homme armé d’un couteau a tenté de pénétrer dans l’école juïve Yavné, dans le 13e arrondissement de la ville. Refoulé par des agents de sécurité, il s’est ensuite rabattu sur une épicerie kacher, située à proximité. C’est là qu’il a été maîtrisé par les mêmes personnes qui l’ont empêché d’entrer dans l’établissement scolaire.

 

 

Les élèves confinés le temps de l’intervention de police

Aucun blessé n’est à déplorer. Les élèves ont tous été confinés le temps de l’intervention des forces de l’ordre. La préfète de police a donné des instructions pour renforcer immédiatement la sécurité aux abords des sites de la communauté juive de Marseille avec des passage de patrouilles (police et Sentinelle). Par ailleurs, une patrouille de police est désormais prépositionnée devant l’école Yavné.

France Bleu


Le pire a peut-être été évité sur le boulevard Barry (13e) à Marseille, il y a moins d’une heure. Selon nos informations, un homme d’une soixantaine d’années serait sorti de son véhicule, avec une serviette posée sur la tête et un couteau en main. Il se serait alors dirigé vers une boulangerie casher située sur cet axe et devant laquelle des clients mais aussi des élèves de l’école juive Yavné, situé à quelques encablures, se trouvaient.

Heureusement, les agents de sécurité de cette école juive, rapidement confinée par mesure de précaution, ont remarqué le comportement suspect de cet individu et l’ont immédiatement immobilisé avant l’arrivée de la police municipale puis de la Bac.

Pour l’heure, aucun témoin n’aurait fait état de mots prononcés du type “allah Akbar” mais les intentions de cet homme devront être déterminées par les enquêteurs de la sûreté départementale saisis des faits. Selon nos sources, les services du déminage se rendent sur place afin d’écarter tout danger autour de son véhicule Seat noir.

La Provence

 

 

Via Fdesouche

Marseille : la police violemment chassée de La Castellane par des dealers (2 policiers blessés)

Hier après-midi, deux policiers ont légèrement été blessés à la tête et au cou à la suite de jets de projectiles au coeur de la cité La Castellane dans le 16e arrondissement. Membres de la Bac, les agents étaient en patrouille dans le quartier pour une mission de lutte contre les stupéfiants.

L’arrivée de renforts a permis l’interpellation d’un homme soupçonné d’être un des auteurs des jets de projectiles. De la résine de cannabis et de la cocaïne ont également été saisis.

[…]

 

 

La Provence

Via Fdesouche

Marseille : un Nigérian séquestre son ex et viole son amie

Cet homme, un Nigérian âgé d’une trentaine d’années, était déjà recherché par la police à la suite d’une plainte de son ex-compagne pour des violences conjugales. Un comportement qui avait sans doute provoqué la fin de leur relation, il y a plusieurs mois.

Mais jeudi dernier, le suspect a basculé dans l’acte criminel. Selon nos informations, en milieu d’après-midi, il aurait déboulé au domicile de son ex-femme, 30 ans, sur les quais de la Joliette (2e). Muni d’un couteau, il l’aurait attachée dans un coin de son logement et aurait ensuite violé l’amie, âgée d’une quarantaine d’années, qui était visiblement confinée avec elle, avant de l’entraver elle aussi. Leur calvaire aurait alors duré plusieurs heures.

Via Fdesouche

Nos remerciements à Victoria Valentini

Des journalistes du Figaro agressés dans une cité marseillaise et poursuivis sur l’autoroute par des dealers. “On a peur de rien ici, c’est une maladie de blancs.”

Marseille : deux journalistes du @Le_Figaro en reportage sur le confinement dans une cité agressés et poursuivis sur l’autoroute par des dealers. “On a peur de rien ici, c’est une maladie de blancs.”

via Fdesouche

Coronavirus : le traitement à la chloroquine testé à Marseille serait efficace

À l'Institut hospitalo-universitaire à Marseille, le Professeur Raoult annonce que les premiers essais de la chloroquine sont spectaculaires contre le coronavirus. Ce médicament est déjà utilisé contre le paludisme.

Dans une vidéo de 18 minutes enregistrée devant ses étudiants à Marseille, le Pr Raoult ne cache pas sa satisfaction. Concrètement, 24 patients atteints par le coronavirus ont accepté de prendre du Plaquenil, l'un des noms commerciaux de la chloroquine. Six jours plus tard, seulement 25 % sont encore porteurs du virus. Alors que 90 % de ceux qui n'ont pas reçu ce traitement sont toujours positifs.

[...]

https://youtu.be/n4J8kydOvbc

 

Francebleu.fr

Nos remerciements à Monsieur L.

Poignardée car identifiée comme étant chrétienne : Sandra lance un appel au secours pour quitter Marseille

[…]

« Certes il n’a que 17 ans et demi, il n’était pas bien dans sa tête mais ce qu’il a fait est très grave, il nous a atteint à 6h du matin cela aurait pu être les enfants à 11h… Clairement il est fou, mais quand on prend le temps de choisir un ciseau et un couteau alors qu’il aurait pu me poignarder avec un stylo ou un crayon, il y avait plein de choses sur mon bureau…, _dans les actes de folie on ne réfléchit pas normalement, lui il a bien pris le temps de réfléchir… »

Au moment de l’agression vous avez pensé à un acte terroriste ?

« Oui, parce que lorsqu’il est rentré, qu’il m’a dit « je suis musulman, je fais la prière, les chrétiens il faut tous les tuer toi tu vas mourir aujourd’hui… je sais que ce n’est pas bien ce que je vais faire mais je vais le faire quand même »…là il m’a poignardée, conscient de ce qu’il faisait. »

[…]

Ce n’est pas la première fois que vous êtes agressée à Marseille, vous voulez rejoindre la Corse ?

 » Oui absolument, cela fait deux fois en 5 ans que nous somme gravement agressés avec mon mari… »

[…]

« Je renouvelle ma demande auprès de _Gilles Simeoni, Jean-Guy Talamoni, de M.Sindali le maire de Corte, Michel Mezzadri celui de Venaco_, Vanina Borromei également… je vous en supplie faites nous rentrer… »

France Bleu

Via Fdesouche

 

Marseille : « Il a dit qu’il fallait tuer tous les chrétiens. Ils l’ont déclaré fou mais quand il a crié Allah Akbar, il avait l’air de savoir ce qu’il faisait »

Vendredi 6 septembre, un homme de 17 ans s’est introduit à l’aube dans une école marseillaise et l’a poignardée. Sandra, 44 ans, raconte pour la première fois.

(…) « Il m’a arraché le téléphone des mains, a levé les bras au ciel, a commencé à dire qu’il faisait la prière, qu’il était musulman et qu’il fallait tuer tous les chrétiens. Il m’a étranglée si fort… J’ai tenté de me débattre, puis il m’a regardé avec ses yeux révulsés et m’a dit : Aujourd’hui, c’est toi qui vas mourir ! ».

(…) « Il m’a frappée puis a attrapé des ciseaux sur mon bureau, m’a poignardée trois fois, dans l’abdomen. Puis une fois dans la jambe, avec un couteau de cantine attrapé sur un chariot. À chaque fois qu’il a lâché la gorge, j’ai crié, mais personne n’a entendu. Ça m’a paru une éternité. »

(…) Dans l’école, « les ciseaux ont été retrouvés devant les toilettes, ça veut dire qu’il était tout près de moi », frissonne Sandra, qui ne comprend pas bien que le parquet antiterroriste ne se soit finalement pas saisi« OK, il a 17 ans. OK, ils l’ont déclaré fou. Mais quand il a crié Allahou Akbar et qu’il a attrapé des ciseaux plutôt qu’un des multiples crayons que j’avais sur mon bureau, là il avait l’air de savoir ce qu’il faisait », ironise-t-elle. Il a été hospitalisé en psychiatrie.

(…) « Marseille, je ne peux plus, je ne veux plus ça pour mes enfants, on va partir ! », promet-elle en espérant pouvoir être mutée en Corse, dont elle est originaire.

Le Parisien

via fdesouche

 

Rappels :

Marseille : Attaque au couteau dans une école élémentaire. L’agresseur aurait crié « Allah Akbar »

Lorsqu'Alain Marsaud, ancien magistrat antiterroriste, expliquait la manipulation du pouvoir sur les déséquilibrés

Marseille : Attaque au couteau dans une école élémentaire. L’agresseur aurait crié “Allah Akbar”

Deux femmes ont été agressées ce vendredi matin tôt dans une école publique de Marseille (Bouches-du-Rhône). Il était environ 6h40 quand un jeune homme, torse nu et très excité, s'est jeté sur une employée municipale qui aide à la cantine les enfants des classes de maternelle du groupe scolaire La Pauline, boulevard Romain-Rolland (IXe arrondissement). Il lui a asséné plusieurs coups, avec un couteau ou une paire de ciseaux, dans le thorax, puis a frappé d'un coup de poing une autre employée qui tentait de s'interposer. Prenant la fuite, il a aussi asséné un coup de poing à un homme dans la rue.

[...]

Le jeune homme interpellé, âgé de 17 ans, est connu de la brigade des stupéfiants. La police judiciaire de Marseille a été saisie de l'enquête.

Venu sur place, le procureur de la République de Marseille Xavier Tarabeux a précisé que « l'agresseur aurait proféré Allah Akbar, dans le cadre de propos qui restent confus, mais cela reste à confirmer ». « Je suis en contact avec le parquet antiterroriste, mais celui-ci n'est pas saisi à ce stade », a ajouté le magistrat.

[...]

Leparisien.fr

Marseille : 24 mentions à son casier judiciaire, Samir est condamné pour avoir menacé une employée de la CAF « je reviens et je te tranche la gorge »

Marseille : un an de prison pour avoir menacé une employée de la Caf

L’allocataire se plaignait d’un retard dans le traîtement de son dossier

[…]

« Si ce n’est pas réglé avant samedi, je reviens et je te tranche la gorge »

Buté et à bout de nerfs, Samir B., 31 ans, est revenu la semaine suivante, puis le lendemain, et encore le lendemain… « Il exigeait que je lui donne une date. Je lui ai dit que je ne pouvais pas mais que son dossier serait validé dans la semaine« , a poursuivi Dounia, qui l’a reçu à plusieurs reprises. C’est alors que l’allocataire est passé aux menaces : « Si ce n’est pas réglé avant samedi, je reviens, je te tranche la gorge (…) J’ai un couteau dans le sac, je le prends, je t’égorge », lui aurait-il répété, en mimant le geste avec sa main. Et d’ajouter, inquiétant : « Je reviendrai tous les jours, j’ai fait de la prison, je n’ai pas peur ! ». Six jours plus tard, rebelote : « Elle est où ta cadre ? Je n’ai pas été payé ! Si elle sort je vais la balafrer ! », aurait-il hurlé à l’accueil, en proférant au passage des insultes à caractère racistes à l’attention de Dounia.

Mais cette fois, des policiers étaient au rendez-vous. Menottes. Garde à vue…

Originaire du nord de la France et comptant déjà 24 mentions au casier…

[…]

« Quand on a du retard sur son dossier et qu’on a le compte en banque vide, ça peut énerver« , a souligné l’avocat de la défense, Me Bensalem

[…]

La Provence

Via Fdesouche

Attaque à Marseille : la piste de l’attentat s’éloigne, ce qu’on sait de l’assaillant

L'agresseur avait assassiné son père et fait 14 ans de prison pour cela". Il est sorti de prison en octobre 2018.

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, Mis à jour le 19/02/19 18:42

MARSEILLE - Une attaque au couteau suivie d'une fusillade a fait plusieurs blessés, dont un mort, l'assaillant lui-même, ce mardi après-midi, à Marseille, sur la Canebière. L'individu a ciblé plusieurs passants, armé d'un couteau, avant de tirer sur la police, en plein centre de Marseille...

L'essentiel

  • Un homme a attaqué des passants au couteau, ce mardi 19 février 2019, dans l'après-midi, à Marseille, dans les environs de la rue de Rome.
  • Le bilan provisoire fait état de 4 blessés selon les informations de La Provence, l'AFP évoque seulement deux blessés, Le Monde 3. Aucune victime n'est qualifiée de "grave" ce mardi soir, un homme touché au cou serait néanmoins dans un état "inquiétant".
  • Après l'attaque au couteau, l'auteur aurait pris la fuite sur la Canebière puis aurait ouvert le feu sur des agents de la BAC. Les policiers ont fait usage de leurs armes pour le neutraliser. L'assaillant a succombé à ses blessures en fin d'après-midi.
  • Pour l'heure, aucune source proche de l'enquête n'évoque de motivation terroriste et la piste de l'attentat semble s'éloigner. L'auteur de l'attaque à Marseille serait un SDF connu des services de police pour une affaire de meurtre datant de 2003 et serait sorti de prison en 2018. Il n'est pas connu des services de renseignement.

En direct

18:42 - L'agresseur décrit comme "un SDF du secteur"

La Provence indique que selon ses sources, l'assaillant serait "un individu de 36 ans, a priori un SDF du secteur". Selon le journal régional, il serait connu des services de la police pour une affaire de meurtre datant de 2003. En revanche, il ne serait pas connu des services de renseignement intérieur ni territorial.

18:37 - Quatre victimes selon La Provence

Selon les informations de La Provence, ce sont bien 4 personnes qui ont été touchées par l'attaque survenue à Marseille ce mardi 19 février : trois hommes âgés de 23 ans, 27 ans et 35 ans, ainsi qu'une femme âgée de 52 ans. Deux victimes n'auraient pas de blessures significatives, mais les deux autres ont été conduites à l'hôpital.

18:26 - Le préfet des Bouches-du-Rhône appelle à la prudence

Les autorités locales ont fait savoir qu'une intervention avait rapidement été lancée sur la Canebière. La préfecture a lancé un appel aux internautes : "Ne diffusez pas de fausses informations, ne relayez que des informations émanant d'une source fiable".

18:22 - Trois victimes au total à Marseille ?

Selon les informations de BFMTV, si l'agresseur a fait deux victimes, une troisième personne aurait été touchée à la jambe par des éclats, générés par les coups de feu lors de la fusillade entre les forces de l'ordre et l'assaillant.

18:19 - Attaque à Marseille : une enquête ouverte

La parquet de Marseille a ouvert une enquête, celle-ci devra éclaircir les motivations de l'assaillant, qui n'a pas été identifié par les services de police, pour le moment. Le procureur adjoint s'est déplacé sur les lieux de l'attaque pour s'informer de la situation.

18:16 - L'agresseur est décédé, selon BFMTV

La chaîne d'information en continu indique que l'individu qui a agressé des passants dans le centre de Marseille a succombé à ses blessures.

18:14 - C'est à l'arrivée de la police que l'agresseur a sorti une arme à feu

Selon l'Agence France Presse, c'est en se déplaçant sur la Cannebière, l'artère qui remonte dans le centre-ville depuis le Vieux-Port, que l'agresseur a sorti une arme à feu et ciblé la police qui se dirigeait vers lui. Les forces de l'ordre ont répliqué et blessé grièvement l'individu armé.

Attaque et fusillade à Marseille, le déroulé

L'attaque à Marseille a débuté peu avant 17 heures, ce mardi 19 février 2019. Un homme a agressé au couteau deux personnes dans la rue de Rome, en plein centre de Marseille, aux alentours de 16h45.

Quelques minutes plus tard, des policiers de la BAC sont intervenus et ont pris l'auteur en chasse dans le secteur de la Canebière. Ils ont fait face à des tirs d'une arme de poing. Ils ont ouvert le feu et neutralisé l'auteur de la fusillade.

Bilan et victimes de l'attaque à Marseille

Le bilan de l'attaque à Marseille est pour le moment provisoire et fluctuant selon les sources. L'AFP et Le Monde parlent de deux à trois blessés quand la Provence assure qu'il y aurait 4 victimes au total. Un éclat de balle a également atteint un passant lors de cet échange de tirs, indique Le Monde. France Bleu évoque pour sa part trois hommes touchés, de 23, 27 et 35 ans ainsi qu'une femme de 52 ans. La gravité des blessures fait aussi l'objet de confusion. Quand les premiers assurent qu'il n'y a eu aucun blessé grave, les seconds évoquent un homme touché au cou, dont l'état serait préoccupant. France Bleu évoque aussi un homme "en urgence absolue" suite à une blessure à la carotide. Quant à l'auteur de l'attaque, blessé, il a succombé à ses blessures en fin d'après-midi.

Attaque à Marseille, la piste de l'attentat s'éloigne

On ne connait à ce stade ni l'identité, ni les motivations de l'auteur de l'attaque de Marseille. Selon France Bleu, l'homme aurait demandé la nationalité des passants avant de s'en prendre à eux. Une enquête a été ouverte et confiée à la police judiciaire de Marseille pour déterminer les circonstances exactes de l'attaque. L'anti-terrorisme n'a donc pas été saisi. La piste de l'attentat semble s'éloigne, plusieurs heures maintenant après l'attaque de Marseille.

Auteur de l'attaque à Marseille, ce que l'on sait

L'auteur de l'attaque et de la fusillade à Marseille serait un SDF de 36 ans connu des services de police pour une affaire de meurtre datant de 2003 et pour port d'armes en 2017 selon France Bleu. Selon le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner sur France Info, "il avait assassiné son père et fait 14 ans de prison pour cela". Il est sorti de prison en octobre 2018. Il n'est en revanche pas connu des services de renseignements et rien n'indique à ce stade qu'il ait pu se radicaliser en prison.

source:

voir aussi:
Marseille: des passants attaqués, l'assaillant est décédé

Marseille : pas de place Arnaud Beltrame “pour ne pas provoquer”

La décision de la gauche a été vivement dénoncée par l’élu RN Stéphane Ravier lors du dernier conseil municipal de Marseille.

Rendre hommage à un héros de la nation, qui a sacrifié sa vie au profit d’une autre, serait-ce de la provocation ? Hier, mardi 9 octobre, le président du groupe RN au conseil municipal de Marseille (Bouches-du-Rhône), Stéphane Ravier, a fait part de son indignation après le refus d’élus de gauche d’installer une place Arnaud Beltrame dans le 15e arrondissement de la cité phocéenne. Une colère qu’il a partagée sur son compte Twitter, assortie d’une vidéo de son intervention lors du conseil.

« Collaborer avec l’ennemi », une « tradition de la gauche »

« Toujours compter sur la gauche pour trahir, pour se coucher, pour pratiquer l’aplaventrisme ». C’est en ces termes peu glorieux que Stéphane Ravier a vigoureusement dénoncé le refus des « élus socialistes et communistes » de donner le nom du gendarme Arnaud Beltrame à une place du 15e arrondissement de la cité phocéenne. La gauche aurait, selon ses mots, avancé « le prétexte fallacieux que cette place n’était pas assez prestigieuse, pour enfin avouer la vérité » : la population locale de ce quartier populaire prendrait cela pour « une provocation ».

 

 

De quoi susciter l’ire de l’élu du Rassemblement national, qui a fustigé avec quel cynisme la gauche fait « la leçon tout au long de l’année sur les valeurs, la nécessité de la défendre et [son] engament à lutter contre l’obscurantisme », pour finalement « reculer » et « collaborer avec l’ennemi », comme le voudrait sa « tradition ». « On devrait se coucher devant ceux qui soutiennent les terroristes islamistes », s’est étranglé Stéphane Ravier, déplorant « l’ignominie » et la « capitulation » d’une telle décision. Et de conclure : « Vous en répondrez devant l’Histoire ».

Valeurs Actuelles

Marseille : une bagarre entre 20 migrants armés dégénère devant la faculté d’éco-gestion

Une violente bagarre entre migrants armés de couteaux a éclaté mardi devant la faculté d'éco-gestion de Marseille. Les étudiants se sont réfugiés dans le bâtiment de l'Université. Le doyen demande à ce qu'une solution soit trouvée en urgence pour éviter que ce genre d'incident ne se reproduise.

anique sur le parvis de la faculté d'éco-gestion à Marseille. Ils sont une vingtaine de migrants à courir dans tous les sensarmés de couteaux.

Une scène d'une rare violence qui s'est déroulée mardi, aux alentours de 13h au moment de la pause déjeuner.

Les étudiants, apeurés, ont été obligés de se réfugier dans l'établissement.

Armés de couteaux

Des témoins nous raconte la scène.

Ils ont commencé à se frapper, à sortir des couteaux de leurs poches, des armes, beaucoup d'armes

 

 

 

 

Il a sorti un sabre !

s'alarme une jeune fille sur l'une des vidéos des étudiants transmises au doyen.

Traumatisés, les étudiants ont dû attendre avant de pouvoir sortir du bâtiment. "On a dû s'enfermer le temps que la police arrive, une bonne demi-heure après", ajoute le professeur joint par téléphone.

"Une cinquantaine de personnes armées"

Dans le 1er arrondissement de Marseille, plusieurs camps de migrants se situent dans le secteur de la Porte d'Aix à proximité de l'établissement. Depuis quelques mois, certains d'entre eux ont trouvé refuge sous le préau devant l'entrée de la faculté.

"Au départ, on avait juste des problèmes d'hygiène et d'insalubrité, mais pas des problèmes de sécurité et depuis juin la situation a totalement dégénéré", s'inquiète le doyen de la faculté Pierre Granier.

 

 

"Une situation intenable"

Selon lui, ce n'est pas la première fois que ce genre d'incident arrive et la situation est devenue intenable.

C'est un problème très compliqué à gérer mais on ne peut pas accepter qu'une cinquantaine de personnes armées et buvant beaucoup stationnent devant la fac

déplore le doyen.

Une pétition adressée au ministère de l'Éducation

Avant l'été déjà, le président de l'Université a informé la Préfecture du contexte de plus en plus préoccupant.

Aujourd'hui, le personnel administratif de la faculté a décidé d'adresser une pétition au ministère de l'Education nationale. 

Éventuellement, ils exerceront leur droit de retrait si des solutions ne sont pas apportées rapidement.

France3-regions.francetvinfo.fr

Marseille : un lycéen ivoirien, migrant mineur isolé, soupçonné de trois viols

Un adolescent de 16 ans est suspecté de s'en être pris à trois femmes depuis le mois d'avril. Confondu par son empreinte génétique, il a été écroué.

Les policiers de la brigade des mœurs de la sûreté départementale (SD) des Bouches-du-Rhône viennent d'interpeller un adolescent, suspecté d'une série de faits particulièrement graves. Âgé de 16 ans, ce mineur isolé de nationalité ivoirienne a été arrêté, le 11 septembre dernier, à la sortie de son lycée à Marseille. Logé en foyer depuis son arrivée en France il y a quatre ans, il est suspecté d'avoir violé trois femmes sur la voie publique depuis le mois d'avril dernier dans la cité phocéenne. Les enquêteurs de la SD sont parvenus à l'identifier grâce à son empreinte génétique.

Placé en garde à vue, le suspect a fait valoir son droit au silence. Déféré devant un magistrat, le 13 septembre, il a été mis en examen avant d'être placé en détention provisoire. «  L'interpellation de cet auteur présumé de trois viols était devenue une priorité au regard de la multiplication de ses passages à l'acte, confie une source proche de l'affaire. On sentait qu'il était en train de monter en puissance.  »

Le premier fait remonte au 24 avril, vers 4 heures du matin dans le 2e arrondissement de Marseille. Une femme de 58 ans est sur le chemin de son travail quand elle est surprise par un inconnu, muni d'un couteau. Ce dernier, qui prend le soin de ne pas montrer son visage, menace la victime puis la viole. Informé de cette agression, le parquet de Marseille saisit les policiers de la sûreté départementale. «  Du matériel génétique a pu être prélevé et envoyé au fichier national automatisé des empreintes génétiques (Fnaeg), poursuit la même source. Mais l'ADN du suspect n'y était pas enregistré.  »

L'ADN du suspect prélevé après un vol par escalade

Le 19 mai dans le 1er arrondissement et le 2 août dans le 13e arrondissement à Marseille, deux autres viols sont commis sur des femmes, dont la plus jeune est âgée de 20 ans, selon un mode opératoire similaire à la première agression. «  Ces deux autres viols ont été commis également de nuit par un homme de petite taille, armé d'un couteau et qui les agressait toujours par-derrière, révèle un proche de l'affaire. Il découpait les vêtements de ses victimes avec son couteau avant de les violer. Tous les services de police de la ville ont été sensibilisés sur la présence de ce violeur en série à Marseille.  »

Le 10 septembre dernier, les enquêteurs de la SD sont informés que l'ADN prélevé sur les différentes scènes de crime correspond au profil d'un adolescent dont le profil génétique a été enregistré, au début de l'été, dans le Fnaeg. Placé en garde à vue, au mois de juin, dans le cadre d'une affaire de vol par escalade, ce mineur de 16 ans avait fait l'objet d'un prélèvement génétique. Il avait ensuite été remis en liberté, faute d'élément à charge dans cette affaire de vol. «  Un important travail d'enquête de terrain a été mené pour remonter au plus vite sa piste, ajoute la même source. Ce garçon n'a aucune attache familiale en France. Mais il ne s'était jamais signalé à la police jusqu'à présent. Les trois victimes demeurent très choquées.  »

Le Point

Migrants : l’Aquarius met le cap sur Marseille

Récemment interdit de débarquement en France, le navire humanitaire Aquarius fera bientôt escale à Marseille.

L'Aquarius arrive à Marseille, rapporte notamment BFM TV ce mardi 26 juin. Le navire humanitaire doit prochainement effectuer une escale technique dans la ville méditerranéenne puisque l'ONG SOS Méditerranée, qui affrète le bateau, affirme s'être vu refuser de débarquer à Malte et ne pas pouvoir le faire en Italie.

L'Italie « pas du tout favorable aux ONG »

Le site de la chaîne d'information précise que l'Aquarius doit effectuer de telles escales toutes les trois semaines pour se ravitailler et renouveler ses équipes. D'ordinaire, le navire accoste à Catane en Sicile, mais Frédéric Penard, directeur des opérations de l'association, affirme que « le climat (n'est) pas du tout favorable aux ONG » en Italie

Source

Marseille : Karim défigure Cathy à l’acide. “Je veux que tu ne ressembles plus à rien”

J'en ai rien à foutre, même si je prends 15 ou 20 ans de taule, je veux que tu ne ressembles plus à rien..."

Karim, 39 ans, avait annoncé depuis des mois son intention que jamais son ex-compagne, Cathy (son prénom a été modifié), ne retrouve un homme. Son tort à elle ? Avoir décidé, en février, que cette relation entamée sur les bancs du lycée et qui a donné naissance à deux fils âgés de 4 et 12 ans, cesse illico.

Il faut dire que quelques mois plus tôt, Karim avait écopé de dix-huit mois de prison avec sursis, pour des violences conjugales et des menaces. Une peine assortie notamment d'une interdiction de se rendre à Marseille et d'entrer en contact avec son ex-compagne. "Il ne l'a jamais respectée, il est totalement obsédé par moi", témoigne Cathy, 37 ans, sur son lit d'hôpital du service des grands brûlés.

Mardi vers 16 h, c'est son visage, celui-là même qui l'avait séduit il y a vingt ans, que Karim a aspergé d'acide. "J'allais chercher mon fils à l'école, et soudainement j'ai senti une présence bizarre dans mon dos. J'ai couru mais il m'a rattrapée. Je suis tombée, j'ai protégé mon visage et il m'enlevait les mains pour m'atteindre avec ce liquide qu'il transportait dans un bidon", se souvient la victime, grièvement blessée à la face, aux yeux, aux bras et aux mains. "Souvent, il m'a montré des photos sur internet de femmes brûlées à l'acide", lâche-t-elle en pleurs.

"Une fois, il a même menacé de jeter notre fils de 4 ans par le balcon."

Rapidement interpellé, Karim venait de mettre à exécution ses menaces au terme de plusieurs mois d'une incroyable traque pour laquelle Cathy "accuse la justice de ne pas avoir su me protéger en le relâchant à chaque fois qu'il a été interpellé et présenté au tribunal". Car Karim a d'abord violé son intimité en communiquant des photos d'elle en petite tenue aux proches de Cathy, mais aussi à son employeur. Puis, il l'a aussi lourdement diffamée. "Il a appelé mon patron pour lui dire que j'étais une vendeuse de drogue, une manipulatrice, que je volais dans la caisse. Puis il a contacté mes parents pour leur dire que je faisais la prostituée sur le Jarret. Il a tout fait pour me détruire, me faire céder pour que je revienne avec lui", détaille-t-elle. Karim, censé vivre en région parisienne pour respecter sa peine avec sursis et mise à l'épreuve, ne cesse de venir au pied de l'immeuble de Cathy. "Une fois, il a même grimpé les cinq étages par les balcons, comme a fait récemment le héros Mamoudou Gassama. Une autre fois, en tambourinant à ma porte, il a menacé de jeter notre petit dernier par le balcon..."

À chaque fois, ce que confirment nos sources policières et judiciaires, Karim est interpellé, déféré mais relâché dans la nature par la justice. "Il était tout fier, parce qu'avec son bagout, il arrivait à embrouiller tout le monde, peste Cathy. Et moi, même si on m'avait donné un téléphone grand danger pour les femmes battues, je me sentais seule au monde avec aucun appui et l'impression que personne ne me croyait."

Selon nos informations, encore trois jours avant cette terrible attaque à l'acide, Karim avait été arrêté pour avoir violé son interdiction de territoire. Mais laissé libre avec une simple convocation pour septembre... Le lendemain, rebelote, Karim se pointait au domicile de Cathy. "Un mandat d'arrêt a été décerné à son encontre la veille de l'attaque à l'acide", précisait hier soir le procureur de la République de Marseille, Xavier Tarabeux. Hier soir, alors que son avocat Me Pouillaude indiquait ne pas souhaiter s'exprimer, Karim a été mis en examen et écroué.

Une décision bien trop tardive dont, sans aucun doute, Cathy portera à jamais les stigmates...

Source Via Borislelay

Nos remerciements à Λlex Λ

Marseille: 50 individus obligent un véhicule de police à quitter le quartier. “Ce sont des faits au quotidien. Les gens sont abandonnés.” (Vidéo)

50 individus obligent un véhicule de police à quitter le quartier : il est grand temps que les policiers reçoivent les ordres de réagir face à cette racaille !